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Crise politique : «On est la risée de la France et du monde», déplore l'ancien député Renaissance Patrick Vignal
Europe 1
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il y a 2 mois
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00:00
Europe 1 Soir, 19h, 21h, Pierre de Villeneuve.
00:04
Avec jusqu'à 20h pour m'accompagner Jules Torres,
00:07
Journiste politique au JDD. Bonsoir Jules.
00:08
Bonsoir Pierre, bonsoir à tous.
00:09
Bonsoir Adrien Matou, directeur adjoint de la rédaction de Marianne.
00:13
Deux invités, j'allais dire pour le prix d'un, deux invités, c'est pas sympa.
00:17
Deux invités politiques ce soir dans Europe 1 Soir
00:20
qui s'affrontent d'une certaine manière ou pas, on verra bien.
00:22
Laurence Garnier, bonsoir.
00:23
Bonsoir.
00:24
Vous êtes sénatrice de Loire-Atlantique, vice-présidente LR.
00:27
Bonsoir Patrick Vignal.
00:27
Vous êtes ancien député Renaissance de l'Hérault.
00:30
Alors, dernière en date, parce que ça change toutes les heures j'ai envie de dire.
00:34
Et je le disais en titre, nous surveillons ça comme le lait sur le feu.
00:38
Qu'est-ce que vous pensez d'un gouvernement Lecornu 2
00:42
avec un retour, Laurence Garnier, de Sébastien Lecornu
00:45
et un accord de non-censure du PS ?
00:50
Bon, d'abord, la confusion générale de la journée
00:53
nous invite à la prudence la plus essentielle
00:57
compte tenu de tout ce qu'on a entendu des revirements de situation.
01:01
Donc, moi, je le dis très sincèrement aujourd'hui, à l'heure où on se parle
01:04
et ce sera valable le temps qui suivra,
01:08
je ne sais pas de quel côté va tomber la pièce.
01:11
Je n'ai pas d'informations pour le dire.
01:12
En tout état de cause, du côté des Républicains,
01:16
le président Bruno Retailleau a été très clair
01:19
en posant en fin de semaine cet acte de rupture
01:23
et en expliquant que, en l'état, les choses n'étaient pas satisfaisantes.
01:28
Donc, on va voir ce qui sortira des discussions.
01:31
On aura l'occasion, pour ce qui nous concerne, d'en reparler en toute fin de journée.
01:35
Mais je ne peux pas vous dire davantage aujourd'hui
01:38
si ce n'est que nous attendons que les choses soient clarifiées
01:42
et qu'on n'assiste pas à nouveau à une reprise en main de la Macronie
01:48
comme on y a assisté une forme de glissement
01:51
qui s'est installée sur le moyen terme
01:54
où on est passé, en quelques mois, de Michel Barnier,
01:57
LR de notre famille politique
01:58
qui nous a permis d'entrer au gouvernement à François Bayrou
02:02
puis à Sébastien Lecornu, notoirement proche...
02:05
C'était coexistence exigeante.
02:07
Coexistence exigeante.
02:08
La dernière mouture qui a été présentée par Sébastien Lecornu
02:13
je pense aurait pu être parfaitement la même
02:15
si Emmanuel Macron avait eu une majorité à l'Assemblée nationale.
02:20
C'est ça qui nous a questionnés,
02:21
c'est ça qui a amené Bruno Retailleau
02:22
à poser la semaine dernière cet acte de rupture.
02:25
Patrick Vignal, quel est votre sentiment ce soir ?
02:27
Écoutez, il faut arrêter à Malibu, là, ce n'est pas possible.
02:29
Chaque cinq minutes, il y a un feuilleton nouveau.
02:31
Moi, je vais être clair,
02:32
on aurait pu faire un accord avec LLR
02:34
parce qu'en fait, on n'est pas si loin à la Macronie.
02:36
Bon, ça n'a pas marché pour diverses raisons.
02:38
Je ne sais pas, madame, si c'est la faute de Bruno Le Maire,
02:42
si c'est les relations compliquées entre Laurent Wauquiez et Bruno Retailleau.
02:45
Je vous rassure, et chez moi, au Bourg-Santale, on a les mêmes.
02:48
Donc, il va falloir que ça s'arrête maintenant.
02:50
Maintenant, on est la risée de la France et du monde.
02:52
C'est le premier point.
02:53
On est parfaitement d'accord là-dessus, monsieur le député.
