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00:00Avec Hélène Rouet du JDD, avec Sébastien Ligny, chef du service politique de Valeurs Actuelles,
00:06retour sur cette école coranique Al-Foulk située à Anthony dans les Hauts-de-Seine,
00:14fermeture pour raison de sécurité par le préfet.
00:16La loi contre le séparatisme est-elle suffisante quand on voit des exemples comme celui-ci ?
00:22Écoutez Serge Altaparro, le responsable de l'Institut Al-Foulk,
00:26c'est un résumé des propos tenus il y a 15 ans.
00:30Les Français étaient autrefois des gens de bon comportement,
00:33car ils conservaient encore des vestiges de la religion chrétienne.
00:37Le diable leur a alors embelli leurs actions.
00:39Il est aujourd'hui leur allié. Ils auront un châtiment douloureux.
00:43C'est ainsi qu'aujourd'hui, nous constatons que les dirigeants sont les pires des gens.
00:46Et peut-être même que certains ministres mettent au monde des enfants d'adultère
00:51et que certains mères pratiquent la perversité du peuple de l'autre,
00:54c'est-à-dire l'homosexualité.
00:56Il faut absolument que la femme qu'on va marier ait un tuteur.
00:59Il est permis au père de refuser celui qui demande la main de sa fille si cela lui chante.
01:04Si la femme est musulmane, il est obligatoire que son tuteur soit musulman.
01:07Quant aux hommes mécréants, étrangers,
01:10la musulmane devra cacher en leur présence la totalité de son corps, visage et mains compris.
01:16C'est totalement sidérant.
01:17Tout à l'heure, Hervé Marseille était là, à cette place, dans le studio.
01:21Il est sénateur de cette zone.
01:25Et on se dit, mais comment est-ce que tout ça a pu passer en sous-marin, sans savoir ?
01:32Mais ils savent, Pierre.
01:33Ils savent.
01:34Comment est-ce que vous pouvez dire ça ?
01:35C'est dommage qu'Hervé Marseille ne soit pas là.
01:37Comme ça, il pourrait vous apporter la contre-définie.
01:39Les rapports existent.
01:41Les rapports...
01:41Mais donc, ils font quoi ?
01:42Mais ils se cachent, parce qu'ils ont honte.
01:45Parce qu'ils sont responsables de cette situation.
01:47Quand vous avez des rapports, des renseignements qui ont été révélés l'année dernière,
01:50que vous expliquez qu'il y a environ 800 écoles coraniques en France,
01:53qu'il y en a une vingtaine qui sont tenues par les frères musulmans.
01:57Ça, c'est les renseignements français qui le disent.
01:58Ce n'est pas une officine nazie.
02:00Ça fait donc environ 20 000 étudiants ou élèves
02:04qui sont donc enseignés...
02:07Enfin, à qui on enseigne les lois des frères musulmans.
02:10Tout ça, ce sont des faits, des renseignements français.
02:13Les ministres ont vu ces notes-là.
02:14Les journalistes ont publié ces fiches de renseignements-là.
02:17Donc, tout le monde est au courant.
02:18Pas tous les journalistes.
02:19Pas tous les journalistes, vous avez raison.
02:20Donc, les lois existent.
02:22En réalité, c'est une question de volonté politique
02:23et d'absence de volonté politique.
02:25Il n'y a aucune excuse pour ne pas s'occuper de ces vingt écoles
02:27qui sont tenues par les frères musulmans.
02:28Mais là, il y a une école qui ressort.
02:32Vous me dites qu'il y en a 800 dans le collimateur.
02:35Non, non, il y a 800 écoles coraniques totaliques.
02:36Et il y en a une vingtaine qui sont tenues par les frères musulmans.
02:38Et il y en a une vingtaine, pardon, Hélène Rouet,
02:40qui sont, j'allais dire, dans le spectre.
02:43Et qu'est-ce qu'on fait ?
02:44Rien.
