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Ce jeudi 2 octobre, Arnaud Morel, directeur de la gestion sous mandat chez Promepar AM, et Matthias Desmarais, responsable de l'activité actions chez Oddo BHF, ont débriefé la séance du jour, dans l'émission BFM Bourse présentée par Guillaume Sommerer. BFM Bourse est à voir ou écouter du lundi au vendredi sur BFM Business.
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00:00BFM Bourse, on refait la séance.
00:04Mathias Desmarais nous rejoint pour Odo BHF, bonsoir Mathias.
00:07Bonsoir.
00:07Bienvenue et Arnaud Morel, bonsoir Arnaud.
00:09Bonsoir Guillaume.
00:09Premier par M, on est ravis de vous retrouver messieurs.
00:11Donc ce soir une super hausse du CAC 40, après les records hier soir de Wall Street,
00:15nouveau record, on a la tech qui a bien progressé,
00:17OpenAI qui annonce un accord avec deux acteurs sud-coréens qui lui livreront des puces,
00:22ça montre toujours cette demande pour l'IA.
00:24Mais il n'y a pas que la tech, il y a Stellantis aussi aujourd'hui qui a gagné,
00:28en tête du CAC d'ailleurs, Stellantis, plus de 8% ce soir.
00:31Pourquoi ? Parce que Stellantis a vécu son meilleur mois de septembre en trois ans aux Etats-Unis.
00:37Cette nouvelle, c'est un vrai signal qui justifie la hausse ce soir,
00:40peut permettre peut-être à Stellantis de retrouver un potentiel haussier plus affirmé pour la suite, Mathias ?
00:45Je suis un peu perplexe effectivement.
00:48Donc effectivement les chiffres étaient bons, ça ne faut pas les renie.
00:50Il y a quand même eu, je crois, huit trimestres d'affilée de baisse aux Etats-Unis.
00:53Donc est-ce que c'est un point d'inflexion sur un mois ?
00:55C'est un peu trop tôt pour le dire, surtout sur le marché américain,
00:59sachant quand même de faire un turnaround d'une activité comme ça,
01:03la tâche sera ardue pour le nouveau CEO, très clairement,
01:07et qu'on a quand même toujours la concurrence des constructeurs chinois sur les pays émergents et hauts.
01:11Donc je pense que tous les problèmes ne sont pas réglés,
01:13mais effectivement il faut saluer la bonne nouvelle quand même,
01:16mais un peu trop tôt peut-être pour parier la suite sur ce titre.
01:19Oui, c'est un des plus gros chantiers de Stellantis, les Etats-Unis.
01:22Aujourd'hui on a une bonne nouvelle sur le mois de septembre.
01:24Est-ce qu'un mois de septembre positif fait le printemps pour la suite ?
01:28Peut faire le printemps boursier en tout cas, Arnaud ?
01:30Sur le dossier Stellantis, il y a plusieurs choses à mettre en exergue.
01:35Tout d'abord c'est la fin des crédits d'impôt sur la partie électrique,
01:38ça ramène peut-être potentiellement aussi des volumes sur l'activité automobile.
01:43Après vous connaissez la performance boursière, la valorisation est très attractive,
01:46il y a peut-être des rachats de short aussi sur le titre,
01:49sur ce début de trimestre, sur un titre qui est quand même largement shorté,
01:54et ça c'est quand même des points à surveiller.
01:55Point d'attention quand même sur le marché américain, 35% de chiffre d'affaires du groupe.
01:59Vous avez vu que dernièrement il y a quand même deux faillites,
02:01quand même il y a quelques nuages aux Etats-Unis,
02:04notamment Surface Brand, l'équipementier,
02:05et vous avez surtout le prêteur Tricolor Holding qui a fait faillite,
02:09donc je suis quand même très précautionneux sur le marché américain aujourd'hui de l'automobile.
02:13Bon, précautionneux, circonspect disiez-vous Mathias,
02:16on va voir quel qualificatif Romain va trouver pour décrire sa vision Stellantis.
02:20D'un point de vue technique, comment vous le sentez ce titre pour la suite Romain ?
02:24Ça se confirme, il faut être un peu prudent encore sur Stellantis,
02:27mais effectivement le titre s'est stabilisé depuis son plombon jusqu'en mars dernier,
02:32au sein d'un range 7,60, 8,81.
