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Les Vraies Voix avec Jean Doridot, docteur en psychologie ; Pascal Giral, commerçant retraité ; Joseph Thouvenel, vice-président du Centre européen des travailleurs et ancien vice-président de la CFTC ; Simon Daragon, maître de conférences en droit fiscal.

Retrouvez Les Vraies Voix avec Cécile de Ménibus et Philippe David du lundi au vendredi de 17h à 20h sur #SudRadio.
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##LES_VRAIES_VOIX-2025-12-08##

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News
Transcription
00:00:00Les Vraies Voix Sud Radio, 18h-20h, Cécile Doménibus, Philippe David.
00:00:06Et accompagné de Philippe David comme tous les jours, on vous souhaite la bienvenue.
00:00:10Bonsoir Philippe David.
00:00:11Bonsoir Cécile Doménibus.
00:00:12Vous allez bien visiblement ?
00:00:14Ah ben là quand vous me posez la question, oui je vais extrêmement bien.
00:00:17Qu'en est-il de vous ?
00:00:18Eh bien ça va, je suis contente que vous répondiez enfin à mes questions et non à des questions autres.
00:00:24En tout cas, ce numéro de téléphone 0826 300 300, c'est Zach qui est avec nous aujourd'hui.
00:00:30Et autour de cette table, Jean Dorido qui est avec nous, docteur en psychologie.
00:00:33Bonsoir Jean.
00:00:34Bonsoir les amis, bonsoir Assis.
00:00:36Pascal Girard est avec nous, commerçant retraité.
00:00:38Bonsoir Pascal.
00:00:39Bonsoir toujours retraité, bonsoir tout le monde.
00:00:41Joseph Touvenel, enfin Isbac, en pensant qu'il avait été enlevé par des extraterrestres,
00:00:46vice-président du Centre Européen des Travailleurs et ancien vice-président de la CFTC.
00:00:51Bonsoir.
00:00:52Bonsoir.
00:00:52J'avais peut-être été enlevé par les extraterrestres, je vous en parlerai tout à l'heure évidemment.
00:00:56Bien entendu.
00:00:56J'ai vu un monde magnifique, ça s'appelait la Macronie, c'est sur une autre planète.
00:01:00Mais bon, ça commence.
00:01:03On en parlera tout à l'heure, allez, le sommaire de cette émission.
00:01:07La France fait face à une chute inédite des naissances et pourtant le nombre de femmes en âge de procré est stable.
00:01:13Comment expliquer ce basculement démographique ?
00:01:15Eh bien, on vous pose cette question.
00:01:16Selon vous, pourquoi les Français ne font plus d'enfants ?
00:01:18C'est à cause de l'écologie, du pouvoir d'achat, de la peur de l'avenir ou pas en vie ?
00:01:22Eh bien, vous dites à 55% que c'est la peur de l'avenir.
00:01:26Vous avez décidé de ne pas avoir d'enfants, au contraire d'avoir une famille nombreuse ou le juste milieu.
00:01:31Appelez-nous au 0826 300 300.
00:01:34Moi, je dis que c'est un tout et la priorité, refaire une politique familiale incitative.
00:01:39Il y a 18 mois de l'élection présidentielle, l'idée d'une union des droites prend de l'ampleur chez certains républicains.
00:01:44Et on vous pose cette question.
00:01:45Le RN a-t-il réussi à faire tomber le tabou d'alliance des droites ?
00:01:48Eh bien, vous dites oui à 58%.
00:01:51Vous voulez réagir ?
00:01:52Le 0826 300 300, et moi je le dis, l'union des droites n'est qu'une question de temps.
00:01:56Le tabou est tombé, notamment avec un ancien chef de l'État qui dit que le front républicain, c'est comme Capri, c'est fini.
00:02:02Eh bien, on vous souhaite la bienvenue.
00:02:05Le sapin de Noël Sud Radio.
00:02:07Et on vous souhaite la bienvenue avec un très joli cadeau, puisque nous sommes allés chercher le cadeau qui était déposé et déposé sous le sapin.
00:02:14Il dit, ah oui, notre réalisateur Maxime, ah oui, un très très beau cadeau.
00:02:19Puisqu'on va vous offrir un séjour pour 4 personnes en famille au Futuroscope, avec une nuit d'hôtel et les petits déjeuners.
00:02:25Ça grimpe, franchement.
00:02:27Je vais le jouer.
00:02:28Profitez d'un lieu extraordinaire où le réel et l'imaginaire se côtoient, c'est vrai.
00:02:32Si vous voulez remporter ce très très joli cadeau et emmener Maxime, notre réalisateur.
00:02:36Avec plaisir.
00:02:37Vous envoyez ça par SAPIN, par SMS et vous l'envoyez au 72018.
00:02:42Et nous serons très heureux de vous accueillir à l'antenne en direct avec nous.
00:02:47On vous souhaite la bienvenue.
00:02:48Les vraies voix jusqu'à 20h.
00:02:50Depuis janvier 2025, la natalité est au plus bas.
00:02:54Selon les dernières données provisoires de l'INSEE, le nombre de naissances a diminué de 2,3% sur la période de janvier à octobre 2025.
00:03:02Bah oui, j'aimerais bien avoir des enfants, mais pas tout de suite, on a le temps encore.
00:03:05Dans la planète dans laquelle on vit, la société, etc., ça peut poser question.
00:03:08Les conflits, surtout, parce que voilà, peut-être aussi l'environnement.
00:03:13J'ai pas envie que mon enfant grandisse dans de mauvaises conditions.
00:03:16Avoir un enfant, ça coûte de l'argent.
00:03:17Et pour de nombreux couples, pour de nombreuses femmes, pour de nombreux hommes, c'est pas quelque chose qu'ils peuvent aujourd'hui assumer.
00:03:23Le rôle de l'État, c'est de mettre en place les conditions pour que nous, jeunes actifs, jeunes femmes, puissions avoir des enfants dans de bonnes conditions.
00:03:31Et ça démarre tout de suite avec Émilie au 0826 300 300 qui nous appelle de Bordeaux.
00:03:39Bonsoir Émilie.
00:03:40Bonsoir Émilie.
00:03:42Bonsoir Cécile, bonsoir Philippe et bonsoir aux éditorialistes présents sur le plateau.
00:03:48Merci de me donner la parole et merci de proposer ce sujet.
00:03:53Alors, vous vouliez réagir effectivement sur ce sujet, sur votre cas personnel ou en général ?
00:04:00Oui. Non, non, sur mon cas personnel, je ne parle que de moi.
00:04:03Allez-y, on vous écoute Émilie.
00:04:05Alors, voilà, ce que je veux dire vraiment n'engage que moi.
00:04:07C'est mon parcours et effectivement, très jeune, entre 20 et 24 ans, je me suis beaucoup renseignée sur l'avenir.
00:04:14Et je fais justement partie de ces 55% qui ont peur de l'avenir sur le réchauffement climatique, sur l'impact de la surpopulation, sur nos modes de consommation, nos ressources et sur notre humanité face à tout ça.
00:04:29Et j'ai pris une décision qui reste la même aujourd'hui, c'est que je ne veux pas d'enfants.
00:04:34Ah d'accord, c'est ferme et définitif ?
00:04:37Affirmatif.
00:04:38D'accord, ok.
00:04:39C'est un choix qui est personnel, qui est réfléchi et qui est lié en fait à plusieurs facteurs que je vais donc vous partager.
00:04:49Donc effectivement, le premier, c'est peut-être le plus urgent pour moi, c'est le climat.
00:04:53Voilà, les projections scientifiques sont claires.
00:04:56On va avoir plus 2,7 degrés en 2050.
00:04:592050, c'est demain.
00:05:01Plus 4 degrés en 2100.
00:05:04Donc voilà, on ne peut pas nier que ça va transformer notre quotidien, nos ressources et ça le fait déjà.
00:05:09D'accord.
00:05:09Nos modes de vie, notre planète.
00:05:12Et je me suis dit, face à cette réalité, je me suis demandé, est-ce vraiment responsable d'amener un enfant dans ce monde ?
00:05:18Et pour moi, la réponse a été non.
00:05:20Émilie, je peux vous demander si vous êtes en couple ou pas ?
00:05:23Enfin, est-ce que c'est un...
00:05:24Vous n'êtes pas obligée de répondre ?
00:05:26Effectivement, non.
00:05:27D'accord, d'accord.
00:05:29Joseph Touvenel, quand vous écoutez Émilie.
00:05:31Il y a beaucoup de choses dans ce que dit Émilie.
00:05:32D'abord, elle a le droit de ne pas souhaiter avoir d'enfant.
00:05:35Absolument.
00:05:36Alors ça, c'est bien.
00:05:37Première des choses.
00:05:38Et de ressentir les choses comme elle les ressent.
00:05:42Après, moi je suis très intéressé par exemple par ce qu'elle nous dit, le réchauffement climatique, on sait qu'en 2050, etc.
00:05:48Quand je prends les travaux du GIEC, qu'on nous dit être des gens sérieux, mais ce qu'ils nous ont écrit il y a 30 ans.
00:05:53Aucune des prédictions ne s'est réalisée.
00:05:57Dieu merci, parce que sinon il y a des îles qui seraient aujourd'hui sous l'eau et des populations qui seraient en train de nager.
00:06:03Donc attention, ce ne sont pas, ce n'est pas scientifique, ce sont des projections avec une marge d'erreur.
00:06:11On ne sait pas aujourd'hui ce qui fait varier réellement le climat.
00:06:14Est-ce que l'activité humaine a une influence déterminante ou pas ?
00:06:18Ce sont des vraies questions qui peuvent soulever des inquiétudes et un réchauffement climatique.
00:06:22On le voit à la date des vendanges.
00:06:24Mais il ne faut pas non plus, on est dans un monde, en fait, on a beaucoup plus de connaissances qu'hier et on s'inquiète beaucoup plus qu'hier.
00:06:31C'est absolument extraordinaire de voir comment, avec la science, on nous fait l'inquiétude, plus tous ceux qui nous racontent tous les matins qu'on va avoir la guerre demain matin.
00:06:38Pascal Girard.
00:06:39Oui, en plus de l'écologie et éventuellement la guerre, il y a aussi l'économie.
00:06:44L'économie, je pense que certains peuvent apprécier la volonté d'avoir des enfants selon son budget et selon son pouvoir d'achat.
00:06:51Et je pense que le pouvoir d'achat de tout le monde est en baisse.
00:06:54Et donc, la première réaction, c'est de dire, est-ce qu'il est raisonnable de risquer l'avenir de ses enfants parce qu'on n'a pas le budget pour le faire ?
00:07:03Oui, avec vous, forcément, je vais y arriver, Jean Dorido, pardon, le psy va dire le contraire, peut-être ?
00:07:12Le contraire ? Écoutez, je respecte le point de vue d'Émilie. Quel âge avez-vous, Émilie ? Dites-moi.
00:07:1834 ans.
00:07:1934 ans ?
00:07:1934 ans.
00:07:20Donc, écoutez, je m'autorise à vous souhaiter de peut-être changer d'avis parce que ça peut aller très très vite sur ce genre de sujet.
00:07:29Maintenant, je respecte, bien sûr, votre posture que j'ai tendance même à comprendre.
00:07:33Ça, c'est les résultats de la psychologie expérimentale.
00:07:35On sait que l'avenir incertain a tendance à faire revoir à la baisse le choix du nombre d'enfants.
00:07:43C'est différent que ce choix assez radical de ne pas vouloir d'enfants du tout.
00:07:47Et ça, c'est un fait que c'est très questionnant.
00:07:51Nous sommes quand même des mammifères.
00:07:53Nous sommes des homo sapiens.
00:07:54Nous avons un moteur archaïque à reproduire l'espèce.
00:07:57Et c'est vrai que de constater cette chute vertigineuse de la natalité en France, ça pose plein de questions.
00:08:04Plein de questions.
00:08:05Plein de questions.
00:08:06D'ailleurs, si vous en avez au 0826 300 300, comme Émilie, si vous voulez nous dire que non, au contraire, vous avez envie de faire beaucoup d'enfants.
00:08:12Ou pas du tout.
00:08:14C'est ce numéro.
00:08:14On vous attend jusqu'à 20h.
00:08:15A tout de suite.
00:08:17Sud Radio.
00:08:17Sud Radio.
00:08:18Parlons vrai.
00:08:19Parlons vrai.
00:08:19Sud Radio.
00:08:20Les vrais voix Sud Radio.
00:08:2218h-20h.
00:08:23Cécile Dominibus.
00:08:25Philippe David.
00:08:26Avec Philippe David, on vous accueille aujourd'hui jusqu'à 20h avec ce débat du jour.
00:08:29La France fait face à cette chute inédite des naissances.
00:08:32Et pourtant, le nombre de femmes en âge de procréer est stable.
00:08:35Et on vous pose d'ailleurs cette question avec Philippe.
00:08:37Selon vous, pourquoi les Français ne font plus d'enfants à cause de l'écologie, de pouvoir d'achat, de peur de l'avenir ou pas en vie ?
00:08:44Pour l'instant, qu'est-ce qui...
00:08:45C'est 56% la peur de l'avenir.
00:08:48On était à 55%, ça monte légèrement à 56%.
00:08:50Jean-Doreldo est avec nous, docteur en psychologie.
00:08:52Pascal Girard, commerçant retraité.
00:08:54Joseph Touvenel, vice-président du Centre européen des travailleurs et ancien vice-président de la CFTC.
00:08:59Vous comprenez, en fait, Joseph Touvenel, qu'aujourd'hui, on puisse se poser des questions, quand même ?
00:09:08Je comprends qu'on puisse se poser des questions.
00:09:09Tout est fait pour qu'on se pose des questions, parce qu'en permanence, on nous ramène des peurs et des peurs,
00:09:14comme si on était dans l'an 1000 avec ses grandes peurs.
00:09:16Et en même temps, il faudrait un peu atterrir.
00:09:19On n'a jamais été aussi riche.
00:09:22Il n'y a pas les pour vous, parce que...
00:09:23Quand on regarde nos sociétés où il y avait beaucoup d'enfants,
00:09:30vous pensez que dans les années 50, on était mieux pourvus, on vivait mieux, etc.
00:09:35Il n'y avait pas l'eau courante, les toilettes étaient sur le palier.
00:09:39Et pourtant, aujourd'hui, on a une grande peur.
00:09:41C'est ça qu'il faut expliquer.
00:09:42Alors, il y a aussi des conditions matérielles.
