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  • il y a 2 jours
Ce lundi 8 décembre, dans sa chronique USA Today, John Plassard, associé, responsable de la stratégie d'investissement de Cité Gestion, s'est penché sur la cotation de TotalEnergies à New York, le verdict monétaire de la Fed attendu mercredi, la menace de Donald Trump sur la fusion de Netflix et Warner, et le nouveau record historique du prix du cuivre. Cette chronique est à voir ou écouter du lundi au vendredi dans l'émission BFM Bourse présentée par Guillaume Sommerer sur BFM Business.

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Transcription
00:00Et oui, c'est votre rendez-vous quotidien, plus fraîche que le milkshake du coin, l'actu américaine et l'ouverture de Wall Street donc en direct.
00:08John Plassard est avec nous pour Cité Gestion. Bonjour John.
00:11Vous êtes plus frais que le milkshake du coin, vous aussi, on le voit. On est lundi, vous êtes frais comme un homme neuf.
00:16Antoine Larigauderie aussi nous accompagne en fil rouge, très très rouge. Bonjour Antoine.
00:21Bonjour Guillaume.
00:21Vous avez pris le soleil ce week-end. Antoine, on est ravis de vous retrouver.
00:24Comment se passe cette ouverture aujourd'hui des marchés américains ?
00:28Alors, on est dans le vert. Je dois vous avouer que je dois avoir un petit problème de cotation parce que j'ai le Dow Jones en hausse de 3,5%.
00:36Alors moi aussi, donc on va vérifier.
00:39Oui, ça me semble un peu excessif. Plus 0,34% pour le Nasdaq à 23 657 points et plus 0,07% pour le S&P 500.
00:48On est à 6 875 points où il doit y avoir un petit gap ou un problème d'affichage.
00:54Le VIX, lui, descend à 16,20 et du côté de l'Europe, le CAC 40, moins 0,27% à 8092.
01:02C'est vrai. Alors évidemment, on va suivre Total Energy particulièrement aujourd'hui.
01:05Pourquoi ? Parce que Total Energy entame sa deuxième vie, double vie de Total Energy, celle à Paris et puis aussi sa double vie à New York.
01:12Ce titre Total Energy sera désormais, et désormais, on peut parler au présent maintenant, Wall Street a ouvert, simultanément coté à Paris.
01:18Et New York, ce titre Total Energy désormais cotera, cote de 9h du matin l'ouverture parisienne à 22h, la clôture new-yorkaise.
01:26John, comment regardez-vous cette, alors ce n'est pas une double cotation, cette cotation simultanée du même titre à New York en dollars et à Paris en euros ?
01:35Oui, juste un mot d'abord sur le Dow Jones.
01:38On perd actuellement moins 0,18 points, on est à 47 870 points en direct sur Bloomberg.
01:47Donc c'est moins que plus de 3% malheureusement.
01:50Oui, un petit problème de données effectivement, John, je vous le confirme.
01:53Effectivement, partout ailleurs, oui, on est en très légère baisse.
01:56C'est ça.
01:57Mais voilà, il y a sans doute un problème d'affichage de données quelque part sur nos moniteurs.
02:01Et on salue Facet qui nous accompagne.
02:02John, donc ce titre Total Energy coté à la fois à Paris et New York, New York donc, cette double vie que vivra désormais Total Energy en euros mais aussi en dollars, comment vous regardez l'opération ?
02:14D'abord, il faut dire que Total Energy va rejoindre le cercle restreint de certaines majors européennes qui sont cotées à la fois à Paris et à New York.
02:24Il y a notamment des ADR, on songe à Sanofi, Schneedre, LVMH et évidemment à la clé, un accès plus direct à la profondeur des marchés américains et évidemment à ces grands fonds institutionnels.
02:39Et ce qui est intéressant de noter, c'est que le management de Total Energy l'a confirmé.
02:47Mais ça vise aussi à réduire la décote historique qu'il y a entre le champion Total Energy et Exxon et Chevron, les majors américaines qui évidemment sont les stars internationales de l'énergie.
03:04Ça va évidemment aussi renforcer la visibilité de Total Energy dans tous les secteurs clés, c'est le GLN, GNL pardon, l'électricité, le renouvelable, le stockage, etc.
