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A la une de cette édition, la macronie n’en finit plus d’essayer de détourner l’attention des Français avec le spectre d’une future entrée en guerre contre la Russie en Ukraine.
Rendre invisible, marginaliser, faire taire… Les pouvoirs en place à la manœuvre contre la presse alternative et dissidente. Une nouvelle illustration du phénomène avec l’affaire Sleeping Giants contre le média Frontières.
Saga Africa, attention aux secousses. Macron n’est pas seulement en échec en Europe et sa tournée africaine est l’occasion de rappeler le recul désastreux de la France sur le continent africain.
Rendre invisible, marginaliser, faire taire… Les pouvoirs en place à la manœuvre contre la presse alternative et dissidente. Une nouvelle illustration du phénomène avec l’affaire Sleeping Giants contre le média Frontières.
Saga Africa, attention aux secousses. Macron n’est pas seulement en échec en Europe et sa tournée africaine est l’occasion de rappeler le recul désastreux de la France sur le continent africain.
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00:00On ne se tait pas, on ne se vend pas, on informe.
00:03Pas de pub, pas de subvention, pas d'actionnaire,
00:06mais 1 million d'abonnés sur YouTube,
00:08le double, 2 millions sur les réseaux sociaux
00:10et 250 millions de vues en quelques années.
00:14Et puis, et puis vous les donateurs, vous tous,
00:16et une équipe soudée qui enquête, qui documente,
00:19qui raconte ce que personne d'autre ne raconte
00:21et qui a acquis en 12 ans le sérieux et la crédibilité
00:25pour se démarquer du lot commun.
00:27Cette liberté a un prix.
00:30Pour continuer à produire des enquêtes, des documentaires,
00:33des émissions longues, pour tenir tête à ces géants,
00:35pour sortir financièrement du rouge et bétonner le budget 2026,
00:40TV Liberté a besoin de vous.
00:42Chaque don, chaque soutien est une arme contre la censure et les dictates,
00:46une pierre à l'édifice de la vérité,
00:49celle qui rend libre et du véritable pluralisme.
00:52Avec votre soutien, délivré du contrôle des banques,
00:55mais aussi de l'État, des oligarques, des annonceurs,
00:58nous avançons encore et encore.
01:01On ne se tait pas, on ne se vend pas, on résiste.
01:05Madame, Monsieur, bonsoir.
01:31À la lune de cette édition, la Macronie n'en finit plus d'essayer de détourner
01:34l'attention des Français avec le spectre d'une future entrée en guerre
01:38contre la Russie en Ukraine.
01:40Rendre invisible, marginaliser, faire taire les pouvoirs en place
01:43à la manœuvre contre la presse alternative et dissidente.
01:47Une nouvelle illustration du phénomène avec l'affaire Sleeping Giants
01:50contre le média frontière.
01:52Saga Africa.
01:53Attention aux secousses, Macron n'est pas seulement en échec en Europe
01:57et sa tournée africaine est l'occasion de rappeler le recul désastreux
02:01de la France sur le continent africain.
02:07Disco va-t-en-guerre du chef d'État-major des armées,
02:09guide de survie digne d'un enfant de 8 ans distribué aux Français.
02:13La Macronie finissante ne sait plus quoi inventer
02:15pour détourner l'attention des Français de leurs problèmes réels.
02:18Du quotidien, Nicolas de Lamberterie.
02:20La Macronie en fin de cycle fait mine d'avoir des rêves humides
02:26de front de l'Est.
02:27En effet, depuis plusieurs années,
02:30les gouvernants euromondialistes
02:32ressassent la thématique d'une confrontation possible à venir
02:37avec les forces armées de la Fédération de Russie
02:40présentées comme une menace pour la sécurité du continent tout entier.
02:44C'était le thème de l'intervention du général Mandon,
02:47chef d'État-major des armées,
02:49qui intervenait au Congrès des maires de France.
02:52Malheureusement, la Russie,
02:55aujourd'hui, je le sais par les éléments auxquels j'ai accès,
03:00se prépare à une confrontation à l'horizon 2030
03:04avec nos pays.
03:07Nous sommes fondamentalement forts.
03:10Nous sommes fondamentalement plus forts que la Russie.
03:14Mais il faut accepter,
03:16il faut accepter que nous vivons dans un monde en risque
03:19et que nous pouvons devoir utiliser la force
03:24pour protéger ce que nous sommes.
03:27Ce qu'il nous manque,
03:29et c'est là que vous avez un rôle majeur,
03:30c'est la force d'âme
03:32pour accepter
03:34de nous faire mal
03:36pour protéger ce que l'on est.
03:38Si notre pays flanche
03:40parce qu'il n'est pas prêt à accepter
03:42de perdre ses enfants,
03:47parce qu'il faut dire les choses,
03:51de souffrir économiquement
03:52parce que les priorités iront
03:54à de la production de défense, par exemple.
03:57Si on n'est pas prêt à ça,
04:02alors on est en risque.
