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  • il y a 2 mois
Vendredi 29 août 2025, retrouvez Bruno Panhard (associé fondateur, Adaliance) et Peggy Duclos (déléguée du directeur général de Médicis, Groupe Malakoff Humanis) dans SMART JOB, une émission présentée par Arnaud Ardoin.

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Transcription
00:00Retrouvez Bsmart sur l'AREF avec Equilibre, partenaire des entreprises engagées pour concilier performance et santé au travail.
00:16Bonjour à tous, ravie de vous retrouver sur SmartJob, émission spéciale ici au stade de Roland-Garros pour l'AREF CRU 2025.
00:23On va parler emploi, on va parler travail, on va parler IA.
00:26Tout de suite le sommaire, dans bien dans son job aujourd'hui, on va parler des usages de l'IA en entreprise.
00:33C'est un usage à double tranchant et on va en parler dans quelques instants avec Bruno Panhard, associé fondateur d'Adliance.
00:39On fera le point avec lui, c'est un expert de ces sujets IA.
00:42Et puis dans le cercle RH, former tous les collaborateurs à l'IA avec l'enjeu RH.
00:47Oui, l'IA et les RH, je ne sais pas s'ils font toujours bon ménage.
00:51On en parlera avec Peggy Duclos, délégué du directeur général de Médicis, qui est le groupe Malakoff et Manis.
00:56Et puis Bruno Panhard sera avec nous encore, associé fondateur d'Adliance, pour nous éclairer et peut-être nous convaincre aussi à sa manière de l'importance de l'IA, de l'implémenter.
01:06Voilà le programme.
01:07Et bien tout de suite, c'est bien dans son job.
01:08Bien dans son job pour parler de l'IA.
01:22Alors c'est un sujet qui est sur toutes les lèvres ici dans les allées du stade Roland-Garros pour cette rêve 2025,
01:27parce que beaucoup de chefs d'entreprise s'interrogent sur son utilisation, sur son coût aussi,
01:32et puis sur la manière d'implémenter cette technologie absolument incroyable à leurs collaborateurs.
01:37On en parle avec vous Bruno Panhard, bonjour.
01:39Bonjour Arnaud.
01:40Ravi de vous accueillir, vous êtes associé fondateur d'Adliance.
01:43Exactement.
01:44Quelques mots d'abord sur votre structure et sur l'esprit lorsque vous avez créé cette entreprise.
01:49C'était quoi ? C'était d'éclairer, de former sur tous les enjeux technologiques, dont l'IA.
01:53Exactement.
01:54Écoutez, merci Arnaud de m'accueillir aujourd'hui.
01:56Effectivement, quand j'ai créé Adliance il y a 13 ans, notre objectif c'était vraiment d'intervenir sur deux axes essentiels aujourd'hui,
02:04tout ce qui concerne la transformation digitale avec l'IA évidemment,
02:06et tout ce qui concerne l'accompagnement humain de ces transformations,
02:09l'idée c'est de donner du sens aux transformations.
02:12Et donc aujourd'hui c'est vrai que le sujet de l'IA, c'est le sujet qui nous occupe,
02:15c'est un sujet passionnant et ce qu'on va voir c'est qu'effectivement ce qui est indispensable
02:20pour que cela fonctionne dans les entreprises c'est de former notamment les collaborateurs.
02:23D'abord sur l'usage de l'IA, vous qui avez contact j'imagine avec les RH ou les responsables formation,
02:31est-ce que vous sentez des freins ou est-ce que vous sentez que plus les mois passent,
02:34parce qu'on peut parler en mois, plus il y a une forme d'appétence et de désir de comprendre ?
02:38Alors en fait vous avez raison et je pense qu'il y a encore aujourd'hui peut-être un manque de compréhension.
02:45J'observe là par exemple, j'ai échangé avec une DRH hier et qui évoquait que son comex n'avait pas encore compris
02:52de quelle façon ils allaient prendre l'IA en fait.
02:54Et je pense que ça c'est encore le cas dans pas mal d'entreprises
02:57et moi ma conviction c'est qu'il est urgent entre guillemets d'aller vite
03:03parce que le danger c'est que sinon vos concurrents vont le faire à votre place.
03:07Vous avez vu une petite parenthèse, mais j'ai vu qu'Elisabeth Borne, la ministre de l'éducation nationale
03:11souhaitait introduire l'IA à l'école dès le plus jeune âge.
03:15Ça a dû vous donner le sourire parce que c'est aussi ça l'objectif,
03:17c'est d'acclimater, d'appréhender cette technologie le plus tôt possible.
03:21Bien sûr, je pense que ça serait très important.
03:23D'ailleurs on a vu qu'en Chine aujourd'hui, l'objectif de l'éducation nationale en Chine
03:28c'est de former tous les enfants dès le plus jeune âge
03:29et ça c'est un « raz-de-marée » et donc quelque part on aurait bien raison de s'en inquiéter en France.
