- il y a 1 jour
📌Introduction I-Média
L’interview exclusive de la semaine :
20 000 euros d’amende pour avoir dénoncé l’alarmisme climatique et le mensonge du réchauffement climatique anthropique. C’est la somme par laquelle l'ARCOM a sanctionné CNEWS pour avoir donné la parole à Philippe Herlin, économiste, dont le propos sort du dogme “autorisé” et répandu. Sur notre plateau, Philippe Herlin revient sur cette condamnation et dénonce une censure institutionnalisée qui étouffe le débat scientifique. Il analyse également pour nous le rôle trouble d'associations militantes comme "Quotas Climat" dans la dénonciation de ceux qui pensent autrement. Une analyse percutante qui révèle les mécanismes de la désinformation organisée dans des médias publics de moins en moins libres.
Les pastilles de l’info :
- La blague de Thomas Sotto : mais pour qui vote Léa Salamé ?
- Présidentielle 2027 : Glucksmann - Zemmour, le débat qui chauffe !
- Médias numériques vs mainstream : la guerre de l'information s'intensifie
- Crépol : les associations réclament la vérité sur le racisme anti-blancs
- Puy du fou : un récit national "controversé” ?
- Claire Geronimi : violée par un migrant sous OQTF et maintenant dénigrée par StreetPress
- La justice se ligue contre les natifs
🔴 Conclusion
Portrait piquant : Léa Salamé - Glucksmann
📡 Retrouvez-nous chaque semaine pour un décryptage sans concession de
l'actualité médiatique ! I-Média : L’émission qui démonte les
manipulations de l'information et vous donne les clés pour comprendre
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L’interview exclusive de la semaine :
20 000 euros d’amende pour avoir dénoncé l’alarmisme climatique et le mensonge du réchauffement climatique anthropique. C’est la somme par laquelle l'ARCOM a sanctionné CNEWS pour avoir donné la parole à Philippe Herlin, économiste, dont le propos sort du dogme “autorisé” et répandu. Sur notre plateau, Philippe Herlin revient sur cette condamnation et dénonce une censure institutionnalisée qui étouffe le débat scientifique. Il analyse également pour nous le rôle trouble d'associations militantes comme "Quotas Climat" dans la dénonciation de ceux qui pensent autrement. Une analyse percutante qui révèle les mécanismes de la désinformation organisée dans des médias publics de moins en moins libres.
Les pastilles de l’info :
- La blague de Thomas Sotto : mais pour qui vote Léa Salamé ?
- Présidentielle 2027 : Glucksmann - Zemmour, le débat qui chauffe !
- Médias numériques vs mainstream : la guerre de l'information s'intensifie
- Crépol : les associations réclament la vérité sur le racisme anti-blancs
- Puy du fou : un récit national "controversé” ?
- Claire Geronimi : violée par un migrant sous OQTF et maintenant dénigrée par StreetPress
- La justice se ligue contre les natifs
🔴 Conclusion
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NewsTranscription
00:00On ne se tait pas, on ne se vend pas, on informe.
00:03Pas de pub, pas de subvention, pas d'actionnaire,
00:06mais 1 million d'abonnés sur YouTube,
00:08le double, 2 millions sur les réseaux sociaux
00:10et 250 millions de vues en quelques années.
00:14Et puis, et puis vous les donateurs, vous tous,
00:16et une équipe soudée qui enquête, qui documente,
00:19qui raconte ce que personne d'autre ne raconte
00:21et qui a acquis en 12 ans le sérieux et la crédibilité
00:25pour se démarquer du lot commun.
00:27Cette liberté a un prix.
00:30Pour continuer à produire des enquêtes, des documentaires,
00:33des émissions longues, pour tenir tête à ces géants,
00:35pour sortir financièrement du rouge et bétonner le budget 2026,
00:40TV Liberté a besoin de vous.
00:42Chaque don, chaque soutien est une arme contre la censure et les dictates,
00:46une pierre à l'édifice de la vérité,
00:49celle qui rend libre et du véritable pluralisme.
00:52Avec votre soutien, délivré du contrôle des banques,
00:55mais aussi de l'État, des oligarques, des annonceurs,
00:58nous avançons encore et encore.
01:01On ne se tait pas, on ne se vend pas, on résiste.
01:05Sous-titrage Société Radio-Canada
01:40Très heureuse de vous retrouver pour ce nouveau numéro d'E-Média.
01:43Bonjour Jean-Yves.
01:44Bonjour Floriane.
01:45Alors Jean-Yves, aujourd'hui on a un invité dans E-Média.
01:49Il s'agit du premier condamné pour de la désinformation climatique.
01:55Alors on est évidemment ravis de le recevoir.
01:56Désinformation climatique avec des guillemets bien entendu.
02:00Il arrive sur le plateau juste après la virgule.
02:02Et donc ça chamboule un peu notre organisation.
02:05D'habitude il y a le dossier du jour et l'image du jour.
02:07Pour cette semaine, c'est l'interview de la semaine.
02:10Voilà, évidemment il y aura les habituels pastilles de l'information.
02:14Et le portrait piquant de la semaine.
02:17Qui est une rediffusion consacrée à Léa Salamé.
02:21Dont on va beaucoup parler dans les pastilles, vous verrez.
02:24Si le programme vous plaît d'ores et déjà.
02:26Et bien n'oubliez pas d'agrémenter notre vidéo du petit pouce en l'air.
02:30Vous pouvez également nous laisser un commentaire.
02:32Ça se passe juste en dessous après le descriptif de cette vidéo.
02:35Et puis bien sûr, n'hésitez pas à partager, à vérifier que vous êtes bien abonnés.
02:40On approche du million, je vous le rappelle, chaque semaine d'abonnés sur YouTube.
02:44Et ce sera un beau cap à faire franchir à TV Liberté.
02:48Juste après la virgule, on se retrouve.
02:50C'est parti pour Immédiat.
02:54La première condamnation pour désinformation climatique vient de tomber.
03:00Il s'agit d'une amende de 20 000 euros qui a été infligée à CNews par ailleurs.
03:04Et pourquoi est-ce qu'ils ont reçu cette amende ?
03:07C'est parce qu'il y avait Philippe Erlin sur leur plateau.
03:10Bonjour monsieur, vous êtes avec nous.
03:12Bonjour.
03:12On est ravis de vous recevoir sur le plateau d'Immédiat.
03:16Alors, on va vous en dire plus tout de suite.
03:18Chers téléspectateurs, pour mieux comprendre ce qui s'est passé,
03:22et bien peut-être regardons la vidéo de votre passage.
03:25C'était en juillet 2023.
03:29La condamnation de l'ARCOM était en 2024.
03:32Et le Conseil d'État vient de le confirmer en 2025,
03:35et de confirmer cette amende.