04:03Notons également que Fabien Mandon
04:05a rappelé que non,
04:07l'armée russe ne risquait pas
04:08d'arriver en Alsace,
04:10mais que l'engagement de la France
04:12était selon lui nécessaire
04:14au titre de la solidarité.
04:16On remarquera d'ailleurs
04:17que le lieu d'intervention du général Mandon
04:20n'était sans doute pas anodin,
04:22puisque le Congrès des maires de France,
04:25c'est l'un des rendez-vous par excellence
04:27de la France de la ruralité.
04:29En clair, dans l'éventualité peu probable
04:32d'un engagement français
04:34dans le conflit ukrainien,
04:35l'élite au pouvoir
04:37aurait une préférence assez nette
04:39pour aller recruter
04:40chez les jeunes issus
04:41de la France rurale
04:43et donc autochtone,
04:45plutôt que chez les enfants
04:46de la bourgeoisie des centres-villes
04:48ou chez les Français
04:49de branches des banlieues.
04:51Parmi les politiques français,
04:53c'est surtout Jean-Luc Mélenchon
04:54qui a vivement réagi
04:56aux propos du général Mandon.
04:57Le député RN Sébastien Chenu
05:00a également réagi,
05:01mais de façon plus modérée,
05:03se contentant de déclarer
05:05que le général Mandon
05:06n'a aucune légitimité
05:07pour tenir de tels propos alarmistes.
05:10Et dans l'éventualité
05:11d'un enthousiasme insuffisant,
05:13rappelons que le gouvernement
05:15prépare pour de vrai
05:16quelque chose de beaucoup plus concret,
05:18le renforcement des forces de répression.
05:21Interrogé en commission parlementaire
05:23par le Sénat fin octobre,
05:25le directeur général
05:26de la gendarmerie nationale,
05:28Hubert Bonneau,
05:29a d'ailleurs clairement rappelé
05:30qu'en cas d'engagement
05:31de la France
05:32dans le conflit en Ukraine,
05:33la gendarmerie serait mobilisée
05:35sur le territoire national
05:36en vue, entre autres,
05:38de faire face
05:39à des mouvements de protestation.
05:40Si nous avons un engagement majeur
05:43à l'Est, par exemple,
05:46je pense que ça ne se passera pas
05:50sans agitation sur le territoire national.
05:53Je pense que nous pourrons avoir
05:55l'action de proxy,
05:57des actions de sabotage,
05:58mais aussi des manifestations.
06:02Je ne suis pas sûr
06:03que tous nos concitoyens
06:04soient favorables
06:05à ce type d'engagement, par exemple.
06:07Par ailleurs,
06:07puisque nous sommes en guerre permanente,
06:09tantôt contre les gilets jaunes
06:11en colère,
06:12tantôt contre les virus invisibles,
06:14tantôt contre les russes
06:15qui n'ont toujours pas fini
06:17de conquérir le Donbass,
06:18mais pourraient bien arriver
06:19à Quimper la semaine prochaine,
06:21le gouvernement vient enfin
06:22d'envoyer aux Français
06:23le fameux guide de survie
06:25annoncé depuis des mois.
06:27Ce document,
06:28intitulé « Tous responsables »
06:30et dont la trentaine de pages
06:32est d'une pauvreté abyssale,
06:34nous apprend entre autres choses
06:35qu'en cas de crise,
06:37il faut avoir à boire et à manger,
06:39pouvoir se soigner,
06:39et avoir chaud.
06:41Étant donné que désormais
06:42plus d'un tiers des Français
06:44souffrent du froid,
06:45car ils ne parviennent plus
06:46à payer leur facture de chauffage,
06:48on pourrait presque en arriver
06:50à se dire vivement la guerre,
06:51afin de pouvoir se chauffer de nouveau.
06:54De l'autre côté du Rhin,
06:55le gouvernement fédéral allemand
06:57fait également mine
06:58de l'imminence de la guerre.
07:00Selon le ministre
07:01de la Défense allemand,
07:03Boris Pistorius,
07:04L'Europe a vécu cette année
07:06son dernier été de paix.
07:08Pistorius affirme lui aussi
07:09que l'Allemagne sera opérationnelle
07:12d'ici trois ans
07:13pour être en conflit.
07:14Si le renforcement
07:15de l'industrie de défense
07:17est un tout petit peu plus sérieux
07:18côté allemand que français,
07:20l'agitation du spectre de la guerre
07:22semble toutefois
07:23poursuivre le même objectif,
07:25celui de liquider la démocratie
07:28et de mettre hors d'état
07:29de nuire les opposants politiques.
07:32C'est ainsi que le président
07:33de la République allemand,
07:35Frank-Walter Steinmeier,
07:37a déclaré qu'il était normal
07:38d'exclure de la vie publique
07:40les ennemis de la Constitution
07:42et de les empêcher
07:44de devenir juges, enseignants,
07:46soldats, fonctionnaires ou maires.
