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##LE_COUP_DE_PROJECTEUR_DES_VRAIES_VOIX-2025-10-07##

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Transcription
00:00Nous sommes aujourd'hui en capacité, non seulement de gagner de potentielles élections législatives,
00:05mais de gagner de potentielles élections présidentielles.
00:07Donc, je n'ai pas le résultat des élections avant l'heure.
00:09Ce que je constate, c'est que, élection après élection, nous progressons,
00:12et que les mesures que nous portons à la fois sur la remise en ordre du pays,
00:16sur la nécessité de simplifier l'économie française, de défendre le pouvoir d'achat,
00:20ces mesures sont partagées par beaucoup de Français.
00:22Que les autres partis appellent le barrage républicain.
00:24Pourquoi cette fois-ci, ce barrage ne tiendrait plus ?
00:26Parce que ce barrage est en train de prendre l'eau.
00:28et qu'on ne peut pas arrêter indéfiniment un peuple qui s'est remis à espérer.
00:33Et il y a des millions de Français qui croient aujourd'hui dans les idées que nous représentons.
00:40Et donc, c'est une dissolution, on pourrait donc peut-être battre les cartes du pouvoir
00:45et le Rassemblement National apparaîtrait comme un favori, Philippe. Qu'en pensez-vous ?
00:51Oui, on vous pose cette question, une dissolution, amène-t-elle inéluctablement le RN au pouvoir ?
00:56Pour le moment, sur Twitter, vous dites oui à 53%.
00:59Vous pensez que le barrage républicain peut se refaire ou pas ?
01:03On attend vos appels au 0826 300 300 et on ne vous demandera pas de parler en latin.
01:08Et vous ? Qu'en pensez-vous ?
01:10Alors moi, je crois que le barrage républicain pourrait tomber cette fois.
01:13Alors, il n'y a pas de dissolution pour le moment.
01:15En cas de dissolution, je pense qu'il pourrait tomber.
01:17Parce que l'autre fois, il y a beaucoup de circonscriptions.
01:20J'ai relu les résultats des dernières élections.
01:24Il y a beaucoup de circonscriptions où le RN a perdu entre 48,5 et 49,9%.
01:30Et c'est un écart de rien.
01:32Et aujourd'hui, par exemple, face à des candidats LFI,
01:35aujourd'hui, face à un candidat LFI, il y a beaucoup de gens qui ont peut-être voté LFI il y a un an et demi
01:39qui ne voteraient plus pour LFI.
01:41Et donc, je dis que la DIC peut sauter et que le RN peut avoir
01:45peut-être pas 289 députés qui seraient une majorité,
01:48mais pas 120, pas 150, 200, 220 ou même 240, 250.
01:53Jean Dorido ?
01:54Oui, non, c'est un fait que j'entends tout à l'heure Françoise qui explique de l'arithmétique électorale.
02:00Maintenant, il y a aussi une question qui est importante, c'est la question de la dynamique.
02:03Et les gens de ma génération, c'est un fait qu'on a connu le Front National à l'époque
02:07qui était complètement disqualifié d'office, en réalité,
02:10qui faisait des scores absolument confidentiels.
02:12On a connu une époque où, bien que faisant des très gros scores,
02:16typiquement aux européennes...
02:17Enfin, je ne vous savais pas aussi vieux, parce que les scores confidentiels,
02:20ça s'est arrêté au début des années 80.
02:21Je parle aux législatives, si vous voulez, parce qu'il y a eu 1986,
02:25une proportionnelle mise en place par François Mitterrand
02:28avec un groupe FN à l'Assemblée.
02:30Et puis après, pendant très très longtemps,
02:32il y avait des gros scores aux élections européennes,
02:34parfois aux présidentielles,
02:35mais un Front National absent de l'Assemblée Nationale
02:38de par, justement, le mode de scrutin.
02:40Et on a vu, si vous voulez, en temps réel,
02:43cette dynamique électorale
02:45qui fait qu'aujourd'hui, on a 143 députés du RN.
02:50Donc je crois que là, il est important, effectivement,
02:51que les plus anciens parmi nous
02:53réalisent que ça n'a plus rien à voir.
02:57Le RN d'aujourd'hui, ça n'est pas le FN des années 70.
03:00C'est que la dédiabolisation de Marine Le Pen, manifestement, a fonctionné.
03:05Elle a fonctionné au niveau de la forme
03:08et manifestement, elle a fonctionné au niveau du fond.
