- il y a 4 jours
Ce mardi 4 novembre, Antoine Larigaudrie a reçu Félix Baron, fondateur du Club des Investisseurs Indépendants, et Christian Fontaine, directeur de la rédaction du Revenu, dans l'émission Tout pour investir sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
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00:00Tout pour investir, le déchiffrage.
00:04Oui, j'ai oublié de le dire, on déchiffre. Allez, on déchiffre.
00:07Christian Fontaine du magazine Le Revenu. Bonjour Christian.
00:09Bonjour Antoine.
00:10Félix Baron du club des investisseurs indépendants.
00:12Bonjour Antoine.
00:13Alors, évidemment, on va revenir sur la valorisation de l'IA.
00:17Ça semble être quand même la raison de ce retour de la volatilité sur les marchés,
00:22sur Wall Street qui termine sur une note mitigée,
00:24mais alors sur une franche correction du côté des marchés européens.
00:27Toutes ces interrogations autour de la valorisation même des entreprises,
00:33de leur capacité à s'endetter, parce qu'on voit qu'il n'y a aucun mal.
00:35Il y a tout qui part sur les obligations 17 milliards de dollars
00:40ou même un petit peu plus de Google, sur le plus de 30 milliards de Meta.
00:45On a tellement opté pour les obligations que le titre a une belle dégringolade par la suite.
00:49Et puis, on a ce Michael Burry, le héros du big short,
00:53qui dit tout ça, ça va s'effondrer. Moi, je shorte.
00:56Encore une fois, je vous l'ai dit il y a quelques secondes,
00:58Michael Burry s'est planté 18 fois après le big short.
01:01Il fait partie de ces investisseurs qui ont prévu 18 des 4 dernières récessions, comme on dit.
01:06Mais voilà, il y a quand même une interrogation.
01:10Alors, l'interrogation, elle n'est pas nouvelle, elle dure depuis des semaines.
01:12Sur, je dirais, mais qu'est-ce que ça vaut l'IA ? Où ça va ?
01:15Et là, on sent un tout petit sentiment de craquelement.
01:21Est-ce que vous le sentez, vous, Félix Baron, par exemple ?
01:23Oui, on connaît Michael Burry, surnom sur X, Cassandra,
01:27et il parle de la merde de toutes les bulles.
01:30Ce petit craquement, en fait, il pourrait intervenir et faire très peur.
01:34Je pense qu'on est sur la valorisation globale.
01:37En fait, vous parlez de valorisation de l'IA, mais c'est la valorisation de la bourse.
01:40148 000 milliards, c'est la valeur de la capitalisation mondiale,
01:45à plus de 40% représentée par la tech et les semi-conducteurs.
01:49À plus de 40%.
01:50Donc, le marché, c'est la tech et les semi-conducteurs.
01:52Il n'y a rien d'autre à dire.
01:54Cette taille, elle a été multipliée par deux depuis 2020.
01:57Il y a un point rassurant et il y a un point inquiétant.
02:00Le point rassurant, c'est que ces valorisations sont justifiées par des bénéfices en hausse.
02:05Et ils sont réels, ceux-là.
02:06Et ils sont réels.
02:08Tout tourne autour de l'IA, je viens de le dire.
02:10Et donc, il y a innovation technologique.
02:13Donc, qui dit innovation, dit gain de productivité.
02:14Et qui dit gain de productivité, dit création de richesse.
02:17Donc, on peut attendre toujours.
02:19Si on attend une croissance des bénéfices, on peut augmenter les valorisations.
02:23On augmente un peu le PER.
02:24On est passé d'à peu près une moyenne mondiale de 24 alors qu'on était à 18.
02:29Donc, ça, c'est un peu inquiétant.
02:31Mais les marges de la tech n'ont jamais été aussi élevées.
02:34Elles sont au-dessus de 20% aujourd'hui.
02:35Quand vous payez un euro ou un dollar de cloud à Apple ou à Microsoft ou à Chespaki,
02:42c'est 20 centimes dans la poche de l'actionnaire.
02:44D'accord.
