Passer au playerPasser au contenu principal
  • il y a 2 heures
A la une de cette édition, nous analyserons en détail le nouveau plan de paix américano-russe pour le règlement du conflit en Ukraine qui est actuellement discuté entre les différentes parties.

Nous reviendrons ensuite sur la saga budgétaire au Sénat, une affaire qui s’éternise.

Et enfin, direction l’Angleterre où la gauche au pouvoir serre la vis en matière d’immigration.

Catégorie

🗞
News
Transcription
00:00Nous sommes à la croisée des chemins.
00:02TV Liberté n'a jamais été aussi puissante,
00:05mais les tentatives de nous anéantir n'ont jamais été aussi nombreuses.
00:09Alors que nous allons bientôt atteindre le million d'abonnés sur notre chaîne YouTube principale,
00:13nos contenus sont infisibilisés, cachés, étouffés, pour minimiser notre force de frappe.
00:18Les ordres du pouvoir politico-financier pour nous priver de comptes bancaires
00:22ont dévoilé leur volonté de nous abattre.
00:25Le coup était dur, coûteux,
00:27et il est temps de montrer à présent au système et ses sbires
00:30que nous frapper, nous faire disparaître n'est plus une option
00:33parce que nous sommes trop nombreux, parce que nous sommes trop déterminés
00:37et qu'ensemble nous sommes plus forts.
00:39Ces attaques, aussi virulentes et basses soient-elles, trahissent en réalité leur peur.
00:44Emmanuel Macron consacre à présent des conférences entières à plaider pour un encadrement,
00:49une censure donc, des médias alternatifs.
00:51Ils ont peur que nous montrions le réel qui démonte leur narratif.
00:56Un exemple parmi d'autres, TVL n'a eu de cesse de dénoncer la corruption qui gangrène l'Ukraine
01:02et aspire l'argent des Français, bien loin des fables humanitaires.
01:06Ces derniers jours, un nouveau scandale de détournement de fonds de plusieurs centaines de millions d'euros
01:10a été révélé au cœur de l'affaire des proches de Zelensky.
01:15Certains ont même déjà fui le pays.
01:16Le monde imaginaire vendu par les médias est en train de s'effondrer.
01:21L'information libre portée par TV Liberté déferle sur leurs mensonges.
01:25La vague les submerge.
01:27C'est l'instant de vérité.
01:29Le système tombe et il faut encore le pousser.
01:33Mais malgré notre détermination, notre dévouement intact,
01:38les coûts que l'oligarchie nous apportait ont eu des conséquences lourdes.
01:42La fermeture de nos comptes, la précarité bancaire
01:45et les obstacles administratifs auxquels nous sommes confrontés ont grévé nos budgets.
01:50Pour aborder 2026, non pas avec sérénité, mais avec assurance,
01:55vous devez vous tenir à nos côtés et nous soutenir.
02:00Nous sommes en première ligne pour vous.
02:01Alors assurez nos arrières.
02:03Faites un don à TVL pour que vive l'information libre.
02:06Et n'oubliez pas que vous pouvez défiscaliser 66% de votre don de vos impôts.
02:11C'est le moyen le plus simple et le plus juste d'arrêter de financer
02:14ceux qui détruisent notre pays.
02:15Alors je compte sur vous.
02:25Madame, Monsieur, bonsoir à la une de cette édition.
02:36Nous analyserons en détail le nouveau plan de paix américano-russe
02:40pour le règlement du conflit en Ukraine
02:42qui est actuellement discuté entre les différentes parties.
02:45Nous reviendrons ensuite sur la saga budgétaire au Sénat.
02:48Une affaire qui s'éternise.
02:50Et enfin, direction l'Angleterre où la gauche au pouvoir
02:53sert la vis en matière d'immigration.
02:59La guerre en Ukraine pourrait-elle s'arrêter très prochainement ?
03:02Le nouveau plan de paix proposé par Washington
03:04et négocié avec Moscou propose tout un éventail de garanties
03:08et de concessions tout en faisant la part belle aux intérêts américains
03:11et en enterrant définitivement l'Europe.
03:14Le décryptage de Nicolas de Lamberterie et de Romain Bessonnet.
03:18Jamais un tel plan de règlement du conflit russo-ukrainien
03:23aux apparences aussi sérieuses n'avait été mis sur la table
03:27depuis le début des hostilités en février 2022
03:31ou à tout le moins connu de la presse et donc du public d'une façon aussi détaillée.
03:37Tout laisse à penser qu'il a été négocié durant de longues semaines
03:40entre Washington et Moscou
03:43et que les scandales de corruption sont tombés plus qu'à pic
03:47pour qu'un tel plan soit communiqué.
03:49En effet, il ne faut pas oublier que ces scandales
03:52qui fragilisent considérablement la position du président Zelensky
03:57émanent d'un organe anticorruption en Ukraine
04:00dans lequel les américains ont une grande influence
04:03et que c'est justement cet organe que le pouvoir ukrainien voulait museler cet été
04:09avant de reculer en raison des pressions occidentales.
04:12On peut clairement considérer comme vraisemblable
04:15l'hypothèse selon laquelle les américains ont appuyé sur le bouton
04:20pour faire vaciller voire faire sauter Zelensky
04:22et dans la foulée faire connaître leur plan de paix négocié avec Moscou.
