- il y a 1 jour
Derrière les bonnes intentions de collaboration entre Experts comptables et CGP, qu’en est-il réellement sur le terrain ? Cette collaboration entre experts-comptables et CGP tient-elle ses promesses ? Quels sont les freins, les zones de frottement… et les leviers pour aller plus loin ?
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00:00L'effet patrimoine place au débat, experts comptables et conseillers en gestion de patrimoine.
00:09Alors est-ce un duo, est-ce un duel ? Sur le terrain, comment ça se passe ?
00:13Y a-t-il des zones de frottement ? Peut-être des mésalliances ou de la concurrence ?
00:18On en parle avec nos invités, nos experts sont toujours là,
00:21Michel Sébel de Retores, Christophe Mor et Yves Retinger,
00:25qui sont tous deux experts comptables et commissaires au compte.
00:28Alors messieurs, on a vu dans une première partie effectivement que le rôle de l'humain reste entier.
00:33On a parlé du médecin de famille, du patrimoine, de votre relation qui est de plus en plus étroite.
00:40Entre experts comptables et CGP, on a l'impression que l'un ne va pas sans l'autre.
00:43Et pourtant, cette collaboration, elle ne va peut-être pas toujours de soi.
00:48Parfois, on se dit qu'on n'a peut-être pas besoin des uns des autres.
00:52Chacun reste dans son couloir de nage.
00:54Est-ce qu'à votre avis, c'est aujourd'hui, cette collaboration, Michel, elle est indispensable ?
00:57On ne peut pas tout maîtriser.
00:59Donc chacun a besoin de s'appuyer sur les experts des uns et des autres.
01:04Les experts comptables sont plus compétents dans la partie comptable, juridique, fiscale.
01:09Nous, peut-être les consciences de son patrimoine, on a plus des compétences en matière financière.
01:15Donc on est très complémentaires à la fois dans ces domaines-là
01:19et sur la réflexion des modes de détention pour optimiser les transmissions de nos clients.
01:24Par exemple, qui doit piloter la stratégie patrimoniale ?
01:27C'est quand même le CGP ?
01:29Non, c'est une équipe, en fait, qui globalement assiste nos clients.
01:36Non, c'est une réflexion globale qui est menée par les experts comptables
01:42et les conservations en patrimoine qui travaillent ensemble.
01:45On a l'impression aussi que peut-être priorité à la durée.
01:49Vous disiez, Yves, tout à l'heure, vous avez des clients que vous connaissez depuis 35 ans.
01:53À ce moment-là, on connaît finalement la vie de quelqu'un
01:55et aussi ses motivations parfois cachées.
01:59Peut-être des choses...
02:01Alors c'est sûr qu'on ne va pas dire que la machine ne saura jamais
02:04parce que c'est du vécu,
02:06mais aussi parfois on en sait un petit peu plus que ses clients eux-mêmes
02:10qu'on anticipe aussi parce qu'on les connaît bien.
02:13Terriblement vrai.
02:14On a des relations avec nos clients qui sont plusieurs fois dans l'année,
02:17qui sont à minima une fois l'an,
02:20mais tous nos clients, on les rencontre à plusieurs reprises.
02:23Donc en fait, on vit à leur rythme.
02:25On connaît leur famille, on connaît leurs appétences,
02:27on connaît leur détestation.
02:30Christophe, par exemple, qu'attendent les clients ?
02:32Est-ce que c'est un chef d'orchestre, un binôme, un écosystème ?
02:35Qu'est-ce qu'ils attendent de vous quand ils viennent vous voir ?
02:37En fait, ils attendent qu'on puisse leur répondre.
02:40leur donner des solutions si possible.
02:42Et aussi, ils attendent notre honnêteté de leur dire que sur ce sujet,
02:47on n'a pas suffisamment de compétences.
02:49On va s'appuyer sur un gestionnaire de patrimoine, par exemple.
02:51Et en plus de ça, je pense qu'on apprécie tous
02:53d'avoir plusieurs regards sur des situations.
02:55Et dans des situations qui sont aussi importantes
02:58que des sessions, des transmissions,
03:00avoir plusieurs regards, pour moi, c'est primordial.
