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Ce vendredi 12 décembre, Benjamin Rousseau, gérant d'Edmond de Rothschild AM, Stéphanie Maugey, gérante privée à la Finacière d'Uzès, et Gilles Santacreu, trader algorithmique et administrateur du site Boursikoter.com, ont débriefé la séance du jour, dans l'émission BFM Bourse présentée par Antoine Larigaudrie. BFM Bourse est à voir ou écouter du lundi au vendredi sur BFM Business.
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00:00BFM Bourse, on refait la séance.
00:04Stéphanie Mauget, financière du ZES.
00:06Bonjour, merci d'être avec nous.
00:07Et Benjamin Rousseau, Edmond Rothschild, Asset Management.
00:10Merci d'être avec nous tous les deux.
00:13Oui, fin de semaine un peu crispante.
00:17Bon, le CAC 40 tient quand même bien le coup.
00:19On n'est quand même pas trop mal.
00:21On n'est plus très très loin de nos derniers plus hauts absolus.
00:24Et globalement, on a profité de pas mal de choses.
00:26C'est vrai qu'on a l'impression de jouer en deuxième division.
00:28Mais voilà, ça avance et on gagne quand même pas mal de terrain depuis le 1er janvier.
00:34Benjamin Rousseau, on signe quand même un bon exercice là pour le moment.
00:38On signera globalement un bon exercice si on en reste sur ces niveaux-là.
00:42Les deux dernières semaines vont être probablement assez molles, j'ai envie de dire,
00:47avec assez peu de volume.
00:48Donc plus on va s'approcher de l'échéance du 31 décembre,
00:52il se passera de choses finalement sur les marchés.
00:54Oui, ça reste une année boursière.
00:56Ça devrait rester une année boursière tout à fait satisfaisante.
00:59Toujours avec pas mal de volatilité,
01:01mais globalement, on peut être plutôt satisfait de la performance des indices.
01:05Stéphanie, vous restez globalement positif sur cette année ?
01:08Oui, on sent cette nervosité liée à ces fameuses thématiques.
01:12Il y a notamment, on a eu Broadcom qui a publié des chiffres qui étaient honnêtement excellents.
01:16C'était super bon, avec effectivement des attentes sur le chiffre d'affaires IA,
01:22qui était attendu à 68 millions, je crois, par le consensus.
01:25Ils ont publié 73, mais en fait, les rumeurs de marché attendaient plutôt 80 millions.
01:29Donc on a toujours cette sur-attente.
01:33Broadcom, honnêtement, a publié, je pense, reste très solide.
01:37Les noms qu'il a communiqués sont de très beaux noms.
01:40Les contrats sont très significatifs.
01:42Et Broadcom, en plus, c'est un acteur très diversifié.
01:44Donc effectivement, Oracle, qui est quand même le petit acteur du jeu,
01:49emmène le marché à la baisse.
01:50Je pense que les gens ont besoin de trouver des raisons pour consolider.
01:54Et on a, malgré tout, fait effectivement une très bonne année.
01:56Et il faut rester confiant, à mon avis, sur le maintien de ces niveaux-là,
02:02en tout cas au moins sur la fin de l'année.
02:04Il faut garder le temps long aussi.
02:05C'est vrai que, regardez, Broadcom perd 10-11% aujourd'hui,
02:08après des chiffres pourtant excellents.
02:09Bon, il gagne quand même encore 60% depuis le début de l'année.
02:12On est d'accord.
02:13Il y avait de la marge et il y en a certains qui voulaient se goinfrer.
02:16Non, c'est évident.
02:18Autre nouvelle, tiens.
02:19Effage qui rentre au CAC 40.
02:21Est-ce que ça vous inspire, ça ?
02:22Moi, je me suis dit, c'est trop trop bien, ça.
02:26Enfin, on prend conscience qu'il n'y a pas que l'IA.
02:28Il y a aussi des sociétés de qualité qui ont besoin d'intégrer l'élite boursière,
02:32gagner en visibilité.