02:45Sources LSI Group.
02:46Donc, ça, c'est réel.
02:48Ça a augmenté en trois ans alors que la moyenne tendance historique était à 15%.
02:51Donc, la réalité, c'est que les marges bénéficiaires de la tech sont élevées.
02:55Donc, la tech est riche.
02:57Elle est rentable.
02:57On voit mal comment les hyperscalers, les manias de la tech, les 10, 15 magnifiques,
03:03appelez-les comme vous voulez, pourraient s'effondrer avec leur aventure dans l'IA.
03:06Sauf si elles se trompent de partenaires.
03:09Et ça, le point inquiétant, il est en six lettres, en fait,
03:12c'est que tout tourne aujourd'hui d'un levier autour d'une boîte qui s'appelle OpenAI.
03:15On en parle tout le temps d'OpenAI.
03:17On parle aujourd'hui d'une IPO valorisée à 1 000 milliards d'ici 18 mois.
03:23Et ce dont on a parlé au cours des dernières semaines,
03:25c'est surtout les contrats délirants que OpenAI signe.
03:28500 milliards pour le plan Stargate américain,
03:30100 milliards avec Nvidia, 100 milliards avec Amazon,
03:3240 milliards avec AMD.
03:35Mais ça, c'est des contrats d'engagement, de dépense pour OpenAI.
03:40C'est OpenAI qui s'engage à payer des puces,
03:42de l'espace sur AWS, du cloud,
03:45des investissements d'infrastructures.
03:46C'est ce que j'allais vous dire, parce que quand on parle d'NVIDIA,
03:49quand on parle de Google, quand on parle de Microsoft,
03:52enfin, tous les hyperscalers, comme on dit,
03:54OK, il y a des bénéfices sonnants et trébuchants.
03:57Effectivement, au centre de tout ça, il y a OpenAI.
03:59Et là, c'est beaucoup plus flou, parce que c'est une entreprise,
04:01certes, qui dégage des bénéfices.
04:02Non, OpenAI ne dégage aucun bénéfice.
04:06Il gagne 12 milliards, je suis désolé de...
04:08Non, mais c'est ce que j'allais vous dire.
04:09Parce que parallèlement, ça crame de la trésorerie,
04:12a pu savoir qu'en faire.
04:13119 milliards de dollars jusqu'en 2029.
04:16Ils l'ont prévu, et on sait que ça va être plus élevé,
04:17puisque le coût d'infrastructures et l'énergie augmentent.
04:20Donc, vous avez 800 milliards d'engagements de contrats,
04:23de dépenses d'OpenAI,
04:24pour une société qui gagne, à peine, on pense,
04:27entre 12 et 13 milliards de dollars cette année, en 2025.
04:30Alors, évidemment, on sait que les revenus peuvent être exponentiels,
04:34mais vous avez un décalage entre la valorisation et les revenus,
04:37qui est délirant.
04:38Et on peut se dire, OK, mais c'est une promesse,
04:40parce qu'OpenAI va devenir la nouvelle plateforme.
04:42Ça va même être plus important qu'Internet.
04:45Ça va être la plateforme mondiale de l'IA.
04:47Oui, peut-être, sauf qu'il y a des risques.
04:49Le levier numéro 1 d'OpenAI, c'est sa relation à Microsoft.
04:54Si elle se dégrade, si l'infrastructure et le cloud,
04:57qui est entièrement sur Azure, n'est plus supporté sur Azure,
05:01il y a un risque.
05:02Il y a quand même 49% d'OpenAI qui est contrôlé,
05:05verrouillé par Microsoft.
05:06Deuxième levier, la concurrence.
05:08OpenAI était le premier grand modèle de langage,
05:10mais vous avez Claude avec Anthropik, Gemini avec Google.
05:12On ne parle pas des Chinois, oui.
05:13Plus la concurrence, et on ne parle même pas des Chinois,
05:15plus la concurrence s'intensifie,
05:17moins OpenAI peut se différencier par le haut
05:20et avoir des prix plus élevés.