03:38Un petit mot sur à la fois l'usage et la manière dont vous imaginez les formations
03:42parce que c'est un sujet qui peut être, on y rentre par mille portes.
03:46Bien sûr.
03:47Comment vous faites ? C'est des programmes évolutifs ? C'est un tronc commun ? Comment on fait ?
03:51Alors, en fait, nous, nous avons plusieurs approches chez Adaiance.
03:58On peut aussi bien faire des conférences, du e-learning, mais ce qui nous est le plus demandé par nos clients
04:02c'est de former d'abord des groupes d'experts ou le comité de direction et de poser le débat,
04:07c'est-à-dire de dire quel est le potentiel, quels sont les dangers, quels sont les risques
04:10et ensuite de très rapidement travailler les cas d'usage, donc par exemple dans le marketing, le commercial, la finance
04:15et ensuite d'aller former leurs équipes sur ces sujets.
04:18Par bon au point, il y a l'enjeu de ce qu'on appelle les « use case ».
04:21Exactement.
04:22On fait des « use case », on teste.
04:24Exactement.
04:25Et puis, vous en êtes où dans le processus ? Vous accompagnez les « use case » ou vous arrivez après quand les gens se sont dit
04:30« Ah bah oui, c'est utile d'avoir de l'IA ».
04:31Alors nous, chez Adaiance, on est à la fois un cabinet de conseil et un cabinet de formation,
04:35donc on a la capacité à aider, à bâtir, à réfléchir sur les concepts organisationnels et à former
04:42et c'est totalement passionnant.
04:44Moi, j'ai moi-même assisté à des formations qu'on a dispensées chez des clients,
04:47c'était bluffant de voir l'effet « waouh » dans les équipes, vraiment.
04:51Un mot quand même avant de basculer vers notre débat, mais les « use case »,
04:56beaucoup de grandes entreprises, je parle de grands comptes, je ne parle pas d'ETI ou de PME,
05:01disent « Nous, on est prêts à y aller, mais ça coûte cher et on ne voit pas encore le ROI ».
05:05Qu'est-ce que vous leur dites ?
05:06Alors moi, merci Arnaud pour cette question, parce que chez Adaiance, justement,
05:10on a des outils qui permettent de mesurer ce ROI et on peut mesurer le ROI de nos formations notamment.
05:17C'est-à-dire qu'on peut mesurer le niveau de chaque participant avant et après sur ces sujets-là notamment.
05:23En l'occurrence, le ROI de l'IA aussi, pour moi, c'est une évidence,
05:26c'est que c'est un énorme danger de ne pas y aller, parce qu'en fait, sinon, le danger, c'est que vos concurrents y aillent.
05:31Donc vous rassurez votre client en disant « D'abord, je ne suis pas en mesure de vous dire si objectivement, il y aura un ROI ».
05:36Est-ce qu'il faut être honnête sur ce sujet ? On ne sait pas.
05:39Vous voulez dire sur l'implémentation de l'IA ?
05:41Par exemple, on a accompagné un cabinet de conseils financiers.
05:46Avant qu'on ait commencé à intervenir, ils avaient déjà commencé, ça avait augmenté leur activité de 20%.
05:51Quand on est intervenu, je pense qu'on est allé beaucoup plus loin.
05:56Et j'ai eu des retours des dirigeants qui étaient dits tirambiques.
06:00Un mot avant de basculer vers notre débat.
06:05L'enjeu quand même pour vous qui faites du conseil et de la formation, c'est la qualité de la formation.
06:09J'imagine votre exigence chez Adalian sur ce sujet.
06:13C'est notre obsession parce que depuis le début, nous avons toutes les normes de qualité.
06:16Maintenant, nous sommes Kelliopi qui est la norme de qualité en formation.
06:19Nous avons des outils qui permettent de mesurer cette qualité.
06:22Et c'est notre obsession vraiment de la satisfaction.
06:25Et pour y arriver, c'est le travail de préparation en amont.
06:28C'est nos outils et c'est aussi le recrutement de nos formateurs qui sont des intervenants passionnés.
06:34On a cette passion de la formation.
06:36Avant de nous quitter, Bruno Panhard et de basculer vers le cercle RH,
06:41c'est un peu le sujet, la question pour la gratter, pour ne pas dire presque tarte à la crème.
06:47IA va supprimer les emplois ou vont venir les augmenter ?
06:51C'est vrai que c'est un sujet qui génère des peurs et des angoisses.
06:55Je pense qu'il faut se dire que l'IA va permettre de gagner du temps sur certaines tâches.
07:02Mais d'en gagner pour, par exemple, aller sur des tâches plus créatives.
07:06Avoir une meilleure relation avec ses clients.
07:09Avoir mieux travailler en interne.
07:11Avoir plus de temps pour juste passer du temps avec ses clients.
07:14Plutôt que sur des tâches administratives.