02:45En termes de chiffres, c'est pareil.
02:46Quand on regarde le rapport des frères musulmans
02:48qui a effectivement été déclassifié,
02:51on parle de 139 mosquées,
02:53on parle de 280 associations
02:54qui sont effectivement également liées à la mouvance frériste.
02:57Aujourd'hui, on le sait,
02:59les frères musulmans,
03:00ils s'intègrent dans toutes les strates de la société.
03:02C'est leur stratégie.
03:03Dans les commerces, dans l'éducation, dans le sport.
03:05Et la classe politique, elle observe,
03:07elle ne fait rien.
03:08Pour rappeler effectivement
03:09sur une potentielle dissolution des frères musulmans,
03:12pour rappeler un sondage,
03:1388% des Français aujourd'hui,
03:15un sondage CSA, CNews Europe 1, JDD,
03:17sont pour l'interdiction des frères musulmans.
03:18Et 81% des partisans de la gauche.
03:22Donc ça, c'est édifiant.
03:24Mais ce rapport, c'est aligné.
03:28Rappel de ce rapport ?
03:29Oui, mais souvenez-vous, c'était la fin de l'été.
03:31Retailleau arrive en Conseil des ministres,
03:34il le présente au président,
03:35et puis, il s'engueule.
03:36On sait que c'est tendu au Conseil des ministres,
03:39et puis après, on les voit traverser l'avenue Marigny,
03:43qui donc relie l'hôtel de Marigny
03:44à, comment dirais-je,
03:46où ce Conseil des ministres s'était tenu,
03:48je ne sais plus pour quelle raison,
03:50parce que c'était un Conseil de défense, je crois.
03:51Et puis après, il rejoignait l'Élysée,
03:53il y avait ces images-là,
03:55et après, qu'est-ce que ça devient, ce rapport ?
03:57Qui a été déclassifié,
03:59qui a mis du temps,
04:00où Emmanuel Macron avait fait la leçon
04:04à Bruno Retailleau en disant
04:05« Non, ce n'est pas complet ! »
04:07Ça va, quoi, on en est où, là ?
04:09C'était il y a un an !
04:11Rapport qui, au départ,
04:13était finalement remisé à la cave
04:15dans les archives du ministère de l'Intérieur,
04:17et quand Bruno Retailleau est arrivé,
04:19il a fait un petit tour par la cave de Beauvau,
04:21il a fait « Tiens, il y a un rapport
04:22sur les frères musulmans qui existe
04:23qu'on n'a jamais publié.
04:25On n'est jamais au bout de ce rapport. »
04:26Et c'est étrange.
04:27Pourquoi aucun ministre avant ?
04:29Pourquoi mes prédécesseurs ne sont pas penchés sur ce cas-là ?
04:31Parce qu'ils ont honte.
04:32Encore une fois, je pense que c'est ça le plus important.
04:33C'est qu'ils sont parfaitement au courant.
04:35L'ignorance, ce n'est pas un critère.
04:37Mais il n'est jamais trop tard.
04:39Oui, mais en fait,
04:39admettre qu'il y a une emprise des frères musulmans
04:42dans toutes les strates de la société,
04:43c'est admettre que 40 ans de politiques
04:46macronistes et autres et socialistes
04:49ont ruiné ce pays,
04:50ont détruit ce pays
04:51et ils ne peuvent pas l'accepter.
04:53C'est exactement la même logique
04:55derrière le fait que Laurent Nunez
04:56essaye de nous enrouler dans la semoule
04:59avec le nombre de clandestins.
05:01Vous enroulez dans la semoule.
05:02On peut patauger, on peut s'enrouler,
05:04on peut faire beaucoup de choses dans la semoule.
05:05Ah bon, mais non, vous montrerez.
05:07Et quand Laurent Nunez nous explique
05:08bon, alors, il y en a peut-être 300 000
05:10et puis deux jours après, c'est 600 000
05:12et Bruno Rotaillon dit
05:13c'est probablement un million de clandestins,
05:15Laurent Nunez, il ne peut pas accepter ce chiffre
05:17parce que c'est reconnaître que son idéologie,
05:19c'est trompé.
