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00:00Sous-titrage MFP.
00:30Sous-titrage MFP.
01:00C'est vous la psychologue, c'est pas moi.
01:02Regardez ça.
01:04Il a coupé la langue de sa deuxième victime.
01:12Pourquoi?
01:12C'est un malade.
01:17On va pas chercher plus loin.
01:18On a notre hypothèse là -dessus.
01:21C'est pas un crime ordinaire.
01:23C'est pervers, c'est planifié.
01:25Les traces laissées sur les cadavres,
01:26c'est des messages que le tueur nous envoie.
01:28J'ai de la misère à vous suivre.
01:30La langue coupée, c'est la parole qu'on étouffe.
01:34On a probablement affaire à un grand déséquilibré,
01:37maltraité par sa mère.
01:38Il veut la faire taire, elle,
01:40ou quelqu'un qui la représente dans ses fantasmes.
01:43Quelque chose du genre.
01:44Pourquoi s'annoncer dans le scoop?
01:47Parce que c'est Johnson.
01:49Robert Johnson est un psychopathe doublé d'un toxicomane.
01:51Les rapports des psychiatres de la prison
01:54parlent d'une fixation sur Mme Rousseau.
01:56Ça explique peut-être les Stéphanie.
02:01Mais pourquoi c'est moi qui appelle?
02:04Johnson sait que t'es le conjoint.
02:06Il va peut-être essayer de te mettre ça sur le dos.
02:09Puis on a d'autres indices sur les victimes?
02:11Les deux filles se connaissaient pas.
02:13On les a vies la dernière fois dans un bar du centre-ville.
02:16Personne n'a remarqué si elles avaient quitté avec quelqu'un.
02:20Mort étranglée, on a retrouvé des fils de soie
02:22dans les pores de la peau.
02:23L'arme du crayon, ça peut être n'importe quoi.
02:26Pauve fille.
02:30Vous pourriez interroger les chums de Johnson,
02:33ceux qui sont dehors?
02:33On s'en occupe.
02:36Le docteur Ouimet va comparer les indices des crimes
02:39avec les antécédents familiaux de Johnson.
02:43L'explication la plus plausible pour l'instant,
02:46c'est que notre assassin tue par procuration.
02:49Il tue ses filles parce qu'il n'a pas encore eu le courage
02:51de vous tuer, vous, Mme Rousseau.
02:56Il tue ses filles parce qu'il n'a pas encore eu le courage.
02:59L'explication la plus grandeur.
03:01C'est pas ça.
03:02Mme Rousseau.
03:02Sous-titrage Société Radio-Canada
03:32Sous-titrage Société Radio-Canada
04:02Du Moulin, de l'Express. Claude Dubette à mon appel.
04:10Oui, François?
04:12J'ai une information à confirmer ou à infirmer.
04:16Es-tu au courant que Paul Vézina va être nommé chef de direction chez Roussac?
04:20Malheureusement, le premier ministre ne peut pas répondre à tes questions sur les affaires d'une entreprise privée.
04:24Est-ce que tu as entendu parler de quelque chose?
04:26Écoute, François, si l'Express a besoin d'informations pour un reportage politique, ça va me faire plaisir de t'aider.
04:34OK? Au revoir.
04:36Merci quand même.
04:40Il a pas nié lui non plus.
04:42Ta-da!
04:54Qui a-t-il?
04:57Ben, la photo?
04:58Hum?
04:58C'est la photo?
05:00Ben, c'est ma photo.
05:01Ma photo de Maurice Dion en train de se jouer dans le nez en première page dans les plus grands quotidiens en Amérique du Nord.
05:06chef d'oeuvre qui a été repris d'ailleurs par les plus grandes agences de presse du monde entier.
05:10Vous avez un génie en face de vous autres et vous êtes trop ignorants, vous n'en avez pas à savoir.
05:15Il a raison.
05:17Je pense qu'il est temps que le Québec sache que le grand artiste l'abrite en son sein.
05:22Abriou?
05:23Bon, pourriez-vous, s'il vous plaît, nous laisser travailler sérieusement si ça ne vous dérange pas trop?
05:30J'ai... j'ai un secours écœurant.
05:32Rattons ça.
05:33Tu sais, les deux meurtres de filles qui s'appelaient Stéphanie, là ...
05:37Oui, oui, oui. Il serait difficile d'ignorer ces ignobles crimes avec tout le tapage médiatique qu'on leur raconte.
05:42T'es... c'est rien à côté de ce qui s'en vient.
05:45Ben, accouche, carrosse!
05:47Robert Johnson, là , le paranoïaque de la gang qui avait kidnappé Stéphanie Rousseau, là ...
05:52Ben, accouche!
05:53C'est lui!
05:54Hein?
05:55Il court depuis une semaine.
05:56Quoi?
05:57L'assassin de Stéphanie, ce serait lui?
05:59Ça va être le secours, mais t'es au courant.
06:00Ben, nous autres, on ne dormira pas là -dessus, carrosse!