07:16Donc en fait, est-ce que ce n'est pas intéressant ?
07:17Oui, c'est vrai pour les fonctions que vous évoquiez tout à l'heure.
07:20La finance, la comptabilité, les avocats.
07:22Pas de fonctions.
07:23Nous, on a en interne des gens qui travaillent sur l'administratif.
07:26Mais ils seraient ravis d'avoir plus de temps aussi pour parler avec le client.
07:28Je pense aussi.
07:29Merci d'être venu nous rendre visite.
07:32Tout de suite, c'est le cercle RH, le débat de SmartJob.
07:35Justement, on va rester sur ce thème.
07:38L'IA et les RH, est-ce qu'ils font bon ménage ?
07:41Est-ce qu'aujourd'hui, il n'y a pas un peu de retard à l'allumage sur ces sujets ?
07:44On va en parler avec mes invités.
07:46C'est le cercle RH, le débat de SmartJob.
07:48Le cercle RH, le débat de SmartJob, pour prolonger cette réflexion.
08:05D'ailleurs, qu'ont tous les chefs d'entreprise, les dirigeants qui sont ici dans les allées de Roland-Garros,
08:09qui sont très nombreux, à se poser la question de la place de l'IA,
08:13la manière d'accompagner les collaborateurs pour se former à l'IA.
08:16Et puis, le coût de l'IA aussi, parce que l'IA a un coût, et on va en parler avec mes invités.
08:22Peggy Duclos est avec nous. Bonjour Peggy.
08:24Bonjour.
08:24Très heureux de vous accueillir.
08:25Déléguée du directeur général de Médicis, qui appartient au groupe Malakoff Humanis.
08:31Merci d'avoir répondu à notre invitation.
08:32Et puis, Bruno Poir, prolonge et fait des prolongations dans le cercle RH,
08:37associé fondateur d'AdAlliance, 400 formateurs, 400 experts, dans une entreprise créée il y a 17 ans, c'est ça ?
08:44Il y a 13 ans, exactement.
08:45On parlera avec vous, évidemment, de l'accompagnement des collaborateurs dans les entreprises.
08:50Peggy, un petit mot sur Médicis et sur la raison de votre présence aux côtés de Bruno Poir.
08:55Alors, Médicis, c'est d'abord la retraite des indépendants.
08:59On accompagne les indépendants à se construire une retraite.
09:03Et on existe depuis plus de 45 ans et on représente à peu près 150 000 adhérents.
09:07Et je travaille avec Bruno d'AdAlliance depuis plus d'une dizaine d'années sur tous nos parcours de formation.
09:14Alors, justement, ce qui va introduire notre débat, à quel moment vous, votre directeur général, votre COMEX, décide, prenne conscience de l'importance de former vos collaborateurs ?
09:24Je crois que ça fait partie de l'ADN de l'entreprise d'accompagner, de les former pour développer l'entreprise sur les compétences de manière à ce qu'ils restent employables chez nous,
09:38mais également à l'extérieur et que l'entreprise reste compétitive, mais eux aussi qu'ils soient compétitifs, que nous, soient compétitifs sur notre marché,
09:45mais qu'eux, ils soient également compétitifs sur le marché du travail.
09:47Et vous avez répondu, Bruno, chez AdAlliance à la demande.
09:50Bien sûr, avec plaisir.
09:51Avec des collaborateurs qui étaient ouverts, étaient curieux, parce qu'en fait, il y a tout un niveau d'expérience.
09:58Certains n'ont jamais ouvert ChapGPT, d'autres l'utilisent quotidiennement.
10:03Comment on fait là ?
10:04Bien sûr. Nous, chez AdAlliance, l'idée, c'est qu'on s'adapte en permanence aux participants qui fréquentent nos formations.
10:12Donc, on a des outils qui permettent de recueillir les besoins, les attentes des participants en amont.
10:16On va faire des sondages, des tests de positionnement.
10:20Et quel que soit le niveau, finalement, on va s'adapter.
10:22Nos formateurs sont des vrais experts de ce sujet.
10:24Et l'idée, c'est vraiment de répondre de façon sur mesure.
10:29Je vais être abrupt.
10:30Vous dites à vos collaborateurs, on se met à la page.
10:33Ça vient d'en haut et on va se former.
10:36Ou ça vient aussi d'en bas, où ils vous disent, nous, on aimerait aussi découvrir, s'acclimater.
10:41Comment ça s'est passé ?
10:43Alors, chez nous, c'est venu...
10:46J'ai organisé une petite conférence sur l'IA.
10:50Et à la sortie de cette conférence, certains sont venus me dire qu'en fait, l'IA, c'était bien.
10:56Mais ils ne voyaient pas l'intérêt au niveau de leur métier.
11:00Et donc, j'ai pris conscience qu'il était important que je les accompagne.
11:03Qu'en fait, l'IA, ce n'était pas simplement un effet de mode, mais plutôt une lame de fond.
