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Les Vraies Voix avec Éric Revel, économiste et auteur de "C'est Mozart qu'on assassine" publié aux éditions Ellipse ; Samuel Botton, expert en communication chez STEP Conseil ; Pierre Chasseray, délégué général de 40 Millions d’Automobilistes ; Bruno Pomart, ancien membre du RAID et maire de Belflou ; Lionel Robert, fondateur et organisateur des Automobile Awards.

Retrouvez Les Vraies Voix avec Cécile de Ménibus et Philippe David du lundi au vendredi de 17h à 20h sur #SudRadio.
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##LES_VRAIES_VOIX-2025-12-04##

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Transcription
00:00:00Les Vraies Voix Sud Radio, 18h-20h, Cécile Dominibus, Philippe David.
00:00:06Alors je ne sais pas si elles sont vraies, mais en tout cas elles sont là ce soir, avec Philippe David.
00:00:10Ça va mon Philippe ?
00:00:11Ça va très bien, Cécile et vous ?
00:00:13Très bien, très heureuse d'accueillir ce soir encore Eric Revelle qui est avec nous, journaliste et écrivain.
00:00:18Bonsoir Cécile !
00:00:18Bonsoir de suite, quel bonheur !
00:00:20C'est beaucoup, c'est trop ?
00:00:20Non, non, c'est jamais trop.
00:00:22Je ne me rends pas compte parce que sinon je peux y aller.
00:00:24Non, non, oh là là, oh oui.
00:00:26Non, il a envie qu'on le prie là.
00:00:28Non, non, non, il est chaud comme une barrière.
00:00:30Mais j'ai pris ça pour un reproche, moi.
00:00:32Non, pas du tout, c'est un compliment.
00:00:34Pas du tout.
00:00:35Rappelons ce livre, c'est Mozart qu'on assassine aux éditions Ellipse.
00:00:40Et on espère que celui qui est à côté de lui, notre Vraie Voix du jour, l'a lu ce livre.
00:00:44Samuel Botton était avec nous, expert en communication chez Stéphes Conseil.
00:00:47Vous l'avez lu ou pas ?
00:00:48Prenez au dépourvu, donnant notre invité.
00:00:50Vous me faites marquer mal.
00:00:53Vous allez l'acheter.
00:00:54Il avait lu mes textes il y a 15 ans, 20 ans.
00:00:56Et je vais reprendre cette oeuvre.
00:01:00C'est dingue, non ?
00:01:01C'est dingue, non ?
00:01:01Depuis le début.
00:01:02Je suis beaucoup plus vieux que lui, alors.
00:01:03Voilà, à peine, à peine.
00:01:05Allez, les amis, le sommaire de cette émission, on le disait tout à l'heure, l'université Lyon.
00:01:10L'Humère Lyon 2 a finalement annoncé la suspension de son enseignant, Julien Théry,
00:01:14auteur d'une liste de personnes qu'il considérait comme génocidaire et accusée d'antisémitisme.
00:01:18Et on vous pose cette question, enseignant suspendu, faut-il dépolitiser les universités ?
00:01:24Eh bien, vous dites oui à 97%.
00:01:26Et moi, je le dis, l'université, c'est comme l'école, c'est fait pour apprendre, pas pour faire de la politique ou du syndicalisme.
00:01:32Fut-il étudiant ?
00:01:33Et puis, la question du soir, l'ancien ministre du Logement, Guillaume Casbarian, appelle à mettre fin à l'accueil prolongé des étrangers sans domicile fixe, en situation irrégulière.
00:01:43Et on vous pose cette question, faut-il arrêter de loger les migrants irréguliers ? Vous dites oui à 97% ?
00:01:48Et moi, je le dis, à 3 milliards d'euros par an, voilà une source d'économie.
00:01:52Il faut expulser les personnes en situation irrégulière, pas les loger.
00:01:55Vous n'allez pas vous faire que des amis. Allez, on vous souhaite la bienvenue. Tout de suite, le grand débat du jour.
00:02:00Je trouvais ça extrêmement choquant. Extrêmement choquant, d'abord, de désigner à la vindicte populaire 20 personnes,
00:02:06qualifiées de génocidaires des personnalités françaises.
00:02:09C'est un cap qui est franchi et qui, à mon avis, doit être redénoncé par tous.
00:02:13L'exhumation, il y a deux jours, d'une caricature antisémite publiée l'an dernier par ce même professeur sur ses réseaux sociaux
00:02:19a achevé d'aggraver le cas de cet enseignant, suspendu donc ce soir par son université.
00:02:25On se félicite de cette décision. C'est une des premières fois où la présidente de Lyon 2 prend vraiment ses responsabilités,
00:02:30agit rapidement et prend des mesures pour faire cesser les dérives et, j'irais même plus loin, faire cesser le bordel au sein de son université.
00:02:37Les Vraies Voix Sud Radio
00:02:39Et Eric Reveld, je me tourne vers vous. On a envie de dire, enfin !
00:02:45Bah oui, la personne dit rapidement. Non, ça a pris deux semaines quand même.
00:02:49Je rappelle quand même les faits. Ce prof, ce qu'on peut l'appeler prof d'ailleurs,
00:02:54il a publié une liste, en fait, de juifs.
00:02:58Oh, ils n'étaient pas tous juifs. Il avait 16 oeufs sur 20.
00:03:00Bon, bah d'accord. Alors, 16 oeufs sur 20, c'est une bonne note quand même, hein, pour rapprocher...
00:03:03Oui, ça fait quand même une majorité.
00:03:05...qu'il taxait de génocidaire. C'est-à-dire qu'on n'est pas en 2025, on est en 1930.
00:03:11On est en 1930 et on a une déflagration de l'antisémitisme dans ce pays et de l'islamo-gauchisme,
00:03:18et de l'islamo-gauchisme, qui est absolument hallucinante.
00:03:20Et je vous rappelle que récemment, c'était un sondage IFOP
00:03:24qui voulait précisément revenir un peu sur ce qu'a fait Frédéric Vidal,
00:03:28la ministre des universités, qui avait émis l'idée de faire un rapport
00:03:32sur l'islamo-gauchisme dans les universités.
00:03:34Rapport qui n'a jamais été produit, rapport qui n'a vu que des obstacles.
00:03:38Eh bien, ce sondage, ce sondage, il a été freiné par les présidents des universités françaises.
00:03:44Les présidents des universités françaises, au prétexte qu'on fichait les gens,
00:03:47ou qu'on aurait pu ficher les gens qui allaient répondre à ce questionnaire,
00:03:50ont bloqué, ont bloqué.
00:03:53Eh bien, je vais vous dire une chose,
00:03:54ce n'est pas en cassant le thermomètre qu'on fera redescendre
00:03:57la température de l'antisémitisme dans ce pays.
00:04:00Samuel Bauton.
00:04:02Je pense qu'Éric a tout dit sur cette problématique.
00:04:04Effectivement, ça faisait deux semaines qu'on voyait le nom de cet enseignant
00:04:07revenir régulièrement sur la question de la liste et sur la question de caricature.
00:04:11Moi, je vais me recentrer un peu plus sur ce que sont devenus, finalement,
00:04:14les lieux d'éducation et les universités ces dernières années.
00:04:16C'est devenu des tremplins, des plans de communication et des plans de carrière
00:04:20pour des jeunes qui viennent à peine d'avoir le bac
00:04:22et qui se rêvent déjà comme leurs idoles politiques.
00:04:25Alors, je pense à Hélène Gabé,
00:04:26qui ne sait plus quoi faire pour se rendre intéressant
00:04:29et qui est intervenu il n'y a pas longtemps sur le service public.
00:04:31Alors, on va dire qui c'est Hélène Gabé ?
00:04:33C'est quelqu'un de très suivi sur Twitter,
00:04:35qui est proche de la France insoumise.
00:04:36Proche de la France insoumise.
00:04:37Mais j'aurais pu aussi vous citer Stanislas Rigaud de Reconquête,
00:04:40qui ne tire sa légitimité, finalement, que de quelques mois à l'université
00:04:43et de s'être bien placé derrière.
00:04:44Donc, on en revient en plan de carrière.
00:04:46Tout ça pour décrocher quoi ?
00:04:47Des jobs de collaborateurs parlementaires ou de conseillers dans des partis politiques.
00:04:51Et en fait, je vais vous dire une chose.
00:04:52Moi, je suis enseignant, pas en université, mais dans le privé.
00:04:55Si je tenais, ne serait-ce qu'un millième des propos qui ont été tenus,
00:04:59il m'arrive de parler politique par la fonction,
00:05:01par les matières qu'on enseigne.
00:05:03Mais il y a toujours une limite qu'on ne franchit jamais.
00:05:05On est dans l'analyse.
00:05:06Et être dans l'analyse, ce n'est pas un problème.
00:05:07Par contre, à partir d'un moment,
00:05:09on rentre dans des volontés militantistes à outrance.
00:05:12Là, en fait, ce n'est ni lieu ni l'endroit.
00:05:14Vous l'avez dit, Philippe.
00:05:15L'école, c'est fait pour apprendre.
00:05:16Alors, moi, pour prouver...
00:05:18Je ne vais pas revenir sur l'antisémitisme.
00:05:20Je suis entièrement d'accord avec ce qui a été dit par Éric Revelle,
00:05:22confirmé par Samuel Bauton.
00:05:24Moi, je vais aller sur le sujet clé.
00:05:26Faut-il dépolitiser les universités ?
00:05:30C'est bizarre, la meilleure université française, c'est Dauphine.
00:05:33Je passe régulièrement devant.
00:05:35Il n'y a pas un tag.
00:05:36Il n'y a pas une affiche de syndicat, de ceci, de cela.
00:05:40Alors que quand vous passez...
00:05:41Alors là, vous rentrez dans les couloirs.
00:05:42Ça fait très longtemps que je ne suis pas passé de certaines facs françaises.
00:05:46Ou aux alentours.
00:05:47Alors là, vous avez les facs d'extrême-gauche.
00:05:50On est d'accord.
00:05:51Or, Ville Tanneuse, Tolbiac, Nonfer.
00:05:53Et le 16e est une zone de non-droit, Philippe.
00:05:55C'est bien connu.
00:05:57Ils ne gèrent rien non plus.
00:05:58J'allais dire qu'il y avait le bois de boulogne juste à côté aussi,
00:06:00et que là, on ne peut pas coller d'affiche.
00:06:02Et de l'autre côté...
00:06:03Enfin, pas sur les murs, en tout cas.
00:06:05La fac d'extrême-droite qui est Assas.
00:06:07D'accord ?
00:06:07Avec une forte proportion d'extrême-droite.
00:06:09Mais ces facs-là, aujourd'hui, regardez leur classement.
00:06:12Je ne parle pas d'Assas, mais je parle en particulier de Ville Tanneuse, etc.
00:06:16Vous allez directement, pour nombre d'entre elles,
00:06:18vous avez des formations qui ne mènent pas loin.
00:06:20Mais on fait quoi ?
00:06:21On fait du syndicalisme, on fait de la politique.
00:06:24Désolé, quand on est étudiant, on n'a pas un syndiqué.
00:06:26On n'est pas un salarié.
00:06:27Alors, je vais tempérer un chouïa, les propos de mon ami Philippe David.
00:06:31Tu peux rien dire que vous ?
00:06:32J'ai un vieux passé universitaire, licence, maîtrise, DESS, DEA,
00:06:37doctorat d'État en Finance.
00:06:38J'ai connu deux facs, principalement.
00:06:40Paris-Discinentaire, bâtiment G.
00:06:42Très belle fac déco, à l'époque.
00:06:44Très belle fac déco, où vous avez des profs comme Philippe Erzog,
00:06:46Dominique Strauss-Kahn, Jacques Vallier, Charles-Albert Michalet, André Babaut.
00:06:51Le débat politique entre l'UNEF et l'UNEF Renouveau,
00:06:54dans les locaux, avec les affiches collées partout.
00:06:58Moi, ce qui me choque, ce n'est pas qu'il y ait un débat politique.
00:07:01Je vais vous dire même, je préfère des gens engagés politiquement,
00:07:05quand ils sont jeunes.
00:07:07Ça permet de canaliser et de mettre en avant des aspirations de société.
00:07:12Mais aujourd'hui, on n'assiste pas à ça.
00:07:14Aujourd'hui, on assiste à une emprise islamo-gauchiste dans nos universités.
00:07:19Ce n'est plus les débats, le capitalisme monopoliste d'État de Paul Boccarat,
00:07:25face au libéralisme de Hayek ou de Milton Friedman.
00:07:29Ce n'est plus ça du tout.
00:07:30Aujourd'hui, vous avez un entrisme dans les universités,
00:07:33qu'on constate dans la société française,
00:07:36qui est animée toujours par les mêmes.
00:07:38Donc là, on n'est plus sur le débat politique droite-gauche, capitalisme, socialisme.
00:07:41Ce n'est plus ça le sujet.
00:07:43Le sujet, c'est aujourd'hui cet entrisme qui menace la société française.
00:07:49Voilà.
00:07:50On revient dans un instant.
00:07:520826-300-300.
00:07:53Est-ce que vous estimez que l'université est par nature un espace politique
00:07:56où il doit être totalement dédié ?
00:07:58Oui, je ne suis pas d'accord.
00:08:00De la bonne politique.
00:08:01Ou alors dédié totalement à l'éducation.
00:08:040826-300-300.
00:08:06On revient dans un instant.
00:08:07Soyez les bienvenus.
00:08:08N'hésitez pas.
00:08:08Ils sont face à vous ou à côté de vous.
00:08:11On verra.
00:08:11A tout de suite.
00:08:12Sud Radio.
00:08:13Sud Radio.
00:08:14Parlons vrai.
00:08:14Parlons vrai.
00:08:15Sud Radio.
00:08:17Les vraies voix Sud Radio.
00:08:1918h-20h.
00:08:20Cécile Dominibus.
00:08:21Philippe David.
00:08:23Et autour de cette table,
00:08:24Samuel Botton est avec nous,
00:08:25expert en communication chez Step Conseil,
00:08:27et Éric Revelle, journaliste et écrivain de ce livre.
00:08:30C'est Mozart qu'on assassine aux éditions Ellipse.
00:08:34Et on revenait sur l'université Lumière Lyon 2,
00:08:38qui a finalement annoncé la suspension de son enseignant,
00:08:40Julien Théry, auteur de la liste des personnes
00:08:42qu'il considérait comme génocidaires et accusé d'antisémitisme.
00:08:48Et on se posait la question,
00:08:49faut-il dépolitiser, Philippe, l'enseignement supérieur ?
00:08:54Regardez les écoles les plus performantes en France.
00:08:57On va prendre les écoles d'ingénieurs,
00:08:59X, enfin polytechnique, mine centrale,
00:09:02je vais gêner personne ou choquer personne,
00:09:05ou alors HEC, ESSEC, ESCP,
00:09:07pour les écoles de commerce.
00:09:08Est-ce que ce sont des écoles où ça tracte,
00:09:11ça fait des réunions pour ceux-ci,
00:09:13contre ceux-là, paix à Gaza, machin truc, etc.