00:09:44C'est-à-dire que dans les années 60-70, même si j'étais dans un petit appartement,
00:09:49je pouvais, en tant qu'enfant, sortir dans la rue, aller courir.
00:09:53Il y avait des terrains vagues, il y avait etc.
00:09:55Aujourd'hui, en zone urbaine, je suis enfermé dans du béton.
00:09:58Je suis enfermé dans des logements qui sont petits, si je veux avoir beaucoup d'enfants,
00:10:03et qui sont très chers.
00:10:04Et ça, ça ralentit.
00:10:05Mais le fond, c'est quand même la peur de l'avenir.
00:10:09Alors, moi, j'ai envie de vous dire, n'ayez pas peur, c'est vous qui faisons l'avenir.
00:10:11N'ayez pas peur, là, c'était Jean-Paul II qui avait dit ça.
00:10:14Vous êtes un peu le pape des vrais voix ce soir.
00:10:16Donc, je crois qu'il y a quand même une chose importante.
00:10:19Déjà, on a cassé la politique familiale en France.
00:10:21Je le dis, je le répète.
00:10:22Pour inciter les gens à avoir des enfants,
00:10:24il faut que l'État mette la main à la poche et d'une politique incitative.
00:10:28Je vais vous prendre un pays qui a été séparé quand c'était la RFA et la RDA.
00:10:31Mais ce n'est pas à l'État de vous inciter à faire des enfants.
00:10:34Avec notamment des baisses d'impôts, avec des allocations familiales, etc.
00:10:38Bien sûr que oui.
00:10:38Je vais vous prendre un exemple.
00:10:39L'Allemagne de l'Ouest...
00:10:40Un enfant, ce n'est pas un billet de banque, les Allemands.
00:10:42Mais non, mais il faut inciter.
00:10:43Je suis bien d'accord.
00:10:44Moi, je n'ai jamais fait d'enfant pour avoir de l'argent.
00:10:46Ça coûte très cher, un enfant.
00:10:47Ça coûte très cher.
00:10:47Et c'est pour ça que l'État doit faire des incitations fiscales.
00:10:50Je vous prends l'exemple de la RFA.
00:10:51La RFA avait un taux de natalité dramatique.
00:10:55Mais les Allemands vous disaient « keine Kinder mehr Geld ».
00:10:58Pas d'enfant, plus d'argent.
00:11:00Parce que les Allemands de l'Ouest voyaient le bien-être matériel.
00:11:03En Allemagne de l'Est, je ne suis pas un nostalgique de la RDA,
00:11:06on avait fait ce qui s'appelait...
00:11:07Ça nous arrange quand même.
00:11:08Ce qui s'appelait...
00:11:09Il y aurait un mur entre nous.
00:11:10Ce qui s'appelle le Kinderjahr, l'année de l'enfant.
00:11:13C'est-à-dire que vous aviez un enfant et pendant cette année-là,
00:11:15vous aviez une année, je crois, de payer en restant chez vous
00:11:19pour s'occuper de l'enfant, des aides financières, etc.
00:11:21Aujourd'hui, c'est notamment, on a cassé la politique familiale en France.
00:11:25Et je crois que c'est ce qu'il faudrait faire pour relancer.
00:11:27Parce que moi, je veux bien que les gens n'aient pas d'enfants.
00:11:30Mais dans ces cas-là, il ne faut pas demander la retraite à 60 ans.
00:11:33Parce que sinon, qui va la payer ?
00:11:34En fait, ce qu'il faut bien prendre en compte,
00:11:37pour emboîter le pas à Philippe David, c'est que dans un...
00:11:40Émilie, vous vouliez dire quoi ?
00:11:41Pardon.
00:11:42Non, non, pardon. Je vous laisse terminer.
00:11:45Il faut bien comprendre que dans un pays pauvre,
00:11:48et la France a longtemps...
00:11:49Joseph a raison.
00:11:49La France a longtemps été un pays pauvre.
00:11:52Un enfant, c'est une richesse.
00:11:54On est un pays qui était essentiellement agricole,
00:11:56si on remonte même à l'époque de Philippe le Bel.
00:11:59Et donc, plus vous aviez d'enfants...
00:12:00Ça date !
00:12:00C'est les rois maudits.
00:12:01Plus vous aviez d'enfants, plus vous aviez des bras
00:12:03pour aller chercher de l'eau au puits,
00:12:05pour cultiver la ferme.
00:12:06Vous étiez fort, parce que les providences, à l'époque, n'existaient pas.
00:12:09Et donc, la famille, plus elle était nombreuse,
00:12:11plus elle pouvait subvenir plus tard à vos besoins de personnes âgées.
00:12:15Et si vous reviendrez aujourd'hui,
00:12:16un pays comme le Nigeria, par exemple,
00:12:17où les gens ne sont pas heureux,
00:12:19il y a en moyenne 7 enfants par femme.
00:12:22Parce qu'un enfant, c'est une richesse,
00:12:24ce sont des bras pour travailler,
00:12:25et des jambes pour apporter de la flotte.
00:12:28Alors que dans les pays industrialisés et riches,
00:12:30effectivement, comme le nôtre,
00:12:31un enfant, c'est un coût.
00:12:32Et tant mieux !
00:12:33On a arrêté le travail des enfants depuis le 19e siècle,
00:12:35c'est pas si vieux que ça.
00:12:37On était...
00:12:37Le Lyonnais que je suis se rappelle des gamins de canut
00:12:40qui devaient aller à 5-6 ans
00:12:42travailler dans les machines à tisser.
00:12:44Donc, on a interdit le travail des enfants, c'est très bien.
00:12:46Les enfants vont à l'école, ils font des études,
00:12:48ils coûtent donc beaucoup d'argent,
00:12:50le logement, ça coûte très cher,
00:12:52et Félix David a raison.
00:12:53Il n'y a pas d'aide de...
00:12:54Attendez, la Hongrie...
00:12:55J'ai une question à vous poser.
00:12:57La Hongrie, quand une femme a deux enfants en Hongrie,
00:13:00elle est exonérée d'impôts à vie.
00:13:02Oui, mais là, vous ne parlez que d'argent.
00:13:04Est-ce que le recul du sacré
00:13:07et finalement du religieux
00:13:09fait qu'on fait moins d'enfants aussi, selon vous ?
00:13:12Si, dans le religieux, l'enfant, c'est la vie
00:13:15et la vie, c'est Dieu qui la donne.
00:13:17Et donc, effectivement,
00:13:18quand on a un recul du religieux,
00:13:22quasiment automatiquement,
00:13:25il y a un recul, en tout cas,
00:13:26de cette réparation de l'enfant
00:13:27qui est un cadeau de la vie.
00:13:30Émilie ?
00:13:31Oui ?
00:13:32Émilie, vous les entendez ?
00:13:34Parce que là, ils remontent à des siècles et des siècles.
00:13:37On a changé d'époque.
00:13:38Oui, c'est ça.
00:13:40Je vais rebondir quand même
00:13:41sur le premier témoignage
00:13:42après moi tout à l'heure.
00:13:44Je précise quand même
00:13:46qu'en 60 ans,
00:13:47la population mondiale
00:13:48est passée de 3 à 8 milliards d'êtres humains.
00:13:51Donc, forcément,
00:13:52qu'on ne peut pas comparer aujourd'hui.
00:13:53Il existe des problèmes visibles
00:13:54partout dans le monde
00:13:55à cause du réchauffement climatique
00:13:56qui est accéléré
00:13:57par notre présence
00:13:58et nos modes de consommation.
00:13:59C'est un fait.
00:14:03Je ne me souhaite pas
00:14:05que ça change.
00:14:05Et les mentalités doivent évoluer là-dessus aussi.
00:14:07si avoir des enfants est une norme,
00:14:11pourquoi ne pas en avoir,
00:14:13ne l'est pas non plus ?
00:14:14Vous parlez que nous sommes des mammifères.
00:14:16Mais justement,
00:14:17toutes les espèces de cette planète
00:14:19participent à un écosystème viable.
00:14:22Nous, nous ne faisons que la détruire.
00:14:24Nous avons cette conscience
00:14:26que les animaux n'ont pas.
00:14:27Quand est-ce que nous allons nous en servir
00:14:29pour faire des choses bien ?
00:14:30Et je rebondis sur le système des retraites.
00:14:32Excusez-moi.
00:14:33Puisque les choses changent et bougent.
00:14:36Puisque les choses changent et bougent
00:14:38au fil des années,
00:14:39arrêtons de nous reposer
00:14:41et de normaliser la retraite
00:14:42qui est un système défaillant,
00:14:44très mal construit.
00:14:45Et pendant notre carrière professionnelle,
00:14:47mettons des choses en place
00:14:48pour faire notre propre retraite.
00:14:50Si on dit que dans 50 ans,
00:14:51la retraite existera encore,
00:14:53ça n'a pas de temps.
00:14:53On ne fait pas des enfants
00:14:54pour ces raisons-là.
00:14:55C'est une femme qui vous le dit.
00:14:56Allez, merci beaucoup,
00:14:57Émilie Antogare.
00:14:58Merci pour votre témoignage.
00:14:59Elle envoie, Émilie.
00:15:00On a l'air.
00:15:01C'est très intéressant.
00:15:02Elle vous a calmé.
00:15:03C'est une notion.
00:15:05On n'a plus le temps.
00:15:06On n'a plus le temps.
00:15:07Ah bah non, c'est ça.
00:15:08Dommage.
00:15:09Bah oui, je sais.
00:15:09Allez, tout de suite,
00:15:10on n'y croit pas.
00:15:11Les vraies voix sud radio,
00:15:13on n'y croit pas.
00:15:15Dès janvier,
00:15:16tout don manuel d'argent ou d'objet
00:15:19devra être déclaré en ligne
00:15:21sur le site des impôts.
00:15:22Oui, Cécile.
00:15:23Alors là,
00:15:23on pensait vraiment avoir tout vu.
00:15:25Mais comme d'habitude,
00:15:26non.
00:15:27À partir du 1er janvier 2026,
00:15:29recevoir une somme d'argent
00:15:30ou même un objet d'un proche
00:15:32devra être obligatoirement déclaré en ligne.
00:15:35Fini les dons directs.
00:15:36Tout passe désormais par impôts.gouv.fr.
00:15:39Sans seuil minimal,
00:15:40même pour 20 euros.
00:15:42Simon d'Aragon,
00:15:45maître de conférence en ordre fiscale,
00:15:46vous êtes avec nous ce soir.
00:15:47Bonsoir.
00:15:48Bonsoir.
00:15:49Pour éclairer un petit peu nos auditeurs,
00:15:51quels sont les dons
00:15:52qui doivent être déclarés en ligne
00:15:54à partir de janvier ?
00:15:55Alors déjà,
00:15:56ce qu'il faut préciser,
00:15:57c'est important d'être précis,
00:15:59c'est qu'il n'y a pas de fiscalité supplémentaire
00:16:02sur ce qui est autorisé
00:16:04ou ce qui n'est pas autorisé
00:16:05ou sur ce qui est taxé tout simplement.
00:16:07D'accord.
00:16:07Aujourd'hui,
00:16:08la volonté de l'État français,
00:16:10et on l'a déjà vu,
00:16:11je pense que vous l'avez déjà vu
00:16:12depuis quelques années,
00:16:14avec notamment l'onglet
00:16:14« Gérer mes biens immobiliers »
00:16:16qui a été ajouté
00:16:17sur notre espace particulier
00:16:19à impôts.gouv,
00:16:20un nouvel onglet va être créé
00:16:22pour déclarer les dons.
00:16:24Alors,
00:16:25on comprend la logique
00:16:26de l'État
00:16:27qui veut maîtriser...
00:16:29Vous avez la chance
00:16:29parce que nous,
00:16:30on ne comprend pas bien en fait.
00:16:30On comprend la logique de l'État
00:16:34qui n'est pas vraiment...
00:16:35Ce qui pose un peu de soucis,
00:16:37c'est le timing.
00:16:38Encore une fois,
00:16:38on est dans une situation économique
00:16:40qui est difficile.
00:16:41On a presque l'impression
00:16:41qu'on nous crée
00:16:42un impôt supplémentaire
00:16:43alors qu'en vérité,
00:16:45on est là encore
00:16:46sur la recherche
00:16:46de la transparence.
00:16:47Moi,
00:16:47je ne cautionne pas trop
00:16:48l'initiative.
00:16:49Je suis plutôt opposé
00:16:50à cette initiative
00:16:51parce que je crois
00:16:52que tout simplement,
00:16:53il faut arrêter d'encadrer
00:16:55tous les mouvements
00:16:57qui peuvent exister.
00:16:58Et puis,
00:16:58je vais vous dire une chose
00:16:59de manière très concrète.
00:17:01Je ne vois pas
00:17:02comment c'est réalisable
00:17:03dans la mesure
00:17:04où il faudrait savoir
00:17:05à qui appartient le bijou
00:17:07déjà initialement.
00:17:08Aux empreintes.
00:17:09Il faudra montrer les empreintes.
00:17:11Il était dans la poche
00:17:12du voisin.
00:17:13Oui, oui.
00:17:13Vous avez compris.
00:17:15Donc,
00:17:15d'un point de vue concret,
00:17:16je ne vois pas trop
00:17:17ce que ça va donner.
00:17:18Je me dis que la logique,
00:17:20quand j'essaie de raisonner
00:17:21de manière un peu objective
00:17:22et en prenant un peu de hauteur,
00:17:25c'est,
00:17:25voyons,
00:17:25on enregistre
00:17:26les reconnaissances de dette
00:17:27aux impôts.
00:17:28Peut-être que la logique générale,
00:17:30c'est d'enregistrer aussi
00:17:32les donations.
00:17:33C'est peut-être ça
00:17:33qui les a conduits
00:17:34à avoir cette initiative.
00:17:37En tout cas,
00:17:37c'est inquiétant
00:17:38et je crois que les Français
00:17:39ne sont pas trop réceptifs
00:17:41en ce moment
00:17:42quand on voit la situation.
00:17:43Mais surtout à 15 jours de Noël
00:17:44où certains vont donner
00:17:46des petits sous
00:17:47à leurs enfants.
00:17:49Exactement.
00:17:49C'est un petit peu malvenu,
00:17:51c'est même très malvenu
00:17:52et j'ose espérer
00:17:53que comme pour la taxe foncière,
00:17:55vous savez,
00:17:55il y a une petite marche arrière
00:17:56qui a été enclenchée
00:17:58pour l'augmentation
00:17:59de la taxe foncière
00:17:59qui avait été annoncée.