07:48En clair, des deux côtés du Rhin,
07:50on est au moins d'accord sur une chose,
07:52l'urgence de réprimer les citoyens
07:54qui ne s'enthousiasment pas
07:56pour les pseudo-vélléités guerrières
07:58des hommes soja qui les gouvernent.
08:01Le front ou la prison,
08:02voilà donc le rêve
08:03des élites euromondialistes
08:05pour tous les sendants
08:06qui ne se réjouissent pas
08:08de la perspective
08:09de voir leur niveau
08:11et leur qualité de vie s'effondrer
08:13au nom de guerres
08:14contre des ennemis invisibles.
08:20Muselage de la presse libre,
08:21mise au banc et chasse au pluralisme,
08:23les Sleeping Giants,
08:24les médias publics
08:25et les institutions
08:26et même Emmanuel Macron
08:27veillent au grain
08:28de l'uniformité médiatique.
08:30Comme un air de déjà-vu,
08:32les Sleeping Giants
08:33sont de retour.
08:34Longtemps moins en vue,
08:35ce groupe uniquement actif
08:36sur Internet
08:37exerce des pressions
08:38sur des enseignes et marques.
08:40En s'en prenant
08:41aux médias frontières,
08:42anciennement Livre Noir,
08:43le groupe est parvenu
08:44à faire plier l'enseigne
08:45Leroy Merlin
08:46qui a annoncé
08:47retirer ses publicités
08:49du site d'information.
08:51Le procédé est éculé,
08:53accuser un média
08:53de diffuser des contenus inappropriés,
08:56ici des contenus,
08:57je cite,
08:57« xénophobe »
08:58et de diffamer des ONG.
09:00La méthode s'inscrit
09:01dans un mouvement plus large,
09:02d'entrave à la liberté de la presse,
09:04incluant le « shadow banning »
09:06ou « bannissement furtif ».
09:07Cette pratique,
09:08déniée par les plateformes
09:10mais largement constatée,
09:11réduit la visibilité
09:12des contenus sans notification
09:13via algorithme
09:15ou modération humaine.
09:16Avant la reprise en main
09:17de Twitter par Elon Musk,
09:19des comptes dissidents politiques
09:21avaient ainsi été rendus
09:22invisibles
09:23ou moindrement visibles.
09:24En France,
09:25ce mécanisme affecte souvent
09:26des médias alternatifs,
09:28de droite ou conservateurs,
09:30menant à une perte
09:31de followers,
09:32c'est-à-dire de personnes
09:32qui les suivent,
09:33et donc d'engagement,
09:35favorisant une uniformisation
09:37des opinions.
09:38Sur YouTube,
09:39par exemple,
09:39les contenus proposés
09:40par TV Liberté
09:41font l'objet d'une mise en avant
09:42très aléatoire,
09:44en dépit du nombre d'abonnés
09:45qui approchent le million.
09:47Le système médiatique français,
09:49dominé par des entités publiques,
09:51inclinées à gauche,
09:52amplifie ces pressions.
09:54Mardi,
09:54Radio France et France Télévisions
09:56ont ainsi assigné en justice
09:57CNews,
09:57Europe 1 et le JDD
09:58pour dénigrement.
10:00Ces médias sont accusés
10:01d'une campagne systématique
10:03suite à l'affaire Le Grand Cohen,
10:04révélant des connivences
10:06entre journalistes d'État
10:07et partis socialistes.
10:09Les patrons Sybille Veil
10:10et Delphine Ernot
10:11dénoncent des propos virulents
10:12et ciblés
10:13contre les médias publics.
10:15Les médias publics,
10:16eux,
10:16ne se gênent pourtant pas
10:17pour attaquer
10:18leurs confrères du privé
10:19et surtout
10:20sous la ceinture.
10:21Figurez-vous,
10:22et c'est mon drame
10:22que les petites cathos
10:23d'extrême droite,
10:24ça me plaît,
10:25ça me fait chavirer,
10:26ça me transporte,
10:27ça m'excite.
10:29Tu me plais, Charlotte.
10:31Oui, tu me plais
10:31au-delà du raisonnable.
10:32Quand je pense à toi,
10:33j'ai des envies de vacances
10:34en Autriche,
10:35en culotte de peau.
10:36Un humour qui,
10:37dans la bouche
10:38d'une personnalité de droite,
10:39serait qualifié
10:39de harcèlement sexiste.
10:41Mais l'arrêt aux pages
10:42de chroniqueurs
10:43et journalistes
10:44payés par vos impôts
10:44ne rendent pas de compte,
10:46ou presque.
10:47Début novembre,
10:47une nouvelle forme de censure
10:48a pris place
10:49dans le paysage médiatique,
10:50avec la confirmation
10:51par le Conseil d'État
10:52de la condamnation
10:53de CNews
10:54à 20 000 euros
10:54d'amende par l'Arcom
10:55pour diffusion
10:56sans contradiction
10:57de propos climato-sceptiques
10:59d'un économiste
11:01niant le réchauffement
11:02anthropique.