11:08Et qu'il fallait absolument qu'ils comprennent l'importance d'embarquer l'IA dans leur métier pour leur employabilité, notamment, mais également pour leur avenir professionnel.
11:17Je vais être un peu concret, parce que c'est des métiers à la fois du chiffre, du classement, du commercial.
11:21On l'implémente comment, l'IA, chez vous ?
11:26Alors, pour moi, il y a deux IA.
11:28Il y a l'IA qui est utilisé de manière quotidienne, de façon au niveau de la bureautique, un peu comme une super secrétaire qu'on a à ses côtés au quotidien.
11:37Un troisième, quatrième cerveau.
11:38Voilà.
11:39Et il y a l'IA qu'on va développer autour d'outils, de progiciels et qui, là, demandent des investissements un peu plus lourds.
11:45Et là, c'est la deuxième partie de l'IA.
11:48Mais la toute première, elle est à la portée de tout le monde.
11:50La première, par contre, il faut faire attention, c'est que les entreprises aient une IA sécurisée.
11:56Et il faut d'abord former nos collaborateurs à la sécurisation des données et notamment leur expliquer que peut-être certains utilisent des IA publiques, gratuites, comme on connaît.
12:05Attention, danger.
12:06Attention, danger. On ne met pas les données d'entreprise dans les IA publiques.
12:10Alors ça, ça revient chez vous, parce que la mission de vos formateurs, ils sont 400 experts, c'est justement de faire de la pédagogie d'abord, d'expliquer.
12:17C'est la base.
12:18Bien sûr. Mais effectivement, pour lutter contre ces biais ou ces dangers, dans nos formations, on va notamment mettre en avant certains outils.
12:24Par exemple, il y a un outil très intéressant qui s'appelle Notebook LM qui permet d'éviter ces biais.
12:31Par exemple, on va charger dans cet outil, si on a par exemple une mission autour du droit du travail, on va charger par exemple le DALOZ, le droit du travail,
12:38à condition évidemment d'avoir la licence, les droits d'exploitation. On va charger également des comptes rendus de réunion, on va charger des documents relatifs à cette mission.
12:47Et l'intérêt de cet outil, c'est qu'il n'est pas connecté à Internet et donc il ne va pas, entre guillemets, présenter des biais ou des hallucinations, entre guillemets.
12:56Il n'y a pas de porosité.
12:57Pas exactement.
12:58Comment les choses se vivent aujourd'hui ? Parce que vous avez bien dit les choses clairement.
13:02Il y a le niveau pédagogique d'accès à l'IA, de compréhension, d'outils et de sécurité.
13:09Puis un deuxième volet, plus stratégique, qui est de dire à quel endroit dans la structure on va implémenter des outils.
13:15Vous en êtes où là ?
13:16Alors, on n'en est pas encore à ce stade-là. On est toujours sur le premier stade à culturer, on va dire, nos collaborateurs à l'IA.
13:25Donc là, on a eu une première réunion où on a réuni toute la communauté des managers début juillet, de manière à démystifier un petit peu l'IA.
13:33Pour ceux qui se disaient, l'IA, ce n'est pas pour moi ou l'IA, c'est peut-être pour la jeune génération.
13:37Et leur expliquer que non, c'était important qu'ils s'en prennent du sujet et qu'ils l'utilisent.
13:42Et la deuxième partie, on va organiser des formations métiers, parce qu'en effet, en fonction qu'on est RH, qu'on est juriste,
13:49on ne va pas utiliser l'IA public de la même façon et ça ne va pas nous apporter les mêmes apports.
13:54Donc c'est vraiment ciblé sur des formations métiers, de manière à ce qu'ils comprennent que l'IA, c'est vraiment un vrai plus
13:59et que demain, tout le monde travaillera avec l'IA, même sans s'en rendre compte en fait.
14:04Mais Bruno Parra, on voit quand même que ce sujet de l'IA, par lequel on peut entrer par plusieurs portes,
14:09est un peu une fusée à plusieurs étages.
14:11D'abord, on forme, on éduque, puis ensuite, il faut faire des choix stratégiques d'investissement.
14:16Là, vous êtes prêts, excusez-moi de vous faire la vente, mais vous êtes prêts à répondre au deuxième niveau de la fusée Médicis ?
14:21Bien sûr, en fait, nous aujourd'hui, ce qui nous est beaucoup demandé, c'est d'abord de former des groupes d'experts.
14:26Ça peut être des groupes d'experts ou le comité de direction.
14:29Et donc, il y a une dimension de conseil à ce niveau-là, où on va, entre guillemets, poser le débat,
14:33voir quels sont les dangers, les risques, mais aussi le potentiel.
14:36On va ensuite voir pour chaque département, le commercial, la finance, le marketing, par exemple, quels sont les cas d'usage.
14:42Et ensuite, on va le déployer dans ces équipes.