03:19Et c'est en fait une manière assumée d'aller chercher le financement là où il se trouve désormais évidemment sur le sol américain qui est devenu l'épicentre mondial du financement dans l'énergie.
03:33Alors, c'est un constat, c'est assez positif si vous voulez pour Total Energy, mais d'un autre, on fait un constat qui potentiellement est assez triste,
03:42c'est qu'on voit que l'Europe perd du terrain face aux États-Unis et de plus en plus de groupes et de grands groupes décident d'aller se coter aux États-Unis
03:52pour avoir accès à cette liquidité notamment et essayer d'être en compétition directe avec les grands groupes américains.
04:00Total Energy qui aujourd'hui recule quand même, on a vu en plus un abaissement d'opinion en fin de semaine dernière de la part d'un grand acteur américain sur Total Energy,
04:07malgré cette cotation désormais aussi à New York qui permettra ou permettra pas de compenser cette décode de 40% des codes de valorisation par rapport à ces pairs américains.
04:16C'est la question qu'on vous pose à vous tous sur nos réseaux sociaux, le fil XBFM Bourse, le fil LinkedIn, on vous demande si selon vous ça marchera ou ça marchera pas.
04:24Est-ce que cette cotation à New York sera un game changer ? Est-ce que ce sera un odin ? Ou est-ce que ce sera un atout à moyen terme ?
04:30Vous vous pencheriez pourquoi John ? C'est anodin ? Ce sera un game changer ? Un atout à moyen terme ? Comment vous voyez cette cotation new-yorkaise ?
04:35Honnêtement, c'est un atout à moyen terme avec, comme on le disait, cette liquidité qui va revenir.
04:41Les Américains qui vont potentiellement s'intéresser à Total Energy comme ils peuvent s'intéresser à LVMH,
04:47puisqu'on sait que LVMH, l'ADR de LVMH, est souvent beaucoup traité aux États-Unis et donc ça peut apporter plus de regain d'intérêt pour cette entreprise française.
04:58Total Energy donc à suivre aussi bien à Paris qu'à New York.
05:01À part ça, que faudra-t-il suivre ? Que faudra-t-il attendre de cette nouvelle semaine américaine en bourges jeunes ?
05:06On a l'impression, chaque fois que vous me posez la question au début de semaine, Guillaume, que c'est toujours la semaine de tous les dangers.
05:12On est obligé de le dire une nouvelle fois, je suis désolé, je me répète, mais on va avoir encore un rattrapage massif post-shutdown,
05:21le fameux shutdown le plus long des États-Unis et on aura enfin un tableau complet de l'emploi et du cycle industriel.
05:30On va avoir le fameux rapport JOLTS demain qui est retardé mais que regarde beaucoup la réserve fédérale américaine,
05:36les coûts, les indices des coûts à la main d'œuvre, le budget fédéral, la balance commerciale.
05:41On aura l'ADP, bien évidemment, qui est aussi regardée et le sentiment du Michigan.
05:48Donc le point clé cette semaine, ce n'est pas l'inflation, c'est vraiment la solidité de l'emploi.
05:54Et en plus, cerise sur le gâteau, évidemment, il y aura la Fed mercredi,
05:59mais on aura encore deux majors dans la tech et notamment dans l'intelligence artificielle qui vont publier leurs résultats.
06:07Et ces deux entreprises, Intel et Broadcom, potentiellement, ça pourrait donner une certaine tendance
06:14avant le rallye ou pas de cette fin d'année, le fameux rallye du père de règle.
06:20Hyper important, c'est les dernières publications importantes de la tech américaine pour cette année, cette semaine.
06:25Broadcom, jeudi, 1800 milliards de dollars de capitalisation.
06:28Désormais, Broadcom, ça devient un grand Broadcom.
06:31Et puis, on suivra aussi Oracle, il ne faut pas oublier Oracle, ce sera en l'occurrence mercredi.
06:35Alors, mercredi, justement, journée importante du côté de la réserve fédérale américaine.
06:39On a trouvé, John, cette photo inédite de Jérôme Powell.
06:43Si vous suivez la télé, vous la voyez apparaître, c'est le père Powell qui apparaît.