11:03Les médias publics,
11:04eux,
11:04ne sont pas tenus
11:05de placer un contradicteur
11:06pour tout élément
11:07d'opinion de gauche
11:08qui sort de Radio France.
11:10Plateforme,
11:11mafia des médias publics
11:12et Arcom,
11:13l'offensive est aussi partagée
11:14jusqu'au trône Élyséen.
11:16Emmanuel Macron
11:16évoque souvent
11:17ses envies de censure
11:18comme il a pu le faire
11:19le 12 novembre dernier.
11:20Il faut qu'on se dote
11:22de mécanismes
11:23pour avoir
11:24de la visibilité
11:25sur les algorithmes.
11:27C'est-à-dire
11:27vers quoi ces algorithmes
11:28vont me pousser.
11:29S'ils me poussent
11:30tout le temps
11:30vers des fausses informations,
11:32ce n'est pas possible.
11:33Reste à savoir
11:33qui déterminera
11:35ce qui est vrai
11:35ou faux.
11:37Derrière le prétexte
11:38de la responsabilisation,
11:39c'est une véritable
11:40chasse au pluralisme
11:41qui pourrait s'engager
11:42avec des opinions
11:43autorisées
11:43allant de Raphaël Kluxmann
11:45à Xavier Bertrand.
11:46Il faut mettre
11:46un système en place.
11:47On a les bases,
11:48mais c'est ça
11:48qu'on veut accélérer
11:49pour retirer
11:51ces contenus
11:53qui sont faux
11:53et donc imposer
11:56des responsabilités
11:57de modération
11:58à ces réseaux sociaux
11:59et ces plateformes.
12:01Et cinquième point,
12:01il faut chasser
12:02les faux comptes.
12:04Chasser les faux comptes,
12:06le compte X
12:06d'Emmanuel Macron
12:07pourrait ainsi
12:08voir son nombre
12:08d'abonnés s'effondrer.
12:10Cela peut aussi
12:11interroger sur l'usage
12:12des faux comptes
12:12par des partis politiques,
12:14notamment celui
12:14du président de la République.
12:16en excommunant
12:17des médias
12:18et des lanceurs
12:18d'alerte
12:18des réseaux sociaux,
12:20en muselant
12:20la presse.
12:21Le pouvoir en place
12:22veut faire place nette
12:23et s'épargner
12:23la présence
12:24de voix dissidentes.
12:25Sans médias alternatifs,
12:26pas de contre-pouvoir
12:27au moment du Covid.
12:29Sans médias de droite,
12:29pas de médiatisation
12:30de l'assassinat
12:31de Thomas Acrépole
12:32par un halogène.
12:34L'inquiétude
12:34du pouvoir est ici
12:35de ne plus être
12:36maître du narratif.
12:38En soutenant
12:38les médias alternatifs,
12:39vous devenez maître
12:40de l'histoire
12:41qui se raconte
12:41et des thèmes
12:42qui s'imposent.
12:43Une arme
12:44qu'Emmanuel Macron
12:45et la clique
12:45voudraient vous confisquer.
12:47En attendant,
12:48notre chaîne
12:48comptera bientôt
12:49un million d'abonnés.
12:51Celle d'Emmanuel Macron
12:51en compte
12:52moins de 400 000.
12:58Emmanuel Macron
12:59entame
12:59une tournée africaine
13:00pour espérer
13:01développer
13:02de nouveaux liens
13:03après le recul
13:04désastreux de la France.
13:05Mais c'est un président
13:06affaibli
13:06qui représente le pays
13:08et qui ne suscite
13:09plus que l'indifférence.
13:11Explication,
13:12Édouard Chaneau.
13:12Emmanuel Macron
13:13atterrit ce 20 novembre
13:15à l'île Maurice,
13:16première étape
13:16d'une tournée africaine
13:18avant le G20
13:18de Johannesburg
13:19ce week-end.
13:20Il finira celle-ci
13:21au Gabon
13:22et en Angola
13:22pour un sommet
13:23entre l'Union africaine
13:24et l'Union européenne.
13:26Du côté de l'Elysée,
13:27on confie vouloir
13:28impulser des dynamiques
13:29et renouveler
13:30la relation avec l'Afrique.
13:32En clair,
13:32sauver ce qui peut
13:33encore l'être
13:33alors que la diplomatie
13:35française a subi
13:36en quelques années
13:37une succession
13:38de revers désastreux.
13:40Emmanuel Macron
13:41en 2017,
13:41entretenait l'espoir
13:43d'en finir
13:43avec la France-Afrique
13:44et d'inventer
13:45une nouvelle amitié
13:46avec les anciennes colonies.
13:48Mais dans l'ancien
13:48précaré français,
13:49il a multiplié
13:50les maladresses diplomatiques,
13:52trahissant une
13:53méconnaissance totale
13:54du terrain africain.