02:33Et que c'était plutôt chouette pour cette fin d'année.
02:36Benjamin Rousseau, ça vous inspire ?
02:38Effage au CAC ou pas du tout ?
02:39Je n'ai pas d'avis très éclairé sur Effage, pour être très franc.
02:42Mais pour, on va dire, dans la sphère infrastructure, construction, au sens large,
02:47il y a beaucoup de sociétés, nous, de dossiers qui nous paraissent intéressants,
02:50en France, mais aussi et surtout en Europe.
02:53On a eu globalement des momentum d'activité qui sont bons,
02:57en tout cas dans la partie vraiment infrastructure,
02:59moins dans la partie construction.
03:01On a des valorisations qui restent encore tout à fait raisonnables.
03:03et surtout, on a des catalyseurs en vue.
03:06De l'autre côté du Rhin, on a ce plan d'infrastructure allemand
03:10qui va finir par se matérialiser.
03:12Alors, il y a eu beaucoup d'espoir, puis quelques doutes, un petit peu d'impatience.
03:18Mais 2026 devrait être un petit peu l'année de la matérialisation,
03:21on va dire, de ce plan d'investissement.
03:24Donc, il y a pas mal comme ça de dossiers intéressants à jouer
03:26sur ce thème des infrastructures.
03:30L'infrastructure, l'Europe, ça sent bon pour l'année prochaine.
03:34Et EFage, ça vous inspire un peu, Stéphanie ?
03:37Ou plus la problématique en elle-même ?
03:39Évidemment, EFage est un très beau dossier.
03:41Ils ont, comme beaucoup de ces sociétés-là,
03:43ils sont tirés aussi par toute la branche énergie,
03:45infrastructure, déploiement, d'électricité, etc.,
03:47qui va être un vrai sujet, toujours autour des data centers
03:52et des besoins de plus d'électricité.
03:54On est quand même, il ne faut pas oublier,
03:56qu'EFage reste un acteur français,
03:57qu'à chaque fois qu'on a de l'instabilité politique,
04:00on a EFage, Vinci et Enco qui tanguent un peu.
04:04Ils vont être pénalisés cette année
04:05pour la contribution exceptionnelle sur les grandes entreprises
04:07qui, a priori, y reconduitent l'année prochaine.
04:10Donc, voilà, EFage, c'est un très beau dossier,
04:13la thématique reste très bonne,
04:14mais il ne faut pas oublier qu'on reste dans un climat politique.
04:19C'est une relative stabilité.
04:21Donc, voilà, c'est un très beau dossier,
04:24mais avec la touche quand même assez française et concession.
04:28Et pas oublier, ça gagne 120% sur 10 ans.
04:32C'est aussi une entreprise qui récompense les patients avec du rendement.
04:35Avec du rendement, oui.
04:36Et autour des 4%, c'est bien.
04:37Oui, tout à fait.
04:38C'est bien.
04:38Gilles Santacreux, un petit coup d'œil sur la trajectoire technique d'EFage.
04:42C'est une scorecard absolument sans faute,
04:45étant donné qu'on est dans le vert un petit peu partout.
04:47On a eu une entrée dans l'élite boursière.
04:50Dans quelques jours, le groupe va intégrer le CAC 40.
04:53Qu'est-ce que, techniquement, ça vous inspire, la trajectoire d'EFage ?
04:56Techniquement, c'est une très belle configuration.
04:59Quand on regarde la configuration à moyen-long terme,
05:02c'est haussier.
05:03On a eu une petite phase de temporisation depuis le printemps
05:07qui ne remet pas en cause la dynamique.
05:10On a un range actuellement entre 104,50 et 125 euros.
05:13On se rapproche d'ailleurs de cette zone des 125 euros.
05:16On a eu un record inscrit cette année.
05:18Donc, globalement, c'est positif.
05:20Encore aujourd'hui, on a eu une ouverture sur un gap haussier
05:23qui ne s'est pas confirmée vu la morosité ambiante de la Bourse de Paris.
