- il y a 3 semaines
Marschall Truchot, du lundi au jeudi de 17h à 19h avec Olivier Truchot & Alain Marschall. Deux heures pour faire un tour complet de l’actualité en présence d’invités pour expliquer et débattre sur les grands sujets qui ont marqué la journée.
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00:00Dans le signer qu'on signe, puisqu'on va parler de ce qui se passe à l'Assemblée Nationale,
00:04on parle du budget, on parle de la taxe Zuckman.
00:07Alors on est passé de la taxe Zuckman à la taxe Zuckman-Lite,
00:11avec le Parti Socialiste qui présente une autre copie
00:13et qui en fait presque un chantage auprès du gouvernement,
00:18du maintien de Sébastien Lecornuère, le PSG est-il devenu l'art du roi du chantage ?
00:23On va en parler avec vous, mais écoutez ce que disait ce matin la porte-parole du gouvernement,
00:27Madame Bréjon, à propos de la taxe Zuckman.
00:28Personne n'est en position de lancer des ultimatums au regard de ce qu'est l'Assemblée Nationale,
00:35ni les socialistes, ni nous.
00:39Personne, aujourd'hui, n'a le luxe de l'hégémonie.
00:41J'entends des Français qui nous demandent de nous entendre,
00:43pas de nous envoyer des lignes rouges et des menaces de censure à la figure
00:46et je pense qu'on ne peut pas négocier en se balançant des lignes rouges et des menaces de censure.
00:52Alors, soit vous prenez la taxe Zuckman, même dans sa version light,
00:55soit on vous censure, Charles Considiste,
00:57sur les maîtres chanteurs du PS ?
00:59– La situation, elle est très claire.
01:03Les macronistes sont terrorisés à l'idée d'une dissolution.
01:07Les républicains sont terrorisés aussi, en tout cas les députés,
01:12on peut les comprendre, mais bon, à l'idée d'une dissolution.
01:16Et donc, en fait, l'air de rien, ils sont prêts à tout lâcher aux socialistes,
01:20qui sont ceux qui ont le doigt sur le bouton.
01:23Et on peut observer qu'en fait, on a une espèce de jeu de dupe,
01:29où la gauche faim de ne pas trop demander,
01:33alors qu'en réalité, elle est en train d'accrocher un scalp après l'autre
01:37à son mur des renoncements, disons.
01:42Donc ça a été d'abord la réforme des retraites,
01:44qui est la seule réforme à peu près solide
01:46qu'ait pu faire Emmanuel Macron durant son deuxième quinquennat.
01:51Et c'est maintenant la fiscalité des plus hauts revenus
01:54qui était pourtant jusqu'ici, pour le meilleur et pour le pire,
01:57un des totems aussi macronistes.
02:00Donc moi, je trouve ça franchement assez dommage.
02:02Et surtout, je vais vous dire, je ne l'avais pas fait jusqu'ici,
02:06mais j'ai écouté des interviews de M. Zuckman,
02:09que la gauche…
02:09– Il sera demain matin l'invité de BFM TV à 8h30.
02:12– Voilà, que la gauche nous présente comme un économiste,
02:16neutre, mais il a l'écume aux lèvres, Gabriel Zuckman,
02:20quand il parle des riches, mais excusez-moi,
02:22moi je le trouve effrayant, effrayant dans son animosité
02:26à l'encontre des gens soi-disant fortunés, etc.
02:32Mais je termine par là, ça va plus loin que ça,
02:34ça va plus loin que ça, puisqu'en fait, au fond,
02:37il est, peu ou prou, il explique que sa taxe peut aboutir
02:41à une forme de nationalisation totale ou partielle
02:44des entreprises détenues par les personnes
02:47qui vont être ciblées par la taxe,
02:48et on sent qu'il en a envie de ces nationalisations.
02:52Et voilà, moi je le trouve franchement extrêmement dangereux,
02:58et je conteste l'idée qu'on le présente comme un économiste,
03:02pour moi c'est un idéologue.
