- il y a 2 jours
Avec Grégoire Sentilhes, Fondateur et Président de NextStage AM
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00:00Yo Money, leader français de la gestion d'épargne en ligne et au coffre.com, achat et revente d'or physique gardé en coffre sécurisé présente Sud Radio, Oser Investir, Thomas Binet.
00:14Suite de votre parenthèse économique du dimanche matin, vous en avez l'habitude toujours en compagnie de Thomas Binet avec cette fois-ci c'est la page Oser Investir qui s'ouvre et au programme mon cher Thomas.
00:24Maxime, on va parler du challenge des 100 enveloppes. C'est quoi ça ? Consiste en quoi ? Gains réels ou gadgets ? On y répond dans un instant.
00:32Allons-nous avoir une retraite ? De quelle nature ? Pour quel montant ? Nous allons faire le point sur la situation et voir les solutions qui nous sont proposées avec Grégoire Saint-Yves, fondateur et président de Next Stage, AM, plateforme d'investissement.
00:43Et puis pendant que certains s'inquiètent pour leur retraite, nous allons avec Sabine Tellier, notre consultante en gestion de patrimoine, nous intéresser à une nouvelle contribution sur les hauts revenus.
00:52Éco-Réseau Business, le magazine de référence des investisseurs, présente Sud Radio, Oser Investir, le conseil de la semaine.
01:03Alors là Thomas, Dieu sait que j'adore vos éditos généralement, mais celui-ci et votre centre d'intérêt s'intéressent en réalité à ce qui se passe du côté des réseaux sociaux.
01:10Il y a un fameux challenge, c'est comme ça qu'on peut dire, le fameux challenge des 100 enveloppes pour celles et ceux qui n'en ont jamais entendu parler.
01:17Est-ce que vous pouvez quand même nous en rappeler le principe ?
01:19L'idée est très simple Maxime, vous prenez 100 enveloppes numéronées de 1 à 100.
01:23Chaque jour ou chaque semaine, vous en tirez une au hasard et vous glissez à l'intérieur le montant indiqué.
01:28L'enveloppe 37, on met 37 euros. L'enveloppe 55, on met 55 euros. Vous avez compris le principe.
01:34A la fin, si toutes les enveloppes sont remplies, vous avez économisé jusqu'à 5050 euros.
01:38C'est visuel, c'est ludique et ça donne un objectif clair et motivant.
01:41Alors ça paraît efficace et j'insiste sur le « paraît efficace », mais est-ce que ça fonctionne vraiment ou est-ce que ce n'est pas juste un gadget de plus qu'on voit sur les réseaux sociaux avec des techniques de pseudo-influenceurs épargnants ?
01:52Alors, si, ça fonctionne, mais pas peut-être pour tout le monde.
01:56Le véritable atout du challenge Maxime, c'est le côté jeu, la gamification.
02:00On manipule l'argent, on voit l'effort, on se surprend à vouloir tenir le rythme.
02:04Mais ce n'est pas une méthode magique.
02:05Beaucoup abandonnent dès que les grosses enveloppes arrivent, évidemment.
02:0972, 89, 100 euros.
02:11Et pour certains budgets, sortir autant d'argent en une fois, c'est simplement impossible.
02:15Donc oui, ça motive, mais non, ce n'est pas universel.
02:18Donc qu'est-ce qu'on a fait ? Est-ce qu'on adopte ? Est-ce qu'on oublie ? Ou est-ce qu'il y a peut-être un petit conseil que vous pouvez nous distiller ? La vérité est au milieu.
02:24Alors, absolument. Je vais moduler. Je dirais on adopte, mais surtout on adapte.
02:28Le cœur du challenge, c'est la discipline et la régularité, pas forcément le chiffre final auquel on arrive.
02:34Vous pouvez créer votre propre version, 50 enveloppes au lieu de 100, des montants plafonnés ou des paliers progressifs.
02:40L'important, c'est que ce soit soutenable.