05:20Mais j'en avais parlé avec Darius Rochebin.
05:23Je lui dis, c'est quand même assez étrange
05:24que chez toi, il arrive,
05:27il dit 200-300 000
05:28et puis après, 48 heures plus tard,
05:32mais parce que ça commence à grossir en fait
05:34et il arrive devant Sonia
05:35et il sort, bah oui, il y a 700 000 en fait.
05:38Et c'est terrible.
05:38Effectivement, on peut noter quand même
05:40une certaine différence
05:42avec Bruno Rotaillon sur ce point.
05:44Je rejoins Sébastien sur la honte
05:45effectivement que ressent cette classe politique
05:47et je voudrais ajouter aussi un autre adjectif,
05:49c'est le courage.
05:50Parce que ce qu'Alexandre Brugère l'a fait,
05:52on en est une dizaine à peu près.
05:53Le préfet des Hauts-de-Seine.
05:53Le préfet des Hauts-de-Seine, Alexandre Brugère,
05:55qui était d'ailleurs l'ancien directeur de cabinet
05:57de Gérald Darmanin.
05:58Alexandre Brugère, ça doit être la dixième fois environ
06:02qu'il s'attaque effectivement
06:04à ses dérives islamistes.
06:06En mai 2025, il s'était attaqué d'ailleurs
06:08à un autre institut qui s'appelle
06:10l'Institut Lyssen à Colombes
06:12qui était également soupçonné
06:13de dérives islamistes.
06:14Et en fait, on voit dans la personnalité
06:16d'Alexandre Brugère,
06:17lui, il fait les choses.
06:18On a l'impression qu'il a un certain courage
06:22pour bouger.
06:23Là, en l'occurrence,
06:24dans l'affaire d'Alfoulk,
06:26il a utilisé un argument
06:27qui était les règles.
06:29C'est-à-dire que l'Institut
06:30n'avait pas les bonnes réglementations
06:33en termes de risque incendie.
06:34C'est la raison pour laquelle
06:35c'est grâce à ça
06:36qu'il a pu fermer cet institut.
06:38Il a demandé des travaux
06:40pendant huit jours
06:41qui n'ont pas été réalisés.
06:42C'est édifiant.
06:43C'est quand même dramatique
06:44de devoir passer par là.
06:45C'est édifiant ce que vous dites.
06:47C'est-à-dire qu'on ferme
06:49pour des raisons incendies
06:50alors qu'en réalité, la vraie raison,
06:51c'est que vous avez là un directeur
06:54qui dit
06:54« Mariez-vous avec une fille de 9 ans
06:56après tout, le prophète l'a fait. »
06:58En tout cas, il a trouvé un moyen
06:59de le fermer.
06:59« Vous pouvez avoir plusieurs femmes
07:00ou en mettre une
07:02à l'état d'esclavage. »
07:04Et ça, personne ne dit rien.
07:05Mais il y a des institutions
07:07dans ce pays.
07:08Par contre, quand on s'attaque
07:08aux écoles catholiques,
07:10là, on ne s'attaque pas
07:11par le biais de l'incendie
07:13et d'une alarme qui ne fonctionne pas.
07:14Là, on s'attaque tout de suite.
07:15C'est-à-dire où, d'ailleurs,
07:16le rapport Vanier
07:17sur les écoles catholiques ?
07:20J'ai l'impression
07:20qu'il n'y a pas grand-chose
07:21à lire dans ce rapport
07:22et c'est peut-être pour ça
07:23qu'on ne l'a pas lu.
07:24Peut-être qu'il n'y a rien à dire.
07:25Non, mais vous voyez,
07:25c'est ça aussi.
07:26Quand toutes les écoles
07:27d'excellence en France
07:28sont des écoles catholiques privées,
07:30c'est peut-être qu'il y a une raison.