03:03– Alors ?
03:04– Non, moi je pense qu'il faut se garder du sérieux
03:06dans une période comme ça, et si on donne le sentiment,
03:09parce que j'entends ces retours que les socialistes,
03:11comme ça, seraient dans le plaisir, le principe de plaisir
03:15d'accrocher des scalps, comme vous dites,
03:17alors ça n'est absolument pas le but.
03:19Le but c'est, face à une dette que nous subissons,
03:22que tous les Français subissent,
03:23que nous n'avons pas créé, d'avoir des principes d'équilibre.
03:27Donc les principes d'équilibre, je vous les rappelle, M. Consigny,
03:30il y a 10 ans de Macron quand même.
03:33– Oui, mais il y a 50 ans de socialisme.
03:35– Je vous nous prêtez beaucoup, on ne prête qu'aux riches,
03:37mais en fait il y a eu d'autres pouvoirs depuis cette période-là.
03:41Notre fil rouge, il est très simple,
03:43c'est de dire que ça n'est pas aux catégories populaires
03:45de payer la crise, que eux-mêmes, ils n'ont pas suscité.
03:49Après, moi je vais vous dire mon sentiment, qui est plus personnel,
03:51c'est qu'à un moment donné, quand on est en régime parlementaire,
03:54on ne peut pas avoir des camps comme ça qui ne sont que dans des totems
03:57ou des scalps, comme vous avez dit, je reprends votre expression.
04:00À un moment, il faut poser ces principes, on les a posés,
04:02on a été assez clair, la taxe Zuckmann, on l'a dite il y a bien longtemps.
04:06Et puis à un moment, il faut fumer le calumet de la paix
04:09et atterrir, non pas pour le parti socialiste.
04:12– Fumer le calumet de la paix, ce n'est pas promettre la censure ?
04:15– Mais justement, moi je…
04:17– Ça c'est plutôt d'éterrer l'âge de guerre.
04:18– Vous avez tout à fait bien entendu ma nuance dans l'expression,
04:22et moi je souhaite qu'on puisse aboutir à un budget pour les Français.
04:27– Vous t'appelles sans taxe Zuckmann alors ?
04:29– Vous savez déjà, j'entends que les socialistes,
04:31parce qu'on peut dire, oui mais ils sont finalement dans l'ivresse de la taxe Zuckmann,
04:36j'entends que quand vous passez une taxe Zuckmann à une taxe Zuckmann light,
04:39c'est-à-dire très concrètement que vous entendez les entreprises,
04:42les start-up notamment, qui n'ont pas gagné le premier euro,
04:45vous voulez sortir de cette imposition-là,
04:47c'est plutôt un mouvement qui va vers une forme d'écoute déjà et de rassemblement.
04:52Et je souhaite que ce rassemblement, alors ce n'est pas embrassement ou folville,
04:55se fasse parce que derrière, moi je vais le dire avec force,
04:58derrière le coût de l'instabilité est terrible pour le pays.
05:00On l'a chiffré, alors je ne suis pas économiste, je suis un peu militant,
05:05entre 5 et 15 milliards d'euros, si on pouvait sortir de cette séquence-là,
05:08et de toute façon des élections il y en aura vraiment demain,
05:11les présidentielles c'est demain, avec un peu de stabilité,
05:13avoir un débat digne de confrontation sur les retraites, sur la fiscalité,
05:18au moment où il doit avoir un lieu...
05:19Mais ce n'est pas du tout, moi je veux bien...
05:21Non mais c'est très sympathique, présenté comme ça,
05:24mais ce n'est pas du tout ce que dit Olivier Faure.
05:26Olivier Faure, il tient littéralement le doigt sur la gâchette
05:29d'un pistolet qui est pointé sur la tempe du Premier ministre,
05:34et il lui dit, soit tu me fais la taxe...
05:35Je n'ai pas entendu dire ça, vous avez du talent narratif...
