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Le débrief de l'actu : Vers un gouvernement ce soir ? - 10/10
BFM Business
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il y a 6 semaines
Retrouvez le débrief de l'actu du vendredi 10 octobre dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
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TV
Transcription
Afficher la transcription complète de la vidéo
00:00
BFM Business et RMC Live présente la matinale de l'économie.
00:05
Good morning business.
00:09
Oui, c'est maintenant. Il est 8h42, c'est tout de suite maintenant.
00:12
8h42 sur BFM Business et sur RMC Live.
00:15
Oui, quand j'aurais dit que vous êtes là, je vous aurais dit bonjour Marc Clarentino.
00:18
Bonjour, on a beaucoup de choses à se dire ce matin.
00:21
On cherche toujours un Premier ministre, un gouvernement ce soir,
00:24
avec une première piste, le cornu reconduit. Qu'est-ce que ça vous inspire ?
00:28
Moi, ce que ça m'inspire, c'est qu'en fait, on se fout de savoir qui va être Premier ministre ce soir.
00:34
Ce qu'on sait déjà, c'est qu'on est rentré dans une nouvelle phase.
00:37
Vous savez que c'est la passion de notre président, le quoi qu'il en coûte.
00:40
Et aujourd'hui, on est dans le quoi qu'il en coûte.
00:43
On va essayer de tenir jusqu'à 2027.
00:45
C'est-à-dire un quoi qu'il en coûte qui est désastreux,
00:48
puisqu'on sait très bien qu'aujourd'hui, on nous explique, on va lutter.
00:54
Et ça va être quelque chose d'extraordinaire, parce qu'on est, nous, entrepreneurs,
00:58
acteurs de l'économie, otages aujourd'hui de la politique.
01:02
Et en tant qu'otages, on est victime du syndrome de Stockholm.
01:06
C'est-à-dire qu'on nous a dit d'abord la taxe du Kman pour nous faire très peur.
01:10
Et puis après, on nous dit non, non, mais soyez rassurés, on va juste faire de l'ISF.
01:15
Ah, c'est génial. Et on est tous très contents en disant, mais c'est extraordinaire,
01:18
on n'a pas la taxe du Kman, on a de l'ISF.
01:20
Et puis après, on nous dit, vous n'allez pas avoir de budget.
01:22
Et maintenant, on est tous, j'entends partout sur les médias, dans les radios, dans les télés,
01:28
pourvu qu'on ait un budget.
01:30
Mais il faut bien comprendre qu'on se fout d'avoir un budget,
01:33
parce qu'on sait que ce budget-là, c'est un budget de compromis et de compromission.
01:37
On parle quand même de revoir la réforme des retraites,
01:41
qui, je le rappelle, était déjà insuffisante, était une mini-réforme.
01:46
Et on a besoin de réformes beaucoup plus importantes que celles-là.
01:49
On sait, on va discuter de savoir si on va arrêter de travailler à 62 ans, 63 ans,
01:54
alors qu'on sait aujourd'hui, d'un point de vue uniquement arithmétique,
01:57
qu'il faut qu'on bosse jusqu'à 68 ans et qu'il faut qu'on bosse plutôt 40 heures que 35.
02:02
D'accord ?
02:03
Donc, on est aujourd'hui dans cette situation, on va nous dire,
02:06
« Ah, c'est génial, on a un budget. »
02:08
Mais il faut bien comprendre qu'on s'en fout du budget,
02:10
on se fout du Premier ministre.
02:11
Ce qui est en train de se passer aujourd'hui,
02:13
c'est qu'on est dans ce « quoi qu'il en coûte »
02:15
qui va nous coûter encore une fortune,
02:17
comme tous les « quoi qu'il en coûte » précédents.
02:18
C'est-à-dire que pour tenir jusqu'à 2027,
02:21
on va sacrifier ce dont les entreprises, l'économie, les consommateurs,
02:27
les investisseurs étrangers, les entreprises ont besoin,
02:30
c'est-à-dire la confiance.
02:31
Et pour avoir la confiance, il faut qu'on ait une vision.
02:34
Or, on n'aura pas de vision.
02:35
Ça, c'est une certitude.
02:37
Jusqu'en 2027 ?
02:39
Si on tient jusqu'en 2027.
02:41
Mais c'est donc dramatique.
02:43
C'est-à-dire qu'il ne faut pas se dire,
02:44
« Ah, c'est génial, on va avoir un Premier ministre,
02:46
ça va nous permettre de tenir,
02:47
on va avoir un gouvernement brinque-ballant
02:50
qui va essayer de faire adopter un budget.
02:52
C'est génial, on a un budget. »
02:53
Non, tout ça, on s'en fout complètement.