03:11Il y a plein de jeunes élus du Rassemblement National
03:13qui n'étaient même pas nés au moment de la création
03:16du mouvement FN de Feu Jean-Marie Le Pen.
03:20Donc effectivement, c'est un fait que,
03:23Philippe David l'a dit, en termes de dynamique électorale,
03:25il y a clairement une dynamique du côté du Rassemblement National.
03:30C'est un fait.
03:30En tout cas, ils sont prêts.
03:31Marine Le Pen a annoncé qu'ils avaient 95% de leur enquête dissolution.
03:35En fait, en vérité, tous les partis sont prêts.
03:37Je vous signale que la gauche est prête dans son ensemble à la dissolution.
03:40Ça fait des semaines et des semaines que tout est prêt.
03:43Oui, mais là, on parle du RN.
03:44Oui, mais je voudrais simplement qu'on réenregistre
03:47et qu'on réécoute les conversations sur ce plateau d'il y a un an.
03:51Nous avions les mêmes arguments, la dynamique du RN,
03:54tout a changé, pas simplement vous.
03:55Tout le monde disait ça.
03:57Il y avait juste une nana qui disait,
03:58attention, le Front Républicain est une, comment dirais-je,
04:02une valeur ontologique à gauche.
04:04Non, mais on ne peut pas, Françoise,
04:05on ne peut pas nier qu'il y a une dynamique du RN.
04:08Je ne réponds pas à cette question.
04:10Ne m'engueulez pas.
04:11Non, je ne réponds pas à cette question.
04:12Je réponds à la question, pensez-vous que le RN peut gagner ?
04:15Eh bien, je pense que non, il peut ne pas gagner.
04:18Et comme l'an dernier...
04:19Mais arrêtez, ne faites pas comme si c'était évident.
04:22L'an dernier, il y avait les mêmes débats.
04:23C'était le RN triomphant.
04:25Et Bardella était un matignon.
04:28Regardez les débats de CNews, regardez même chez nous,
04:30sur toutes les chaînes de télé, sur toutes les radios.
04:33C'était une évidence.
04:34Eh bien, la réalité s'est transformée parce que,
04:37comme dit Jean, la politique, justement,
04:39ce n'est pas la mathématique, c'est de la dynamique.
04:41Et moi, je crois qu'il y a un ressort dans ce pays
04:43ultra puissant que vous ne voyez jamais
04:46parce qu'au fond, ça ne vous intéresse pas
04:48parce que vous ne le considérez pas,
04:51ce ressort anti-extrême droite,
04:54parce que ce ressort existe dans ce pays,
04:56il sera à nouveau à l'œuvre.
04:58Vous verrez.
04:58On annonce Jordan Bardella à Matignon,
05:00on annonce 240, je vous fais le pari
05:02qu'ils seront très en dessous de 200,
05:04et que, à ce titre-là, je ne vois pas comment
05:06Emmanuel Macron peut envoyer Jordan Bardella
05:09à l'Assemblée nationale,
05:10à Matignon,
05:11parce que le problème se reposera de la majorité.
05:15Jean-Christophe Couvry ?
05:16En fait, ce qu'on ne maîtrise pas,
05:19c'est la colère des Français.
05:20Et aujourd'hui, les Français sont en colère.
05:22Et quand on vote et qu'on est en colère,
05:24vous pouvez faire toutes les stratégies que vous voulez,
05:26les Français vont voter avec leur ressenti.
05:28C'est quand vous baladez...
05:29Non, mais encore une fois, je ne suis pour personne.
05:31Moi, je suis dans un rôle neutre,
05:33mais j'observe.
05:34Et ce que j'observe, c'est que les gens,
05:35aujourd'hui, ils ne croient plus en la politique.
05:37Moi, il y a plein de personnes
05:38qu'on a perdues en cours de route
05:39qui nous disent d'ailleurs,
05:40j'irais même plus voter,
05:41parce qu'on est tellement déçus
05:42par les hommes politiques avec leur cinéma.
05:44Vous montez un chapiteau,
05:45vous mettez les clowns dedans, c'est parfait.
05:47Et donc, en fait, ils en ont marre.
05:48Et donc, du coup, ça, on ne le maîtrise pas.
05:50Et voilà.
05:52Alors, juste pour revenir sur les propos de Françoise,
05:55si vous voulez, en termes de front républicain,
05:58vous en parliez vous-même, Françoise, tout à l'heure,
06:00il y a eu un gros, gros changement depuis un an.