03:37On regarde le petit extrait, et tout de suite après, on en parle.
03:40Juillet 2023 serait le mois le plus chaud jamais enregistré.
03:45Pour comprendre l'état de la situation, nous sommes avec Elena Maximovic, météorologue.
03:52Bonjour.
03:52Exactement, le mois de juillet, et d'ailleurs c'est déjà depuis le mois de mars
03:57que l'anomalie globale de la température globale sur notre planète était déjà élevée.
04:05Et cette anomalie était hors normes, hors commun, même pour tous les modèles climatiques.
04:12Peut-il être inquiet de tout ce que vous nous dites, là, et n'est pas très rassurant ?
04:15Oui, ce n'est pas rassurant.
04:16On voit qu'en effet, les observations collent beaucoup plus au scénario pessimiste que au scénario optimiste.
04:25Fini Perlin.
04:26Le réchauffement climatique anthropique est un mensonge, une escroquerie.
04:31À un moment, il va falloir poser les choses scientifiquement.
04:33Comme le rappelait très justement la climatologue, elle dit que ce sont des modèles.
04:36Ah voilà, un modèle, ce n'est pas la même chose qu'une équation.
04:39E égale mc2, c'est une équation.
04:41C'est si elle est vérifiée, il n'y a pas de consensus autour de E égale mc2.
04:44C'est vrai, ça marche, c'est comme ça que fonctionne nos centrales nucléaires, notamment.
04:48Donc il n'y a aucune discussion là-dessus.
04:50Là, il n'y a pas d'équation équivalente avec d'un côté les émissions humaines de CO2,
04:53et de l'autre côté, du Sénégal, l'augmentation de température.
04:56Il y a des modèles.
04:57Un modèle, c'est quoi ?
04:58On prend les données du passé, on formule un certain nombre d'hypothèses,
05:01on essaie de prévoir l'avenir.
05:02Ça, en tant qu'économiste, parce que ça tourne beaucoup en économie, ça ne marche pas.
05:06C'est faux.
05:06Il n'y a pas réchauffement.
05:07Pourquoi est-ce que ça a autant de poids ?
05:09On va poser la question à un spécialiste.
05:10On va poser la question.
05:11On ouvre le débat.
05:12On poursuit le débat, plus exactement.
05:15Alors, voilà, vos propos ont été jugés.
05:17Qui, Matosceptique, Philippe Erlin ?
05:20On va voir un petit peu tout ce que cela révèle sur la liberté d'expression aujourd'hui en France.
05:25Mais d'abord, Philippe Erlin, est-ce que vous pouvez nous rappeler le cœur de votre argumentation
05:29sur le plateau de CNews ?
05:31Parce que nous n'en avons passé, bien sûr, qu'un petit extrait,
05:34pour éviter d'être à notre tour, peut-être, qui s'est tapé par l'ARCOM.
05:39Donc, voilà, expliquez-nous un peu ce que vous présentiez.
05:40J'espère que je ne vous coûterai pas aussi cher, quand même.
05:42Oui, heureusement, ce n'est pas vous qui avez payé l'amende.
05:45On rassure les spectateurs tout de suite, mais oui.
05:48Oui, alors, ce qui s'est passé là, c'est qu'en fait, j'ai pris le contre-pied total du discours.
05:53Parce qu'il y a d'autres climatosceptiques qui s'expriment rarement, mais un petit peu, sur les médias.
05:58Eux, ils ont une vision plus modérée, parce que je pense qu'ils n'osent pas aller frontalement contre cette théorie.
06:04Moi, j'y suis allé franco, comme je l'ai dit.
06:05J'ai dit, c'était un mensonge, une arnaque.
06:07Bon, donc, j'y suis allé franco, et je l'expliquais à partir de cette distinction, comme je l'explique,
06:12entre ce que c'est qu'une équation physique, où là, ça marche comme E égale MC2, l'équivalence entre l'énergie et la matière.
06:19C'est comme ça que fonctionnent nos centrales nucléaires.
06:21Il n'y a pas de consensus, ça fonctionne parfaitement.
06:24Et puis, des modèles.
06:25Des modèles, on prend des données du passé, on malaxe tout ça, et on essaie de prévoir l'avenir.
06:29Alors, en économie, on utilise ça beaucoup, on se rend compte que ça ne marche pas très bien.
06:33On l'a aussi essayé, on a aussi vu ce que ça donnait lors du confinement,
06:38où, selon l'appareil collège, il y aurait 500 000 morts en France, si on ne confinait pas.
06:44Et c'est le chiffre qu'a repris Macron dans sa déclaration.
06:47On sait maintenant que ce confinement ne servait à rien, et que ses prévisions étaient complètement bidons.
06:51Bon, donc, partir des données du passé en essayant d'extraper l'avenir,
06:55c'est très imprécis, c'est très difficile, ça marche rarement.
07:02Mais c'est ce que fait le GIEC.
07:03Et même en plus, le GIEC a plusieurs modèles.
07:06C'est comme si l'INSEE vous disait, la croissance l'année prochaine,
07:10ce sera 2% avec tel modèle, 1,5 avec tel autre.
07:14Bon, on se dirait, mais qu'est-ce qui se passe là ?
07:15Le GIEC a plusieurs modèles, et comme par hasard, c'est toujours le plus pessimiste
07:19qui est retenu par les médias.
07:21C'est sur réchauffement, voilà.
07:22Donc moi, j'ai voulu dire, non, mais un modèle, ça n'a pas de véracité scientifique
07:26comme peut l'avoir une équation physique, voilà.
07:29Et c'est ça qui n'a pas plu, voilà.
07:30Alors, ça n'a pas plu au système, au temps du GIEC,
07:34mais ça n'a pas mal plu aux spectateurs,
07:36parce qu'il y a une personne sur X qui a isolé le mont passage,
07:41et ça a immédiatement buzzé, alors qu'on était quand même en plein mois d'août 2023,
07:45mais bon, ça a immédiatement buzzé.
07:46– Il faisait très chaud.
07:47– Voilà, ça a bien buzzé,
07:49et c'est ça qui a inquiété les tenants, les défenseurs du réchauffement climatique anthropique.
07:55Je précise toujours anthropique, il y a un réchauffement climatique qui est mesuré.
08:00Est-ce qu'il est dû à l'homme à 100% comme le prétend le GIEC ?
08:04Moi, je dis que non, et beaucoup d'autres disent non.
08:06Il y a aussi une assemblée scientifique, je l'ai citée, qui est Clintel,
08:10qui est une des grands scientifiques internationaux,
08:12qui montre qu'il n'y a pas d'alarmisme climatique à avoir.
08:15Voilà, donc il y a un débat, mais qui nous apparaît très rarement dans les médias.
