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  • il y a 1 semaine
Avec David Amiel, ministre délégué chargé de la Fonction publique et de la Réforme de l'Etat


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##L_INVITE_POLITIQUE-2025-12-15##

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News
Transcription
00:00Sud Radio, l'invité politique, Jean-François Aquili.
00:07Et Jean-François Aquili, votre invité politique ce matin sur Sud Radio, c'est David Amiel,
00:12ministre délégué en charge de la fonction publique et de la réforme de l'État.
00:16Il y a du boulot à faire.
00:18Bonjour David Amiel.
00:19Nous allons justement évoquer votre croisade contre les tarifs abusifs pratiqués par les centrales d'achat public.
00:26Il y a sans doute des milliards à dégager dans cette histoire.
00:29Un mot d'abord sur l'attaque terroriste de Sydney.
00:33Vous êtes membre du gouvernement.
00:34Elle avait pour but de tuer le plus grand nombre de Juifs.
00:37Que dites-vous ce matin, David Amiel ?
00:40Est-ce là le résultat de l'antisémitisme, il faut le dire, qui a gagné le monde entier et que nous constatons ici en France ?
00:47Oui, l'antisémitisme se répand.
00:49Il se répand dans le monde entier et cet antisémitisme tue.
00:53On l'a vu hier dimanche en Australie.
00:56On pense évidemment aux familles des blessés, des victimes, à leurs proches, à tous les Juifs qui fêtent en ce moment même les fêtes de Hanoukka.
01:06Mais c'est aussi le cas en France.
01:07L'antisémitisme a tué et tue en France.
01:10Et c'est la raison pour laquelle il faut le combattre pied à pied.
01:13Non seulement combattre le terrorisme, mais aussi combattre tous les discours qui pavent la voie à ces actes.
01:18Vous dites les discours.
01:19Est-ce que certains politiques jouent avec le feu depuis le 7 octobre ?
01:24Il est évident que depuis le 7 octobre, certaines déclarations politiques du côté de l'extrême gauche alimentent l'antisémitisme du côté de la France insoumise.
01:34C'est évident aussi qu'il y a un antisémitisme d'extrême droite qui n'a pas disparu.
01:40On le voit aussi jour après jour.
01:42Donc oui, il faut pouvoir tenir une ligne intransigeante face à toutes ces manifestations d'antisémitisme.
01:47C'est la ligne du gouvernement.
01:49Oui, dénoncer ces discours qui peuvent fabriquer, on va dire, de l'antisémitisme et même des actions violentes.
01:56On a aujourd'hui beaucoup de juifs en France qui rentrent chez eux la boule au ventre,
02:01qui changent leur nom sur leur adresse, qui changent leur nom quand ils commandent un taxi,
02:06qui enlèvent leurs enfants de l'école publique.
02:09Et tout ça, c'est inacceptable.
02:10David Amiel, une réunion importante consacrée aux achats publics se tient aujourd'hui à Bercy.
02:15Si ce n'est pas naudin cette histoire à la clé, ce sont peut-être des milliards
02:20que l'État pourrait économiser sur les centrales d'achat.
02:25David Amiel, les commandes publiques sont trop chères aujourd'hui ?
02:29Les commandes publiques, c'est très important.
02:30Vous l'avez dit, c'est 230 milliards d'euros, l'État et les collectivités locales.
02:35Évidemment, c'est nécessaire.
02:37230 milliards d'euros.
02:38230 milliards d'euros.
02:38Tous azimuts.
02:43Donc c'est...
02:45Une mairie, au hasard, ou un ministère, peu importe, achète une cafetière, un fauteuil,
02:57je ne sais quoi, trop cher, sur catalogue.
03:00Comment ça se passe ?
03:01On a eu en tout cas beaucoup trop d'exemples.
03:03On voit effectivement que des mairies, des ministères, achètent une cafetière,
03:07des dizaines d'euros supplémentaires, du prix auquel, vous, moi, nous irions les acheter au supermarché.