07:31Oui, oui.
07:31Premier lycée de France privé,
07:36c'est le collège Stanislas.
07:37Exactement.
07:37Voilà.
07:38Bon, ça, on ne fera pas mieux.
07:40Mais en tout cas, voilà.
07:41Je trouve ça totalement édifiant,
07:43de la même façon
07:44que je trouve édifiant
07:45qu'on apprend au compte-gouttes
07:47la nationalité
07:50et le statut
07:50du violeur du RERC.
07:52C'est cet égyptien
07:55mis sous OQTF.
07:57Finalement, désormais,
07:58parce qu'on s'est rendu compte
07:59qu'il y a quand même
08:01une lenteur, Hélène Rouet,
08:02dans ce pays,
08:03à tout point de vue,
08:04j'ai l'impression.
08:05Oui, bien sûr,
08:05il y a une lenteur
08:06et puis surtout,
08:07parfois,
08:08on ne sait même pas.
08:10En fait,
08:10ces informations-là,
08:11le fait qu'il ait été rendu égyptien,
08:12c'est sûrement
08:13parce qu'il y a des sources policières
08:14effectivement qui ont futé.
08:15Sinon,
08:16on ne l'aurait pas forcément su.
08:17On revient effectivement
08:18au manque de courage
08:20de beaucoup de personnalités.
08:21Mais vous voyez,
08:21Al Foulk, typiquement,
08:22tout à l'heure,
08:24j'étais sur mon fil AFP.
08:26Alors ça,
08:27pour les auditeurs
08:29qui ne savent pas,
08:30Europe 1 paye très cher.
08:32C'est un peu notre bible.
08:33Avec beaucoup d'autres médias,
08:36évidemment,
08:36l'abonnement à l'agence France Presse.
08:38Alors je tape Al Foulk
08:40dans tous les sens du terme.
08:41Il n'y a rien.
08:42Rien.
08:42Il n'y a rien.
08:43Absolument rien là-dessus.
08:44Mais il y a une vraie dissimulation.
08:46Je pense que c'est un terme
08:47qui restera de l'ère macroniste,
08:49c'est la dissimulation.
08:50La dissimulation économique,
08:52budgétaire.
08:52On se rappelle quand même
08:53que Bruno Le Maire
08:54est quand même plus ou moins
08:55accusé d'avoir caché
08:56les vrais chiffres
08:58du déficit français
08:59avant son départ.
09:00Il y a une dissimulation sécuritaire,
09:01il y a une dissimulation migratoire.
09:03On est incapable
09:04de nous donner
09:04le vrai nombre de clandestins,
09:05on est incapable
09:05de nous donner
09:06le vrai nombre de visas accordées,
09:08le vrai nombre d'OQTF exécutés.
09:10Il y a une vraie volonté
09:11de cacher les chiffres.
09:13Et les rares chiffres
09:14qui sortent,
09:14les chiffres du ministère
09:15de l'Intérieur
09:16ou de la préfecture
09:16de police de Paris
09:17sur l'écrasante majorité
09:19des faits de violence
09:21ou de viol
09:21dans les transports
09:22en commun parisien
09:23qui sont le fait d'étrangers,
09:25quand ces chiffres la sortent,
09:26alors là tout de suite,
09:27attention,
09:27c'est brainwashing
09:28pour reprendre l'expression
09:29du président de la République.
09:30On lave les cerveaux.
09:31Alors c'est mal tombé
09:32parce que c'était le moment
09:33où il y avait un fait divers
09:34absolument terrible,
09:36je crois,
09:36le moment de brainwashing,
09:38il y avait à nouveau
09:39un collégien
09:39qui s'était fait tabasser à mort
09:41je crois ce jour-là.
09:43Donc c'était mal tombé
09:44pour le président de la République.
09:45On a peu parlé
09:46de Laurent Nunez.
09:48C'est bon ?