08:19– Alors justement, à propos de… puisque vous évoquez le débat,
08:21est-ce que vous avez eu le sentiment, vous étiez face à une climatologue,
08:24que votre point de vue, il a été entendu,
08:26ou alors il a été immédiatement catalogué comme dangereux ?
08:30– Le journaliste a quand même fait son travail,
08:31parce qu'il m'a donné la parole là-dessus,
08:33et ensuite, quand il m'a coupé la parole, on le voit là,
08:37il m'a coupé la parole pour redonner la main à la climatologue.
08:41– La magnétrieuse de l'antenne, on a vu ça.
08:42– Voilà, la magnétrieuse de l'antenne, mais moi je ne lui reproche pas,
08:45comme j'avais un avis qui tranchait par rapport aux autres intervenants,
08:48le journaliste est tout à fait dans son rôle de me challenger avec quelqu'un d'autre.
08:51Bon, donc il y a eu une discussion,
08:54alors la climatologue n'a pas répondu précisément à l'argument que j'exposais,
09:00mais elle a quand même pu dérouler,
09:01et sur toute la séquence, c'est elle qui a largement parlé le plus,
09:04et qui a pu présenter son point de vue, et c'est très bien comme ça, voilà.
09:08– C'est ce que j'allais vous poser comme question, Philippe Erlant,
09:10parce que, en fait, l'ARCOM a accusé CNews de manque de contradictions.
09:16Or, vous venez de nous confirmer que la climatologue a pu répondre,
09:20et qu'il y avait quelqu'un d'autre sur le plateau qui avait votre position ?
09:24– Non, même pas, il y avait sept climatologues qui étaient en zoom, en distanciel,
09:28et il y avait deux autres personnes sur le plateau qui étaient aussi alignées sur elles.
09:33Bon, moi j'étais le seul, voilà.
09:34Mais il y a eu une contradiction.
09:36– C'est le seul à apporter la contradiction finalement aux trois autres.
09:39– Même le présentateur, on le voit, il répète, c'est inquiétant, c'est un peu effrayant,
09:44ça ne nous met pas très à l'aise, enfin bon, ça n'a rien.
09:47– Donc il y avait une contradiction, et c'est ça qui est d'autant plus étonnant,
09:49la sanction de l'ARCOM, parce que l'ARCOM la justifie au nom du fait
09:53qu'il n'y avait pas de contradiction, ce qui est faux,
09:55parce que chacun peut voir la séquence dans toute son intégralité,
09:59elle est en replet encore sur CNews, donc tout le monde peut la voir,
10:03et l'ARCOM a fait ses sanctions sur cet argument-là,
10:07et le Conseil d'État l'a confirmé sur la même raison,
10:11ce qui est complètement aberrant, c'est complètement irrationnel comme décision,
10:14parce qu'il y a évidemment une contradiction.
10:17– Jean-Yves, je vois que ça vous fait bondir, vous parlez du Conseil d'État.
10:20– Ça me fait bondir parce que c'est des tribunaux, en l'occurrence le Conseil d'État,
10:24qui affirment quelque chose qui est manifestement faux.
10:27Ce n'est même pas une interprétation, c'est manifestement faux.
10:32Donc ils ont un contrat de censure sur la tête de CNews et des climato-réalistes,
10:41on va dire, complètement déconnecté des faits.
10:44Alors le Conseil d'État, moi je l'appelle le Conseil d'État socialiste,
10:48parce que le vice-président, le président c'est Macron, enfin passons,
10:52le vice-président, M. Tabuteau est socialiste,
10:54le président de la section d'intérieur, M. Tabuteau, est socialiste,
10:59le président de la section du contentieux, M. Chantepi, est socialiste,
11:03et le président adjoint de la section du contentieux,
11:06qui présidait la formation de jugement dans la décision
11:10qui opposait l'ARCOM à CNews, est socialiste.
11:12Voilà, et donc on est dans un monde exclusivement socialiste,
11:17exclusivement déconnecté de la réalité.
11:19– Alors qui doit décider aujourd'hui de ce qui est vrai
11:23ou de ce qui est de la désinformation en matière de climat ?
11:26Parce que là, on pourrait vous dire, ça doit être la science qui doit parler
11:30et donc la climatologue, mais vous êtes économiste,
11:32vous êtes scientifique également.
11:34Qu'est-ce que vous avez un avis sur cette question, Philippe Erlin ?
11:36– C'est-à-dire, la science ne progresse que par le débat.
11:40Par exemple, la théorie de la dérive des continents, de Wegener,
11:44au début, on pensait que c'était complètement délirant,
11:47et on le prenait pour un fou, puis finalement, ça s'est révélé vrai.
11:50Pour qu'une vérité scientifique advienne, il faut qu'il y ait une discussion,
11:53il faut qu'il y ait un débat.
11:55Voilà, et le problème sur le rachauffement climatique anthropique défendu par le GIEC,
12:00c'est que le débat est interdit.
12:01Toutes les personnes qui sont contre, ou qui sont contre comme moi,
12:06ou qui osent simplement dire qu'il y a un alarmisme excessif,
12:10ils sont éjectés des médias.
12:12La même année, en 2023, il y a eu le prix Nobel de physique,
12:15physique quantique, qui a déclaré, qui s'est élevé contre l'alarmisme climatique.
12:20Ensuite, il a été décommandé des interventions qu'il devait faire.
12:24Donc après, les médias ont beau jeu de dire, regardez, il y a un consensus,
12:27tous les scientifiques qui s'expriment sur le sujet sont des mêmes avis, évidemment.
12:30Ceux qui sont critiques sont mis de côté.
12:34Et le problème de cette décision de l'ARCOM, confirmée avec le Conseil d'État,
12:38c'est que ça va être encore pire maintenant.
12:39C'est que les médias ne vont plus, les quelques rares médias
12:43qui invitaient des climato-sceptiques ou des gens qui discutaient du sujet,
12:47ne vont plus oser les inviter parce qu'ils se disent
12:49on va se prendre une amende de 20 000 euros.
12:52Donc ça va encore plus tuer le débat qui est pourtant nécessaire à la science.
12:57Vous avez pointé du doigt dans plusieurs interventions l'association Côte à Climat.
13:03Je crois que c'est très important que vous nous expliquez de quoi il s'agit,
13:06plutôt de qui il s'agit.
13:08Oui, parce que c'est eux qui ont signalé mon intervention à l'ARCOM.
13:13Donc Côte à Climat, c'est une association qui n'est pas…
13:14– C'est un doute au buzz sur les réseaux sociaux d'ailleurs.
13:16– Voilà, suite au buzz.
13:18Donc ce n'est pas une association de scientifiques,
13:21ce sont des anciens attachés parlementaires,
13:23des gens qui sont dans le marais de la politique.