06:05Ben, personne ne veut parler.
06:06Ben, tous les corps de police du Québec sont sous le coup.
06:09Ben, nous autres, on va faire notre job et on va en sortir.
06:11Marchand, tu m'écris que la police pense que le meurtrier de Stéphanie pourrait vouloir se venger...
06:15... pis que la police fait un lien avec Robert Johnson.
06:18La police dit lien!
06:19On s'en caler, c'est écrit que des sources qui préfèrent garder l'anonymat, on dit que, pis bon...
06:24Hey, hey, hey, hey!
06:25Non, c'est éthiquement pas très correct, mais...
06:29... compte tenu de ces crimes atroces, j'approuverai un tel article.
06:33Ah, c'est clair!
06:34OK, OK!
06:35Je peux pas regarder ça plus longtemps.
06:40Il faut que je publie la nouvelle sur Vizina comme chef de direction.
06:45Si je te l'interdisais?
06:46Tu comprends pas, Sainte Caramel.
06:48Je peux plus bloquer ça.
06:50C'est du moulin.
06:51Ah!
06:52Lui.
06:54J'ai l'intention de faire mon travail en publiant une nouvelle solide, que tu le veuilles ou non.
07:00Mais je t'avertis parce que t'es ma chambre, Stéphanie.
07:01Le texte est déjà écrit, composé, mis en page, pis la moitié du journal l'a déjà lu, je pense.
07:13C'est ton métier, Léon.
07:18Hé, dépêche-toi, un marchand, il m'a juste à fermer la une avec ton histoire.
07:21Hum, hum, ouais!
07:22Oh, le Duc, c'est un beau texte.
07:26C'est de la dynamite.
07:27Je viens juste d'avoir la confirmation de Stéphanie.
07:29Hé, du moulin, c'est un vieux pro, si jamais il apprenait que t'as fait approuver son texte.
07:33Hé, je fais rien confirmer, Sainte Caramel.
07:36Stéphanie, c'est la présidente de Roussac.
07:38Elle a le droit de savoir que l'Express annonce demain que Paul Vizina va devenir chef de direction de l'Empire.
07:43Bon, faut pas être plus pur que la Sainte-Bierge.
07:46Heureusement que c'est oui, parce que j'aurais jamais démonté ma page.
07:49Tu vas monter puis démonter quand je vais te le dire, OK?
07:56C'est pas plus compliqué que ça.
08:01Marchand s'appresse!
08:02!
08:14!
08:19C'est catastrophique, cette fuite dans le journal.
08:44Je suis bien content que vous ayez accepté de me rencontrer pour en parler un peu avant la réunion du conseil.
08:51Tant que la situation ne sera pas stabilisée, les fuites sont hontement probables.
08:56Pourquoi vouliez-vous me voir?
08:59Il faut absolument que vous teniez compte de mon avis.
09:03Je comprends pas.
09:06Je pensais pas devoir me rendre jusque-là .
09:08Mais Roussac, l'empire de votre père, c'est quelque chose de très spécial pour moi.
09:13Pour moi aussi.
09:16Vous devriez relaxer, M. Grégoire, ma décision est déjà prise, c'est pas le vésinant.
09:20Je n'avais pas le droit.
09:21Pardon?
09:23J'ai quand même le droit de dire ce que je pense.
09:25Vous me coupez continuellement la parole pendant nos réunions.
09:28Qu'est-ce qui vous permet de me parler comme ça?
09:31Pardonnez-moi, mais vous êtes sur le point de faire une énorme erreur.
09:35Et vous n'écoutez rien de ce que je vous dis.
09:37J'ai tenu compte de votre avis, comme de celui de tous mes collaborateurs.
09:43Qu'est-ce que vous voulez de plus?
09:45Vous restez sourde à mon avis.
09:46C'est très humiliant pour moi.
09:49M. Grégoire, j'ai analysé la fiche personnelle et professionnelle de tous les membres du conseil d'administration de Roussac,
09:54et je comprends tous les choix de mon père.
09:56Sauf vous.
09:58Pourquoi?
09:58J'étais chargé de former votre frère Louis.
10:01C'est lui qui devait être président et chef de direction de Roussac.
10:05Le patron, ça devait être lui, pas vous.
10:12On sait maintenant comment le tueur repère sa victime.
10:18Il ne demande pas une autre ouïe fille dans les bars, ça, c'est certain.
10:21Nos deux Stéphanie étaient des bonnes filles.
10:23Une était comptable, l'autre était vendeuse dans un magasin.
10:25Des filles toutes seules.
10:28Des annonces?
10:29On est plus chez les annonces pour célibataires.
10:34Pour Stéphanie, jolie, homme riche, sérieux et de paroles sacrème.
10:39On a la cassette de la boîte vocale.
10:42Ben drôle de voix.
10:44Difficile de prouver que c'est Johnson.
10:46Il n'est pas plus avancé.
10:48Sauf si t'écrivais qu'on se rapproche, qu'on a retracé le gars.