00:18:01J'ose espérer
00:18:02que rapidement,
00:18:04l'administration fiscale
00:18:05et Bercy
00:18:05reprennent un peu la main
00:18:07et nous indiquent
00:18:08que finalement,
00:18:09ce n'est pas très adapté.
00:18:10Je le vois bien
00:18:11dans les lieux de culte
00:18:12pour tous les gens
00:18:13qui ont mis des sous.
00:18:14Oui, bien sûr.
00:18:15Vous pouvez me faire un reçu,
00:18:16s'il vous plaît,
00:18:16merci beaucoup.
00:18:17Non mais on se moque du monde
00:18:19parce que s'il faut vraiment
00:18:19tout déclarer,
00:18:20un cadeau d'anniversaire,
00:18:21il faut le déclarer aussi
00:18:22mais un cadeau d'anniversaire
00:18:23de mariage,
00:18:24je ne sais pas.
00:18:24Même un petit cadeau.
00:18:25Mais on est chez les dingues,
00:18:26non ?
00:18:26On est chez les dingues.
00:18:27Ce qui est précisé
00:18:28dans le communiqué de presse
00:18:30qui a été délivré,
00:18:32c'est que l'obligation
00:18:33est concernée.
00:18:34Donc les dons réalisés
00:18:34entre particuliers,
00:18:36notamment,
00:18:36alors moi c'est ce notamment
00:18:37qui me fait peur
00:18:38parce que notamment,
00:18:39vous savez,
00:18:40ce n'est pas exhaustif.
00:18:43Notamment,
00:18:43les sommes d'argent
00:18:44quelles que soient
00:18:44leurs dates de versement,
00:18:46donc on ne sait pas trop
00:18:46ce que ça veut dire,
00:18:47qu'est-ce que ça inclut,
00:18:49les dons manuels
00:18:49de biens meubles
00:18:50comme les bijoux,
00:18:51véhicules,
00:18:51oeuvres d'art,
00:18:52objets de valeur
00:18:53ou encore les actions.
00:18:54C'est assez surprenant.
00:18:58En plus,
00:18:58on nous met un notamment
00:18:59qui indique
00:19:00que ce n'est pas exhaustif.
00:19:01C'est vraiment très surprenant
00:19:03de la part
00:19:03de l'administration fiscale.
00:19:04Comme vous disiez,
00:19:05surtout le timing
00:19:06est très mauvais.
00:19:07Je vais annuler,
00:19:08je voulais vous donner
00:19:095 euros,
00:19:10Philippe, David,
00:19:10je vais l'annuler.
00:19:12Pourtant,
00:19:12c'était offert de mon cœur,
00:19:13je vous le dis tout de suite.
00:19:14Moi, je pense qu'il y a
00:19:14un fonctionnaire
00:19:15qui n'a rien fait
00:19:16depuis deux ans
00:19:16et qui a décidé
00:19:17que ça n'en rend pas un truc.
00:19:18J'ai l'idée !
00:19:19Ça n'a pas le crime
00:19:20de fin d'année,
00:19:21alors j'ai dit
00:19:21qu'est-ce que je vais faire ?
00:19:22Ça va faire un carton,
00:19:24vous allez voir,
00:19:24c'est un tour de...
00:19:25Enfin bref.
00:19:26Allez, le tour de table
00:19:26de l'actu des vrais,
00:19:27vite, Jean Doré Do.
00:19:28La maltraitance
00:19:362035.
00:19:36Joseph Touvenel.
00:19:37Un petit point de vocabulaire
00:19:38avec Jean-Luc Mélenchon.
00:19:39Oh bah dis donc,
00:19:40ça va être bien ça.
00:19:41Allez, soyez les bienvenus,
00:19:42on est ensemble
00:19:42jusqu'à 20h.
00:19:44Sud Radio.
00:19:45Sud Radio.
00:19:45Parlons vrai.
00:19:46Parlons vrai.
00:19:46Sud Radio.
00:19:47Parlons vrai.
00:19:48Les vrais voix Sud Radio,
00:19:4918h-20h,
00:19:51Cécile Dominibus,
00:19:52Philippe David.
00:19:54Chers amis,
00:19:55vous savez qu'on vous offre
00:19:57des cadeaux.
00:19:57Enfin, un cadeau énorme.
00:19:59Et voilà.
00:20:00Le sapin de Noël Sud Radio.
00:20:03Je crois que j'ai surpris
00:20:04notre réalisateur.
00:20:05Jamais.
00:20:05Jamais.
00:20:05Toujours au taquet.
00:20:06Jamais.
00:20:07Puisqu'on vous offre aujourd'hui
00:20:09et quand on va chercher
00:20:10sous le sapin,
00:20:10on tombe sur ce magnifique cadeau
00:20:12qui est un séjour
00:20:12pour 4 personnes en famille
00:20:13pour le Futuroscope
00:20:15avec une nuit d'hôtel
00:20:16et des petits déjeuners.
00:20:17Alors ça, c'est canon.
00:20:17Vous allez pouvoir profiter
00:20:19de ce lieu incroyable
00:20:20où vraiment l'imaginaire
00:20:22tient bien son rôle.
00:20:24Allez, pour le remporter,
00:20:26c'est facile.
00:20:27C'est Sapin,
00:20:27S-A-P-I-N
00:20:28que vous envoyez par SMS
00:20:29au 7-20-18.
00:20:31Allez, tout de suite,
00:20:32le tour de table
00:20:32de l'actu des vrais voix.
00:20:34Oh, dites,
00:20:34j'avais envoyé des actualités.
00:20:36Vous venez les voir dans la cabine.
00:20:37Tenez cette table-là.
00:20:38Eh bien, tout le monde
00:20:39l'appelle la table des chevaliers.
00:20:40Ah bon ?
00:20:40Une fois, il y a un type
00:20:41qui l'a appelé
00:20:41la table des deux connards.
00:20:42Je ne sais pas
00:20:42s'il nous avait reconnus.
00:20:44Le tour de table.
00:20:44De l'actualité.
00:20:46Là, ils sont 4.
00:20:48Donc, il ne va rien faire trouver.
00:20:49On va savoir
00:20:49qui sont les deux.
00:20:52Pascal Gérald,
00:20:53allez, commerçant retraité
00:20:55sur l'automobile
00:20:56puisque vous avez bossé
00:20:57dans l'automobile,
00:20:58bien entendu.
00:20:58Tout à fait, tout à fait.
00:21:00Eh bien, moi,
00:21:00je voulais rebondir
00:21:01sur la fameuse date de 2035,
00:21:03la deadline de l'Europe
00:21:04pour passer de la voiture thermique
00:21:05à la voiture électrique.
00:21:07Alors, d'abord,
00:21:08pourquoi 2035 ?
00:21:09Pourquoi pas 2042 ?
00:21:10Pourquoi pas 2050 ?
00:21:11Ça, personne ne comprend.
00:21:12Ça, c'est joué au dé, peut-être.
00:21:13Mais surtout,
00:21:14ce n'est pas un problème de date.
00:21:15C'est un problème d'argent.
00:21:16On en parlait tout à l'heure
00:21:17pour d'autres sujets.
00:21:18Mais là, on est bien
00:21:19sur un problème d'argent
00:21:20de voiture électrique.
00:21:21Proche du micro,
00:21:21parce que c'est bon.
00:21:22Une voiture électrique,
00:21:23ça coûte entre 35 et 40 000 euros.
00:21:25On n'a pas de vision
00:21:26sur l'avenir
00:21:27puisqu'aujourd'hui,
00:21:28on nous dit
00:21:28il faut électrique,
00:21:29il faut électrique.
00:21:29Fut un temps,
00:21:30on nous disait
00:21:30il faut du diesel,
00:21:31il faut du diesel,
00:21:31il faut du diesel.
00:21:32Et peut-être que demain,
00:21:33on nous dira
00:21:34il faut de l'hydrogène,
00:21:34il faut de l'hydrogène,
00:21:35il faut de l'hydrogène.
00:21:36Donc, on ne sait pas
00:21:36combien de temps ça va durer
00:21:37cette affaire de voiture électrique.
00:21:39Il y a l'incertitude sur les primes
00:21:40qui change tout le temps.
00:21:42On en donne aux particuliers,
00:21:43aux entreprises
00:21:44qui n'en donnent plus,
00:21:45un peu plus,
00:21:45un peu moins, etc.
00:21:46Le recyclage des batteries
00:21:47où ce n'est pas quand même
00:21:48très très clair.
00:21:50Qu'est-ce que ça devient
00:21:50toutes ces batteries
00:21:51une fois la voiture sortie
00:21:53du cycle normal ?
00:21:55Il y a le prix de l'électricité.
00:21:56On est un des producteurs
00:21:58d'électricité
00:21:59les plus équipés en Europe.
00:22:03Malgré tout,
00:22:04on a un prix
00:22:05de l'électricité énorme.
00:22:06On devrait pouvoir
00:22:07nous organiser
00:22:08des forfaits particuliers
00:22:10là-dessus
00:22:10et puis
00:22:11où les charger
00:22:13ces voitures ?
00:22:14Les gens qui ont
00:22:14des appartements,
00:22:16tout le monde n'a pas
00:22:16une maison
00:22:16avec une prise électrique
00:22:18devant sa porte
00:22:18pour charger la voiture.
00:22:19Donc, c'est extrêmement
00:22:20compliqué.
00:22:21Joseph, une petite...
00:22:23Oui, mais ça donne
00:22:23de l'emploi.
00:22:24Regardez, à l'heure
00:22:25où je parle,
00:22:26il y a 30 000 enfants
00:22:26dans les mines de lithium
00:22:27du Congo
00:22:28qui bossent
00:22:29pour qu'on puisse
00:22:30mettre du lithium
00:22:32dans les batteries
00:22:33des voitures électriques.
00:22:33Moi, je trouve ça
00:22:34très très choquant
00:22:34de ne pas s'intéresser
00:22:35à ça,
00:22:36ne serait-ce qu'à ces gamins
00:22:37qui souffrent
00:22:38et on nous dit
00:22:39c'est pour que les bobos
00:22:40puissent rouler
00:22:40en voiture électrique
00:22:41à Paris.
00:22:41Du coup, en même temps,
00:22:44on licencie
00:22:44parce qu'il y a
00:22:45plein de pièces d'usure
00:22:46dans une voiture thermique
00:22:47à l'autor thermique
00:22:48qu'il faut remplacer,
00:22:50qu'il faut entretenir,
00:22:50ça fait marcher
00:22:51tout un écosystème économique
00:22:52alors qu'avec la voiture
00:22:53électrique, ça disparaît
00:22:54et on ferme des usines
00:22:55et c'est un vrai problème.
00:22:56Rien à ajouter.
00:22:57Allez-y, Philippe.
00:22:58Alors, moi, mon tour de table,
00:22:59il est très court.
00:23:00On a la première candidate
00:23:01à la présidentielle,
00:23:02c'est Nathalie Arthaud
00:23:02pour Lutte Ouvrière
00:23:03et elle monte sur le podium
00:23:05du record des candidatures
00:23:06avec quatre
00:23:07où elle rejoint
00:23:07François Mitterrand
00:23:08et Jacques Chirac.
00:23:09Il n'y en a plus
00:23:10que deux devant.
00:23:11Alors, Marine Le Pen,
00:23:12elle n'était pas empêchée.
00:23:13Marine Tondelier
00:23:13et il y avait un record
00:23:15de Marine Tondelier,
00:23:16visiblement.
00:23:17Non, elle n'a jamais été
00:23:19candidate.
00:23:20Non, pas de record
00:23:21de candidature
00:23:22à la présidentielle.
00:23:24Elle n'a jamais été
00:23:24candidate.
00:23:25Record de veste verte.
00:23:26Elle était trop jeune.
00:23:29Elle va rejoindre
00:23:29François Mitterrand
00:23:30et Jacques Chirac
00:23:30et juste devant
00:23:31avec cinq candidatures,
00:23:32c'est Jean-Marie Le Pen
00:23:33et six, le record.
00:23:35C'est le même parti.
00:23:36C'est Arlette Laguille
00:23:37qui est la record woman.
00:23:39Elle était une figure.
00:23:40Bonnatalie Arthaud
00:23:42est une digne...
00:23:44On prend la succession
00:23:45des deux ans.
00:23:45Oui, c'est vrai.
00:23:46Travailleuse, travailleuse.
00:23:47Puisque vous avez
00:23:48la parole, Jean Dorido.
00:23:50Alors moi,
00:23:50ça n'est pas gai du tout,
00:23:52pardon.
00:23:52C'est une information
00:23:53qui a été rapportée
00:23:54par le Parisien
00:23:55aujourd'hui en France,
00:23:55qui a été reprise
00:23:56par la plupart
00:23:56des grands quotidiens français.
00:23:59C'est une dame,
00:24:00une mère de famille
00:24:01qui a frappé son fils
00:24:04dans le train,
00:24:05son fils de six ans.
00:24:06Ça s'est passé
00:24:07non loin de mots,
00:24:10et elle la frappait
00:24:11tellement fort,
00:24:12cette dame,
00:24:13qu'il y a plusieurs personnes
00:24:14qui ont appelé
00:24:15le numéro d'urgence
00:24:17pour la violence
00:24:17dans les transports.
00:24:19Et donc, bien sûr,
00:24:20l'enfant a été immédiatement
00:24:21placé auprès de l'aide sociale
00:24:22à l'enfance.
00:24:23Elle a été déférée au parquet.
00:24:25Donc, on vient d'apprendre
00:24:26à l'instant
00:24:27que finalement,
00:24:28elle ne sera pas condamnée.
00:24:29Elle va devoir faire un stage
00:24:30pour ne plus basculer
00:24:34dans ce genre de traitement.
00:24:34Je ne voudrais pas
00:24:35jeter le haro sur cette dame.
00:24:37Je ne connais pas son histoire.
00:24:38Juste, c'est l'occasion
00:24:39de rappeler,
00:24:39on approche des fêtes de Noël,
00:24:40qu'il y a des enfants
00:24:41qui sont maltraités en France.
00:24:43C'est terrible,
00:24:43ce sont des drames.
00:24:44Et c'est très important
00:24:45de le signaler
00:24:46parce qu'il y a des parents
00:24:48qui basculent dans la violence.
00:24:50C'est tragique.
00:24:51Et signaler,
00:24:52faites le 119,
00:24:53le numéro de...
00:24:54de plus en plus courant.
00:24:55J'ai l'impression
00:24:55qu'on entend des faits divers
00:24:56de plus en plus aujourd'hui
00:24:57sur des femmes
00:24:58qui tuent leurs enfants.
