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Crise politique : «C'est le flou qui règne à l'heure actuelle» estime Arthur de Laborde
Europe 1
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il y a 6 semaines
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00:00
Il est 11h47, ce qui veut dire que dans trois heures, la pleutrocratie se retrouve à l'Elysée.
00:06
Les pleutrocrates, voilà la formule. Je ne me permettrai pas de le dire.
00:11
Je ne me permettrai pas de dire qu'on connaissait la technocratie, on connaissait la technostructure,
00:17
on va connaître les pleutrocrates, ceux qui ont peur, ont peur du peuple,
00:22
ont peur de donner la parole aux français qui n'attendent qu'une chose,
00:25
c'est un peu de stabilité dans cette politique chaotique qui est menée depuis plusieurs années,
00:32
notamment par le chef de l'État.
00:35
Vous savez qu'il y a 14% des français qui lui accordent encore leur confiance.
00:38
J'ai vu un autre sondage aussi, Ipsos, fascinant.
00:41
Vous savez qu'il y a 91% des français qui estiment que le pays va dans la mauvaise direction.
00:47
91% s'il vous plaît Jules, c'est du jamais vu dans le monde.
00:50
C'est-à-dire que cette inquiétude-là, c'est numéro 1 dans le monde.
00:56
Vous imaginez 9 français sur 10 ?
00:58
Alors on est toujours bien sûr avec Arthur Delaborde, journaliste au service politique d'Europe,
01:02
Jules Thores du JDD, vous allez nous donner les informations dans un instant,
01:05
Ludo Victorot, maire UDI de Coubron en Seine-Saint-Denis,
01:08
et Benoît Perrin, directeur général de Contribuables Associés.
01:12
Jules Thores d'abord.
01:14
Les toutes dernières informations, peu avant midi,
01:17
et je rappelle qu'à 14h30, les chefs des partis sont attendus à l'Élysée,
01:22
sauf le RN, sauf la France Insoumise.
01:25
Je ne sais pas vous, mais quand j'ai une idée que je considère importante au milieu de la nuit,
01:29
c'est-à-dire à 2h30 du matin, généralement elle est mauvaise.
01:32
Je vous dis 2h30 du matin parce que c'est l'heure à laquelle a été envoyée
01:35
cette convocation à l'Élysée aux principaux partis politiques,
01:39
donc sans le RN et sans la France Insoumise,
01:42
pour deux raisons, on va les expliquer extrêmement rapidement.
01:44
D'abord, Emmanuel Macron considère qu'ils ne sont pas dans l'arc républicain.
01:47
Deuxièmement, ce sont les deux partis qui veulent une censure immédiate,
01:51
c'est pour cela que l'Élysée justifie qu'ils ne soient pas là.
01:54
Du reste, on voit bien que cette réunion, c'est un petit peu l'opération de la dernière chance,
01:59
que dans la tête d'Emmanuel Macron, ce n'est pas encore fait,
02:02
et qu'il veut finalement voir si les oppositions valident dans cette réunion
02:07
l'hypothèse de Sébastien Recornu, renommé à Matignon.
02:11
Et c'est Arthur Delaborde, du service politique d'Europe 1.
02:14
Cette réunion, c'est un peu Emmanuel Macron,
02:17
ça illustre à quel point Emmanuel Macron est dans le brouillard,
02:20
et à quel point le pouvoir finalement est enapté.
02:24
On voit que la classe politique est à cran.
02:27
Cette décision d'Emmanuel Macron de revenir en première ligne,
02:31
en convoquant à la dernière minute comme ça,
02:34
ce qu'il appelle l'arc républicain,
02:36
c'est assez étonnant parce que c'est risqué.
02:39
Donc ça veut dire que Mme Pondelier et Mme Sainte-Soline,
02:42
qui étaient pas très loin des Black Blocs
02:45
qui ont tabassé du gendarme à Sainte-Soline,
02:48
faisant 66 blessés du côté des gendarmes,
02:50
elle, c'est arc républicain compatible.
02:53
C'est ça selon Emmanuel Macron.
02:55
C'est la vision du chef de l'État.
