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  • il y a 3 jours
Ce vendredi 5 décembre, François Monnier, directeur de la rédaction d'Investir, et Olivier Levy, président de Levy Capital Partners, ont débattu leur point de vue sur le ralenti du marché de l'emploi américain, l'éventuelle nomination de Kevin Hassett à la présidence de la FED, et le portefeuille idéal pour 2026, dans l'émission Good Morning Market sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.

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Transcription
00:00Vous connaissez le rendez-vous, chaque jour deux acteurs de marché se rejoignent et ce matin c'est François Monnier qui nous accompagne, directeur de la rédaction d'Investir en compagnie d'Olivier Lévy, président de Lévy Capital Partner.
00:12Bonjour messieurs, je suis ravie de vous retrouver ce matin.
00:16Intéressant ce qui se passe autour de l'intelligence artificielle, comment ça révolutionne les métiers, puis comment ça révolutionne également un petit peu la bourse avec Nvidia.
00:23Nvidia, on en a longuement parlé, qui a franchi ces derniers mois les 4500 milliards de dollars. Cette nuit, une nouvelle introduction en bourse en Chine, Morse Wades qui a bondi de plus de 400%, c'est le Nvidia chinois.
00:34Alors bon, aujourd'hui, ça ne pèse que 8 milliards de dollars de capitalisation boursière, on aura peut-être l'occasion d'en reparler dans un instant.
00:42Bon, en tout cas, à court terme, ce qui préoccupe les marchés, François Monnier, c'est cette baisse de taux qui est attendue à 90% par le consensus, mercredi prochain par Jerome Powell.
00:50Bon, il faut vraiment qu'il joue le rôle de père Noël, Jerome Powell, mercredi, parce que là, s'il ne délivre pas la baisse de taux, le rallye de fin d'année, il est fini.
00:58Oui, le mois de décembre va se jouer finalement le 10 décembre, et le 10 décembre, on saura de voir confirmation d'une baisse de taux.
01:06Et surtout, est-ce qu'il y aura une baisse de taux d'ici avril 2020, une deuxième baisse de taux d'ici avril 2026 ?
01:13Et c'est surtout la prochaine baisse de taux qui va permettre éventuellement de permettre un beau rallye de fin d'année, sachant que la dernière semaine de décembre, il ne se passe pas grand-chose.
01:22Donc, on va probablement avoir quand même des séances assez sympathiques sur les marchés.
01:27Donc, la première baisse de taux, ça, c'est acquis.
01:30La deuxième baisse de taux d'ici avril 2026, il y a encore un petit peu de suspense, mais c'est ça qui va permettre de donner un petit peu d'élan au marché.
01:38Et puis, bien sûr, on parle beaucoup de la succession du patron de la Fed, avec un homme de Trump qui prendrait la tête et qui mettrait encore en place une politique monétaire encore plus accommodante, plus agressive,
01:54avec davantage de baisse de taux en 2026.
01:56Donc, il y a beaucoup d'attentes et ça, bien sûr, ça peut permettre de redonner de l'élan au marché, sachant que la baisse de taux, ça permet de donner de l'oxygène et des valorisations plus belles, plus sympathiques, plus élevées au secteur de la tech.
02:12Donc, ça peut entraîner le Nasdaq. Le Nasdaq, ça va entraîner le S&P 500 et le S&P 500 va entraîner toutes les places financières, donc à 40.
02:19Donc, c'est ça qui se joue le 10 décembre. Et bien sûr, il y a beaucoup d'attentes. Parfois, il faut faire attention qu'il y a trop d'attentes.
02:26On peut avoir quelques petites déceptions. Mais voilà, en tout cas, c'est l'événement le plus important du mois.
02:32Aujourd'hui, le marché anticipe à 90% cette baisse de taux, Olivier Lévy, mais plusieurs économistes sont plus prudents ces dernières heures.