04:27Contrairement à ce que l'on peut lire dans la presse mainstream européenne,
04:31ce plan est relativement équilibré, impose des concessions à chaque parti
04:36et correspond en tout état de cause à la situation réelle du terrain,
04:41c'est-à-dire une réalité douloureuse pour la partie ukrainienne
04:45et peu satisfaisante pour la partie russe.
04:48Il prévoit le gel de la ligne de front dans les oblastes de Kherson et Zaporizhia
04:53et le retrait ukrainien de l'oblast de Donetsk
04:57en échange du retrait russe des territoires occupés dans les autres oblastes ukrainiens,
05:03notamment ceux de Kharkov et de Nipopetrovsk.
05:06Les territoires annexés par la Russie seraient reconnus russes par les États-Unis,
05:10en échange du renoncement définitif au reste des oblastes de Kherson et de Zaporizhia.
05:17L'accord proposé évite autant que faire se peut l'humiliation pour l'Ukraine,
05:22puisque l'armée russe ne pourrait pas pénétrer dans les territoires du Donbass
05:26dont l'Ukraine se retirerait et l'armée ukrainienne pourrait maintenir jusqu'à 600 000 hommes,
05:32ce qui offre une garantie de défense solide et de réemploi des troupes du front conséquentes,
05:39ce qui semble aussi indispensable pour limiter les risques de troubles,
05:43de désordre civil et d'apparition de phénomènes de type Corfranc.
05:48Selon Romain Bessonnet, la proposition fait surtout la part belle aux intérêts économiques américains
05:54et s'avère être accablante pour les Européens.
05:58Ce plan 28 points, dont on ne sait pas c'est laquelle version qui a fuité dans la presse,
06:02a des aspects intéressants et est, en tout cas, au jour d'aujourd'hui,
06:07la forme la plus aboutie de projets de règlement du conflit.
06:11Alors tout d'abord sur la forme, c'est un plan qui ne concerne pas seulement l'Ukraine,
06:16mais qui balaye en fait tous les conflits existants entre l'Occident et la Russie sur le continent européen.
06:23Il balaye aussi la question des relations russo-américaines.
06:27On voit bien que ce plan est l'aboutissement des deux négociations parallèles
06:32qui sont en cours entre États-Unis et Russie,
06:35c'est-à-dire les négociations menées par Kirill Dimitriev d'un côté et Witkoff de l'autre sur l'Ukraine
06:42et les négociations menées par Sergei Lavrov d'un côté et Marco Rubio de l'autre
06:47sur le rétablissement de relations bilatérales normales entre les États-Unis et la Russie.
06:53Je pense que c'est un point important qu'il faut souligner
06:55et donc ce plan est à la convergence de ces deux négociations.
06:59Cet accord est porté essentiellement par le vice-président Vence
07:03et par le secrétaire d'État à l'armée de terre, Daniel Driscoll,
07:07qui est l'un de ces très proches étant donné qu'ils sont allés à la fac ensemble
07:11et que ce sont des personnalités du même profil.
07:13Ce sont deux personnalités qui sont économes des interventions militaires des États-Unis.
07:19Et ça, on le voit bien dans la rédaction du plan, étant donné que tout ce qui concerne les garanties de sécurité,
07:25par exemple, sont très très encadrés.
07:28Les mots sont pesés au millimètre pour éviter un engagement des États-Unis sur une question fortuite.
07:35Ça, je pense que c'est très important.
07:36Ensuite, on voit bien la patte de Trump et Wittkov dans ce plan,
07:39étant donné que sur le plan économique, donc reconstruction de l'Ukraine,
07:44les Américains gagnent sur tous les tableaux.
07:46C'est-à-dire que là, on est sur ce plan.
07:48S'il était adopté, serait le couronnement de la politique de déshabillage économique de l'Europe
07:53qui a commencé avec l'adoption des premières sanctions européennes contre la Russie
07:57au lendemain du 24 février 2022.
07:59Effectivement, il est prévu dans ce plan que l'intégralité des fonds gelés russes
08:06devront être dégelés par les pays du G7
08:10et que sur ces fonds dégelés, 100 milliards de dollars iront à un fonds de développement et de reconstruction de l'Ukraine
08:16dont je pense qu'il sera fusionné avec le fonds sur les terres rares et les minéraux critiques
08:24que l'Ukraine avait signés au mois de mars dernier avec les États-Unis.
08:28Et ce fonds, il est prévu dans l'accord qu'il serait dirigé par les Américains.
08:34Dans ce fonds, on ajouterait 100 milliards de dollars d'argent européen.
08:39Et enfin, le reste des fonds gelés, donc les fonds gelés russes,
08:43moins les 100 milliards de dollars versés dans ce fonds dirigé par les États-Unis,
08:47iront dans un fonds commun russo-américain
08:50pour le développement des relations économiques entre les deux pays.
08:54Enfin, sur le fonds de développement et de reconstruction de l'Ukraine,
08:57les USA recevraient 50% des profits effectués par le fonds d'investissement.
09:03Troisième aspect du plan qui est important, c'est sur la coexistence pacifique en Europe.
09:08Il est prévu donc l'arrêt complet de tout élargissement de l'OTAN.
09:13C'est un point important.