02:54
Je vais être clair, moi je trouve, et je l'ai dit au Président,
02:57
je trouve qu'à un moment donné,
02:58
puisque le nouveau Front Populaire nous explique tous les jours
03:00
qu'eux, ils peuvent, un, gouverner,
03:03
et deux, qu'ils peuvent trouver un accord de non-censure
03:05
parce que le vrai débat, c'est juste l'accord de non-censure pour quelques mois.
03:09
Après, avec madame la sénatrice, on sera en 2027,
03:12
on réfléchira sur la retraite, l'économie, la taxe humaine,
03:14
on aura le temps de le faire.
03:16
Ce que le Président n'a pas fait en 2022, il n'y a plus de campagne.
03:20
Donc, moi, j'ai toujours dit, on va arrêter de dire, je nomme un tel.
03:24
Parce que vous avez vu, déjà au nouveau Front Populaire,
03:27
Cyril Châtelon,
03:29
qui dit, moi, je ne veux pas de Bernard Cazeneuve.
03:32
Ils sont au moins sept candidats.
03:34
Moi, je suis président de rappel, je leur dis, voilà,
03:36
le camion est là, il y a un peu de problème avec les avaries,
03:38
il y a un peu d'essence,
03:40
vous me ramenez dans 48 heures un candidat,
03:43
et après, sinon, je veux être clair,
03:44
allons chercher Laurent Berger,
03:46
allons chercher des gens qui feront de la médiation,
03:49
parce que...
03:50
Apolitique, même si Laurent Berger...
03:52
Je vais vous dire, franchement,
03:53
je vais vous dire, très franchement,
03:55
et les filles, qu'est-ce qu'ils veulent ?
03:57
Voilà, l'horloge biologique tourne pour notre ami Jean-Luc Mélenchon,
04:00
il a des troupes, il faut être honnête,
04:02
et lui, il a son programme, lui.
04:05
Il a dit, chez vous, il a dit partout, il a dit,
04:07
moi, je veux séduire les quartiers populaires,
04:09
et je me sers ce qui se passe à Gaza,
04:11
pour gagner la présidentielle.
04:12
Marine Le Pen, elle a complètement raison.
04:14
Marine Le Pen, elle se dit, de 123,
04:16
je ne vais pas être arrivé à 180 parlementaires,
04:19
je remplis ma caisse, je prépare.
04:21
Avec eux, on ne peut rien faire.
04:23
Donc, moi, je dis, donnons les clés à ce nombre,
04:25
et qu'ils se démerdent.
04:26
Bon, moi, je ne peux pas être clair.
04:27
Un peu, Jules, tu as resté.
04:29
Oui, je ne sais pas si...
04:30
Qu'ils se démerdent, mais qu'ils arrêtent cette mascarade,
04:32
en tout cas, on ne peut pas continuer comme ça.
04:34
Depuis juillet dernier,
04:35
on n'a pas de majorité à l'Assemblée nationale,
04:37
on n'arrive pas à faire voter aucun texte,
04:40
un petit peu, qui change la vie des Français,
04:42
il n'y a pas un seul Français qui vous dit
04:44
que leur vie a changé en bien.
04:46
Le 7 juillet de 2024.
04:48
Donc, il faut clarifier cette situation à l'Assemblée nationale.
04:50
On ne peut pas avoir ces trois couloirs de nage.
04:52
L'Assemblée nationale n'a pas été pensée
04:55
par le général de Gaulle et Michel Debré.
04:56
En tout cas, la Constitution n'a pas été pensée comme ça.
04:59
Donc, il faut revenir à quelque chose de beaucoup plus normal,
05:02
c'est-à-dire une dissolution
05:04
qui pourrait amener possiblement à une majorité,
05:06
peut-être pas absolue.
05:07
Moi, je pense que, dans le contexte actuel,
05:09
le fait majoritaire n'existe pas.
05:11
Du reste, on sait très bien que s'il y avait une dissolution,
05:14
il y aurait un des blocs qui disparaîtrait.
05:16
Marine Le Pen, en Auvergne, tout à l'heure, disait ceci.
05:19
Je censure tout.
05:21
Voilà. Là, maintenant, stop.
05:23
La plaisanterie a assez duré.
05:24
D'accord ?
05:25
On fait courir les Français, d'ailleurs, des babales,
05:28
tout ça pour gagner du temps.
05:30
C'est inadmissible.
05:31
Donc, ça n'est pas...