05:39Non, il a dit, on saura là ces jours-ci, si on va vers la dissolution ou pas,
05:47non je suis désolé, il exige un certain nombre de choses,
05:51et il le fait en maniant habilement une espèce de menace et une espèce de...
05:55Donc c'est bien du chantage ?
05:56Oui, mais ce qui est terrible c'est que c'est un chantage consenti,
06:00c'est ça qui est affreux, c'est que le cornu est d'accord au fond.
06:04Les macronistes sont d'accord, ils sont prêts à tout abandonner.
06:07Mon problème, pourquoi vous n'entendez que les socialistes ?
06:10Parce que les autres, ils ont des sacs de sable sur la tête.
06:12J'entends Mme Bréjon, je n'entends pas,
06:14et quand je discute avec mes collègues à l'Assemblée nationale,
06:17d'expressions cohérentes, de feuilles de route de la part du Bloc central.
06:21Quelle est leur solution pour sortir le pays de l'ordinaire ?
06:24Ils sont juste là à observer, en disant, mais c'est terrible,
06:27les socialistes imposent leur vue, sans eux-mêmes proposer un chemin.
06:30Donc il n'y a pas de majorité absolue pour la gauche,
06:33il n'y a pas de majorité pour le Bloc central,
06:35il n'y a pas de majorité pour personne.
06:36À un moment donné, on met au cœur un minimum d'intérêt du pays,
06:40et je regrette que les parlementaires ne jouent pas complètement le jeu.
06:43Nous, on a une fois de route.
06:44Mais voyez, on voit que vous n'êtes pas à l'Assemblée, M. Calfond.
06:48Il est au Parlement européen.
06:49Oui, vous êtes au Parlement européen.
06:50On fait des compromis tous les jours.
06:52Et en ce moment, on entend des paroles sages,
06:55de la part des gens qui ne sont pas menacés par une éventuelle dissolution.
06:59Moi, ce que je ne comprends pas surtout, c'est à quoi tout ça va servir.
07:02Parce qu'on est déjà dans une situation de détresse économique.
07:07On est concurrencés par des pays qui sont beaucoup moins fiscalisés que nous,
07:11qui font des efforts pour être attractifs, y compris pour les riches,
07:15parce que les riches, malgré tout, c'est utile dans un pays,
07:18parce que ça dépense de l'argent,
07:20qui font des efforts pour être attractifs pour les entreprises.
07:23J'ai vu que les banquiers qui avaient quitté Londres après le Brexit
07:26commencent à y retourner.
07:28On est dans une compétition internationale.
07:31Ça fait 30 ans qu'on me dit que les riches vont quitter la France.
07:33Ce n'est pas le cas.
07:34Ça fait 30 ans que beaucoup le font.
07:36Et Macron, on peut lui faire toutes les critiques du monde.
07:40Il y a quand même une chose qu'il a à peu près réussi,
07:43un peu pendant un petit moment,
07:45c'était à rendre quand même la France un tout petit peu plus attractive économiquement.
07:48À quel prix ?
07:49Et c'est comme ça qu'on a fait baisser le chômage.
07:51Mais à quel prix ?
07:52Quand on voit...
07:53Donc moi, je me dis, mais à quoi elle va servir cette taxe ?
07:57Parce qu'on voit bien qu'il y en a un qui ne passe plus les portes.
07:59Je ne sais pas comment il va faire demain pour rentrer dans le studio de la Pauline de Malherbe,
08:03à Gabriel Zuckman.
08:04Il va falloir ouvrir la double porte.
08:05Parce que là, attention...
08:06Je vois que vous lui vouliez votre affection.
08:08Attention, maintenant, Gabriel Zuckman, c'est le camarade Trotsky.
08:12C'est Lénine, c'est Staline.
08:14Il va falloir se prosterner devant lui.
08:17Devant vous, moi, je ne me prosterne devant personne.
08:19Il va falloir...