10:52Puis pour mettre les Stéphanies en garde.
10:54Moi, je ne demande pas mieux, mais avec un fou comme ça, ça peut changer quelque chose.
10:57Ça ne coûte pas cher d'essayer.
10:59Vous pourriez le piéger avec une fou, Stéphanie?
11:01Toutes les solutions sont envisagées.
11:03Il faut que le gars se manifeste avant de commettre un autre meurtre ou avant de s'attaquer à ...
11:07Oui, quoi?
11:10J'ai besoin d'un article pour énerver le gars.
11:14C'est ta blonde qui est visée.
11:18Oui.
11:27Du Moulin, il se pognait le cul avec nous autres.
11:29Puis là , il veut se refaire un autre.
11:30J'ai vu Grégoire ce matin.
11:35Le connais-tu un peu?
11:38Tiens-toi loin de ce gars-là .
11:40Il y a un autre pingouin de la finance.
11:45Tu veux être cieux?
11:47C'est parce qu'on ne dit pas pingouin, on dit requin.
11:49Avec son air de croque-mort, il me donne fret dans le dos.
11:55Puis le fret, c'est les pingouins.
11:57Ce n'est pas les requins.
12:04Du Moulin est en train de devenir un problème.
12:08Du Moulin.
12:10Il a toujours été un problème.
12:12Je rencontre le conseil d'administration dans une heure.
12:15J'ai l'intention de tuer la poule dans l'oeuf.
12:17Attention, petite fille.
12:21Ce n'est pas la cour d'école.
12:36Je m'ennuie de papa.
12:47La réaction des milieux financiers au ballon de l'Express est très négative.
12:57L'action de Roussac est attaquée sur tous les marchés et ça coûte des millions.
13:02Nous vous respectons tous en tant que journaliste et excellente communicatrice.
13:08Mais Roussac, c'est autre chose, Mme Rousseau.
13:11Les actionnaires sont déjà sévèrement pénalisés à cause de la possible nomination de M. Vizina.
13:18Il faut mettre un stop à toutes ces rumeurs.
13:21Mais de quel droit est-ce que les milieux financiers viennent s'ingérer dans les affaires de Roussac?
13:24Du droit des petits actionnaires.
13:27Les grandes caisses de retraite, les fonds de solidarité, les fonds mutuels,
13:31détiennent des bons pourcentages des actions de Roussac.
13:33Ça veut dire des milliers de petits actionnaires, Mme Rousseau.
13:38Et ces milliers de petits actionnaires ne veulent pas d'un rustre et d'un ancien gauchiste comme chef de direction.
13:44Le message qu'ils envoient en vendant leurs actions est limpide, Mme Rousseau.
13:48Surtout quand une cabale infecte et une campagne de salissage en règle est menée contre notre candidat, n'est-ce pas, M. Grégoire?
13:55Que voulez-vous insinuer?
13:56Je n'insinue rien.
13:57Je réalise cependant que ces fuites dans les médias pourraient faire l'affaire de certains membres du conseil d'administration.
14:01Il faut être prudente, Stéphanie.
14:03L'OPEA contre Extall Corporation a grevé la marge de manœuvre de Roussac.
14:10Il faut que l'action maintienne son cours, sinon la compagnie pourrait vite devenir vulnérable.
14:30Fasse un peu de bon sens, comment tu joues?
14:33Je veux que ça me parfume.
14:366-0, 6-0.
14:38Une chance que t'es pas en fourne.
14:50C'est dur de prendre la place d'oncle Emile.
14:54Une fois pire que je pensais.
14:56T'as aimé ton voyage?
15:15Oh, le rêve.
15:18Le bonheur total.
15:19Ça faisait tellement longtemps que je pensais, puis là , je l'ai fait.
15:22J'ai invité papa et maman deux semaines en Europe.
15:25Qu'est-ce que t'es avait fait à Paris?
15:27Grand crème aux fouquettes.
15:30Choucroute à Munich.
15:31Pasta à Milano.
15:33J'ai sauvé 10 000 piastres.
15:35Il te reste 4 990 000.
15:40J'aurais le goût de te dire merci.
15:42Je sais pas pourquoi.
15:45C'est l'argent de papa.
15:52Tu devrais acheter des actions de Roussel qu'elles ont baissées.
15:55Avec toi, elles vont remonter, je suis certaine.
15:58J'aimerais ça que tu m'aides.
15:59Comment on investit ça, 5 millions?
16:13Ta mère, comment elle va?
16:14Bien.
16:18Tu voulais absolument me parler?
16:23C'est à propos de l'héritage?
16:26Non, Adil.
16:29Je voulais te voir, savoir comment ça va ta nouvelle vie.
16:355 millions, ça change pas le monde.
16:37Ça change le stress en tabarnouche.
16:44Je suis contente que tu m'aies téléphoné.
16:52Qu'est-ce que t'en penses?
16:59Je pense que ton père devait être un joyeux luron dans son jeune temps.
17:02C'est pas ça que je veux savoir.