05:32
D'ailleurs, les politiques vont être données.
05:34
S'ils veulent supprimer,
05:35
s'ils veulent suspendre, ils suspendent.
05:37
Voilà.
05:38
Ils ont largement le temps,
05:39
entre le moment où on déposera la motion de censure,
05:42
de le faire.
05:43
Bon.
05:44
Et ce sera au bénéfice de tous.
05:46
Mais on ne peut pas admettre
05:48
qu'on contourne à ce point
05:50
les institutions de la Ve République.
05:52
Donc, voilà.
05:53
Maintenant,
05:55
on siffle la fin de la récréation.
05:58
Laurence Garnier,
05:59
Marine Le Pen qui siffle la fin de la partie.
06:01
Est-ce que ce n'est pas,
06:02
j'allais dire,
06:03
le sentiment de la majorité des Français ?
06:07
De cette fin de mascarade,
06:09
la fin de la plaisanterie ?
06:11
Évidemment.
06:12
Je ne vais pas vous dire aujourd'hui,
06:13
en tant que femme politique,
06:14
et je crois que c'est pareil pour M. le député,
06:16
qu'on est fiers de ce qu'on renvoie aujourd'hui,
06:19
du spectacle qu'on renvoie aux Français.
06:21
Évidemment, c'est terrible.
06:23
On perd beaucoup de Français.
06:24
Il y a beaucoup de colère.
06:25
Moi, en circonscription,
06:26
en Loire-Atlantique, je l'entends.
06:28
Les élus, les maires que je représente,
06:30
les citoyens, les Nantais,
06:31
me le disent.
06:32
Donc, évidemment,
06:33
il faut siffler la fin de la récréation.
06:35
C'est une évidence,
06:36
et moi, j'attends rapidement
06:37
une prise de parole du président de la République.
06:39
Maintenant, ce qu'il faut dire aussi,
06:41
c'est que Marine Le Pen,
06:42
quand elle appelle à la dissolution,
06:44
elle participe aussi de cette mascarade,
06:45
puisqu'elle sait très bien
06:46
qu'elle attend, elle,
06:49
de gagner politiquement
06:50
des voix, des députés,
06:52
des sièges, des postes,
06:53
concrètement, de cette dissolution.
06:55
Donc, je veux dire,
06:56
qu'on ne fasse pas de son moral,
06:58
le RN n'est pas mieux que les autres.
06:58
Vous qui êtes sédatrice de Loire-Atlantique,
07:01
Mme Garnier,
07:01
quand vous parlez au Nantais,
07:03
qu'est-ce qu'ils vous disent ?
07:03
Ils vous disent,
07:04
nous, on aimerait une dissolution,
07:05
ou ils vous disent,
07:07
juste de façon un peu évasive,
07:09
parce qu'ils ne sont peut-être pas
07:10
aussi spécialistes que vous,
07:12
que nous,
07:13
les journalistes politiques,
07:14
ils vous disent,
07:15
Johanna Roland,
07:16
on voudrait sortir de la situation.
07:18
Faites pas de mauvais esprit,
07:19
Jules Torres,
07:20
c'est pas le moment.
07:20
La situation est grave.
07:21
Je précise à Jules Torres
07:22
que ça n'est absolument pas
07:23
ce qu'ils nous disent,
07:24
que ce soit bien clair.
07:26
Qu'est-ce qu'ils nous disent ?
07:27
Ils nous disent,
07:27
il faut dissoudre.
07:28
Ils nous disent,
07:29
ils n'entrent pas dans ces considérations-là.
07:31
Très franchement,
07:32
c'est complexe,
07:33
la constitution de la Ve République
07:34
est complexe.
07:35
Nous, on a l'impression
07:36
depuis un an
07:36
d'assister à un cours
07:37
de droit constitutionnel.
07:38
On découvre tous les jours
07:39
en tant que parlementaires
07:40
de nouveaux articles,
07:41
de nouvelles subtilités.
07:42
Donc non,
07:43
ce que nous disent
07:43
les Nantais,
07:45
ce que nous disent
07:45
les habitants de la Loire-Atlantique,
07:46
ce que nous disent
07:47
les Français en général,
07:49
c'est
07:49
comportez-vous en adultes
07:53
et arrêtent
07:53
de donner ce spectacle
07:54
affligeant aux Français.
07:56
Vous savez,
07:57
je pense que c'est pire que ça.
07:59
Ancien député de l'Hérault.