06:02C'est le 7 octobre.
06:04Et si vous voulez, dans les piliers...
06:05Non, c'était avant le 7 octobre.
06:07C'est en septembre.
06:08C'est en septembre.
06:08Il y a un an, on a dit il y a un an,
06:10on était vide le 7 octobre.
06:12Mais qu'est-ce que vous dites ?
06:13Il y a deux ans, il y a deux ans.
06:14Oh, allô, allô ?
06:16C'est il y a deux ans.
06:17Jean, est-ce que vous comprenez que le 7 octobre,
06:19c'était il y a deux ans ?
06:20Oui, ce que je suis en train de dire, Françoise,
06:22et à tout le monde,
06:23c'est que dans les piliers traditionnels du front républicain,
06:27il y a les personnes âgées,
06:28qui, bien sûr, sont traumatisées
06:30quand elles ont connu la guerre,
06:31et qui, traditionnellement,
06:33et c'est vrai que ce sont elles qui votent,
06:34c'est vrai, maintenant, c'est un fait que,
06:35mécaniquement, il y en a chaque année qui nous quittent,
06:38elles sont de moins en moins nombreuses à voter,
06:39et sur le vote juif,
06:42si tant est qu'il existe,
06:43il y a, depuis les prises de position de LFI,
06:46un vrai changement.
06:46On a entendu des grandes voix
06:48de la communauté des Français juifs
06:51exprimer vraiment clairement
06:53qu'ils étaient moins angoissés
06:56par une victoire de l'URN
06:57que par une victoire de LFI.
07:00Quel est le rapport ?
07:01Non, mais Jean, je voudrais que vous compreniez
07:02que l'an dernier,
07:03cette question se posait déjà.
07:05Le 7 octobre, c'est en 2023.
07:07Vous pensez que les Juifs de gauche
07:11vont voter Jean-Denis Mandela ?
07:12Le fait est que les résultats sont là,
07:14le vote RN progresse,
07:16ça, c'est une réalité.
07:19Regardez le sondage de Sud Radio
07:21de la Sécurité Nationale.
07:21Je veux qu'on arrête avec les sondages.
07:24S'il vous plaît.
07:25Frédéric Dhabi va être content.
07:26Mais je l'adore.
07:27Ce sont les instantés
07:28qui ne veulent pas dire que ça.
07:30C'est comme ça que c'est...
07:30On nous a bassinés
07:31avec les sondages et les projections.
07:32L'ERN devait avoir 250 députés.
07:34Non, mais c'est quand même intéressant, Françoise.
07:36Oui, bien sûr, bien sûr.
07:37Allez, 0826 300 300,
07:39c'est Achour qui est avec nous,
07:40qui nous appelle Dévry.
07:41Bonsoir Achour.
07:42Bienvenue sur Sud Radio.
07:43Bonsoir.
07:44Bonsoir à tous.
07:45Un peu de calme avec Achour.
07:46Merci.
07:48On essaye de poser la voix
07:49de façon à ce que ce soit bien compréhensible.
07:51Voilà, c'est bien.
07:52Alors, comment vous expliquer ?
07:55On voit souvent l'ERN arriver
07:56au premier tour,
07:58quelles que soient les élections en général,
07:59présidentielles, législatives, européennes.
08:02Oui.
08:02Voilà.
08:04Mais après, ce que l'on constate,
08:05c'est que souvent, au deuxième tour,
08:07il y a une coalition qui se crée
08:08entre différents partis
08:10qui cherchent à s'entendre juste
08:11pour le deuxième tour
08:12et après tout explose.
08:13Donc moi, je pars du principe
08:14qu'admettons,
08:15il passe au premier tour l'ERN,
08:16le deuxième tour,
08:17maintenant, la tendance
08:18a souvent tendance
08:20à s'inverser,
08:21c'est-à-dire maintenant
08:22le pourcentage de chances
08:23à ce que l'ERN puisse passer
08:25au deuxième tour
08:25augmente,
08:26surtout par rapport...
08:27Surtout, quand on les écoute,
08:29ils ont une réelle volonté politique.
08:32Moi, j'observe que depuis un certain temps,
08:34on entend souvent
08:35qu'il y a des lois,
08:36des propositions
08:37qui avaient été adoptées par l'ERN
08:39il y a plusieurs années
08:39qui étaient critiquées
08:40et on commence à les adopter
08:42puis à petit, vous voyez ?