17:06Je sais pas, Steph.
17:11Je sais pas si t'en vas dire à redil que c'est ta demi-soeur.
17:17Des fois, je me dis qu'elle a le droit de le savoir.
17:19Mais il est pas juste à dire, il y a ma mère aussi.
17:27Que c'est que je fais?
17:31Tu te mêles des affaires.
17:34Si ton père veut que elle sache, j'y aurais dit.
17:36Des fois, j'ai l'impression qu'elle sait déjà .
17:48Tu es vraiment dans la bien.
17:53C'est la seule qui compte.
17:54J'ai l'impression qu'elle sache, j'ai l'impression qu'elle sache.
18:24J'ai l'impression qu'elle sache, j'ai l'impression qu'elle sache.
18:26J'har shown qu'elle est une concentration.
18:30C'est pas que genre pour le sens de encembre,
18:41J'essaie, un bon es, tout, qu'elle sache.
18:47C'est pas encore granné Ah.
18:52M. Gagné, est-ce qu'il va venir?
18:56Non, non, laisse faire. Je vais vous rappeler.
19:22Ah, mon petit chien.
19:27Voilà , tu m'en vas pas.
19:47Merci, André.
19:52Qu'est-ce que t'as, là ?
20:04Si tu m'aimes, tu vas me dire ce qui s'est vraiment passé avec Léon.
20:07Rien s'accueille.
20:11Vrai s'accueille.
20:12Je te l'ai dit, je me sentais tout drôle pis je savais pas pourquoi.
20:16Je suis capable de tout entendre, Lionel.
20:18Si tu m'aimais moins, j'aurais énormément de peine, mais je serais capable de le prendre.
20:23Ça n'a rien à voir, André. Je me sentais bizarre, comme... comme attiré.
20:29Ça faisait longtemps que ça m'était pas réglé.
20:31Tu te sentais normal. Dis-le, tu te sentais normal, un homme normal, avec une femme de bébé.
20:37Ça t'est jamais arrivé de te poser des questions, toi?
20:39Oui, ça arrive à tout le monde. Ça arrive à tout le monde, mais c'est pas de ça que je te parle.
20:43Est-ce que tu l'as désiré?
20:46Si rien passe, c'est endormi.
20:47Lionel, j'ai besoin de savoir ce que tu ressens, toi, là -dedans, pas le cul.
20:50Ben, le désir, c'est un peu le cul, non?
20:54Ah oui, c'est important.
20:55Avec Léon, André, c'est spécial.
20:59Je me sens bien avec elle.
21:02Pis la petite Amélie.
21:03C'est bien simple que je la prenne en mes bras.
21:06Le coeur qui me vire à l'envers.
21:07Ben, t'as bien compris, là .
21:10T'as pas ton coup de carrosse, hein?
21:14Julien, M. Marchand soutient que Robert Johnson n'est pas le suspect numéro un dans l'affaire de Stéphanie.
21:17Ben, le tueur, il aurait passé par les petites annonces. C'est pas le genre d'un gars comme Johnson, ça.
21:20Bon, il est peut-être pas tout seul, comme Jacques Léventreur.
21:22Il n'a pas su avec Johnson pour avoir des petits annonces.
21:24Ben, le tueur, il aurait passé par les petites annonces.
21:25C'est pas le genre d'un gars comme Johnson, ça.
21:27Bon, il est peut-être pas tout seul comme Jacques Léventreur.
21:28Il n'a pas su avec Johnson pour avoir des petits annonces.
21:30Il aurait passé par les petites annonces. C'est pas le genre d'un gars comme Johnson, ça.
21:33Bon, il est peut-être pas tout seul comme Jacques Léventreur.
21:35Il n'a pas su avec Johnson pour avoir des l'histoire où on s'arrangerait avec.
21:38Mais oui, Julien a raison.
21:40Ce dangereux maniaque a enlevé Stéphanie Rousseau avait décompli, ça fait tout.
21:43Allez-y.
21:44OK, OK.
21:45Marcel Proust de Radio-Canada et mon technicien Flaubert, Gustave de son petit nom.
22:02Serge Vandal.
22:03C'est au sujet de votre photo publiée par les Américains.
22:06Le service d'information voudrait faire une entrevue.
22:09Ben, pas de problème. Vous pouvez me poser n'importe quelle question.
22:12Bon, eh bien, nous allons faire cela en duplex.
22:15Vous, vous allez regarder la caméra.
22:17On va vous mettre un écouteur dans les oreilles
22:19et on va vous poser les questions en direct de la salle des nouvelles.
22:22C'est clair ?
22:23Ils se déplacent plus au lien, non ?
22:24Et non.
22:25Tu l'avais dit, Paul Vézina a un choix douteux.
22:42Émile avait la tête dure, mais il ne se battait pas contre tout le milieu financier.
22:45Un à un, finement, mais pas contre tout le milieu.
22:49Le milieu ne veut pas voir Paul Vézina à la haute direction de Roussac.