03:04Oui. Alors, tout ça est bel et bon.
03:06Ça, c'est quand ça se passe bien.
03:08En revanche, ça peut arriver.
03:09Alors, pas mal conseillé, bien évidemment.
03:11On ne le fait jamais assisant.
03:11Mais d'avoir peut-être un placement un peu moins performant.
03:13À ce moment-là, on se retourne vers qui ?
03:15Le client, il va venir vous voir en disant
03:17« C'est pas bien conseillé ».
03:20Oui, mais ça peut arriver.
03:20C'est tout le risque.
03:22On peut nous remettre en cause pour défaut de conseil
03:25si les actifs financiers ne sont pas à la hauteur des espérances.
03:29Mais après, ça se gère par un propre profil de risque
03:33qu'on détermine avec le client qui, dès le départ,
03:36accepte de prendre un risque ou pas prendre un risque.
03:38Donc, c'est sûr qu'il faut faire très attention.
03:41Mais je pense que l'essentiel de l'optimisation
03:44d'un dossier patrimoine
03:46n'est pas dans les rendements intrinsèques des actifs financiers.
03:50Elle est dans l'optimisation fiscale et juridique du dossier.
03:53Ou dans l'anticipation pour optimiser la fiscalité
03:57sur la transmission, sur les plus-values en cas de cession.
04:00Elle est là.
04:01Et donc, c'est là qu'on a un rôle central
04:02avec les experts comptables
04:04pour optimiser les situations fiscales de nos clients.
04:07Vous dites qu'il y a plusieurs facettes
04:08dans un patrimoine, comme un Rubik's Cube.
04:10Voilà. C'est tout à fait ça.
04:11On a d'ailleurs le Rubik's Cube patrimonial
04:13chez Réthorez.
04:15Alors, six faces.
04:15Les six faces.
04:16Alors, c'est quoi, les six faces ?
04:17C'est la stratégie, c'est la fiscalité,
04:20c'est le financier, c'est l'émotionnel,
04:23c'est le matrimonial, le contrat de mariage.
04:27C'est tous ces points-là qu'il faut optimiser.
04:29D'accord. Il faut vraiment avoir les six faces.
04:31Tout est lié, en fait.
04:31Dès qu'on bouge une face,
04:33elle peut avoir une conséquence sur l'autre face.
04:36Donc, c'est ça qui est compliqué.
04:38Et plus le dossier patrimoine est important,
04:41plus les enjeux sont complexes.
04:43Et surtout, ce qu'il faut faire prendre compte sur son client,
04:46c'est notamment les passifs fiscaux latents
04:48qu'ils ont sur leur tête.
04:50Quand malheureusement, ils décèdent,
04:52si ce n'est pas préfinancé, optimisé,
04:55ça peut mettre à mal,
04:56ça oblige de rendre des actifs.
04:58Donc, on est dans cette anticipation stratégique
04:59avec nos clients pour préparer ces transmissions.
05:02C'est intéressant.
05:03Qu'est-ce qu'ils oublient, les clients ?
05:04Quand vous voyez, justement,
05:07sur quoi ils sont mal équipés, finalement ?
05:10Yves, est-ce qu'il y a des choses sur lesquelles
05:11vous les sentez un peu légers ?
05:12Tiens, ils sont des super chambres d'entreprises,
05:14ils ont fait des réussites formidables,
05:15mais tiens, ils vont peut-être passer à côté,
05:17effectivement, du juridique,
05:18de la transmission.
05:19Le point noir de la plupart de nos clients,
05:22c'est la transmission.
05:23En fait, la transmission,
05:25elle fait appel à des choses tellement subjectives,
05:28c'est qu'on pense à sa mort.
05:29Tout à fait.
05:30Donc, avec Michel,
05:31on a déjà depuis de longues années
05:32dépassionné le débat
05:33avec des gens qui sont crispés au premier rendez-vous
05:36parce qu'on évoquera quelque chose
05:37qui va leur arriver.
05:39Et on a une phrase qui change tout.
05:42Si vous étiez mort hier,
05:44voilà ce qui serait arrivé.