13:55Comme l'explique
13:56la journaliste
13:56Leslie Varenne,
13:57auteur de l'essai
13:58Emmanuel Ossahel,
13:59itinéraire d'une défaite.
14:01La responsabilité de Macron,
14:03même s'il arrive
14:04sur un terrain
14:05déjà minier
14:06est entière.
14:08C'est 100%
14:09de responsabilité
14:10dans l'État
14:11qu'entretient
14:12aujourd'hui la France
14:13avec la grande partie
14:16des pays africains
14:18francophones.
14:19C'est un manque
14:21de vision,
14:22c'est un manque
14:24de milité,
14:25c'est un manque
14:25de compréhension
14:26des nouveaux enjeux,
14:27un choix d'entourage
14:30qui ne connaissait pas
14:32spécialement l'Afrique.
14:34Là, Emmanuel Macron
14:35s'apprête
14:36à faire une tournée
14:36en Afrique.
14:37Je constate
14:38que c'est presque
14:40un non-sujet
14:41pour les pays africains.
14:42Il y a quelques articles
14:43dans la presse française,
14:45mais en Afrique,
14:47personne n'est même
14:48au courant.
14:49Si vous voulez,
14:50maintenant,
14:50on est arrivé
14:51à quelque chose
14:52que j'envisageais
14:54depuis longtemps
14:54en disant
14:55l'Afrique est en colère,
14:56mais attention
14:57à l'indifférence.
14:58Et maintenant,
14:59on est arrivé
15:00à l'indifférence.
15:01Exemple parmi tant d'autres,
15:03en 2021,
15:03il s'adressait
15:04à la société civile
15:05africaine à Montpellier
15:06lors d'un sommet
15:07Afrique-France
15:08sans convier
15:09les chefs d'État africains.
15:11Emmanuel Macron
15:11s'est rendu 40 fois
15:12en 8 ans en Afrique
15:13dans 26 pays.
15:15Il a battu sa coulpe
15:15reconnaissant le massacre
15:17de 35 tirailleurs
15:18le 1er décembre 1944
15:20au Sénégal
15:20ou la responsabilité
15:22de la France
15:22dans le génocide
15:23des Tutsis au Rwanda,
15:24mais rien n'y a fait.
15:25Bien sûr,
15:26les coups d'État
15:26ont aggravé la donne
15:27en 2020 au Mali,
15:292022 au Burkina Faso
15:30et 2023 au Niger.
15:32L'armée française
15:33qui pendant 8 ans
15:34a échoué à sécuriser
15:35la région
15:35a été objectivement chassée.
15:37Aujourd'hui,
15:38les djihadistes
15:38sont aux portes
15:39de Bamako au Mali,
15:40les Juntes échouant aussi
15:42à rétablir la paix
15:43en dépit du soutien russe.
15:44Mais y compris
15:45dans des pays
15:45plus stables ou alliés,
15:47la pression populaire
15:48a eu raison
15:48de la présence militaire française,
15:50que cela soit au Tchad,
15:51au Sénégal
15:52ou en Côte d'Ivoire.
15:53Celle-ci est désormais résiduelle,
15:54avec 600 hommes en Afrique de l'Ouest,
15:571500 à Djibouti
15:58et 350 au Gabon.
16:00C'est l'une des raisons
16:00pour lesquelles
16:01Emmanuel Macron
16:02se rendra à Libreville
16:03afin de soutenir
16:04les nouvelles autorités
16:05et de conserver sa présence
16:07sous la présidence
16:07du général
16:08Brice Clotaire-Oligi Nguema,
16:10élu en avril dernier.
16:12Désormais,
16:12Paris affirme
16:13vouloir se tourner
16:14vers l'océan Indien
16:15et de fait
16:15vers des pays d'Afrique anglophone,
16:17notamment le Nigeria
16:18et ses 220 millions d'habitants.
16:20Mais on peine encore
16:21à discerner une vision
16:22et surtout une compréhension
16:24des perceptions locales,
16:25comme le souligne
16:26Leslie Varenne.
16:27Les éléments de langage
16:28sont toujours les mêmes.
16:30Renouvellement
16:31de la relation
16:32de la France
16:33avec l'Afrique,
16:35des partenariats
16:36gagnants-gagnants.
16:37On voit que
16:37vraiment,
16:38il n'y a eu aucun effort
16:40de retour d'expérience
16:42qui a été fait.
16:43Ce que je note aussi
16:44qui montre
16:45combien
16:46on n'a pas compris
16:47qu'Emmanuel Macron
16:49part pour 5 jours
16:51en Afrique,
16:52il va visiter 4 pays.
16:54Et sur ces 4 pays,
16:56il y a 2 jours
16:57qui seront consacrés
16:58au G20
17:00en Afrique du Sud.
17:02Donc,
17:02ça devient
17:03qu'il fait encore
17:04ce que les Africains
17:05détestent
17:06et nous l'ont toujours
17:07reproché,
17:09des sauts de puce.