22:52C'est pas de la maudite affaire.
22:53T'oublies le conseil d'administration.
22:55Une bande de mercenaires qui font partie d'autres conseils.
22:58Pour eux autres, moi, je suis le diable en personne.
23:01Non, non, non, Stéphanie.
23:04Tu vas payer trop cher.
23:06Ça ne vaut pas le coup.
23:08Paul, j'ai besoin de toi.
23:10Es-tu mât, Siboile ?
23:11Pas besoin d'être chef de direction.
23:13Je suis payé 200 000 piastres au secours.
23:15J'ai pas besoin d'un demi-million.
23:16LÃ , c'est toi qui comprends pas.
23:18Les Grégoire, Bousquet, Martin, Gélinas, La Bonté sont des hommes de mon père.
23:22Puis moi aussi.
23:23C'est pas la même chose, puis dis-moi pas le contraire.
23:25Tu me ferais trop de peine.
23:27Parle pas comme ça, Stéphanie.
23:30T'es ma fille.
23:33T'es comme ma vraie fille.
23:35Celle que j'ai pas eue.
23:37Sacrement des mille, il savait ce qu'il faisait.
23:41On va trouver une solution.
23:45Le scoop, comment ça va ?
23:48Comment ça va, ça va.
23:50Les mois de juillet et août ont été rough, mais la publicité remonte.
23:54On manque de personnel, mais on se débrouille.
23:57Manon a amené ça d'une main de fer.
23:59Comment elle va ?
24:00Si c'est le deviné, elle travaille comme trois hommes.
24:03D'ailleurs, faudrait régler ça, la succession et cites-là .
24:06C'est à mon ordre du jour.
24:09Une fois, j'ai l'impression que j'ai pas assez d'heures dans une journée.
24:22T'as peur.
24:25J'y pense pas.
24:28T'essaies de pas y penser.
24:30Y'a un gars en ville qui tue des filles en pensant que c'est moi.
24:33Tu t'es inséré comme un truc.
24:44Vous êtes trop bas.
24:45Est-ce que vous pourriez vous asseoir sur le dossier de la chaise ?
24:47Le dossier de la chaise ?
24:53Ça roule, là .
24:54Des joues comme ça, là ?
24:55Oui, oui, allez.
24:56Un, trois, deux, un...
24:58Dix de suite.
25:00Le photographe Serge de Vendal a vu une de ses photos reprises par les agences de presse du monde entier.
25:07Monsieur Vendal, on dit de vous que vous êtes avoyant, pas très honeste, égoïste, malédité...
25:14Qui parle, hein ?
25:15Et détesté de la plupart de vos camarades.
25:19Dites-moi, est-ce que vous avez l'intention de changer maintenant que vous êtes devenu célèbre ?
25:24Hé, on peut-tu recommencer ça ? C'est pas en direct, ça, là ?
25:26Je suis pas arrogant. C'est mon carrétaire. Je suis pas égoïste. C'était quoi la question, déjà ?
25:30Ah, dalle. Crois-tu encore les petites filles, mon petit cercueil ?
25:33Qu'y va ? Essaye de faire dans mon oreille, toi.
25:36Non, non, non, non, non !
25:38Je pense que c'est trop.
25:41Oh oui, toi d'abord.
25:46Lionel !
25:51Oui ?
25:52Il y a un gag parfait pour notre génie international.
25:59Pas sûr, c'est-à -dire.
26:01Michel, j'ai quelqu'un qui insiste pour te parler.
26:03Michel, j'ai quelqu'un qui insiste pour te parler.
26:08Ouais, Michel Gagné, quoi?
26:10Gagné.
26:11Occupe toute ta blonde de câlisse.
26:14Mais c'est ça que je fais.
26:15T'es où, toi?
26:16Pendu pour un cave.
26:20Dis qu'elle tient de sa langue.
26:22Sinon, ça va finir mal.
26:23Mais drôle, la farce.
26:25Je connais deux filles qui arrivent encore.
26:27C'est pas de mes hosties de troubles.
26:29Mais parle à Claude Prince, peut-être qu'il peut t'aider.
26:32Hé!
26:33Les bums ne repugneront pas, c'est moi qui te le dis.
26:36T'sais, je vais peut-être pas être élevé dans le fric,
26:39mais je suis pas les parents pour autant.
26:43Peut-être qu'on peut se voir.
26:44C'est ça.
26:47Il y a petites annonces.
27:01Oui, l'avez-vous localisé?
27:03C'est un 5-2-3.
27:04On a le secteur.
27:05God.
27:05God.
27:05Allô.
27:06Le poulet est prêt.
27:08Le poulet est prêt.
27:10Ah, t'es bien fine, mais j'ai surtout soif.
27:10Ah, t'es bien fine, mais j'ai surtout soif.
27:12Ah, t'es bien fine, mais j'ai surtout soif.
27:16Est-ce qu'il reste de la bière?
27:22Yeah.
27:31Ah, t'es bien fine, mais j'ai surtout soif.