09:14C'est-à-dire que la question non seulement de l'Ukraine,
09:17mais aussi de l'adhésion de la Géorgie et éventuellement de l'Arménie,
09:22serait maintenant réglée, c'est-à-dire qu'il n'y aura plus un seul élargissement de l'OTAN,
09:26que l'Ukraine devra intégrer dans sa constitution le fait de ne jamais demander son adhésion à l'OTAN.
09:31Et enfin, il est prévu le rétablissement du conseil UE-OTAN
09:37avec participation des États-Unis escalités
09:40pour régler les problèmes de sécurité entre l'Alliance et la Russie
09:44et rentrer dans une politique de désescalade entre les deux blocs.
09:47L'accord prévoit également d'autres concessions,
09:51notamment sur l'usage de la langue russe et autres langues minoritaires en Ukraine.
09:56Reste à voir comment cette proposition sera accueillie à Kiev et à Bruxelles
10:01et si les euro-mondialistes ont encore les marges de manœuvre nécessaires
10:05pour rejeter ce projet et donc poursuivre les hostilités
10:09dans une période difficile où les forces armées de la Fédération de Russie
10:14progressent significativement et où le pouvoir à Kiev vacille.
10:18D'une façon ou d'une autre, par la négociation ou par l'épuisement,
10:22il se pourrait bien que la fin du conflit soit plus proche que jamais.
10:30Et alors que les propos du chef d'état-major des armées
10:33sur le fait que le pays doit être prêt à l'horizon 3-4 ans
10:36à accepter de perdre des enfants,
10:39Édouard Channot est allé interroger des Parisiens place d'Italie sur cette question.
10:43C'est vraiment hallucinant d'entendre ça.
10:45Voilà, le monde a connu des guerres, il en connaît encore.
10:49Et jusqu'où va-t-on ?
10:51Et qui sont ces décideurs ?
10:53Je ne suis pas, je n'ai rien contre les hommes,
10:55je ne suis pas misandre comme on dit,
10:57mais franchement, il faut arrêter,
10:59arrêter de faire des guerres.
11:01Qui sont ces hommes décideurs, avides de sang ?
11:05Enfin, c'est la finance aussi, ils sont avides d'argent dans tout ça,
11:08parce que c'est l'argent qui mène le monde.
11:10On est sûr que quand les enfants vont à la guerre,
11:12il y a des risques pour défendre le pays.
11:14Regardez, en Ukraine, on ne peut pas faire autrement
11:16s'il y a la guerre un jour, non ?
11:19Enfin, je n'espère pas pour nos petits-enfants, moi.
11:22Ça me choque terriblement même,
11:24parce que je n'ai pas envie de perdre mes enfants,
11:27ni mon fils, ni les enfants de mes amis,
11:29ni qui que ce soit.
11:33Déjà, il faudrait savoir pourquoi.
11:34C'est très grave.
11:36Je trouve qu'on n'est pas en guerre,
11:39on y va peut-être tout droit.
11:41Mais on n'a pas à dire la perte des enfants comme ça.
11:45Il y a plein de choses intéressantes dans la vie.
11:47Voilà, pour faire la guerre.
11:49Et si on a des ancêtres qui ont fait la guerre,
11:51ils savent très bien que
11:52ce n'est pas drôle ce qu'on se met avec une jambe en moins,
11:55trois bras en moins,
11:56quatre pieds en moins,
11:57il ne reste plus rien.
11:58Non, non, moi, je suis pour préserver la vie,
12:01de toute façon.
12:02Écoutez, je crois qu'on a le droit
12:03de ne pas avoir un avis sur tout et tout de suite.
12:06Donc, je me donne un peu de temps
12:07pour me faire une opinion sur la question.
12:09Ben oui, il fait peur à tout le monde.
12:11C'est très lointain
12:12et en même temps, c'est très proche.
12:14Mais bon, voilà, quoi.
12:16Dans tous les cas,
12:17ce n'est pas très rassurant.
12:18Et je crois qu'en ce moment,
12:20on n'a pas très besoin de ça, quoi.
12:22Je suis contre la proposition de Macron.
12:26Il est malade.
12:27Il ne défend pas son pays.
12:28Il défend le pays voisin.
12:31Moi, je suis contre
12:32qu'il envoie les Français à la guerre.
12:34Non, je ne suis pas d'accord avec lui.
12:37Pas du tout, ça ne me choque pas
12:38parce qu'effectivement,
12:39si on a la guerre,
12:41il faudra accepter
12:42beaucoup plus de choses encore.
12:44L'amour de nos enfants,
12:46la vie difficile.
12:49Moi, j'ai des petits-enfants.
12:51Ils ont la vie devant eux.
12:52J'espère que ça continuera.
12:54La guerre, c'est terrible.
12:56Il faut l'éviter à tout prix.
12:57Je pense qu'il n'a pas d'enfants, ce monsieur.
13:01Voilà.
13:01Si c'est ça, l'armée,
13:03de lâcher un canon, les enfants, non.
13:05C'est pas assez de mode, ça.
13:06Le budget est toujours à l'étude.
13:08La lutte des chambres sur la mouture finale
13:10pourrait accoucher d'une loi spéciale
13:12pour éviter un blocage,
13:14état des lieux et explications.
13:16Le président Larcher s'est engagé
13:17à ce que les deux budgets,
13:19projet de loi de finances de la Sécurité sociale
13:21et projet de loi de finances,
13:22sortent du Sénat.