08:01
La parole politique
08:02
est devenue,
08:03
c'est dur ce que je vais dire,
08:04
une langue morte.
08:05
J'ai fait trois mandats
08:06
à l'Assemblée.
08:07
Quand je vois
08:07
certains parlementaires,
08:08
je me dis,
08:09
mais qu'est-ce que j'ai fait
08:10
dans ce monde-là ?
08:11
Et c'est dur ce que je vous dis
08:12
et je peux vous jurer
08:13
que je le pense vraiment.
08:14
Et je vais répondre
08:15
à Jules Thorez
08:16
sur la dissolution.
08:18
Je vais m'engager ce soir, moi.
08:19
Si je savais demain
08:20
qu'il y ait 300 parlementaires
08:21
du Rassemblement National,
08:23
pourquoi pas ?
08:24
Mais ça ne sera pas le cas,
08:25
M. Thorez.
08:26
Mais vous ne le savez rien,
08:27
M. Thorez.
08:27
Attends, attends, attends.
08:28
Il faut remarquer sur pause.
08:29
Si vous...
08:30
Il y avait 300...
08:31
Si on savait
08:31
qu'une dissolution
08:33
permettrait à un camp...
08:34
Oui.
08:35
À un camp...
08:35
Alors, en l'occurrence,
08:36
vous avez parlé
08:36
du Rassemblement National.
08:37
Ça peut être le Bloc Central.
08:38
Eh bien, quoi ?
08:39
Il y en a.
08:39
Ou ça peut être LFI.
08:41
Non, vous...
08:41
Équisez une majorité...
08:42
Non, mais...
08:43
Vous venez de vous rattraper
08:44
à des branches
08:44
qui n'existent pas.
08:45
Vous venez de dire
08:46
s'il y a...
08:47
Demain, il y a 300 RN,
08:49
je signe.
08:50
Non, je ne signe pas.
08:51
Ben si, vous avez dit ça
08:52
il y a un instant.
08:52
Non, je n'ai pas dit ça.
08:53
Je veux répondre
08:54
à Jules Thorez
08:54
qui dit qu'il faut
08:55
une dissolution.
08:56
Je vous paie
08:57
ce que vous voulez,
08:58
une croisière
08:59
sur la ville de Sète
09:00
qui est extraordinaire,
09:01
cher monsieur,
09:02
que si demain
09:02
il y avait une dissolution,
09:04
il y a 123 députés RN.
09:06
Il faudrait en trouver
09:07
289.
09:09
Je voudrais...
09:10
Je voudrais...
09:11
15, ça fait 143.
09:13
Je voudrais qu'on m'explique
09:14
où trouver
09:14
les 140 qui manquent.
09:16
Je vous fais un pari
09:17
que vous ne trouverez pas.
09:19
La France insoumise, non ?
09:20
Non, et vous savez
09:20
ce qui est permissueux ?
09:21
Je veux dire pourquoi
09:22
c'est permissueux.
09:23
Et c'est que si je suis
09:24
Jordan Bardella aujourd'hui,
09:25
je n'ai pas la majorité,
09:27
il dit
09:27
si je n'ai pas la majorité,
09:29
je n'irai pas gouverner.
09:30
Du coup, on fait quoi
09:30
le lendemain ?
09:31
On fait quoi ?
09:32
Une fois qu'on n'a pas
09:33
de majorité,
09:34
on retourne Jules Thorez
09:35
à trois blocs ?
09:36
Mais il n'y a pas
09:36
cette majorité patrielle.
09:38
Ça ne marchera pas.
09:40
La dissolution
09:40
ne va pas trouver
09:41
mais vous n'êtes pas
09:43
Madame Soleil,
09:43
vous n'en savez rien.
09:44
Il n'y a pas de Madame Soleil ici
09:45
et Madame Garnier
09:46
n'est pas Madame Soleil non plus.
09:47
Elle va répondre
09:47
dans un instant.
09:48
Il est 19h26,
09:50
je suis malheureusement
09:50
obligé de marquer une pause
09:52
mais Laurence Garnier
09:52
et Patrick Vignal
09:53
sont là jusqu'à la fin
09:55
de la soirée
09:56
parce qu'on a beaucoup de temps
09:57
pour parler.
09:57
On peut rester la nuit
09:58
si vous voulez.
09:58
On peut rester la nuit
09:59
et si on trouve une solution,
10:01
alors là,
10:01
ça sera encore mieux.
10:03
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