17:10Il passe peu de temps
17:12dans les pays.
17:13On sait très bien
17:14que ça compte
17:14le temps qu'on passe.
17:16C'est pour arriver
17:16le matin,
17:17le soir.
17:18C'est juste
17:18des exercices de com'
17:20mais il n'y a rien.
17:21Les Africains détestent
17:22ces tournées éclaires.
17:24Mais ça ne fait rien.
17:25On continue,
17:25on recommence.
17:26Voilà.
17:27La concurrence géopolitique
17:28accrue souvent évoquée
17:29par Paris en mal d'excuses
17:31est forte bien sûr.
17:32La Chine
17:32mais aussi la Turquie
17:33gagnent du terrain.
17:35Pékin domine
17:35les marchés d'infrastructures,
17:37notamment la construction
17:37des routes et des ports,
17:39tandis qu'Ankara
17:40multiplie des accords militaires.
17:42C'est d'ailleurs
17:42l'armée turque
17:43qui devrait récupérer
17:44la base militaire
17:44tchadienne d'Abechet
17:45jusque-là occupée
17:46par l'armée française.
17:48Selon Leslie Varenne,
17:49la France,
17:49qui est désormais
17:50à égalité
17:50avec les autres puissances
17:52étrangères,
17:53paie l'affaiblissement
17:53d'Emmanuel Macron.
17:55La France est devenue
17:56un pays comme un autre
17:57parmi tous les pays
17:59qui cherchent
18:00à s'implantir en Afrique.
18:02Il ne peut pas aller
18:02dans tous les pays
18:03du Sahel
18:04ni au Tchad.
18:05Il ne peut pas aller
18:06en Côte d'Ivoire
18:07après des élections
18:08qui ont été très contestées,
18:09qui sont toujours
18:10très contestées.
18:11Le seul pays
18:13un peu
18:13de l'Afrique à papa,
18:15comme on dit,
18:16c'est le Gabon
18:17où il va aller
18:18et il va aller soutenir
18:20quelqu'un
18:20qui est arrivé au pouvoir
18:21par un coup d'État.
18:23Bon,
18:23après,
18:24il y a eu des élections,
18:25mais aussi,
18:26Emmanuel Macron
18:27fait ce qu'il peut.
18:28personne n'ignore
18:29la situation
18:30dans laquelle
18:31il est en France,
18:32personne n'ignore
18:33les sondages
18:34qui sont assez catastrophiques
18:37pour lui.
18:38Je ne sais plus
18:38s'il est à 11 ou 15%,
18:40mais ça doit être
18:41dans ces eaux-là.
18:42Et donc,
18:43c'est un président
18:44très affaibli
18:45qui fait ses tournées.
18:47Un président donc
18:47très affaibli
18:48et qui se rend au G20.
18:50Emmanuel Macron
18:51pourrait y croiser
18:51le président algérien
18:52Abdelmadjid Tebboun,
18:54quelques jours après
18:54la grâce accordée par Alger
18:56à l'écrivain franco-algérien
18:57Boilem Sandsal
18:58grâce à l'action de Berlin
18:59qui, visiblement,
19:00a désormais plus de poids
19:01diplomatique que Paris.
19:06Passons à présent
19:07à l'actualité,
19:08en bref,
19:08en France.
19:11Sale temps
19:12pour les profiteurs
19:13de l'immigration.
19:14Les associations
19:15immigrationnistes
19:15font face
19:16à une crise financière
19:17sans précédent.
19:18Benoît Hamon,
19:19candidat socialiste
19:20très malheureux
19:20à l'élection présidentielle
19:22de 2017
19:22est désormais directeur
19:24grassement rémunéré
19:25d'une officine immigrationniste
19:26répondant au nom
19:28de SINGA,
19:29déplore une perte
19:30de 40%
19:31des ressources,
19:32une perte due
19:32à des baisses
19:33de subventions publiques
19:34et au retrait
19:35de partenaires privés
19:35comme des fondations
19:36américaines.
19:37Les ONG,
19:38dont le rôle
19:38de complice
19:39des passeurs
19:40est de plus en plus
19:40mis en évidence,
19:41n'ont plus la cote
19:42dans le charity business
19:43et des mécènes
19:44préfèrent des causes neutres
19:46pour un meilleur retour
19:47sur investissement.
19:48Seule la fondation
19:49BNP Paribas
19:50maintient ses financements,
19:51insistant, je cite,
19:52sur la nécessité
19:54de changer le regard
19:54sur les réfugiés.
19:56SOS Méditerranée
19:56et le centre Primo-Lévis
19:58subissent aussi
19:59des coûts budgétaires
19:59menant à des réductions
20:01d'effectifs.
20:02Difficile de circuler
20:03en costume
20:03autour de la station
20:04Rosa Parks
20:05dans le 19ème arrondissement
20:06de Paris.