02:55
Ce qu'il faut aujourd'hui, c'est une direction,
02:57
une direction forte, et on sait qu'on ne va pas l'avoir.
02:58
Ça veut dire qu'après 2025,
03:02
qui est déjà une année quasiment blanche,
03:04
on est en train de préparer aujourd'hui,
03:07
déjà, on sait que 2026 sera une année blanche.
03:11
Une année blanche en termes de croissance,
03:13
une année blanche en termes d'emploi,
03:14
une année blanche en termes de réduction des dépenses publiques.
03:18
C'est-à-dire qu'on est dans une situation
03:20
qui est catastrophique, quelle que soit l'issue ce soir.
03:22
D'accord, mais les chiffres de la croissance
03:24
ne sont pas si mauvais.
03:25
Les chiffres de l'emploi ne sont pas si mauvais jusqu'ici.
03:28
Lors.
03:29
Oui.
03:29
Je lis les chiffres de la Dares, par exemple.
03:31
Lors, vous le savez,
03:33
parce que vous êtes en permanence en connexion
03:35
avec les acteurs de l'économie réelle,
03:37
on est en train de construire la croissance de 2026.
03:41
Donc c'est les investissements qui posent problème.
03:42
Évidemment, c'est-à-dire qu'il ne faut pas s'arrêter en disant
03:45
« Ah, mais le chiffre de ce mois-ci est pas mal,
03:47
donc ça veut dire que la France va moins mal
03:49
que ce qu'on disait. »
03:50
Mais non, c'est pas ça le sujet.
03:51
Le sujet, c'est qu'on est en train,
03:53
compte tenu du fait qu'on n'investit pas aujourd'hui,
03:56
que le consommateur ne consomme pas aujourd'hui
03:58
et que les étrangers ne veulent plus regarder la France,
04:00
on est en train de construire une croissance molle ou zéro,
04:04
parce que pas mal, une croissance à 0,5, 0,6 ou 0,8%,
04:08
c'est zéro en fait.
04:09
C'est ça qu'il faut bien comprendre.
04:10
C'est-à-dire qu'on est dans une croissance aujourd'hui
04:12
qui ne nous permet pas de sortir de l'ordinaire.
04:15
Et aujourd'hui, pour construire la croissance de demain,
04:19
parce qu'il s'agit de la croissance de demain,
04:20
pas d'après-demain, de demain, de 2026,
04:23
il faut qu'on sorte de ce quoi qu'il en coûte,
04:26
c'est-à-dire tenir pour tenir.
04:28
Moi, je n'ai pas de vision politique.
04:30
Mais c'est la récession qui nous prend.
04:31
C'est pire que la récession.
04:33
C'est le mal français,
04:35
c'est-à-dire d'être toujours en train de flotter,
04:37
mais de ne jamais couler.
04:39
Et le fait de flotter,
04:41
qu'on considère, nous, otage de la politique,
04:44
comme étant une bonne nouvelle.
04:45
Oui, vous vous réjouissez en disant
04:46
« C'est génial, la croissance, on n'est pas en négatif. »
04:49
Oui, mais il n'y a pas de quoi se réjouir.
04:51
On devrait avoir comme objectif
04:54
un ennemi, deux pourcents de croissance.
04:55
On devrait permettre...
04:56
Aujourd'hui, il y a des réserves énormes
04:58
pour relancer l'économie.
04:59
Énorme.
05:00
L'épargne des Français,
05:01
c'est une réserve énorme
05:02
pour relancer l'économie.
05:03
Les investissements qui n'ont pas été faits
05:05
par les entreprises,
05:06
c'est une réserve énorme
05:07
pour relancer l'économie.
05:08
Qu'est-ce qu'on fait ?
05:10
On attend un gouvernement.
05:11
Vous préférez un gouvernement politique
05:12
ou un gouvernement technique ?
05:13
Mais j'ai envie de dire que...
05:15
Vous en foutez.
05:16
Attendez, on va avoir
05:17
un gouvernement de compromis
05:20
et de compromission.
05:21
Donc on va avoir un gouvernement
05:23
de quoi qu'il en coûte.
05:24
Ce n'est pas ni politique
05:25
ni économique.
05:27
C'est un gouvernement pour tenir.
05:29
Voilà.
05:29
Le seul but aujourd'hui,
05:31
la seule obsession aujourd'hui
05:33
de nos politiques...
05:34
Alors chacun avec sa raison,
05:35
je ne suis pas commentateur politique,
05:38
les LR parce qu'ils ne sont pas prêts,
05:39
le RN parce qu'il n'est pas prêt,
05:40
l'EPS parce qu'il ne sait toujours pas
05:42
s'il est du côté du LFI
05:43
ou il est social-démocrate.