08:19Ni Dieu, ni César, ni Tribun.
08:20Moi, je serais vous, je m'en méfierais.
08:22Parce que je vois qu'il prend une certaine dimension.
08:26En tout cas, dans sa propre tête.
08:28Et donc, moi, je me dis, mais à quoi va servir cette nouvelle taxe ?
08:33Si ce n'est à collecter peut-être un peu plus d'impôts.
08:36Et encore, les estimations hautes...
08:37Moi, je vais vous répondre.
08:38Si vous autorisez.
08:39Les estimations...
08:39Oui, mais je veux finir.
08:41Avec plaisir.
08:41Les estimations hautes, c'est 20 milliards d'euros.
08:43C'est les estimations hautes.
08:44La taxe sur les yachts, on avait aussi des très belles estimations.
08:47Finalement, elle n'a rien rapporté du tout.
08:49Là, on sera à 5-7 milliards avec le modèle light.
08:51Et avec cet argent, qu'est-ce qu'on va faire ?
08:54On va le jeter dans le tonneau des danaïdes de la finance publique.
08:56Mais c'est votre vision.
08:57On ne va rien faire du tout.
08:58Et entre-temps, qu'est-ce qu'on aura perdu ?
09:00On aura perdu notre attractivité,
09:02qui est un peu le peu de succès que Macron a réussi à avoir.
09:05À quoi ça sert ?
09:06C'est ça que je comprends pas.
09:07C'est votre vision.
09:07Mais malheureusement, à la fois, vous avez du talent.
09:09À la fois, vous êtes représentant d'une vision très libérale,
09:13très pessimiste de notre pays.
09:15Sur la question des augmentations d'impôts, oui.
09:17Et moi, je vous réponds, je ne suis pas comme vous
09:19à mettre des totems ou des tabous sur M. Zuckman,
09:22que je ne connais pas personnellement.
09:24Si on veut qu'un pays fonctionne,
09:25il faut qu'il y ait un minimum de contrat social
09:26et de consentement à l'impôt.
09:28Et le consentement à l'impôt,
09:29quand vous avez l'impression justifié
09:32qu'il y a des gens qui échappent à l'impôt...
09:34Mais ils échappent pas à l'impôt.
09:35Non, ils échappent à l'impôt.
09:37Non, ils optimisent un peu, mais ils en payent quand même beaucoup.
09:40Quand vous avez un taux d'imposition,
09:42alors vous êtes à plusieurs milliards d'euros,
09:44qui en réalité est dans les 10 ou 11 %,
09:46et pour comparer avec des entreprises de taille intermédiaire
09:49qui sont plutôt dans une zone à 30 %...
09:51Il faut corriger sur les entreprises de taille intermédiaire.
09:54Vous avez un problème.
09:54Non, mais il faut corriger sur les entreprises de taille intermédiaire.
09:56Là, c'est pas proposé.
09:58Oui, mais le point, c'est que vous avez toute une série...
10:01Est-ce que c'est la taxe Zuckman ?
10:02La réponse, c'est une réponse.
10:04Elle a le mérite d'exister.
10:05Mais vous avez toute une série,
10:06une batterie d'outils d'optimisation fiscale.
10:10Vous pensez vraiment que le consentement à l'impôt,
10:13il s'érode à cause d'une fiscalité insuffisante sur les riches ?
10:16Comme ça, vous pouvez me répondre.
10:17La Cour des comptes, qui n'est pas précisément un organe Trotskis,
10:20puisque manifestement, vous voyez des Trotskis partout,
10:22va sortir un rapport sur la loi d'Utreil
10:27qui permet les transmissions
10:29et qui va nous expliquer qu'il y a plusieurs milliards d'euros
10:32finalement d'optimisation par ce dispositif d'Utreil.
10:37Eh bien, vous voyez qu'il y a un problème
10:38sur la façon dont on a créé des dispositifs
10:42dont avec un certain d'experts des riches échappent à l'impôt.