13:22C'est pas une loi spéciale.
13:23Sortent du Sénat.
13:24C'est-à-dire que nous,
13:24nous irons au bout des débats.
13:25Le Sénat ira au bout.
13:27Frédéric Puissa,
13:28sénatrice LR de l'ISER,
13:29a affirmé jeudi la détermination
13:31de son parti pour aller au bout
13:32de l'examen budgétaire.
13:34L'examen du projet de loi de finances
13:36et du projet de loi de financement
13:37de la Sécurité sociale
13:38se poursuit ainsi devant la Chambre haute
13:40où la droite et le centre sont majoritaires
13:43et ont apporté des modifications significatives
13:45au texte issu de l'Assemblée
13:47visant à redresser les comptes publics.
13:50Ces changements soulignent
13:51les divergences idéologiques et budgétaires
13:54et augmentent le risque d'une impasse
13:55potentiellement résolue par une loi spéciale.
13:58Jeudi, le Sénat a ainsi entamé
14:00l'examen du PLFSS
14:02en rétablissant deux mesures controversées
14:04supprimées par les députés.
14:06D'abord, le gel du barème
14:07de la contribution sociale généralisée,
14:09la fameuse CSG,
14:10pour les revenus de remplacement
14:12tels que les pensions de retraite,
14:13les allocations chômage
14:14et les pensions d'invalidité.
14:15Cette disposition limitée à l'année 2026
14:18devrait rapporter environ 300 millions d'euros.
14:21Le rapporteur général centriste
14:22Elisabeth Douano a justifié ce choix
14:24par la nécessité de combler
14:26un déficit abyssal.
14:28La gauche, c'est un surjet
14:29dénonçant des conséquences néfastes
14:32pour les Français modestes.
14:33Les échanges ont été l'occasion
14:35de pitreries récréatives
14:36comme avec le député macroniste
14:38Denis Maceglia
14:39qui a proposé de créer une taxe
14:41qui toucherait les députés
14:42proposant de nouvelles taxes.
14:44C'est quoi cette contribution ?
14:47C'est de proposer de taxer
14:48les députés qui déposent
14:50des amendements
14:50qui proposent des taxes.
14:53Cette contribution,
14:54elle aurait trois buts.
14:56D'abord, réduire le déficit.
14:58Et vu des idées que vous avez,
15:00c'est possible qu'on se retrouve
15:01très rapidement à l'équilibre.
15:03Ensuite, lutter contre
15:05l'obésité taxative.
15:07C'est une obligation d'ailleurs
15:08de santé publique.
15:10Et enfin, protéger une espèce
15:12en voie de disparition
15:13à savoir le député
15:15qui veut réduire la dépense.
15:16Merci.
15:17Petit tacle aux élus de gauche
15:18et aux députés.
15:20Mais après cela,
15:21le Sénat a rétabli une taxe
15:22sur les complémentaires santé,
15:23les mutuelles et assurances
15:25censées générer
15:26un milliard d'euros en 2026.
15:28Le gouvernement souhaitait même
15:29l'alourdir de 100 millions
15:31pour financer la suspension
15:32de la réforme des retraites.
15:33Mais le Sénat s'y est opposé,
15:35préférant l'idée de rétablir
15:36ultérieurement la réforme borne.
15:38Par ailleurs, comme à l'Assemblée,
15:40le Sénat a rejeté
15:41une cotisation patronale
15:42sur les tickets restaurants
15:43et chèques vacances
15:44qui auraient rapporté
15:45950 millions,
15:47mais pesé sur les employeurs
15:48et donc,
15:49in vinais,
15:50sur les salariés.
15:51Une convergence
15:52s'est dessinée
15:53sur l'extension
15:54d'une déduction forfaitaire
15:55de cotisation patronale
15:56sur les heures supplémentaires
15:58aux entreprises
15:58de plus de 250 salariés,
16:00coûtant 130 à 140 millions d'euros.
16:03La gauche a obtenu
16:04une petite victoire
16:05avec un amendement socialiste
16:07soumettant aux cotisations sociales
16:09les primes d'intéressement
16:10et de participation
16:11excédant 6 000 euros
16:13pour les salaires
16:13supérieurs à 3 SMIC.
16:15Ces votes ne sont pas définitifs.
16:17Les débats sur le PLFSS
16:19se poursuivront
16:20entre les deux chambres
16:21jusqu'au début du mois de décembre
16:22au plus tôt,
16:24potentiellement via une commission
16:25mixte paritaire
16:26pour trouver un compromis.
16:28Frédéric Puissa
16:28estime qu'il serait bon
16:30que l'Assemblée reparte
16:31avec la copie du Sénat.
16:33On repartira de la copie du Sénat
16:35qui est une copie
16:36qui aura été travaillée
16:37jusqu'au bout
16:37et nous l'espérons
16:39de façon à ce qu'effectivement
16:40on évite le catastrophisme
16:42de repartir de rien
16:44parce que pour les Français
16:45ça serait catastrophique.
16:46Éviter une catastrophe,
16:47ainsi le déficit
16:48de la sécurité sociale
16:49porté à 24 milliards d'euros
16:51par l'Assemblée
16:52contre 17,5 milliards
16:53dans le projet initial
16:55reste un point
16:56de friction majeur.