00:09:17Non, parce que les étudiants, ils bossent.
00:09:19Et le but, c'est de bosser.
00:09:20C'est pas de faire des tractages, des collages,
00:09:23et des débats dans les amphis.
00:09:25Ça veut dire que, naturellement, on dévie le débat
00:09:27vers la réorientation académique
00:09:30qui est faite des lycéens en post-bac.
00:09:32C'est-à-dire qu'aujourd'hui,
00:09:33sur toutes les universités qui ont été citées,
00:09:35quand on va dans celle-ci,
00:09:36déjà, il y a un concours qu'il faut réussir.
00:09:38Et ensuite...
00:09:39Et c'est pas des universités.
00:09:40Et on sait généralement pourquoi on y va.
00:09:42Si vous prenez une université classique,
00:09:44type fac de droit, de psycho,
00:09:46de ce que vous voulez.
00:09:46De sociaux.
00:09:47C'est bizarre, on a un réflexe.
00:09:48J'ai tenu deux semaines à la fac de droit.
00:09:52Parce qu'on m'a pas expliqué ce que c'était.
00:09:54Je suis arrivé dans un monde que je ne connaissais pas.
00:09:56Donc forcément, à un moment,
00:09:57dans mon cas, je me suis démotivé,
00:09:58je suis parti ailleurs.
00:09:59Mais vous avez des gens qui se retrouvent,
00:10:00finalement, entre guillemets,
00:10:01dans ces voies de garage,
00:10:03et qui cèdent aux sirènes
00:10:05d'une forme de militantisme agressif,
00:10:08et qui passent plus de temps à faire autre chose
00:10:10qu'à étudier.
00:10:11Je pense notamment à Richie Thibault,
00:10:12qui a été le collaborateur parlementaire.
00:10:14Dersil y a soudé.
00:10:14Dersil y a soudé.
00:10:15Je ne suis même pas sûr
00:10:16qu'il ait validé une licence.
00:10:17À 25 ans, non pas que ça soit dramatique,
00:10:19mais en général,
00:10:20quand on enchaîne 5 ans d'études
00:10:21sans valider les 3 années,
00:10:23c'est qu'il y a un problème.
00:10:24Donc voilà, forcément,
00:10:25ça dépend des schémas d'université
00:10:27dont on parle.
00:10:28Mais est-ce que,
00:10:29là, vous parlez des élèves,
00:10:31mais en fait,
00:10:32dépolitiser,
00:10:33c'est peut-être les enseignants
00:10:34qu'on doit dépolitiser.
00:10:36Non, mais les enseignants
00:10:36qui soient politisés,
00:10:37c'est une chose...
00:10:38Entre élèves...
00:10:40Mais on en revient à ce que je vous disais.
00:10:41Il faut savoir raison garder
00:10:43devant ces étudiants.
00:10:44On peut parler de politique,
00:10:45on peut analyser le débat
00:10:46et ce qui s'y passe,
00:10:48mais à aucun moment,
00:10:48on ne doit être
00:10:49dans la prise de position.
00:10:51Moi, mes étudiants,
00:10:51la semaine dernière,
00:10:52on parlait de Marc Employer,
00:10:53je leur parlais du bad buzz d'Orpi
00:10:55avec Rima Hassan.
00:10:56À aucun moment,
00:10:57je ne donne mon avis
00:10:58sur Rima Hassan,
00:10:59sur Orpi
00:11:00ou sur le conflit israélo-palestinien.
00:11:02J'aborde ces problèmes.
00:11:03Si vous cherchez un appartement,
00:11:06il vaut mieux aller chez Orpi
00:11:07que chez Rima Hassan.
00:11:08C'est la mesure
00:11:11et c'est la barrière
00:11:12qu'on met avec eux
00:11:13et dans le discours
00:11:13qu'on doit avoir.
00:11:14Ce n'est pas de la censure,
00:11:15c'est juste du bon sens.
00:11:17Mais comment on peut faire,
00:11:18Éric Revelle,
00:11:19pour dépolitiser l'enseignement ?
00:11:21Non, mais attendez.
00:11:22En réalité,
00:11:23je vais vous paraître
00:11:23un peu catastrophiste ce soir
00:11:25et pourtant,
00:11:25je suis en forme,
00:11:26mais la société française
00:11:27est par terre.
00:11:28La société française
00:11:30est par terre, en fait.
00:11:31Vous pouvez vous tourner
00:11:32dans tous les sens.
00:11:34Parlez de l'autorité d'un prof.
00:11:36Elle est proche
00:11:37du zéro.
00:11:39Parlez de l'autorité
00:11:40d'un gendarme
00:11:41ou d'un policier
00:11:42dans la rue.
00:11:44Elle est proche de zéro.
00:11:45On les insulte,
00:11:46on crache dessus.
00:11:47Quand ils ont malheur
00:11:48de mettre une claque,
00:11:49c'est une bavure.
00:11:50En plus,
00:11:50ils ont sur le dos,
00:11:51et c'est normal,
00:11:52les autorités,
00:11:53pour vérifier s'ils ont bien fait
00:11:54de mettre ou pas la claque.
00:11:55En fait,
00:11:56tout s'effondre.
00:11:57Pardonnez-moi.
00:11:58Tout s'effondre.
00:11:59Mais ça,
00:12:00c'est une bonne idée,
00:12:01ce que vous dites.
00:12:01Je rebondais sur ce que vous dites.
00:12:03Effectivement,
00:12:03les policiers sont contrôlés.
00:12:06Pourquoi les enseignants
00:12:07ne seraient pas contrôlés
00:12:08sur ce type de choses-là ?
00:12:09C'est au nom de la liberté d'enseigner.
00:12:12Oui,
00:12:12mais on peut dire la même chose.
00:12:14Je suis bien d'accord.
00:12:15Je vais choquer
00:12:1680% de l'auditoire,
00:12:19mais pourquoi ne pas contrôler
00:12:20non plus les magistrats
00:12:21qui infligent des peines
00:12:22et qui n'ont jamais
00:12:23à s'expliquer sur rien
00:12:24sur les peines qu'ils ont ?
00:12:26A la liberté de la justice.
00:12:29Bon, très bien.
00:12:29L'indépendance de la justice.
00:12:31Bon, très bien.
00:12:31Non, mais moi,
00:12:32ce que je trouve dingue,
00:12:33c'est qu'un prof
00:12:34qui balance ce type de choses
00:12:35et alors,
00:12:36il y a la photo
00:12:38truquée ouvertement
00:12:39antisémite
00:12:40qui a été inhumée
00:12:41et exhumée
00:12:41d'il y a quelques mois.
00:12:43Le pire là-dedans,
00:12:45outre ce qu'il a posté
00:12:47sur les réseaux sociaux,
00:12:48c'est le soutien massif
00:12:49qu'il a reçu
00:12:50de la part
00:12:51d'un certain camp politique
00:12:52qui disait que littéralement
00:12:54ce qu'on faisait contre lui,
00:12:55c'était de la chasse aux sorcières.
00:12:57Mais quand on voit
00:12:57que parfois
00:12:58on fait le coming out
00:13:01de personnes
00:13:02parce qu'elles ont dit
00:13:02une chose
00:13:02qui est quand même
00:13:03de bon sens
00:13:04mais qui penchent pas
00:13:05du même côté
00:13:05de l'échiquier politique
00:13:06qui ont dit
00:13:06mais il faut le virer
00:13:07de la police
00:13:08parce qu'il a dit ça
00:13:09ou parce qu'il a liké
00:13:10tel groupe
00:13:10dans les réseaux sociaux,
00:13:11etc.
00:13:12Là, l'indignation,
00:13:13elle est franchement
00:13:13à géométrie variable.
00:13:15Pardon,
00:13:15j'ai juste envie
00:13:16de vous dire,
00:13:16Philippe David,
00:13:17que le camp adverse
00:13:18pourrait faire la même chose.
00:13:20C'est-à-dire que
00:13:20si tout le monde
00:13:21est en masse
00:13:23comme ils font
00:13:24du côté de la France
00:13:24Oui, mais certains
00:13:25ont des pudeurs de gazelle.
00:13:27C'est pas une question
00:13:27de pudeur de gazelle,
00:13:28c'est qu'après,
00:13:29est-ce qu'on passe
00:13:30nos journées
00:13:30à commenter
00:13:31le moindre propos
00:13:32du fou du bus
00:13:32ou est-ce qu'on avance
00:13:33collectivement
00:13:34et on essaye
00:13:35de trouver des solutions
00:13:36à des problématiques importantes.
00:13:37Pour revenir
00:13:37sur l'enseignant
00:13:38qui a été suspendu,
00:13:39j'ai lu son communiqué
00:13:40de presse
00:13:42entre guillemets d'excuses
00:13:43qui ne ressemble
00:13:44en rien à des excuses
00:13:45où il ne reconnaît rien
00:13:47et où il est même
00:13:47en train de nous expliquer
00:13:48qu'on a mal compris
00:13:49la caricature qu'on a vue.
00:13:51Donc en fait,
00:13:52à un moment,
00:13:52je n'attends pas forcément
00:13:53des partis
00:13:53qu'ils réagissent
00:13:54que LF ils fassent.
00:13:55On l'a dit,
00:13:56ils ont un ouvrage
00:13:57de référence
00:13:57qui est le livre
00:13:58de chevet de Jean-Luc Mélenchon,
00:13:59c'est le coup d'état
00:14:00permanent de François Mitterrand.
00:14:01Sauf qu'il n'a pas compris
00:14:02ce qu'il a lu
00:14:02et qu'il s'en est juste tenu
00:14:03au titre.
00:14:04À partir de là,
00:14:05je n'ai aucune obligation,
00:14:07moi comme d'autres,
00:14:08de venir commenter
00:14:09ce que tous les débiles
00:14:09de France peuvent faire
00:14:10et dire.
00:14:11On les condamne,
00:14:12on passe à autre chose,
00:14:13on ne calcule pas
00:14:13ces gens-là.
00:14:14Eh ben moi,
00:14:14comme je suis un débile
00:14:15de France,
00:14:15je vais vous commenter
00:14:16ma chère Samoëlle.
00:14:18Vous êtes un réaliste
00:14:19sur votre personnalité.
00:14:20En réalité,
00:14:21en réalité,
00:14:23et c'est pour ça
00:14:23qu'on a un point crucial
00:14:24à mon avis
00:14:25de l'évolution
00:14:26de la société
00:14:26de la République.
00:14:27C'est qu'en fait,
00:14:27on est rentré
00:14:28dans un combat idéologique.
00:14:30Pendant des décennies,
00:14:32la gauche a eu l'habitude
00:14:33de mettre sur la table
00:14:36du débat national
00:14:37les thèmes
00:14:38qu'elle voulait traiter,
00:14:39qui étaient bien de traiter.
00:14:41Et dès l'instant
00:14:41où elle comprend
00:14:42que son magistère
00:14:45intellectuel
00:14:46est bousculé,
00:14:47alors la gauche
00:14:48réagit violemment.
00:14:50Et comme avec
00:14:50la dissolution,
00:14:52et c'est ça aussi
00:14:52le résultat
00:14:53d'Emmanuel Macron,
00:14:53on a une extrême gauche,
00:14:55alors il y a
00:14:55une extrême violence
00:14:57dans le débat.
00:14:57Une extrême polarisation
00:14:58du débat.
00:14:58Bien sûr.
00:14:59Absolument.
00:15:01Allez, merci beaucoup
00:15:01les amis,
00:15:02tout de suite,
00:15:03on n'y croit pas.
00:15:04Les vraies voix sud radio,
00:15:06on n'y croit pas.
00:15:08S'arrête de donner, bordel !
00:15:10Louis Sarkozy
00:15:11veut responsabiliser
00:15:12les automobilistes
00:15:13et à sa manière,
00:15:15François Libourneau.
00:15:15Alors là,
00:15:16on pensait vraiment
00:15:17avoir tout vu,
00:15:17mais comme d'habitude,
00:15:19non.
00:15:19Voici les faits,
00:15:20ils sont simples.
00:15:21Louis Sarkozy
00:15:22a lâché une idée
00:15:23complètement folle.
00:15:24Selon lui,
00:15:25pour sauver des vies
00:15:25sur la route,
00:15:26il faut supprimer
00:15:28les feux rouges,
00:15:29les lignes blanches
00:15:29et même, pourquoi pas,
00:15:30les panneaux de signalisation.
00:15:32Alors,
00:15:32Pierre Chasserey,
00:15:33vous êtes délégué général
00:15:34de 40 millions
00:15:35d'automobilistes.
00:15:36Bonsoir.
00:15:37Bonsoir.
00:15:37Alors,
00:15:38supprimer les lignes blanches,
00:15:39les panneaux de signalisation,
00:15:41pardon,
00:15:41est-ce que ça peut fonctionner
00:15:43en France ?
00:15:43Il y a des pays
00:15:44qui l'ont fait
00:15:44et ça a l'air de fonctionner.
00:15:46Est-ce que nous,
00:15:46on peut le faire ?
00:15:47Non,
00:15:47même Max Verstappen
00:15:49sur les Grands Prix de Formule 1,
00:15:51il garde les panneaux
00:15:51et il garde les feux au départ.
00:15:53Donc,
00:15:53vous croyez sincèrement
00:15:54que c'est une bonne idée ?
00:15:55Non,
00:15:55trêve de plaisanterie.
00:15:56Si on était dans un jeu vidéo,
00:15:57pourquoi pas ?
00:15:59Mais là,
00:15:59il n'y a pas plus idiot que ça.
00:16:01Il n'y a pas plus idiot.
00:16:02Et pourtant,
00:16:04Pierre Chasserey,
00:16:05pourtant,
00:16:05certains disent que
00:16:06lorsqu'il n'y a pas
00:16:07de panneaux de signalisation,
00:16:09ils sont peut-être
00:16:09plus prudents.
00:16:11Non,
00:16:11c'est n'importe quoi.
00:16:12En fait,
00:16:13ça repose sur une étude
00:16:14qui avait été faite
00:16:14sur une ville
00:16:16où il n'y avait pas
00:16:17un arrondissement
00:16:19de Londres
00:16:19où il n'y avait pas
00:16:20de flux automobile.
00:16:22Dès que le flux automobile
00:16:23a progressé,
00:16:24on est revenu en arrière,
00:16:26on a remis les feux,
00:16:27on a remis les marquages au sol.
00:16:29Qu'est-ce qu'on va dire
00:16:30à nos gamins ?
00:16:31On va leur dire
00:16:31allez-y,
00:16:32traversez la route
00:16:33et puis vous verrez bien
00:16:34si les voitures s'arrêtent.
00:16:35Non,
00:16:36franchement,
00:16:36ça n'a aucun sens.
00:16:37Non mais,
00:16:38moi j'ai pratiqué
00:16:39un pays il y a 20 ans
00:16:40où il n'y avait pas
00:16:41de marquage,
00:16:42je n'ai jamais autant eu peur
00:16:43de ma vie pour traverser,
00:16:44c'était la Chine,
00:16:45dans le sud de la Chine.
00:16:46Les mêmes oeils sont venus.