05:27Mais globalement, c'est une très belle configuration.
05:29Une cassure de la zone des 125,35 euros
05:32nous donnerait de nouveaux signaux positifs
05:34qui pourraient provoquer des nouvelles accélérations haussières.
05:38Bon, merci Gilles Santacruz.
05:40Un titre dont on n'avait pas parlé,
05:42mais depuis des années, j'ai l'impression.
05:44Vindel.
05:45Les sociétés d'investissement, les ERAZO, les Vindel,
05:48on a l'impression qu'ils sont sur du petit private equity pointu
05:53etc.
05:54Il n'y a plus de grosses belles histoires.
05:56Je me rappelle cette espèce d'événement insensé de ERAZO
06:00qui mettait en Bourse Monclerc.
06:01Ça avait été une super success story.
06:03D'ailleurs, Monclerc en profite encore largement.
06:05Depuis, on a l'impression qu'en Bourse,
06:07ça manque de lustre,
06:09ça manque d'appeal, comme on dit en anglais.
06:14Mais Vindel revient au cœur de l'actualité.
06:17Ça vous inspire, ça, Anthony Mojé ?
06:18Un petit peu.
06:19Alors, ce qui est sûr, c'est qu'on...
06:20Un petit peu déjà, mais c'est bien.
06:21Sur le secteur des holdings,
06:24on n'a, je pense, jamais eu un niveau de décote aussi élevé.
06:26Que ce soit Vindel, on a plus de 50%
06:30versus 25% historiquement.
06:33On a, j'ai regardé Peugeot Invest,
06:34Burel, c'est des décotes de plus de 60%.
06:36Sur les plus petites, Compagnie Le Bon,
06:38c'est encore pire.
06:39C'est plutôt 60%, 65%, 70%.
06:42Donc, clairement, c'est une classe d'action
06:45que les gens ont délaissée.
06:46Vindel, là, a quand même fait une communication
06:49assez précise aujourd'hui,
06:51expliquant d'abord un plan de rachat d'action massif,
06:53une distribution de dividendes significative,
06:56et donc ce nouveau métier qu'ils adressent,
06:59qui est donc la gestion pour compte de tiers.
07:01Donc, petit à petit, voilà,
07:03Vindel s'oriente vers un nouveau métier
07:05qui devrait contribuer de manière assez significative
07:08à sa rentabilité dans le futur.
07:10Donc, c'est vrai que c'est un peu un nouveau Vindel
07:12qui est en train de se constituer,
07:14mais qui va, du coup, déléguer quand même un peu plus
07:17le suivi de ses investissements
07:18à des équipes de private equity, de dettes privées.
07:22Donc, voilà, je pense qu'effectivement,
07:24peut-être qu'on peut avoir un retour d'intérêt
07:27sur ces holdings qui ont quand même des niveaux de décote
07:29qu'on n'avait pas vus depuis longtemps.
07:30Benjamin Rousseau, Vindel, ça...
07:32On regarde très peu les holdings cotés.
07:35Vous attendez que la décote s'éponge un petit peu
07:37pour faire quoi que ce soit ?
07:39Non, je crois même qu'on ne regardera pas.
07:41Ce n'est pas le genre de dossier dans lequel on investit,
07:44tout simplement.
07:45On préfère investir dans les dossiers, on va dire,
07:47plus purs et pas forcément dans les holdings cotés.
07:50D'accord, je comprends.
07:51Ça ne correspond pas forcément à notre philosophie de gestion,
07:54on va dire.
07:54En revanche, les sociétés de services informatiques,
07:57on voit qu'on a eu de belles trajectoires,
07:59notamment de Capgemini cette semaine.
08:01On voit Soprasteria et Atos qui signent...
08:05Alors, Atos, Atos, qui était moribond
08:07il y a encore quelques semaines, plus 10% aujourd'hui,
08:1055,26.