05:46Mais comme vous n'êtes pas mort hier,
05:47on va en parler tranquillement.
05:49À 80% de fois,
05:51quand je dis cette phrase,
05:53les barrières tombent
05:55et les réticences sont déjà surmontées
05:58puisqu'en fait,
05:59on parle d'un non-événement,
06:00mais on évoque quelque chose
06:01qui va devoir arriver.
06:03Et ce sont souvent des chefs d'entreprise émotifs
06:05très ancrés dans leur entreprise
06:07et performants
06:08qui perdent toute notion
06:10à partir du moment où on parle d'eux,
06:12de leur famille,
06:13de leurs enfants.
06:15Et là, on les retrouve
06:17comme eux-mêmes des enfants
06:18qu'il faut savoir accompagner,
06:19qu'il faut savoir respecter
06:20puisqu'en fait,
06:21c'est une fragilité
06:22dont on ne doit jamais tirer profit
06:24mais qu'on doit accompagner
06:25pour les aider à prendre le dessus.
06:27D'autant que l'aléa est certain,
06:29malheureusement.
06:30Semblerait-il.
06:32Personne n'a trouvé la formule.
06:33Christophe, justement,
06:34par rapport à cette transmission,
06:37comment on les accompagne
06:39à ce moment-là ?
06:40Quelles vont être les recommandations ?
06:42Ça dépend bien sûr de tout un chacun,
06:43mais vous qui insistiez tout à l'heure
06:45sur le rôle de l'humain,
06:46là, on y est à 100%.
06:47On est tout à fait d'accord.
06:51Qu'est-ce qui est important ?
06:52Moi, c'est de bien comprendre leurs besoins,
06:54leurs souhaits et leurs volontés
06:56et puis de mettre en musique
06:58tous les enjeux autour de leurs enjeux.
07:01et vraiment d'être à leur écoute
07:02et de savoir se mettre à leur niveau
07:04parce que là, comme tu le disais,
07:06on touche en plein cœur.
07:08Donc, ce n'est pas habituel
07:09pour les dirigeants
07:10de s'ouvrir à ce point-là,
07:12mais à ce moment-là,
07:12c'est à ce moment
07:13qu'on a effectivement
07:14une ouverture importante
07:15et ils ont besoin de sentir
07:17qu'on est nous-mêmes ouverts
07:19et à l'écoute
07:20et qu'un autre objectif à la fin,
07:22c'est qu'ils puissent transmettre
07:25dans les meilleures conditions.
07:27Proposer ne jamais décider
07:28la place de nos clients.
07:29Et le plus tôt possible.
07:31L'anticipation,
07:32plus on anticipe,
07:34le problème,
07:34c'est que la plupart
07:35des dirigeants d'entreprise
07:36se posent des questions
07:36en matière de transfusion
07:37quand ils approchent la soixantaine.
07:39Or, plus ils sont jeunes,
07:40plus on pourra transmettre
07:42en donnant de la nulle propriété
07:43de part ou de titres financiers
07:46ou je ne sais quoi,
07:46de contrat de capitalisation
07:47et ça coûtera moins cher.
07:50Et ce n'est pas à 70 ans
07:51qu'on commence à réfléchir.
07:53Alors, bien sûr,
07:54quand on n'a pas beaucoup de patrimoine,
07:55ce n'est pas un problème,
07:56mais dès lors qu'on est un dirigeant
07:57qui a bien réussi et que ça se chiffre
07:59en plusieurs millions d'euros
08:00et qu'on a peu d'héritiers
08:02en ligne directe,
08:03ça peut tout de suite
08:04devenir une catastrophe fiscale.
08:06Et là, notre rôle,
08:07c'est dans l'anticipation avec eux
08:08et ça leur fait gagner
08:09beaucoup plus d'argent
08:10que les rendements intrinsèques
08:12de leur placement financier.
08:13Bien sûr, pas évident alors qu'on est souvent
08:15avec des personnes qui sont dans l'action
08:16et au jour le jour,
08:17un peu la tête dans le guidon.
08:19Et puis, on peut aussi parler
08:20de son expérience
08:21puisque tout un chacun,
08:23vous êtes aussi chef d'entreprise
08:24et souvent, on s'aperçoit
08:25qu'on n'a pas fait cet effort
08:26déjà pour nous-mêmes.