16:57Pour le budget de l'État,
16:59l'examen patine à l'Assemblée
17:00avec des mesures
17:02comme la suppression
17:02de la TVA
17:03sur les produits
17:04de première nécessité
17:05adoptés contre
17:06l'avis du gouvernement.
17:07Le Sénat,
17:08qui attend de s'en saisir,
17:09pourrait là encore
17:10détricoter davantage le texte.
17:13Face à ce risque d'impasse,
17:15le ministre des Relations
17:15avec le Parlement,
17:16Laurent Pannifou,
17:17a évoqué jeudi
17:18un recours
17:19à une loi spéciale
17:20si le processus budgétaire
17:22n'est pas achevé
17:22d'ici le 31 décembre.
17:24Ce mécanisme
17:25permettrait à l'État
17:26de percevoir les impôts
17:28tout en gelant
17:28les dépenses par décret
17:30évitant un blocage.
17:31Contrairement aux ordonnances
17:33écartées par le Premier ministre
17:34Sébastien Lecornu
17:35qui ne souhaite pas
17:36y recourir,
17:37cette loi spéciale
17:38maintiendrait un rôle
17:39pour le Parlement.
17:41Les débats budgétaires
17:42pourraient ainsi reprendre
17:43début 2026
17:44et se prolonger
17:45encore et encore.
17:47God save the white.
17:52La gauche britannique
17:53parle de reprendre
17:54le contrôle des frontières.
17:55Le gouvernement travailliste
17:56présente un projet
17:57migratoire ambitieux.
17:59Renaud de Bourleuf.
18:00Les Anglais roulent
18:01dans une nouvelle direction.
18:02Le gouvernement travailliste
18:03prétend préparer
18:05les changements
18:05les plus importants
18:06apportés au système
18:07d'asile britannique
18:08à l'époque moderne.
18:09Alors que la crise migratoire
18:10bat son plein Outre-Manche
18:11et que les Britanniques
18:12descendent dans les rues,
18:13le ministre de l'Intérieur
18:14Shabana Mahmoud
18:15a annoncé vendredi 14 novembre
18:17une réforme ambitieuse.
18:19Elle a commencé
18:19par présenter le contexte
18:20auquel la Grande-Bretagne
18:21est confrontée.
18:22Sur les quatre dernières années,
18:23400 000 clandestins
18:25ont demandé l'asile
18:26et comme le souligne
18:26le ministre elle-même,
18:28au moins 100 000
18:28ont été logés
18:29et pris en charge
18:30aux frais des contribuables.
18:32Non, non,
18:32ce n'est ni Nagel Farage
18:33ni Tommy Robinson
18:34qui parlent ainsi,
18:35c'est bien le ministre
18:36de l'Intérieur travailliste.
18:37Nous devons réduire
18:38le nombre de ceux
18:39qui viennent illégalement.
18:40Nous devons expulser
18:41un plus grand nombre
18:42de ces personnes
18:43qui n'ont pas le droit
18:44de se trouver ici.
18:45Nous serons toujours
18:46un pays sanctuaire
18:47pour ceux qui fuient le danger
18:48mais nous devons restaurer
18:50l'ordre et le contrôle.
18:52Lundi,
18:53les mesures ont été précisées.
18:54Le projet du gouvernement
18:55est de réduire
18:56la durée du droit de séjour
18:57de 5 ans à 30 mois
18:59et de multiplier par 4,
19:01de 5 à 20 ans,
19:03le délai nécessaire
19:04pour demander
19:04à devenir résident permanent.
19:06Il est aussi envisagé
19:07de mettre un terme
19:08à l'accès automatique
19:10aux aides sociales,
19:11logements,
19:11allocations financières,
19:12pour les demandeurs d'asile.
19:14En résumé,
19:15l'idée est de ne plus
19:16donner envie aux clandestins
19:17de traverser la Manche
19:18pour venir se servir.
19:20De quoi susciter
19:20la fureur
19:21de nombreux députés
19:22travaillistes
19:22qui fustigent
19:23un alignement
19:23sur Reform UK,
19:24le parti souverainiste
19:25fondé par Nagel Farage,
19:27qui continue de monter
19:28dans les sondages.
19:29Yann Valery,
19:30journaliste spécialiste
19:31du monde anglo-saxon,
19:32commente l'action
19:32de ce gouvernement
19:33qui a visiblement fléchi
19:34devant les fortes
19:35manifestations anti-immigrationnistes,
19:37déclenchées souvent
19:38après des agressions sexuelles
19:39commises contre des blanches
19:40par des clandestins
19:41logés dans les hôtels.
19:41C'est un gouvernement
19:42aux abois,
19:43parce que c'est vrai
19:44que c'est un gouvernement
19:44travailliste,
19:45donc de gauche.
19:47Il prend des mesures
19:47qui sont beaucoup plus radicales
19:49qu'un gouvernement de droite.
19:50Ce qui se passe,
19:51c'est que la ministre
19:51de l'Intérieur,
19:52donc Shabana Mamou,
19:53sa réforme est qualifiée
19:54de plus importante
19:55refonte du système d'asile
19:57depuis des décennies.
19:58Ils ont viré
19:58le plan Rwanda
20:00des conservateurs
20:01et ils ont durci,
20:01en fait,
20:02en s'inspirant tout simplement
20:03du modèle danois.