08:11On a également Soprasteria,
08:13qui signe une des plus fortes hausses du SBF 120
08:15et viennent de changer de directeur général.
08:17Capgemini, qui a vraiment repris des couleurs aujourd'hui,
08:19même s'il termine plus forte baisse du CAC,
08:21à moins de 2,8.
08:22Mais bon, il y a eu de la prise de profit dans l'air.
08:24Les ESN, ça revient vraiment
08:27dans le scope des investisseurs en ce moment.
08:29Oui, complètement.
08:30Si on fait un petit retour en arrière,
08:31à partir de 2024,
08:32on avait eu un marché de l'IT qui était en ralentissement,
08:35il semble que les choses commencent à aller mieux.
08:38On a eu, sur les publications du troisième trimestre,
08:41Capgemini, qui a relevé ses guidance pour cette année.
08:44Et du côté des plus petites sociétés,
08:46OB, Neurone, on fait de même.
08:48Donc, les choses sont en train d'aller mieux.
08:50On peut rajouter aussi WaveStone,
08:52qui, elle, est une société de conseil,
08:53mais qui est un peu dans la même sphère.
08:55Là aussi, il y a un message plus rassurant,
09:00clairement plus optimiste qu'il y a quelques mois.
09:03Donc, les choses, effectivement, ont l'air d'aller mieux.
09:05Et dans le cas, effectivement, de Soprasteria,
09:07vous le mentionnez.
09:08Bon, le T3, il n'a pas été transcendant,
09:11mais il y a des signaux qui sont positifs
09:13pour le quatrième trimestre.
09:15On a une valorisation qui est extrêmement basse.
09:18Et enfin, on a donc un nouveau directeur général,
09:21puisque le précédent avait annoncé son départ
09:24il y a quelques mois.
09:24Donc, oui, il y a une petite conjonction de choses
09:27qui font qu'on peut être plus positif sur Sopra
09:31et que le titre, finalement, commence un petit peu à se reprendre.
09:34Stéphanie Mauget ?
09:35On a quand même un indicateur qui est souvent intéressant,
09:39c'est que Pascal Imbert, le patron de WaveStone,
09:41qui est un grand, grand prudent,
09:43a lors de sa dernière réunion d'analystes,
09:45expliqué qu'il voyait vraiment une inflexion positive.
09:49Alors, les US sont un petit pays pour eux,
09:51mais il y a vraiment une croissance,
09:53et notamment, aussi bien Stoprasteria,
09:56Aubet, etc., ont communiqué sur des tendances positives là-bas,
10:01en disant, voilà, ça va mieux,
10:03et l'IA va être un contributeur de plus en plus significatif.
10:07Cette année, c'est 8 %, l'année prochaine, ce sera 14 %,
10:09et en 2028, on pense près de 20 %.
10:11Donc, la peur qu'on avait dans tout ce secteur,
10:15c'était que l'IA vienne faire des ravages
10:17et que tous les consultants deviennent inutiles.
10:19Alors que ?
10:20Alors que, justement, ce que dit Pascal Imbert,
10:22c'est qu'au contraire, on est dans une première phase
10:25où on a, au contraire, besoin de toutes ces sociétés de conseil,
10:27de SN, pour aller aider, conseiller et déployer toutes ces solutions.
10:32Peut-être que ça fera des ravages plus tard,
10:34mais dans un premier temps,
10:35on va avoir besoin surtout de toutes ces sociétés
10:37qui se payent sur des multiples plutôt raisonnables,
10:40et effectivement, Soprasteria est parmi les moins chers.
10:43Gilles Santacreux, pour l'aspect technique de Capgemini,
10:47notamment, c'est vrai qu'il y a vraiment du mieux,
10:49mais on a l'impression qu'on avait une ère de désolation
10:51qui a duré tout l'été, qui s'est terminée en octobre,
10:54et depuis, le titre n'arrête pas de grimper.
10:57Et il renoue même avec des plus hauts de fin juin.