08:28Mais bon, c'est un autre débat.
08:29Comment on organise justement
08:31la structuration ?
08:34Est-ce qu'on peut imaginer
08:36des structures demain
08:37où experts comptables
08:38et les cabinets de gestion
08:39seront ensemble
08:40dans une même structure, Michel ?
08:42Mais on l'a fait
08:43puisqu'on a créé
08:44nous, on a créé
08:44une société commune,
08:46une société de courtage
08:47avec le cabinet d'expertise comptable
08:49CECAL.
08:50Donc, c'est tout à fait
08:51un autre quotidien
08:52de travailler depuis 25 ans
08:54en bonne intelligence
08:55avec les experts comptables.
08:57Oui.
08:57Et à ce moment-là,
08:57qu'est-ce que ça veut dire ?
08:58Ça veut dire qu'il y a
08:58un guichet unique
08:59pour le client
09:01ou c'est celui qui finalement
09:02qui a l'intérieur de la relation
09:03qui prend le lead,
09:04entre guillemets ?
09:05Non, ça se répartit
09:06en bonne intelligence
09:06en fonction des missions
09:07qui sont proposées au client.
09:10Yves, c'est ça ?
09:10Tout à fait.
09:11D'ailleurs, depuis de longues années,
09:12mon cabinet est un petit peu
09:14en ligne de crête
09:16sur ce qu'on appelle
09:17le full service.
09:18Parce qu'en fait,
09:19depuis les années 90,
09:20on est lancé là-dedans,
09:22on a créé plusieurs sociétés.
09:23Donc, il y a des fois
09:24où les interdictions professionnelles
09:27font qu'on ne peut pas être
09:27et expert comptable
09:29et avocat
09:29et avoir une société d'informatique.
09:31Donc, on a, nous,
09:32les trois sociétés
09:33qui nous appartiennent.
09:34On a un centre d'affaires
09:35qui héberge encore
09:36des incubateurs.
09:38Et ensuite, on a noué
09:38des partenariats
09:39de longue date
09:40avec un conseiller en patrimoine
09:42ou plusieurs,
09:43un ou plusieurs notaires.
09:45Et on travaille
09:46en bonne intelligence
09:47sans forcément
09:48intégrer toutes les ressources
09:49dans une même structure.
09:51Il faut qu'on ait
09:51notre indépendance.
09:52On a un esprit
09:53très libéral aussi
09:54qui nous appartient.
09:56Et donc,
09:56ça nous convient
09:57parfaitement.
09:58Et les partenariats
09:59qu'on a
10:00sans être en structure
10:01forcément sur toutes
10:02les activités,
10:03durent depuis plus de 30 ans
10:04pour certains de nos partenaires.
10:05D'accord.
10:05Il y a des freins juridiques
10:06ou réglementaires
10:07qui empêchent justement
10:08ces alliances ?
10:09Avocats, experts comptables,
10:10c'est un peu antinomique.
10:12Ça serait un peu embêtant.
10:14Est-ce que,
10:14si on fait un peu de prospectif
10:16pour terminer,
10:17justement,
10:17c'est le sens de l'histoire
10:18qui est...
10:19On voit chez CGP,
10:20il y a une grosse concentration
10:20en ce moment.
10:21Il y a des fonds qui arrivent,
10:22qui restructurent,
10:23même s'il y a des nouveaux
10:24petits cabinets qui se créent.
10:26Est-ce que c'est la même chose ?
10:26Est-ce que vous pensez
10:27qu'on va aller
10:27sur cette intégration ?
10:29Michel ?
10:29Je pense que les métiers
10:33d'expertise comptable
10:33sont en train de se rapprocher
10:35aussi comme dans le monde...
10:36On peut imaginer,
10:38à un moment donné,
10:38pourquoi pas,
10:39des structures globales
10:40de family office
10:41qui apporteraient
10:43des missions
10:44de très haut niveau,
10:45global,
10:46où on aurait à la fois
10:47des experts comptables
10:47et des consciences
10:48de son patrimoine.