06:46Le père Powell, oui, oui, parce que les marchés attendent de lui qu'il joue au père Noël cette semaine
06:50en distribuant les cadeaux au pied du sapin des marchés.
06:53Jérôme Powell déguisé en père Noël.
06:54Vous faites partie de ceux qui croient au père Powell ou pas, John ?
06:58Alors, écoutez, je crois au père Noël, mais là, ici, on est dans une situation
07:02où, potentiellement, ce sera le père fouettard.
07:06Pourquoi ? Parce qu'il n'y a aucun doute sur une baisse des taux de 25 points de base
07:11de la part de la Fed mercredi, mais on n'a pas réellement un consensus
07:16au sein même de la réserve fédérale américaine.
07:19Et on pourrait être dans un niveau de dissidence où il y aurait trois personnes
07:25qui pourraient voter contre les moins 25 points de base, c'est-à-dire on a certains
07:30qui ont voté pour moins 0,50 et d'autres qui ne voudront pas baisser les taux.
07:34Et ça, c'est une dissidence inédite depuis 2019.
07:40Évidemment, on a plein de dilemmes, la pression gouvernementale de Donald Trump,
07:44mais aussi ce fameux dilemme inflation-emploi, où, malgré le fait que l'inflation,
07:50on a eu les chiffres du PCE vendredi passé, mais qui étaient légèrement sous les attentes,
07:55mais toujours au-dessus de 2 %, eh bien, laisse pas mal de doutes.
08:00Lorsqu'on regarde le consensus, il y a plusieurs consensus qui est faits,
08:04et lorsqu'on regarde le consensus qui essaye de savoir ce que va dire Jérôme Powell,
08:09eh bien, le consensus anticipe que Jérôme Powell puisse délivrer un message faucon,
08:15c'est-à-dire au quiche, en ne laissant pas spécialement la porte ouverte à une baisse de taux
08:22lors de la prochaine et la première réunion de la réserve fédérale américaine.
08:26Donc, potentiellement, même si on baisse les taux, eh bien, d'un autre côté,
08:30on pourrait avoir un marché qui doute concernant la prochaine baisse de taux.
08:35Mais on le rappelle, une nouvelle fois, s'il le fallait, c'est des coûts préventifs
08:40qui n'assurent pas à chaque fois une baisse de taux.
08:43Et donc, il faudra s'y faire.
08:45Il faudra carrément s'y faire, effectivement.
08:46Dans quelques minutes, la bourse cash, Emmanuel Salle nous rejoindra en direct.
08:51Il a quelque chose à vous dire à vous tous concernant la BCE, oui,
08:54car il n'y aura pas que la Fed à suivre cette semaine.
08:57Il y aura aussi, en ce mois de décembre, en fait, ce sera la semaine prochaine, la BCE,
08:59la Banque Centrale Européenne, qui va à son tour annoncer peut-être une baisse de taux,
09:03en tout cas sa décision de politique monétaire.
09:04Et pour Emmanuel Salle, la BCE est en ce moment un adversaire de la croissance européenne
09:09aussi redoutable que la Chine.
09:12Oui, la BCE serait un adversaire de la croissance européenne aussi redoutable que la Chine.
09:17Il l'argumentera à son point de vue.
09:18Il parlera cash, la bourse cash à suivre dans quelques instants.
09:22Wall Street vient d'ouvrir donc à la hausse, John, 0,3% de hausse au Nasdaq, 0,01.
09:26C'était nu pour le S&P 500.
09:28Et on doit revenir sur Netflix quand même.
09:29Son opération, son offre géante sur le groupe Warner Bros.
09:33Et cette contre-offre cet après-midi de Paramount, Warner Bros. en profite et gagne 7,5%.
09:38De son côté, Netflix pourrait être empêché.
09:39Donald Trump voit d'un mauvais œil un éventuel rachat par Netflix.
09:42C'est une histoire, c'est une saga historique.
09:44Pour ceux qui s'en souviennent, c'est le Dallas des temps modernes.
09:48Et lorsqu'on regarde ici, Paramount, vous l'avez dit, on va juste revenir là-dessus d'abord,
09:52a fait un surbide à 30 dollars.