00:16:48Et je peux vous dire
00:16:49que j'ai traversé,
00:16:50pratiquement,
00:16:50je faisais ma prière
00:16:51avant de traverser.
00:16:52Je ne sais pas
00:16:53quelle lubie
00:16:54est passée
00:16:54par la tête
00:16:55de Louis Sarkozy
00:16:57parce que je vais prendre
00:16:58un exemple.
00:16:58Moi j'ai conduit
00:17:01il y a les stop-forways,
00:17:02le premier qui arrive
00:17:03s'arrête
00:17:04et le deuxième
00:17:05et c'est le premier
00:17:05qui passe en France.
00:17:07Vous croyez
00:17:07que les conducteurs français
00:17:08ils respecteraient ça ?
00:17:09Moi je n'y crois jamais
00:17:10de la vie,
00:17:10il faut y rechasserait,
00:17:11non ?
00:17:11Très rapidement,
00:17:12il y a quelques...
00:17:12La loi du plus fort.
00:17:13Je pense que vous enlevez
00:17:14les marquages au sol,
00:17:15c'est la loi du plus fort.
00:17:16Donc typiquement,
00:17:17le piéton ne traverse jamais.
00:17:18Voilà,
00:17:18donc ça c'est possible
00:17:19dans des petits villages,
00:17:21c'est possible
00:17:21dans des petites agglomérations.
00:17:23La Ferté-Bernard,
00:17:24dans la Sartre,
00:17:24c'est jouable.
00:17:25Bon,
00:17:25mais sur Paris,
00:17:26Lyon,
00:17:27Marseille,
00:17:27ça n'a aucun sens.
00:17:29Les piétons traversent
00:17:30la route,
00:17:30c'est terminé.
00:17:32Non,
00:17:33moi juste un petit acte
00:17:34à Nicolas Sarkozy
00:17:36qui a six mois
00:17:37nous expliquait
00:17:39qu'il fallait peut-être
00:17:39légaliser la cocaïne
00:17:40et d'autres drogues dures.
00:17:42Aujourd'hui,
00:17:42il nous suit une propose
00:17:43de supprimer
00:17:44les lignes blanches.
00:17:45Je vois qu'elles ne sont pas
00:17:46toutes logées
00:17:46à la même enseigne finalement.
00:17:47Est-ce qu'il n'a pas mis
00:17:48un coup de menton ?
00:17:49Voilà,
00:17:50pas mal.
00:17:51Pierre Chassret,
00:17:51merci beaucoup.
00:17:53Délégué général
00:17:54de 40 millions d'automobilistes.
00:17:55Vous restez avec nous
00:17:56dans un instant.
00:17:57Le tour de table
00:17:58de l'actu des vrais voix.
00:17:59Philippe David ?
00:18:00Ah,
00:18:00quelle belle découverte
00:18:02qu'on a eue aujourd'hui.
00:18:03Un inédit
00:18:04en duo
00:18:04Johnny et Michel Berger.
00:18:06Éric Revelle ?
00:18:08Tout va mal.
00:18:09Il fait gris sur Paris.
00:18:10Vous êtes enfant aujourd'hui ?
00:18:11Mais attendez,
00:18:12vous allez voir.
00:18:12Il fait gris sur Paris.
00:18:14On n'a pas de budget.
00:18:15Les entreprises s'interrogent.
00:18:16Et pourtant,
00:18:17en province,
00:18:17les PME,
00:18:18les TPE,
00:18:19avec énergie,
00:18:20continuent de faire de la production.
00:18:21Samuel Bauton ?
00:18:22Un petit tour d'horizon
00:18:23sur les municipales
00:18:24et ce qui se passe actuellement.
00:18:25Bon,
00:18:25bah dis donc.
00:18:26Noël a tous les étages.
00:18:27Allez,
00:18:27à tout de suite.
00:18:28Sud Radio.
00:18:29Sud Radio.
00:18:30Parlons vrai.
00:18:31Parlons vrai.
00:18:31Sud Radio.
00:18:32Parlons vrai.
00:18:33Les vrais voix Sud Radio.
00:18:3518h-20h.
00:18:36Cécile Dominibus.
00:18:37Philippe David.
00:18:39Et parfois,
00:18:39j'aime bien faire ma maîtresse d'école.
00:18:41J'aime bien faire l'appel.
00:18:42Philippe David ?
00:18:43Présent.
00:18:43Éric Revelle ?
00:18:45Et puis,
00:18:48l'historique.
00:18:49C'est pas possible.
00:18:50Présent.
00:18:50C'est pas possible.
00:18:52C'est fou.
00:18:53Samuel Bauton.
00:18:54Présent.
00:18:54Ah,
00:18:55voilà.
00:18:56On va distribuer
00:18:57les bons points
00:18:58et les mauvais points.
00:18:59Sir,
00:18:59yes sir.
00:19:00Yes sir.
00:19:01Allez,
00:19:01tout de suite.
00:19:02Et vous,
00:19:020826 300 300,
00:19:04c'est notre Aude adorée
00:19:05qui est avec vous aujourd'hui.
00:19:08N'hésitez pas à l'appeler.
00:19:09Lui a dû lui dire
00:19:10d'ailleurs des petits mots doux.
00:19:11On aime beaucoup
00:19:12ce que vous faites.
00:19:13Faudrait qu'elle vienne à l'antenne
00:19:14un jour Aude
00:19:14parce qu'elle a une très jolie voix.
00:19:16Allez tout de suite
00:19:16le tour de table
00:19:17de l'actu des vrais voix.
00:19:18Si,
00:19:18si Aude.
00:19:18Si,
00:19:18si,
00:19:18si.
00:19:20Buenas tardes amigas.
00:19:21Bonjour une petite blague
00:19:22ounette qu'on m'a raconté
00:19:23ce week-end.
00:19:24Mais non.
00:19:24Qu'est-ce que c'est
00:19:25qu'une douche sans eau ?
00:19:26Euh,
00:19:27je sais même plus.
00:19:27Bah une douche.
00:19:29J'ai rien compris.
00:19:30Le tour de table.
00:19:31De la qualité.
00:19:32Moi c'est la seule blague
00:19:33de Philippe David
00:19:33que je comprends.
00:19:35Philippe David,
00:19:36pendant que vous avez
00:19:36le marché en main.
00:19:38On va commencer par un son.
00:19:39C'est l'amour
00:19:42que j'attendais
00:19:45Dans ce monde fiable
00:19:52et hostile
00:19:54Difficile
00:19:58Vous avez reconnu
00:20:00les voix de Johnny Hallyday.
00:20:02Ça fera huit ans demain
00:20:03qu'il nous a quittés.
00:20:04Vous le disiez.
00:20:04Cécile,
00:20:05on n'a pas vu le temps passer.
00:20:06Malheureusement.
00:20:07Et c'était,
00:20:07alors à l'époque
00:20:08quand c'était des galettes,
00:20:09vous vous rappelez
00:20:09les 33 tours,
00:20:10on pouvait mettre
00:20:1110 chansons,
00:20:1211 chansons,
00:20:1312 si elles n'étaient
00:20:14pas trop longues.
00:20:15Mais ils en enregistraient
00:20:1515-16
00:20:16et ils ont trouvé
00:20:17un duo par accident
00:20:18qu'avait enregistré
00:20:20au moment de l'album
00:20:20Rock'n'Roll Attitude
00:20:21composé intégralement
00:20:24par Michel Berger
00:20:24et Johnny's.
00:20:25Ils ont trouvé ce duo
00:20:26qui a été divulgué
00:20:27aujourd'hui.
00:20:28C'est dingue.
00:20:28C'est une chanson
00:20:29très sympa.
00:20:30Alors,
00:20:30ironie de l'histoire,
00:20:31la veille des huit ans
00:20:32de la disparition
00:20:32de Johnny,
00:20:33un autre géant
00:20:34de la chanson française
00:20:35que Michel Berger
00:20:36était un géant
00:20:37de la chanson française
00:20:37comme Johnny.
00:20:39Et si on regarde bien
00:20:39le titre phare
00:20:41de cet album,
00:20:42outre quelque chose
00:20:43en nous de Tennessee,
00:20:45c'était
00:20:45le chanteur abandonné
00:20:46et c'est un peu
00:20:47la même rythmique
00:20:48que le chanteur abandonné
00:20:49quand on écoutait
00:20:50Petit côté nostalgie
00:20:51parce que c'est touchant
00:20:53d'entendre à nouveau
00:20:53dans une chanson
00:20:54qu'on ne connaît pas d'eux,
00:20:56ton Johnny
00:20:56que Michel Berger.
00:20:57Je suis sûre
00:20:57qu'Eric Reval
00:20:58il chante Johnny.
00:20:59Non,
00:20:59non,
00:20:59immédiatement
00:21:02on a été saisi
00:21:03sur ce plateau
00:21:03par une sorte
00:21:04de bouffée
00:21:04de nostalgie.
00:21:06Immédiatement
00:21:07on écoute
00:21:07Johnny Hallyday,
00:21:08on écoute
00:21:08Michel Berger,
00:21:09on se replonge
00:21:10dans ses souvenirs.
00:21:12La nostalgie
00:21:13c'est une bonne chose
00:21:14mais quand on est
00:21:16trop emprunt
00:21:16de nostalgie,
00:21:17ça veut dire
00:21:18qu'on préfère
00:21:19regarder dans son passé
00:21:20quand on vit mal
00:21:21son présent
00:21:22et quand l'avenir
00:21:23est confus.
00:21:23C'est la situation
00:21:24dans laquelle on est
00:21:25globalement aujourd'hui
00:21:26dans ce pays.
00:21:26Mais nous on va faire
00:21:27un trait d'union
00:21:28évident.
00:21:29Beaucoup de plaisir
00:21:32à découvrir
00:21:32ce son
00:21:33et à une histoire
00:21:34inédit.
00:21:36Demain,
00:21:36Jules sort
00:21:36un nouvel album
00:21:37et il a déjà fait tomber
00:21:38tous les records
00:21:39de Johnny.
00:21:39Mon seul regret
00:21:40c'est ne pas avoir eu
00:21:41de feat
00:21:41entre ces deux monstres
00:21:42parce que Jules
00:21:42finalement
00:21:43on peut en penser
00:21:44ce qu'on veut
00:21:44il est l'héritier direct
00:21:45de Johnny
00:21:46dans ce qu'il représente
00:21:47et dans ce qu'il symbolise
00:21:48aujourd'hui.
00:21:49Et puis voilà
00:21:49on va écouter ce son
00:21:50tranquillement
00:21:51et on enchaînera
00:21:52avec l'album de Jules
00:21:53à minuit.
00:21:54Et en attendant
00:21:55peut-être que ressortent
00:21:56d'autres inédits
00:21:57qui ne sont pas sortis
00:21:59Mais vous avez un refrain
00:22:01de Jules en tête ?
00:22:02Je les ai tous.
00:22:03Allez-y, allez-y.
00:22:04J'espère que tu aies reconnu
00:22:05la machine.
00:22:062016, je suis chaud
00:22:07je les achève
00:22:08je ne me mélange pas
00:22:08qu'est-ce que tu t'imagines.
00:22:10Ah, je ne vous déclame pas
00:22:11on n'est pas sur Skyrock.
00:22:14Alors que
00:22:15vous y auriez votre place.
00:22:17Non mais ce n'est pas ça
00:22:18c'est que
00:22:18moi c'est
00:22:19ça ne me parle pas.
00:22:22Ça ne me parle pas
00:22:22c'est une chose
00:22:23mais ça parle aux nouvelles générations
00:22:24de la même manière.
00:22:25Écoutez, écoutez, écoutez.
00:22:29Vous avez reconnu le sample au moins.
00:22:33Enrico Macias.
00:22:36Donnez, donnez-moi
00:22:36Dieu vous le rendra
00:22:37c'est ça ?
00:22:37Oui, c'est ça.
00:22:38Ils ont changé ça ?
00:22:39J'avoue, je préfère nettement Johnny.
00:22:40Oui, Enrico Macias
00:22:42dans la première version.
00:22:44Et ça, ça s'écoute
00:22:45pendant combien de temps ?
00:22:46Celui-là il fait 2 minutes 37
00:22:48si je ne dis pas de bêtises.
00:22:48Oui, donc il faut quand même
00:22:49avoir son paquet de paracétamol.
00:22:51Vous voulez savoir
00:22:51combien de minutes
00:22:52de Jules j'ai écouté cette année ?
00:22:544456.
00:22:55C'est pas vrai.
00:22:56Mais c'est parce que
00:22:57vous êtes marseillais.
00:22:58Allez, c'est ça.
00:23:01Pendant que vous avez la parole
00:23:02avec Revelle
00:23:02et PME de Provinces Continues
00:23:04de Trudebir.
00:23:04Oui, je voulais vous en parler
00:23:05parce que c'est vrai
00:23:06qu'il y a beaucoup
00:23:07de faillites d'entreprises.
00:23:08Il y a beaucoup
00:23:09d'investissements
00:23:10qui sont en l'air
00:23:11faute de budget,
00:23:12faute de cap gouvernemental,
00:23:14etc.
00:23:15Et j'ai lu un papier ce matin
00:23:16qui m'a beaucoup intéressé
00:23:17de Dominique Seux
00:23:17dans les échos
00:23:18qui s'est rendu
00:23:19à un jury,
00:23:21je crois,
00:23:22vers Orléans
00:23:23qui récompensait justement
00:23:24des PME et des TPE.
00:23:25Et il a été frappé,
00:23:26c'est dans son papier,
00:23:27par l'énergie
00:23:28de ces petits patrons
00:23:31entre guillemets,
00:23:32par leur volonté
00:23:33de ne pas lâcher,
00:23:34de se décrocher
00:23:35de l'hystérie
00:23:36de l'Assemblée nationale
00:23:38et de continuer
00:23:39à faire leur job
00:23:40et essayer de créer de l'emploi.
00:23:41Et ça se traduit
00:23:42d'ailleurs
00:23:42dans le baromètre
00:23:44de confiance des entrepreneurs
00:23:45qui ne s'effondre pas du tout,
00:23:46qui est plutôt stable
00:23:47et je pense qu'on le doit
00:23:49à ces gens-là.
00:23:49Et j'insiste sur une chose,
00:23:51c'est que
00:23:51dans les années qui viennent,
00:23:53dans les 2-3 ans qui viennent,
00:23:5450-60% des ETI,
00:23:57des entreprises
00:23:57à taille intermédiaire
00:23:58vont changer de patron
00:23:59parce que l'ancienne génération
00:24:01va partir
00:24:02et la nouvelle
00:24:02va arriver.
00:24:04Mais il y a une discussion
00:24:06un peu technique
00:24:07à l'Assemblée nationale
00:24:08sur ce qu'on appelle
00:24:08le pacte du treil
00:24:09et qui permet,
00:24:10avec une fiscalité allégée,
00:24:11à des fils
00:24:12de succéder à leur père
00:24:13dans ces entreprises.
00:24:14Ou à des filles à leur père.
00:24:15Ou à des filles,
00:24:16bien sûr.