03:14Une cafetière qui est vendue 60 euros, elle peut être achetée par une mairie une centaine d'euros.
03:18C'est inacceptable.
03:19C'est inacceptable.
03:21Et donc, j'y mettrai fin.
03:22Et j'y mettrai fin avec un dispositif très simple.
03:25Quand une mairie, une collectivité, passe par une centrale d'achat publique,
03:28parce que souvent, elle n'achète pas directement,
03:30elle passe par des centrales d'achat publiques dont c'est le métier,
03:33et qu'il y a un écart entre le prix qu'elle observe,
03:36supermarché du coin sur Internet,
03:38et le prix qui est sur le catalogue de cette centrale d'achat,
03:41et bien, quand il s'agit de l'UGAP, la centrale d'achat qui dépend de l'État,
03:45elle pourra le signaler immédiatement,
03:47et le catalogue s'ajustera pour une très large gamme de produits.
03:49L'union des groupements d'achat public, l'UGAP,
03:52qui brasse combien ?
03:53Près de 7 milliards d'euros d'achat.
03:55Non, oui.
03:56Ça veut dire quoi ?
03:57Vous pouvez, vous, techniquement, mettre le nez là-dedans ?
04:00Parce qu'il va falloir aussi...
04:01Il y a des intermédiaires,
04:02parce que les centrales d'achat se fournissent sur une sorte de plateforme, en quelque sorte.
04:07Oui, mais c'est le rôle de l'État, de la politique,
04:10de s'assurer que les achats publics sont sous contrôle.
04:13C'est-à-dire que chaque euro est dépensé,
04:15et c'est bien ce que je m'emploie à faire.
04:16J'ai parlé du juste prix, c'est celui-là,
04:18mais il s'agit aussi de pouvoir faire des économies.
04:21Car sur cette masse considérable, on peut et on doit mieux faire.
04:23On vise, avec Amélie de Montchalin, la ministre de l'Action et des Comptes Publics,
04:27850 millions d'euros d'économies l'année prochaine, en 2026.
04:31On a déjà réalisé des économies les années précédentes,
04:34et on continuera à aller plus loin.
04:36On peut le faire en faisant la transparence
04:38sur le fonctionnement des centrales d'achat public, j'en parlais.
04:42On doit le faire aussi en simplifiant la vie des acheteurs.
04:45Vous savez, il y a aujourd'hui beaucoup de gens
04:47qui passent des heures et des heures à éplucher des appels d'offres.
04:50Tout ça coûte très cher.
04:51Avec l'intelligence artificielle,
04:53on peut gagner 60% de temps.
04:55Ce sont aussi des outils qu'on va généraliser.
04:57David Amiel, j'ai lu, je ne sais pas si c'est vrai,
04:59une hypothèse qui donne 5 milliards d'euros à terme.
05:01À terme, pas l'année prochaine, mais d'économies potentielles,
05:05rien qu'en optimisant les seules collectivités,
05:07les achats des seules collectivités locales.
05:11C'est réaliste ou pas ?
05:12C'est réaliste à terme de faire plusieurs milliards d'euros d'économies.
05:14Dès l'année prochaine, nous visons 850 millions d'euros
05:18et on a bien l'intention de continuer les années suivantes
05:21en étant encore plus ambitieux.
05:22Vous parleriez de raquettes publiques avec ces centrales d'achat ?
05:25Non, les centrales d'achat, elles peuvent être et elles sont utiles.
05:29C'est les gens dont c'est le métier d'acheter.
05:31En revanche, il faut qu'elles fonctionnent mieux.
05:32Vous êtes d'accord pour dire que finalement,
05:34ce serait une solution pour trouver une trappe à milliards
05:38plutôt que d'accabler certaines catégories de Français ?
05:42Je pense au débat fiscal, budgétaire.
05:45Vous reconnaissez qu'il y aurait là des marges à trouver.
05:48Pourquoi est-ce qu'on y pense aussi tard, en fin de compte ?