02:42Si le challenge devient une source de stress, il perd tout son intérêt.
02:45Mais en revanche, s'il s'intègre comme un petit rituel motivant, alors oui, il peut réellement aider à mettre de côté, même si ce n'est pas une révolution financière.
02:54C'est un coup de pouce psychologique, pas une baguette magique économique.
02:58Haussmann Executive Search, leader du recrutement sur les métiers de la finance et de l'immobilier, présente.
03:05Sud Radio, oser investir, l'inviter.
03:08Pour poursuivre la conversation, Thomas, et continuer à nous intéresser au sujet économique, nous sommes avec Grégoire Saint-Yves, fondateur et président de Nextage AM, plateforme d'investissement.
03:18Et vous allez, avec lui, mon cher Thomas, nous inviter et nous parler d'un sujet qui passionne encore et toujours dans ce pays, la retraite.
03:26Absolument, Maxime. Bonjour Grégoire Saint-Yves.
03:28Bonjour.
03:28On peut le dire, les Français sont inquiets, inquiets de la situation économique et sociale et par conséquent pour leur avenir.
03:36La question de la retraite, de son financement, voire même de la capacité du système de tenir dans un temps record, les interroge beaucoup.
03:44Pourquoi les Français, Grégoire Saint-Yves, ont-ils soudainement plus peur de leur retraite qu'hier ? C'est quoi la raison ?
03:52Je crois que la raison, c'est qu'on a longtemps dormi sur nos deux oreilles en pensant que la retraite par répartition, ça fonctionnerait pour l'éternité.
04:00Et puis, entre les évolutions démographiques et les réformes manquant de courage et n'aboutissant pas, on se retrouve dans une situation où les Français ont pris conscience,
04:10et les jeunes en particulier, on y reviendra, à une situation où, par précaution, les gens se disent,
04:16finalement, mes grands-parents prenaient leur retraite, ils avaient 75% de taux de reversion, moi je vais avoir 50% et les jeunes réalisent qu'ils auront 25 ou 30%.
04:28Comment vous expliquez quand même, Grégoire Saint-Yves, que le financement de la retraite devienne la première des préoccupations,
04:34surtout parmi les actifs qui se disent, on a la vie devant nous, on verra ça beaucoup plus tard ?
04:39Tout simplement parce que je crois que les Français sont beaucoup plus lucides que leur politique et ils sont plus courageux.
04:46Donc, qu'est-ce qu'ils font ? Ils décident, ils voient bien que ça ne bouge pas sur la retraite par répartition,
04:52ils comprennent intuitivement qu'il y avait beaucoup plus d'actifs que de retraités avant, que l'évolution démographique, elle change.
04:58C'est ce que Rocard avait souligné en 1990, et que par conséquent, ils font quoi ? Ils épargnent beaucoup plus.
05:05On est maintenant à 18,6% de taux d'épargne, ce qui est un taux record extraordinaire.
05:10On a fait un sondage...
05:12On va en parler dans un instant, justement, oui.
05:13C'est un taux d'épargne qui est gigantesque.
05:17Vous vous souvenez peut-être, vous étiez trop jeunes, mais il y a très longtemps, on disait,
05:21la France n'a pas de pétrole, mais on a des idées.
05:24En fait, la France n'a peut-être pas de pétrole, mais on a beaucoup d'épargne.
05:28C'était dans les années 70, effectivement.
05:29Et cette épargne, maintenant, plutôt que ça soit un boulet, il faut faire en sorte que ça devienne une solution pour l'avenir,
05:38et pour les retraites, et pour aller irriguer, en capital, les investisseurs qui innovent et qui veulent développer leurs start-up, leurs PME et leurs ETI.
05:46Alors, vous avez commencé à évoquer, effectivement, une étude que vous avez réalisée.
05:50Dans cette étude, j'ai relevé que les jeunes de moins de 35 ans semblent fortement mobilisés.
