- il y a 4 semaines
Marschall Truchot, du lundi au jeudi de 17h à 19h avec Olivier Truchot & Alain Marschall. Deux heures pour faire un tour complet de l’actualité en présence d’invités pour expliquer et débattre sur les grands sujets qui ont marqué la journée.
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00:00La tempête Benjamin continue de traverser la France, même si elle perd en intensité.
00:04On vient d'apprendre qu'un vacancier allemand qui se trouvait en Corse a été emporté par une crue.
00:10Cet homme de 45 ans a été retrouvé mort cet après-midi,
00:15emporté par les eaux du côté de Galeria, en Haute-Corse.
00:20Cette victime se baignait avec sa femme, ses deux enfants,
00:24lorsque la famille a été emportée par la montée rapide des eaux provoquée par les orages en montagne.
00:30On a réussi à sortir de l'eau la femme âgée de 39 ans et ses deux enfants vivants.
00:36Malheureusement, l'homme, lui, a été retrouvé mort.
00:39Ça veut dire que cette tempête, même si elle perd en intensité,
00:43elle reste dangereuse avec de très fortes rafales de vent, des vagues, des orages.
00:48Eleonore Bocara, où on est tout précisément dans la vigilance orange.
00:52Alors, pour cette vigilance, pour l'instant, on a encore six départements,
00:55les départements du Nord, vers l'Alpe-Maritime également.
00:58Alors, pardon, je vous interromps, priorité au direct, Roland Lescure,
01:01le misé d'économie qui fait un point sur les coupures d'électricité.
01:04...qui est arrivé de l'ouest et qui est en train de se déplacer vers l'est.
01:07L'épisode n'est pas terminé.
01:09Donc, évidemment, on fera le bilan de cet épisode quand il sera terminé.
01:13Mais en tout cas, du côté de l'électricité, on a plutôt des bonnes nouvelles à vous donner.
01:16Est-ce que le plus dur est passé désormais ?
01:18Ben, j'espère. On est actuellement plutôt dans les Alpes.
01:21Donc, on annonce aussi un épisode avec de la neige collante qui peut éventuellement se traduire par des risques d'accidents de la route et autres.
01:29Donc, j'appelle évidemment tous vos téléspectateurs à être extrêmement prudents.
01:33Mais les équipes sont mobilisées, ils ont bien travaillé et vont évidemment continuer à le faire.
01:36Quels sont les bons conseils à donner à tous ceux qui sont encore concernés par ces difficultés sur le terrain ?
01:41Alors, d'abord, quand vous êtes privé d'électricité, vous pouvez vous connecter sur le site d'Enedis,
01:47qui est l'entreprise qui vous livre de l'électricité aujourd'hui chez vous.
01:50Il y a aussi une ligne téléphonique que vous pouvez appeler.
01:51Et là, on vous informera à la fois de l'état, des dommages, si je puis dire.
01:56Et puis, on espère pouvoir vous rassurer sur le fait que vous allez bientôt être branché.
02:00Évidemment, pour le reste, attention quand vous êtes au cœur de la tempête.
02:04Évitez de sortir de chez vous sans précaution.
02:07Faites extrêmement attention quand vous conduisez.
02:10La plupart des accidents et d'ailleurs des incidents électriques sont liés à des arbres qui tombent.
02:15Donc, évidemment, on est en automne, les feuilles sont extrêmement présentes sur les arbres.
02:19Donc, la prise au vent est très forte.
02:20Donc, attention évidemment à ce risque d'accident qui ne concerne pas seulement les lignes électriques,
02:25mais aussi les conducteurs.
02:26Est-ce que vous voyez là une incidence de changement climatique
02:29avec des événements de plus en plus violents, de plus en plus récurrents ?
02:31Écoutez, avant-hier, on en a eu dans le Val-d'Oise.
02:33On en a un aujourd'hui d'ampleur nationale.
02:36Évidemment, il suffit de regarder les chiffres pour se rendre compte de ce genre d'événements climatiques.
02:40Ils sont de plus en plus fréquents.
02:42Ils sont aussi de plus en plus violents.