08:43On prend l'exemple l'AME, par exemple.
08:45Voilà, on crachait dessus,
08:46mais non, voilà.
08:47Beaucoup de choses
08:48qui seraient à être mises en question.
08:49Mais moi, le gros problème
08:50que j'ai envie de mettre en avant,
08:52c'est le deuxième tour.
08:53Il ne devrait pas exister.
08:54Parce que ça crée des coalitions.
08:56Oui.
08:57Ça crée des coalitions
08:58entre partis pour abattre l'ERN.
09:00C'est ce qu'il se passe après.
09:01À jour, je peux vous poser une question.
09:04Ça va recommencer avec Macron.
09:06Moi, je suis très bien à vous.
09:06À jour, je peux vous poser une question.
09:08Vous êtes pour des élections
09:09à un tour
09:10à la proportionnelle
09:11comme les européennes
09:12ou aux majoritaires
09:13comme au Royaume-Uni
09:14où le parti qui arrive en tête,
09:16le candidat qui arrive en tête,
09:17même avec 10% des voix,
09:18est élu ?
09:19Parce que ce n'est pas la même chose.
09:21Je vais m'expliquer.
09:22On s'en fout.
09:23Le pourcentage, on s'en fiche.
09:26Évidemment,
09:26il y a un pourcentage
09:28même avec 10%
09:29parce que beaucoup
09:30se sont abstenus
09:31ou ont voté blanc.
09:32Voilà, c'est ça le problème.
09:33Maintenant, moi,
09:34je pars du principe
09:34que même aux présidentielles,
09:36qu'il y ait un deuxième tour,
09:38ce n'est pas un souci.
09:39Celui qui gagne les présidentielles,
09:41aux législatifs,
09:42il devrait obligatoirement
09:43avoir la majorité des sièges
09:45parce qu'il a gagné
09:46les présidentielles
09:46et c'est le parti
09:48qui est censé diriger la France.
09:50Le reste,
09:51on crée
09:52une législation législative
09:54à un tour
09:55et le reste des sièges,
09:56il se les partage.
09:57Et le deuxième
09:58et le premier
09:58qui gagne les législatifs
09:59pourrait s'allier
10:01avec le parti présidentiel
10:03pour créer des lois.
10:04Et après,
10:04on met en place
10:05un référendum.
10:06Ah oui,
10:07alors,
10:07ne bougez pas à chouard.
10:080826 300 300
10:09Richard de Toulouse
10:10est avec nous.
10:11Bonsoir Richard.
10:12Bonsoir.
10:14Oui,
10:14bonsoir.
10:15Je coupe mon...
10:17Ah,
10:18désolé.
10:20Mais je vous en prie.
10:21Je ne sais pas
10:21ce que vous coupez,
10:22mais je ne sais pas...
10:23Attention,
10:24attention quand même.
10:25Je ne sais pas
10:25le téléphone,
10:26ça va bien.
10:26Vous avez dit
10:27je coupe mon...
10:28Ça y est,
10:29je l'ai des mots.
10:30Ah, très bien.
10:31En entier,
10:31vous êtes avec nous en entier,
10:33vous n'avez pas coupé un mot.
10:33Elle est excellente.
10:36Elle est drôle,
10:37c'est vraiment la meilleure.
10:38Allez-y.
10:39Richard.
10:40Oui,
10:40j'étais sur la route.
10:41Oui,
10:42en fait,
10:43en tout cas,
10:43je pense qu'un jour
10:44en raison sur un fait,
10:46c'est que s'il n'y avait
10:46qu'un seul tour aux législatives,
10:48les Français
10:49en tiendraient compte.
10:50C'est-à-dire,
10:51ils voteraient en conséquence.
10:52Et c'est loin d'être stupide
10:54sans raisonnement.
10:55Bon voilà,
10:56quoi qu'il en soit,
10:56moi je pense que
10:57par la pression médiatique
10:59qui va s'exercer,
11:00puisque aujourd'hui,
11:00quand même,
11:01on regarde majoritairement,
11:02on ne parlera pas
11:03des médias publics
11:04qui sont très positionnés.
11:08François sait bien
11:09de quel côté ils sont.
11:11Pas tous,
11:11pas tous,
11:12c'est un peu légendaire.
11:15Globalement,
11:15la pression médiatique en France.
11:18Ne me cherchez pas,
11:19ne me cherchez pas.
11:20Allez-y, Richard.