05:54Vous avez commencé à en parler il y a un instant.
05:56Est-ce qu'ils ont raison de penser qu'ils n'auront pas de retraite sans épargne personnelle ?
06:00Soyons concrets, dimanche matin.
06:01Je crois qu'il faut avoir le courage de dire oui.
06:04C'est-à-dire que si on ne contourne pas l'obstacle de la retraite par répartition par une épargne personnelle à long terme,
06:1378% des moins de 35 ans n'ont plus confiance dans la retraite par répartition pour assurer l'avenir de la retraite.
06:19Du coup, c'est devenu leur premier sujet de préoccupation et leur priorité après la résidence principale.
06:25Quand on a 30 ans, ça en veut dire long sur, finalement, la société qui n'est pas capable de leur construire un avenir.
06:34Et je crois que par rapport à ça, la bonne nouvelle, c'est qu'il y a eu une réforme qui a eu lieu,
06:39qui était la loi Pacte-PER et qui a permis de mettre sur orbite quelque chose qui s'appelle le plan d'épargne-retraite,
06:46qui est le plus grand succès d'un produit d'épargne en France depuis 40 ans,
06:50puisqu'en l'espace de 4 ans, 11 millions de Français y ont souscrit
06:54et qu'on est déjà à 115 milliards d'euros, qui montrent l'appétit pour construire quelque chose.
07:00Maintenant, ce qu'il faut faire, c'est ce sur quoi on se bat chez Nexel,
07:04c'est rendre ce PER populaire, accessible à tous les Français
07:09et pour qu'il soit, qu'il devienne un produit populaire et en particulier par rapport aux jeunes.
07:14Alors justement, dans votre étude, il y a un enseignement principal qui est en ressort,
07:17c'est la montée en puissance du capital investissement dans les stratégies d'épargne longue.
07:22Alors, pour nos auditrices et nos auditeurs, on peut redéfinir, Grégoire Saint-Yves,
07:26d'abord ce qu'est le capital investissement ?
07:28Absolument. Le capital investissement, c'est l'idée qu'on investit en fonds propres,
07:34c'est-à-dire en capital et pas en dette, au capital d'une PME ou d'une ETI.
07:40C'est ce que nous faisons chez Nextech.
07:41Nous avons 86 participations dans les PME et les ETI françaises,
07:46qui sont en France, et on a aujourd'hui près de 10,5 milliards d'euros d'actifs sous gestion,
07:53au total directement et indirectement.
07:55Et donc, au total, ça représente 35 000 salariés.
07:58Donc, finalement, quand on arrive à faire coïncider l'épargne longue pour la mettre au travail,
08:04eh bien, ça irrigue des PME, ça leur permet de grandir, et ça crée de la performance.
08:08La performance moyenne du capital investissement, telle que présentée par France Invest,
08:14c'est des chiffres officiels, c'est 12,1% sur les 15 dernières années.
08:19Nous, sur les 4 dernières années, on a fait respectivement 14,9, 15,2, 15,3.
08:25Cette année, et l'avenir n'est pas terminé, on est à 15,8% de TRI.
08:31Donc, ça rapporte plus que le livret d'épargne.
08:34Alors, on voit également, Grégoire Saint-Yves, dans votre étude,
08:37que les jeunes sont beaucoup plus, évidemment, adeptes de ce système du capital investissement.
08:44Pourquoi ? C'est une question de culture, c'est une question d'âge,
08:46c'est une question d'accès aux réseaux sociaux, d'informations.
08:48Comment vous expliquez ?
08:49Je crois qu'il y a trois choses.
08:51Il y a eu la crise du Covid et l'inflation qui ont été des déclencheurs très importants.
08:54Oui.
08:55Et la deuxième chose, c'est qu'il y a une volonté de devenir actif sur son épargne
08:59par rapport à un monde qui est beaucoup trop immobile
09:02et qui est perdu dans des batailles politiques que je ne commenterai même pas.