11:02Graphiquement, c'est quelque chose qui est très intéressant à observer, en plus.
11:04Oui, mais ça n'invalide pas la dynamique baissière
11:09que nous avons depuis les records que nous avons connus
11:11au mois de mars de l'année dernière, en 2024.
11:14On pourrait effectivement transformer ce signal court terme
11:18en signal de retournement majeur
11:20si les cours revenaient au-delà des 155 euros.
11:23Là, on n'en est pas loin, on est à 147, là.
11:26Donc, il faudrait encore un petit peu pousser
11:28pour casser cette zone de points hauts
11:30que nous avions eues au mois de juin
11:32pour vraiment commencer à enclencher effectivement un retournement de tendance.
11:35Là, c'est encore un petit peu tôt, un petit peu jeune.
11:38Mais effectivement, d'un point de vue court terme,
11:39on est sur une dynamique très forte.
11:42Peut-être une phase de consolidation à venir.
11:44On a des signaux d'une correction imminente.
11:46Mais dans les prochains jours, prochaines semaines,
11:48une rupture effectivement des 155 euros
11:50pourrait changer la donne.
11:51Merci Gilles Santacreux, boursicoté.com.
11:54Dans 12 jours, c'est Noël.
11:56Notre père Noël, aujourd'hui,
11:58s'appelle Benjamin Rousseau,
11:59gérant chez Edmond Rothschild Asset Management.
12:02Parce que vous avez un petit cadeau pour nous.
12:04Vous avez une petite pépite à nous conseiller,
12:06une petite action bien sympa à nous mettre sous le sapin.
12:09C'est qui vient du froid, qui s'appelle Mips.
12:11Donc, c'est bientôt Noël, vous l'avez dit.
12:13Qui dit Noël dit cadeau.
12:15Eh bien, il y a une valeur
12:15qui sera sans doute en bonne place
12:17ou qui devrait l'être, en tout cas,
12:19au pied du sapin.
12:19C'est la société suédoise Mips
12:21qui conçoit des solutions de protection,
12:23de sécurité pour les casques.
12:25Casques de vélo, de ski, de moto.
12:28Quand vous allez dans votre magasin de sport préféré,
12:30vous avez peut-être déjà remarqué
12:32des petits logos jaunes sur les casques
12:33dans les rayons.
12:35Je regarderai.
12:35Ça, c'est le logo de cette société Mips.
12:38Les marques de casques utilisent les solutions de Mips
12:41et les intègrent dans leurs casques.
12:43C'est une société qui fait à peu près
12:45800 millions d'euros de capitalisation boursière,
12:46qui a un historique de croissance rentable
12:49extraordinaire,
12:51à peu près 20 à 30 % de croissance par an
12:53depuis 10 ans.
12:54Ils viennent d'annoncer aujourd'hui
12:55une belle acquisition.
12:58Donc voilà, Mips,
12:59j'ai envie de dire,
12:59si vous avez un conjoint,
13:01un enfant, un ami,
13:02une maman qui fait du vélo,
13:04du ski, du poney,
13:05quoi qu'est-ce,
13:06ayez le réflexe Mips
13:07et dans les portefeuilles boursiers,
13:09ça vaut aussi.
13:10Mais regardez,
13:10le jaune sur le casque,
13:11c'est un peu le Intel Inside
13:13de la sécurité.
13:13C'est exactement ça.
13:14Non, mais c'est génial
13:15de se rendre indispensable
13:16auprès du monde entier.
13:17C'est quand même un sacré atout.
13:17Et la sécurité,
13:18ça n'a pas de prix.
13:19Oui, absolument.
13:20Sacré atout pour cette entreprise.
13:23Donc Mips,
13:23côté en Suède.
13:24Stéphanie Moger,
13:25gérante à la financière du ZES,
13:27Benjamin Rousseau,
13:28gérant chez Edmond Rothschild,
13:30Asset Management.
13:30Merci d'avoir été avec nous
13:32pour commenter cette séance.
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