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  • il y a 1 jour
Ce lundi 8 décembre, Céline Piquemal-Prade, présidente de Piquemal Houghton Investments, et Léa Dauphas, chef économiste chez Tac Economics, se sont penchées sur l'impact de l'IA en gain de productivité dans un scénario d'extinction de l'espèce humaine, selon un rapport de la Fed de Dallas qui est de 0, ainsi que le poids des sociétés énergétiques dans le S&P 500 de 2,9 %, dans l'émission BFM Bourse présentée par Guillaume Sommerer. BFM Bourse est à voir ou écouter du lundi au vendredi sur BFM Business.

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Transcription
00:00On entre, comme à chaque fois avant la clôture, dans la data row.
00:09C'est leur pouvoir magique, par leur simple data, changer votre vision du monde.
00:13A pleine puissance, leur data réduiront même en poussière toutes vos idées reçues,
00:17vous que nous suivez, qui nous regardez ou qui nous écoutez.
00:19Léa et Céline, êtes-vous prêtes à nous livrer vos data ?
00:23Vous avez chacune une minute.
00:24On va démarrer avec vous.
00:26Léa, votre data, zéro.
00:28Oui, zéro.
00:30On parle beaucoup des effets de l'IA sur la productivité, c'est les grands sujets du moment.
00:34Je voulais mettre en avant un rapport qui est sorti au mois de juin de la fête de Dallas,
00:37avec un peu un futur dystopique, dans lequel la fête de Dallas fait des projections
00:42de l'impact de la productivité de l'IA.
00:46Vous voyez des courbes de tendance, en moyenne on estime que c'est entre plus 1,8 à plus 3,
00:51suivant qui fait ça.
00:53La fête de Dallas met ça à zéro, pourquoi ?
00:55Parce que les machines prennent le pas sur l'homme, dominent l'homme et détruisent l'espace humain.
01:00Ah oui, donc zéro productivité.
01:02Exactement, on détruit l'espace humain.
01:04Je trouvais ça intéressant, plutôt sur le côté sortir un peu de tout ce qu'on lit aujourd'hui,
01:08mais le fait que la fête de Dallas le montre.
01:10Par contre, c'est vraiment les sujets du moment.
01:12Vous mentionnez les effets de l'IA sur l'inflation et autres.
01:14Il y a vraiment des effets de 2026 qu'il faut mettre un peu de côté,
01:17mais c'est vraiment des perspectives de long terme.
01:20Et pour l'instant, l'état des recherches montre qu'on n'est pas du tout sur des tendances
01:23qui sont très claires, suivant l'adoption, suivant la manière dont le marché du travail est régulier ou autre.
01:27Ce sera des sujets à traiter, mais le zéro, c'était pas mal.
01:31Vous avez mis la barre très haute avec cette data dystopique.
01:34Léa, à vous Céline, votre data, une minute, 2,9%.
01:372,9% c'est le poids de l'énergie dans le SP500 aujourd'hui.
01:43C'était 15% en 2008.
01:46Le poids de la technologie, c'était 15% en 2008.
01:50C'est 36% aujourd'hui.
01:532,8% c'est donc extrêmement faible pour l'énergie.
01:57C'est un secteur haï, un secteur sous-détenu, un secteur sur lequel on n'attend rien.
02:02Et donc des sociétés, dont Total, dont on parlait tout à l'heure,
02:06qui offrent un coupon intéressant, des valorisations très faibles
02:10et donc des entreprises qui, à mon sens, pourraient protéger des investisseurs
02:15qui seraient inquiets de savoir ce qui va se passer en 2026
02:19en étant très très loin de l'épicentre éventuel du problème
02:24qu'on pourrait être amené à affronter en 2026.
02:29Les chiffres disent tout.
02:30Cette data room sera retrouvée en replay sur notre application BFM Business.
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