00:25:00Est-ce que c'est moi ?
00:25:01Et là,
00:25:01il y a toujours eu
00:25:03des parents maltraitants,
00:25:04toujours eu des parents défaillants.
00:25:05Il y a des services sociaux
00:25:06qui sont là
00:25:07pour les aider justement
00:25:08à retrouver le cas,
00:25:09à reprendre le bon chemin.
00:25:11Et c'est très important
00:25:11de signaler les maltraitances
00:25:13pour éviter les drames,
00:25:14éviter les tragédies.
00:25:15Vous avez raison Cécile,
00:25:16on entend régulièrement
00:25:17que des enfants,
00:25:18ma foi, sont morts.
00:25:19Il y a chaque jour en France
00:25:21des enfants qui meurent
00:25:22des suites de maltraitances.
00:25:23Vous avez dit un truc
00:25:24qui est important
00:25:25de dire signaler.
00:25:26C'est toujours très compliqué
00:25:27de signaler.
00:25:28C'est important
00:25:29de bien s'en imprégner.
00:25:30Ce n'est pas de la délation.
00:25:31Vous rendez service
00:25:32à l'enfant
00:25:32pour qu'il soit protégé
00:25:34et même aux parents
00:25:35parce que quand le drame
00:25:36est survenu,
00:25:37c'est trop tard.
00:25:38Et quand il y a des parents
00:25:39qui ont des problèmes
00:25:39peut-être d'alcool,
00:25:40peut-être de stupéfiants
00:25:41ou des parents
00:25:42qui sont dans une telle misère
00:25:43précisément
00:25:44qu'ils sont dans un tel stress
00:25:45que c'est hélas
00:25:47les fameux enfants
00:25:48qui trinquent
00:25:48et vous protégez tout le monde
00:25:50quand vous signalez
00:25:51parce qu'il y a des solutions
00:25:52qui existent.
00:25:52On a des services sociaux
00:25:53en France.
00:25:54On paye des impôts.
00:25:55On paye de l'URSAF.
00:25:55Et signaler ne veut pas dire
00:25:56condamner.
00:25:57Non, non, surtout pas.
00:25:58Surtout pas.
00:25:59C'est que les personnes
00:25:59compétentes s'en occupent
00:26:01pour faire en sorte
00:26:01que tout le monde
00:26:02puisse bien revivre
00:26:03à nouveau en famille.
00:26:05Joseph Touvenel
00:26:06parce que lui,
00:26:06il était remonté
00:26:07comme une pendule
00:26:08sur votre sujet.
00:26:10J'ai écouté
00:26:11l'ami Mélenchon
00:26:12qui se targue
00:26:14de bien parler français.
00:26:15J'ai noté
00:26:15un certain nombre de choses
00:26:16par exemple.
00:26:17Alors, c'était le sujet
00:26:18sur LFI et islamisme
00:26:20et il est allé
00:26:20nous parler
00:26:21d'Anders Breivik
00:26:22qui est un néo-nazi
00:26:23qui a tué
00:26:2477 personnes
00:26:25en Norvège
00:26:26en nous disant
00:26:27voilà les catholiques aussi.
00:26:28Sauf que c'est un néo-nazi
00:26:29qui n'a jamais été catholique,
00:26:31jamais été baptisé.
00:26:32Donc, ça s'appelle
00:26:32un mensonge
00:26:33où il ne fait pas la différence
00:26:34entre les néo-nazis
00:26:35et les catholiques.
00:26:36Il faudrait quand même
00:26:36qu'il regarde un peu.
00:26:37Pas d'amalgam.
00:26:38Parce que c'est
00:26:40Anders Breivik
00:26:41il a quelqu'un
00:26:42qui était son maître
00:26:44à penser
00:26:44c'est Forgeman
00:26:45et Forgeman
00:26:46il était aussi
00:26:46anti-chrétien
00:26:47aussi musulman
00:26:48il avait aussi
00:26:49un autre maître
00:26:50à penser
00:26:51ce meurtrier
00:26:52c'est Conan le Barbare
00:26:54donc on voit
00:26:54l'intelligence du guy.
00:26:55Deuxième exemple
00:26:56beaucoup plus choquant
00:26:58peut-être
00:26:58c'est que
00:26:59Mélenchon
00:27:00a osé nous dire
00:27:01que le professeur
00:27:03de Lyon 2
00:27:03qui a fait une liste
00:27:05je cite
00:27:05de génocidaires
00:27:07à boycotter
00:27:07cet enseignant
00:27:08il avait fait
00:27:09une simple critique.
00:27:10Non il n'a pas fait
00:27:11une simple critique
00:27:12de personne
00:27:12qui avait signé
00:27:14un texte
00:27:14Non il a fait une liste
00:27:15Il a fait une liste
00:27:17Il a recité une liste
00:27:17et il n'a pas critiqué
00:27:19il a qualifié
00:27:20Monsieur Mélenchon
00:27:21devrait faire la différence
00:27:22quand je dis
00:27:22génocidaire
00:27:24ça veut dire
00:27:25que je qualifie ces gens
00:27:26un génocide
00:27:27c'est la destruction
00:27:28méthodique d'un groupe
00:27:29c'est-à-dire que Mélenchon
00:27:30ose dire
00:27:31c'est pas grave
00:27:32il a juste dit
00:27:33que ces gens-là
00:27:34étaient des génocidaires
00:27:35c'est-à-dire qu'il voulait
00:27:35la destruction
00:27:36systématique
00:27:38d'un groupe
00:27:39d'êtres humains
00:27:40je trouve ça très grave
00:27:41que quelqu'un
00:27:42qui sait ce qu'il dit
00:27:43déforme les choses
00:27:44comme ça
00:27:45et nous fasse croire
00:27:46que dire génocidaire
00:27:47peu importe
00:27:48c'est une opinion
00:27:49non génocidaire
00:27:50c'est une qualification
00:27:51qui est très grave
00:27:53et qui met une cible
00:27:54dans le dos
00:27:55de ces personnes
00:27:56qui sont d'ailleurs
00:27:57à majorité juive
00:27:58c'est très triste
00:28:00pour Jean-Luc Mélenchon
00:28:02parce que je me rappelle
00:28:03il n'y a pas si longtemps
00:28:03que ça
00:28:04de ce monsieur
00:28:04qui était vraiment
00:28:05ultra attaché
00:28:06à la laïcité
00:28:07qui portait
00:28:09des valeurs
00:28:10de gauche
00:28:10qui était de belles valeurs
00:28:12et qui là
00:28:13effectivement
00:28:13suit un courant
00:28:15extrêmement inquiétant
00:28:16extrêmement toxique
00:28:17et puis ce travestissement
00:28:18de la vérité
00:28:19alors il y a une tradition
00:28:20à l'extrême gauche
00:28:20de travestir la vérité
00:28:21on a connu ça
00:28:22à l'époque des soviétiques
00:28:23les russes
00:28:23ont de bons restes
00:28:24encore aujourd'hui
00:28:25et oui
00:28:26c'est très triste
00:28:27moi le pire
00:28:28c'est qu'il n'ait pas été repris
00:28:29pour certains propos
00:28:30qu'il a tenus
00:28:31et ça c'est ce que je trouve
00:28:32le plus surprenant
00:28:33toujours qu'en face de lui
00:28:34c'était pas des béotiens
00:28:35c'était des députés
00:28:35donc théoriquement
00:28:36ils avaient préparé
00:28:37leur interview
00:28:37et sur les députés
00:28:39il y en avait 3 de LFI
00:28:39quand même
00:28:40il y en avait 5 députés
00:28:413 de LFI
00:28:42pour poser les questions
00:28:43et les absents
00:28:44ont toujours tort
00:28:45vous connaissez le progerme
00:28:45et puis quand on voit
00:28:46comment ça se passe
00:28:47à LFI
00:28:47on peut comprendre
00:28:48que même les députés
00:28:49n'osent pas forcément
00:28:50poser les questions
00:28:50qui fâchent
00:28:51bah ils devraient
00:28:52c'est un peu leur rôle
00:28:53mais écoutez
00:28:53il faut aller leur dire
00:28:54ma chère Sissi
00:28:55vous connaissez
00:28:57vous savez que moi
00:28:57je dis toujours
00:28:58la vérité
00:28:58et je rappelle quand même
00:28:59que le texte critiqué
00:29:01c'est un texte
00:29:01qui appelait
00:29:02à la libération des otages
00:29:03et à la paix
00:29:05pour tous
00:29:06à la paix pour tous
00:29:07allez vous restez
00:29:09avec nous
00:29:10on revient dans un instant
00:29:11avec l'info en plus
00:29:12et on reviendra
00:29:13sur les syndicats du Louvre
00:29:14qui déposent
00:29:15un préavis de grève
00:29:16pour le 15 décembre
00:29:17et puis bien entendu
00:29:19vous pouvez commenter
00:29:20et si vous avez envie
00:29:22de débattre
00:29:22avec notre tour de table
00:29:24aujourd'hui
00:29:24vous êtes les bienvenus
00:29:25le 0826 300 300
00:29:27on reste ensemble
00:29:27jusqu'à 20h
00:29:28Sud Radio
00:29:29Parlons Vrai
00:29:30Parlons Vrai
00:29:31Sud Radio
00:29:32Parlons Vrai
00:29:32Les Vraies Voix Sud Radio
00:29:3418h 20h
00:29:36Cécile Dominibus
00:29:37Philippe David
00:29:38Ah vous n'avez pas fini
00:29:40d'entendre parler
00:29:41de Sud Radio
00:29:41je vous assure que
00:29:42pendant toutes les vacances
00:29:43on sera là
00:29:44on ne va pas vous lâcher
00:29:46ça c'est sûr
00:29:47Maxime
00:29:48notre réalisateur
00:29:49oui
00:29:49on vous a toutes les vacances
00:29:50on est d'accord
00:29:51moi je suis là
00:29:52je reste pour les fêtes
00:29:52je reste à fait plaisir
00:29:53et Zach
00:29:55vous êtes pour les fêtes
00:29:56les fêtes ou pas ?
00:29:57il dit oui
00:29:57il dit oui
00:29:58et bien en fait
00:29:59même quand
00:30:00ils sont en vacances
00:30:01ils viennent quand même
00:30:01et c'est ça qui est bien
00:30:02et nous c'est pareil
00:30:03allez le 0826 300 300
00:30:06si vous voulez commenter
00:30:06avec Jean Dorido
00:30:07aujourd'hui
00:30:07docteur en psychologie
00:30:08Pascal Girard
00:30:09commerçant retraité
00:30:10Joseph Touvenel
00:30:11vice-président du centre européen
00:30:13des travailleurs
00:30:13et ancien vice-président
00:30:15de la CFTC
00:30:16tout de suite
00:30:16c'est l'info en plus
00:30:17et les syndicats du Louvre
00:30:22déposent un préavis de grève
00:30:24pour le 15 décembre
00:30:26c'est le lapsus
00:30:27hier les organisations syndicales
00:30:29du musée du Louvre
00:30:30ont déposé un préavis de grève
00:30:32reconductible
00:30:33pour protester notamment
00:30:34contre des conditions
00:30:35de travail dégradées
00:30:36et des moyens insuffisants
00:30:37alors j'ai envie de dire
00:30:39Pascal Girard
00:30:39c'est pas l'année du Louvre
00:30:42il récumule
00:30:44on va dire
00:30:45on rigole
00:30:46mais c'est quand même
00:30:47dramatique de se dire
00:30:48comme disait Coluche
00:30:49rigolé
00:30:49puis c'est quand même
00:30:50notre pognon
00:30:50c'est ça
00:30:52c'est ça
00:30:53qu'est-ce qui se passe
00:30:54au Louvre
00:30:55Jean Dorido
00:30:56qu'est-ce qui se passe
00:30:57il y a un moment donné
00:30:59quand on voit
00:31:00parce qu'ils sont quand même
00:31:00bénéficiaires
00:31:01il y a énormément d'argent
00:31:02on se demande
00:31:03comment tout ça peut
00:31:04à un moment donné
00:31:05dégringoler si rapidement
00:31:06c'est-à-dire que c'est un fait
00:31:07c'est un navire amiral
00:31:09absolument colossal
00:31:11et c'est
00:31:12hélas me semble-t-il
00:31:14un peu à l'avenant
00:31:14de ce qui se passe en France
00:31:15c'est que la France
00:31:16est très dispendieuse
00:31:17à force de l'être
00:31:18elle a fini par ne plus
00:31:19avoir assez d'argent
00:31:20et il y a quand même
00:31:21il ne faut pas accuser
00:31:24sans connaître
00:31:26tous les temps
00:31:26les aboutissants
00:31:27maintenant il y a quand même
00:31:27des problématiques
00:31:28de gestion
00:31:29et puis là récemment
00:31:30encore c'est vrai
00:31:31que ce tarif
00:31:31comme ça de 32 euros
00:31:33pour les touristes étrangers
00:31:34c'est quand même
00:31:35un vrai vrai souci
00:31:35et de ce que j'ai compris
00:31:37c'est aussi
00:31:37dans tout ce qui
00:31:40les amène à faire grève
00:31:41la base
00:31:42Philippe David
00:31:43la sécurité
00:31:44en tout cas
00:31:46des personnes
00:31:47qui sont sur place
00:31:48et la sécurité
00:31:49des oeuvres
00:31:50c'est la base
00:31:51mais tout est grotesque
00:31:52alors on nous parlait
00:31:52de Spadjari
00:31:53mais c'était machin
00:31:54cross bitume
00:31:55qui est monté
00:31:56tranquillement
00:31:56par une espèce
00:31:58d'échafaudage mobile
00:32:00un dimanche
00:32:01qui a pu servir
00:32:02sans aucun problème
00:32:02les gardiens
00:32:03allant se cacher
00:32:04maintenant
00:32:05c'est l'inondation
00:32:06enfin
00:32:07dans un pays normal
00:32:09la directrice
00:32:10aurait démissionné
00:32:11ou aurait été
00:32:12démissionné
00:32:13depuis belle lurette
00:32:14mais sachant
00:32:15qu'avec cet enchaînement
00:32:16il est encore là
00:32:16je pense que demain
00:32:17un type peut partir
00:32:18avec la joconde sous le bras
00:32:19elle sera encore en place
00:32:21dans 6 mois
00:32:22Joseph Touvenay
00:32:23Philippe David a raison
00:32:24le problème là
00:32:24il va y avoir une grève
00:32:25moi je regrette toujours
00:32:26les grèves
00:32:26qui sont sur les usagers
00:32:28parce qu'il y a des gens
00:32:29qui ont prévu d'aller au Louvre
00:32:30qui ont peut-être réservé
00:32:31le Louvre c'est quand même magnifique
00:32:32il suffit de passer le soir
00:32:34même dans la cour