00:24:17Et si ce pacte du treil
00:24:19est raboté
00:24:20ou éliminé,
00:24:21eh bien on va faire rentrer
00:24:22massivement
00:24:23dans le capital
00:24:24de ces très belles entreprises
00:24:25françaises des ETI
00:24:26des fonds étrangers.
00:24:28Voilà.
00:24:28Alors si c'est ce qu'on veut,
00:24:29continuons,
00:24:30continuons à se tirer
00:24:31des balles dans le pied.
00:24:32Pour les gens,
00:24:32je ne sais pas ce que c'est
00:24:33qu'une ETI,
00:24:33c'est à partir de 250 salariés.
00:24:35Une entreprise jusqu'à 5 000.
00:24:38Entreprise à taille intermédiaire.
00:24:40Familiale, souvent.
00:24:41Voilà.
00:24:41Et n'oublions jamais
00:24:42que ce n'est pas
00:24:42des groupes du CAC 40
00:24:43qui créent de l'emploi en France.
00:24:44C'est précisément
00:24:45ces ETI et ces PME.
00:24:46Donc il faut les protéger.
00:24:48Donc,
00:24:48sus à l'hystérie fiscale
00:24:50à l'Assemblée nationale
00:24:51que ces députés
00:24:53qui n'ont même pas eu le courage
00:24:53de voter la partie recette
00:24:55parce qu'il y a un député
00:24:56qui n'a pas...
00:24:57Non mais sur 577.
00:24:59Voilà.
00:24:59Le député Uva.
00:25:00Je voulais leur tirer mon chapeau
00:25:01parce que dans l'espèce
00:25:02de brouillard
00:25:03dans lequel on flotte,
00:25:05il y a des gens courageux
00:25:06qui ont de l'énergie
00:25:07et de la volonté.
00:25:08Alors,
00:25:08juste un petit mot.
00:25:09Cet été,
00:25:10mon beau-père m'a présenté
00:25:11une entreprise
00:25:12dans le Vaucluse
00:25:12dans un tout petit village,
00:25:14une toute petite commune
00:25:14qui travaille dans le bâtiment.
00:25:17C'est une PME.
00:25:18Ils font un milliard
00:25:19de chiffres d'affaires
00:25:20et personne ne les connaît
00:25:21et ils sont dans leur coin
00:25:22et ils travaillent
00:25:23et ils font un travail
00:25:24formidable.
00:25:25Donc voilà.
00:25:26Je voulais juste dire ça
00:25:27parce que,
00:25:28voilà,
00:25:28on a l'impression
00:25:29que les PME
00:25:29c'est des toutes petites boîtes
00:25:30et des toutes petites boîtes
00:25:31qui travaillent beaucoup
00:25:32et qui font beaucoup
00:25:33de chiffres d'affaires.
00:25:33Et rebondir sur une conversation
00:25:34qu'on avait eue
00:25:35vous et moi
00:25:35la semaine dernière
00:25:36où on se disait finalement
00:25:37on a l'impression
00:25:38que la seule France
00:25:39qui va bien,
00:25:39les seules bonnes nouvelles
00:25:40qu'on a le matin
00:25:41c'est quand on lit
00:25:42le cahier des échos
00:25:43dédié à l'économie
00:25:44ou celui du Figaro.
00:25:46On a l'impression
00:25:46que les seuls moments
00:25:47qu'on a d'innovation
00:25:48dans le pays
00:25:48en termes d'entrepreneuriat
00:25:49sont dans ces pages
00:25:51et j'ai le sentiment
00:25:51qu'on n'en fait peut-être
00:25:52pas assez
00:25:52sur tout ce qui se passe
00:25:54réellement
00:25:54sur les sujets
00:25:55qu'Éric a évoqués.
00:25:56Moi je crois
00:25:57qu'il y a une chose
00:25:57où il faut y aller massivement
00:25:59désolé,
00:25:59je vais me répéter
00:26:00c'est pas du français
00:26:01pour aider nos TPE, PME
00:26:04à devenir des ETI
00:26:05ça va beaucoup plus vite
00:26:06en Allemagne qu'en France
00:26:07mais il faut baisser
00:26:08les règles,
00:26:09les réglementations,
00:26:11les normes,
00:26:11les machins,
00:26:12les trucs
00:26:12ça se résume en un mot
00:26:14à fouet là.
00:26:15À fouet là,
00:26:16c'est ça.
00:26:17Samuel Bauton,
00:26:18un point sur les municipales
00:26:19des grandes villes
00:26:22avec l'analyse
00:26:23des ambitions de partis
00:26:24où là ça commence
00:26:25déjà à se déchirer.
00:26:26Oui, oui, oui
00:26:27et tout est en train
00:26:28de se mettre en place
00:26:28alors après il y a
00:26:29ce qu'on appelle
00:26:29les aléas du direct.
00:26:31C'est déjà virant je trouve
00:26:31aujourd'hui.
00:26:31C'est extrêmement violent
00:26:32j'ai même envie de dire
00:26:33à Marseille plus qu'ailleurs
00:26:34et on va garder le meilleur
00:26:35pour la fin.
00:26:36On peut commencer
00:26:37avec ce qui se passe à Paris
00:26:38où Rachida Dati
00:26:39a passé quand même
00:26:40de nombreuses années
00:26:41à nous expliquer
00:26:42qu'elle voulait revenir
00:26:42en détail sur tout
00:26:43ce qu'Anne Hidalgo
00:26:44avait engagé.
00:26:45Elle s'est finalement
00:26:45rétractée sur la question
00:26:47des voies sur berge
00:26:48et plus récemment
00:26:49on a l'impression
00:26:50qu'elle continue
00:26:51à être empêtrée
00:26:51dans les affaires.
00:26:52Donc à Paris
00:26:53c'est une tradition
00:26:54si vous n'avez pas une affaire
00:26:55avec des logements sociaux
00:26:55c'est que vous n'êtes
00:26:56pas vraiment candidat.
00:26:57Ce qui pourrait redonner
00:27:03il en a bien besoin
00:27:04un peu de visibilité
00:27:05à Emmanuel Grégoire
00:27:05dont j'ai du mal
00:27:06à imaginer
00:27:07la candidature
00:27:08aller au bout.
00:27:09On peut s'attarder
00:27:10aussi à Lyon
00:27:10et Lyon
00:27:11alors ça je l'avais dit
00:27:11déjà il y a deux mois
00:27:12Jean-Michel Aula
00:27:14c'est un bulldozer
00:27:15époque OL
00:27:16intouchable
00:27:17et 7 titres
00:27:18de champion de France.
00:27:19On a le sentiment
00:27:20que la municipale
00:27:20est déjà pliée
00:27:21et enfin
00:27:21il y a ma partie préférée
00:27:23Marseille
00:27:23où tout est très ouvert
00:27:24du fait de la duplicité
00:27:26des candidatures
00:27:27et parce que vous avez
00:27:27aussi des candidats
00:27:28qui font énormément
00:27:29de mauvais choix.
00:27:30J'étais venu
00:27:31sur la question
00:27:31de Martine Vassal
00:27:32en expliquant
00:27:33que le soutien
00:27:34qu'elle avait reçu
00:27:35d'En Marche
00:27:35et des Républicains
00:27:36n'était pas forcément
00:27:37une bonne chose
00:27:38dans le contexte.
00:27:39Récemment
00:27:40on a eu droit
00:27:40à un épisode ubuesque
00:27:41où sur les antennes
00:27:42de BFM
00:27:43elle nous dit texto
00:27:44qu'au deuxième tour
00:27:45tout est envisageable
00:27:47que tout est possible
00:27:58et où finalement
00:27:59deux jours après
00:28:01donc en l'occurrence
00:28:01cette fois-ci
00:28:02effectivement sur BFM TV
00:28:03elle nous dit
00:28:04les yeux dans les yeux
00:28:05c'est une fake news
00:28:06je pense qu'aujourd'hui
00:28:07Martine Vassal
00:28:08est en train de faire
00:28:08une erreur dramatique
00:28:09sur sa campagne
00:28:10c'est de penser
00:28:11qu'elle se joue
00:28:11sur les réseaux sociaux
00:28:12alors qu'il y a
00:28:13beaucoup plus besoin
00:28:14de terrain
00:28:14et dans tout ça
00:28:15vous avez un
00:28:16Sébastien Dologu
00:28:17en embuscade
00:28:17qui lui ne rêve
00:28:18que d'une chose
00:28:19c'est de dégommer
00:28:20le maire sortant
00:28:20Benoît Payan
00:28:21finalement c'est lui
00:28:22un peu la tête de turc
00:28:23de tout ce beau monde
00:28:24et j'ai l'impression
00:28:25qu'on va être vraiment
00:28:25dans une campagne
00:28:26de caniveau
00:28:27où la moindre attaque
00:28:28sera bonne à prendre
00:28:29et de tous les côtés
00:28:30et ça m'inquiète un peu
00:28:31parce qu'une municipale
00:28:32finalement c'est une élection
00:28:32qui reste très importante
00:28:33pour les français
00:28:34c'est la première
00:28:35qui les concerne
00:28:36et j'ai le sentiment
00:28:37qu'on ne sera pas du tout
00:28:38à la hauteur des enjeux
00:28:39Eric Ravel
00:28:39alors le point commun
00:28:40entre ces trois exemples
00:28:41de grandes villes
00:28:42c'est le changement
00:28:43du mode de scrutin
00:28:44je le rappelle
00:28:44oui bien sûr
00:28:45modifié en 83
00:28:46enfin on va pouvoir
00:28:48un autre ou une femme
00:28:50pour une voix
00:28:50et non pas des maires
00:28:51d'arrondissement
00:28:52qui élisent le maire
00:28:53de la ville citée
00:28:54Lyon, Paris
00:28:55ou Marseille
00:28:56maintenant je pensais
00:28:58mon cher Samuel
00:28:58que vous feriez
00:28:59le procès de madame Vassal
00:29:01qui imaginait peut-être
00:29:03se rapprocher du RN
00:29:04d'abord je voudrais dire
00:29:05que localement
00:29:06il y a beaucoup de rapprochements
00:29:07il y a même des listes
00:29:08communes en réalité
00:29:09alors ça peut choquer
00:29:10les LR pur et dur
00:29:13ça peut choquer
00:29:13la droite républicaine
00:29:15mais ils l'ont déjà fait
00:29:15en 95 avec Godin
00:29:16oui mais je vais vous dire
00:29:17je vais vous dire
00:29:18moi je ne passerai jamais
00:29:20sous silence
00:29:21le fait que
00:29:22le printemps marseillais
00:29:23et monsieur Benoît Payan
00:29:24va s'allier
00:29:25quoi qu'il arrive
00:29:26avec la France insoumise
00:29:27alors je veux bien
00:29:28que vous le matérialisez
00:29:29de la manière
00:29:30dont ça va se faire
00:29:30ça se fera
00:29:31parce que j'imagine mal
00:29:32Benoît Payan
00:29:33dire à De Logu
00:29:34on oublie tout
00:29:34on vient avec nous
00:29:35écoutez on verra
00:29:36vous imaginez
00:29:36que Gabriel Attal
00:29:37appellerait à voter
00:29:38ou législative
00:29:39pour un candidat LFI
00:29:40plutôt que pour un candidat
00:29:42RN ou LR
00:29:43vous imagineriez ça ?
00:29:44vous avez imaginé ?
00:29:45vous pourriez deux élections
00:29:45qui n'ont rien à voir
00:29:46mais il y en a une
00:29:47je vous parle des plats de lentilles
00:29:49je vous parle des plats de lentilles
00:29:50de la gauche
00:29:50quand ça l'arrange
00:29:51qui se pincent le nez
00:29:52et scellent un accord
00:29:54électoral
00:29:55avec ces gens de LFI
00:29:56qui à mon sens
00:29:58ne sont pas fréquentables
00:29:59voilà je vous le dis
00:30:00comme je le pense
00:30:00bien sûr
00:30:01mais vous me parlez
00:30:01d'une législative
00:30:02vous ne me parlez pas
00:30:02d'une municipale
00:30:03donc on a toujours
00:30:04mais ça y est
00:30:04ces dogmes idéologiques
00:30:06sont en train de tomber
00:30:08je suis pour qu'on arrête
00:30:10définitivement
00:30:11avec cette histoire
00:30:11de front républicain
00:30:12qu'on les laisse tous
00:30:13aller se taper jusqu'au bout
00:30:14et qu'on voit réellement
00:30:15à quoi la France ressemble
00:30:16dans un hémicycle
00:30:18dans un hémicycle
00:30:18oui
00:30:19pourquoi pas
00:30:19mais ça ne se passera pas
00:30:20comme ça
00:30:21parce qu'on a toujours
00:30:21dénoncé la droite
00:30:24lorsqu'elle voulait faire
00:30:25l'union des droites
00:30:26en revanche
00:30:27ça n'a jamais choqué personne
00:30:29que LFI
00:30:31le parti communiste
00:30:32et d'autres
00:30:33s'allient pour gagner
00:30:34les élections
00:30:34ça n'a jamais gêné personne
00:30:35allez merci les amis
00:30:37tout de suite
00:30:37on va faire une petite pause
00:30:38on revient dans un instant
00:30:39avec l'info en plus
00:30:42vous me laissez la musique
00:30:47ou je peux faire mon lancement ?