02:38C'est vrai que la bourse qui est toujours dans l'anticipation aujourd'hui, elle a totalement tricé, comme on dit dans le jargon, cette baisse de mercredi.
02:46Oui, tout à fait. Cette baisse de taux est intégrée. Elle a d'ores et déjà été digérée par le marché.
02:52Je crois que ça ne va pas être le catalyste fondamental. François vient de spécifier. On attend de savoir qui va être le nouveau patron de la Fed.
02:58Nous, ce qu'on regarde, c'est principalement l'emploi, l'emploi américain, puisqu'il est intégré qu'on rentre dans une possible stagflation.
03:11Donc, un écrasement de l'inflation et une croissance très molle.
03:14Donc, dans ce schéma-là, on regarde les taux courts qui vont baisser, mais quid des taux longs qui ne baissent pas ?
03:21Donc, avec des mécanismes en place différents au Japon, différents en France aussi pour leurs raisons spécifiques.
03:29Donc, on est très attentistes. L'année est finie depuis longtemps. La séquence est derrière nous.
03:35La question, c'est est-ce qu'on est en capacité d'avoir un gouvernement encore ces prochains jours, un budget ?
03:40Est-ce que les institutions en France resteront ?
03:43Les Américains vont-ils ou non, là aussi, commencer à découvrir l'IA ?
03:50C'est-à-dire, est-ce qu'on va vraiment avoir des réductions de postes, ici ou là, dans les jeunes générations ?
03:56J'ai écouté, là, avant de venir, le patron de Wefson. Il est plutôt optimiste, mais moi, je pense qu'il faut être raisonnablement lucide aussi.
04:05C'est que cela remplace beaucoup d'assistants, beaucoup de jeunes. Aujourd'hui, il y a.
04:09Donc, quels vont être les gains de productivité à court et moyen long terme ?
04:13Vous, je vous voyez dans votre métier. Aujourd'hui, dans la finance, là, c'est flagrant.
04:15Il y a plusieurs types de finances. Il y a la gestion froide, avec des robots advisors.
04:19Ça, ça a déjà commencé dans toutes les banques. Et vous avez la gestion chaude, où vous avez de l'humain, beaucoup.
04:24Nous, on est très proche de nos clients. On n'a rien d'automatisé, aujourd'hui.
04:29On est plusieurs dans l'équipe à, là aussi, interagir pour le compte de nos clients.
04:33Donc, on croit beaucoup en cette proximité versus, là aussi, où quand vous allez à la banque, c'est parce que vous avez un sujet, aujourd'hui, où vous n'êtes pas content.
04:43Mais vous n'avez plus la proactivité du banquier, du fondé de pouvoir qui vient, sauf quand il part en campagne.
04:50Là aussi, désolé, je n'ai rien contre les banquiers.
04:53Mais bon, très souvent, on m'appelle pour me dire, tiens, j'ai une mutuelle, j'ai un produit structuré, j'ai la formidable SCPI, il faut en y souscrire.
04:59Non, je crois qu'il faut être plus proactif que ça.
05:03C'est que, là aussi, il faut pouvoir digérer les soubresauts de la bourse et les soubresauts de l'actualité de chacun.
05:10Et donc, quand il y a du cash à investir qui reste en déshérence sur les comptes ou quand il y a des nouvelles importantes pour la famille, il faut que le banquier puisse, là aussi, être proactif.
05:23Ce n'est plus le cas.
05:24La semaine prochaine, donc, la fête, ça sera bien sûr un élément à suivre.
05:27Si on met l'IA de côté, la fête de côté, François Monnier, c'est quoi le portefeuille idéal pour 2026 ?
05:33On voit déjà que les habillages de portefeuille ont commencé, là, depuis plusieurs semaines.
05:36Le secteur de la santé retrouve des couleurs, le secteur automobile aussi, certes, il vient de loin, mais quand vous voyez Stellantis, là, qui prend quasiment 20% l'espace d'un mois, c'est quand même assez marquant.