13:26Ils ont donc porté plainte auprès de l'ARCOM,
13:29qui a répondu positivement à leur plainte, on l'a vu.
13:34Et ce sont des gens qui par ailleurs font un travail auprès des députés
13:38pour faire passer un texte qui oblige les journalistes et les médias
13:42à être plus rigoureux, entre guillemets, par rapport au rechopement climatique,
13:46de façon à interdire complètement toute expression divergente.
13:50Et le problème, c'est que cette décision du Conseil d'État,
13:52elle va faire jurisprudence et elle va dans leur sens.
13:55Et donc on peut craindre que la chape de plomb
13:57soit encore plus pesante sur ce sujet-là.
14:00– Oui, il y a une charte journalistique aussi…
14:03– Alors déjà sur Radio France, ils ont dit explicitement
14:06qu'ils s'interdisaient d'inviter les climatosceptiques, comme ça c'est clair.
14:10Mais les autres médias ne le disent pas explicitement,
14:13mais ils sont plutôt pour le faire.
14:16Et il y a quelques médias qui invitaient de temps en temps
14:18des climatosceptiques, ils ne vont plus le faire.
14:21Voilà.
14:22– Jean-Yves, la semaine dernière, lors du forum de la dissidence,
14:26nous avions Fabien Bouglet qui était à nos côtés,
14:28j'ai dit nous parce que j'avais le plaisir de présenter cet événement.
14:31Il nous a expliqué quelque chose de fondamental à propos de Cota Climat,
14:36l'association dont vous venez de parler, Philippe Erlin,
14:38c'est à propos de ces financements.
14:40Est-ce que vous pouvez revenir là-dessus en quelques mots ?
14:43– Alors Cota Climat, effectivement, a des financements publics essentiellement,
14:47des financements de l'ARCOM d'ailleurs.
14:49L'ARCOM les finance pour qu'ils dénoncent à l'ARCOM,
14:51mais ils ont aussi des liens étroits avec le lobby éolien.
14:54– Et le lobby éolien, ou le lobby des panneaux solaires,
14:59il ne peut s'imposer, parce que c'est un saccage des paysages,
15:04c'est une augmentation considérable du prix d'énergie.
15:07Si le tarif de l'électricité est élevé aujourd'hui,
15:10c'est à cause de ce genre de choses.
15:11Ils ne peuvent donc imposer leurs éoliennes, leurs panneaux solaires
15:16que si les gens ont peur et si la peur climatique s'impose.
15:22Donc il y a aussi des intérêts privés assez sordides derrière cela.
15:27Et c'est ce qu'a démontré Fabien Bouglet,
15:30qui dirige la revue Transition et Énergie.
15:33– Alors Philippe Perlin, que va-t-il se passer ?
15:36Selon vous, si ce verrouillage, pardonnez-moi, se poursuit,
15:41on n'aura plus du tout le droit de parler de sortir de l'ADOXA ?
15:46– Malheureusement, je crois que la situation actuelle n'était déjà pas terrible,
15:49mais là, ça va empirer.
15:52Et c'est assez tragique de voir ça,
15:53parce que quand on regarde la situation au niveau mondial,
15:56il n'y a que l'Europe qui fonce comme ça, tête baissée,
16:01dans la lutte contre le rachauffement,
16:03dans la transition énergétique qui fait exploser le coût de l'énergie.
16:06Les autres continents, les autres pays s'en fichent,
16:08on le voit aux États-Unis avec Trump,
16:10on le voit aussi en Chine qui a un discours en apparence,
16:12parce qu'ils nous vendent des panneaux solaires, des éoliennes,
16:14donc en apparence,
16:15mais en fait ils construisent des centaines de centrales à charbon,
16:18en Chine, en Asie, partout, en Inde, c'est pareil.
16:20Donc en fait, il n'y a que l'Europe qui fonce, tête baissée,
16:24et qui interdit le débat,
16:26et en faisant ça, on contribue à faire s'effondrer l'économie,
16:29parce que si on a une énergie trop chère, comme c'est le cas aujourd'hui,
16:32ça condamne l'industrie,
16:33même l'Allemagne, qui était le cœur industriel de l'Europe,
16:36voit ses usines fermées,
16:38toutes ses usines consommatrices d'énergie, comme la chimie, etc.,
16:41et ferment,
16:41et c'est une catastrophe pour le continent.
16:43Donc il faut aussi bien prendre conscience
16:45que ce n'est pas seulement le fait de discuter,
16:47comme on peut avoir une discussion intellectuelle sur tout ou tel sujet,
16:50ça a des implications concrètes.
16:52C'est l'appauvrissement de la France et de l'Europe.
16:55C'est l'effondrement de notre économie.
16:56Donc le débat est d'autant plus urgent.
16:59Voilà.
17:00– À propos de débat, plus prosaïquement,
17:02est-ce que ce positionnement que vous avez pris
17:05a eu des répercussions sur vous ?
17:07On l'a dit en début de cette intervention,
17:09c'est CNews qui a payé la note.
17:10– Je ne suis plus trop invité sur CNews.
17:13– Oui.
17:13– Allons-y, vous êtes invité sur TV Liberté.
17:16– Voilà.
17:17Heureusement qu'il reste des espaces de liberté.
17:18– Malgré les frais d'électricité de TV Liberté,
17:22ce qui fait que nous travaillons dans des studios très froids.
17:25– Dans le froid.
17:26– Dans le froid, ce qui amène à prendre des petites laines.
17:29– Vous riez, mais j'ai les mains gelées.
17:32Vous voyez ce qu'on ne ferait pas pour vous, chers téléspectateurs.
17:34En tout cas, merci beaucoup, Philippe Erlin,
17:36d'avoir été présent sur le plateau d'Immédiat.
17:38On vous remercie pour cet éclairage.
17:40Et puis, on espère vous retrouver bien vite dans nos autres émissions.
17:44– Merci.
17:45– Le week-end dernier, dans quelle époque,
17:49Léa Salamé a reçu Thomas Soto,
17:52qui, vous allez voir, tient des propos très intéressants.
17:55On écoute la vidéo tout de suite.
17:57– Je défie quiconque de dire pour qui vote tel ou tel chroniqueur,
18:00pour dire pour qui je vote, et je m'honore de ça.
18:03Moi, je connais Léa depuis, ça fait quoi, 15 ans qu'on se connaît,
18:06je ne sais pas pour qui Léa vote.
18:07Eh bien, c'est ça la définition du métier, en fait.
18:09– Je vais être un peu triviale, pardonnez-moi,
18:11mais quand on vote ou quand on couche ensemble,
18:13l'important, c'est de ne pas se faire baiser.