14:45Et là, ce qui est intéressant, pour le coup, c'est de travailler leurs cas d'usage de chacun de ces départements.
14:49Et ensuite, potentiellement, c'est même d'aller jusqu'à la...
14:53L'objectif, c'est qu'avant la fin de la formation, chaque équipe ait ses promptes,
14:57mais aussi ses GPT, ses assistants GPT ou ses GEMS, selon l'outil que l'on utilise,
15:03et qu'à la fin de la formation, les formations, les équipes soient opérationnelles
15:08et déjà leurs outils qu'ils puissent utiliser dans leur quotidien.
15:11Ça, c'est beaucoup plus impactant.
15:12Mais j'ai entendu le mot employabilité que Peggy a jeté sur la table.
15:17L'employabilité, ça renvoie évidemment à une espèce d'angoisse existentielle,
15:20de l'IA est en train de balayer un certain nombre de secteurs, dont le journalisme.
15:25Un jour, je vais être remplacé par un hologramme, meilleur que moi encore,
15:29et certains métiers de la finance, des avocats.
15:33Qu'est-ce que vous en pensez ? Parce que vous êtes dans ces métiers-là, dans ces secteurs-là aussi.
15:36Alors, moi, là-dessus, il y a quelques années, j'ai entendu dire que les métiers de la comptabilité
15:41n'allaient plus exister avec l'IA.
15:43Aujourd'hui, j'entends plus le juridique.
15:46En fait, moi, ce que j'ai dit à mes collaborateurs, j'en sais rien.
15:49Ça va tellement vite, on ne peut pas savoir.
15:53Par contre, il y a une chose dont je suis certaine, c'est que si on n'y va pas,
15:56on risque de perdre son emploi à un moment ou à un autre.
15:59Et c'est un peu comme ne pas aller sur l'informatique il y a 40 ans.
16:03Aujourd'hui, on n'imagine même pas, il y a peut-être des gens il y a 40 ans
16:07qui se sont dit, moi, je préfère rester sur le papier, je ne vais pas utiliser l'informatique.
16:11Ça se donnerait quoi aujourd'hui ?
16:12On s'en souvient.
16:13Voilà. Donc, je pense qu'on ne va pas avoir le choix.
16:16Après, il y a des métiers qui ont disparu, comme les secrétaires.
16:19Tous les directeurs, avant, avaient des secrétaires.
16:22Ils n'existent plus.
16:23Voilà, ils ont un smartphone, ils ont le mail.
16:25Mais pour autant, ces métiers-là, ils ont évolué sur d'autres missions.
16:30Ils sont devenus chargés, ils sont devenus responsables pour certaines.
16:32Donc, voilà, c'est pas...
16:33Moi, aujourd'hui, je n'ai pas de certitude sur la...
16:36Et on ne sait pas encore quel métier va être touché.
16:38Il y en aura sûrement un peu moins sur certaines fonctions.
16:41Peut-être un peu moins de juriste, un peu moins de comptable.
16:43Mais en tout cas, il faut y aller.
16:44Un peu moins, mais mieux de comptable.
16:45Mais mieux de comptable, peut-être.
16:46Voilà, Bruno Poirier, je voulais réagir et puis a fait de l'impatience.
16:50Vous êtes d'accord avec ça ? On n'a pas le choix ?
16:52En fait, Luc Ferry, l'ancien ministre de l'Éducation, a écrit un excellent livre sur ce sujet.
16:57Et en gros, il présente une alternative aujourd'hui qui nous est offerte.
17:01Soit d'un côté, le grand remplacement.
17:03Soit de l'autre côté, la complémentarité.
17:05Et c'est vrai qu'aujourd'hui, il le reconnaît.
17:08On n'a pas la réponse.
17:09On ne sait pas de quel côté on va aller.
17:10On va aller.
17:11Après, lui, son cœur va plutôt du côté de la complémentarité.
17:14Le mien aussi.
17:15Et je pense que là, finalement, notre seule alternative, c'est de faire face, entre guillemets, et d'essayer d'aller dans le bon sens, en fait.
17:25Pour moi, l'IA, c'est comme un outil de productivité, comme Word, Excel et PowerPoint.
17:29Il faut qu'on s'en saisisse.
17:31C'est vrai que ça peut faire peur à certains.
17:32Mais si on ne va pas de l'avant sur ces sujets, si on ne forme pas ses collaborateurs, pour les dirigeants notamment, ce seront les concurrents qui le feront.
17:41Et voilà, ça sera un...
17:43Un mot sur les RH, parce qu'on est une émission emploi RH.
17:46Bien sûr.
17:46On parle beaucoup d'emploi, on parle d'employabilité.
17:48Parlons des RH un instant.
17:50Là aussi, j'imagine, votre service RH, la structure est petite, mais elle vous dit, écoute, moi, je me débrouille très bien avec mon recrutement.