20:07La banque BNP Paribas
20:08qui soutient l'immigration
20:09va faire déménager
20:11une partie de ses bureaux.
20:122000 salariés
20:13travaillant actuellement
20:14à proximité
20:14de la station Rosa Parks
20:16vont s'installer
20:16à Levallois-Péret
20:17ou à Nanterre
20:18dans les Hauts-de-Seine.
20:20Il y a un an,
20:20BNP Paribas
20:21avait pourtant renforcé
20:22son dispositif de sécurité
20:23dans le 19ème arrondissement
20:24en ajoutant 5 agents
20:26aux 13 déjà présents
20:27pour surveiller
20:27les abords
20:28des immeubles du quartier.
20:29De 7h30 à 22h,
20:31ces vigiles,
20:31disposés à des points stratégiques
20:33entre les arrêts
20:33de transport en commun
20:34et les bâtiments de bureaux,
20:35devaient veiller
20:36à la tranquillité
20:37des salariés.
20:39Ceux-ci pouvaient même
20:39demander un accompagnement
20:40depuis le hall des bureaux
20:41jusqu'à la station
20:43de RER Rosa Parks.
20:44Mais les employés
20:45continuent de fustiger
20:46un climat anxiogène,
20:47certains se sont pleins
20:48d'agressions
20:48et beaucoup fustigent
20:49une dégradation accélérée
20:51après les Jeux Olympiques
20:52de 2024
20:53au cours desquels
20:53les policiers
20:54ont déplacé
20:55de nombreux trafiquants
20:56lesquels sont venus
20:57dans ce quartier.
20:59La coordination rurale
21:00change de tête.
21:01Mercredi,
21:01le 2e syndicat agricole
21:02de France
21:03a élu son nouveau président
21:04Bertrand Vantot
21:05est éleveur
21:06de vaches limousines
21:07et président
21:07de la Chambre d'agriculture
21:09de Haute-Vienne
21:09depuis 2019.
21:11Il a la réputation
21:11d'un homme d'action
21:12et de terrain
21:13tout en sachant
21:14dialoguer avec les politiques.
21:15Il a été élu
21:16avec 74 voix
21:17contre 68
21:18face à Véronique Lefloc,
21:19la présidente sortante
21:20dont certains adhérents
21:21critiquaient
21:21un dialogue trop passif
21:23avec le ministère
21:24de l'Agriculture.
21:25Avec Bertrand Vantot,
21:26le mot d'ordre
21:26est le suivant
21:27« ne pas devenir
21:28une FNSA bis ».
21:29L'une de ses volontés
21:30affichées
21:31est aussi
21:31d'éviter
21:32une tendance
21:32à la centralisation
21:33de la coordination rurale
21:34défendant un syndicat
21:36au service
21:37des équipes départementales
21:38dans la défense
21:39des paysans.
21:39Reste à savoir
21:40si les tracteurs
21:40vont bientôt
21:41redescendre dans les rues
21:42alors que l'accord
21:43Rue Mercosur
21:44suscite des inquiétudes
21:45notamment pour
21:46les éleveurs français.
21:47Un sujet
21:47que le nouveau président
21:48de la coordination rurale
21:49connaît bien.
21:51Coup de raquette
21:51face aux raquettes.
21:53Terence Hattman,
21:54joueur de tennis
21:55de Boulogne-sur-Mer
21:56et grand collectionneur
21:57de cartes Pokémon,
21:58a été ému
21:58par l'histoire
21:59du petit Nino,
22:00un enfant de 4 ans
22:01à Grenoble.
22:01Le garçon s'est fait
22:02voler son classeur
22:03de cartes
22:03dans le tramway
22:04alors qu'il voulait
22:05les montrer à un ami.
22:06Une scène
22:07somme toute banale
22:08dans cette ville
22:08de l'Isère.
22:09Le père du petit garçon
22:10inconsolable
22:11a partagé l'incidence
22:12sur le réseau social
22:12Instagram.
22:14Toussé,
22:14Terence Hattman
22:15a décidé d'envoyer
22:15à l'enfant
22:16de nombreuses pochettes
22:17de cartes,
22:17une peluche Pikachu,
22:19un t-shirt
22:19et des balles
22:20de tennis dédicacées.
22:22Trois fleuves à Lyon,
22:23le Rhône,
22:24la Saône
22:24et le Beaujolais.
22:26Ce jeudi à minuit,
22:31tels que des tonneaux
22:31roulés jusqu'à l'hôtel
22:32de Ville de Lyon
22:33depuis une péniche
22:34amarrée sur la Saône
22:35ou des défilés
22:36dans les villages.
22:37Pour ce millésime 2025,
22:39les vignerons du Beaujolais
22:39défendent des vins
22:40de qualité
22:41mais en faible quantité
22:43en raison d'intempéries.
22:47L'actualité internationale
22:49en bref.