05:45Comment vous anticipez, vous, la 2026 ?
05:47J'ai envie de dire, c'est un peu comme toutes les années.
05:49D'abord, il faut être diversifié, il faut regarder quelles sont les méga-tendances et quelles sont les tendances à court terme.
05:55Sur les méga-tendances, on le voit, on a une énorme visibilité sur les valeurs de défense.
06:00Il y a toujours beaucoup de croissance et de la croissance rentable, même s'il y a peut-être une signature d'un accord de paix à Kiev dans les jours ou les semaines à venir.
06:10Ce secteur-là reste extrêmement porteur.
06:13Et tout à l'heure, vous faisiez référence au succès des valeurs tech américaines.
06:17Il faut voir que dans la défense, on a des parcours aussi beaux qu'aux États-Unis dans la tech.
06:23et parfois même, ils sont encore plus générateurs de bénéfices pour les actionnaires.
06:31Depuis le début de la guerre en Ukraine, Rheinmetall a gagné 1400%.
06:34C'est deux fois la performance de Nvidia aux États-Unis sur la période.
06:40Donc on voit que dans la défense, il y a des gains à générer.
06:45Mais bien sûr, on ne peut pas avoir que de la défense.
06:46Il faut avoir aussi dans l'horizon à court terme, la finance.
06:53La finance, on est dans un environnement extrêmement porteur.
06:57Des taux à court terme qui baissent et des taux à long terme qui restent plutôt élevés.
07:01Donc on a ce qu'on appelle dans le jargon une pontification de la courbe des taux.
07:04Et ça, c'est extrêmement générateur de bénéfices pour les banques.
07:09Les banques empruntent à court terme et vous prêtent à long terme.
07:12Donc il n'y a pas besoin d'avoir une intelligence artificielle ou il n'y a pas besoin d'avoir fait de grandes études
07:17pour comprendre que mécaniquement, votre marge, elle rentre toute seule.
07:20Et ça, c'est un environnement extrêmement propice.
07:22Donc il faut avoir des financières en portefeuille.
07:25Et en plus, c'est intéressant d'avoir des financières parce que c'est des niveaux de valorisation.
07:29C'est ce qu'on appelle un peu de la value.
07:30C'est des niveaux de valorisation extrêmement faibles.
07:32Donc vous avez de la défense avec des PER élevés.
07:35Vous avez des banques avec des PER faibles.
07:38Vous complétez avec de l'assurance.
07:40Oui, on prend aussi de la santé parce que la santé, c'est un secteur qui, depuis 5 ans, sous-performe.
07:46Depuis la sortie du Covid, au moment du Covid et la crise sanitaire, il y avait eu un surstockage.
07:52Maintenant, c'est terminé, il n'y a plus de stock.
07:55Et on repart, on se rééquipe.
07:57Et puis, la volonté de Trump de relocaliser aux États-Unis, ça recrée du business.
08:03On voit du starter just-tell-im qui se réveille.
08:05Donc on voit qu'il se passe beaucoup de choses dans le secteur de la santé.
08:08C'est cyclique. Donc ça, c'est quelque chose d'extrêmement rassurant.
08:12Il faut avoir de l'énergie.
08:13De l'énergie parce que c'est un secteur qui a été un petit peu oublié.
08:16Et on voit qu'on peut en faire de très belles affaires avec du Iberdrola, avec du GTT, avec du TechNip Energy.
08:22Il ne faut pas sous-estimer la consommation d'énergie, des data centers.
08:27Là, ce qui peut freiner l'IA, on dit, est-ce que ça va générer des gains de productivité ?
08:33Le principal frein aujourd'hui à court terme de l'IA, c'est la production d'énergie.
08:37Parce que maintenant, on le voit aux États-Unis, ils construisent des data centers à côté des centrales nucléaires.
08:42Il faut être le plus près possible du fournisseur d'électricité.
08:46Donc là, la demande, elle est extrêmement forte.