02:37On constate quand même des volumes d'accumulation depuis quelques temps au sein de cette zone,
02:40mais si on arrive à la déborder, ça donne une cible qui est située à 10,01,
02:43donc vous voyez le potentiel haussier est encore assez limité,
02:46mais il faut dire que l'accélération haussière des dernières villes
02:48s'est faite avec des volumes assez significatifs,
02:50et on a débordé une petite oblique baissière.
02:52Donc à court terme des signaux, à moyen et long terme,
02:54on n'a pas encore de figure de retournement.
02:56Il est frappant de voir que depuis quelques semaines,
02:58les retardataires, les mal-aimés du marché signent les plus fortes hausses.
03:01Alors ce soir c'est Stellantis,
03:02mais au troisième trimestre on a vu Kering fortement progresser à la Bourse de Paris,
03:06on a vu Atos fortement progresser,
03:07on a vu Open Mobility, Forvia, les acteurs, les équipementiers auto aussi fortement rebondir.
03:12Les mal-aimés ont rebondi au troisième trimestre.
03:15Est-ce que c'est mauvais signe, dans le sens où est-ce que quand le marché
03:18vient à privilégier les mal-aimés, le bas de la bassine,
03:21c'est le signe qu'il n'a vraiment plus d'autres idées pour continuer de monter ?
03:24Est-ce que c'est le signe qu'on est en haut de cycle en quelque sorte ?
03:26Il y a deux écoles.
03:30Premièrement, c'est déjà une densité,
03:32il y a un taux de participation plus important du marché.
03:34Et ça c'est quand même aujourd'hui un point important,
03:36on a la macro en tout cas en zone économie européenne qui tient bien,
03:39avec le plan de relance allemand.
03:41Donc aujourd'hui il est quand même logique d'avoir un rattrapage
03:44sur certaines typologies de valeurs,
03:46et au vu des niveaux de valorisation qu'on a sur certains biais
03:49aujourd'hui sectoriels, et notamment de la technologie américaine,
03:51voire même de la technologie européenne.
03:53Donc aujourd'hui, je ne le vois pas comme un signe noir
03:56aujourd'hui sur le marché, cette participation.
03:58Vous non plus Mathias ?
03:59Non, je suis assez d'accord.
04:01Après, c'est ici les deux premiers exemples qui sont Kering et Atos.
04:04Il y a quand même aussi des histoires un peu particulières,
04:06des changements de management, des attentes qui se conjuguent aussi,
04:10notamment je pense sur le luxe, parce que Kering est une plus grosse
04:12capitalisation boursière sur des bases de comparaison,
04:15notamment en Asie.
04:16Après voilà, il ne faut pas créer victoire,
04:18mais il y a une chasse aux bonnes affaires,
04:19parce qu'il y a des valorisations aussi sur beaucoup de secteurs
04:21qui sont quand même assez élevés,
04:23et sur le marché d'une manière générale.
04:24Et c'est vrai, de nouvelles histoires qui vont commencer à se raconter
04:27quand même sur certaines de ces valeurs qu'on vient de citer.
04:29Kering avec un nouveau patron, Atos, un nouveau plan stratégique,
04:32effectivement, et c'est aussi ça qu'ont joué les marchés.
04:33Ce n'est pas comme si on était sur une histoire qui ne bougeait pas.
04:36Ces histoires-là sont en train aussi de se transformer,
04:39et les marchés parient sur un avenir plus prometteur.
04:41Est-ce que du coup, parmi ces valeurs qui ont cartonné au troisième trimestre,
04:44il y en a une dont vous vous dites, celle-là, elle va continuer de progresser ?
04:47Alors je dirais, on avait cité aussi les banques.
04:53Société Générale au troisième trimestre
04:54qui sera encore pris 16%.
04:55Voilà, exactement.
04:56Et là aussi, encore une fois, il y a un nouveau plan stratégique
04:58qui est en train de délivrer.
05:00Donc effectivement, malgré la question qu'on peut se poser
05:02sur l'environnement économique, sur les niveaux de taux d'intérêt
05:04pour les banques, il y a peut-être encore un petit peu d'espoir.