18:16On ne sait pas trop comment ça va finir pour Mme Glucksmann,
18:19qui s'est bien entraînée, pourtant pour arriver au JT,
18:23parce que son compagnon à la ville prend toujours plus de place,
18:27plus ou moins habilement, d'ailleurs,
18:29comme on va le voir juste après dans la pastille suivante,
18:32dans les présidentielles qui arrivent,
18:33ça risque de finir d'une drôle de façon.
18:37Place à la pastille suivante,
18:38où l'on parle justement de M. Glucksmann.
18:42Mardi soir, c'était la grande confrontation
18:45avec Raphaël Glucksmann sur LCI.
18:48Il faisait face notamment à M. Zemmour.
18:52On l'écoute tout de suite.
18:54– En une phrase, vous nous avez dit, en fait,
18:57la France, ça ne me concerne pas,
18:59l'histoire de France ne me concerne pas,
19:01je ne me l'approprie pas.
19:03– Je ne vous permets pas de dire ça.
19:04– Mais je vous le dis quand même, c'est pas grave.
19:05– Je ne vous le permets pas.
19:05– Mais c'est pas grave, je vous le dis quand même.
19:07– Mais c'est pas grave,
19:08et je vais vous dire quelque chose de mieux.
19:10En fait, je vous ai écouté là, pour répondre aux gens.
19:13C'était affligeant, affligeant de banalité et de médiocrité.
19:18Vous étiez dans les années 80, M. Glucksmann.
19:20Vous n'avez pas bougé depuis les années 80.
19:22Vous êtes surtout le fils spirituel de Bernard-Henri Lévy.
19:27Vous êtes le même.
19:27– Est-ce que vous voyez dans le public,
19:30cette dame, vous le verrez dans un deuxième extrait,
19:32qui est brune et qui réagit d'une drôle de façon
19:36au fur et à mesure qu'Éric Zemmour s'exprime,
19:39comme si elle guidait Raphaël Glucksmann.
19:41Pourtant, cette personne a été présentée comme une intervieweuse lambda,
19:48une votante, une commerçante lambda.
19:52Fin de la parenthèse, Jean-Yves.
19:53Je vous laisse faire le commentaire sur Raphaël Glucksmann et Éric Zemmour.
19:58– L'objectif du système est de porter en avant Glucksmann
20:03comme candidat de succession en quelque sorte à Macron.
20:06Donc, on organise des émissions avec lui sur toutes les chaînes possibles
20:12et sur LCI.
20:14Et pour, au fond, assurer la promotion de Glucksmann,
20:20on invite des gens qui le challengent.
20:23Et donc, Zemmour, de ce point de vue-là, est très bon
20:25parce qu'il fait de l'audience, voilà.
20:27Et donc, mais en même temps qu'il fait de l'audience,
20:30pour Glucksmann, Glucksmann en prend quand même plein la tête, quoi, voilà.
20:35– Oui, justement, c'est ce qu'on va voir dans le deuxième extrait.
20:37Donc, prêtez attention vraiment à cette petite dame brune derrière.
20:40Vous allez voir, c'est très étonnant.
20:42On regarde le deuxième extrait.
20:43– Attendez, s'il vous plaît.
20:44– C'est cette diversité que vous condamnez qui a fait de notre pays
20:47une grande nation qui a un destin.
20:50Mais moi, vous voyez, je ne rêve pas pour la France
20:52d'un destin à la Hongroise, à la Orbanne,
20:55des milices qui échappent à toutes formes de légalité dans la rue.
20:58Moi, je rêve d'un grand destin pour la France.
21:03– Monsieur Glucksmann, en Hongrie,
21:06il n'y a pas de petite Lola qui se fait découper par une Algérienne.
21:10Il n'y a pas de Thomas qui se fait tuer par un chaïd.
21:12En Hongrie, il n'y a pas une Philippine qui se fait violer
21:16et massacrer par un Algérien ou un Tunisien.
21:19En Hongrie, il n'y a pas un petit Elias
21:22qui, parce qu'il va jouer au foot, se fait tuer par un Africain.
21:26– En Hongrie, votre frère, vous vous en foutez.
21:29– En Hongrie, vous obéiriez à Xi Jinping.
21:30En Hongrie, vous obéiriez à Vladimir Poutine.
21:33En Hongrie, vous supprimeriez les élections libres.
21:35– Mais non, absolument pas.
21:39– Vous n'en avez rien à faire.
21:40Mais ça se voit.
21:41– Laissez-le répondre.
21:44– Je ne vous autorise pas à dire ça.
21:45– Vous ne m'autorisez rien du tout.
21:46– Laissez-le répondre.
21:47Laissez-le répondre.
21:48– Non, non, là, vous ne donnez pas le bon exemple.
21:51– Je vais vous dire.
21:51– Vous utilisez cette victime pour faire la pub.
21:53– Arrêtez, arrêtez, arrêtez, arrêtez.
21:55– Ah !
21:56Donc, M. Pujala, c'est quand même deux mots.
21:58– Ah oui, il est deux mots.
21:59– C'est du débat, là.
22:01– C'est du débat, c'est du débat.
22:03Voilà, un peu viril.
22:04C'est du débat.
22:04– Un point maintenant sur le service public et le numérique.
22:10Radio France et France Télévisions ont décidé d'assigner
22:13CNews et Europe 1 ainsi que le JDD en justice pour dénigrement.
22:20Et figurez-vous que ça n'a pas tellement plu à la ministre de la Culture.
22:22Madame Dati, je vous propose de l'écouter sur ce point précis.
22:26– Alors, les présidents de France Télévisions et de Radio France
22:29ont estimé que ce traitement était de l'ordre du dénigrement
22:33et ont souhaité assigner les médias du groupe Bolloré devant le tribunal de commerce.
22:38Par respect de l'engagement des deniers publics dans cette procédure,
22:42les tutelles auraient dû être informées, auraient pu être informées.
22:45Plus largement, la réflexion sur ce que signifie l'impartialité,
22:50cette exigence d'impartialité du service public
22:52et la façon dont elle est mise en œuvre est évidemment pleinement légitime.
22:56et c'est un débat que nous devons avoir.
22:58Mais ce sujet mérite largement mieux
23:02que la voie détournée de la judiciarisation.
23:06– Le service public attaque en justice.
23:08– Ce qui est quand même très ambigu,
23:10c'est qu'elle dit que la tutelle, c'est-à-dire elle-même,
23:12aurait dû être prévenue, mais elle les laisse faire quand même.
23:15– Exactement.
23:16– Alors qu'ils engagent des crédits publics
23:19pour un procès idéologique contre des gens
23:23dont ils ne partagent pas les opinions.
23:25– Alors pendant ce temps-là, Jean-Yves, d'ailleurs,
23:28l'ARCOM continue ses petits mouvements
23:33en relançant un observatoire de la haine en ligne
23:36et ils veulent créer des signaleurs de confiance.