17:56J'ai les CV par mail, et on sait que l'IA peut accélérer, peut affiner même les recherches.
18:03Est-ce que votre RH s'y est mise ? Est-ce qu'elle est tournée vers le sujet ?
18:06Ou est-ce que vous sentez quand même des petites réticences sur l'IA ?
18:11Non, je sens des petites réticences.
18:13C'est ça.
18:13Oui.
18:14C'est ça.
18:14Et le milieu RH, d'une manière générale, est un peu freiné, freine un peu.
18:20Oui.
18:20Oui, mais je pense effectivement que c'est un sujet qui génère des peurs.
18:25Oui.
18:26Et en fait, moi, je pense que le rôle d'un dirigeant, c'est vraiment de faire face à ces peurs
18:31et d'aller au devant de ses équipes et de prendre ce sujet à bras-le-corps et de montrer, d'expliquer ce que c'est
18:37et à quel point c'est aussi une opportunité.
18:39Mais en tout cas, c'est indéniable que c'est un sujet qui fait peur.
18:43Et c'est indéniable aussi que ça représente un danger pour certains métiers.
18:46Toutes les révolutions ont été...
18:48On crée des ruptures.
18:49En même temps, l'IA, ça permet aussi de donner du sens, de donner de la valeur au métier,
18:54puisque l'IA permet de soulager des tâches qui sont chronophables, rébarbatives et qui ne sont pas forcément intéressantes.
19:02Et du coup, ça permet aux collaborateurs de se concentrer sur des tâches à plus grande valeur ajoutée
19:06et donc qui ont plus de sens et qui ont plus d'intérêt pour lui, qui sont plus intéressantes également pour l'entreprise.
19:10Donc c'est vraiment comme une machine qui vient aider là où finalement on a peu de valeur ajoutée
19:15et où en effet les tâches ou les missions ne sont pas forcément très intéressantes.
19:19Oui, je pense effectivement, ce qu'on peut dire, c'est que l'IA va transformer le travail.
19:25Elle ne va pas le remplacer.
19:26Et donc ce qui est indispensable, c'est que pour s'adapter, il faut se former.
19:30Et voilà, c'est une nécessité.
19:33Je ne voulais pas vous embarrasser tout à l'heure en vous posant la question sur l'ARH,
19:36mais les RH en général, au-delà de Médicis, pour ne m'embarrasser personne,
19:40on sent quand même un frein, acceptation éventuellement de préqualification, mais on s'arrête là.
19:48Oui, parce que je pense que dans le mot RH, il y a le mot humain.
19:50Et on a peur que justement on perde ce côté humain au travers de ces IA.
19:56Pour moi, l'humain vient toujours valider l'IA.
20:02L'IA, c'est une aide, mais ce n'est pas lui qui vient décider au final.
20:07Il y a un moment, il y a toujours une intervention humaine et c'est lui qui veut dire
20:09oui, je choisis de le suivre ou non, j'ai mon propre avis.
20:13Et je ne suis pas d'accord avec ce que l'IA me dit sur ce sujet-là.
20:16Et malgré ça, on a son livre arbitre et aucun IA ne viendra nous imposer quoi que ce soit.
20:20Mais vous avez senti quand même, et je donne la parole à Bruno Poir,
20:23mais vous avez senti qu'après les formations Ad Alliance, le temps que les choses,
20:27un petit peu de la poussière redescendent, qu'on s'imbibe un peu,
20:30est-ce que vous sentez un changement chez les collaborateurs, une transformation ?
20:35Si vous dites non, on est embêté, il va devoir revivre, vous formez.
20:37Si, bien évidemment.
20:40On sent que les choses évoluent au niveau de l'utilisation de l'IA de manière quotidienne
20:46parce que ça fait quand même gagner un temps fou.
20:48Et puis aujourd'hui, on a pas mal d'outils qui nous permettent de gagner du temps.
20:52Donc c'est dommage de ne pas s'en approprier.
20:54Le temps manque toujours en entreprise.
20:56Donc c'est vrai que l'IA permet de nous simplifier quand même certaines missions
21:01et d'aller beaucoup plus vite.
21:02Bruno Poir, on parle beaucoup en formation de piqûres de rappel.
21:06Là, vous avez eu un premier contact ou quelques contacts avec les collaborateurs.
21:11Est-ce qu'il faut régulièrement revenir ?
21:13Est-ce qu'il faut faire progresser au niveau de la formation ?
21:16Comment vous envisagez, je dirais, l'enjeu pédagogique ?
21:18Nous, la façon dont on voit la formation, effectivement, c'est d'une façon itérative.
21:23C'est comme ça qu'on fonctionne depuis l'enfance.
21:25C'est vraiment par des piqûres de rappel, comme vous le dites très justement.
21:28Et donc, c'est comme ça qu'on fonctionne d'ailleurs parce qu'on fait des ateliers de travail finalement
21:31qui permettent d'aller plus loin.