05:50Ça fait plusieurs années qu'on réalise des économies
05:53sur les achats publics, plusieurs centaines de millions d'euros
05:56tous les ans.
05:57Ce qu'on veut avec ce plan, c'est pouvoir aller encore plus loin
05:59parce qu'effectivement, quand on demande des efforts
06:02à l'ensemble des Français, il faut commencer par s'assurer
06:04que l'argent public est aujourd'hui bien dépensé.
06:07Il faut aussi s'assurer que cet argent public
06:09serve à soutenir notre économie,
06:11nos PME, nos entreprises, nos industries
06:14et qu'ils ne servent pas à biberonner
06:15des entreprises américaines ou chinoises.
06:18C'est aussi une des priorités de ce plan.
06:20David Amiel, dernière ligne droite pour le budget.
06:22Il reste huit jours maximum avant la signature finale.
06:25Je parle du budget de loi de finances.
06:28Elisabeth Bondy, 49.3.
06:29Que répondez-vous ?
06:31Qu'il faut, avant de parler de 49.3,
06:34de loi spéciale,
06:35on voit tout ce débat procédural
06:37qui obsède la classe politique française.
06:39Il faudrait d'abord savoir
06:40quel compromis on souhaite.
06:42Ce qui est clé dans les prochains jours,
06:44c'est de pouvoir rapprocher
06:45ce que le Sénat a travaillé
06:48et ce que l'Assemblée nationale a travaillé.
06:50On a réussi à faire adopter
06:51le budget de la sécurité sociale.
06:53C'est la moitié des dépenses publiques.
06:55Ce qui est devant nous,
06:56c'est le budget de l'État
06:57et le financement des collectivités locales.
06:59C'est l'autre moitié.
07:00Moi, je crois qu'on peut y arriver.
07:01Soutenez-vous les deux mesures votées au Sénat.
07:04Le non-remplacement d'un fonctionnaire de l'État sur deux
07:07partant à la retraite à l'exclusion
07:09du régalien, c'est-à-dire l'armée,
07:12la justice, la police
07:14et l'augmentation du nombre de jours
07:17de carences dans la fonction publique ?
07:20Non.
07:21En ce qui concerne...
07:22Ah, c'est bon.
07:23Je ne les soutiens pas.
07:24C'est ce que j'ai dit au Sénat
07:25quand on a eu le débat.
07:26Je l'ai dit au sénateur
07:27parce que le non-remplacement
07:29d'un fonctionnaire sur deux,
07:31on l'a déjà essayé dans le passé.
07:32Et le problème de ces règles aveubles,
07:34c'est que ça nous avait conduit à l'époque
07:35notamment à des coupes claires
07:37dans la police.
07:38On a mis des dizaines, enfin des années
07:40à pouvoir rattraper cela.
07:42Ce que nous proposons avec ce budget,
07:44c'est des choix ciblés.
07:45On recrute dans la police,
07:46on recrute dans la justice,
07:47on recrute dans les armées,
07:48on recrute des accompagnants d'élèves
07:51en situation de handicap.
07:52On fait des économies considérables par ailleurs.
07:55Et au total,
07:56le nombre d'emplois publics de l'État
07:58baissera de 3 000 dans la copie
08:00qui est proposée par le gouvernement.
08:02Je crois que c'est cette approche
08:02ciblée, mission par mission,
08:05service public par service public,
08:06qui est utile.
08:06Y a-t-il trop de fonctionnaires en France ?
08:09David Amiel, Emmanuel Macron avait promis,
08:11c'était la campagne de 2017,
08:13de supprimer 120 000 postes.
08:15Résultat, il y a 176 000 agents supplémentaires
08:20aujourd'hui.
08:21Le budget qui est proposé prévoit
08:24une réduction du nombre de postes,
08:26je viens de le dire,
08:27de 3 000.
08:28Mais je crois que si on regarde
08:29la question des finances publiques
08:30dans leur ensemble,
08:31c'est beaucoup les dépenses sociales
08:33qui ont alimenté la dette publique
08:36ces dernières années.