00:30:48c'était dans l'ambiance
00:30:51oui mais l'ambiance
00:30:52c'est beaucoup moins drôle
00:30:54pour l'info en plus
00:30:54le père d'un prodige
00:30:56de l'informatique
00:30:57a été donc enlevé
00:30:58violenté
00:30:59relâché
00:30:59en pleine rue
00:31:00dénudé
00:31:00et gravement blessé
00:31:01dans le Val d'Oise
00:31:02on va revenir sur
00:31:03cet événement dramatique
00:31:04dans un instant
00:31:06à tout de suite
00:31:06sud radio
00:31:08votre attention
00:31:09est notre plus belle récompense
00:31:10merci de nous écouter
00:31:11sur sud radio
00:31:12non c'est normal
00:31:13parce que vous êtes
00:31:14une radio sympa
00:31:16diversifiée
00:31:17et tout
00:31:17donc c'est très bien
00:31:18sud radio
00:31:19parlons vrai
00:31:21les vrais voix
00:31:22sud radio
00:31:2218h 20h
00:31:24Cécile Dominibus
00:31:25Philippe David
00:31:26avec Samuel Bauton
00:31:28qui est avec nous
00:31:29expert en communication
00:31:30chez Step Conseil
00:31:32et puis Eric Revelle
00:31:33et Philippe David
00:31:34bien entendu
00:31:35et vous
00:31:350826 300 300
00:31:37tout de suite
00:31:38la fin en plus
00:31:39les vrais voix
00:31:40sud radio
00:31:41et vous avez entendu
00:31:43cette information
00:31:44le père d'un prodige
00:31:45de l'informatique
00:31:45a donc été enlevé
00:31:46violenté
00:31:47relâché
00:31:48hier en pleine rue
00:31:49dénudé
00:31:50et gravement blessé
00:31:51dans le Val d'Oise
00:31:52notre Bruno Pommard
00:31:54national est avec nous
00:31:55en direct
00:31:56bonsoir Bruno
00:31:56Bruno salut
00:31:58ancien membre du RAID
00:32:01et maire de Belle Floue
00:32:02alors bien entendu
00:32:03on a fait appel à vous
00:32:04puisque vous êtes
00:32:05un ancien du RAID
00:32:06donc tout ce qui est
00:32:07prise d'otages
00:32:08et forcément
00:32:09et enlèvement
00:32:10ça faisait partie
00:32:12de vos prérogatives
00:32:13oui je courais
00:32:14après les voyous
00:32:15je ne faisais pas
00:32:15les enlèvements
00:32:16oui oui bien sûr
00:32:17oui on a bien compris
00:32:18ça aurait été
00:32:20un beau coming out
00:32:21en direct
00:32:21c'est
00:32:23on parle de crypto-monnaie
00:32:24on parle de cybersécurité
00:32:26donc de plus en plus fréquent
00:32:27aujourd'hui
00:32:28on a l'impression
00:32:28que
00:32:29des enlèvements
00:32:31ratés
00:32:32pour la plupart
00:32:32ces derniers temps
00:32:33mais
00:32:33ça s'accélère
00:32:36oui écoutez
00:32:36d'abord on parle
00:32:37de grand banditisme
00:32:38moi je parle ça
00:32:39d'opportunité
00:32:39alors quand on parle
00:32:40de grand banditisme
00:32:41en fait de compte
00:32:41on n'a pas affaire
00:32:42à des grands bandits
00:32:43comme on a connu
00:32:43dans les années 80
00:32:44dans les années 70
00:32:45en fait
00:32:46on se rend compte
00:32:47que ce sont souvent
00:32:48des bandes de jeunes
00:32:49on l'a vu avec l'affaire du Louvre
00:32:50sur les bijoux
00:32:51on le voit avec la crypto-monnaie
00:32:53depuis des mois et des mois
00:32:54et les bijouteries
00:32:55vous savez
00:32:56les braquages de bijouteries
00:32:56avec des motos
00:32:57donc on s'aperçoit
00:32:58qu'effectivement
00:32:59ce phénomène-là
00:33:00est en train de grandir
00:33:02la crypto-monnaie
00:33:03pour ces groupes-là
00:33:04c'est un moyen potentiel
00:33:05de faire facilement
00:33:06de l'argent
00:33:07ils se trompent d'ailleurs
00:33:08parce qu'on la suit
00:33:09la crypto-monnaie
00:33:10on ne peut pas faire ce qu'on veut
00:33:10en fait
00:33:11avec les mouvements de fond
00:33:12mais bref
00:33:13on est dans une situation
00:33:14effectivement
00:33:14qui est inquiétante
00:33:15et c'est pour ça que
00:33:16encore une fois
00:33:16la police s'adapte
00:33:19elle est toujours
00:33:19avec elle discutée
00:33:21parce qu'il y a tellement
00:33:22d'affaires à gérer
00:33:23qu'effectivement
00:33:24on se pose des questions
00:33:25sur ce phénomène
00:33:26qui sont de plus en plus fréquents
00:33:28et on voit
00:33:28qu'à travers
00:33:29ce qu'on a vu ici
00:33:30cette ultra-violence
00:33:32et bien
00:33:32on a dû mobiliser
00:33:33évidemment
00:33:33le parquet de Pontoine
00:33:34a saisi l'au-clos
00:33:35le fameux office central
00:33:37de lutte contre la criminalité organisée
00:33:39l'agir
00:33:40les juridictions
00:33:41interrégionales spécialisées
00:33:42voilà
00:33:43tout le monde est en réaction
00:33:44très rapide
00:33:45et c'est pour ça
00:33:45qu'on trouve des réponses rapides
00:33:47les anticiper
00:33:48évidemment c'est très compliqué
00:33:49parce qu'on a affaire
00:33:50à des bandes
00:33:51qui sont capables
00:33:51de se réunir rapidement
00:33:52et de passer à l'action
00:33:53très très vite
00:33:54à partir du moment
00:33:54ils ont une cible
00:33:55rapidement
00:33:55Bruno Vomart
00:33:56ce sont des amateurs
00:33:57pour moi
00:34:00dans la méthode
00:34:01oui
00:34:01si on regarde
00:34:02l'ensemble
00:34:02de ce qu'on voit
00:34:03depuis le mois de juin
00:34:04avec les kidnappings
00:34:05la pression
00:34:06oui
00:34:06et dangereux
00:34:08mais qui sont capables
00:34:09de tout
00:34:09je vous dis
00:34:10on peut faire le lien
00:34:11avec tout en fait
00:34:12le Louvre
00:34:14les bijouteries
00:34:16et la crypto-monnaie
00:34:17on voit bien
00:34:17qu'on a affaire
00:34:18à des gens
00:34:19qui réagissent rapidement
00:34:20et qui trouvent des cibles
00:34:21effectivement à attaquer
00:34:22mais on a affaire
00:34:23à des super grands
00:34:25bandis
00:34:26c'est ça
00:34:26merci beaucoup
00:34:27Bruno Vomart
00:34:28merci d'avoir accepté
00:34:29cette invitation
00:34:29ancien membre du RAID
00:34:30et maire de Belleflou
00:34:32allez merci beaucoup
00:34:33et tout de suite
00:34:33ici vous étiez ministre
00:34:35les vraies voix sud radio
00:34:37si j'étais ministre
00:34:39qu'est-ce que je vais devenir
00:34:40je suis ministre
00:34:41je ne sais rien faire
00:34:42et en l'occurrence
00:34:43aujourd'hui
00:34:44si vous étiez
00:34:45ministre du pouvoir d'achat
00:34:46par exemple
00:34:47et c'est Ben
00:34:48qui nous appelle
00:34:48de condo
00:34:49bonsoir
00:34:50bonsoir
00:34:51bonsoir monsieur Damar
00:34:51monsieur le ministre
00:34:53vous êtes nommé ministre
00:34:55depuis 5 secondes
00:34:57quelle serait
00:34:57si vous l'étiez
00:34:59votre première proposition
00:35:00baisser les taxes
00:35:06baisser les taxes
00:35:07sur quoi
00:35:09par exemple
00:35:10sur
00:35:11les produits de consommation
00:35:14de première consommation
00:35:15déjà
00:35:15oui
00:35:15elles sont déjà baissées
00:35:17les taxes
00:35:17c'est 5-5
00:35:195-5 déjà
00:35:19oui mais bon
00:35:21si on vivait un peu
00:35:22avec notre
00:35:22nos ressources
00:35:24plutôt que
00:35:25d'importer
00:35:27et on vivrait vraiment
00:35:30entre guillemets
00:35:31en autarcie
00:35:32ah ouais
00:35:33non mais ça c'est
00:35:34en fait vous dites
00:35:35vous êtes dans le Gers
00:35:36vous avez cette chance
00:35:36que vous pouvez aller acheter
00:35:37vos oeufs
00:35:38vos pommes de terre
00:35:39et évidemment
00:35:40votre maïs
00:35:40si vous avez envie
00:35:41parce que c'est une grosse zone
00:35:42productrice
00:35:42et vos foie gras
00:35:43si vous aimez ça
00:35:44directement chez le producteur
00:35:46mais est-ce que vous pensez
00:35:48que baisser la TVA
00:35:49de 5,5%
00:35:50même mettre une TVA à zéro
00:35:51alors c'est interdit
00:35:52la TVA à zéro
00:35:53non totalement
00:35:53mais mettre une TVA
00:35:54à 1 ou 2%
00:35:55vous croyez
00:35:55le prix ne baisserait pas
00:35:57c'est le distributeur
00:35:58qui gagnerait
00:35:59un peu plus d'argent
00:36:00non vous ne croyez pas
00:36:01mais Ben
00:36:02sur l'augmentation
00:36:04des salaires
00:36:04parce qu'il nous reste
00:36:05très peu de temps
00:36:07oui
00:36:07alors l'augmentation
00:36:08des salaires
00:36:08c'est simple
00:36:09il y aurait un intéressement
00:36:11et c'est la déformation
00:36:13un peu plus poussée
00:36:14un intéressement
00:36:15aujourd'hui
00:36:16on a des éléments
00:36:19qui font que
00:36:20il y a beaucoup de personnes
00:36:22qui sont là
00:36:23pour de l'alimentaire
00:36:24et non pas autrement
00:36:25et vous faites quoi ?
00:36:27vous faisiez quoi
00:36:27avant d'être ministre ?
00:36:28être soignant
00:36:30merci beaucoup
00:36:32en tout cas
00:36:32monsieur le ministre
00:36:33d'avoir accepté
00:36:33notre invitation
00:36:34vous revenez
00:36:36quand vous voulez
00:36:36aller dans un instant
00:36:37le coup de gueule
00:36:38de Philippe David
00:36:39juste après la pub
00:36:40on parle de quoi ?
00:36:41je suis furieux
00:36:42je suis furieux
00:36:42parce qu'en France
00:36:42on ne peut plus faire la fête
00:36:44d'accord
00:36:45ok
00:36:45ah oui
00:36:45on ne peut plus faire la fête
00:36:47ça y est
00:36:47ça a l'air de choquer
00:36:48tu vas être reçu
00:36:48ah bah oui
00:36:49on peut faire la fête
00:36:52on peut faire la fête
00:36:53à la maison
00:36:54on ne peut plus faire la fête
00:36:54le ministre de l'Intérieur recule
00:36:55on ne peut plus organiser
00:36:56une fête du 31 janvier
00:36:58sur les Champs-Elysées
00:36:58c'est ça
00:36:59allez les amis
00:37:00on va faire un petit
00:37:00un petit ritec
00:37:01sur notre sapin de Noël
00:37:03le sapin de Noël
00:37:04c'est une radio
00:37:05puisque cette année
00:37:06le Père Noël
00:37:07a déjà déposé des cadeaux
00:37:08au pied du sapin
00:37:10et du sapin
00:37:11et quand je récupère
00:37:12ce petit cadeau de Noël
00:37:14j'ai envie de vous le dire
00:37:15le lire tout de suite
00:37:16et ce cadeau
00:37:17c'est une fabrique à histoire
00:37:18l'Uni
00:37:19avec un abonnement l'Uni
00:37:20et la fabrique à histoire l'Uni
00:37:22c'est la seule compteuse
00:37:23qui permet aux enfants
00:37:24de choisir tous les éléments
00:37:25de leur histoire
00:37:26et surtout
00:37:26d'écouter leur création unique
00:37:28alors c'est facile
00:37:29vous envoyez un petit SMS
00:37:30à Aude
00:37:31vous écrivez sapin
00:37:32S-A-P-I-N
00:37:33et vous l'envoyez par SMS
00:37:34au 7-20-18
00:37:36et ce cadeau
00:37:37sera peut-être pour vous
00:37:38vous serez peut-être tiré au sort
00:37:39et on sera ravis
00:37:40de vous accueillir à l'intenne
00:37:41on fait une petite pause
00:37:42on revient dans un instant
00:37:43à tout de suite
00:37:43et tout de suite
00:37:44on parle de votre patrimoine
00:37:46en compagnie de Thomas Binet
00:37:47Oui
00:37:47Altaprofi
00:37:49Assurance vie
00:37:50retraite
00:37:50immobilier
00:37:51le meilleur de l'épargne en ligne
00:37:53depuis plus de 25 ans
00:37:55le conseil en plus
00:37:56présente
00:37:57Sud Radio
00:37:59les incontournables
00:38:01de la gestion de patrimoine
00:38:02Thomas Binet
00:38:03nous nous retrouvons
00:38:04comme tous les jeudis soir
00:38:05avec notre consultante
00:38:06Catherine Baudenot
00:38:07directrice marketing
00:38:08offre et communication
00:38:10chez Altaprofi
00:38:11pour parler gestion de patrimoine
00:38:12bonsoir Catherine
00:38:13bonsoir Thomas
00:38:14Catherine aujourd'hui
00:38:15on va parler d'une question
00:38:17très concrète
00:38:18est-ce que ça vaut vraiment
00:38:19le coup d'investir
00:38:20ou d'épargner seulement
00:38:2150 euros par mois
00:38:23oui c'est une question
00:38:23parce que c'est une somme
00:38:24qui est faible
00:38:25alors on pourrait se dire
00:38:26ce n'est pas grand chose
00:38:27alors soyons direct Catherine
00:38:2850 euros par mois
00:38:29est-ce que ça peut vraiment
00:38:31changer quelque chose pour nous
00:38:32absolument
00:38:33alors c'est pas le montant
00:38:34qui compte
00:38:35mais c'est vraiment le fait
00:38:36de s'y tenir dans la durée
00:38:38et la régularité
00:38:39est plus importante
00:38:40finalement
00:38:41que la somme de départ
00:38:42avec 50 euros par mois
00:38:44vous pouvez vous constituer
00:38:45un vrai capital solide
00:38:47grâce à ce qu'on appelle
00:38:48les intérêts composés
00:38:49alors on aime bien
00:38:50donner des exemples
00:38:51dans ce rendez-vous
00:38:51est-ce que vous avez
00:38:52un exemple concret
00:38:53à nous proposer
00:38:53alors on va imaginer
00:38:54donc vous placez
00:38:5550 euros par mois
00:38:56pendant 20 ans
00:38:57donc si on ne prend
00:38:59aucun rendement
00:39:00en considération
00:39:01vous avez mis de côté
00:39:0212 000 euros
00:39:03maintenant on va ajouter
00:39:05un peu de rendement
00:39:06à 2% par an
00:39:07donc c'est un placement
00:39:07extrêmement prudent
00:39:09vos 50 euros par mois
00:39:10deviennent
00:39:1114 700 euros
00:39:12si on met un peu plus
00:39:14de rendement
00:39:14à 5%
00:39:15on est sur un portefeuille
00:39:17équilibré
00:39:18vous allez arriver
00:39:19à environ 20 000 euros
00:39:20et si vous prenez
00:39:21un petit peu de risque
00:39:22que vous exposez
00:39:23aux actions
00:39:24on va dire que vous faites
00:39:257% par an
00:39:26vous allez dépasser
00:39:27les 25 000 euros
00:39:28en 20 ans
00:39:29avec vos 50 euros
00:39:30par mois
00:39:31alors si je comprends
00:39:31bien ce que vous nous expliquez
00:39:32ça veut dire que
00:39:33leur rendement
00:39:33va jouer un rôle
00:39:34énorme
00:39:35dans cette situation
00:39:36mais ça veut dire
00:39:37qu'il faut aussi
00:39:38beaucoup de temps
00:39:38exactement
00:39:39et plus on commence tôt
00:39:41et plus l'effet boule de neige
00:39:43va être fort
00:39:44si je reprends mon exemple
00:39:45donc vos 50 euros par mois
00:39:46pendant 20 ans
00:39:47placés à 5%
00:39:49je prends l'exemple médian
00:39:50donc on a dit
00:39:51que vous alliez arriver
00:39:52à 20 000 euros
00:39:53au bout de 20 ans
00:39:54en fait si vous doublez
00:39:56cette durée
00:39:57vous n'allez pas
00:39:58doubler vos gains
00:39:59vous allez faire
00:39:59fois 6
00:40:00puisque votre capital
00:40:02au bout de 40 ans
00:40:03sera de plus de 75 000 euros
00:40:05donc en fait
00:40:05en allongeant la durée
00:40:07vous allez avoir
00:40:08un effet boule de neige
00:40:09vraiment important
00:40:10et la différence
00:40:11c'est pas l'effort mensuel
00:40:13mais c'est vraiment
00:40:14le temps
00:40:14qui permet de faire travailler
00:40:16les intérêts composés
00:40:17ce qui veut dire
00:40:18dans vos propos
00:40:19que plus on va commencer tôt
00:40:20plus on va pouvoir
00:40:21se permettre
00:40:22d'aller chercher
00:40:22de la performance
00:40:23sur les marchés financiers
00:40:24exactement
00:40:25en fait c'est à la fois
00:40:27le temps
00:40:27et le fait
00:40:29d'investir progressivement
00:40:30et régulièrement
00:40:31qui va vous permettre
00:40:32de lisser les risques
00:40:33donc sur 20 ans
00:40:3530 ans et plus
00:40:36les fluctuations
00:40:37de marché
00:40:37vont être absorbées
00:40:39et la tendance
00:40:39de long terme
00:40:40elle est positive
00:40:41et donc ça vous donne
00:40:42la possibilité
00:40:43d'aller vous exposer
00:40:44à des placements
00:40:45un peu plus dynamiques
00:40:46on pense au PEA
00:40:47le plan épargne en action
00:40:48ou en assurance vie
00:40:49en unité de compte
00:40:51et donc d'aller chercher
00:40:52un rendement
00:40:53qui sera meilleur
00:40:54et c'est là
00:40:54que l'effet boule de neige
00:40:55devient vraiment fort
00:40:56mais alors du coup
00:40:57fiscalement
00:40:58est-ce que ça va changer
00:40:58quelque chose ?