20:04Mais ils s'en inspirent
20:05en fait sous la pression populaire.
20:07Effectivement,
20:07il y a les manifestations.
20:08Il y a des analystes,
20:09y compris loin d'être
20:11des analystes diabolisés
20:12et habituels
20:13qui prédisent une guerre civile
20:14au Royaume-Uni.
20:15Donc, ils savent
20:16que la population
20:17ne leur pardonnera pas
20:18le moindre écart.
20:19Les mesures qu'ils viennent
20:20de prendre là
20:20sont particulièrement importantes.
20:23On sait qu'il y a
20:25des centaines de milliers
20:25de migrants
20:26qui ont traversé
20:26la Manche depuis 2018.
20:28En 2025,
20:30on approche déjà
20:30les 40 000 arrivées.
20:32Les conservateurs
20:33n'avaient rien fait.
20:34Le coût de l'hébergement
20:35dans les hôtels
20:36dépasse le 8 millions
20:37de livres par jour
20:38à certains moments.
20:39Il y a des problèmes
20:40de logement énormes.
20:41Et donc, face à ça,
20:42face à cette colère
20:43aussi populaire
20:43avec ces manifestations
20:44qui se développent
20:46et avec aussi
20:46la montée du parti
20:47Reform UK
20:48de Nagel Farage,
20:49forcément,
20:50le gouvernement
20:51cherche à prendre
20:51des mesures radicales.
20:53Je pense en plus
20:53que c'est assez pernicieux
20:54parce que c'est
20:55au-delà de changer
20:56la situation au Royaume-Uni.
20:58C'est vraiment aussi
20:59à des visées électorales.
21:00Il y a des élections
21:00qui arrivent.
21:01Il y en a certaines
21:02des municipales
21:02qui ont déjà été reportées
21:03par peur
21:04tout simplement
21:05d'une vague
21:06Reform UK.
21:07et en fait,
21:07ce sont là
21:08des mesures électorales
21:09à voir si elles sont
21:10suivies dans les faits.
21:11Le député Reform UK
21:11Richardis affirme
21:13que le projet gouvernemental
21:14ne fait que reprendre
21:15la ligne de son parti
21:16mais que les travaillistes
21:17vont se heurter
21:18à une partie
21:18de leur majorité
21:19ainsi qu'à la Cour suprême
21:21et à la Cour européenne
21:22des droits de l'homme.
21:23C'est pourquoi malgré tout
21:24le bruit et les fanfaronnades
21:25cela ne changera rien.
21:27Ça peut être un jeu pieux
21:28comme d'ailleurs
21:29beaucoup d'autres pays
21:30sont empêchés
21:31et d'ailleurs c'est pour ça
21:32que Reform UK
21:33eux proposent
21:34quelque chose
21:34de plus radical
21:35puisqu'ils veulent
21:35eux carrément sortir
21:36des accords
21:37qui les lient
21:38à la Cour européenne
21:39des droits de l'homme
21:39ce que ne propose pas
21:40le gouvernement
21:41travailliste actuel.
21:43Donc oui,
21:43ils vont être toqués
21:44puisqu'il y aura
21:45bien évidemment
21:45un combat juridique
21:46qui va s'amorcer derrière
21:47et de toute façon
21:48ce combat juridique
21:49sera tellement long
21:50que le gouvernement
21:51travailliste
21:52ne devrait pas
21:53lui survivre
21:53parce qu'ils peuvent
21:55lancer cette réforme
21:56tant qu'il y aura
21:57des procédures administratives
21:58il y aura des blocages
21:59et ça va poser problème.
22:01Et de toute façon
22:01ce qui se passe
22:02au Royaume-Uni actuellement
22:03on peut le multiplier
22:04par l'intégralité
22:05des pays d'Europe
22:06qui sont pieds et points liés
22:07à cause de toutes ces
22:09juridictions internationales
22:11pour lesquelles les peuples
22:12d'ailleurs n'ont jamais voté
22:14qui empêchent
22:15toute réforme réelle.
22:16Il y a aussi
22:17un manque de volonté politique
22:18bien sûr
22:18puisqu'on peut
22:19du jour au lendemain
22:20on peut décider
22:21de rompre
22:21les traités internationaux
22:22donc il y a ce manque
22:23de volonté politique
22:24mais ce qui est évident
22:24c'est que oui
22:25ces réformes
22:26qui sont quand même
22:27assez radicales
22:28enfin en tout cas
22:29qui sont dans l'air du temps
22:30on va dire
22:31ces réformes
22:31risquent de rester
22:33le statut
22:33d'effet d'annonce.
22:34Les britanniques eux-mêmes
22:35ne semblent pas y croire davantage.
22:37Ces derniers jours
22:37des manifestations ont eu lieu
22:38dans le sud de l'Angleterre
22:39ainsi qu'en Écosse
22:40la population n'acceptant pas
22:41de voir des clandestins
22:42hébergés dans les hôtels
22:43parfois sans informations préalables
22:45et pendant ce temps
22:45la presse britannique dévoile
22:47que plus de 200 résidents
22:48d'hôtels pour clandestins
22:50ont été mis en examen
22:51dans l'année
22:51dont plus de 100
22:52pour des violences
22:53et 44
22:54pour des agressions sexuelles.