02:44Donc, ça, ça met de la pression évidemment sur toutes les équipes en fait,
02:47et pas seulement les équipes électriques, mais aussi les forces de sécurité, les pompiers.
02:51On sait qu'un pompier a été blessé, Laurent Nunes l'a dit tout à l'heure.
02:54Donc, ça met beaucoup de pression, j'allais dire, sur l'ensemble du système.
03:00Ça doit nous conduire aussi à réfléchir sur la manière de continuer à lutter contre le changement climatique.
03:06Et toutes les politiques qu'on a mises en place pour assurer la transition climatique,
03:10elles sont là aussi pour, à terme, on l'espère, limiter ce genre d'incident.
03:14Vous êtes ministre de l'économie, à deux reprises, là, on vous a parlé argent.
03:17Vous avez l'habitude que ce soit le cas.
03:18Est-ce qu'avec, justement, ce changement climatique, il va falloir pouvoir donner plus de budget ?
03:22En ce temps, on essaie de faire des économies.
03:24Est-ce que c'est des instances auxquelles il faut donner plus de budget pour justement préparer ces éléments climatiques ?
03:29Mais ce qu'on voit sur des épisodes aujourd'hui, en tout cas, c'est que guérir, ça coûte.
03:34Donc, il faut investir dans la prévention.
03:36Parce que quand on se retrouve face à des tempêtes, on a mobilisé plus de 1000 collaborateurs sur le terrain.
03:42On peut parfois aller même au-delà, 2000, 3000 collaborateurs qui se déploient sur le terrain.
03:47Il faut mobiliser des groupes électrogènes, une organisation logistique exceptionnelle.
03:50Donc, effectivement, prévenir, c'est mieux que guérir.
03:53Donc, il faut qu'on travaille, on en a parlé sur l'enterrement des réseaux,
03:57qui fait qu'évidemment, les risques sont moins élevés.
03:59Il faut aussi qu'on travaille sur l'ensemble des mesures de prévention,
04:02au-delà, évidemment, du réseau électrique, contre les épisodes climatiques auxquels on fait face.
04:07L'écologie, le lutte contre le réchauffement climatique, en fait, c'est une cause nationale.
04:11C'est même une cause mondiale, on peut se le dire, même si, ailleurs dans le monde aujourd'hui, ça passe de mode, si je puis dire.
04:18C'est une cause nationale qui doit tous nous mobiliser.
04:20Les industriels, c'est aussi un enjeu économique très fort.
04:24Il faut qu'on décarbone l'industrie, il faut qu'on investisse dans nos industries vertes,
04:27parce qu'au fond, cette cause nationale, elle peut permettre à la fois de gérer mieux ce risque climatique,
04:33mais aussi de générer de l'activité économique, de l'emploi.
04:35On est capable de réconcilier économie et écologie.
04:38Ça va prendre de l'investissement, et pas seulement public.
04:41Je pense qu'on a besoin que toutes les forces se mobilisent, les entreprises, évidemment, elles aussi.
04:44Vous pouvez nous donner le nombre de foyers impactés à l'heure où on se parle ?
04:47Donc, à l'heure où on se parle, on est à 60 000, on était à 140 000 en milieu de journée,
04:52donc on voit que les équipes ont bien travaillé.
04:54Et je veux rassurer, évidemment, ceux qui sont encore privés d'électricité,
04:57on va continuer à tout faire pour qu'ils la récupèrent très vite.
05:00– Merci beaucoup.
05:00– Merci à vous.
05:01– Voilà, l'information principale à retenir, c'est ce chiffre, 60 000 foyers privés d'électricité.
05:09Il y a du mieux, parce qu'on parlait de 140 000 foyers privés d'électricité à la mi-journée.
05:14On est passé à 60 000.
05:15Les équipes d'Enedis travaillent d'arrache-pied.
05:18Un mot, d'ailleurs, avec vous, Ludovic Pinguano.
05:22Enedis, bien sûr, a l'habitude d'intervenir sur ces situations d'urgence.
05:27Il y a des équipes un peu partout sur le territoire ?