08:37Et si on se projette à l'avenir,
08:39évidemment, en 2027,
08:41la question d'une réforme structurelle,
08:43notamment des retraites,
08:44se pose.
08:45C'est ce que propose mon parti,
08:47Renaissance, avec Gabriel Attal.
08:48Et je crois que c'est une clé essentielle
08:49pour l'avenir.
08:50Reconnaissez que c'est un échec
08:52d'Emmanuel Macron en la matière
08:54sur l'histoire de la suppression
08:56du nombre même ciblé
08:57des fonctionnaires en France.
08:59Vous avez été un de ses proches conseillers,
09:01jadis, d'Emmanuel Macron.
09:03Là-dessus, il a échoué.
09:04Franchement.
09:05D'abord, il y a beaucoup de recrutements
09:08de fonctionnaires que vous évoquez
09:09qui ont été faits par les collectivités locales.
09:11Là-dessus, ce n'est pas l'État qui décide.
09:13Ensuite, effectivement,
09:14le choix qui a été fait
09:15par le président de la République,
09:17ça a été de réformer
09:19les dépenses sociales.
09:21C'était le cas de la réforme des retraites.
09:23C'était le cas de la réforme
09:24de l'assurance chômage,
09:25des différentes réformes
09:26de l'assurance chômage.
09:28De réduire le déficit en dessous de 3%.
09:30C'était le cas jusqu'en 2019.
09:31Ensuite, il y a eu la crise.
09:33Et d'investir dans les services publics.
09:34Je crois que cet équilibre-là,
09:35c'est celui qu'il faut continuer à chercher.
09:37Vous évoquiez Amélie de Montchalin.
09:39Elle en avait parlé récemment.
09:40Où en êtes-vous, David Amiel,
09:42de la suppression de certaines agences de l'État ?
09:46Elle l'avait dit,
09:47la ministre des Comptes publics.
09:49Vous avez tout.
09:50C'est en cours.
09:51C'est un sujet qui a été extrêmement débattu
09:53au début de la discussion budgétaire.
09:56Plus personne n'en parle aujourd'hui.
09:57Eh bien, à tort.
09:58Parce qu'effectivement,
09:59c'est une question importante.
10:01On peut mieux faire en regroupant
10:03aussi des institutions
10:04qui sont aujourd'hui séparées.
10:06Mais je vous donne un exemple.
10:06Moi, je suis ministre de la fonction publique.
10:08Exemple.
10:08On a un enjeu clé sur la formation
10:10d'un certain nombre de fonctionnaires.
10:11On a ce qu'on appelle
10:12des instituts régionaux d'administration.
10:14Aujourd'hui, il y en a 5
10:15qui sont indépendants.
10:17Eh bien, moi,
10:17ce que je suis en train de réaliser,
10:19c'est de les regrouper
10:20en un seul établissement public
10:22pour assurer à la fois
10:24une meilleure formation
10:24et évidemment,
10:25être beaucoup plus efficace.
10:26C'est ce que je fais dans mon périmètre.
10:27Et chacun des ministres
10:29doit, dans son périmètre,
10:30pouvoir réorganiser ainsi les choses.
10:31Encore une question
10:32sur votre périmètre.
10:33Si vous le permettez,
10:34David Amiel,
10:34le point d'indice,
10:36est-ce qu'il est encore gelé
10:37pour 2026 ?
10:38Oui, tout à fait.
10:39Parce que nous sommes dans une situation...
10:42Le budget du gouvernement
10:43prévoit effectivement
10:44de maintenir le gel
10:44du point d'indice.
10:45C'est un effort considérable,
10:46mais c'est un effort indispensable
10:48dans la situation
10:48des finances publiques actuelles.
10:50Est-ce qu'il y a une inquiétude
10:51aujourd'hui,
10:52David Amiel,
10:53autour de...
10:54Alors, nous sortons
10:54de votre périmètre
10:55de la question agricole.
10:58Vous avez vu
10:58la colère des paysannes.
11:00Est-ce qu'il faut signer
11:00le Mercosur ?