23:00Passons à présent
23:01à l'actualité
23:01en bref en France.
23:04Il tient les promesses
23:06même celles des autres.
23:07Le premier ministre
23:08Sébastien Lecornu
23:09a annoncé
23:10lors du 107ème
23:11congrès des maires
23:12à Paris
23:12un méga décret
23:13qui supprimera
23:14d'ici Noël
23:15une trentaine de normes
23:16surréalistes.
23:17Un air de déjà-vu
23:18avec le choc
23:19de simplification
23:19de François Hollande
23:20qui n'avait évidemment
23:21rien donné.
23:23Ça aurait ainsi supprimé
23:24la vidange annuelle
23:25des piscines municipales
23:26et 70 autres éléments
23:27prévus entre janvier et février
23:28pour faciliter
23:28le prochain mandat municipal.
23:30Encore faudrait-il
23:31tenir à Matignon
23:32jusque-là.
23:33Les macronistes
23:34vattent en guerre
23:35appuient-ils
23:35sur la pédale de frein ?
23:37Ce vendredi
23:37le porte-parole du gouvernement
23:38Maude Bréjon
23:39est revenu sur les propos
23:40du chef d'état-major des armées
23:41le général Mendon
23:42qui disait quelques jours plus tôt
23:43que la France
23:44doit accepter
23:45de perdre ses enfants.
23:46Nos enfants
23:47au sens où on l'entend
23:48ne vont pas aller combattre
23:50et mourir en Ukraine.
23:51Le chef d'état-major des armées
23:53parlait de tous ces soldats
23:55qui, il le dit
23:55un petit peu avant
23:56cette séquence-là
23:57sont déployés
23:58partout dans le monde
23:59et ont entre 18 et 27 ans.
24:02Des propos
24:02qui apportent
24:03une nuance
24:04mais sans contradiction
24:04sur le fond
24:05et surtout sans éclairage
24:06sur la question
24:07de la réalité
24:08ou non d'un affrontement
24:09direct entre la France
24:10et la Russie.
24:10Le procès de la maison
24:12de l'horreur
24:13se termine.
24:14Un individu
24:14du nom de Maquette
24:15était accusé
24:16de violence physique
24:17et psychologique
24:18de séquestration
24:18et d'actes de barbarie
24:20sur ses 4 compagnes
24:21et les 28 enfants
24:22qui vivaient dans la maison
24:23qu'il occupait
24:24à Nogaro
24:25dans le Gers
24:25depuis le début
24:26de l'année 2019.
24:27Des scènes de cauchemars
24:28qui ont pris fin en 2022
24:29lorsqu'une de ses compagnes
24:30s'est échappée.
24:31Mercredi,
24:32la cour d'assises du Gers
24:33a condamné le nommé Maquette
24:34à 30 ans
24:35de réclusion criminelle
24:36à sortir d'une période
24:37de sûreté incompressible
24:38de 20 ans
24:39la peine qui était requise.
24:41Il a aussi été déchu
24:42de l'autorité parentale
24:42sur les enfants mineurs
24:43dont il avait la garde.
24:45Angoulême,
24:46temple du gauchisme
24:47à la dérive.
24:47Le célèbre festival
24:48international
24:49de la bande dessinée
24:50s'approche de plus en plus
24:51de l'annulation.
24:52Les financeurs publics
24:53du festival
24:53dont les collectivités locales
24:54et l'État
24:55qui représentent
24:5550% du budget
24:56exhortent les organisateurs
24:58à annuler
24:59l'édition 2026
25:00prévue du 29 janvier
25:01au 1er février.
25:03Le boycott
25:03de dessinateurs
25:04et professionnels du secteur
25:05fait suite
25:05à des accusations
25:06de mauvaise gestion,
25:07d'opacité financière
25:08et de management
25:09dit toxique.
25:10Seul Rachida Dati,
25:11ministre de la Culture
25:12et l'organisation
25:13espèrent encore
25:14sauver l'événement
25:15malgré une subvention
25:16réduite de plus de 60%.
25:17Pour Noël,
25:18si vous aimez
25:19les bandes dessinées,
25:20les éditions du Triumph
25:21ainsi que Renal Secher édition
25:22proposent de nombreuses BD
25:24d'excellentes factures
25:25et pourtant
25:25jamais invitées
25:26à Angoulême.
25:30L'actualité internationale
25:32en bref.
25:32Notre maison brûle
25:37pour une fois,
25:37c'est vrai.
25:38En pleine conférence climat
25:39COP30 au Brésil,
25:40un incendie
25:41s'est déclaré
25:42jeudi après-midi
25:42dans la zone
25:43des pavillons
25:44du site de Belém
25:45déclenchant l'évacuation
25:47de milliers
25:47de participants.
25:49Les flammes
25:49parties d'un stand
25:50près de l'entrée
25:51vers 14h,
25:52heure locale,
25:52ont rapidement
25:53endommagé le toit
25:54du grand chapiteau blanc
25:55provoquant la panique.
25:5713 personnes ont été
25:57traitées sur place
25:58pour inhalation de fumée
25:59tandis que la cause
26:00probable,
26:01un appareil électrique
26:02comme un micro-ondes
26:03ou un téléphone
26:04en charge,
26:05reste à confirmer.