00:32:34c'est très beau
00:32:36il y a les oeuvres etc
00:32:36le problème
00:32:38c'est que le poisson
00:32:39pourrit par la tête
00:32:40comme disait Maud Sétogne
00:32:42absolument
00:32:42c'est à dire qu'une direction
00:32:43qui après
00:32:44qu'on ait volé un trésor
00:32:46arrive à dire
00:32:47oui mais
00:32:47tout ce qui était prévu
00:32:48a bien fonctionné
00:32:49voilà
00:32:50très bien
00:32:51là il y a des livres
00:32:53tant que ça va
00:32:53ça va
00:32:54des livres anciens
00:32:54entre 300 et 400
00:32:56qui sont inondés
00:32:57le personnel depuis des mois
00:32:59a averti
00:32:59oui
00:33:00a dit attention
00:33:01il y a des gouttes
00:33:03après les gouttes
00:33:04ça va être la cascade
00:33:05et les directions
00:33:06sont toujours là
00:33:07c'est à dire qu'il y a un petit monde
00:33:08bien sûr
00:33:09qui vit dans son autre soi
00:33:10qui s'auto-protège
00:33:12et tant qu'on n'aura pas
00:33:13réglé ce problème de la tête
00:33:15faudra pas demander au bras
00:33:16de faire mieux
00:33:16et bien voilà
00:33:17ça c'est réglé
00:33:18et si vous étiez ministre
00:33:19les vrais voix sud radio
00:33:22si j'étais ministre
00:33:23qu'est-ce que je vais devenir
00:33:25je suis ministre
00:33:26je ne sais rien faire
00:33:27et bien on espère que
00:33:29vous savez quoi faire
00:33:29si vous étiez ministre
00:33:30et ministre de la jeunesse
00:33:32et c'est
00:33:33Johan qui est avec nous
00:33:34de Marseille
00:33:35bonsoir Johan
00:33:36bonsoir Johan
00:33:36ah non pardon
00:33:37bonsoir monsieur le ministre
00:33:38pardon
00:33:39pardon oui
00:33:39quelle erreur
00:33:40crime de l'aise majesté
00:33:41bonsoir
00:33:42bonsoir chers ministres
00:33:44c'est un plaisir
00:33:44vous dire chers sujets
00:33:47c'est presque royal
00:33:48donc monsieur le ministre
00:33:51si vous étiez ministre
00:33:52de la jeunesse
00:33:53quelle serait
00:33:53votre première priorité
00:33:55et bien ce serait
00:33:56de restaurer
00:33:57le sport
00:33:59auprès de la jeunesse
00:34:00alors imposant
00:34:01deux heures de sport
00:34:01tous les deux jours
00:34:02ah oui c'est pas idiot
00:34:03oui c'est vrai
00:34:04est-ce que
00:34:05est-ce que le
00:34:06le sport
00:34:06tiens vous qui avez fait
00:34:07de la course automobile
00:34:08que certains
00:34:09concernèrent pas
00:34:10comme du sport
00:34:10mais est-ce que
00:34:11deux heures par jour
00:34:12à l'école
00:34:12ce serait un minimum
00:34:14pour vous
00:34:14ah bah je pense
00:34:15que si on propose
00:34:16aux élèves
00:34:17et aux étudiants
00:34:18deux heures de sport
00:34:19automobile notamment
00:34:19non mais je plaisante
00:34:20en général
00:34:22oui bah tout le monde
00:34:23est partant
00:34:24à partir du moment
00:34:24c'est dans les bonnes
00:34:25conditions
00:34:26oui bien sûr
00:34:26oui Joseph
00:34:27je trouve que c'est
00:34:28une excellente idée
00:34:28parce que dans une vie
00:34:30où on est de plus en plus
00:34:31enfermé
00:34:31où les gamins
00:34:32sont de plus en plus
00:34:33devant les écrans
00:34:34etc
00:34:34il est important
00:34:35qu'ils puissent respirer
00:34:36s'épanouir
00:34:37bouger
00:34:37vous savez
00:34:38bouger
00:34:39c'est ça
00:34:39bouger
00:34:39oui oui
00:34:41et puis ça
00:34:42pour moi le sport
00:34:43c'est un vecteur aussi
00:34:44de lien social
00:34:45aussi de valeur
00:34:46et il y a un petit
00:34:49aussi un sujet
00:34:50autour aussi
00:34:51de la santé
00:34:51puisque
00:34:52ça permet aussi
00:34:54de prévenir
00:34:54certaines maladies
00:34:55comme l'obésité
00:34:56le diabète
00:34:57ce genre de choses là
00:34:58des maladies cardiovasculaires
00:35:00également
00:35:00et en plus
00:35:01on le prend trop
00:35:01au moins
00:35:03après par la suite
00:35:04on doit
00:35:04subir les conséquences
00:35:06Jean c'est bon
00:35:06pour le mental aussi
00:35:07oui c'est super
00:35:08le sport
00:35:09c'est absolument extraordinaire
00:35:10je salue bien sûr
00:35:11l'initiative
00:35:12de notre ministre
00:35:13Joanne
00:35:14maintenant
00:35:15il y a un mystère
00:35:16en France
00:35:16c'est un fait
00:35:17c'est qu'on est très nombreux
00:35:18on n'arrive pas
00:35:19à sortir de champion de tennis
00:35:20on n'arrive pas
00:35:21alors qu'il y a des sports
00:35:22où on performe
00:35:23et je ne veux surtout pas
00:35:25tomber à bras raccourcis
00:35:26sur les profs
00:35:27de sport
00:35:28maintenant
00:35:28c'est quand même un fait
00:35:29qu'il y a sport et sport
00:35:31il y a vraiment du sport
00:35:32qui épanouit
00:35:33qui rend heureux
00:35:34qui fait du bien
00:35:34et puis quand vous parlez
00:35:36autour de vous
00:35:37vous avez des personnes
00:35:38qui se souviennent
00:35:38de cours de sport
00:35:39absolument ennuyeux
00:35:40comme tout
00:35:41est-ce qu'il faut revoir
00:35:41peut-être les programmes
00:35:42est-ce qu'il faut revoir
00:35:43comment tout cela
00:35:44est enseigné
00:35:45c'est un petit peu
00:35:45comme les mathématiques
00:35:46ou l'anglais
00:35:47ou d'autres langues étrangères
00:35:48enfin en même temps
00:35:50s'aérer c'est toujours bien aussi
00:35:51non mais c'est bien s'aérer
00:35:52le fait est qu'aujourd'hui
00:35:53ça n'est plus le cas
00:35:54toutes les études
00:35:55qui sont faites
00:35:55on se rend compte
00:35:56qu'on a des gamins
00:35:56qui n'arrivent même pas
00:35:57à courir 100 mètres
00:35:59qui sont vraiment
00:36:00presque impotents
00:36:01c'est très triste
00:36:02donc il faut changer ça
00:36:04comme dit Joseph
00:36:04réussir à les faire bouger
00:36:06après bon
00:36:07imposer deux ans de sport
00:36:09je ne sais pas
00:36:09si la solution
00:36:10est si efficace
00:36:11moi je serais pour
00:36:12la proposition de Johan
00:36:13le problème
00:36:14a-t-on les effectifs
00:36:15a-t-on les moyens financiers
00:36:16a-t-on le nombre
00:36:17de stats suffisants
00:36:18etc
00:36:18vaste programme
00:36:19qu'est-ce que vous êtes rabat-jour ?
00:36:20je pense qu'entre
00:36:22les moyens d'éducation nationale
00:36:24et si on arrive
00:36:25à avoir des partenariats locaux
00:36:28par exemple
00:36:28avec des associations
00:36:28sportives locales
00:36:30ça ne peut pas être
00:36:33supporté que par
00:36:34l'éducation nationale
00:36:35pour moi
00:36:36c'est vraiment
00:36:36un mouvement collectif
00:36:38avec aussi
00:36:39des mouvements associatifs
00:36:40parce que
00:36:41effectivement
00:36:42vous l'avez dit
00:36:42les profs de sport
00:36:44en eux-mêmes
00:36:45il n'y en a plus beaucoup
00:36:46c'est difficile
00:36:48les infrastructures
00:36:49en tout cas
00:36:51c'est une bonne proposition
00:36:52prenez un sujet
00:36:53tout simple
00:36:54on avait une ministre
00:36:54qui était très bien
00:36:55elle voulait que tous les français
00:36:56sachent nager
00:36:57encore tous les ans
00:36:58des gamins
00:36:59qui se voient
00:37:00parce qu'ils ne savent pas
00:37:00d'ingénieur
00:37:01et là on est en train
00:37:01de se noyer
00:37:02parce qu'on est dans le mur
00:37:04de la pub
00:37:04merci beaucoup
00:37:05monsieur le ministre
00:37:06d'avoir accepté notre invitation
00:37:08dans un instant
00:37:08le coup de gueule
00:37:09de Philippe David
00:37:10en France
00:37:10on peut mettre une cible
00:37:11dans le dos
00:37:11des forces de l'ordre
00:37:12merci le conseil d'état
00:37:13et tout de suite
00:37:15on va parler de la bourse
00:37:16avec Thomas Binet
00:37:17à tout de suite
00:37:17SaxoBank
00:37:18l'expert de la bourse
00:37:20en ligne présente
00:37:21Sud Radio
00:37:22les incontournables
00:37:23de la bourse
00:37:24Thomas Binet
00:37:26et nous nous retrouvons
00:37:27comme tous les lundis
00:37:27soir avec notre consultant
00:37:29Fabien Cariel
00:37:29directeur général
00:37:30de SaxoBank
00:37:31pour parler bourse
00:37:32et marché financier
00:37:33bonsoir Fabien
00:37:34bonsoir Thomas
00:37:35Fabien
00:37:36la fois précédente
00:37:36on avait commencé
00:37:37à parler du 440
00:37:38du Dow Jones
00:37:39ou encore du Nasdaq
00:37:40pour prolonger Fabien
00:37:41pouvez-vous
00:37:42commencer par nous expliquer
00:37:43simplement
00:37:43ce qu'est un indice boursier
00:37:45oui bien sûr
00:37:46un indice boursier
00:37:47c'est un indicateur
00:37:48qui représente
00:37:49la valeur
00:37:50d'un panier d'actions
00:37:51donc il faut bien comprendre
00:37:52que quand on parle
00:37:53indice boursier
00:37:54ça représente
00:37:55des entreprises
00:37:56ça représente
00:37:56des actions
00:37:57qui sont sous-jacentes
00:37:58après ce qui est important
00:37:59de savoir
00:37:59c'est comment on sélectionne
00:38:00ces actions
00:38:01qu'on met dans ce panier
00:38:03ça peut être des actions
00:38:04d'entreprises
00:38:05d'un même secteur économique
00:38:06ou alors d'un même pays
00:38:07ou d'une région géographique
00:38:09ou en fonction
00:38:09du type d'entreprise
00:38:10on va avoir des indices
00:38:11de grande capitalisation
00:38:12de grandes entreprises
00:38:14ou de petites entreprises
00:38:15ce qu'on appelle
00:38:16dans le jargon
00:38:17des small cap
00:38:17des petites en anglais
00:38:18capitalisation boursière
00:38:20si on prend le CAC 40
00:38:22par exemple
00:38:22on y retrouve
00:38:23les 40 plus grosses entreprises
00:38:24qui cotent à la bourse de Paris
00:38:26donc on a des boîtes
00:38:26comme L'Oréal
00:38:27Carrefour
00:38:28LVMH
00:38:28qui représentent vraiment
00:38:30les grosses entreprises françaises
00:38:31alors j'avais commencé à le dire
00:38:32on entend souvent parler
00:38:33donc du CAC 40
00:38:34du Dow Jones
00:38:35ou du Nasdaq
00:38:36mais quelle est la différence
00:38:37entre tous ces indices
00:38:38ce qu'on disait
00:38:39ça dépend vraiment
00:38:39de comment on sélectionne
00:38:41les entreprises
00:38:42chaque indice est édité
00:38:43par une société
00:38:44donc en France
00:38:45le CAC 40 par exemple
00:38:46est édité par la société
00:38:47qui gère la bourse de Paris
00:38:48la société Euronext
00:38:50qui a aussi d'autres places boursières
00:38:51en Europe
00:38:52et c'est elle qui publie
00:38:53et qui gère ces indices
00:38:54mais on a d'autres sociétés
00:38:55à travers le monde
00:38:56qui éditent et qui gèrent
00:38:57c'est eux qui ont la responsabilité
00:38:59de gérer ces indices
00:39:00et donc aux Etats-Unis
00:39:01ce sont souvent des sociétés américaines
00:39:02qui vont gérer ces indices
00:39:03quand il s'agit d'un indice
00:39:04d'une place boursière
00:39:05mais pour les indices
00:39:07un peu plus statistiques
00:39:08qui vont représenter
00:39:08des secteurs économiques
00:39:09et des sociétés
00:39:10qui sont spécialisés là-dedans
00:39:11et comme par exemple
00:39:12MSCI
00:39:13qui est une entreprise américaine
00:39:14mais je crois qu'on aura l'occasion
00:39:15d'en parler un peu plus tout à l'heure
00:39:17Et du côté de l'Asie
00:39:18il y a quelque chose ou pas ?
00:39:20Alors bien sûr
00:39:20mais c'est vrai qu'on a tendance
00:39:21à parler de ce qu'on connaît le mieux
00:39:23donc ce qui est près de chez nous
00:39:24donc on parle beaucoup du CAC 40
00:39:25qui est le plus connu
00:39:26si on parle de l'Eurostock 50
00:39:28qui sont les 50 plus grosses capitalisations boursières
00:39:30de l'Union Européenne
00:39:32déjà on s'éloigne un peu
00:39:33mais en Asie bien sûr
00:39:34on a le Nikkei 225 au Japon
00:39:36donc c'est les 225 plus grosses capitalisations boursières du Japon
00:39:39le Hang Seng à Hong Kong
00:39:40alors le nom n'est pas très connu
00:39:42mais on y retrouve des entreprises
00:39:43comme HSBC
00:39:44comme Xiaomi
00:39:45Tencent
00:39:45Alibaba
00:39:46qui là sont des valeurs de la tech en Asie
00:39:47qu'on connaît
00:39:48et qui font partie de cet indice Hang Seng
00:39:50qui est donc l'indice de la bourse de Hong Kong
00:39:52Alors intéressons-nous un peu plus
00:39:54justement du côté de l'indice boursier
00:39:56comment on le construit
00:39:57concrètement cet indice boursier ?