11:02Emmanuel Macron
11:02a demandé
11:03un report
11:04de la signature
11:05à Mme von der Leyen.
11:07C'est prévu samedi prochain.
11:08Emmanuel Macron
11:09a effectivement rappelé
11:10qu'aujourd'hui,
11:11le compte n'y était pas.
11:12En particulier
11:13sur les trois demandes
11:14qui sont centrales
11:16pour notre pays.
11:17Ce qu'on appelle
11:18la clause de sauvegarde
11:19pour pouvoir protéger
11:20nos marchés agricoles.
11:22La question
11:22des clauses miroirs
11:23pour s'assurer
11:24que les normes
11:24que l'on impose
11:25à nos agriculteurs,
11:27on les impose aussi
11:28aux produits importés
11:28et les contrôles.
11:30Il y a eu des progrès
11:31ces dernières semaines
11:33sur ces trois sujets,
11:34précisément parce que
11:35la France met une pression
11:36considérable.
11:37Mais pour l'instant,
11:37le compte n'y est pas encore
11:38et c'est la raison
11:39pour laquelle
11:39le président de la République
11:40a demandé
11:41à la Commission européenne
11:42de décaler
11:43ce qui était prévu
11:44au mois de décembre.
11:45Le gouvernement
11:45auquel vous appartenez
11:47redoute une crise
11:48agricole majeure
11:49entre l'épidémie
11:50qui frappe
11:52les éleveurs
11:53et cette signature
11:54dont on se demande
11:56si elle pourrait être
11:56repoussée franchement.
11:58L'agriculture...
11:59Ça paraît compliqué.
12:00Là, c'est une poignée
12:01de jours.
12:02L'agriculture,
12:02c'est un enjeu stratégique
12:04majeur
12:04pour notre pays,
12:05c'est l'assurance-vie
12:06de notre pays.
12:07Donc, effectivement,
12:08on fera tout ce qu'il faut faire
12:09pour pouvoir protéger
12:11l'agriculture française.
12:13Nous verrons bien.
12:13Merci, en tous les cas.
12:14Merci à vous.
12:14Merci, David Amiel.
12:15Merci.
12:15Jean-François Quilly
12:17et David Amiel.
12:18Vous voulez réagir
12:19à ce qui a été dit
12:20tout à l'heure,
12:21notamment sur les économies
12:22possibles
12:23que l'on peut faire,
12:24bien sûr,
12:25dans la dépense publique,
12:26sur les achats,
12:28les achats de bouilloires,
12:29comme on le disait,
12:30de canapés,
12:31de fauteuils,
12:32de tables,
12:32par exemple,
12:33dans les mairies.
12:34De stylo ?
12:35De stylo,
12:36oui, bien sûr,
12:37mais des imprimantes,
12:38il y a énormément de choses,
12:39quoi.
12:39Bien sûr,
12:40on peut faire des économies.
12:42C'est particulièrement intéressant.
12:43Vous ne nous appelez pas forcément
12:45les chevaliers du fiel,
12:46les municipaux,
12:47qui plaisantent souvent
12:48autour de ça
12:48et qui, évidemment,
12:50probablement rebondiront,
12:52bien sûr,
12:53dans leur émission
12:53entre 17h et 18h.
12:54Puis on revient,
12:55bien sûr,
12:56dans un instant aussi
12:57sur les causes profondes
12:58de la crise agricole actuelle.
13:00Quelles sont les causes,
13:00selon vous ?
13:01Est-ce que c'est la dermatose
13:03dont on parle beaucoup aujourd'hui
13:04ou c'est un malaise plus profond,
13:06un abandon,
13:07un sentiment d'abandon
13:08des agriculteurs
13:09ou les accords internationaux
13:11tels que le Mercosur
13:12vous appelez 0 826 300 300
13:14et nous en débattons également
13:16avec Françoise Degoy
13:16et Philippe David
13:17ce matin,
13:18en ce lundi 15 décembre.
13:20...
13:20...
13:20...
13:21...
13:22...
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