08:48Donc il faut être présent, je pense, dans le domaine de l'énergie.
08:51Et puis bien sûr, avoir toujours de l'industrie.
08:52Bon, ça fait quand même une liste assez longue.
08:55Sans des défenses banques, énergie.
08:57Oui, il faut se dire qu'il faut, dans un portefeuille, il ne faut pas dépasser 20% d'allocations à l'égard d'un secteur.
09:06Avoir plus de 20% d'un secteur ou d'une thématique, ça veut dire qu'on n'est pas du tout diversifié.
09:11Donc il faut au moins avoir, je pense, pour bien commencer l'année 2026, avoir une exposition sur cinq thématiques, cinq secteurs.
09:18Vous avez la même liste de courses, Olivier Lévy ?
09:19Ah non, non, nous, on n'a pas autant de courses que cela, parce que là, on a passé en revue tous les secteurs possibles.
09:25Non, je rejoins, on a repassé les mégas tendances.
09:28Il n'a pas encore parlé d'IA et c'est une bonne chose.
09:30Non, moi, ce que j'invite les auditeurs qui nous écoutent, c'est déjà stress testé.
09:34Qu'est-ce qui se passe si les marchés financiers perdent 30% ?
09:37Qu'est-ce qui se passe sur votre portefeuille financier ?
09:39Qu'est-ce que vous avez de liquide et de pas trop liquide ?
09:42Et à l'intérieur du liquide, qu'est-ce qui est vraiment liquide ?
09:45Donc vous avez évidemment, et on continue à chérir une grosse poche obligataire,
09:49notamment d'investment grade, donc de sociétés très bien notées,
09:53Europe surtout, parce que si on va aux Etats-Unis, il faut couvrir le risque de change.
09:59Donc Europe et US, pas trop de high yield, pas trop de sociétés trop endettées,
10:05surtout avec ce qui se passe là dans la dette privée
10:07et dans le distress américain qui va poindre son nez.
10:12Donc voilà, une grosse poche obligataire, une poche toujours stratégique action un peu moins diversifiée,
10:18peut-être plus décorrélée entre mid-cap et big-cap, peut-être pas trop de française,
10:23parce qu'on va attendre un peu de savoir à quelle sauce on sera mangé.
10:27Donc on est très friande de sociétés actions internationales.
10:30Et évidemment, une poche anormale de cash qui est très très bien rémunérée.
10:34Aujourd'hui, on a presque 20% de cash dans les portefeuilles.
10:39Du cash, ça peut être du triple A, du bond, ça peut être du monétaire en euros, en dollars.
10:45Donc on est rémunérés pour attendre, attendre que possiblement cela se dégonfle,
10:50parce qu'il y a tellement de signaux faibles dans le marché
10:52qui nous laissent entendre que le risque n'est pas forcément bien pricé.
10:56La guerre, une fois on en est, une fois on est proche de la paix,
10:59une fois la guerre tarifaire est finie, une fois au final, on négocie.
11:02Non, je pense que sincèrement, il faut raison garder.
11:04Les valorisations ne sont pas bon marché actuellement.
11:08Donc on va attendre que cela se dégonfle un peu
11:10pour remettre du risque dans les portefeuilles.
11:12Sur l'aspect sectoriel, oui, je rejoins François.
11:16La défense, l'énergie, la santé, beaucoup,
11:21parce que c'est un secteur qui a été très vite oublié, trop vite oublié,
11:24et qui va bénéficier des bienfaits de l'IA.
11:28La recherche.
11:28Sans faire de publicité pour Apple, c'est révolutionnaire.
11:32Vous avez toute la data qui tourne autour de tous ces grands architectes,
11:39Meta, Alphabet, Enco, qui vont là aussi aider dans la découverte de nouveaux médicaments.
11:47Et bon, on a oublié le Covid, mais c'était il y a quelques années.
11:51Donc voilà, je pense que les pandémies ne sont pas finies.