05:08Je serai un peu plus prudent sur Kering, notamment,
05:12et sur Atos, je pense aussi que ça mettra un petit peu de temps
05:14avant de se matérialiser.
05:15Oui, et sur Atos, le marché met peut-être un peu la charrue avant les bœufs.
05:20Atos, au troisième trimestre, plus 84%.
05:22Vous, parmi les gagnants du troisième trimestre, Arnaud,
05:24est-ce qu'il y en a dont vous vous dites qu'ils vont continuer de progresser ?
05:26Prenons un exemple, c'est toujours les valeurs du luxe, Kering.
05:29Pourquoi pas ?
05:30Avec le nouveau management qui est un cost killer,
05:32un monsieur produit, on l'a vu chez Renault.
05:35Et LVMH également.
05:36Aujourd'hui, on le voit, les bases de comparaison,
05:38elles sont très faibles sur le Q3,
05:40un peu plus challengées sur le Q4.
05:42Les révisions, elles ont été drastiques à la baisse.
05:44Clairement, on est à moins 26 sur l'année 25.
05:47On a fait moins 24 sur l'année 2026.
05:51Donc, on n'attend plus qu'11% de croissance de BPA.
05:53Et quand vous voyez les chiffres de Bruno Cuccelli ce matin,
05:55qui est quand même dans le haut de gamme luxe,
05:57c'est quand même un message restaurant,
05:58un bon ride-de-croche, je pense, aujourd'hui,
06:00pour une société comme LVMH.
06:01Effectivement.
06:02Alors, le luxe Brunello Cuccelli, c'est vrai,
06:04a aujourd'hui publié l'hyperstar italienne du luxe,
06:07ultra luxe d'ailleurs, Brunello Cuccelli.
06:09Ils annoncent une hausse de chiffre d'affaires
06:10de 12% au troisième trimestre.
06:11C'est supérieur aux attentes.
06:13Vous avez envie de la renforcer, cette valeur en portefeuille,
06:16dans ce contexte, et après la publication, là ?
06:19Le niveau de controverse, clairement, aujourd'hui,
06:21n'est pas un plébiscite.
06:23Enfin, la publication a eu lieu quelques jours,
06:25quelques semaines avant la date de publication,
06:27parce qu'il y a cette controverse sur la Russie,
06:28la non-respect de la réglementation
06:30de la zone économique européenne,
06:31sur les stocks et les prix.
06:33On n'a pas envie d'aller aujourd'hui sur une société
06:35avec une controverse, surtout mise en place
06:37par un hedge fund qui va quand même porter...
06:39Enfin, on a quand même l'historique aujourd'hui
06:40de toutes ces affaires.
06:41On n'a pas envie d'aller sur ce titre-là, clairement.
06:43Oui, malgré la bonne performance et les résultats,
06:45donc positifs et supérieurs aux attentes.
06:48Alors là, c'est l'IA qui surgit
06:49et qui intervient aussi désormais dans ce rendez-vous
06:51à la fin de BFM Bourse
06:52et qui vous pose une question à son tour.
06:54On inverse les rôles et on lui demande
06:55de vous interroger, l'intelligence artificielle.
06:57Voilà la question qu'elle vous pose
06:58sur Brunello Cuccellini, justement.
07:01a enjambé les critiques ESG, les controverses
07:04à son encontre liée à la Russie.
07:09Alors, c'est compliqué à dire.
07:11Alors, chez Brunello, en tout cas,
07:12il démonte toutes les allégations
07:13qui avaient été portées, on le rappelle quand même,
07:14par un vendeur à découvert.
07:16Oui, tout à fait.
07:17Après, je pars du principe que j'ai trouvé
07:19quand même le management assez crédible
07:21dans une partie de ses réponses.
07:24Après, il faut creuser un peu pour savoir la suite.
07:27Après, je pense que dès qu'il y a controverse,
07:29effectivement, il y a prudence.
07:32Et moi, je dirais en plus, il y a une prudence aussi
07:33parce qu'il est souvent comparé à un petit Hermès.
07:36Sauf que ce n'est pas le même business model.
07:39Il y a des marges inférieurs,
07:40une intensité capitalistique plus importante.