09:07Et je crois qu'il y a un troisième enjeu, c'est la volonté d'être actif sur son avenir.
09:14C'est-à-dire, comment je construis mon avenir, tout simplement ?
09:16On le prend en main.
09:17Et peut-être, si on prend trois pas de recul, il y a un truc qui est très intéressant,
09:20c'est que, vous le savez peut-être, la structure de l'épargne en France,
09:23c'est 65% d'immobilier, 35% d'épargne financière.
09:28Vous ne le savez pas peut-être, vous le savez sûrement.
09:30Mais la France est le seul des grands pays à être dans cette situation-là,
09:34des grands pays développés.
09:36Tous les autres sont à 35% d'épargne immobilière et 65% d'épargne financière.
09:41Pourquoi ? Parce que dans tous les autres pays,
09:42il faut être actif sur la préparation de sa retraite
09:45et parfois sur le financement des études de ses enfants
09:47pour permettre de construire l'avenir.
09:50Je pense qu'on va avoir une déformation de la structure de l'épargne des Français
09:54et que les jeunes qui poussent et qui sont l'avenir,
09:59eh bien, assez logiquement, ils vont entraîner ça.
10:01Et d'ailleurs, on voit bien que le capital d'investissement,
10:04c'était jusqu'à présent un produit qui était réservé
10:08à soit des très grands investisseurs institutionnels,
10:10soit à des gens très fortunés.
10:13Mais on se rend compte que c'est la clé,
10:15c'est la démocratisation de l'accès au capital d'investissement
10:18et qui permet de mettre un moteur dans la performance de son épargne.
10:24Alors, dernière question pour vous, Gauravar Sinti.
10:25Est-ce que vous considérez que les Français sont peu informés
10:28sur les solutions d'épargne d'une façon générale,
10:31au-delà du fait qu'ils peuvent nous écouter le dimanche matin ?
10:33Malheureusement, il faudrait qu'ils vous écoutent,
10:36pas seulement le dimanche matin, mais il faudrait qu'ils vous écoutent.
10:37Ils peuvent nous retrouver aussi en semaine à 18h50.
10:39Mais la réponse est oui.
10:43Et le problème, c'est que quand on dit les Français,
10:45ce n'est pas juste les Français qui nous écoutent,
10:48c'est les Français qui vont des politiques à l'Assemblée nationale,
10:52en passant par trop de gens dans toute la chaîne.
10:58Les professeurs à l'école, quand vous avez votre fille qui passe son bac en terminale,
11:03on lui explique que les entrepreneurs, c'est ceux qui exploitaient les enfants dans les mines de charbon.
11:08Peut-être que les choses ont un peu évolué.
11:11Et donc, évidemment...
11:12Oui, parce qu'attendez, juste pour terminer,
11:14il y a quand même beaucoup d'influenceurs,
11:16alors on en pense à ce qu'on veut,
11:17sur les réseaux sociaux qui essaient de porter une voix sur la pédagogie.
11:20Alors, oui, et c'est positif.
11:23Et ça montre qu'il y a un besoin.
11:25Et ça montre qu'il y a aussi un défaut.
11:28Peut-être en conclusion, deux choses.
11:31Ce qui est clair, c'est que toute la chaîne du système éducatif
11:33pour enseigner, apprendre, faire comprendre l'économie
11:38et la manière dont on prépare, par exemple, sa retraite,
11:41ce n'est pas du tout quelque chose qui est intégré par notre système éducatif,
11:46quel que soit le niveau du système éducatif primaire, secondaire, université ou grandes écoles.
11:50Merci à vous.
11:51Merci beaucoup Grégoire Saint-Yves d'être passé du côté d'Osez Investir.
11:54Et je rappelle que vous êtes le fondateur et le président de Next Stage.
11:57Merci beaucoup.
11:59Blockchain, le cercle immobilier des investisseurs avisés, présente...
12:03Sud Radio, Osez Investir, le coin de l'expert.