05:28– Oui, il y a surtout un dispositif spécifique qui existe au sein d'Enedis depuis quelques années maintenant
05:32et qui est de plus en plus efficace, qui s'appelle la FIRE, F-I-R-E, Force d'intervention rapide électrique.
05:38Et donc, ce sont des équipes, et c'est tout un dispositif qui est déployé sur l'ensemble du territoire,
05:41ou du moins sur l'ensemble du territoire qui risque d'être impacté par l'épisode météo.
05:47Et là, en l'occurrence, c'est tout le territoire national.
05:49Donc, c'est un dispositif qui est déployé partout, par anticipation.
05:53Et donc, les équipes sont en capacité d'intervenir dès qu'ils commencent à identifier des ruptures,
05:58des coupures d'électricité sur certaines zones.
06:00Et on le voit, c'est quand même extrêmement efficace.
06:02Ils étaient prépositionnés dès hier soir.
06:05140 000, Olivier, vous venez de le dire, il y a encore la mi-journée.
06:0860 000 maintenant, et puis on peut espérer que d'ici ce soir,
06:12il y aurait encore pas mal de foyers qui pourront récupérer l'électricité.
06:14Donc, voilà, je crois que c'est à souligner.
06:17L'efficacité d'Enedis pour, effectivement, rétablir l'électricité.
06:2160 000 foyers privés d'électricité à 17h30.
06:24On va revenir donc sur le décès de cet homme emporté par la crue en Haute-Corse.
06:29Il y a eu beaucoup d'orages en Corse.
06:30Il y a eu aussi de fortes rafales de vent.
06:32On va retrouver Éric Brocardi, le porte-parole de la Fédération nationale des sapeurs-pompiers de France.
06:37Bonsoir.
06:38Et Éric, tout d'abord, un mot sur ce qui s'est passé en Corse.
06:42C'est une famille qui a été emportée par la crue d'une rivière.
06:47Cette famille se baignait.
06:49Bon, on a pu sauver la femme et les enfants.
06:52Malheureusement, on a retrouvé le corps sans vie du mari.
06:54Exactement.
06:56C'est malheureux l'épisode qui vient de se produire.
07:00Et donc, forcément, une famille en dehors à laquelle on pense, même si cela reste évidemment nos confrères européens qui, aujourd'hui, sont quelque part, on va dire, soumis à ce dérèglement climatique et notamment à ses impacts.
07:12Et on le voit encore aujourd'hui.
07:14C'est vrai qu'on pourrait se poser la question de, on va dire, de l'universalité des messages de prévention qui sont donnés aujourd'hui au travers de tous les schémas de canaux de communication que l'on a aujourd'hui.
07:26Allons plus loin.
07:26Je pense que c'est nécessaire aujourd'hui la traduction.
07:30Je pense que c'est nécessaire aussi de continuer à essayer d'aller beaucoup plus vite et beaucoup plus fort dans les messages de prévention.
07:36Parce que quand on voit cela encore aujourd'hui, il est nécessaire aujourd'hui de prendre en considération la barrière de la langue et prendre en considération aussi le fait qu'à ce jour, on n'est jamais à l'abri, comme vous pouvez le voir, qu'à tout moment, il peut y avoir encore une fois la nature qui vient se déchaîner et vient de détruire des vies humaines.
07:52Et donc là, en deuil une famille. Donc, c'est vrai, aujourd'hui, il y a bon nombre d'actions qui ont été menées dans le cadre de la prévention par les préfectures, eux aussi par les sapeurs-pompiers, par toutes les autres forces de sécurité intérieure.
08:06Mais comme on peut le constater, avec un petit peu de recul, c'est d'aller encore plus loin.
08:10Je me souviens aussi des épisodes neigeux, des épisodes de tempête qui bloquent les conducteurs de poids lourds sur la route qui viennent à travers l'Europe.
08:18Et on est en manque, quelque part, de traduction de nos messages de prévention sur l'ensemble du territoire européen, j'ai envie de dire, parce qu'aujourd'hui, la force de l'Europe, c'est aussi d'avoir ce mélange des populations au travers des périodes touristiques
08:32où on doit prendre en considération le fait de pouvoir bien diffuser jusqu'au bout ces messages de prévention.