00:39:59Il faut définir les règles
00:40:00et c'est vraiment la société
00:40:01qui édite cet indice
00:40:02qui va définir les règles
00:40:03on définit le périmètre
00:40:04donc ce qu'on disait géographiquement
00:40:06est-ce que c'est un pays
00:40:06est-ce que c'est une région
00:40:07est-ce que c'est le monde entier
00:40:09est-ce que c'est un secteur
00:40:10en ce moment on parle beaucoup de la défense
00:40:11il y a des indices qui représentent
00:40:12les sociétés qui évoluent
00:40:14dans le secteur économique de la défense
00:40:15et après
00:40:16quand on a défini ce périmètre
00:40:18comment est-ce qu'on sélectionne
00:40:19les entreprises au sein de ce périmètre
00:40:20est-ce qu'on prend les plus grosses
00:40:22est-ce qu'on prend les plus liquides
00:40:23est-ce qu'on prend les plus volatiles
00:40:24il y a vraiment différentes méthodologies
00:40:27celle le plus utilisée
00:40:29c'est vraiment la capitalisation boursière
00:40:30donc la taille de l'entreprise
00:40:31la valorisation
00:40:32à savoir le nombre d'actions
00:40:34multipliées par leur prix
00:40:35Alors est-ce que vous avez un exemple
00:40:36concret à nous proposer
00:40:37pour qu'on comprenne un petit peu plus ?
00:40:39Il y en a plusieurs
00:40:39il y a en France
00:40:40donc le CAC 40
00:40:41les 40 plus grosses capitalisations boursières
00:40:43et on en parlait la semaine dernière
00:40:44on y retrouve les 40 plus grosses valeurs
00:40:46de la bourse de Paris
00:40:47donc des sociétés comme LVMH
00:40:49L'Oréal ou Carrefour
00:40:51mais on trouve également d'autres indices
00:40:54alors on évoquait l'Eurostock 50 en France
00:40:57un très connu aux Etats-Unis
00:40:58le Nasdaq
00:40:59le Nasdaq Composite
00:41:00là ce sont des valeurs technologiques américaines
00:41:03il y en a des milliers
00:41:04il y en a plus de 3000 je crois
00:41:05et donc là aussi la pondération
00:41:07se fait par capitalisation
00:41:09et donc le Nasdaq aux Etats-Unis
00:41:11représente les plus grosses entreprises
00:41:13du secteur technologique
00:41:14Et il y a un autre exemple encore à nous proposer ?
00:41:16Oui on parlait de la société MSCI
00:41:18Oui tout à fait
00:41:18MSCI c'est Morgan Stanley
00:41:21donc une banque américaine
00:41:22Morgan Stanley Capital International
00:41:24qui publie des indices
00:41:26on en retrouve notamment le MSCI World
00:41:28dont on parle énormément
00:41:29c'est les grandes capitalisations boursières
00:41:32des bourses des pays développés
00:41:33c'est 23 pays il me semble
00:41:36et il faut faire attention
00:41:37les Etats-Unis sont très représentés
00:41:39puisque c'est un marché important
00:41:40et donc le secteur technologique
00:41:42est aussi très représenté dans cet indice
00:41:44donc un indice très large
00:41:46mais qui est quand même très pondéré
00:41:47du côté des Etats-Unis
00:41:48Et Fabien pour terminer notre échange
00:41:49de ce lundi soir
00:41:50en quoi ces indices sont utiles ?
00:41:53Ces indices c'est un indicateur
00:41:55donc c'est en un clin d'oeil
00:41:57la possibilité de voir
00:41:58comment évolue un marché
00:41:59ce que vaut un marché
00:42:00si c'est un secteur technologique
00:42:02rapidement on voit si un secteur
00:42:03se porte bien ou moins bien
00:42:04ou une zone géographique dans le monde
00:42:06comment elle se porte ?
00:42:07Merci à vous Fabien pour ces explications
00:42:08et on vous retrouve lundi prochain
00:42:10pour un autre numéro
00:42:11d'Oser Investir les incontournables
00:42:12de la bourse
00:42:13et pour ce qui me concerne
00:42:14je vous donne rendez-vous
00:42:15dimanche matin à 9h25
00:42:16dans la matinale week-end
00:42:18Et comme nous ne sommes jamais seuls
00:42:38dans cette émission avec Philippe David
00:42:40on s'est entouré aujourd'hui
00:42:41de Jean Dorido
00:42:42d'octeur en psychologie
00:42:43ça va mon Jean ?
00:42:44Ça va merveille
00:42:44Pascal Girald
00:42:46qui continue à écrire
00:42:47j'ai l'impression qu'il fait ses comptes
00:42:48Vous êtes vos comptes ?
00:42:51Oui oui
00:42:511, 2, 2
00:42:52Vous avez déposé le bilan ?
00:42:55Non tout va bien
00:42:56Vous nous dites quand ça vous intéresse
00:42:58Joseph Touvenel est avec nous
00:43:00vice-président du Centre Européen des Travailleurs
00:43:02et ancien vice-président de la CFTC
00:43:04et tout de suite vous l'attendez tous
00:43:06c'est Philippe David
00:43:07Les vraies voix sud radio
00:43:09Le coup de gueule de Philippe David
00:43:12Comme d'habitude
00:43:14je vais remettre le clocher au milieu du village
00:43:16un grand village
00:43:17puisqu'il s'agit de Lyon
00:43:18capitale des Gaules
00:43:19Pourquoi Lyon ?
00:43:20Parce que ce qui s'y est passé
00:43:22samedi soir lors de la fête des Lumières
00:43:23est à mon avis extrêmement grave
00:43:25En effet
00:43:26lors d'un jeu de lumière
00:43:27des messages de haine
00:43:28des forces de l'ordre
00:43:29et des messages politiques
00:43:30ont été projetés sur un mur
00:43:32Résumé des propos
00:43:33Sainte Soline
00:43:34ni oublie ni pardon
00:43:36non à l'état policier
00:43:37la police blesse et tue
00:43:39la violence policière est partout
00:43:42voilà pour les messages
00:43:43antiforce de l'ordre
00:43:44les messages politiques étant
00:43:46on dégage le RN
00:43:47et Bardella
00:43:48Lyon n'est pas à toi
00:43:49Jusque là
00:43:50rien de très surprenant
00:43:51une personne mal intentionnée
00:43:52pouvant pirater
00:43:54les outils
00:43:54projetant les effets lumineux
00:43:56et textes
00:43:56lors d'un tel événement
00:43:58au même titre
00:43:58qu'on peut
00:43:59pirater
00:44:01la sono d'un stade
00:44:02ou d'une salle de concert
00:44:03mais quand on sait
00:44:04qui a revendiqué
00:44:05le piratage
00:44:06on est bel et bien
00:44:07devant un scandale
00:44:08en effet
00:44:08ces textes de haine
00:44:10contre nos forces de l'ordre
00:44:11ont été revendiqués
00:44:12par les soulèvements
00:44:13de la terre
00:44:13groupuscule d'extrême gauche
00:44:15que Gérald Darmanin
00:44:16alors ministre de l'intérieur
00:44:18avait dissous
00:44:19suite au comportement
00:44:20ultra violent
00:44:21de ses membres
00:44:22lors des manifestations
00:44:23contre les bassines
00:44:24à Sainte Soline
00:44:25un Gérald Darmanin
00:44:26qui nonobstant
00:44:27sa légitimité démocratique
00:44:29comme ministre
00:44:30avait été invalidé
00:44:31par les juges
00:44:32du conseil d'état
00:44:33pour qui
00:44:33je cite
00:44:34les soulèvements
00:44:35de la terre
00:44:36se sont bien livrés
00:44:37à des provocations
00:44:38et à des agissements
00:44:39violents
00:44:39à l'encontre des biens
00:44:40mais que la dissolution
00:44:41de l'association
00:44:42je cite à nouveau
00:44:43ne constituait pas
00:44:44une mesure adaptée
00:44:45nécessaire
00:44:46et proportionnelle
00:44:47à la gravité
00:44:48des troubles susceptibles
00:44:49d'être portés
00:44:50à l'ordre public
00:44:51au vu des effets réels
00:44:52qu'ont pu avoir
00:44:53leur provocation
00:44:54à la violence
00:44:54contre des biens
00:44:55à la date à laquelle
00:44:56a été pris le décret
00:44:57attaqué
00:44:57fin de citation
00:44:58bref
00:44:59les policiers et gendarmes
00:45:00peuvent remercier
00:45:01le conseil d'état
00:45:02d'avoir permis
00:45:03par sa décision
00:45:03de novembre 2023
00:45:04de permettre au soulèvement
00:45:06de la terre
00:45:06de mettre deux ans plus tard
00:45:08une cible sur chacun
00:45:09des membres
00:45:10policiers ou gendarmes
00:45:11des forces de l'ordre
00:45:12un des slogans de soutien
00:45:14il y a deux ans
00:45:14était
00:45:14on ne dissout pas
00:45:15un soulèvement
00:45:16et si on dissolvait
00:45:17le conseil d'état
00:45:18Jean
00:45:21puisque vous me regardez
00:45:22avec cet air
00:45:23cet air
00:45:24l'air de rien
00:45:25l'air de dire
00:45:27j'ai envie de dire quelque chose
00:45:29non mais écoutez
00:45:30peut-être que cette fois-ci
00:45:31après voilà
00:45:32un tel acte
00:45:33que je n'ose même pas
00:45:34qualifier
00:45:35j'aurais bien quelques mots
00:45:37qui me viennent à l'esprit
00:45:38peut-être que là
00:45:39ce coup-ci
00:45:40il va enfin être possible
00:45:41de demander la dissolution
00:45:43de ce groupuscule
00:45:44d'activistes
00:45:45là ils ont juste
00:45:45piraté des lumières
00:45:46alors qu'une fois
00:45:47ils avaient attaqué
00:45:48les forces de l'ordre
00:45:49mis le feu
00:45:49à des véhicules
00:45:50de gendarmerie
00:45:52c'est quand même
00:45:52d'une autre gravité
00:45:53à mon avis
00:45:53mais ça reste un dossier
00:45:54qui s'épaissit quand même
00:45:55oui voilà quand même
00:45:56je ne pense pas
00:45:56que ça leur donne
00:45:57de l'avancement
00:45:57en tout cas
00:45:58j'espère pas
00:45:59Pascal Gérald
00:46:00moi je me demande
00:46:01comment ils ont pu
00:46:01s'introduire dans le système
00:46:03comme ça
00:46:03pour projeter
00:46:04des messages
00:46:06peut-être une complicité humaine
00:46:07une complicité interne
00:46:08je ne sais pas
00:46:09mais pour une soirée
00:46:10aussi technologique
00:46:11que celle-là
00:46:11je suis très étonné
00:46:12qu'ils aient trouvé
00:46:13les moyens de faire ça
00:46:14ça s'appelle du piratage
00:46:16le plus grave
00:46:17c'est sans doute
00:46:17de façon récurrente
00:46:18qu'ils affirment
00:46:19la police tue
00:46:20c'est-à-dire que
00:46:20les forces de l'ordre
00:46:21les gardiens de la paix
00:46:23ceux qui gardent
00:46:24la paix civile
00:46:25dans notre pays
00:46:25ceux qui nous protègent
00:46:26on les accuse de tuer
00:46:28c'est-à-dire que ça justifie
00:46:29tous ceux qui
00:46:30ce soir
00:46:30demain
00:46:31après-demain
00:46:31et même hier
00:46:32s'en prennent
00:46:34aux forces de police
00:46:35c'est-à-dire que
00:46:36quand il y a des policiers
00:46:37qui meurent
00:46:37il faut savoir
00:46:38qu'il y a plusieurs dizaines
00:46:39de blessés
00:46:40dans la police
00:46:40par jour
00:46:41par jour
00:46:42et quand ils affirment
00:46:44c'est vraiment
00:46:45banaliser
00:46:46tous les actes
00:46:48contre la police
00:46:49même les plus graves
00:46:49parce qu'il y a des policiers
00:46:50qui meurent en mission
00:46:51ils n'ont d'écologistes
00:46:52que le nom
00:46:53ce sont des activistes
00:46:54politiques
00:46:54qui s'en prennent
00:46:56à notre démocratie
00:46:58ces gens-là
00:46:59ne sont pas
00:47:00des démocrates
00:47:01ce sont des ultra-violents
00:47:02qui veulent déstabiliser
00:47:04le système
00:47:04mais le pire
00:47:05c'est quand même
00:47:05qu'un maire adjoint
00:47:06du 4ème arrondissement
00:47:07de Lyon
00:47:07a soutenu l'initiative
00:47:09en disant que
00:47:09oui la police
00:47:10tue bien
00:47:10etc
00:47:11soit dit en passant
00:47:12j'ai préféré
00:47:13pas le citer
00:47:13pour pas lui faire de pub
00:47:14il y a quand même
00:47:15une responsabilité politique
00:47:16globale
00:47:17les souvèvements de la terre
00:47:17ils viennent d'où ?