11:21Allez-y.
11:22Et tant qu'ils font.
11:23Voilà.
11:24On a d'autres groupements
11:26d'influence,
11:27par exemple,
11:28si vous regardez
11:28sur un article du Figaro,
11:30la franc-maçonnerie
11:31s'est érigée
11:32contre,
11:33c'est le seul parti
11:34contre lequel
11:35la franc-maçonnerie
11:36s'est située,
11:37c'est contre le front.
11:39Mais je pense que
11:40le plus gros problème
11:41du Fonds National,
11:42c'est qu'il ne pourra pas
11:42cristalliser les vraies colères.
11:44Parce que pour l'instant,
11:45on n'est pas dans le dur.
11:46On va arriver dans le dur.
11:47Pour l'instant,
11:48je pense que
11:49les périodes les plus dures
11:50sont à venir.
11:51On est dans une forme
11:52de dégradation,
11:53de délitement.
11:54Mais on n'est pas dans le dur.
11:55Et surtout,
11:56il ne traite pas
11:57le vrai problème
11:58de fond
11:59qui est notre
12:00dilution dans une Europe
12:02qui fait de l'avance
12:03depuis des années,
12:05qui relègue la France
12:06au niveau économique
12:07de plus en plus profond
12:09dans le classement mondial.
12:11On le voit,
12:11ne serait-ce qu'avec
12:12la balance commerciale
12:14qui est normative.
12:15On va être à peu près
12:16dans les 5 milliards
12:17de déficit.
12:18Mais c'est chaque année.
12:18et ce n'est pas
12:20le fabricant
12:21avec de la dette
12:21qu'on le compense
12:23aujourd'hui
12:23avec de la dette.
12:24Mais ça ne pourra pas durer.
12:25On sent bien
12:26qu'on est à la fin
12:26de quelque chose
12:27et malheureusement...
12:30Vous avez raison.
12:31On est à la fin
12:32de quelque chose,
12:32Richard.
12:33On est à la fin
12:33de l'émission,
12:34surtout.
12:36On coupe,
12:37on coupe.
12:38J'adore,
12:39j'adore.
12:39Mais ce n'est pas
12:40la fin d'air.
12:40Alors,
12:40je vais vous dire,
12:41j'adore mes auditeurs.
12:42Nos auditeurs.
12:42Je les adore.
12:44Des prix de Toulouse
12:45et d'ailleurs...
12:45C'est formidable.
12:46C'est le bon sens.
12:47En tout cas,
12:48Achour,
12:49merci beaucoup
12:49de nous avoir appelés.
12:51Richard,
12:51merci mille fois
12:52en tout cas
12:53d'avoir été avec nous
12:54ce soir.
12:54Vous pouvez continuer
12:55à 0826-300-300.
12:58C'est une plateforme
12:59de débat,
12:59en tout cas sur de radio,
13:00que vous soyez
13:01du matin au soir.
13:02Vous avez ce nu en téléphone
13:04vous est ouvert,
13:05bien entendu.
13:05Merci beaucoup,
13:06Jean Dorido.
13:07Merci,
13:07Françoise Debois.
13:08Merci,
13:08chère Cécile.
13:09Merci,
13:09Jean-Christophe Couvi.
13:11Philippe David,
13:12je vous garde
13:13et que vous soyez
13:13au Télétubis ou pas,
13:14je vous garde.
13:15Non,
13:16parce qu'il m'a
13:17rassemblé voir
13:17des images
13:18qui tournaient
13:18dans le studio
13:19de votre serviteur
13:20en Télétubis
13:21et là,
13:22je dois dire
13:24que Cécile de Minibus
13:26en serait totalement capable.
13:27Je dis ça,
13:28je dis rien.
13:28C'est pas mon genre,
13:29mais je vais les mettre
13:30sur Twitter,
13:31vous inquiétez pas.
13:32Merci en tout cas les amis
13:33et dans un instant,
13:34on revient sur les emplois verts.
13:35Vous allez voir
13:36que c'est l'avenir,
13:37il y a énormément,
13:38énormément d'emplois
13:39à pourvoir.
13:40C'est passionnant
13:41et on reste ensemble
13:41jusqu'à 20h.
13:42Christophe Debiens
13:43est avec nous
13:43dans un instant.
13:44A tout de suite.
13:45Sud Radio.
13:46Sud Radio.
13:47Parlons vrai.
13:47Parlons vrai.
13:48Sud Radio.
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