11:55J'espère qu'elles ne reviendront pas, mais il faut s'y armer.
11:57Et les sociétés ne sont pas chères.
11:59Quand je regarde des dossiers comme Novartis, Sanofi,
12:01elles restent encore bon marché.
12:03Après, c'est toujours pareil dans la médecine.
12:04Il faut des blockbusters.
12:06C'est comme un bon film.
12:07Il faut sortir le hit pour pouvoir avoir le bon retour sur investissement.
12:12Et je crois que dans la restructuration en cours de ces sociétés,
12:16il y a des hits à avoir en portefeuille.
12:19Et vous ne jouez pas typiquement du Meta qui est en train aujourd'hui
12:22de raconter une nouvelle histoire, de mettre fin au métaverse,
12:25de se restructurer, les mégatech américaines, plutôt à l'écart ?
12:30Plutôt à l'écart.
12:30On en a toujours, mais on a réduit la voilure de moitié.
12:33Parce qu'en bonne gestion, quand vous faites 30 ou 50 % sur l'année sur ces dossiers,
12:39on nous en voudrait de ne pas avoir pris nos gains.
12:41Vous avez raison, Meta annonce là aussi
12:44qu'elle coupe un centre de coût.
12:47Elle n'annonce pas une autre meilleure nouvelle que cela, à court terme.
12:51Quand bien même, la société reste suffisamment bien valorisée
12:54à 33 fois les résultats.
12:56Beaucoup de doutes sur l'intelligence artificielle.
12:58Le mot de la fin, François Meunier ?
12:59Je pense qu'il faut quand même garder des billes dans l'intelligence artificielle.
13:03Je pense qu'il faut, dans un portefeuille pour 2026,
13:06avoir entre 5 et 7 % d'exposition à la tech américaine.
13:11Dire qu'il y aura un crack demain.
13:13Moi, d'abord, je ne vois pas arriver le crack de 30 % dont on parle.
13:17Je n'ai pas dit qu'il y a un crack, j'ai dit qu'il faut simuler les portefeuilles de nos clients.
13:21Parce qu'en bonne gestion, on peut s'attendre à des soubresauts et de la volatilité.
13:25Chaque année, on peut se dire qu'on va vers une catastrophe,
13:28il y aura peut-être une prochaine crise sanitaire, etc.
13:29Mais on n'en est pas là.
13:30Le scénario le plus probable, c'est qu'on continue d'avoir des entreprises extrêmement bien gérées,
13:34qui continuent d'innover.
13:36Les investissements, même dans le domaine de l'IA, ça va continuer.
13:38BlackRock estime qu'on n'a investi qu'un tiers aujourd'hui.
13:42Il y a à peu près 1 000 milliards qui ont été mis sur la table ou en projet.
13:45Et qu'on aura d'ici 2030, 3 000 milliards de déployés pour les équipements d'infrastructures.
13:51Et ça, bien sûr, ça soutient l'économie américaine.
13:53C'est un véritable relais de croissance.
13:55Donc, il se passe plein de choses.
13:56On va y avoir des innovations, bien sûr, aussi dans le secteur de la santé.
13:59Donc, le pire n'est pas sûr.
14:03Et donc, je suis un peu plus optimiste qu'Olivier.
14:05Alors, nous, on reste très serein.
14:06C'était une simulation pour justement savoir qu'est-ce qu'on a de liquide et de moins liquide en portefeuille.
14:12Je pense que c'est quand même un exercice qu'on doit faire
14:14quand on a pris effectivement des plus-values qui sont très significatives cette année.
14:19Car la bourse, c'est encore et toujours de l'anticipation.
14:22Tout à fait.
14:23Merci.
14:23On est pris par le temps.
14:24Merci beaucoup de nous avoir accompagnés tous les deux.
14:26Olivier Lévy, président de Lévy Capital Partner,
14:28et François Monnier, directeur de la rédaction d'Investir.
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