21:33Et finalement, il y a des ateliers de travail très opérationnels.
21:35L'idée, c'est vraiment d'être efficace, d'être concret.
21:38On ouvre l'ordi.
21:38Voilà, on ouvre l'ordi.
21:40Et puis même, carrément, on fabrique les outils ensemble en fait.
21:43Et à la fin, ils sont opérationnels.
21:45Ils peuvent rester dans les équipes.
21:47Et c'est ça qui est intéressant en fait.
21:49Vous aussi, vous êtes une entreprise.
21:51Vous l'utilisez, l'IA ?
21:52Bien sûr.
21:53Moi, je l'utilise maintenant, tous les jours, abondamment.
21:56Et je suis émerveillé en fait par ce que ça apporte.
22:00Et je pense vraiment que la formation apporte un changement indéniable.
22:04Parce qu'on a tous fait des promptes pour s'amuser au début.
22:07Mais comprendre comment ça fonctionne, comment on paramètre l'outil, comment on l'utilise de façon professionnelle, ça fait une différence considérable.
22:13Ça démitifie en fait.
22:15Ça fait tomber les peurs.
22:16Ça fait tomber les murs.
22:17Oui, mais c'est surtout qu'on comprend le potentiel et qu'on voit ce qu'on peut en tirer.
22:20Moi, j'ai vu les dirigeants pendant les formations qui étaient enthousiastes encore une fois.
22:25Parce qu'ils voient ce que ça va changer dans leur entreprise.
22:29Ce qu'ils vont pouvoir en tirer comme un bénéfice.
22:30Mais aussi les employés, les collaborateurs.
22:32Et je pense que c'est aussi intéressant pour les employés, les collaborateurs que pour les dirigeants, pour leur employabilité et pour la compétitivité des entreprises.
22:41Juste un mot, parce qu'il nous reste quelques minutes.
22:44La formation, la pédagogie.
22:46Est-ce que dans ce travail pédagogique, il y a aussi les enjeux de souveraineté ?
22:49Le grand débat de nos datas.
22:51Les outils qui appartiennent plutôt à des Américains.
22:55Toutes ces questions restent quand même posées.
22:57Aujourd'hui, on est à l'université d'été du MEDEF.
22:59Il y a la French Tech qui n'est pas très loin.
23:01Et je sais qu'il y a aujourd'hui des acteurs brillants, français et européens, qui essaient de se battre pour développer une souveraineté.
23:07Je pense que c'est essentiel.
23:08C'est essentiel pour notre avenir.
23:10Il y a déjà des solutions d'IA françaises ou européennes.
23:14Pas encore assez puissantes.
23:15Mais c'est sûr qu'il faut qu'on aille beaucoup plus loin.
23:17Et qu'on soit solidaires.
23:19C'est sûr.
23:20Qu'est-ce que vous en pensez ?
23:21Parce que c'est un sujet qui traverse à la fois les salariés, les dirigeants et les citoyens.
23:26On est les trois à la fois, en fait.
23:28Je rejoins Bruno sur ce qu'il vient de dire.
23:30Je pense qu'en effet, c'est hyper important.
23:34Un mot pour la suite de votre entreprise à Dalliance.
23:37C'est quoi les prochains programmes que vous n'avez pas encore inventés ?
23:39Alors, en fait, nous, on a toujours essayé d'avoir un peu un coup d'avance.
23:44On avait commencé à travailler sur le télétravail avant le télétravail.
23:47Le RGPD avant le RGPD.
23:49L'IA, on avait déjà aussi un coup d'avance.
23:51L'idée, c'est toujours d'un peu défricher les sujets d'avenir.
23:54Et ça, c'est assez passionnant.
23:55Et j'avoue qu'on est dans un monde qui est quand même assez décoiffant.
23:59Et donc, je suis certain qu'il va y avoir des nouveautés.
24:02L'idée, c'est de les suivre, de les anticiper et de les accompagner.
24:05Et ça, c'est au service de nos clients.
24:07A Dalliance, ça veut dire ajouter des alliances.
24:09A Dalliance, notre ambition, c'est d'être les alliés de nos clients et de les aider du mieux possible.
24:14Et c'est vrai que c'est passionnant parce que sur ces sujets, le digital ou l'humain, c'est passionnant en fait.
24:20Peggy Duclos, peut-être pour conclure, vos salariés, pour l'instant, on l'a entendu, l'utilisent à leur poste de travail.
24:26Parce qu'il faut quand même rappeler que des entreprises, aujourd'hui, refusent l'utilisation du Tchap GPT privé sur son téléphone.
24:31Par peur de transmission de données.
24:34Donc là, ils utilisent un Tchap GPT sécurisé, autorisé et qui leur sert d'augmentation, d'aller chercher des infos, d'avoir besoin d'un taux.
24:43Concrètement, ils en servent comment ?
24:46Pour l'instant, on n'a pas fait d'enquête sur comment ils s'en servent chacun puisque c'est quelque chose qui vient de se déployer.