23:41Une belle expression de novlangue ça d'ailleurs, Jean-Yves.
23:43– Des balances de confiance, des dénonciateurs de confiance,
23:49des délateurs de confiance, subventionnés.
23:52– L'ARCOM, 50 millions d'euros.
23:56Et à partir de là, ils redistribuent de l'argent à des officines
23:59pour faire de la surveillance, de la dénonciation.
24:04Et ensuite, ils font des sanctions.
24:06Le tout est validé par le Conseil d'État.
24:08Donc vous avez l'ARCOM, dirigé par M. Adjari,
24:12qui est un homme qui promeut la diversité,
24:17qui a des affinités socialistes,
24:19qui est président.
24:20Nous avez M. Alban de Nervaux,
24:22qui est sur la même ligne politique.
24:24Il subventionne des gens de la même ligne politique.
24:27Et ensuite, tout ça finit par être jugé par le Conseil d'État
24:30qui est de la même ligne politique.
24:31C'est-à-dire un tout petit nombre, une toute petite oligarchie.
24:35– Alors pendant ce temps-là, Jean-Yves,
24:38Emmanuel Macron, de son côté, envisage un référendum
24:41sur la place des réseaux sociaux début 2026.
24:45Enfin, du moins, il prendra sa décision à ce moment-là.
24:48Emmanuel Macron qui continue son tour de France
24:51avec la PQR, la presse quotidienne régionale,
24:55et qui, cette fois-ci, était face à la Voix du Nord.
24:59– Face à ?
25:00– Oui, avec.
25:02– Avec, avec, avec.
25:03– On va dire avec, ce serait juste.
25:04– En connivence.
25:05– En connivence.
25:06– Qui était très inquiet parce qu'il estime que l'IA aussi
25:09lui pose problème, parce qu'il estime que demain,
25:12les personnes demanderont à l'intelligence artificielle
25:14pour qui dois-je voter,
25:16ce qui est quand même un peu prendre les Français pour des crétins.
25:18Mais enfin bon, passons.
25:19Donc il voudra contrôler aussi ces IA
25:22parce qu'elles n'ont pas des intérêts totalement neutres.
25:24Ah bon, ça nous avait échappé.
25:27Tout va très bien dans ce monde,
25:29dans le numérique et sur les médias, c'est magnifique.
25:31– D'autant plus qu'en l'État,
25:32les IA sont très politiquement correctes.
25:35Même l'IA de Mosque-Groque
25:37est encore assez politiquement correcte,
25:39même si elle devient de plus en plus précise,
25:42ouverte et intelligente.
25:44Mais les IA aujourd'hui sont en majorité politiquement correctes.
25:48Le président Macron devrait se rassurer.
25:49– Deux associations cherchent à se constituer partie civile
25:56pour remettre au cœur de l'enquête sur le drame de Crépole
26:00les témoignages de victimes relatant des propos anti-blancs
26:04lors de l'explosion de violences avec des couteaux
26:08à la sortie du bal de Crépole.
26:10On s'en souvient, c'était en novembre 2023.
26:13Voilà, l'enquête avance,
26:16mais les témoignages n'ont pas vraiment changé.
26:18On a par exemple ce Léo qui dit ceci.
26:21« Quand ça a commencé à partir en vrille,
26:24ils ont dit, on est venu ici pour planter des blancs.
26:27Je ne sais pas si c'est important,
26:28mais dans la bagarre, j'ai entendu,
26:29on est là pour tuer du français. »
26:32Voilà, des mots forts qui, pour l'instant,
26:34ont été plus ou moins écartés par les enquêteurs
26:36et d'ailleurs qui ont été aussi très écartés par la presse.
26:41On s'en souvient de cet événito particulièrement ignoble de Patrick Cohen.
26:47Jean-Yves, maintenant un petit passage au Puy-du-Fou.
26:51BFM parle d'un récit national controversé du Puy-du-Fou.
26:56– Oui, c'est nouveau de parler du récit national controversé.
26:58Le récit national, il a été mis au point au XIXe siècle
27:02et il a été très largement développé par l'éducation nationale,
27:07l'éducation républicaine, jusqu'au milieu des années 80.
27:12Et puis, depuis, on est dans une vaste entreprise de déconstruction
27:16et on veut remettre en cause toute l'histoire nationale,
27:21les temps forts, qui peuvent être 732, la bataille de Poitiers,
27:27qui peuvent être le baptême de Clovis, qui peuvent être Jeanne d'Arc,
27:30puis les événements plus récents avec Louis XIV, Napoléon, etc.
27:33Ce récit national, c'était le récit de l'éducation nationale,
27:37le récit républicain, jusque dans les années 1980-1990.
27:42Aujourd'hui, il est remis en cause par des demi-savants
27:45et qui mettent en cause la présentation qu'on fait,
27:50avec beaucoup de talent, il faut bien le dire,
27:54le Puy-du-Fou, il y a une espèce de haine du Puy-du-Fou,
27:58parce que le Puy-du-Fou donne un peu aux Français l'envie de le rester,
28:02et ça, ce n'est pas bien.
28:03– Et surtout, c'est un grand succès.
28:04On rappelle que pendant ce temps-là, les États-Unis, eux, racontent
28:07et embellissent leur histoire de jour en jour.
28:11Donc voilà, en France, on aime bien taper sur les succès.
28:15– Voilà, 3 millions de visiteurs, deuxième parc,
28:19c'est effectivement un grand succès.
28:21Et il y a une déclinaison en Espagne, à Tolède,
28:24sur l'histoire espagnole, évidemment.
28:26– Claire Géronimi, vous savez, cette courageuse jeune fille
28:32qui a été victime d'un viol particulièrement ignoble
28:35par un OQTF qui a été condamné récemment,
28:38est désormais victime d'un article particulièrement ignoble,
28:43lui aussi, de Street Press,
28:45qui avait titré dans un premier temps,
28:47avant de se reprendre et de faire un autre titre,
28:50un peu plus correct, mais pas vraiment,
28:52ils avaient titré « Victime de viol, proche de ce terrain,
28:55allié de Némésis, Claire Géronimi, la coqueluche de l'extrême droite ».
29:00Et ils ont remplacé donc ce propos par « Claire Géronimi,
29:05figure du fémo nationalisme ».
29:08C'est hallucinant, Street Press.
29:11D'ailleurs, quand vous vous rendez sur le site,
29:14c'est vraiment, enfin, c'est presque drôle, tellement c'est ridicule.
29:18Il y a des petits pop-up comme ça qui s'ouvrent,
29:20qui vous empêchent globalement de lire l'article que vous voulez lire.