12:08Alors là, pour conclure ce dimanche matin, mon cher Thomas,
12:10on est vraiment régalé par cette nouvelle.
12:13Nous sommes avec Sabine Tellier, notre consultante en gestion de patrimoine
12:16et gérante associée au sein du cabinet Berger & Associés.
12:19Et vous allez justement parler de la fameuse contribution différentielle sur les hauts revenus
12:24qui ne cesse de faire couler de l'encre.
12:26Vous vous souvenez du fameux film, Maxime, que les gros salaires lèvent le doigt ?
12:29Oui, oui, bien sûr.
12:30Bon, ben voilà, on est tout à fait dans le sujet.
12:32Sabine, c'est quoi exactement cette nouvelle contribution sur les hauts revenus ?
12:36Qu'on appelle la CDHR.
12:38Quel nom !
12:38Voilà.
12:39En fait, c'est une mesure qui a été votée dans la loi de finances 2025.
12:43Et elle garantit qu'au-delà d'un certain niveau de revenus,
12:47personne ne soit imposé à moins de 20% tout simplement.
12:50Et elle s'appliquera donc au revenu 2025 qu'on va déclarer en 2026.
12:55Alors qui est concerné par cette mesure ?
12:57Les contribuables, donc, pour une personne seule,
13:00les seuls ceux qui déclarent 250 000 euros d'impôt,
13:04et pour un couple, 500 000.
13:06Si leur impôt global, donc c'est l'impôt sur le revenu,
13:10plus tout ce qui est dividendes, etc., est inférieur à 20%,
13:13ils devront payer la différence pour atteindre le seuil minimal.
13:17Alors Sabine, quand vous dites revenus financiers, vous parlez de quoi exactement ?
13:21Ce sont les dividendes, les intérêts, les plus-values sur les placements financiers,
13:26qui sont taxés au PFU, au prélèvement forfaitaire unique, les 30%.
13:30Mais dans ces 30%, en fait, 12,8% sont concernés par l'impôt sur le revenu.
13:35Donc, ce qu'on va aller chercher, c'est la différence.
13:39D'ailleurs, ceux qui se rémunèrent beaucoup en dividendes,
13:42on va aller voir s'ils atteignent les 20% d'impôt sur le revenu au total.
13:47Alors un exemple concret pour nous éclairer sur le sujet ?
13:49Une personne, un couple avec 600 000 euros de revenus financiers taxés à 12,8.
13:53Ces fameux, ceux qui se versent ces gros dividendes,
13:57en fait, ils payent 76 800 euros d'impôt, alors que le minimum à 20% serait de 120 000.
14:02Donc, on va leur demander la différence, qui est à 43 200 euros.
14:06Alors, il y a un calendrier pour payer tout ça, j'imagine ?
14:09Exactement. Et c'est pour ça que je vous en parle aujourd'hui.
14:11C'est qu'il y a déjà un incompte de 95% qui est appelé entre le 1er et le 15 décembre.
14:15On a eu enfin ce fameux simulateur qu'on attendait tous pour pouvoir voir si on est impacté ou pas,
14:21donc sur impot.gouv, et c'est par intermédiaire d'impot.gouv qu'on va devoir régler.
14:25Merci Sabine.
14:26Merci beaucoup Sabine Thélie d'avoir été avec nous ce matin.
14:30Je rappelle que vous êtes consultante en gestion de patrimoine
14:33et gérante associée au sein du cabinet, berger d'associés.
14:36Merci d'avoir été avec nous ce matin.
14:37Et merci à vous, mon cher Thomas Binet, pour ce rendez-vous économique du dimanche.
14:41Comme d'habitude, on vous retrouve dans 7 jours, dimanche prochain.
14:43Sud Radio, oser investir, Thomas Binet.
14:48Avec YouMoney, leader français de la gestion d'épargne en ligne,
14:52et au coffre.com, achat et revente d'or physique gardé en coffre sécurisé.
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