02:55
C'est intéressant de voir qu'aujourd'hui,
02:58
on peut avoir ce type de personnages
03:00
qui sont donc arc républicain compatibles aux yeux de l'Élysée
03:04
plutôt que l'ERN ou la France insoumise.
03:08
Le dirigeant d'un parti qui est responsable,
03:11
ou en tout cas en partie, de 100 millions de morts
03:13
est aussi invité alors qu'ils n'ont pas fait de l'adjudgmento.
03:15
Vous parlez du parti communiste.
03:17
Ce que je voulais dire, c'est qu'il y a quand même un risque important
03:18
pour Emmanuel Macron,
03:19
c'est que cette réunion finalement tourne un peu
03:21
à une séance, je ne sais pas, d'exorcisme collectif
03:26
où chacun va venir vider son sac devant le chef de l'État,
03:30
qu'il n'en sorte pas grand-chose
03:32
et que finalement, il s'arc-boute sur une décision
03:35
qu'il a peut-être déjà prise ou pas,
03:37
on ne sait pas, c'est le flou qui règne à l'heure actuelle.
03:40
Excusez-moi, Ludovic Thoreau,
03:42
vous êtes maire UDI de Coubron en Seine-Saint-Denis.
03:46
Quel bazar !
03:47
Et je reste au lit.
03:47
Alors, Eliott, vous avez complètement raison.
03:49
Je ne sais même plus s'il faut rire ou pleurer de tout ça.
03:51
Moi, je suis médecin, déjà, il ne faut pas prendre la décision la nuit,
03:53
je suis d'accord avec vous,
03:54
parce que ça se trouve en mauvaise.
03:55
Aujourd'hui, c'est la réunion des minoritaires.
03:57
C'est un truc de malade, quoi.
03:59
C'est-à-dire, il y a 33% des députés qui n'écouteront rien
04:01
et plus de 50% des Français
04:04
qui n'auront pas la chance d'écouter non plus.
04:06
Mais s'il était un tout petit peu intelligent ce Président,
04:08
il aurait dû les inviter
04:09
et les autres auraient décidé de venir ou pas.
04:12
Parce que là, en faisant ça,
04:13
ce n'est pas de la démocratie.
04:15
Ça s'appelle une monarchie, c'est clair.
04:17
Donc maintenant, je vous le dis,
04:18
moi, ça fait 30 ans que je fais de la politique,
04:19
j'ai tout fait les mandats.
04:20
Conseiller municipal, maire adjoint, maire,
04:22
conseiller départemental, conseiller régional,
04:24
conseiller métropolitain et territorial.
04:25
Je n'ai jamais vu un niveau aussi bas chez les politiques.
04:30
Parce qu'on a été chercher la société civile
04:32
qui ne comprend rien à rien
04:33
et qui fait juste une chose, garder ses postes.
04:36
Alors oui, je suis UDI aujourd'hui
04:37
et je n'en ai pas UDI,
04:39
mais excusez-moi, ce qui se passe aujourd'hui,
04:40
ce n'est pas ce que je pense.
04:41
Et il est grand temps que ce...
04:42
Qui est UDI, Ludovic Thoreau,
04:44
on a eu un homme qui est sorti un peu comme ça cette semaine,
04:48
c'est Jean-Louis Borloo.
04:49
Et d'ailleurs, j'ai écouté son entretien,
04:51
c'était la semaine dernière,
04:52
chez nos confrères de Sud Radio,
04:55
c'était très intéressant de l'entendre.
04:57
Vous avez raison, il est venu,
04:59
parce qu'il nous a expliqué tout ce qui n'allait pas,
05:01
d'accord, mais qu'est-ce qui a bougé ?
05:03
Je vous rappelle que le président de la République
05:04
lui avait confié une mission,
05:06
une mission sur le logement.
05:08
Voilà, et il l'a mis dans la poubelle.
05:10
Ah oui, mais ça c'est Emmanuel Macron
05:11
qui l'a mis dans la poubelle, pardonnez-moi,
05:13
ce n'est pas de la faute de Jean-Louis Borloo.