05:21Et puis, troisième, le plus important aussi,
05:23c'est l'énergie et la contrainte énergétique.
05:25En fait, si les coûts d'infrastructure
05:27sont supérieurs à la monétisation d'un modèle de langage,
05:31votre modèle ne marchera jamais.
05:33Bon, Christian Fontaine,
05:34ça continue de susciter des interrogations,
05:38voire des inquiétudes quand même, tout ça ?
05:39Les chiffres, évidemment, donnent le tournis,
05:42notamment les chiffres de capitalisation boursière.
05:45On l'a beaucoup dit la semaine dernière,
05:46mais il y a quand même trois entreprises aujourd'hui
05:48qui capitalisent plus de 4 000 milliards de dollars,
05:51Nvidia, Microsoft et Apple.
05:52Il faut bien voir que lorsque Apple, en 2018,
05:56c'est-à-dire en fait il y a sept ans,
05:57a atteint le chiffre de 1 000 milliards,
06:00déjà on estimait que c'était extraordinaire.
06:02Et là, sept ans après,
06:03il y en a plusieurs qui sont largement au-delà de 1 000 milliards.
06:07Alors la question, effectivement,
06:08tout ça relance le débat sur bulles ou pas bulles.
06:10J'aurais tendance à dire,
06:11de toute façon,
06:11les bulles, on s'en rend compte uniquement
06:13lorsqu'elles vont éclater.
06:14C'est assez facile à dire.
06:15Alors dans ces périodes qui sont quand même
06:17des périodes d'incertitude,
06:18puisque cette grande question,
06:19personne n'a la réponse.
06:21Moi, je pense qu'il faut revenir aux fondamentaux
06:22et les fondamentaux,
06:23c'est toujours l'allocation d'actifs.
06:25L'allocation d'actifs, ça veut dire quoi ?
06:26Ça veut dire que lorsque vous allez faire le bilan
06:28de la performance de votre portefeuille
06:30à la fin de l'année,
06:32la performance, elle va dépendre de quoi ?
06:33Elle va dépendre moins du market timing,
06:35c'est-à-dire est-ce que vous êtes rentré
06:36au bon moment ou non,
06:39moins du type du support d'investissement,
06:40est-ce que vous avez investi sur Apple ou Nvidia,
06:43que de l'allocation d'actifs.
06:44C'est-à-dire en fait, le poids,
06:45est-ce que vous avez eu de l'or, par exemple ?
06:46Là, à la fin de l'année,
06:47lorsqu'il faudrait faire le bilan,
06:48est-ce que vous avez eu de l'or ?
06:49Est-ce que vous avez eu du Bitcoin ?
06:50Est-ce que vous avez eu du private equity ?
06:53Donc ça, ça me semble essentiel.
06:54Alors, quelle est aujourd'hui
06:55l'allocation d'actifs recommandée par le revenu ?
06:58On a un tout petit peu augmenté
07:01dans notre portefeuille équilibrée
07:02la poche de liquidité.
07:05Effectivement, on prend un tout petit peu de bénéfices.
07:08Je vous remercie de la comparaison, c'est flatteur.
07:11On prend un tout petit peu de bénéfices
07:13pour profiter des opportunités
07:14qui servira de coussin
07:17en cas de retournement éventuellement des marchés.
07:20Pour le reste, on reste largement investi
07:22avec une poche en obligation, vous voyez,
07:24pour un portefeuille équilibré à 30%,
07:2745% pour un portefeuille prudent.
07:29Toujours une poche obligataire
07:31via le fonds en euros en France.
07:34D'abord parce que c'est ce que fait 99% des Français
07:36et ensuite parce que ça permet de jouer les obliques
07:38tout en profitant d'une garantie sur le capital.
07:40Alors, les mauvaises langues vous diront
07:42que la gestion dynamique d'un compte-titre
07:47en oblique géré de façon directe
07:49obtienne un meilleur performance
07:50que l'assurance-vie en euros.
07:51mais le confort quand même du fonds en euros
07:55avec cette garantie sur le capital à tout moment
07:57est quand même très important.