07:43Et il n'y a juste, entre guillemets,
07:44que 10% de décote.
07:46Donc, j'aurais tendance à être assez prudent.
07:47Donc, ils ont fait la première partie du chemin.
07:49Mais en général, c'est long
07:50et qu'il n'y a pas qu'une attaque.
07:52Tout à fait.
07:52Oui.
07:53Brunello, ce soir, d'ailleurs,
07:54malgré sa belle publication,
07:54a quand même reculé de...
07:56Un petit peu, même nettement,
07:59ça s'est accéléré, là, en clôture.
08:00Moins 1,1%.
08:01On était en hausse tout au long de la séance
08:03et en clôture, finalement,
08:04moins 1,1% sur Brunello Coccinelli.
08:06On rejoint Romain Dobry pour Brousse Direct.
08:08On la cite souvent, Brunello Coccinelli,
08:09comme effectivement l'autre Hermès,
08:11le Hermès italien.
08:12Puis là, il y a cette controverse
08:13dont on verra si ça les marque au fer rouge durablement,
08:16si ça entraîne une sous-performance durable,
08:17même s'il démente
08:18les allégations de ce vendeur à découvert.
08:21Brunello continue de souffrir en bourse.
08:23Est-ce que, techniquement parlant,
08:24on est aussi au bout de l'histoire,
08:25d'après vous, Romain ?
08:27Oui, ce n'est pas un bon signal
08:29depuis quelques semaines et quelques mois maintenant
08:31pour Brunello Coccinelli.
08:33Là, le récent plongeon fait passer le titre
08:35sous la ligne de tendance haussière
08:37qui est active depuis maintenant 2022.
08:42Donc, on passe sous un niveau
08:43qu'on n'avait jamais enfoncé en tendance
08:45depuis trois ans,
08:47avec du volume et puissamment.
08:49Et on est allé tester aujourd'hui
08:50que dans le rebond que vous évoquiez,
08:52enfin, la tentative de rebond,
08:53ce niveau de 95 contre lequel on a eu un rejet.
08:55Donc, c'est un signe de baisse complémentaire
08:57et en plus, encore une fois,
08:58avec des volumes importants.
08:59Donc, premier support, c'est 77-60.
09:01Il faudrait repasser 95
09:03pour invalider ce mouvement baissier
09:04qui semble mal engagé.
09:06Oui, elle était pas mal, la question IA.
09:07Elle a voulu donner quelle note à l'IA
09:09pour sa question sur l'ESG ?
09:11Mathias, sur 10 ?
09:11Allez, 8 sur 10.
09:128 sur 10, oui.
09:13J'égalise 8 sur 10.
09:14Vous êtes sympa avec l'IA.
09:16Vous espérez qu'elle soit conciliante
09:17avec vous aussi la prochaine fois
09:18que vous viendrez, c'est ça ?
09:19On sait jamais.
09:19Oui, il paraît qu'elle est sensible.
09:21Il faut être très poli avec elle.
09:22Il faut bien la traiter.
09:23Voilà, exactement.
09:24Ce soir, on vous rappelle
09:25qu'à 40 en clôture,
09:26il termine en hausse d'1,1%.
09:28Et le secteur bancaire
09:30tient cartonne depuis le début de l'année
09:31et il reste du potentiel.
09:32Ça, c'est David Benhamou
09:33qui nous l'a expliqué hier,
09:34un des meilleurs spécialistes
09:35du secteur en bourse.
09:37C'était dans Thème d'Avenir.
09:38Cette séquence Thème d'Avenir
09:39est à retrouver en replay
09:40sur l'application BFM Business.
09:42Une valeur frisson pour la suite comme ça ?
09:44Une valeur...
09:45Parce que c'est vrai que nos auditeurs,
09:45ils nous en demandent.
09:46Des valeurs qui,
09:47si leur potentiel se déploie,
09:49ont un énorme potentiel de hausse en bourse,
09:51mais quitte à prendre des risques.
09:52Est-ce qu'il y en a une
09:53qu'on peut ce soir mettre en avant, Mathias ?
09:54Valeur frisson du jour.
09:55Valeur frisson.
09:56Alors, je vais partir en Suisse
09:57et on parlait de l'intelligence artificielle.