05:14
Alors, je vais peut-être être un peu dur.
05:16
Est-ce qu'on ne peut pas trouver des nouveaux ?
05:18
Est-ce qu'on ne peut pas aller chercher...
05:20
Vous voulez un peu de fraîcheur ?
05:21
Tout le monde, c'est le seul pays
05:23
où il n'y a pas de fraîcheur.
05:24
On les sort des bouteilles, d'accord,
05:26
des gens qui viennent d'Espagne,
05:27
qui devaient rester en Espagne,
05:28
l'autre qui...
05:29
Tous les gens de l'échec,
05:30
on les met en place.
05:31
Les Français, ils veulent une chose.
05:33
En fait, vous avez...
05:33
Ils s'en foutent de ce qui va se passer là.
05:35
Comme nous, on s'en fout complètement
05:36
parce qu'il ne se passera rien.
05:37
Ce n'est pas vrai.
05:37
Les Français sont très attentifs.
05:39
Oui, c'est une série Netflix.
05:40
Vous avez raison.
05:41
Ils sont tous en train...
05:42
Non, mais c'est faux.
05:43
Regardez, hier,
05:44
c'est les 3e journées historiques
05:45
pour CNews,
05:46
des millions de téléspectateurs.
05:47
Oui, mais c'est une série Netflix.
05:49
Ils savent très bien,
05:50
ça ne changera rien.
05:51
Ça changera quoi ?
05:52
C'est une sorte de running gag.
05:53
Jordan Bardella
05:54
qui a réagi il y a quelques instants
05:56
sur les réseaux sociaux.
05:57
L'énième réunion
05:58
de la dernière chance
05:59
d'Emmanuel Macron
06:00
ne vise pas à défendre
06:01
l'intérêt du peuple français.
06:03
Elle vise à le protéger
06:04
de la dissolution.
06:05
Le Rassemblement National
06:07
s'honore de ne pas y être convié.
06:09
Nous ne sommes pas à vendre
06:11
aux macronistes.
06:12
La pleutocratie.
06:14
Voilà ce que c'est.
06:15
La castitocratie.
06:16
La castito, c'est compliqué.
06:18
C'est le règne des incompétents.
06:20
C'est pas mal.
06:20
C'est le règne des incompétents.
06:21
Les pleutres, ils ont peur.
06:23
Ils ont tous peur.
06:23
Ils ont peur des Français.
06:25
Mais d'ailleurs, c'est là
06:25
où Emmanuel Macron,
06:27
à mon sens, commet une erreur.
06:28
C'est que s'il avait invité
06:29
la France Insoumise et l'ERN,
06:30
il ne serait pas venu.
06:32
Et on n'aurait donc pas ce débat.
06:33
On n'aurait pas ces accusations
06:35
de partis uniques.
06:36
On n'aurait pas ces accusations
06:37
de UMPS.
06:38
On n'aurait aucune
06:39
de ces accusations-là.
06:40
Benoît Perrin,
06:41
vous êtes directeur général
06:42
de Contribuables et Associés.
06:43
Dans un instant,
06:44
on va parler du budget
06:45
parce que c'est aussi ça
06:46
la priorité des priorités.
06:47
C'est de savoir
06:48
à quelle sauce on va être taxé.
06:50
Vous aviez peut-être
06:51
une remarque sur tout ce Cap Arnaum.
06:53
Oui, effectivement.
06:53
Déjà, sur Jean-Louis Borloo,
06:54
il faut expliquer pourquoi
06:55
Emmanuel Macron avait mis
06:56
son rapport à la poubelle.
06:57
C'est parce qu'il proposait
06:58
des nouvelles mesures
07:00
dans le cadre de la politique
07:01
de la ville
07:01
qui allaient encore coûter
07:02
des milliards.
07:02
Alors que lui-même,
07:03
M. Borloo,
07:04
était déjà à l'origine
07:05
d'un programme
07:05
dont l'efficacité,
07:07
a priori,
07:07
est assez contestée.
07:10
Sous Nicolas Sarkozy,
07:11
programme qui avait encore
07:12
coûté des dizaines de milliards.