08:37– Éric, un mot également sur ce sapeur-pompier qui a été gravement blessé, ça fait partie aussi du bilan.
08:46Un blessé grave, donc ce pompier et puis six blessés plus légers. Vous en savez plus sur votre collègue ?
08:52– Écoutez, notre collègue, pour l'instant, est toujours en très haute surveillance de la part des services hospitaliers de Gironde.
09:00– C'est vrai qu'on avait l'information qu'effectivement, notre collègue, une fille sapeur-pompier, avait fait une chute depuis une échelle.
09:07Donc c'est pour vous redire, en situation de tempête comme celle-ci, on doit continuer encore à être beaucoup vigilant,
09:14notamment pour la partie des appels d'urgence des sapeurs-pompiers, de les appeler en cas de nécessité.
09:19Parce que vous le voyez encore une fois, c'est le dérèglement climatique et les enjeux, on va dire, de protection et de secours auprès de la population
09:25qui viennent blesser le corps des sapeurs-pompiers. On se souvient de Bruno Colubert, on se souvient effectivement de Manon aussi en 2023,
09:35suite à des intempéries, suite à des sujets, on va dire, liés aux dérèglements climatiques
09:40et qui font qu'aujourd'hui, nous perdons des hommes et des femmes. Aujourd'hui, heureusement pour l'instant, il n'est que blessé.
09:46On lui sait un très prompt rétablissement. Nous pensons à tous nos collègues Girondas, c'est extrêmement important,
09:50et surtout à toutes ces forces de secours qui sont engagées, qui doivent faire preuve à la fois d'audace,
09:56de dextéristé, de technicité, avec des conditions d'évolution qui sont extrêmement particulières,
10:01avec ces fameuses bourraches que devant. Vous savez, les sapeurs-pompiers, ils utilisent évidemment leur échelle à deux plans.
10:07Ils utilisent évidemment des moyens aériens type échelle pivotante automatique ou des bras aériens.
10:12Donc forcément, ça demande beaucoup, on va dire, d'adresse de leur part et ça renforce encore nos mesures de sécurité
10:18qui sont déjà à un certain niveau. Donc vous voyez qu'aujourd'hui, nous prenons en compte la mesure et la force
10:25du dérèglement climatique qui fait qu'on doit encore se remettre autour de la table pour consolider notre manière de travailler,
10:33notre doctrine opérationnelle, parce que par rapport à cela, nous devons toujours adapter à la fois les moyens humains
10:38dont nous sommes encore à la recherche d'avoir encore 50 000 sapeurs-pompiers volontaires d'ici 2030-2040
10:44pour permettre justement de faire face au dérèglement climatique et de continuer à adapter,
10:48à renforcer nos moyens techniques sur le terrain pour permettre justement de pallier à tous ces éléments du dérèglement climatique.
10:55Merci Eric Brocardi d'avoir été en direct avec nous.
10:58Donc une pompier qui a été blessée, qui est tombée d'une échelle et puis ce vacancier allemand
11:04qui a perdu la vie emportée par une rivière en Corse dans le bilan humain qu'on peut faire ce soir.
11:10On va aller maintenant sur le terrain retrouver Milan Argelas qui est du côté de Biarritz.
11:14Ça souffle fort encore, même si la tempête est en train de perdre en intensité.
11:19En tout cas, Milan, pas question d'aller se promener en bord de mer.
11:25Absolument Olivier, puisque nous avons vu avec Lucas David plusieurs vacanciers,
11:29mais aussi des habitants de Biarritz se balader toute la journée en bord de mer.
11:33Mais depuis quelques minutes maintenant, la police municipale a fermé l'accès au front de mer.
11:38Il a été tout simplement évacué.
11:40Les dernières personnes qui ont été priées de quitter ce front de mer
11:45parce qu'il y a une vigilance toute particulière portée aux vagues.
11:49La mer qui est très agitée depuis le début de la journée.