09:49Mais non,
09:49mais je trouve,
09:50en effet,
09:51on a parlé du fait
09:52qu'il y avait
09:53ces 700 000 clandestins.
09:56Qu'est-ce que le préfet Nunez,
09:57qu'est-ce que le préfet,
09:58pardon,
09:58le ministre de l'Intérieur,
10:00l'absurde révélateur,
10:02compte faire,
10:02à votre avis,
10:03sur une affaire
10:05comme Al-Foulk ?
10:06Justement,
10:07c'est très intéressant
10:07quand on voit
10:08la première sortie publique
10:11du ministre Nunez,
10:12donc c'était
10:12deux,
10:13trois jours
10:13après sa nomination.
10:15Effectivement,
10:15Laurent Nunez
10:16a jugé bon
10:16de mettre en garde
10:19contre les termes utilisés
10:20et notamment
10:20contre le terme
10:21submersion migratoire.
10:22Donc à titre de rappel,
10:23je rappelle quand même
10:23que le terme
10:24submersion migratoire
10:25a été utilisé
10:25par François Bayrou
10:26quand il était
10:27Premier ministre
10:27et donc président du Modem,
10:29donc le centriste originel.
10:31Et puis c'est un terme,
10:32donc Laurent Nunez,
10:33qui n'a pas voulu
10:34vraiment le reprendre
10:35à son compte.
10:36Donc effectivement,
10:37on peut s'interroger,
10:38d'autant plus
10:39quand on a vu
10:39que l'année passée
10:40à Bruno Retailleau
10:41de Beauvau,
10:42il n'a pas mâché ses mots
10:44et ça c'est quelque chose
10:44effectivement
10:45qu'il est impossible
10:46de lui reprocher.
10:47Il a dit les termes
10:48de nombreuses fois
10:48sur ces sujets-là
10:49à voir si Laurent Nunez
10:51suivra sa trace.
10:51En tout cas,
10:52on n'a pas le sentiment
10:52que ça en prend le chemin.
10:54Sébastien Ligné
10:54lève les yeux au ciel.
10:56Non, non !
10:56Mais qu'est-ce que va faire
10:58Laurent Nunez
10:59pour Boilem Sansal par exemple ?
11:00Mais rien,
11:00parce qu'il ne peut rien faire
11:02Laurent Nunez.
11:02Honnêtement,
11:03moi je pense que c'est un...
11:04Il se fait beaucoup critiquer
11:05depuis quelques jours
11:05Laurent Nunez.
11:06Je pense que ça a été
11:07et c'est toujours
11:08un excellent fonctionnaire,
11:09un excellent préfet.
11:10Maintenant,
11:11en tant que ministre
11:12dans un gouvernement centriste
11:14et dans une assemblée
11:15sans majorité absolue,
11:16il ne peut rien faire.
11:17En tout cas,
11:18il ne peut pas faire plus
11:19que ce qu'a fait
11:19Bruno Retailleau
11:20lorsqu'il était ministre de l'Intérieur.
11:22C'est-à-dire que
11:22par les quelques biais,
11:23notamment l'ordonnance
11:26ou les biais directs,
11:27les directives,
11:28vous pouvez agir.
11:29Mais c'est tout.
11:30Il ne pourrait pas y avoir
11:30de révolution avec Laurent Nunez.
11:32Mais il a ça à sa disposition.
11:34Ça mérite d'être dit.
11:36Bien sûr.
11:36Sur l'Algérie,
11:37vous savez,
11:38hélas,
11:39il y a quelqu'un à l'Elysée
11:40qui tient toujours la main
11:41sur ce dossier-là.
11:42Quelqu'un qui est d'Orsay aussi.
11:43Il est forcément sur la même ligne.
11:44Mais qui est plutôt...
11:45Voilà.
11:46Qui a la ligne directe
11:47avec l'Elysée.
11:47C'est 20h43 sur Europe 1.
11:50Vous restez avec nous.
11:51Une petite pause.
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