29:22D'ailleurs, Eric passe une mauvaise journée
29:25car une belle personne vient de donner 5 euros par mois à Street Press.
29:29Marion est en effervescence car une belle personne vient de donner 30 euros à Street Press.
29:34Alors, Jean-Yves, nous aussi, on est en campagne de dons.
29:36– Nous aussi, on pourrait être en effervescence
29:38si une belle personne, pas tout à fait pareille que celle de Street Press,
29:42donnait 30 euros, 50 euros ou un don régulier à TV Liberté.
29:50Parce que, contrairement à Street Press, nous n'avons pas de subvention publique.
29:54Alors que Street Press, ils ont des subventions publiques.
29:56Nous, nous n'avons que vous.
29:58– Chaque geste compte, vous le savez, l'argent, c'est le nerf de la guerre.
30:02Alors, on vous en remercie d'avance pour tout ce que vous pourrez faire.
30:05– Les natifs dérangent la justice, Jean-Yves.
30:11Ils avaient rendu hommage aux victimes des attentats du 13 novembre 2015.
30:18Le 13 novembre, donc, c'était un hommage assez différent,
30:22ceci dit, que celui qui avait été organisé par le pouvoir,
30:24vous savez, où les gens ont dansé et chanté.
30:29Je vous propose de regarder une petite vidéo
30:32et ensuite, on continue les explications sur les natifs.
30:36– Il y a dix ans…
30:37– Eh, ça tire dans le Bataclan, là.
30:39– L'islamisme a tué 130 personnes dans les rues de Paris.
30:42Il y a dix ans…
30:44– Paris a été frappé d'une attaque sans précédent.
30:48– Je viens de prendre des balles à côté du Bataclan.
30:50– Il y a dix ans, la France était en deuil.
30:53Il y a dix ans, nous avons laissé les ennemis s'en tirer.
30:58Depuis dix ans, rien n'a été fait.
31:00– Suite à cette action, j'en livre,
31:03cinq militants de ce groupe ont été interpellés
31:07de façon assez musclée à 6h du matin,
31:09comme en ont l'habitude les policiers.
31:13Voilà, alors ils sont poursuivis pour des slogans anti-islam
31:17qui ont été prononcés au Trocadéro.
31:20Et c'est vraiment cette partie-là qui aura été retenue par la justice,
31:25puisque le parquet a retenu la provocation publique
31:28à la haine ou à la discrimination.
31:30Et il y aura une audience qui a été renvoyée au 28 janvier 2026.
31:35En attendant, les jeunes ont été placés sous contrôle judiciaire.
31:38Interdiction de se voir ou évidemment de manifester.
31:43Ce qui nous fait quand même…
31:44Maintenant, l'État peut vous empêcher d'aller dans vos supermarchés,
31:47d'utiliser vos réseaux sociaux.
31:49Ça, c'est l'affaire Ghana.
31:50Et l'affaire Les Natifs, c'est de voir vos amis,
31:53parce qu'évidemment, je pense que ces jeunes hommes
31:54sont des camarades tous.
31:57Vous avez un commentaire, Jean-Yves ?
31:58– Je crois que c'est de l'anarcho-tyrannia à l'État pur.
32:01C'est-à-dire que l'État est impuissant face aux délinquants.
32:04Il est impuissant face à l'immigration clandestine.
32:08Et il est extrêmement répressif vis-à-vis de ceux
32:11qui dénoncent précisément cette impuissance.
32:14Ils vont être poursuivis pour délit d'opinion,
32:17pour avoir dit « islam hors d'Europe »,
32:21à ce qui est une opinion politique qu'on peut trouver condamnable.
32:25Mais ça devrait pouvoir faire partie du débat.
32:30Ils vont être poursuivis pour délit d'opinion.
32:33Et on peut le craindre condamnés.
32:36– Alors d'ailleurs, le résultat un peu de leur pré-condamnation,
32:41si je puis dire, est tombé en même temps qu'un sondage IFOP
32:44qui pointait un durcissement des opinions, c'est le point,
32:49un durcissement des opinions d'une partie des jeunes musulmans,
32:54en particulier chez les 15-24 ans.
32:56Mais en même temps, jeunes musulmans, c'est presque un pléonasme,
32:59j'ai envie de vous dire, Jean-Yves.
33:01Alors il y en a 81% de ces jeunes musulmans
33:04qui placent désormais le Coran au-dessus de la science
33:08pour expliquer l'origine du monde.
33:09Mais on a également 42% des musulmans
33:14qui éprouvent de la sympathie pour l'islamisme
33:17et 59% des jeunes musulmans en France
33:21qui souhaitent l'application de la charia,
33:23selon ce sondage IFOP.
33:25Alors pour revenir juste quelques instants,
33:28c'est une petite blague,
33:30mais Pierre Arditi a apporté son soutien à Alain Souchon
33:33qui s'était exprimé contre les électeurs du Rassemblement national.
33:36Il avait dit qu'on avait le droit d'exprimer ces convictions
33:39comme on veut.
33:41– Pas tout le monde.
33:42– Pas tout le monde.
33:42– Pas tout le monde, il a le droit.
33:44– En l'occurrence, si vous voulez,
33:46ce que révèle ce sondage,
33:49c'est que l'islam porte l'islamisme
33:54comme le vent porte les nuées.
33:57Voilà, c'est ça que révèle ce sondage
33:59et qu'il va être très difficile
34:01d'avoir deux civilisations sur le même territoire.
34:06C'est ça la réalité.
34:07Et c'est ce qu'il est interdit de dénoncer.
34:09– Alors, vous savez,
34:11BFM TV aime bien toujours minimiser ces faits politiques-là.
34:14Et donc, dans leur sujet sur l'islamisme
34:17qui gagne du terrain chez les jeunes,
34:19eh bien, ils ont réussi à placer aussi
34:22le nombre de musulmans en France,
34:24selon cette enquête IFOP,
34:26qui serait passé en 9 ans de 5 à 7 %,
34:29nous dit-on, donc 7 % de musulmans en France.
34:32et ils ont dit ceci, on est loin du cliché du grand remplacement.
34:38C'est toujours amusant.
34:40En tout cas, vu comme l'islamisme, effectivement,
34:43progresse dans les rayons des supermarchés,
34:46on n'a pas hâte de voir ce que ça donnera
34:47quand ce sera 15 ou 20 %.
34:50– Il y a un grand remplacement alimentaire, en tout cas, voilà.
34:52– Dans les supermarchés, ça se voit particulièrement.
34:55Et sur BFM, toujours, eh bien,
34:56ils ont réussi à faire intervenir
34:58leur chroniqueuse économie et société,
35:01qui, on ne sait pas trop bien pourquoi, était là,
35:04et qui a dit qu'elle, elle n'était pas inquiète
35:06de cette montée de l'islamisme chez les jeunes musulmans,
35:09mais qu'en revanche, elle était très inquiète
35:10de la montée des intégristes catholiques.