09:55Et Paramount a dit que son offre permettrait aux actionnaires de Warner
10:00d'obtenir 18 milliards supplémentaires en espèces par rapport à l'offre de Netflix.
10:06Donc, on voit qu'on remonte encore les estimations.
10:09Et d'un autre côté, vous l'avez dit, la Maison-Blanche considère que cette fusion,
10:14que ce soit avec Netflix ou Paramount, créerait un acteur dominant du streaming,
10:21ce qui réduirait la concurrence et risquerait d'augmenter les prix pour les consommateurs américains
10:26et donc, en définitive, de l'inflation cachée.
10:30Donc, en fait, Donald Trump a toujours dit qu'il souhaitait empêcher
10:34les concentrations excessives dans les médias.
10:37On sait que c'est un secteur qui est jugé absolument stratégique pour lui,
10:42mais aussi pour l'influence culturelle et l'influence d'autres politiques.
10:47Donc, on est dans une situation où, sur le papier, c'est assez fantastique pour Netflix
10:52parce qu'ils ont accès à un catalogue massif de franchises,
10:57que ce soit HBO, DC ou Warner.
11:00Mais d'un autre côté, il y a ces questions d'antitrust dont on ne parle pas assez
11:05parce qu'on pourrait annoncer un bille, mais il pourrait peut-être refusé.
11:09Donc, il faut faire attention sur ce dossier.
11:11C'est vrai.
11:12Et ce titre, Warner Bros, en tout cas, encore hausse de 7,5% aujourd'hui
11:15dans un marché américain un petit peu hésitant, mais à la hausse.
11:18L'or hésite aussi.
11:19On n'arrive plus à battre de nouveaux records sur l'or.
11:21Et si c'est vrai, la tendance, ça s'agit sur l'or.
11:23Ce n'est pas le cas sur le cuivre qui bat à nouveau de nouveaux records.
11:26Le cuivre.
11:27Que se passe-t-il, John ?
11:28Absolument fou.
11:29Il y a plusieurs arguments.
11:30On va les faire rapidement.
11:31D'abord, un mot ce matin du gouvernement chinois qui vient d'affirmer
11:34que la croissance domestique sera l'objectif numéro un en 2026.
11:39Donc, qui dit croissance domestique dit construction, où on utilise du cuivre.
11:44De l'autre côté, on a en Chine et dans le monde une demande explosive
11:48pour l'intelligence artificielle et aux infrastructures.
11:51Lorsque je vous dis centre de données, data center, supercalculateur,
11:55électrification du réseau, on pense à des kilomètres de cuivre.
12:00Et puis, la dernière chose, c'est qu'on a entendu qu'il y avait un stockage massif aux États-Unis.
12:07Washington achèterait énormément de cuivre en anticipation d'éventuels tarifs imposés
12:13par Donald Trump ou par la Chine.
12:15Donc, on voit ici qu'il y a un alignement des étoiles pour un cuivre qui touche un plus haut historique.
12:23Effectivement.
12:24Et si ces thématiques d'électrification vous intéressent, vous tous, on parlera aussi de nucléaire.
12:28Comment investir dans le nucléaire ? Ce sera dans Culture Bourse à suivre.
12:31Bertrand Lamiel répondra sur le nucléaire.
12:33Et sur vos questions, à vos questions, vos interrogations,
12:35celles que vous nous envoyez régulièrement en flachant, scannant le QR code
12:38qui apparaîtra sur vos écrans dans un instant et tout au long de l'après-midi.
12:42Antoine ?
12:42Oui, il y a un nom à suivre dans les pharmaceutiques.
12:46Un outsider total, une biotech qui s'appelle Structure Therapeutics,
12:51Structure, qui est cotée au Nasdaq et qui vient de sortir une étude alors extrêmement positive
12:57sur un médicament qu'il développe, un médicament anti-obésité orale
13:01qui vient directement concurrencer les produits d'Elai Lili.
13:04Et apparemment, les résultats sont extrêmement prometteurs.
13:08Et Structure Therapeutics est en train de gagner tranquillement 83% en ce moment sur le Nasdaq.
13:15C'est une des plus fortes hausses du moment.