11:53Sauf que nous étions jusqu'à présent en marée basse
11:56et nous sommes progressivement en train d'atteindre en ce moment le pic de la marée haute.
12:00Il devrait être atteint normalement, nous dit-on, aux alentours de 18 heures.
12:05Et donc pour prévenir cette marée haute, le front de mer a été évacué.
12:09Des protections ont été installées, des sacs de sable, on l'a dit, au bord de la plage.
12:15Mais aussi certains commerces situés en face de la plage ont dû fermer leurs portes.
12:20Nous avons échangé avec certains commerçants qui nous expliquaient
12:22être ouverts aujourd'hui entre 9h et 16h pour éviter ce risque de marée haute
12:28qui devrait arriver progressivement jusqu'à 18h.
12:32Ici à Biarritz, il y a eu des vagues de plus de 6 mètres de hauteur,
12:37des rafales de vent atteignant parfois les 110 km heure.
12:40Plus largement sur le département des Pyrénées-Atlantiques,
12:43les rafales de vent ont atteint les 130 km heure.
12:46Et puis il y a eu sur le Pays Basque des vagues allant jusqu'à 10 mètres de hauteur.
12:50Merci Milan Argelas avec Lucas David pour les images du côté de Biarritz.
12:55Alors cette tempête Benjamin perturbe également le transport ferroviaire.
13:00On va faire le point avec Nargis Adji, la SNCF,
13:03qui a annoncé que la circulation de nombreux trains serait suspendue aujourd'hui.
13:08Oui, et à l'heure actuelle, de nombreuses régions restent encore fortement touchées.
13:12Les grandes lignes d'abord.
13:13La SNCF a pris ses précautions pour éviter d'avoir des trains ou encore des voyageurs bloqués.
13:19Conséquence, aujourd'hui, pas de TGV entre La Rochelle-Paris,
13:22entre Paris et Dunkerque, entre Paris et Le Mans.
13:25Et au départ de Paris vers Toulouse ou encore vers Tarbes,
13:28le terminus se fait actuellement à Bordeaux-Saint-Jean.
13:31La circulation des TER, elle aussi, est fortement perturbée.
13:34On commence avec les Hauts-de-France.
13:36Plusieurs lignes sont suspendues dans la région.
13:38Les trains ne roulent pas au-dessus de 70 km heure et la circulation est totalement interrompue
13:43entre Arras-Saint-Paul, Amiens-Compiègne, Beauvais-Creil.
13:47Retour à la normale prévue seulement à partir de demain, en début de matinée.
13:51La Normandie, c'est quasiment l'arrêt total du trafic sur les lignes normandes.
13:56Alors, nous avons décidé de vous mettre les trois lignes qui roulent.
13:58Paris-Vernon, Paris-Rouen, Paris-Dreux.
14:01Le pays de la Loire, l'une des régions où le trafic est le plus perturbé.
14:05Le trafic est fortement perturbé dans les deux sens de circulation sur la quasi-totalité
14:09des lignes de TER du pays de la Loire, Nantes-Pornic, Nantes-La Rochelle, Nantes-Rennes
14:14ou encore différentes lignes, mais la liste n'est pas exhaustive.
14:19Elles sont très nombreuses et on le rappelle, la reprise de la circulation est prévue ce soir
14:23aux alentours de 23h59.
14:26Ce n'est pas terminé.
14:27De nombreuses lignes interrompues également sur la Nouvelle-Aquitaine sans substitution routière.
14:34La SNCF nous fait savoir que plusieurs centaines d'agents sont mobilisés.
14:38L'objectif, vous l'aurez compris, de permettre une reprise au plus vite de la circulation.
14:42Et la SNCF vous conseille évidemment de vous renseigner avant de vous rendre en gare.
14:47A noter que la Corse n'est pas épargnée.
14:49Le trafic portuaire est suspendu à Lille-Rousse et à Bastia depuis la mi-journée.
14:54Et enfin à Paris, à Lyon, à Nantes et à Bordeaux.
14:57Les parcs, les jardins, les cimetières sont fermés toute la journée.
15:03Merci Nargis.
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