07:59Après ça, notre répartition sur les actions,
08:01c'est 20% France, 30% Europe,
08:0350% Amérique du Nord.
08:05Pour terminer sur l'Amérique du Nord,
08:07ça me semble quand même très important.
08:09On peut prendre un tout petit peu de bénéfices,
08:10mais il faut rester dans le marché.
08:11Encore une fois, pendant deux mois,
08:13on va faire le bilan.
08:14On va se rendre compte de quoi ?
08:15On va se rendre compte que comme chaque année,
08:17si vous manquez les deux ou trois ou quatre plus fortes séances de hausse dans l'année,
08:22votre performance à la fin de l'année sera divisée par deux.
08:24Donc, multiplier les mouvements d'aller-retour,
08:27franchement, vous prenez un gros risque
08:28compte tenu de cet élément statistique-là.
08:32Je terminerai pour l'allocation d'actifs
08:34en vous disant qu'on avait un petit peu d'or,
08:35on l'a vendu parce qu'on estimait que c'était quand même trop haut.
08:38Vous avez suivi le marché un petit peu ?
08:40Voilà.
08:40On n'a pas de bitcoin.
08:44On assume.
08:44C'est-à-dire qu'on regarde clairement,
08:46on assume cette perte, je dirais, de rendement potentiel.
08:50Pourquoi ?
08:50Parce qu'on aime bien les actifs
08:53qui ne reposent pas que sur la confiance.
08:56Et là, on voit bien que le bitcoin,
08:57ça reposait essentiellement sur la confiance,
08:59en plus en termes, sur le plan énergétique
09:01et sur le plan, je dirais, climatique.
09:03Il y a quand même beaucoup de questions qui se posent.
09:06Et on s'interroge, par contre,
09:08à faire renter le private equity.
09:10Et bien sûr, à cause du différentiel.
09:13Alors, c'est un marché très difficile, bien sûr,
09:15par le surcroît de performance,
09:16mais surtout pour un élément essentiel,
09:18c'est que contrairement au marché coté,
09:21le private equity n'est pas victime de court-termisme.
09:24Vous savez, là, on vient de terminer
09:26les résultats du troisième trimestre.
09:28En tout cas, pour les investisseurs particuliers,
09:30puisque c'est...
09:31Et même pour les entreprises,
09:32vous avez des entreprises qui sont obligées,
09:34notamment américaines,
09:35d'afficher chaque trimestre,
09:36donc alors, des résultats satisfaisants
09:38pour les marchés,
09:38et qui peuvent, du coup,
09:40être amenées à sacrifier des objectifs
09:41de long terme.
09:42Quand vous n'êtes pas,
09:43quand vous êtes non coté,
09:45il y a moins cette obligation
09:47qui peut se traduire,
09:48cette pression qui peut se traduire
09:49par des performances supérieures,
09:51d'autant plus que souvent,
09:52ce sont des startups,
09:53enfin, un certain nombre d'entreprises
09:54non cotées, pas toutes,
09:55sont des startups,
09:56et donc qui affichent des performances,
09:57des retours sur l'investissement
09:58plus intéressants
09:59que pour les entreprises cotées.
10:00Voilà.
10:00En fait, il y a quand même,
10:01il faut parler vrai,
10:02il faut le reconnaître,
10:03on est dans une période
10:03de totale incertitude,
10:05donc dans ces moments-là,
10:06il faut parfois revenir
10:07au fondamental et bien travailler
10:08votre allocation d'actifs.
10:09Et je terminerai quand même
10:10sur une note positive,
10:11qu'on voit peu.
10:12On dit souvent,
10:13les marchés européens
10:14sont travaillés par les marchés américains.
10:16Entièrement d'accord.
10:17Bon.
10:17Mais là, on vient quand même
10:18de terminer deux excellents mois
10:20pour la Bourse de Paris.
10:20On a terminé le mois d'octobre
10:22à 2,85%.
10:23C'est le meilleur mois en Bourse
10:24depuis janvier.
10:25Avec un record historique à la clé ?