10:49Oui.
10:50Et puis,
10:50je demande à Christophe,
10:51puisque c'est le plus jeune
10:52d'entre nous à cette table.
10:54Effectivement,
10:54pour vous,
10:55l'avenir,
10:56c'est quoi ?
10:56On a parlé tout à l'heure
10:57d'intelligence artificielle,
10:58on a parlé d'inclusion,
10:59peut-être d'habiller le client,
11:02j'allais dire,
11:02de pieds en cap,
11:02d'être full service.
11:04Est-ce que c'est le sens
11:05de l'histoire ?
11:05À un moment,
11:05on a l'impression
11:06qu'il y avait une dispersion
11:07dans différentes boutiques.
11:09Je pense que c'est le sens
11:12de l'histoire,
11:13effectivement,
11:13de faire du full service,
11:14mais de reconnaître aussi
11:16que faire du full service
11:18tout seul,
11:18ce n'est pas possible.
11:19Il y a tellement de complexités
11:20qu'on ne peut pas
11:21se le permettre.
11:22Par contre,
11:22quand on bâtit
11:23des partenariats solides
11:24dans tous les domaines,
11:26on est en capacité
11:27de répondre à l'ensemble
11:28des préoccupations
11:29de nos clients.
11:30C'est ça qui est important,
11:31c'est qu'il ait au final
11:32en face de lui
11:33une seule voie
11:34et des décisions claires,
11:36des personnes
11:37qui sont en capacité
11:37de prendre leurs responsabilités
11:38aussi,
11:39qu'on l'a dit,
11:40quand il y a des problèmes,
11:42quand le montage
11:42n'était pas efficient,
11:43qu'on soit en mesure
11:44de dire,
11:44OK,
11:45on s'est trompé
11:46et donc on va assumer
11:47notre erreur.
11:48C'est vraiment ça
11:49et je remets
11:50une couche d'humains,
11:51mais je pense que
11:51à la fin,
11:53c'est ça qui se joue,
11:54c'est des êtres humains
11:55qui interagissent
11:56et c'est ce dont on a besoin.
11:57Utiliser les outils,
11:58c'est bien,
12:00mais ce sera vraiment
12:01pour remettre l'humain
12:03et le fait que
12:03la profession,
12:05toutes les professions,
12:06je pense,
12:07fassent face
12:10à des investisseurs
12:11qui sont des fonds
12:12d'investissement,
12:12c'est d'un côté inquiétant,
12:14mais d'un autre côté,
12:14pour moi,
12:15c'est assez rassurant.
12:16C'est de me dire
12:16que de toute façon,
12:18notre marque de fabrique,
12:19c'est d'être proche
12:20de nos clients
12:20et ça,
12:21je pense que
12:21si on continue
12:22à le développer,
12:23il n'y a aucune raison
12:24que l'aventure s'arrête.
12:25Très bien.
12:26En tout cas,
12:27on a compris l'époque
12:27où chaque expert
12:28intervenait dans son couloir
12:30et révolu.
12:31Ce qu'on a entendu aujourd'hui,
12:32c'est que l'accompagnement
12:33patrimonial de qualité
12:34passe par finalement
12:35l'intelligence collective.
12:36Experts comptables,
12:37CGP,
12:38ont chacun des compétences
12:39mais à mettre
12:40au service de leurs clients
12:41sans oublier évidemment
12:42l'humain
12:43et puis en anticipant,
12:44on peut gagner bien plus
12:45que certains points
12:46de théorie
12:47et donc créer plus de valeur.
12:48Un grand merci
12:49à nos invités du jour,
12:49Michel Sébel,
12:50CGP et associé
12:51du cabinet Réthorès.
12:52Merci Michel,
12:53Christophe More
12:54et Yves Rettinger.
12:55Merci messieurs,
12:56experts comptables
12:57et tous deux
12:57commissaires au compte.
12:59Voilà,
13:00c'est aussi ça
13:00l'effet patrimoine.
13:01Donnez la parole
13:01à ceux qui font évoluer
13:02les pratiques.
13:04A très bientôt
13:04pour un nouveau numéro.
13:05Sous-titrage Société Radio-Canada
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