00:40:59il y a certains produits
00:41:00qui favorisent vraiment
00:41:02l'épargne régulière
00:41:03on pense à l'assurance vie
00:41:04puisqu'au bout de 8 ans
00:41:05vous allez bénéficier
00:41:06d'un avantage fiscal
00:41:08avec l'abattement
00:41:09sur les plus-values
00:41:10de 4600 euros
00:41:11pour une personne seule
00:41:129200 euros
00:41:13pour un couple
00:41:13le PEA
00:41:15qui exonère
00:41:15les plus-values
00:41:16après 5 ans
00:41:17de détention
00:41:18ou on peut aussi parler
00:41:19du plan épargne retraite
00:41:20qui marche un peu différemment
00:41:21puisque là
00:41:22vous allez pouvoir déduire
00:41:23les sommes versées
00:41:24de votre revenu imposable
00:41:25donc avec ces enveloppes fiscales
00:41:28vos 50 euros par mois
00:41:29vont travailler encore mieux
00:41:31puisque vous allez réduire
00:41:33la fiscalité sur vos gains
00:41:34alors revenons quand même
00:41:35à la question de base
00:41:36certains qui nous écoutent
00:41:37vont se dire
00:41:38oui bon d'accord
00:41:3850 euros
00:41:39c'est quand même pas
00:41:40une grosse somme
00:41:41vous leur répondez quoi
00:41:42concrètement ?
00:41:43moi je leur réponds
00:41:43que l'épargne
00:41:44c'est comme le sport
00:41:45vaut mieux en faire
00:41:46régulièrement
00:41:47peu
00:41:48que beaucoup
00:41:49d'un seul coup
00:41:50ce qui compte
00:41:51c'est vraiment
00:41:51de créer l'habitude
00:41:52une fois qu'elle est installée
00:41:54vous pourrez toujours
00:41:54augmenter un peu
00:41:56vos sommes
00:41:57et vraiment
00:41:58de petits efforts
00:41:59produisent de grands résultats
00:42:00sur le long terme
00:42:01et un dernier conseil
00:42:02pour conclure ?
00:42:03commencez
00:42:04aussi tôt que possible
00:42:05puisque le temps
00:42:06c'est vraiment
00:42:07votre meilleur allié
00:42:08plus tôt vous épargnez
00:42:09plus vous pouvez prendre
00:42:10un peu de risques
00:42:11profiter des marchés financiers
00:42:13et voir du coup
00:42:14vos 50 euros
00:42:15se transformer
00:42:16en un vrai capital
00:42:17et attendre
00:42:18d'avoir plus
00:42:19pour démarrer
00:42:20c'est le meilleur moyen
00:42:21de ne jamais commencer
00:42:22en fait
00:42:22merci Catherine
00:42:24on vous retrouve jeudi prochain
00:42:25pour un autre numéro
00:42:26d'Oser investir
00:42:26les incontournables
00:42:27de la gestion de patrimoine
00:42:28et pour ce qui me concerne
00:42:29je vous donne rendez-vous
00:42:30dimanche matin
00:42:30dès 9h25
00:42:31dans la matinale week-end
00:42:33Sud Radio
00:42:35les incontournables
00:42:36de la gestion de patrimoine
00:42:38Thomas Binet
00:42:39avec Alta Profit
00:42:41Assurance Vie
00:42:41Retraite
00:42:42Immobilier
00:42:43le meilleur de l'épargne en ligne
00:42:45depuis plus de 25 ans
00:42:47le conseil en plus
00:42:48Sud Radio
00:42:50Sud Radio
00:42:50Parlons vrai
00:42:51Parlons vrai
00:42:51Sud Radio
00:42:52Parlons
00:42:52Les vrais voix Sud Radio
00:42:5418h-20h
00:42:56Cécile Dominibus
00:42:57Philippe David
00:42:58Et comme c'est important
00:42:59d'avoir une équipe autour de nous
00:43:01et pour vous présenter
00:43:03les gens qui travaillent
00:43:04dans cette équipe
00:43:05les personnalités
00:43:06qui sont presque un peu
00:43:07de notre famille
00:43:08avec Aude
00:43:08qui est au standard
00:43:09ça va Aude ?
00:43:09Ça va Aude ?
00:43:10Ça va très bien
00:43:11merci de m'accueillir
00:43:11C'est belle voix
00:43:12Et donc quand vous décrochez
00:43:15quand vous faites le 0826-300-300
00:43:17vous avez ou Zach
00:43:18ou Aude qui est là
00:43:19et Aude
00:43:20on avait très envie
00:43:21de mettre en place quelque chose
00:43:23c'est-à-dire
00:43:23de donner la possibilité
00:43:24à des auditeurs
00:43:25de devenir des vrais voix
00:43:26pour une journée
00:43:27Oui, oui
00:43:28tout à fait
00:43:28donc n'hésitez pas
00:43:29à nous envoyer un mail
00:43:30à l'adresse suivante
00:43:33répondeur.sudradio.gmail.com
00:43:36et je me ferai un plaisir
00:43:37de vous inscrire
00:43:39et vous viendrez
00:43:41participer à l'émission
00:43:42avec nous
00:43:42Passez une journée
00:43:43avec Philippe David
00:43:44je ne souhaite ça
00:43:44à personne
00:43:45J'ai déjà débattu
00:43:47avec un auditeur
00:43:48ils sont retards
00:43:49On n'est jamais trahis
00:43:50que par les siens
00:43:51mon cher Maximus
00:43:52qui lui vient de dire
00:43:53Merci beaucoup
00:43:54Ça me va chercher
00:43:55de remplacer
00:43:56je crois
00:43:56Et donc vous l'avez entendu
00:43:580826-300-300
00:44:00c'est Aude
00:44:00qui est avec nous
00:44:01en attendant
00:44:01le coup de gueule
00:44:02de Philippe David
00:44:03Comme d'habitude
00:44:10je vais remettre
00:44:11le clocher
00:44:12au milieu du village
00:44:12un village qui se trouve
00:44:14dans le 8ème arrondissement
00:44:15de Paris
00:44:16Pourquoi le 8ème
00:44:16arrondissement de Paris ?
00:44:17Parce que c'est dans
00:44:18cet arrondissement
00:44:19que se trouve
00:44:20la plus belle avenue
00:44:21du monde
00:44:21l'avenue des Champs-Elysées
00:44:23et que celle-ci
00:44:24ne sera pas
00:44:25le théâtre
00:44:25d'un concert de Nouvel An
00:44:26comme en 2023
00:44:27et 2024
00:44:28Elle a raison
00:44:29Le refus
00:44:30de la préfecture de police
00:44:31qui aurait
00:44:32selon Jeanne Dotser
00:44:33la maire d'arrondissement
00:44:34argumenté sur
00:44:35je cite
00:44:36des mouvements de foule
00:44:37imprévisibles
00:44:38sur les Champs-Elysées
00:44:39qui ne sont pas dimensionnés
00:44:40pour accueillir
00:44:41ce genre de manifestation
00:44:42où les gens bougent
00:44:44Une décision saluée
00:44:45par la maire d'arrondissement
00:44:46contrairement à
00:44:47Emmanuel Grégoire
00:44:48candidat à la succession
00:44:49d'Anne Hidalgo
00:44:50du sénateur communiste
00:44:52de Paris
00:44:52Yann Brossat
00:44:53et même de Bruno Retailleau
00:44:55le président de LR
00:44:56qui déclarait hier
00:44:57sur Sud Radio
00:44:57Je veux dire d'abord
00:45:01que malheureusement
00:45:02en France désormais
00:45:02il y a un tel ensauvagement
00:45:04que tout devient prétexte
00:45:06précisément
00:45:07à de l'ultra-violence
00:45:09je me souviens par exemple
00:45:10de la fête de la musique
00:45:11moi on m'avait proposé
00:45:12par exemple
00:45:13d'annuler
00:45:14même le RN
00:45:14avait proposé
00:45:15de déporter
00:45:16le match
00:45:17France-Israël
00:45:18et je n'avais pas cédé
00:45:19je pense que bien entendu
00:45:21que ces manifestations
00:45:22présentent des risques
00:45:23mais on ne doit pas reculer
00:45:24Alors je veux bien
00:45:26qu'on ne doive pas reculer
00:45:27ça devrait même être la règle
00:45:28mais souvenons-nous
00:45:30du printemps dernier
00:45:30et de la victoire
00:45:31en demi-finale
00:45:32et en finale
00:45:32de la Ligue des Champions
00:45:33du PSG
00:45:34deux soirées de chaos
00:45:35sur les Champs-Elysées
00:45:36et alentours
00:45:37rien que la soirée
00:45:38de la finale
00:45:3918 membres
00:45:40des forces de l'ordre
00:45:41avaient été blessés
00:45:42tout comme trois semaines
00:45:43plus tard
00:45:44lors de la fête
00:45:44de la musique
00:45:45où 13 membres
00:45:46des forces de l'ordre
00:45:47avaient été
00:45:48à leur tour blessés
00:45:49dans tous les cas de figure
00:45:50magasins pillés
00:45:51voitures et magasins
00:45:52saccagés et brûlés
00:45:54scènes d'émeute
00:45:55et de chaos partout
00:45:56on comprend mieux
00:45:57que seule la maire
00:45:58de l'arrondissement
00:45:59soit la seule parmi
00:46:00le personnel politique
00:46:01à saluer ce renoncement
00:46:02puisque c'est son quartier
00:46:04ses électeurs
00:46:05qui sont à chaque fois
00:46:06victimes des pires exactions
00:46:08menées par des hordes sauvages
00:46:09qui commettent
00:46:10leurs basse besogne
00:46:11en toute impunité
00:46:12les décisions des tribunaux
00:46:14suite à ces tristes soirées
00:46:15étant là pour le prouver
00:46:16on comprend d'autant mieux
00:46:18et la préfecture de police
00:46:19qu'elle ne doit pas avoir envie
00:46:20d'avoir encore
00:46:21et toujours
00:46:22de nombreux blessés
00:46:23parmi ses effectifs
00:46:24des effectifs toujours
00:46:26sur le fil du rasoir
00:46:27et tant pis
00:46:28pour les honnêtes gens
00:46:28qui avaient simplement envie
00:46:30de faire la fête
00:46:31et d'écouter de la musique
00:46:32mais les honnêtes gens
00:46:35ils vont faire la fête
00:46:37ils vont écouter de la musique
00:46:38moi je vais vous dire
00:46:39pourquoi ça ne me choque pas
00:46:40déjà c'est une décision
00:46:42de la préfecture de police
00:46:43ensuite
00:46:43de sortir la carte
00:46:45de la chans-élysée
00:46:45à tout bout de champ
00:46:46six fois par an
00:46:47excusez-moi j'habite pas loin
00:46:48au bout d'un moment
00:46:49au-delà des aspects de sécurité
00:46:53c'est-à-dire
00:46:54on parle d'ailleurs
00:46:55de réduction des dépenses
00:46:56à tout bout de champ
00:46:56c'est une réduction
00:46:58des dépenses notables
00:46:59ça va être enregistré
00:47:00il y aura un feu d'artifice
00:47:01on va s'éviter
00:47:02des forces de police
00:47:03conséquentes à déployer
00:47:04sur un soir stratégique
00:47:05et on pourra mettre ça ailleurs
00:47:06et on va laisser un peu
00:47:07les riverains tranquilles
00:47:08c'est juste un autre format
00:47:10il n'y a rien de démentiel
00:47:11là-dedans
00:47:12et je trouve même
00:47:13que c'est une bonne chose
00:47:13je vais pouvoir me balader
00:47:14tranquillement ce soir-là
00:47:15je comprends la prévention
00:47:16de police
00:47:17mais je trouve scandaleux
00:47:18qu'on puisse plus faire la fête
00:47:19mais on peut la faire
00:47:20mais nous on peut plus
00:47:20on va t'enregistrer
00:47:21des séquences de concert
00:47:22on va te diffuser
00:47:23un feu d'artifice
00:47:24tu vas regarder la soirée
00:47:25chez toi au chaud
00:47:25tu vas être tranquille
00:47:26qu'est-ce que tu veux de plus ?
00:47:27moi je voulais être
00:47:28sur les champs
00:47:28moi je suis absolument
00:47:30pas d'accord avec Samuel
00:47:32de quoi ce renoncement
00:47:34est-il le nom ?
00:47:35c'est très simple
00:47:35il est le nom
00:47:36d'une république
00:47:37qui ne cesse de reculer
00:47:38car en réalité
00:47:40le concert en question
00:47:41il a été enregistré
00:47:42avec des figurants
00:47:43donc en fait
00:47:44on va donner à la télévision
00:47:46sur France 2
00:47:47j'imagine ce concert
00:47:48mais en fait
00:47:49on n'est plus capable
00:47:50de garantir
00:47:51la sécurité
00:47:52sur les Champs-Elysées
00:47:53c'est ça que ça veut dire
00:47:54en réalité
00:47:55et qui vient perturber ?