27:32Le poulain est prêt.
27:35Ah, t'es bien fine, mais j'ai surtout soif.
27:38Est-ce qu'il reste de la bière?
27:39Ouais.
27:46Qu'est-ce que t'as?
27:49Je pensais qu'on prendrait un petit souper ensemble,
27:51mais t'as pas faim.
27:54Alex, je viens de sortir de ce genre de discussion-là avec Manon.
27:57J'espère que tu penses pas que je vais recommencer avec toi.
27:59On peut se parler entre adultes.
28:01T'es plus une petite fille, t'es une femme.
28:03Une belle femme intelligente.
28:05Ah, bien sûr.
28:07J'ai juste besoin d'un peu de calme.
28:10Ah, je veux pas te déranger.
28:11Ah!
28:31La cassette de Vandal, il paraît que c'est pissant.
28:47Il y a un rôle, là !
28:52Il y a genre comme ça, non ?
28:53Ah, vous êtes trop heureux.
28:55Est-ce que vous payez pour des ascensions ?
28:56Vous avez payé pour ne pas penser à son plus en plus.
29:08Regarde, regarde.
29:10Mesdames, messieurs, bonsoir.
29:39Je vous remercie d'avoir accepté cette invitation.
29:43Vous êtes les patrons des quotidiens et hebdomadaires de Roussac au Québec.
29:48Je vous invite à rencontrer M. Laurier Grégoire, vice-président du conseil d'administration de Roussac.
29:56M. Mario Bousquet, chef d'exploitation de Roussac International.
30:02Ainsi que Mme Esther Godin, membre du conseil.
30:09Je voulais vous dire qu'il me tient à cœur que nos médias d'information prennent une place importante dans notre compagnie.
30:17Voilà .
30:20Alors, sur ce, bonne soirée, amusez-vous bien.
30:23Pas trop, on reprend le boulot à la première heure demain matin.
30:26Merci.
30:26C'est la bonne, on dirait que t'as fait ça toute ta vie.
30:31C'est un bon.
30:32Je sais pas où tu t'en vas, mais je sais que t'y vas vite.
30:37Bonsoir, monsieur.
30:39Bonsoir, ça va bien.
30:40Peu de champagne?
30:41Merci.
30:42T'es chanceuse, toi, à l'express, t'as une marge de manœuvre.
30:50Moi, au scoop, j'ai rien.
30:52Faut que je paie mon impression avec ma collègue de bonne main.
30:56Vous manquiez de journalistes d'expérience, ça commence à paraître.
31:01Lâche.
31:02Tu le savais, ce qui se passe avec François.
31:05C'est Louis qui est venu me voir.
31:10T'es encore amoureuse?
31:12J'ai le cœur en mille miettes.
31:14Mais c'est quoi mon choix?
31:16Je me suicide ou bien je travaille?
31:18J'ai décidé de travailler.
31:20Ouais, je vous regarde les filles, puis je pense que je m'en ai du journal, moi.
31:25Quel journal?
31:26L'express?
31:28Le scoop.
31:33À lequel?
31:34Ben oui, lequel.
31:36Tiens, souris donc, toi.
31:37Ah, t'as un besoin.
31:41Musique, t'es un peu.
31:42Ah, t'as un revue de charge.
31:45Merci.
31:46Merci.
31:47T'as un monsieur.
31:50T'es là .
31:50T'es là .
31:50T'es là .
31:51T'es là .
31:51Esther, pouvez-vous me conduire à Paul tout de suite, s'il vous plaît?
32:03Oui, oui.
32:07Monsieur Grégoire, j'aurais aimé le temps.
32:08C'est quoi, là ?
32:14Qu'est-ce qui se part?
32:15Oh, on s'en va.
32:16Ben oui, mais voyons.
32:17On part, Paul, je te dis.
32:19Quoi?
32:19Quoi?
32:23Un sujet assez délicat.
32:27Paul Vizina ne sera pas chef de direction de Roussac.
32:30Les marchés sont trop instables, ça sert à rien de les provoquer.
32:33Je vais passer le mot ce soir au membre du conseil,
32:35et le courrier interne est déjà à l'oeuvre.
32:36Ils vont tous être au courant.
32:39C'est bien.
32:41Si jamais vous acceptez des suggestions...
32:43Oui, bien sûr.
32:51Karl-Extall avait accès à Brezhnev dès qu'il mettait les pieds à Moscou.
32:55Parfaitement.
32:57Vous assistiez à ces rencontres au Kremlin?
33:00Une fois, oui.
33:01Comment faisiez-vous pour savoir ce qui s'était dit?
33:03Nous allions toujours dîner avec les membres du politburo et de la nomenclatura.
33:10Karl-Extall adorait la vodka russe.
33:15Vous couchiez avec lui.
33:17Vous êtes grossier.
33:18Est-ce que je vous demande avec qui vous couchez, vous?
33:20Je n'écris pas mon autobiographie.
33:22Stéphanie Rousseau, c'est une bonne baisse.