35:12Et je vous propose d'écouter son intervention,
35:15parce qu'elle est vraiment extraordinaire,
35:17cette Amélie Rosic, de son nom.
35:19– Moi, ce qui m'inquiète, c'est la montée des intégrismes,
35:22en général, on le voit aux États-Unis,
35:23c'est l'intégrisme catholique, c'est une vérité.
35:26– Protestants, protestants.
35:27– Oui, on le voit aussi dans les prisons.
35:29Alors, dans les prisons françaises,
35:30c'est de l'intégrisme catholique, pour le coup,
35:32il y a eu un rapport tout récemment
35:34de la montée dans les prisons françaises
35:36des détenus qui se réclament
35:39de cette mouvance extrémiste-là.
35:42Je crois qu'il y a une recherche de sens et de terreur
35:45qui, moi, me terrorise.
35:46– Elle est nulle et elle se mélange en plus, Jean-Yves.
35:48– Bon, dans les prisons françaises,
35:49il y a eu un rapport commandé, évidemment,
35:52à des fins politiques, on en parlait la semaine dernière,
35:56qui pose sur quelques dizaines de cas
35:59sur plusieurs années
36:01de détenus supposés radicalisés d'extrême droite,
36:05pas forcément uniquement catholiques d'ailleurs.
36:07Enfin, tout ça.
36:09Mais c'est les fausses fenêtres.
36:10C'est les fausses fenêtres.
36:11– C'est BFM TV, c'est leur rôle, en fait.
36:17– Et voilà, on est arrivés à la fin
36:19de cette édition d'immédiat.
36:20Merci à tous de nous avoir suivis.
36:22Je vous le rappelle, si ce n'est pas déjà fait,
36:24vous le savez, il faut cliquer sur le petit pouce en l'air
36:26pour aider l'algorithme de YouTube
36:27à propulser notre vidéo
36:29afin que des millions de personnes
36:31puissent la regarder, bien sûr.
36:34Jean-Yves, on ne laisse pas
36:35nos téléspectateurs tout seuls,
36:37puisqu'ils retrouvent une rediffusion
36:39du portrait piquant de Léa Salamé.
36:42C'était bien sûr avant qu'elle ne présente
36:43le JT de France 2,
36:45mais c'est toujours bien de remettre un peu
36:48les points sur les...
36:48– La future première dame,
36:50selon les rêves du système.
36:52– Selon les rêves du système,
36:53nous verrons, nous verrons ce que cela donne.
36:55Enfin, on vous laisse avec ce portrait piquant
36:57présenté par Claude Chollet
36:59en partenariat avec l'Ogym.
37:00Et on vous dit à très vite sur TVL.
37:02D'ici là, portez-vous bien.
37:03– Journaliste franco-libanaise,
37:08Léa Salamé, de son vrai nom Ala Salamé,
37:10est une étoile de l'information
37:12depuis qu'elle a arbitré les débats
37:14entre Éric Zemmour et Nicolas Domenac
37:17sur e-télé.
37:19Issue de la haute bourgeoisie affairiste libanaise,
37:23elle ne cache pas,
37:24malgré son image d'objectivité,
37:26une idéologie libérale, libertaire,
37:30cosmopolite et mondialiste.
37:33Née en octobre 1979 à Beyrouth,
37:36elle est la fille du franco-libanais
37:37Ghassan Salamé,
37:39ancien ministre de la Culture,
37:41professeur à Sciences Po
37:42et soutien de l'Open Society
37:45de Georges Soros.
37:46Arrivée à 5 ans en France,
37:49elle a été naturalisée en 1988.
37:52Très bonnes études à Paris,
37:54à Saint-Louis-de-Gonzague
37:55et à l'école alsacienne.
37:56New York University,
37:58puis Sciences Po,
37:59le parcours doré
38:00des bons éléments de la bourgeoisie.
38:02Elle est lancée en 2004
38:04à la télévision par Jean-Pierre Elkabach
38:07sur LCP Public Sénat.
38:09Puis c'est France 24,
38:11un petit tour à France 3,
38:12ITV, France 2,
38:14l'émission On n'est pas couché,
38:15enfin France Inter.
38:17Patrick Cohen quittant la matinale
38:20de France Inter pour Europe 1,
38:22Laurence Bloch impose le duo
38:24Demorand Salamé
38:25à la tête de la matinale.
38:28Avec Demorand,
38:29venu de Libération,
38:30la symbiose professionnelle
38:32et politique est réussie.
38:34Comme elle le déclare au point
38:35avec Nicolas,
38:37c'est un mariage vraiment réussi,
38:39nous sommes un couple
38:40qui fonctionne bien.
38:42Fin de citation.
38:43En 2021-2022,
38:46en plus de France Inter,
38:47elle est sur France 2,
38:48à la fois présentatrice
38:49d'Élysée 2022
38:51et bras droit de Laurent Ruquier
38:53sur On est en direct.
38:56Certains commentaires
38:57s'émeuvent de sa partialité
38:59lorsqu'elle se retrouve face
39:01à Éric Zemmour,
39:02d'abord dans On est en direct,
39:04puis sur le plateau
39:06d'Élysée 2022.
39:07Il y avait du monde,
39:08vous avez raison de le dire,
39:09mais il y avait aussi
39:10des Macron assassins.
39:11Ce que, bon,
39:13ça restera,
39:14c'est resté.
39:14Elle ne parvient pas
39:16à réprimer une attitude hostile
39:18à l'endroit du candidat.
39:20Elle sera ovationnée
39:21à France Inter
39:22pour son esprit agressif
39:24lors de cet épisode.
39:26Son compagnon,
39:27Raphaël Glucksmann,
39:28père de son enfant,
39:30est élue tête de liste socialiste
39:31en vue des élections européennes
39:33de 2019.
39:35En mai 2019,
39:36elle anime le prix,
39:38ouvrez les guillemets,
39:38« rôle modèle LGBT »
39:41qui récompense
39:42les personnes LGBT+,
39:44dont le succès professionnel,
39:46le parcours de vie,
39:47les valeurs
39:48ou le rôle social
39:49sont considérés
39:50comme un modèle à suivre.
39:53Amen.
39:53Laissons le mot de la fin
39:55à Grégory Rose.
39:56Je cite,
39:57« Celle qui partage sa vie
39:59avec un député progressiste
40:01peut-elle vraiment animer
40:03un débat politique
40:05en toute impartialité
40:07sur une chaîne
40:08de services public ? »
40:10À nos auditeurs
40:11de donner leur réponse.
40:12à la fin,
40:18c'est la fin.
40:18C'est la fin.
40:19C'est la fin.
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