00:47:57ce sont les gens
00:47:58d'extrême droite
00:48:00ce sont les Versaillais
00:48:01c'est la droite
00:48:02qui vient tout casser
00:48:04lorsque le PSG
00:48:05gagne une victoire
00:48:07figure-toi que
00:48:08en Paris Saint-Germain
00:48:08historiquement
00:48:09tu as quand même
00:48:10des groupes
00:48:10d'extrême droite
00:48:11qui ont été dégagés
00:48:14mais ils ont été dégagés
00:48:16et qui continuent
00:48:16d'opérer
00:48:17mais en fait
00:48:18ça ça veut dire quoi ?
00:48:19ça veut dire que
00:48:20en réalité
00:48:20le ministre de l'Intérieur
00:48:22recule
00:48:22parce qu'il pense
00:48:24et à mon avis
00:48:24il n'a pas tort
00:48:25qu'on ne pourra pas
00:48:26garantir la sécurité
00:48:27des gens qui viendraient
00:48:28donc si vous voulez
00:48:29on peut m'expliquer
00:48:30qu'on va
00:48:31Samuel rester bien au chaud
00:48:32à regarder
00:48:33moi ça ne m'intéresse pas
00:48:34donc je ne regarderai pas
00:48:35j'écouterai pas
00:48:35mais je vais vous dire
00:48:39en fait c'est ça
00:48:39que ça veut dire
00:48:40en France
00:48:41dès qu'il y a une manifestation
00:48:42dès qu'il y a une ouverture
00:48:44de magasin
00:48:44on l'a vu
00:48:45où des choses gratuites
00:48:46sont données
00:48:47ce sont des émeutes
00:48:48donc en réalité
00:48:49la République
00:48:49ne cesse de reculer
00:48:51elle n'assure plus
00:48:52la sécurité
00:48:53des gens
00:48:54dans les rues
00:48:55voilà
00:48:55c'est ça
00:48:56la réalité
00:48:56allez vous restez avec nous
00:48:58dans un instant
00:48:59ce coup de gueule
00:49:00à retrouver bien entendu
00:49:01en podcast
00:49:02que vous pourrez
00:49:03commenter
00:49:04bien entendu
00:49:05dans un instant
00:49:05la question du soir
00:49:06le ministre du logement
00:49:09Guillaume Casbarian
00:49:10appelle à mettre fin
00:49:12à laquelle
00:49:12prolonger des étrangers
00:49:13sans domicile fixe
00:49:14en situation irrégulière
00:49:16avec cette question du jour
00:49:16faut-il arrêter
00:49:17de loger
00:49:18des migrants irréguliers
00:49:19vous dites oui
00:49:19à 98%
00:49:21vous voulez réagir
00:49:22on attend vos appels
00:49:23au 0826 300 300
00:49:25et c'est Aude
00:49:25qui vous attend
00:49:26à tout de suite
00:49:27Sud Radio
00:49:28Sud Radio
00:49:28Parlons Vrai
00:49:30Parlons Vrai
00:49:30Sud Radio
00:49:31Parlons Vrai
00:49:32Les Vraies Voix Sud Radio
00:49:3318h-20h
00:49:34Cécile Dominibus
00:49:36Philippe David
00:49:37au programme de cette émission
00:49:39du lourd
00:49:40avec Eric Revelle
00:49:42il n'est pas content
00:49:43je suis très content
00:49:44vous êtes content
00:49:45très très content
00:49:46vous êtes content
00:49:47d'être là
00:49:48mais la vie est belle
00:49:50oui d'accord
00:49:50ça va
00:49:51ça va
00:49:52la vie est belle
00:49:52parce que ce livre
00:49:53fonctionne plutôt bien
00:49:54c'est nos airs
00:49:55qu'on assassine
00:49:55nos éditions Ellipse
00:49:56musicale sur la décennie
00:49:58d'Emmanuel Macron
00:49:59le Mozart de la finance
00:50:01le Mozart de la diplomatie
00:50:02et vous n'avez pas peur
00:50:03de finir au violon
00:50:04ah oui
00:50:05c'est pas mal
00:50:06c'est pas mal
00:50:06et la bonne nouvelle
00:50:08c'est que Samuel Bouton
00:50:09au sorteur de cette émission
00:50:11va en acheter un
00:50:13c'est ça qui est bien
00:50:13ah très bien
00:50:14expert en communication
00:50:15oui c'est vrai
00:50:15ah bah oui
00:50:16donc quand je reviendrai
00:50:18je vous le ferai signer
00:50:19on achète les livres
00:50:20aux des collègues
00:50:21je les achète
00:50:22à Marseille
00:50:22allez tout de suite
00:50:24la question du soir
00:50:25il faut stopper
00:50:27l'immigration officielle
00:50:29et clandestine
00:50:31il faut retrouver
00:50:32la maîtrise de nos frontières
00:50:33pour pouvoir surveiller
00:50:34qui entre
00:50:35qui sort
00:50:35on est dans un pays
00:50:36qui ne maîtrise pas
00:50:37ses frontières nationales
00:50:38qui ne maîtrise même pas
00:50:39sa politique migratoire
00:50:39il faut arrêter l'immigration
00:50:41il faut s'attaquer
00:50:42au communautarisme
00:50:43et au développement
00:50:44du fondamentalisme islamiste
00:50:46dans notre pays
00:50:46les vraies voix sud radio
00:50:49et ça fait suite
00:50:52à la déclaration
00:50:53de l'ancien ministre
00:50:53du logement
00:50:54Guillaume Casbarian
00:50:56qui appelle à mettre fin
00:50:57à l'accueil prolongé
00:50:58des étrangers
00:50:58de 102 000 s'ils fixent
00:51:00en situation irrégulière
00:51:01avec cette question du soir
00:51:02Philippe
00:51:03oui cette question
00:51:03faut-il arrêter
00:51:04de loger les migrants irréguliers
00:51:06vous dites oui
00:51:06à 98%
00:51:08vous voulez réagir
00:51:09le 0826 300 300
00:51:11je vais revenir
00:51:11avant de vous donner
00:51:12la parole
00:51:12Eric Revelle
00:51:13sur les chiffres
00:51:14en 10 ans
00:51:14les crédits de l'Etat
00:51:15pour loger les migrants
00:51:16ont triplé
00:51:17donc 3,2 milliards d'euros
00:51:18en 2023
00:51:19et un total
00:51:19de 334 000 places
00:51:22vous avez tout dit
00:51:24alors moi je suis pour
00:51:25qu'on les loge
00:51:26les immigrants
00:51:27illégaux
00:51:28comme ça
00:51:28ça fera en venir
00:51:29plein d'autres
00:51:30vous voyez
00:51:30mais attendez
00:51:31on marche complètement
00:51:32sur la tête
00:51:33il y a 2 millions
00:51:34de foyers dans ce pays
00:51:35qui attendent d'avoir
00:51:35un logement social
00:51:36et là vous êtes en train
00:51:37de me dire
00:51:37que ça coûte 3 milliards
00:51:38par an
00:51:39de loger des gens
00:51:40qui sont sur le territoire
00:51:42français
00:51:42de manière illégale
00:51:43mais attendez
00:51:44la question
00:51:44ne devrait même pas se poser
00:51:45mais en réalité
00:51:47mettez-vous à la place
00:51:49de ces gens
00:51:50qui cherchent
00:51:50à fuir la misère
00:51:51de leur pays
00:51:52vous leur dites
00:51:53vous pouvez avoir
00:51:53une couverture sociale
00:51:54et en plus
00:51:56vous pouvez avoir
00:51:56un logement
00:51:57et je vais y rajouter
00:51:58c'est même pas la peine
00:51:59de vous faire enregistrer
00:52:00pour essayer d'avoir un visa
00:52:01allez-y de manière illégale
00:52:02parce que vous avez le droit
00:52:03à tout ça
00:52:04mais de qui se fout-on ?
00:52:06pardonnez-moi
00:52:06et puis vous savez
00:52:07la question de l'immigration
00:52:08c'est une vieille question
00:52:09on entendait Georges Marchais
00:52:11oui
00:52:11on pourrait aussi
00:52:14entendre François Mitterrand
00:52:15qui disait la même chose
00:52:15et alors j'ai retrouvé
00:52:16quelque chose
00:52:17qui est encore plus frappant
00:52:17parce que la gauche
00:52:18souvent se cache derrière
00:52:20ou s'abrite derrière
00:52:21la bannière splendide
00:52:23de Jean Jaurès
00:52:24Jean Jaurès
00:52:25c'est le penseur
00:52:25et bien
00:52:26à la une de l'humanité
00:52:28du 28 juin 1914
00:52:29éditorial de Jean Jaurès
00:52:32la première phrase
00:52:33de cet éditorial
00:52:35est la suivante
00:52:35il n'y a pas
00:52:37de plus grave problème
00:52:38que celui
00:52:39de la main d'oeuvre étrangère
00:52:40Jean Jaurès 1914
00:52:43voilà
00:52:43donc pendant des années
00:52:44on n'a pas pu aborder
00:52:45ce débat
00:52:45parce que sinon
00:52:46on était des extrémistes
00:52:48des fascistes
00:52:49etc
00:52:49et bien
00:52:50voilà
00:52:50les gens n'ont pas
00:52:51de mémoire
00:52:52les gens n'ont pas
00:52:52d'histoire
00:52:53Georges Marchais
00:52:54il n'y avait pas plus dur
00:52:55alors il défendait
00:52:56le prolétariat français
00:52:57bien sûr
00:52:58mais il n'y avait pas plus dur
00:52:59je ne sais même pas
00:53:00si Jean-Marie Le Pen
00:53:01aurait pu dire
00:53:02la même chose
00:53:02sur les travailleurs immigrés
00:53:03François Mitterrand
00:53:05on oublie que François Mitterrand
00:53:07lorsqu'il était
00:53:07lorsqu'il était jeune étudiant
00:53:09il y a des photos
00:53:10avec des banderoles
00:53:11où il est dans des mouvements
00:53:12de droite nationale
00:53:14il manifeste
00:53:15contre les travailleurs immigrés
00:53:17il dit
00:53:18ce n'est pas possible
00:53:18Jean Jaurès
00:53:19le grand penseur
00:53:21le mentor
00:53:23de la gauche républicaine
00:53:24bah écoutez
00:53:25voilà
00:53:25tout est dit
00:53:26qu'est-ce que je vous dise ?
00:53:28Philippe Dalib ?
00:53:29moi ce que je ne comprends pas
00:53:31contrairement à Éric Revelle
00:53:32c'était un amendement
00:53:34je vais l'expliquer
00:53:35c'était un amendement
00:53:36de Guillaume Casbarian
00:53:38c'est peut-être pas votre question
00:53:39c'est ma réponse
00:53:39c'était un amendement
00:53:42de Guillaume Casbarian
00:53:43et les députés
00:53:44ont voté contre
00:53:46il y avait une économie
00:53:47de 3 milliards à faire
00:53:48et ils votent contre
00:53:50une économie de 3 milliards
00:53:51désolé
00:53:51il y a des personnes
00:53:52qui restent 3 ans
00:53:53logées à l'hôtel
00:53:54au frais du gouvernement
00:53:54dans l'économie simpliste
00:53:56Philippe
00:53:57alors juste pour répondre
00:53:57moi c'est que je vais faire
00:53:58l'argent du contribuable
00:53:59vous vous citez des références
00:54:00qui sont quand même datées
00:54:01il y a 110 ans
00:54:02qui se sont écoulées depuis
00:54:04aujourd'hui Casbarian
00:54:05c'est quoi ?