10:27Il faut quand même le dire.
10:28Avec un record historique,
10:29il faut quand même le dire.
10:30Et alors,
10:30l'autre bonne nouvelle aussi,
10:31c'est qu'après,
10:32lorsque j'ai regardé un petit peu
10:33les statistiques,
10:34la performance du CAC 40
10:35depuis trois ans,
10:36en novembre,
10:37c'est 4% de moyenne
10:38sur les trois dernières années.
10:39Donc bon,
10:39on croise les doigts, quoi.
10:40Ouais, on n'est pas si mal.
10:42Alex Baron,
10:42je voyais rigoler
10:43avec le record historique.
10:45Voilà, c'est un rire jaune, quoi.
10:463% de performance
10:47en se disant
10:48que c'est la meilleure
10:48depuis le début de l'année.
10:49C'est beaucoup mieux
10:50que le livret A, franchement.
10:51Ah bon ?
10:523% sur le mois, quand même.
10:533%, vous payez
10:54à peu de l'inflation,
10:55il vous reste les impôts.
10:57Non, c'est sur le mois,
10:58c'est sur le mois.
10:58Non, non, mais c'est vrai que...
10:59Oui, je sais que c'est sur le mois,
11:00mais si on se compare
11:02aux indices américains,
11:03malheureusement...
11:04Bon, une fois de cette année,
11:05une fois que la déduction
11:05fait de la baisse du dollar,
11:06c'est pas extraordinaire.
11:09C'est vrai.
11:10L'effet de vise.
11:10L'effet de vise.
11:11L'effet de vise,
11:12ça a été terrible
11:14au premier semestre,
11:14ça s'est calmé un petit peu.
11:16Dites-donc, Félix,
11:18c'est vrai qu'on ne l'a pas préparé,
11:20mais avant de rentrer
11:21dans l'émission,
11:22je voyais BlackRock
11:22dégage du bitcoin,
11:24et pas qu'un peu.
11:25Il y a une whale,
11:27comme on dit,
11:27une énorme position
11:28très ancienne
11:29qui date de 14 ans,
11:31qui a été soldée
11:32sur le marché hier.
11:34Est-ce qu'il n'y a pas
11:34des petits signes
11:35de craquelement aussi
11:36du côté des cryptos ?
11:38Alors, ça correspondrait aussi
11:39à cette espèce
11:41de petite fibrillation
11:42du marché à laquelle
11:43on assiste depuis 2-3 jours,
11:44mais il n'y a pas
11:45un petit signal d'alerte
11:46qui confirme un petit peu
11:48le mauvais sentiment
11:48du moment, là ?
11:49Ce qui est sûr,
11:50c'est que s'il y a
11:52un craquelement
11:53côté marché actions,
11:54le marché crypto
11:55ne va pas rester
11:56à ses plus hauts historiques.
11:58Donc, je pense que
11:58c'est un effet de...
12:00Si vous avez de l'argent
12:00à mettre en crypto,
12:01ça veut dire que vous avez
12:02déjà de l'argent investi
12:03en actions.
12:04Vous dégagez,
12:05entre guillemets,
12:05le plus risqué en premier.
12:07Et moi, par exemple,
12:08à titre personnel,
12:09j'ai soldé ma position
12:10Ethereum il y a deux semaines.
12:12Mais en revanche,
12:13je garde Bitcoin,
12:14je l'assume.
12:15On venait de plusieurs mois
12:16de grosses progressions
12:17en plus sur l'Ether.
12:18Ah, moi, c'était depuis
12:18fin 2020.
12:20Donc, je l'avais gardé
12:225 ans en Ether.
12:25L'optique long terme
12:26était largement gagnante.
12:28Good game.
12:28Mais bon, à suivre.
12:29Éventuellement,
12:30c'est quelques craquelements
12:31du côté du marché
12:33des cryptos.
12:34et à court terme,
12:36un marché qui corrige
12:37quand même assez nettement.
12:38Moins 1,7%
12:39pour le CAC 40.
12:39Messieurs,
12:40merci d'avoir été là.
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