05:45
Personne n'est prêt
05:45
et donc on va essayer tous
05:47
de tenir
05:47
et notre président
05:49
qui est un spécialiste
05:50
du quoi qu'il en coûte
05:51
va encore nous plomber
05:52
de plusieurs dizaines
05:53
de milliards d'euros.
05:54
Autre sujet d'actualité du jour,
05:55
c'est le prix Nobel de la paix.
05:57
Il sera décerné à 11h.
05:58
Donald Trump l'attend.
05:59
Ce ne sera peut-être pas
06:00
pour ce coup-ci.
06:00
Pour vous, il le mérite.
06:01
Mais largement.
06:02
C'est-à-dire que ce qui est en train
06:03
de se passer au Moyen-Orient,
06:04
c'est absolument fondamental.
06:06
Là aussi, on est très focalisé
06:07
et c'est normal,
06:08
évidemment,
06:09
sur la libération des otages
06:11
qu'on attend depuis un moment,
06:12
sur l'arrêt des combats à Gaza.
06:14
Ça, c'est très important.
06:15
Mais ce qui est en train
06:15
de se reconfigurer,
06:16
c'est toute la région.
06:17
Ce qui est en train
06:18
de se reconfigurer,
06:19
c'est le tournant fondamental
06:20
des pays du Golfe.
06:22
C'est-à-dire que les pays du Golfe,
06:24
aujourd'hui,
06:24
ils ont deux choix.
06:25
Le premier choix,
06:26
c'est de continuer
06:27
parce qu'on sait très bien
06:29
que derrière le Hamas,
06:30
derrière les organisations terroristes,
06:33
derrière ce qui se passe,
06:34
il y a l'Iran,
06:34
mais il y a surtout
06:35
l'Arabie Saoudite
06:36
et il y a surtout le Qatar.
06:38
Et donc,
06:38
ce sont des États
06:39
qui sont en train
06:40
de se rendre compte,
06:41
qui sont confrontés aujourd'hui.
06:43
Ils doivent,
06:43
pour parler en termes d'entreprise,
06:45
ils doivent pivoter.
06:47
Aujourd'hui,
06:47
leur revenu continue à venir.
06:49
À cause du pétrole.
06:50
Évidemment,
06:51
du pétrole
06:51
et pour le Qatar,
06:52
du pétrole et du gaz.
06:53
Ils doivent aujourd'hui,
06:55
parce qu'ils font face
06:56
à des problèmes économiques,
06:57
on a l'idée toujours
06:58
du Golfe
06:59
qui voit se déverser
07:01
des milliards de dollars.
07:03
Mais en fait,
07:04
ils ont des problèmes économiques,
07:05
l'Arabie Saoudite
07:07
a un déficit budgétaire,
07:08
il y a une colère sociale
07:09
aussi dans ces pays
07:11
et ils se sont confrontés
07:12
à un problème,
07:13
c'est qu'on sait
07:13
que le pétrole
07:14
n'a pas d'avenir.
07:15
D'accord ?
07:16
Et donc,
07:16
ils doivent pivoter.
07:17
Et pour pivoter,
07:18
ils n'ont qu'une possibilité,
07:19
c'est de s'entendre
07:20
avec les États-Unis,
07:21
évidemment,
07:22
pour bénéficier
07:22
d'une couverture militaire,
07:24
mais aussi
07:25
d'un partenariat économique.
07:27
Et donc,
07:27
s'il est en train
07:27
de se reconfigurer,
07:28
je pense que c'est là
07:29
où Trump a raison,
07:30
il dit,
07:31
attendez,
07:32
évidemment,
07:32
je suis focalisé sur Gaza,
07:34
mais mon plan de paix,
07:35
c'est un plan de paix
07:35
pour la région.
07:37
Et la région
07:38
va se reconfigurer.
07:39
Et ça,
07:39
c'est une excellente nouvelle.
07:40
S'il y a une bonne nouvelle
07:41
aujourd'hui,
07:42
c'est celle-là,
07:43
c'est-à-dire qu'on va avoir,
07:44
évidemment,
07:45
une extension
07:45
des accords d'Abraham,
07:46
on va avoir un accord
07:47
entre l'Arabie Saoudite
07:49
et Israël,
07:50
en échange duquel
07:51
l'Arabie Saoudite
07:52
aura la foule
07:53
coopération
07:54
avec les États-Unis.
07:55
Et aujourd'hui,
07:57
si enfin,
07:58
tous ces pays du Golfe
08:00
et tous ces pays
08:00
de la région
08:01
se concentrent
08:02
non pas sur la déstabilisation
08:04
des pays européens
08:06
avec la montée
08:07
de l'islamisme,
08:07
mais sur leur croissance économique
08:09
et sur leur avenir économique.