33:29Sans doute meilleure que le père.
33:31Vraiment?
33:33Vous me décevrez toujours.
33:37Ah, excusez-moi.
33:42François Dumoulin.
33:43Oui, oui, je vous reconnais.
33:48C'est un cellulaire, oui.
33:50Très bref, alors.
33:54Paul Vézina ne sera pas chef de direction.
33:57Mais alors?
33:58Allô? Allô?
34:01Vous allez me dire que vous devez aller au journal?
34:04Que vous avez un scoop?
34:05Trois lignes à écrire.
34:07Il faut que j'y aille.
34:11Désolé.
34:12Vous êtes certaine que c'est la même voix
34:16que vous avez entendue au téléphone?
34:20Ça pourrait être la fatigue.
34:25Ce qui est sûr,
34:27c'est que Johnson n'a pas pu se glisser dans la salle.
34:31Ce serait bien la première fois que ça m'arrive
34:33de confondre des voix.
34:35La première fois depuis que je suis aveugle.
34:36Dites-moi encore ce que vous avez entendu au juste.
34:40C'était la même, même tonalité.
34:42C'était le même thème, mais moins étouffé.
34:44Seriez-vous capable d'identifier les gens
34:46qui étaient devant la table?
34:47Capitaine, je vois pas.
34:50C'était toutes des voix que je connaissais pas.
34:52Mais il y avait un monsieur très éduqué
34:53qui s'est mis à parler avec quelque chose dans la bouche,
34:56comme la voix au téléphone.
34:59Les autres, je sais pas.
35:01Ma femme a très mal dormi, elle est très stressée,
35:04alors ça vous dérange pas.
35:05Laisse faire, Paul.
35:06C'est tout pour l'instant.
35:08On va essayer d'obtenir les témoignages des gens
35:10qui étaient avec vous dans la salle
35:11et de savoir qui était près de vous
35:13quand vous avez entendu la voix.
35:14Laissons courir.
35:16On a la voix, pas l'homme.
35:18On a repéré le secteur d'où Johnson appelle.
35:20On est en train d'en faire le tour.
35:22En autant que Johnson est bien celui qu'on cherche.
35:25Oublions pas que pour le tueur,
35:26la voix, c'est très important.
35:28Si on dit qu'on a identifié sa voix,
35:30il va se manifester.
35:32Oh, oh, oh, minute, minute, là .
35:34Y'en est pas question.
35:36Vous pouvez pas faire ça.
35:45C'est épouvantable ce qui arrive à Stéphanie.
35:48Tous ces meurtres,
35:49ce fou qui est en liberté.
35:52Ah, moi, je m'exilerais.
35:53Je m'en irais loin.
35:54C'est rien, ça.
35:55La police pense qu'elle a réussi à s'infiltrer
35:57à la réception de Stéphanie.
35:58Quoi?
35:59Oh, ouais, un déguisement.
36:00À cette réception-là ,
36:02ma femme Sylvie pense avoir reconnu
36:03la voix du tueur.
36:04C'est Vizina.
36:06Je suis surpris de vous voir chez Roussac.
36:08Madame Roussac...
36:09Pourquoi je me mêle?
36:11Ce n'était rien de personnel, sa chérure.
36:13De toute façon, je vais m'en remettre.
36:22C'est la vidéo de la sécurité de Roussac.
36:32Vous aviez raison,
36:33il y a une caméra de surveillance
36:34dans chaque bureau de l'otage de direction.
36:36Regardez, après des hors-d'oeuvre,
36:37c'est Sylvie Vizina.
36:40Deux personnes qui s'approchent,
36:42qui prennent des bouchées,
36:43qui repartent.
36:44Il y a quatre hommes
36:45qui s'avancent en parlant.
36:47Gilles Bernard,
36:48Claude Loiseau,
36:50Mario Bousquet,
36:52Laurier Grégoire.
36:54Mais pas de Robert Johnson.
36:56Là , c'est Stéphanie Rousseau
36:57qui s'avance.
37:00Regardez la réaction de Mme Vizina.
37:01Viens d'entendre la voix.
37:03On ne voit rien.
37:04Je gèle sur le visage
37:04de Mme Vizina.
37:09Tu ne peux même pas parler
37:09d'un déguisement, c'est sûr, Gastron.
37:11Il y a un moyen de le savoir.
37:15Madame, messieurs,
37:24j'ai remis ma démission
37:26en tant que rédactrice
37:28en chef du Scope
37:29à sa vice-présidente,
37:30Manon Bertillon.
37:31Peut-être que cela
37:32ne vous intéresse pas,
37:34mais sachez que c'est
37:35une profession que j'adorais.
37:39Et je l'ai fait
37:40pour mieux me consacrer
37:41Ã mon nouveau poste.
37:43J'ai le plaisir de vous annoncer
37:45que je deviens dès aujourd'hui
37:46présidente et chef de direction
37:49de Roussac
37:49comme l'était mon père,
37:50Emile Rousseau.