00:54:05c'est un béret
00:54:06une moustache
00:54:07et des déclarations choc
00:54:08pour se faire remarquer
00:54:09moi ça fait 7 ans
00:54:10que je paye son salaire
00:54:11en tant que contribuable
00:54:12vous ne m'entendez pas me plaindre
00:54:13sur la question de l'immigration
00:54:14bien sûr Éric
00:54:15que vous avez raison
00:54:16qu'une immigration
00:54:17doit rester maîtrisée
00:54:18que la question emploi
00:54:19et immigration
00:54:20doit être traitée
00:54:21à bras le corps
00:54:21et de manière très dure
00:54:22mais aujourd'hui
00:54:23de simplement dire
00:54:24on va arrêter de loger
00:54:25des immigrés
00:54:27qui sont là en situation irrégulière
00:54:28c'est oublier
00:54:29ce qu'est la réalité
00:54:30des administrations
00:54:31et c'est oublier
00:54:32la réalité de ce qu'est
00:54:33leur combat
00:54:33ces gens-là
00:54:34qui à un moment
00:54:35se retrouvent dans cette
00:54:36situation d'irrégularité
00:54:37vous en avez beaucoup
00:54:38qui n'ont pas pour plan
00:54:38de rester en France
00:54:39qui veulent partir
00:54:40de l'autre côté
00:54:40et essayer de rejoindre
00:54:41la Grande-Bretagne
00:54:42ça c'est un premier point
00:54:43après vous en avez
00:54:44qui sont là
00:54:44pour des raisons politiques
00:54:46familiales
00:54:47il y a plein de problématiques
00:54:48et il faut traiter ces dossiers
00:54:49donc si j'écoute
00:54:50Guillaume Casbarian
00:54:51qui ferait un très bon ministre
00:54:52de la simplification
00:54:53puisque pour lui
00:54:53la simplification
00:54:54c'est de tout supprimer
00:54:55on dit stop
00:54:57on arrête
00:54:58et ça veut dire
00:54:59qu'on se retrouve avec
00:55:00mais non mais
00:55:00on lutte contre l'immigration
00:55:01clandestine
00:55:02mais vous avez
00:55:04une immigration de fait
00:55:05qui existe
00:55:07dans le pays
00:55:07pour reprendre
00:55:08le terme de Laurent Fabius
00:55:10si vous dites
00:55:10à toute la misère du monde
00:55:11qu'elle sera
00:55:12je vous fais loger
00:55:13bah évidemment
00:55:14mais c'est pas
00:55:14ce qui n'est pas fait
00:55:15mais c'est recard
00:55:15mais c'est absolument
00:55:17pas ce que je dis
00:55:18je vous dis
00:55:18il faut traiter le problème
00:55:19il faut éloger
00:55:20à partir du moment
00:55:21quand ils sont là
00:55:23vous avez une problématique
00:55:24à traiter
00:55:25vous êtes tenu
00:55:25par l'administration
00:55:26vous devez forcément
00:55:28prendre le problème
00:55:28dans le chemin
00:55:29qui est celui-là
00:55:30mais j'y pense
00:55:31qui ont du mal
00:55:32à finir les fins de mois
00:55:33à ces 2 millions de foyers
00:55:35qui ne trouvent pas
00:55:36de logements sociaux
00:55:36ils sont logés
00:55:37dans des hôtels
00:55:38là c'est pas une question
00:55:39de logements sociaux
00:55:39ils sont logés
00:55:40dans des hôtels
00:55:40vous faites quoi
00:55:41ces familles
00:55:41vous voulez loger à l'hôtel
00:55:42dans des 20 mètres carrés
00:55:4315 mètres carrés
00:55:4410 mètres carrés
00:55:44mais attendez
00:55:44il faut lutter
00:55:45contre l'immigration
00:55:46mais ça on est d'accord
00:55:48que la lutte contre l'immigration
00:55:49dans l'inégalité
00:55:51on vous offre
00:55:52autant de possibilités
00:55:53parce qu'il y a la question
00:55:54du traitement des dossiers
00:55:55le pays du droit de l'homme
00:55:57oui
00:55:58le droit de l'homisme
00:55:59oui
00:55:59on la connait par coeur
00:56:00il faut quand même
00:56:00se poser la question
00:56:01des gens qui restent
00:56:023 ans dans un hôtel
00:56:04mais attendez
00:56:05excusez-moi
00:56:05soit ils sont admissibles
00:56:07en France
00:56:08et dans ces cas-là
00:56:09on les régularise
00:56:10à condition qu'ils aient
00:56:11un travail
00:56:11un revenu etc
00:56:12ou alors
00:56:13ils sont pas régularisables
00:56:15et évidemment
00:56:16dans ces cas-là
00:56:16comme on dit admissible
00:56:17c'est quoi
00:56:17avec l'administration
00:56:19c'est-à-dire qu'ils ont
00:56:20une compétence
00:56:20c'est-à-dire qu'ils sont
00:56:21vraiment persécutés
00:56:22dans leur pays
00:56:22parce que vous savez
00:56:23le droit d'asile
00:56:24on m'a dit clairement
00:56:26les gens par exemple
00:56:26qui veulent avoir le droit
00:56:27pour vérifier tout ça
00:56:28il faut bien les garder
00:56:29un petit peu quand même
00:56:30mais excusez-moi
00:56:303 ans vous ne trouvez pas
00:56:31que c'est un peu long
00:56:31donc c'est une question
00:56:32d'administration Philippe
00:56:33on est d'accord
00:56:34si tu ne peux pas
00:56:35me reprocher à eux
00:56:35c'est la question d'administration
00:56:36comment on traite les dossiers
00:56:38en combien de temps
00:56:38déjà moi je suis pour un principe
00:56:40on n'a pas
00:56:41quelqu'un qui rentre
00:56:42illégalement
00:56:43doit avoir
00:56:44une chose
00:56:45c'est l'expulsion
00:56:45sauf si elle vient
00:56:46d'un pays
00:56:47qui est vraiment dangereux
00:56:48et encore à condition
00:56:49qu'on ait bien analysé
00:56:50qu'elle ne soit pas dangereuse
00:56:51comme certaines personnes
00:56:53qui ont profité
00:56:54des flux de migrants
00:56:54et qui étaient des terroristes
00:56:56on en a tous
00:56:56entendu parler
00:56:57malheureusement
00:56:58dramatiquement
00:56:58mais l'idée
00:57:00c'est quand même pas
00:57:01de garder des gens
00:57:02à l'hôtel
00:57:02avec une fortune
00:57:033 milliards d'euros
00:57:053,2 milliards
00:57:06moi avec ça
00:57:06je vous donne
00:57:07des millions d'heures
00:57:07de travail
00:57:08Jean-Bos
00:57:09il faut mettre
00:57:10quelques millions d'heures
00:57:11sur le traitement des dossiers
00:57:12et derrière
00:57:13tu pourras dégraisser
00:57:13je crois qu'il y a surtout
00:57:14une chose à faire
00:57:15c'est heureux
00:57:16de contrôler les frontières
00:57:17interroger les gens
00:57:19du comité national
00:57:20du droit d'asile
00:57:21des juges
00:57:21vous verrez ce qu'ils vous disent
00:57:22ils voient des dossiers
00:57:23sur la même journée
00:57:24qui sont identiques
00:57:25parce que les passeurs
00:57:26les font venir
00:57:26avec le kit complet
00:57:28pour avoir le droit d'asile
00:57:29en France
00:57:30voilà
00:57:30c'est ça la réalité
00:57:315 secondes
00:57:33non non
00:57:33j'entends
00:57:34je ne suis pas d'accord
00:57:35voilà
00:57:35merci beaucoup
00:57:36vous avez le droit
00:57:37de parler d'accord
00:57:38moi je suis factuel
00:57:39non non
00:57:39bien sûr
00:57:39je vous donne des témoignages
00:57:40on continuera à l'être
00:57:42ensuite les Automobiles Awards
00:57:43les vraies voix Sud Radio
00:57:45et c'est un coup de projecteur
00:57:47sur les Automobiles Awards
00:57:49Sud Radio
00:57:49et partenaire de cette cérémonie
00:57:51de remise des prix
00:57:522025
00:57:53et on est très heureux
00:57:54parce que ça se déroule
00:57:55très bientôt
00:57:55c'est jeudi 18 décembre
00:57:57à l'Automobile Club
00:57:59de France à Paris
00:58:00et Lionel Robert
00:58:01est avec nous
00:58:02le fondateur
00:58:03et l'organisateur
00:58:04bonsoir Lionel Robert
00:58:05on est ravis de vous accueillir
00:58:06bonsoir Cécile
00:58:08bonsoir Philippe
00:58:09alors ça a un peu gueulé avant
00:58:10ça avait de beaucoup plus calme
00:58:11ils comptent pas eux
00:58:12bon bah salut
00:58:14YoYo
00:58:15salut
00:58:15on te laisse
00:58:16avec Philippe
00:58:17et Cécile
00:58:18Lionel Robert
00:58:19cette organisation
00:58:20tous les ans
00:58:21de plus en plus
00:58:22de marques
00:58:23de constructeurs automobiles
00:58:25oui oui oui
00:58:2750 marques cette année
00:58:29constructeurs et équipementiers
00:58:31confondus
00:58:31donc ça commence à couvrir
00:58:33à peu près
00:58:34une bonne partie du marché
00:58:35on va dire
00:58:36et ça progresse
00:58:37effectivement
00:58:37de banni en année
00:58:38donc l'événement
00:58:39prend de la substance
00:58:41c'est du temps mieux
00:58:42qu'est-ce qu'on récompense
00:58:44qu'elles sont les
00:58:45alors il y a pas mal
00:58:46de récompenses encore
00:58:47dans cette édition
00:58:48ça s'élargit
00:58:49ça s'étoffe
00:58:49les constructeurs
00:58:51sont de plus en plus
00:58:52innovants
00:58:52donc tout ça
00:58:53se célèbre
00:58:55oui en fait
00:58:55c'est surtout
00:58:56l'innovation
00:58:57finalement
00:58:57qui est mise en avant
00:58:58et j'insiste
00:58:59vraiment pour dire
00:59:00que les équipementiers
00:59:01ne sont pas laissés
00:59:02pour compte
00:59:02puisqu'on sait très bien
00:59:03que ce sont eux
00:59:03qui sont en général
00:59:04à l'origine
00:59:05de la plupart
00:59:06des innovations
00:59:06que nous avons
00:59:08la chance d'utiliser
00:59:08dans nos voitures
00:59:09et bien il faut savoir
00:59:10effectivement
00:59:11qu'ils sont largement
00:59:12mis en avant
00:59:12à travers 5 catégories
00:59:14aux automobiles de Wards
00:59:15et qu'à chaque fois
00:59:16on découvre des choses
00:59:17de plus en plus épatantes
00:59:18d'année en année
00:59:19c'est ce qui fait vraiment
00:59:20le charme et le sel
00:59:21de l'événement
00:59:21Sud Radio est partenaire
00:59:23des Automobiles de Wards
00:59:24depuis plusieurs années
00:59:25on est très content d'ailleurs
00:59:25et on est très heureux
00:59:26d'en être
00:59:27ce partenariat
00:59:30comment il évolue
00:59:31avec le temps
00:59:32parce que c'est quand même
00:59:32important pour nous
00:59:33de le savoir
00:59:34il se bonifie
00:59:35écoutez
00:59:35il est toujours
00:59:36fascinant
00:59:37malheureusement
00:59:37j'ai beau demander
00:59:39chaque année
00:59:39des subsides
00:59:40à Sud Radio
00:59:41vous n'en avez pas
00:59:42à me donner
00:59:42donc je fais sans
00:59:44en fait je suis ravi
00:59:46de cette collaboration
00:59:47parce que c'est vrai
00:59:48que la station
00:59:49est vraiment en avant
00:59:50l'événement
00:59:52parce que vous êtes
00:59:52d'abord la station
00:59:54de l'automobile
00:59:55c'est bien connu
00:59:56et c'est avéré
00:59:57aujourd'hui
00:59:57voilà donc
00:59:58ce partenariat
00:59:59il est ancré
01:00:00de différentes manières
01:00:01d'abord
01:00:01à travers la présence
01:00:03de deux
01:00:04de vos membres
01:00:05éminents
01:00:06au sein du jury
01:00:07à savoir
01:00:08Jean-Luc Moreau
01:00:09d'un côté
01:00:09et Cécile
01:00:10qui vous fait face
01:00:11ce soir
01:00:12premièrement
01:00:13elle est déjurée
01:00:14sur la catégorie
01:00:15minibus
01:00:15c'est drôle
01:00:16blague de CM2
01:00:19je vous confirme
01:00:23non non non
01:00:24et puis surtout
01:00:25il y a effectivement
01:00:26un suivi
01:00:27et une mise en avant
01:00:28de l'événement
01:00:28à travers justement
01:00:29toutes ces catégories
01:00:30c'est vrai qu'il y en a
01:00:31quand même pas mal
01:00:32des catégories
01:00:32elles ne sont pas
01:00:33toutes destinées
01:00:34aux constructeurs
01:00:34il y a aussi
01:00:35la mobilité douce
01:00:36par exemple
01:00:37également récompensée
01:00:38la mobilité décarbonée
01:00:40aussi
01:00:40la mobilité solidaire
01:00:42également
01:00:42à travers différents prix
01:00:43bref
01:00:44c'est un peu
01:00:44les Césars
01:00:46on va dire
01:00:47de l'automobile
01:00:48et ça donne lieu
01:00:49à une grande fête
01:00:50chaque année
01:00:50et en 20 secondes
01:00:52ce qui est important
01:00:52de dire
01:00:53c'est que la voiture
01:00:53de l'année
01:00:54est élue
01:00:54en revanche
01:00:55par le public
01:00:56oui tout à fait
01:00:58les censées
01:00:58des catégories
01:00:59sont décernées
01:01:00par le jury
01:01:00mais la voiture
01:01:01préférée des français
01:01:02ce qu'on appelle
01:01:03le grand prix
01:01:03c'est le public
01:01:04qui la décerne
01:01:05et cette année
01:01:06je ne vous le dirai pas
01:01:07mais elle va
01:01:08certainement
01:01:09vous intéresser
01:01:09et vous passionner
01:01:10parce qu'elle est
01:01:11c'est une voiture
01:01:13pleine de passion
01:01:15et pourtant électrique
01:01:16en tout cas
01:01:17l'année dernière
01:01:18c'était l'R5
01:01:19vous donnez 10 secondes
01:01:21pour juste rebondir
01:01:22moi j'ai longtemps travaillé
01:01:24pour l'industrie automobile
01:01:25valoriser leurs actions
01:01:26et je tiens à dire
01:01:26qu'il y a déjà 10 ans
01:01:28il y a une station
01:01:29qui effectivement
01:01:29vous l'avez dit
01:01:30a toujours ouvert ses portes
01:01:31à ses innovations
01:01:32c'est Sud Radio
01:01:33j'ai souvenir qu'à l'époque
01:01:34le premier qui me prenait
01:01:35ces sujets là
01:01:36c'était Jean-Marie Bordry
01:01:37si je ne dis pas de bêtises
01:01:38vous voudrez le remercier
01:01:40et la station
01:01:41pour tout ce qu'elle a fait
01:01:42pour moi
01:01:43jeune consultant à l'époque
01:01:44sur ce secteur
01:01:45et on remercie Lionel Robert
01:01:47qu'on retrouve bien entendu
01:01:48le 18 décembre
01:01:49soir à l'Automobile Club
01:01:50de Paris
01:01:50France à Paris
01:01:53bien sûr
01:01:54et nous serons en direct
01:01:55avec vous Lionel
01:01:56merci beaucoup
01:01:57fondateurs et organisateurs
01:01:58des Automobiles Awards
01:02:00passez une belle soirée
01:02:02en tout cas
01:02:02merci beaucoup
01:02:03merci Madame Demélius
01:02:05merci beaucoup
01:02:06Eric Revelle
01:02:07oui c'est ça
01:02:08avec Laurent
01:02:09qui est avec nous
01:02:10au 0826 300 300
01:02:11bonsoir Laurent
01:02:12bonsoir Laurent
01:02:13bonsoir Laurent
01:02:13bonsoir les vrais voix
01:02:14ouh ça sent la joie
01:02:15dites donc
01:02:16salut Lolo
01:02:17bonne journée
01:02:18là je suis un infusion de détox
01:02:19tout va bien quoi
01:02:20alors écoutez
01:02:22vous avez été tiré au sort
01:02:24Laurent
01:02:24vous habitez Angers
01:02:25c'est ça merci
01:02:27très belle ville
01:02:28on est ravis en tout cas
01:02:29vous avez remporté
01:02:29une fabrique à histoire
01:02:31l'Uni
01:02:31avec un abonnement l'Uni
01:02:32la fabrique à histoire
01:02:34la seule conteuse
01:02:35qui permet aux enfants
01:02:36de choisir tous les éléments
01:02:37de leur histoire
01:02:39et d'écouter leur création unique
01:02:40vous avez combien d'enfants
01:02:41Laurent ?
01:02:42moi j'en ai pas
01:02:43mais j'ai des nuits
01:02:44donc j'ai des nuits
01:02:46qui va être ravis
01:02:46génial
01:02:47en tout cas
01:02:48comment s'appelle-t-elle ?
01:02:49elle s'appelle Amy
01:02:50oh c'est mignon
01:02:51quel âge a-t-elle ?
01:02:53elle a deux ans
01:02:53ah d'accord
01:02:54donc elle écoute
01:02:54pas ceux de radio
01:02:55on est d'accord
01:02:55on parlait des awards
01:02:57maintenant d'Amy
01:02:58Amy Awards
01:02:58c'est parfait
01:02:59et Laurent
01:03:04ils sont forts
01:03:05ils sont forts
01:03:06ils sont forts
01:03:06Eric
01:03:08Laurent pardon
01:03:09la tradition
01:03:10est de dire
01:03:11le cri de la joie
01:03:14ouais merci
01:03:15c'est de radio
01:03:16ah bravo
01:03:17bravo Laurent
01:03:18bravo Laurent
01:03:19joyeux Noël à tous
01:03:21allez joyeux Noël
01:03:22bonne fête à vous
01:03:23merci beaucoup Laurent
01:03:24on vous embrasse
01:03:25et merci en tout cas
01:03:25de votre fidélité
01:03:27justement
01:03:28on parlait d'automobile
01:03:29on en parle dans un instant
01:03:30à tout de suite
01:03:30sud radio
01:03:32sud radio
01:03:33parlons vrai
01:03:33parlons vrai
01:03:34sud radio
01:03:35parlons vrai
01:03:35c'est de la joie
01:03:37c'est de la joie
01:03:38c'est de la joie
01:03:39c'est de la joie
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