26:06Les négociations
26:06cruciales
26:07sur l'adaptation
26:07climatique
26:08et l'abandon
26:08des énergies fossiles
26:09ont été suspendues
26:10pendant des heures,
26:11le site fermé
26:12pour expertise
26:13de sécurité.
26:14Les marchés asiatiques
26:15ont chuté
26:16vendredi matin
26:17plombé par un repli
26:18des actions technologiques
26:19face aux doutes
26:20sur les valorisations
26:21excessives de l'IA.
26:22Le Nikkei à Tokyo
26:23a perdu 2,32%
26:25tandis que le Topix
26:26a reculé
26:27de 0,45%.
26:28A Séoul,
26:29l'indice principal
26:30a cédé 3,7%
26:31et à Sydney,
26:32il a lâché 1,4%.
26:33Des baisses similaires
26:35sont attendues
26:35en Hong Kong
26:36et Taipei.
26:37Le secteur de la tech
26:38est durement touché.
26:39Softbank Group
26:40a dévissé de 10%
26:41à Tokyo.
26:42Kyoxia de 16%.
26:44A Séoul,
26:44SKINX a chuté
26:46de plus de 7%
26:47et Samsung Electronics
26:48de 6%.
26:49Ces mouvements
26:49s'inscrivent
26:50dans la foulée
26:50d'une dégringolade
26:52à Wall Street.
26:52Le Nasdaq avait lui
26:53plongé de 2,15%.
26:55Le plus bas en deux mois,
26:56le Dow Jones
26:57de 0,84%
26:58et le S&P 500
27:00de 1,55%.
27:02Les investisseurs
27:03s'inquiètent
27:03d'investissement
27:04en IA trop rapide
27:05par rapport
27:06au retour financier
27:07réel
27:07et à la rentabilité
27:08des infrastructures.
27:10Takahashi joue
27:11son vatou
27:12pour relancer
27:12l'archipel.
27:13La patronne
27:13du gouvernement
27:14japonais
27:14Sanae Takahashi
27:15a annoncé vendredi
27:16un méga plan
27:17de relance
27:17de 21 300 milliards
27:19de yens
27:19117 milliards d'euros.
27:21Objectif
27:22contrer l'inflation
27:23à 3%
27:23à la chute du yens
27:24et la récession.
27:25Le paquet
27:25inclut des subventions
27:26à l'énergie,
27:27des baisses d'impôts
27:27et des aides directes
27:29aux ménages.
27:30Malgré une dette publique
27:30à 233% du PIB,
27:32Tokyo assume
27:33ce stimuli massif.
27:35Des économistes
27:35critiquent
27:36l'absence
27:36de réformes
27:37structurelles
27:37et la faiblesse persistante
27:38du yens.
27:39La Banque du Japon
27:40pourrait relever
27:41ses taux
27:41dès décembre.
27:42Les marchés
27:43restent nerveux
27:43face à ce énième
27:44grand soir
27:45budgetaire nippon.
27:47Les limites
27:47de l'automédication
27:48aux Pays-Bas
27:49Jordi,
27:49Van W.
27:50et Stéphane P.
27:51responsables du site
27:52Funcaps
27:53seront jugées
27:54en février 2026
27:55pour la mort
27:55d'au moins 45 personnes
27:57ayant consommé
27:58des nouvelles substances
27:59psychoactives
28:00vendues illégalement.
28:02Le procureur
28:02les accuse
28:03de faire commerce
28:04de la misère humaine
28:05avec des gains
28:06en millions.
28:07Ces produits
28:07de synthèse
28:08imitant le cannabis
28:09ou la cocaïne
28:10étaient destinés
28:11à la recherche
28:11mais promus
28:12pour des effets
28:12euphorisants.
28:14Après des interdictions,
28:16d'autres sites
28:16demeurent en ligne.
28:17Les accusés
28:18risquent 15 à 30 ans
28:19de prison.
28:20En Belgique,
28:21ils avaient écopé
28:21de 120 heures
28:22de travaux
28:23d'intérêt général
28:23pour des cas similaires.
28:28Ce soir,
28:29tête à clash
28:29et demain
28:30pour le samedi politique.
28:31Élise Blaise
28:31reçoit Éric Zemmour
28:32pour évoquer
28:33la situation politique
28:34en France
28:34et son dernier ouvrage
28:35sur l'indissociable
28:36lien entre la France
28:37et la chrétienté.
28:39Dimanche,
28:39un zoom
28:40avec les journalistes
28:41Jean Sevilla
28:41et Jean-Christophe Buisson
28:42sur les origines
28:43des guerres civiles
28:45et également
28:45terre de mission.
28:47Enfin lundi,
28:47dès 7h,
28:48un zoom
28:48avec Philippe Royer,
28:49chef d'entreprise
28:50sur la mutation
28:51du monde agricole français.
28:53C'est la fin
28:53de cette édition.
28:54Merci de votre fidélité,
28:55bonne fin de semaine
28:55à tous
28:56et à lundi.
28:57Sous-titrage Société Radio-Canada
29:00Sous-titrage Société Radio-Canada
29:03Sous-titrage Société Radio-Canada
29:06Sous-titrage Société Radio-Canada
29:09Sous-titrage Société Radio-Canada
Écris le tout premier commentaire
Ajoute ton commentaire

Recommandations

1:20:50
À suivre