00:47:18ils viennent des ZAD
00:47:19de Nantes
00:47:19les ZAD de Nantes
00:47:21c'est cet endroit
00:47:21où il y avait eu
00:47:22un référendum
00:47:23pour savoir
00:47:24s'il fallait un aéroport
00:47:26ce sont des gens
00:47:27qui ont occupé
00:47:28illégalement des terrains
00:47:30et suite à ça
00:47:31suite au référendum
00:47:32où la majorité
00:47:33a dit aéroport
00:47:34le politique
00:47:35président de la république
00:47:36Emmanuel Macron
00:47:37premier ministre
00:47:38Édouard Philippe
00:47:38on dit
00:47:39mais on s'assied
00:47:39sur la démocratie
00:47:40et on donne raison
00:47:41à ceux
00:47:42qui par la violence
00:47:43occupent illégalement
00:47:44un territoire
00:47:45alors il ne faut pas
00:47:45s'étonner
00:47:46qu'ils continuent
00:47:47puisqu'on les a laissés faire
00:47:48en disant
00:47:48bravo les gars
00:47:49même quand on vote
00:47:51contre votre position
00:47:52de toute façon
00:47:53le politique
00:47:53ne tient pas compte
00:47:54du vote
00:47:54merci beaucoup
00:47:55Philippe David
00:47:56ça a retrouvé
00:47:57bien entendu
00:47:57un podcast
00:47:58sur toutes les plateformes
00:48:00de Sud Radio
00:48:01dans un instant
00:48:02la question du soir
00:48:02on va revenir sur
00:48:03le patron
00:48:04DLR
00:48:05Bruno Retailleau
00:48:06qui est favorable
00:48:06à une union des droites
00:48:07mais dans les urnes
00:48:09et on vous pose
00:48:09cette question
00:48:10le RN a-t-il réussi
00:48:11à faire tomber
00:48:11le tabou
00:48:12d'alliance des droites
00:48:13et bien vous dites
00:48:14oui à 55%
00:48:15vous voulez réagir
00:48:17on attend vos appels
00:48:18au 0826 300 300
00:48:19on a bien envie
00:48:20de vous entendre
00:48:20sur ce sujet
00:48:21on est ensemble
00:48:22jusqu'à 20h
00:48:23à tout de suite
00:48:24Sud Radio
00:48:25Parlons Vrai
00:48:26Parlons Vrai
00:48:26Sud Radio
00:48:27Parlons Vrai
00:48:27Sud Radio
00:48:28Les Vraies Voix Sud Radio
00:48:2918h 20h
00:48:31Cécile Dominibus
00:48:32Philippe David
00:48:33comment ça va
00:48:35Philippe David ?
00:48:35ça va très bien
00:48:36j'ai râlé
00:48:36donc ça va bien
00:48:37c'est tellement vous
00:48:40ça j'adore ça
00:48:410826 300 300
00:48:44on est très heureux
00:48:44de vous accueillir
00:48:45bien entendu
00:48:46on est ensemble
00:48:46jusqu'à 19h30
00:48:48et puis vous savez
00:48:48que vous pouvez nous retrouver
00:48:50bien entendu
00:48:50sur toutes les plateformes
00:48:51vous pouvez vous abonner
00:48:52à notre chaîne YouTube
00:48:53ça nous permettra
00:48:54de nous voir
00:48:55de voir comment on est habillé
00:48:56si on est bien habillé
00:48:57si on s'est fait joli
00:48:59très chic
00:48:59comme toujours
00:49:00oui
00:49:00toujours très bien
00:49:01vous avez remarqué
00:49:02merci
00:49:02pour voir si on est bien coiffé
00:49:03oui par exemple
00:49:04mais Pascal et moi
00:49:05sommes toujours coiffés
00:49:06de manière impeccable
00:49:07à l'éponge
00:49:08voilà
00:49:09tout le monde entièrement
00:49:10à l'éponge
00:49:11exactement
00:49:12scotch brits
00:49:13ah non
00:49:14parce que là
00:49:15il y a des rayures
00:49:15après
00:49:15c'est ça
00:49:17allez tout de suite
00:49:18la question du soir
00:49:19il n'y aura pas
00:49:20d'alliance
00:49:21ni d'association
00:49:22avec les partis
00:49:23d'extrême droite
00:49:24je suis sur cette ligne
00:49:25qui a toujours été
00:49:26celle de ma famille politique
00:49:28pas d'alliance
00:49:29pas de compromission
00:49:30le RN appartient
00:49:31à l'arc républicain
00:49:32ce que n'est pas LFI
00:49:34moi j'ai
00:49:35j'ai à vous dire
00:49:35je suis président des républicains
00:49:37je souhaite qu'il y ait
00:49:37un candidat
00:49:39LR au présidentiel
00:49:40on a une proposition
00:49:41un projet
00:49:41une vision différente
00:49:43des autres partis
00:49:43les vrais voix
00:49:45sud radio
00:49:46et la question du soir
00:49:48le rassemblement national
00:49:49a-t-il réussi
00:49:50à faire tomber
00:49:51les tabous
00:49:51d'alliance des droites
00:49:52Philippe
00:49:53et oui
00:49:53pour le moment
00:49:53vous dites oui
00:49:54à 56%
00:49:56vous voulez réagir
00:49:57on attend
00:49:57vos appels
00:49:58au 0826
00:49:59300
00:49:59300
00:50:00c'est une droite
00:50:01qui s'ouvre
00:50:02visiblement
00:50:03mon cher Joseph
00:50:04Touvenel
00:50:05on ne comprend pas pourquoi
00:50:06du côté de la gauche
00:50:07ils auraient le droit
00:50:08de s'allier avec les communistes
00:50:09je rappelle que les communistes
00:50:10c'est quelques centaines
00:50:10de millions de morts
00:50:11quand même
00:50:11on a un peu oublié ça
00:50:12c'est pas rien
00:50:13je parle même pas
00:50:14des LFI
00:50:15et puis du côté de la droite
00:50:17ils n'auraient pas le droit
00:50:17de faire des alliances
00:50:18voilà
00:50:19et du coup
00:50:19la réaction
00:50:20c'est la réaction majoritaire
00:50:21des français
00:50:22qui disent
00:50:22bah oui pourquoi pas
00:50:23parce que le RN d'aujourd'hui
00:50:25n'est plus
00:50:26le Front National d'hier
00:50:27les choses évoluent
00:50:28les amis
00:50:28bah voilà
00:50:29c'est comme ça
00:50:30Christian est avec nous
00:50:31au 0826 300 300
00:50:32bonsoir Christian
00:50:33bonsoir
00:50:33vous nous appelez de Anglette
00:50:35vous avez bien de la chance
00:50:36d'habiter Anglette
00:50:37tellement beau
00:50:38on avait qu'un petit 24
00:50:40aujourd'hui
00:50:40c'était pas
00:50:41ça va
00:50:42ça va
00:50:43c'est pas la peine
00:50:43voilà
00:50:44ça c'est de la provocation
00:50:45nous on a 32
00:50:46donc ça va
00:50:47Cécile
00:50:48il y a écrit
00:50:49parlons vrai
00:50:49dans le livre
00:50:50Christian
00:50:54une petite réaction
00:50:55sur cette question
00:50:56du jour
00:50:56cette alliance
00:50:57des droites
00:50:58que veut
00:50:58Bruno Retailleau
00:51:00et bah enfin
00:51:01la droite devient intelligente
00:51:02en fait
00:51:03tant mieux
00:51:03d'accord
00:51:04bah oui
00:51:05je suis bien content
00:51:06qu'il peut y avoir
00:51:07une alliance
00:51:07avec le RN
00:51:08parce que
00:51:10enfin
00:51:11il y a des gens
00:51:12qui s'intéressent
00:51:12à ce qu'ils sont capables
00:51:13de faire aujourd'hui
00:51:14ces gens là
00:51:15et qu'on puisse
00:51:16enfin terminer
00:51:17avec tout ce qu'on vit
00:51:18aujourd'hui
00:51:18il va falloir reprendre
00:51:20comme il faut
00:51:21toute notre France
00:51:22moi
00:51:23je suis vraiment
00:51:24tout fait pour
00:51:26en espérant
00:51:27qu'il n'y ait pas
00:51:28des petits coups
00:51:29de serpettes
00:51:29qui vont se balader
00:51:30par-ci par-là
00:51:31en espérant
00:51:32pas emmener le RN
00:51:33dans une
00:51:33dans une
00:51:35comment on va pas ça
00:51:36dans quelque chose
00:51:38qui serait pas bon pour eux
00:51:39mais moi
00:51:40je suis très très content
00:51:41que les gens
00:51:41enfin réfléchissent
00:51:42il faut casser
00:51:43tous ces tabous
00:51:44il faut arriver
00:51:45maintenant
00:51:46à ce que les gens
00:51:47aient vraiment
00:51:48un soutien
00:51:49par les politiciens
00:51:50mais un soutien
00:51:52par
00:51:53Jean Caisse
00:51:54et on verra après
00:51:55donc j'espère
00:51:56franchement
00:51:57qu'aujourd'hui
00:51:58on puisse avoir
00:51:59des gens
00:52:00intelligents
00:52:01déjà prouvent
00:52:03déjà
00:52:03ça prouve
00:52:04qu'ils ont
00:52:04ça prouve
00:52:05en tout cas
00:52:05pardon
00:52:06excusez-moi
00:52:06ça prouve
00:52:07qu'ils ont changé
00:52:08je vais dire ça
00:52:09ça va leur faire plaisir
00:52:10vous parlez du
00:52:12rassemblement national
00:52:13j'imagine
00:52:13non
00:52:14non
00:52:15parce que
00:52:15non
00:52:15la droite
00:52:16ok très bien
00:52:17oui
00:52:18parce que
00:52:18si vous voulez
00:52:19pendant des années
00:52:20vous le savez comme moi
00:52:21le RN était bitcoté
00:52:22vous savez
00:52:23qu'est-ce qu'on a pu
00:52:24les déglinguer
00:52:26avant les élections
00:52:26bon ça continuera
00:52:28un petit peu
00:52:28c'est obligatoire
00:52:29mais que la droite
00:52:31aujourd'hui
00:52:31s'allier avec
00:52:33éventuellement
00:52:34le RN
00:52:34tout ce qui peut être
00:52:36progrès
00:52:37dans ce qui existe
00:52:39aujourd'hui
00:52:39il faut juste se rappeler
00:52:40que la droite
00:52:42a quand même
00:52:43gouverné
00:52:45d'accord
00:52:45et ça n'a pas toujours été
00:52:47des résultats excellents
00:52:49n'est-ce pas
00:52:50alors aujourd'hui
00:52:52on a des gens
00:52:52comme le RN
00:52:53qu'on n'a jamais essayé
00:52:55c'est ce que les français
00:52:56disent aujourd'hui
00:52:56le changement
00:52:58c'est avec eux
00:53:00et tout le monde
00:53:01main dans la main
00:53:02et on y va
00:53:03et je pense qu'on va arriver
00:53:04à changer la France
00:53:05je reviens sur ce que disait
00:53:07Joseph Touvenel
00:53:09de dire qu'effectivement
00:53:10Philippe David
00:53:11il y a eu une alliance
00:53:12des gauches
00:53:13mais on sait aussi
00:53:14une alliance des droites
00:53:15c'est compliqué
00:53:16un Xavier Bertrand
00:53:17qui refuse
00:53:18régulièrement
00:53:20de travailler
00:53:20en tout cas
00:53:21ou de s'allier
00:53:22au RN
00:53:22Xavier Bertrand
00:53:23ne représente que
00:53:24Xavier Bertrand
00:53:25on ne va pas
00:53:25se raconter d'histoire
00:53:27Bertrand
00:53:28quand il va à la primaire
00:53:30de LR
00:53:30il prend une veste
00:53:31et donc
00:53:32aujourd'hui
00:53:33il est hyper minoritaire
00:53:34c'est comme Dominique
00:53:35de Villepin
00:53:36qui prend des airs
00:53:37effarouchés
00:53:38quand on connaît
00:53:39les amitiés
00:53:40de Dominique de Villepin
00:53:41on évite de faire
00:53:42des leçons de morale
00:53:43si vous voyez ce que je veux dire
00:53:44moi je crois que de toute façon
00:53:45c'est terrible à dire
00:53:46mais la droite
00:53:47aujourd'hui
00:53:48n'a pas le choix
00:53:48de faire autrement
00:53:49pourquoi ?
00:53:50parce que regardez
00:53:50les sondages
00:53:51Retailleau est à peu près
00:53:52entre 8 et 10%
00:53:54et Bardella
00:53:55ne marche plus
00:53:56ou qui à mon avis
00:53:57ne marchera plus
00:53:57donc la question
00:53:58elle est là
00:53:59c'est que c'est une question
00:54:00de survie
00:54:01pour les LR
00:54:02parce que si jamais demain
00:54:03avec le scrutin majoritaire
00:54:04le RN gagne la présidentielle
00:54:05il peut avoir un raz-de-marée
00:54:07genre la vague rose de 81
00:54:09aux législatives
00:54:10et avec un LR
00:54:11qui se retrouvera
00:54:12à 20 députés
00:54:1220 députés en hémicycle
00:54:14vous ne pesez plus grand chose
00:54:15Nicolas Sarkozy
00:54:18se dit
00:54:18contre un front républicain
00:54:20anti-RN
00:54:21oui oui
00:54:22je crois effectivement
00:54:23la question est passionnante
00:54:26est-ce que le RN
00:54:27a réussi
00:54:28à construire
00:54:29l'alliance des droites
00:54:30et je ne suis pas sûr
00:54:31que ce soit le RN
00:54:33qui ait réussi
00:54:34quoi que ce soit
00:54:34même s'il y a eu
00:54:35une entreprise
00:54:35de dédiabolisation
00:54:37effectivement menée
00:54:37depuis longue date
00:54:38par Marine Le Pen
00:54:39maintenant je crois
00:54:40que c'est plutôt
00:54:40tout ce qui se passe autour
00:54:41qui va dans le sens
00:54:43d'une alliance des droites
00:54:43effectivement
00:54:44la parole de Nicolas Sarkozy
00:54:45qui reste là pour le coup
00:54:46une parole forte
00:54:47pour les personnes de droite
00:54:49dans ce pays
00:54:50c'est vrai que quand ils disent
00:54:52que vous venez d'évoquer
00:54:53Cécile de Ménibus
00:54:53ça a un effet
00:54:54très très fort
00:54:56d'autres personnes
00:54:58qui ont de l'audience aussi
00:55:00sont allées dans le même sens
00:55:01maintenant ce que je trouve
00:55:02quand même très regrettable
00:55:04c'est que ça ne parle pas
00:55:05de projet politique
00:55:06on est toujours
00:55:07dans la tambouille politicienne
00:55:08faire des alliances
00:55:09faire des alliances
00:55:11pour faire quoi ?
00:55:12que ce soit à gauche
00:55:13ou à droite
00:55:13c'est quoi le projet
00:55:15pour redonner à la France
00:55:17sa grandeur ?
00:55:18Charles de Gaulle
00:55:19voilà
00:55:19toute ma vie
00:55:20je me suis fait une certaine idée
00:55:21de la France
00:55:21la France n'est pas
00:55:22la France sans grandeur
00:55:23quel est le projet politique
00:55:24qui va redonner à la France
00:55:26et aux Français
00:55:27la grandeur
00:55:28qu'ils méritent ?