13:17Effectivement.
13:18Alors, on va regarder si Elai Lili est en train de réagir sur le marché.
13:20On est en baisse sur Elai Lili, 0,9%.
13:22Effectivement.
13:23Les médicaments anti-obésité, tiens.
13:25Est-ce qu'ils vont, ces médicaments anti-obésité, couper la faim des consommateurs
13:29au point qu'on n'achètera plus de chips, de coca ou même de glace ?
13:32Il se trouve que les glaces Magnum, désormais, John, sont cotées en bourse.
13:37C'est Unilever qui a scindé ses activités et qui, désormais, a mis en bourse Magnum.
13:41Les glaces Magnum, c'est quand même la première entreprise fabriquant des glaces au monde.
13:45Un cinquième du marché mondial leur appartient.
13:47C'est désormais coté Amsterdam.
13:48Magnum gagne 0,6%.
13:50Est-ce que ce n'est pas un peu dangereux, oser, de mettre en bourse Magnum
13:53alors qu'effectivement, ces médicaments coupé fin sont en train d'arriver sur le marché ?
13:57C'est une bonne question.
13:59Alors, on va voir quel type de glace on va faire.
14:01Vous savez, ces producteurs, ils ont toujours des idées dans leur sac.
14:06Potentiellement, on aura une glace qui sera moins calorifique, mais moins bonne.
14:09Je sais, Guillaume, que vous adorez les Magnums.
14:11Mais ici, évidemment, c'est un signe et une volonté d'élargir l'accès aux investisseurs européens
14:19et puis d'améliorer aussi la liquidité de ce titre.
14:22Bien évidemment, on revient sur ce qu'on disait, mais d'un autre côté, avec Total Energy,
14:28une réduction potentielle du coût du capital.
14:31Une base d'actionnaires plus large peut évidemment soutenir les futures levées de fonds
14:36et les projets d'expansion et puis on a une visibilité accrue auprès des fonds européens.
14:42Donc, je dirais qu'en termes de stratégie, effectivement, c'est dangereux face, entre guillemets,
14:48face à ce qui se passe avec le GLP1, mais on aura toujours des gens pour manger des glaces
14:53et surtout des nouveaux parfums qu'on va nous proposer, c'est certain, pour l'été 2020.
14:59Ils pourront toujours compter sur moi, peut-être sur Antoine aussi, Antoine.
15:03Il n'y aura rien de mieux l'été.
15:04Non, mais je dois dire qu'il y a quelque chose à dire justement sur ce spin-off.
15:09C'est un petit peu...
15:11Non, mais c'est l'aveu par un grand groupe diversifié
15:15qu'il y a une marque dans la marque.
15:18Et ça, c'est très intéressant.
15:19Magnum, c'est une marque.
15:21On a quelques très belles marques aussi sous cette nouvelle entité.
15:26On a Ben & Jerry's, on a Cornetto.
15:29C'est un petit peu le problème de la 500 dans la gamme Fiat.
15:33Ça devient un État dans l'État.
15:35Donc, ça paraît tout à fait logique et naturel de le laisser flotter de manière indépendante,
15:39de manière à ce qu'il dégage encore plus de croissance.
15:42Et c'est un moment assez intéressant.
15:44Parce qu'Unilever, pour le reste, c'est quoi ?
15:45C'est Skip, les lessives, c'est Dove.
15:47On est très loin de la glace.
15:48Oui, c'est le produit domestique.
15:49C'est ça, exactement.
15:49Les glaces ont toujours fait partie de leur périmètre.
15:53Mais là, emballé sous cette forme-là, ça peut devenir une dynamique de croissance intéressante.
15:57Comment ça se passe à Amsterdam ?
15:58Magnum, Ice Cream, c'est comme ça que ça pèse ce titre coté désormais.
16:01Plus 0,8% en ce moment à la bourse d'Amsterdam.
16:03C'est un titre qu'on apprendra à suivre aussi.
16:05Et en plus, il est éligible au PEA.
16:07Merci beaucoup, John, de nous avoir accompagné.
16:08John Plassard pour Cité Gestion.
16:10Bon après-midi, John.
16:11Bon après-midi, John.
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