24:52En effet, on a mis entre ma première formation sur l'IA en février 2024 et la sécurisation de notre système informatique.
25:00Et oui, les deux vont pair.
25:01Voilà.
25:01Et c'était difficile de développer l'IA pour dire après à nos collaborateurs, ben non, vous ne pouvez pas l'utiliser de manière sécurisée.
25:07Donc, il valait mieux attendre.
25:08Voilà.
25:08D'avoir une IA sécurisée de manière où on puisse injecter nos données, des données d'entreprise de manière totalement sécurisée pour déployer tout le système de formation derrière.
25:19Et on est à la rentrée.
25:21On se projette déjà sur une année qu'on annonce complexe, difficile.
25:26Vous avez déjà des axes stratégiques en matière d'IA.
25:29Vous dites, on va peut-être l'implémenter côté RH, on va peut-être l'implémenter côté marketing.
25:36Comment vous voyez les choses sans défleurer les secrets du COMEX ?
25:40Je pense qu'on va demander à chaque directeur de un petit peu définir un projet sur l'IA.
25:48Qu'est-ce que ça peut lui apporter au sein de sa direction.
25:50On démarre par les directions.
25:51Voilà, on démarre par les directions.
25:52On fait remonter.
25:52Voilà, on fait remonter.
25:54Après, en fonction des différents projets, il y aura forcément des décisions budgétaires, stratégiques, des arbitrages.
26:00Et là, on choisira l'IA qu'on souhaite développer en fonction du projet le plus important qui sera défini au sein du comité de direction.
26:09Et ça, vous le faites chez Ad Alliance.
26:10Vous êtes aussi en complément de conseil.
26:12Il n'y a pas que de la formation.
26:14Oui, tout à fait.
26:15C'est ce que je vous ai dit tout à l'heure.
26:17On a à la fois une approche de conseil et de formation.
26:19Et l'idée, c'est qu'on aide aussi à poser l'organisation par rapport à ce sujet.
26:24Concevoir finalement quels sont les process ou la façon dont ça peut être implémenté.
26:28L'idée, c'est d'y réfléchir au début avec des groupes d'experts ou avec le comité de direction.
26:31Et ensuite, d'implémenter, de déployer avec les équipements.
26:33Donc, implémenter, c'est-à-dire déplacer un outil et l'intégrer.
26:37Exactement.
26:37Et l'adapter aux besoins spécifiques du secteur dans lequel vous allez travailler.
26:40Le secteur de la comptabilité.
26:42Est-ce qu'on peut dire que votre secteur est plutôt dans le secteur de la comptabilité ?
26:45Oui, de la finance.
26:45De la finance et de la comptabilité.
26:47Merci, Peggy Duclos, d'être venue nous rendre visite.
26:50Merci à vous.
26:50Déléguée du directeur, ça veut dire quoi ?
26:52Secrétaire générale, ça veut dire RH ?
26:53Ça veut dire quoi ?
26:53Non, oui.
26:56Ça veut dire quelqu'un d'important dans l'entreprise.
26:58Si vous voulez, oui.
26:59Merci d'être venue, directrice, déléguée du directeur général de Médicis, groupe Malakoff Humanis.
27:05On ne l'a pas dit, mais vous avez un fonds propre.
27:07Vous avez combien au total ?
27:09En fonds propres, 285 millions, mais en actifs gérés, 2,5 milliards.
27:142,5 milliards, voilà, en actifs gérés.
27:16Médicis, c'est les indépendants, c'est les entrepreneurs.
27:18C'est la retraite des indépendants.
27:19C'est la retraite des indépendants.
27:20Et il y en a plein d'indépendants ici.
27:22Merci à vous, Bruno Poir, d'être venu.
27:24Vous êtes le fondateur et le dirigeant de Ad Alliance.
27:27Exactement.
27:28400 formateurs experts et 17 ans de passion.
27:3213 ans de passion.
27:33J'y tiens mes 17 ans.
27:34Mais si vous voulez, ça sera bientôt le cas.
27:37Et 17 ans, enfin 13 ans de passion et avec une équipe passionnée, engagée.
27:41Et c'est un vrai bonheur de travailler sur ces sujets.
27:43On n'a qu'une envie, c'est de continuer le plus longtemps possible et de revenir vous voir.
27:47Rendez-vous dans 4 ans pour vraiment rejoindre les 17 ans de passion.
27:50Merci Péki Duclos, merci Bruno Poir, merci à vous, merci de votre fidélité.
27:54C'est la fin de notre émission ici à Roland-Garros à l'occasion de cette REF 2025.
28:00Et on a parlé d'IA qui est au cœur des sujets du moment.
28:03Merci et à très bientôt.
28:06Retrouvez Bsmart sur la REF avec Equilibre, partenaire des entreprises engagées pour concilier performance et santé au travail.
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