38:01J'ai quelques points
38:02à régler dès aujourd'hui.
38:05M. Grégoire,
38:07Roussac a besoin
38:08d'administrateurs loyaux
38:09et vous avez coulé
38:10des informations confidentielles
38:12Ã un journaliste.
38:13Comment pouvez-vous dire ?
38:14De quel droit ?
38:15J'en ai les preuves
38:16et j'accepte votre démission
38:17avec plaisir.
38:19Vous pouvez quitter
38:20la salle immédiatement.
38:26C'est une grave erreur
38:27et quand vous aurez besoin
38:28de moi,
38:29je vous donnerai
38:30une seconde chance.
38:30M. Paul Vézina.
38:48Bonjour.
38:49Bonjour.
38:49Bonjour.
38:51Monsieur.
38:53M. Vézina
38:54va remplacer
38:55M. Grégoire
38:56en tant que membre
38:57du conseil d'administration
38:58et de l'exécutif
39:00de Roussac.
39:07Est-ce qu'il y a
39:08des commentaires ?
39:13M. Bousquet,
39:14vous avez dix secondes
39:15pour choisir votre camp.
39:22J'espère pouvoir
39:24être utile à Roussac
39:25et à sa présidente.
39:28De longues années encore.
39:33J'apprécie votre loyauté.
39:38Nous avons quelques sujets
39:40Ã discuter.
39:40J'ai fait préparer
39:41des documents à cet effet.
39:42Merci.
39:58C'est toutes les photos
40:12de la soirée, ça ?
40:14Toutes sans exception ?
40:15À grandir,
40:15comme vous me l'avez demandé.
40:18Ça, c'est les photos
40:19qui ont été prises
40:20devant la table du buffet.
40:22On voit...
40:23M. Loiseau,
40:24ça, c'est M. Bernard,
40:25M. Grégoire,
40:26M. Bousquet.
40:27Ça ne nous avance pas
40:29beaucoup, ça.
40:30Peut-être, oui.
40:32Est-ce que c'est possible
40:33de faire des agrandissements
40:34du contenu des assiettes ?
40:36Oui.
40:36Le grain va être gros,
40:37mais c'est faisable.
40:38Ça va être sa presse.
40:40Un dépoigné, Johnson.
40:41Trouve-moi, Bézina,
40:42puis gagnez.
40:43Sous-titrage Société Radio-Canada
40:45Sous-titrage Société Radio-Canada
40:47...
40:48Sous-titrage Société Radio-Canada
41:18Sous-titrage Société Radio-Canada
41:21Sous-titrage Société Radio-Canada
41:22Sous-titrage Société Radio-Canada
41:23Sous-titrage Société Radio-Canada
41:24Sous-titrage Société Radio-Canada
41:25Sous-titrage Société Radio-Canada
41:27Sous-titrage Société Radio-Canada
41:29Sous-titrage Société Radio-Canada
41:32Sous-titrage Société Radio-Canada
41:33Stéphanie?
41:35Paul! Paul!
41:38Arrête de crier!
41:40Oh, non!
41:55Je vous en supplie!
41:59C'est pas Johnson, c'est qui?
42:01Vous imaginez le nombre de malades, de fous, de parano qui se promènent?
42:07J'aurais donc dû insister davantage.
42:10Johnson est un toxicomane.
42:12La toxicomanie, ça désorganise, ça colle pas avec le style de meurtre.
42:16On est sûr de rien encore, faut vérifier l'alibi de Johnson.
42:19Mme Wimet, les agrandissements que vous aviez demandé.
42:31Bon, enfin.
42:33Ça, c'est l'assiette de M. Bernard, deux petits bouts de céleri.
42:37Ça, c'est celle de M. Loiseau, elle est presque vide.
42:41Ça, c'est M. Bousquet, des crudités puis de la trempette.
42:44La quatrième, des saucisses, des sandwichs.
42:46Qui empêche de parler correctement?
42:48Ce n'est rien, Grégoire.
42:49Ce serait lui que votre femme a reconnu.
42:51La soie et la cravate.
42:53C'est quoi, Sylvie? Il m'a entendu?
42:55Il m'a entendu?
42:56Ok.
43:02Arrête de crier.
43:06Laissez-vous me le silence d'une femme.
43:09Il y a plein de Stéphanie qui crient dans ma tête.
43:13Il faut passer votre vie à me donner des ordres.
43:17Tais-toi, Stéphanie.
43:19Vous parlez toujours trop.
43:44Listen up!
43:49Sylvie...
43:54Sylvie?
43:57Sylvie?
44:00Sylvie?
44:02Sylvie?
44:06Sylvie?
44:10Sylvie.
44:19C'est tout.
44:24Ça va, ça va, ça va, ça va.
44:26Ne fais pas, ça va, ça va.
44:28Non, non, non, non, non.
44:31Non, non, non, non, non.
44:31C'est fini, c'est fini.
44:33On l'a app RJ, appelle deux ambulances.
44:36Chut!
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