00:55:29François-Xavier Bellamy
00:55:30c'était sur Sud Radio
00:55:31ce matin
00:55:32a dit
00:55:32le vrai danger pour la France
00:55:33c'est l'alliance
00:55:34entre la gauche
00:55:35et elle et fille
00:55:36avec vous
00:55:38Pascal Gérald
00:55:39peut-être
00:55:39plus à gauche
00:55:41que les autres
00:55:41oui
00:55:42il y a alliance
00:55:43et alliance
00:55:43moi je constate
00:55:44que pour revenir
00:55:45sur le raccrochage
00:55:47de la droite républicaine
00:55:48au RN
00:55:49le RN n'a pas besoin
00:55:50d'être suivi par la droite républicaine
00:55:52pour être en tête des sondages
00:55:54j'ai l'impression
00:55:55que c'est un peu un sauf qui peut
00:55:56et que c'est une manière
00:55:58de continuer à exister
00:55:59bon alors maintenant
00:56:00pour la gauche
00:56:01de l'autre côté
00:56:02je pense que
00:56:03que notre ami Mélenchon
00:56:05a fait tout ce qu'il fallait
00:56:06pour diluer la gauche
00:56:07et que la gauche
00:56:08n'a plus aucune crédibilité
00:56:09par rapport à la vague de droite
00:56:10qui s'annonce
00:56:11surtout
00:56:12il faudrait redéfinir
00:56:13un peu les termes
00:56:14ça ne veut plus rien dire
00:56:14gauche et droite
00:56:15en 36
00:56:16on comprenait ce que ça voulait dire
00:56:17après hier
00:56:18on pouvait encore comprendre
00:56:19aujourd'hui
00:56:20il y a des grands
00:56:21il y a des grands
00:56:21secteurs
00:56:22est-ce qu'on veut
00:56:23plus d'impôts
00:56:24moins d'impôts
00:56:24c'est-à-dire moins d'impôts
00:56:25ça veut dire des économies
00:56:26oui lesquelles
00:56:27on va me dire ça c'est de droite
00:56:28est-ce qu'on veut
00:56:29moins d'immigration
00:56:30ou plus d'immigration
00:56:32et là on va dire
00:56:32c'est quoi
00:56:33c'est de droite aussi
00:56:34et qu'est-ce qui fédère
00:56:36sur ces grands sujets
00:56:37et puis
00:56:38quelle ambition
00:56:38on a pour notre pays
00:56:39et alors là
00:56:40c'est le grand vide
00:56:41on avait des ambitions
00:56:43et notamment des ambitions
00:56:44technologiques
00:56:44aujourd'hui
00:56:45on a tout abandonné
00:56:47quand on n'a pas
00:56:47s'aborder
00:56:48je pense à ce nombre
00:56:49d'entreprises françaises
00:56:51de haute technologie
00:56:52qui ont été vendues
00:56:52aux américains
00:56:53sous Emmanuel Macron
00:56:54Philippe David
00:56:55est-ce qu'on ne manque pas
00:56:55à droite
00:56:56de grandes figures
00:56:57alors
00:56:58vaste pro
00:57:00c'est vrai que
00:57:02entre les Mélenchon
00:57:02les Tondeliers
00:57:03enfin voilà
00:57:04le seul qui est
00:57:05de l'envergure à gauche
00:57:06il faut être franc
00:57:07c'est Mélenchon
00:57:07Tondelier
00:57:08excusez-moi
00:57:09elle est quand même
00:57:10très présente
00:57:10c'est pas parce que
00:57:13vous êtes présents
00:57:14les médias
00:57:15oui mais comme
00:57:18Sandrine Rousseau
00:57:19parce qu'elles font le buzz
00:57:20mais à part ça
00:57:21c'est le degré zéro
00:57:22de la politique
00:57:23si vous voulez
00:57:23mon avis je vous le donne
00:57:24mais comme Olivier Faure
00:57:24c'est le degré zéro
00:57:25de la politique
00:57:26et la seule personne
00:57:28qui existe à gauche
00:57:28c'est Mélenchon
00:57:29et je veux dire
00:57:30même à droite
00:57:31on ne peut pas dire
00:57:32qu'il y a des grands leaders
00:57:33charismatiques aujourd'hui
00:57:34aujourd'hui c'est plutôt
00:57:35le vide
00:57:36en termes de charisme
00:57:37aujourd'hui on va voter
00:57:38pour le RN
00:57:39parce que beaucoup de gens
00:57:40vous disent
00:57:40moi j'en ai qui me l'ont dit
00:57:41on n'a pas voté RN à l'époque
00:57:43parce que vous nous avez dit
00:57:44que le RN ce serait
00:57:44la faillite et les émeutes
00:57:46avec Macron
00:57:47on a eu la faillite
00:57:48parce que la France
00:57:49est en faillite
00:57:49et on a eu les émeutes
00:57:50à plusieurs reprises
00:57:51mais même pas
00:57:52pour des raisons graves
00:57:55mais par exemple
00:57:56pour que le PSG
00:57:57gagne la Ligue des Champions
00:57:58et que ça mette
00:57:59les Champs-Elysées
00:58:00à feu et à sang
00:58:01ou la fête de la musique
00:58:02c'est qu'on est quand même
00:58:02dans l'absence totale
00:58:04d'autorité de l'État
00:58:04donc aujourd'hui
00:58:05les Français disent
00:58:06on votera Bardella
00:58:07Bardella il a 30 ans
00:58:08enfin il aura 31 ans
00:58:10au moment de la présidentielle
00:58:11il n'a pas de diplôme
00:58:12pas d'expérience
00:58:12que tant de Français
00:58:14veuillent voter pour lui
00:58:14ça veut quand même
00:58:15dire beaucoup de choses
00:58:16effectivement on n'a pas
00:58:18de grandes figures
00:58:19qui se détachent
00:58:19mais ce que voient les Français
00:58:21c'est ceux qui leur parlent
00:58:22du réel
00:58:23et ceux qui fantasent
00:58:24ce que vous voyez
00:58:26n'existe pas
00:58:26et dans ces cas-là
00:58:27les Français disent
00:58:28il y en a marre
00:58:29regardez tous les sondages
00:58:30sur les grands sujets
00:58:31il y a en gros
00:58:3180% qui se prononcent
00:58:34pour moins d'immigration
00:58:34plus de sécurité
00:58:36et c'est 20-25%
00:58:38de l'autre côté
00:58:39c'est-à-dire que
00:58:39les 20-25%
00:58:40c'est ceux qui nous disent
00:58:41non mais le réel
00:58:42n'existe pas
00:58:43vous n'avez pas de problème
00:58:43dans les transports
00:58:44les femmes
00:58:44arrêtez le soir
00:58:45vous pouvez sortir
00:58:46et donc ça
00:58:47les Français
00:58:47en ont assez
00:58:49et vont voter
00:58:49pour ceux
00:58:50qui leur décrivent le réel
00:58:51est-ce qu'un Sébastien Lecornu
00:58:53peut sortir son épingle du jeu
00:58:55est-ce qu'il serait éventuellement
00:58:56présidentiable
00:58:57pour 2027
00:58:59de toute façon
00:58:59ils vont tous se bousculer
00:59:01au quartillon
00:59:01ça c'est sûr
00:59:02parce que là
00:59:03il est en train
00:59:03plus ou moins
00:59:04de dénouer quelque chose
00:59:05c'est un fait
00:59:06oui
00:59:06que quand même
00:59:06pour le moment
00:59:07il réussit quand même
00:59:08à survivre
00:59:10dans cette situation
00:59:11extrêmement difficile
00:59:13pour autant
00:59:14il se débrouille plutôt bien
00:59:17maintenant c'est un fait
00:59:18qu'en termes d'idéologie
00:59:19on a eu une campagne
00:59:20de 2007
00:59:21Nicolas Sarkozy
00:59:22qui avait quand même
00:59:23il faut le rappeler
00:59:23Patrick Buisson
00:59:24comme directeur
00:59:25de campagne
00:59:26des épines dans le pied
00:59:27c'est le moins
00:59:29qu'on puisse dire
00:59:30et il a fait une campagne
00:59:31extrêmement à droite
00:59:32et c'est un fait
00:59:33que c'est pour ça
00:59:34qu'il a été élu
00:59:35en 2007
00:59:36avec le résultat
00:59:37que l'on connaît
00:59:38une politique
00:59:39qui n'a
00:59:40en rien ressemblé
00:59:41à ce qu'il avait pu promettre
00:59:43pendant les élections
00:59:44et c'est un fait
00:59:46que Sébastien Lecornu
00:59:48ou qui que ce soit
00:59:49ou même un Gabriel Attal
00:59:50très jeune
00:59:50ou un Jordon Bardella
00:59:51ou qui que ce soit
00:59:52c'est la question
00:59:53de savoir
00:59:54quels projets
00:59:55ces gens-là vont porter
00:59:56et surtout
00:59:57seront-ils en capacité
00:59:58de le mettre en oeuvre
00:59:59sachant qu'effectivement
01:00:01pour revenir sur
01:00:02le cas Jean-Luc Mélenchon
01:00:04là ce qui fait froid
01:00:05dans le dos
01:00:05c'est que s'il mettait
01:00:06vraiment en oeuvre
01:00:08l'idéologie
01:00:09de ses mentors politiques
01:00:10là c'est vrai
01:00:11que c'est effrayant
01:00:12mais schématiquement
01:00:13Bardella 2027
01:00:15veut faire le remake
01:00:16de Sarkozy 2007
01:00:17par contre
01:00:18la chose de savoir
01:00:19c'est que
01:00:20s'il arrive au pouvoir
01:00:21vous me direz
01:00:22on a une certitude
01:00:23il mettra pas
01:00:23Kouchner
01:00:24ou Fadela Amara
01:00:24ministre
01:00:25Sébastien Lecornu
01:00:26il a une certaine habileté
01:00:27mais c'est pour ça
01:00:28qu'il est là
01:00:28mais enfin
01:00:29il est quand même
01:00:29très fort aidé
01:00:30par 560 députés
01:00:31qui n'ont pas envie
01:00:31de retourner
01:00:32dans les électeurs
01:00:32parce qu'il va garder
01:00:33leur photo
01:00:34ça aide à trouver
01:00:35des solutions
01:00:36que vous êtes
01:00:37mauvaise langue
01:00:37il dit vrai
01:00:39l'avant-joie
01:00:40c'est important
01:00:40je plaisante
01:00:41je ne te demande pas
01:00:42surtout pour des gens
01:00:44qui sont arrivés là
01:00:45par hasard
01:00:46comme on avait dit
01:00:46tout à l'heure
01:00:47ça en malentendu
01:00:48ça peut marcher
01:00:48je parlais des députés
01:00:49à aider par hasard
01:00:50je pensais que vous parliez
01:00:51de vous
01:00:51c'est pour ça
01:00:52que je voulais savoir
01:00:52merci beaucoup
01:00:54en tout cas
01:00:55Jean Dorido
01:00:55docteur en psychologie
01:00:56merci Pascal Girald
01:00:57commerçant retraité
01:00:58merci beaucoup
01:00:59Joseph Touvenel
01:01:00vice-président
01:01:01du Centre Européen
01:01:01des travailleurs
01:01:02et ancien vice-président
01:01:03de la CFTC
01:01:04et on avait envie
01:01:05d'accueillir Sabrina
01:01:06qui est avec nous
01:01:07bonsoir
01:01:07bonsoir
01:01:07bonsoir
01:01:11comment ça va Sabrina
01:01:12ça va bien merci
01:01:14et bien voilà
01:01:15ça ira mieux
01:01:16encore quand je vous annoncerai
01:01:17le magnifique cadeau
01:01:18qui vous est offert
01:01:20par Sud Radio
01:01:20puisque vous avez remporté
01:01:21un séjour
01:01:22pour 4 personnes en famille
01:01:23pour aller au Futuroscope
01:01:25avec une nuit d'hôtel
01:01:26et les petits déjeuners
01:01:28pour profiter
01:01:29d'un lieu extraordinaire
01:01:30où le réel
01:01:30et l'imaginaire
01:01:32se côtoie
01:01:32voilà
01:01:33vous avez envoyé
01:01:33votre SMS
01:01:34vous avez été tirée
01:01:35au sort
01:01:36et nous sommes très heureux
01:01:37Sabrina
01:01:38de vous ouvrir
01:01:38ce très joli cadeau
01:01:39bravo
01:01:40bravo
01:01:40merci
01:01:41bravo
01:01:42oulala
01:01:44il y a toute la famille
01:01:45qui règle
01:01:46il y a derrière
01:01:46attendez
01:01:48attendez
01:01:48attendez
01:01:49parce que
01:01:49ils sont prêts
01:01:50Sabrina
01:01:50chez vous ou pas
01:01:51oui
01:01:52allez
01:01:53le cri de la joie
01:01:543 2 1
01:01:55allez-y
01:01:55et Audi
01:02:01merci qui
01:02:02merci
01:02:03c'est de radio
01:02:03bravo
01:02:04merci beaucoup
01:02:05sans indiscretion
01:02:06vous êtes combien
01:02:07chez vous
01:02:08vous avez fait dire
01:02:08les voisins
01:02:09on va vous donner
01:02:17les noms
01:02:17des gens
01:02:18avec qui vous allez
01:02:18partir
01:02:19Cécile de Medibus
01:02:20Philippe David
01:02:20c'est obligatoire
01:02:25c'est pour être sûr
01:02:27c'est le revers de la médaille
01:02:29en cas de satisfaction
01:02:30et puis on a besoin
01:02:31vous avez besoin de blagues
01:02:32pour vous amuser
01:02:32donc voilà
01:02:33on s'impose un petit peu
01:02:34non
01:02:34on vous souhaite en tout cas
01:02:35de très belles fêtes
01:02:35de fin d'année
01:02:36Sabrina
01:02:36vous embrassez tout le monde
01:02:38et puis demain
01:02:39on remet en jeu
01:02:40un autre cadeau
01:02:41dans un instant
01:02:42Philippe
01:02:43on va parler des associations
01:02:44on va parler
01:02:45d'une très belle association
01:02:46tous unis
01:02:47contre le cancer
01:02:48et ça c'est très important
01:02:49merci les amis
01:02:50d'avoir passé ce moment
01:02:51avec nous
01:02:51on se retrouve
01:02:52avec de nouvelles vraies voix
01:02:54demain à partir de 18h
01:02:55et dans un instant
01:02:56Aurélie Gros
01:02:57Stéphane Pelé
01:02:57on va vous parler
01:02:58d'associatif
01:02:59à tout de suite
01:02:59Sud Radio
01:03:01Parlons Vrai
01:03:02Parlons Vrai
01:03:03Sud Radio
01:03:04Parlons Vrai
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