09:59Donc, moi, je vais vous parler
09:59d'un groupe qui s'appelle SIG Group.
10:02En fait, qui est le deuxième fournisseur mondial
10:04de solutions d'emballage en carton.
10:06Pour faire simple,
10:06pour que tout le monde comprenne,
10:07c'était le numéro 2 derrière Tetra Pak.
10:09Voilà.
10:10Très belle introduction aux bourses en 2018,
10:12qui a eu très bien performé jusqu'en 2021.
10:14Et là, patatras.
10:15Et depuis le début de l'année,
10:16finalement, tout est l'année mal.
10:18Donc, changement du management,
10:20début de restructuration,
10:22de recentrage stratégique.
10:24Et donc, là, il y a une histoire
10:25qui peut se mettre en œuvre
10:26sur 2026-2027.
10:28Et on a à peu près, je pense,
10:30à peu près 80% de potentiel.
10:32Oui.
10:33Alors, ce n'est pas un conseil d'investissement,
10:34on le rappelle,
10:35et c'est juste pour diversifier.
10:36Mais voilà, c'est une valeur frisson.
10:38Exactement.
10:38Comme ça, qu'on va les appeler tous les soirs.
10:39On va tenter de demander à nos experts
10:41à chaque fois de se livrer.
10:42Comment s'appelle ce groupe ?
10:43SIG Group.
10:44S-I-G.
10:44S-I-G.
10:45Côté en Suisse.
10:46Côté en Suisse, quand même.
10:47C'est du frisson très raisonnable.
10:49De votre côté, Arnaud,
10:50même question, une valeur frisson ?
10:52Je vais rester dans l'actualité
10:53avec peut-être la jurisprudence Pfizer
10:55qui peut donner une bouffée d'oxygène
10:56sur le secteur pharma.
10:58Et clairement, aujourd'hui,
10:59c'est d'aller voir une société
11:00qui a été maltraitée en bourse,
11:01qui a perdu 64%
11:03depuis son point haut de juin 2024.
11:05C'est Novo Nordisk, d'accord ?
11:07Donc, qui est le pionnier du GLP1.
11:09Donc, ils ont lancé l'Ozempic en 2018
11:11aux Etats-Unis.
11:12En 2021, le Vigovine.
11:14Est arrivée, on va dire,
11:16une nouvelle molécule
11:16à travers le concurrent Elilili.
11:18Et c'est toujours l'histoire.
11:19Quand vous arrivez le premier,
11:19vous avez plus de parts de marché.
11:21Et là est arrivée la concurrence
11:23avec des tests d'obésité
11:25qui étaient moins importants,
11:26enfin, moins réussis, pardon,
11:28sur le société Novo Nordisk.
11:30Départ du CEO, restructuration,
11:32chasse au coût fixe.
11:33Aujourd'hui, on attaque une société
11:34avec une valorisation
11:35à 14 fois les bénéfices.
11:36On traite à 27 fois en moyenne
11:38sur les cinq dernières années.
11:40On a envie d'aller sur une tendance
11:42à long terme
11:43qui vient d'identifier tout le monde aujourd'hui.
11:44Novo Nordisk, donc un pari.
11:46Et un pari sur la santé en général.
11:47Là, c'est le grand retour de la santé
11:48depuis hier.
11:49Durable ou pas, là ?
11:50Oui, non ?
11:52Un peu prudent suite à hier.
11:54Un peu prudent quand même, d'accord.
11:55Bon, on est en retard.
11:56Presque en retard,
11:56c'est Fabien, notre réalisateur,
11:57qui me le signale.
11:58Merci à tous les deux
11:59de nous avoir accompagnés.
11:59Ça passe trop vite à chaque fois.
12:01Arnaud Morel pour Premier Paré
12:02et Mathias Desmarais pour Oddo BHF
12:04qui, dans la même phrase,
12:05aura réussi à dire
12:07Tetra Pak et Patatra.
12:08Je ne sais pas si vous avez fait exprès
12:09à propos de cette valeur suisse.
12:10C'était un pari.
12:10Pas du tout, mais c'était un pari.
12:11Tetra Pak et Patatra.
12:12Écoutez le replay, il a réussi.
12:13Merci.
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