10:46Quand vous et moi, on paye l'impôt.
10:50Ils échappent pas à l'impôt.
10:51Mais à la limite qu'on fasse une petite correction à la marge,
10:54si vraiment il y a des abus, etc.
10:56Déjà, j'ai beaucoup gagné, puisque vous êtes prêts aux corrections à la marge.
10:58Non, non, parce que moi, je veux pas être systématique, justement.
11:01Donc pourquoi pas ?
11:02Mais pourquoi est-ce qu'on crée tous ces dispositifs en France ?
11:05On les crée parce qu'on sait qu'on a un taux global
11:07qui est tellement élevé
11:09que si on l'appliquait bêtement, purement et simplement,
11:12ce serait étouffant pour le pays.
11:14C'est ça la réalité.
11:15Et pardon de vous dire, le consentement à l'impôt,
11:17il est pas en train de disparaître
11:18parce qu'il y a quelques milliardaires qui paieraient que 15 au lieu de 20
11:23ou que 20 au lieu de 25.
11:2415 au lieu de 40.
11:25L'étrange marginal haute de l'impôt sur le revenu, c'est pas 15.
11:29Ah, regardez.
11:29C'est pas ça qui fait disparaître le consentement à l'impôt.
11:33C'est, au contraire, le matraquage des classes moyennes
11:36et des classes moyennes supérieures
11:37qui sont complètement écrasés par l'impôt.
11:40Et les salaires qui sont écrasés par les charges.
11:43Et les charges, elles viennent d'où ?
11:44Elles viennent notamment des cotisations retraites.
11:46Donc avec l'abandon de la réforme des retraites
11:48qui élève des socialistes,
11:49il va falloir encore augmenter les charges.
11:51Et donc les salaires vont continuer à être bas.
11:52Finalement, suspension de la réforme des retraites
11:57ou décalage, plus taxe Huckman allégé
12:00et vous tapez dans la main de Sébastien Lecordier.
12:04C'est ce qui va se passer.
12:06C'est ce qui va se passer.
12:06Je pense qu'il faut un budget à la France.
12:09On a posé nos principes.
12:10Un budget de gauche.
12:11On a déjà évolué, je le note au passage,
12:14parce que tout le monde n'est que dans les totems
12:15et on adore les grandes disputes en France,
12:18en assouplissant le dispositif Huckman
12:19qui avait connu finalement des critiques
12:22qui étaient fondées.
12:23Donc vous êtes prêts à...
12:25Mais comme c'est gentil d'avoir...
12:26Donc ça y est, le deal est fait.
12:28Le deal est fait.
12:29Taxe Huckman allégé, suspension de la réforme des retraites.
12:31On se serre la main avec le cornu et on va jusqu'à...
12:33Moi, ça me va très bien.
12:34C'est la négociation pour les nuls.
12:36C'est-à-dire, ils ont proposé la taxe Huckman
12:38qui est un truc délirant,
12:40qu'aucun chef d'entreprise sérieux,
12:42qu'aucun économiste, qu'aucun pays surtout n'a mis en œuvre.
12:46Et ça, moi, quand même, ça m'interpelle.
12:48Il n'y a pas un seul pays au monde
12:50où il existe, c'est de l'aveu de M. Zuckman lui-même,
12:53je l'ai bien écouté,
12:54il n'y a pas un seul pays au monde où ça existe.
12:56Et lui, il vous explique
12:57que c'est parce qu'il est tellement brillant
12:59qu'il innove.
13:00Et donc, vous avez fixé le seuil là.
13:02Finalement, on va toper un peu plus bas.
13:05C'est vraiment la négociation pour les nuls.
13:07Merci.
13:08Je suis désolé, il y a d'autres parlementaires
13:09qui ne font pas leur travail.
13:11Ce n'est pas notre responsabilité.
13:14Merci François Calfon.
13:15Merci Charles Consigny.
13:16Rendez-vous demain à Charles Consigny
13:18à 18h30.
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