22:53À Gaza,
22:5410 000 disparus
22:55gissent encore
22:56sous 60 millions
22:57de tonnes de gravats
22:58depuis la fin
22:59des hostilités.
23:00Les familles
23:01et les secouristes
23:01fouillent à l'appel
23:03faute de bulldozers
23:04et en dépit de la menace
23:05des bombes non explosées.
23:07L'armée israélienne
23:08interdit l'accès
23:09aux zones proches
23:09de la frontière
23:10bloquant toute recherche.
23:12Des journalistes étrangers
23:13sont aussi refoulés.
23:14Les fouilles
23:15n'avancent qu'au compte-gouttes.
23:16Si chaque corps retrouvé
23:17ravive le deuil,
23:19des milliers d'entre eux
23:20risquent de rester ensevelis
23:21à jamais.
23:22De son côté,
23:22l'ONU a prévenu
23:23que sans déblément massif,
23:25Gaza deviendrait
23:26un cimetière géant.
23:27La Syrie
23:28de l'islamiste
23:29Al-Shara
23:29sert-Pierre
23:30de l'État israélien.
23:32Benyamin Netanyahou
23:33a visité mercredi
23:34des troupes israéliennes
23:35déployées en Syrie
23:36au-delà de la ligne
23:37de démarcation
23:38entre les deux pays
23:39en état de guerre.
23:40Accompagné de son ministre
23:41de la Défense,
23:42Israël Katz,
23:43de son collègue
23:43des Affaires étrangères,
23:44Gideon Saar,
23:45et du chef du Shinbet,
23:47David Zini,
23:48cette visite a été confirmée
23:49par un porte-parole
23:50du gouvernement.
23:51Les médias israéliens
23:52ont rapporté l'information
23:53soulignant l'importance
23:54de ce déplacement
23:55dans un contexte tendu.
23:57Israël maintient
23:58une présence militaire
23:59dans la région
23:59pour sécuriser ses frontières
24:01face aux menaces potentielles
24:03en Syrie.
24:03Pourtant,
24:04les islamistes au pouvoir,
24:05reçus en grande pompe
24:06par Donald Trump
24:07à la Maison-Blanche,
24:08sont très conciliants
24:09avec le voisin hébreu.
24:11Dans un rapport accablant
24:12publié ce jeudi,
24:13l'ONG Save the Children
24:14tire la sonnette d'alarme.
24:1611 967 enfants
24:18ont été tués
24:19ou blessés
24:19par des armes explosives
24:20dans les zones de conflit
24:21l'an dernier.
24:22Un pic historique
24:23depuis 2006,
24:24en hausse de 42%
24:26par rapport à 2020.
24:27Parmi eux,
24:284 676 enfants
24:29ont perdu la vie,
24:30souvent sous les bombes
24:31larguées par des armées étatiques
24:33qui fournissent 70%
24:34des cas documentés
24:35entre 2020 et 2024.
24:37A Gaza,
24:38ce sont plus de 20 000
24:39enfants palestiniens
24:40qui ont été tués
24:40depuis octobre 2023.
24:42Selon le ministre
24:43palestinien de la Santé,
24:44le Soudan,
24:45la Birmanie,
24:45l'Ukraine et la Syrie
24:46complètent ce tableau sinistre
24:48où les bombardements aériens
24:49responsables de plus
24:50de la moitié des attaques
24:51ignorent le droit
24:52international humanitaire.
24:53La FIFA et l'UEFA
24:55interdisent tout affrontement
24:56au sens propre et figuré
24:58entre le Kosovo
24:59et la Bosnie-Herzégovine
25:00lors des barrages européens
25:02de la Coupe du Monde
25:022026,
25:03invoquant des risques
25:04sécuritaires liés
25:05aux tensions balkaniques
25:06persistantes.
25:07Les deux nations
25:08dauphines respectives
25:09de la Suisse et de l'Autriche
25:10dans leur groupe
25:10de qualification
25:11devaient potentiellement
25:12s'affronter en mars prochain
25:14pour l'une des quatre
25:15dernières places européennes
25:16au grand tournoi
25:17nord-américain.
25:18L'héritage des guerres
25:19yougoslaves plane encore.
25:21Crainte de débordements
25:21violents,
25:22en stade sous haute tension
25:23et une histoire de rivalité
25:25qui empoisonne
25:25le football régional
25:27depuis la déclaration
25:28unilatérale du Kosovo
25:29en 2008.
25:30Les règles de l'UEFA
25:32sont claires,
25:32la sécurité prime
25:33sur le sport,
25:34a souligné un porte-parole
25:36de la Confédération
25:36soulignant l'exclusion
25:38automatique de cette paire
25:39lors du tirage au sort
25:40ce jeudi à Zurich.
25:41Ce soir immédiat,
25:46c'est la fin de cette édition.
25:47Merci de votre fidélité.
25:49A demain.
25:49Sous-titrage Société Radio-Canada
26:04Sous-titrage Société Radio-Canada
Recommandations
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