07:13
Donc, je veux dire,
07:14
c'est aussi M. Dépense,
07:15
M. Borloo.
07:15
Oui, c'était...
07:17
Pardonnez-moi,
07:17
parce que dans les coulisses,
07:18
on vous dit aussi
07:18
que ce qui posait problème,
07:20
c'était qu'un homme blanc
07:21
de 50 ans
07:22
propose une politique
07:24
de la ville
07:24
dans les banlieues.
07:25
Il avait dit,
07:26
Emmanuel Macron,
07:26
c'est juste pas à deux hommes blancs
07:28
de décider de la politique
07:29
des banlieues.
07:29
Oui, mais de toutes les manières,
07:30
c'est un plan qui,
07:31
de toute façon,
07:32
allait encore accroître
07:33
la dépense publique.
07:33
Non, moi,
07:34
ce qui me semble dingue,
07:34
c'est qu'on vit dans un monde parallèle
07:35
depuis 15 jours.
07:37
C'est-à-dire qu'en fait,
07:37
on nous explique quand même,
07:38
et avec raison,
07:40
qu'on a un problème de déficit,
07:47
mais là,
07:47
on a franchi encore
07:48
un pas supplémentaire
07:49
depuis deux jours.
07:50
C'est-à-dire que non seulement
07:51
on ne parle que d'augmentation d'impôts,
07:52
on parle de la taxe Zuckman,
07:53
on parle d'augmentation de la flat tax,
07:55
bref,
07:55
d'un certain nombre
07:56
d'augmentation d'impôts.
07:57
Et là, depuis deux jours,
07:58
de quoi on parle ?
07:58
De revenir sur la seule mesure
08:00
d'Emmanuel Macron
08:00
qui permet de générer des économies,
08:03
à savoir la fameuse réforme des retraites.
08:04
Mais encore.
08:04
Ce qui est quand même incroyable.
08:06
C'est à peu près 3 milliards par an,
08:07
donc on ne va pas cracher
08:07
sur 3 milliards par an.
08:08
Et donc,
08:09
on est dans un état d'esprit aujourd'hui
08:17
qui va arriver,
08:17
c'est qu'effectivement,
08:18
on ne parle...
08:19
C'est comme si, en quelque sorte,
08:19
le mot économie
08:20
avait disparu du dictionnaire français.
08:22
On n'en parle plus du tout.
08:23
Vous savez,
08:23
il y en a beaucoup qui ont disparu.
08:25
Mais il faut quand même rappeler
08:26
qu'on est dans une situation extrêmement...
08:27
Responsabilité, courage,
08:28
fiabilité, loyauté, économie,
08:31
c'est vrai que tous ces mots
08:31
on voulait en éclat.
08:32
Ce qui est très important,
08:33
c'est que ça a des impacts concrets.
08:34
Les ménages ne consomment plus,
08:36
les entreprises sont à la règle.
08:37
En 30 secondes avant la pause.
08:38
Oui, il fallait très vite.
08:39
On lui parlait des maires
08:40
et des régions et des départements.
08:42
C'est-à-dire que nous,
08:42
on a le brouillard complet.
08:43
Comment faire un budget
08:44
quand on ne sait pas
08:45
ce qui va se passer ?
08:46
Mais au-delà de ça,
08:47
vous savez,
08:47
moi je suis maire depuis quelques temps,
08:48
j'écrivais aux ministres
08:49
de temps en temps
08:49
pour avoir des nouvelles.
08:50
Mais je n'ai plus aucune réponse
08:51
sur les six mois échanges.
08:52
C'est-à-dire que nous, maires,
08:53
on n'a plus que les préfets devant nous.
08:55
On n'a plus de ministres
08:55
en face de nous
08:56
qui vont nous répondre.
08:56
C'est sûr que si vous envoyez
08:58
une lettre sur l'école
08:59
et que vous mettez
08:59
M. Papandiaï,
09:01
effectivement, ça a changé.
09:02
Non, mais les maires sont au courant.
09:04
Réveillez-vous, M. le maire.
09:05
Les maires suivent un peu
09:06
l'actualité.
09:07
On va aller.
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