08:11
Et c'est quoi,
08:12
par exemple,
08:12
leur avenir économique
08:13
si ce n'est pas le pétrole
08:14
aujourd'hui ?
08:15
Vous parlez d'accords commerciaux
08:16
pour vendre quoi ?
08:17
Aujourd'hui,
08:17
on a une région
08:19
qui peut complètement
08:20
se réorienter
08:21
vers une diversification.
08:22
Ils ont beaucoup d'argent,
08:23
ils continuent à avoir
08:24
des revenus,
08:25
ils vont continuer
08:25
à en avoir
08:26
tant qu'on aura besoin
08:27
de pétrole
08:27
et on voit avec la baisse
08:29
des prévisions
08:30
sur les véhicules électriques
08:31
qu'on va avoir encore
08:32
besoin du thermique
08:33
pendant un moment.
08:34
Ils doivent investir
08:34
dans l'avenir,
08:35
ils doivent faire en fait
08:36
ce qu'a fait Israël
08:36
depuis des années,
08:37
c'est-à-dire s'orienter
08:38
vers la tech,
08:39
s'orienter vers une économie
08:41
qui est l'économie de demain
08:42
et pas une économie de combat
08:43
ni une économie
08:44
qui est liée au pétrole.
08:46
4 000 dollars l'once,
08:48
ça c'est pour l'or,
08:49
un mouvement qu'on n'avait
08:50
jamais vu depuis les années 70.
08:52
C'est pas fini
08:52
ou on est arrivé
08:55
Je pense qu'on est arrivé
08:56
quand même à un point haut,
08:57
je pense qu'on est dans des niveaux
08:58
qui sont totalement aberrants,
08:59
alors les raisons,
08:59
on les connaît,
09:00
je vous les avais expliqués
09:01
pendant toute la semaine,
09:02
c'est-à-dire un,
09:03
les achats massifs
09:04
par les banques centrales
09:06
pour se dédollariser,
09:08
en premier la Chine
09:09
qui se dit
09:10
si un jour
09:10
on va envahir Taïwan,
09:11
on va se retrouver
09:12
dans la situation
09:13
de la Russie
09:14
avec l'Ukraine
09:15
et donc il faut
09:16
qu'on soit le moins dépendant
09:17
des Etats-Unis,
09:18
mais pas seulement,
09:19
la Russie, l'Iran,
09:20
tous ces pays
09:21
augmentent leur stock d'or
09:23
et puis il y a
09:23
cette spéculation
09:24
qui est le signe
09:26
en fait,
09:26
qui est un signe
09:27
plus global
09:27
d'une attente
09:30
de liquidités
09:31
qui vont se déverser
09:32
sur le marché
09:33
à partir du moment
09:34
où Jérémy Powell
09:36
va quitter
09:37
la Fed
09:38
en mai,
09:40
on va avoir
09:40
des jumbo cuts,
09:41
c'est-à-dire des baisses
09:42
de taux d'intérêt
09:43
qui sont très importantes,
09:44
on va avoir
09:45
une banque centrale américaine
09:47
qui va être inféodée
09:48
au pouvoir
09:49
donc qui ne sera plus
09:50
du tout indépendante
09:51
et il y a
09:52
cet argument
09:53
qui circule un peu
09:54
partout
09:55
qui consiste à dire
09:56
plus personne
09:58
n'a confiance
09:58
dans les monnaies
09:59
et donc
10:00
la seule monnaie
10:01
Ah oui,
10:01
donc c'est quand même
10:01
la trouille
10:02
qui fait monter l'or
10:02
toujours
10:03
Ah oui,
10:04
c'est la trouille
10:04
qui fait monter
10:05
c'est la trouille
10:06
et la spéculation
10:07
c'est-à-dire que
10:08
l'explosion
10:10
à venir
10:11
des liquidités
10:12
qui vont se déverser
10:13
pour moi
10:13
c'est pareil
10:14
que tous les actifs
10:15
un peu spéculatifs
10:16
l'or est redevenu
10:18
un actif spéculatif
10:20
dont l'évolution
10:21
dépend
10:22
je ne crois pas trop
10:23
à l'instabilité
10:25
à l'environnement global
10:27
je pense que c'est surtout
10:28
un élément de spéculation
10:29
Merci beaucoup
10:30
Marc Fiorentino
10:31
C'est tout, c'est fini ?
10:31
Oui, c'est fini
10:32
Vous les direz
10:34
dans ses ventres en temps
10:34
parce que vous avez
10:35
votre propre émission
10:36
tous les vendredis
10:37
c'est 20h
10:39
la diffusion sur BFM Business
10:40
et ça s'écoute
10:41
et ça se regarde
10:43
en podcast
10:44
et en replay
10:44
bien sûr
10:45
quand vous en avez envie
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