- il y a 2 semaines
 
Avec Hadrien Mattoux, directeur adjoint de Marianne
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NewsTranscription
00:01Sud Radio, la France dans tous ses états, Péricault-Légas, Maud Koffler.
00:07Nicolas Sarkozy a donc été incarcéré ce matin à la prison de la Santé.
00:11Une demande de remise en liberté a été déposée dans la foulée.
00:14Dans un texte diffusé ce matin sur son compte X, l'ancien président dénonce un scandale judiciaire
00:19et un chemin de croix qu'il dit subir depuis plus de dix ans.
00:21Avant de conclure, je n'ai pas de doute, la vérité triomphera, mais que le prix à payer aura été écrasant.
00:26Ce matin, un rassemblement de soutien était organisé par Louis Sarkozy.
00:30Notre reporter Clément Barguin était sur place pour Sud Radio. Écoutez.
00:34Je suis venue pour dire à Nicolas Sarkozy que je l'adore, que je lui porte tout mon soutien.
00:39Il n'a jamais tué quelqu'un, les pires truands sont dans les mêmes conditions et je trouve que c'est horrible pour ça.
00:45C'était un grand homme d'état parce qu'il aimait les Français.
00:47Qu'est-ce que ça va donner l'image à l'international ?
00:50Mais il doit se dire, mais où est la France ? Où est la France ?
00:53Qu'est-ce qu'on veut faire des Français ? Qu'est-ce qu'on veut faire de la France ?
00:56Un paillasson ? C'est vrai que oui, je suis en colère.
00:59L'humiliation, c'est jusqu'au bout, jusqu'au bout l'humiliation.
01:02On veut le piétiner ainsi que sa famille.
01:04Je n'ai aucune envie qu'il reste en prison, mais bien sûr que non.
01:07On en parle avec le directeur adjoint de Marianne, Adrien Matou. Bonjour.
01:10Bonjour Adrien Matou.
01:11Bonjour. Vous avez vu l'ancien président de la République.
01:14Tout à l'heure, je pensais qu'il allait à l'Arc de Triomphe,
01:16avec les motards et les voitures de fonction à gyrofares, aller à la santé.
01:20L'image a quelque chose de surréaliste, presque une scène hollywoodienne.
01:23Adrien Matou, on sent depuis le jour du procès la colère de Nicolas Sarkozy.
01:32A votre avis, c'est sûr qu'il a aujourd'hui des ressentiments généraux.
01:36A qui il en veut le plus aujourd'hui, à votre avis ?
01:38Vous avez fait un très beau hors-série de Marianne,
01:40qui a rencontré un grand succès sur l'incarcération, le procès de Nicolas Sarkozy.
01:44Est-ce qu'il a une cible en particulier, avec laquelle un jour il réglera peut-être ses comptes ?
01:51J'ai envie de dire qu'il en veut, bien sûr, aux magistrats qui ont décidé de l'envoyer en prison.
01:57Mais sa colère est plus large, en fait, parce qu'il dirige sa colère contre toute la justice.
02:03C'est l'ensemble de la magistrature qui est mise en cause dans sa critique de son jugement.
02:07Et c'est une nouveauté relative, parce que ça fait quand même plusieurs années qu'on voit la droite,
02:14ça avait commencé beaucoup avec l'affaire Fillon, dénoncer le compoge judiciaire.
02:19Mais maintenant, c'est un argumentaire qui ne différencie plus le RN de la droite classique.
02:25Donc ça, c'est quand même un fait politique assez important.
02:28Pourtant, la magistrature, c'est le thème du débat depuis ce procès.
02:32La magistrature n'a fait pour l'instant qu'appliquer des lois, une législation très particulière.
02:38Avec la détention immédiate, l'exécution immédiate.
02:42Effectivement, tout ça a été l'objet de débats entre juristes, entre hommes politiques.
02:47Pour l'instant, la loi n'a pas été enfreinte.
02:52Elle a peut-être été mal interprétée, mais c'est la loi qui a été votée par le Parlement.
02:56Est-ce qu'à un moment donné, un homme comme lui est censé comprendre qu'il a l'obligation, lui, de dire
03:02« Eh bien, quelque part, ce n'est pas un honneur d'aller en prison. »
03:05Mais j'ai présidé à une République qui applique le droit et l'égalité des citoyens devant tout le monde.
03:12Il pourrait le faire.
03:13Et c'est vrai que moi, je suis quand même assez surpris de cette défense un petit peu tonutriante.
03:19Il continue de marteler qu'il est innocent, que la justice l'a condamné sans preuve.
03:24Il va quand même assez loin dans ses critiques de la justice.
03:27Après, il faut quand même préciser qu'il ajoute quand même qu'il se soumet au jugement.
03:31Il ne refuse pas d'aller en prison.
03:34Il affirme juste qu'il est innocent.
03:35On a le droit de penser qu'on est innocent, même après avoir été condamné.
03:39Mais c'est vrai qu'il y a quand même une radicalité dans cette dénonciation de la justice
03:42qui rejoint en réalité le débat un petit peu plus large,
03:46qui est celui du pouvoir des juges,
03:48qui est celui de l'immixion des juges dans la vie politique.
03:52Moi, ce que je trouvais un peu paradoxal,
03:54c'est que d'habitude, ces critiques-là,
03:56elles se portent plutôt sur le Conseil constitutionnel ou le Conseil d'État.
04:00Là, c'est la justice de droit commun qui est visée.
04:03Et à mon avis, on rentre dans une nouvelle mise en cause de la justice
04:06avec cette séquence Sarkozy.
04:08Et l'on voit la colère, j'allais dire, citoyenne de femmes et d'hommes
04:13qui ont des termes véhéments, j'allais dire, le sacralisent.
04:18Il est victime d'un complot, on dirait qu'il est victime d'une injustice
04:21qui a été ourdie contre lui.
04:23C'est une vengeance, c'est incroyable que des gens qui sont en plus dans un quartier,
04:27j'allais dire, plutôt bourgeois, où on aime l'ordre et la loi,
04:30tout d'un coup, on ouvre une parenthèse
04:32parce qu'un ancien président de la République est envoyé quelques semaines,
04:36on le sait, en prison, pour avoir commis des actes
04:40qui ne sont pas tout à fait conformes à sa fonction.
04:42Ça vous étonne qu'il y ait une réaction citoyenne comme ça, des gens de la rue ?
04:46Vous savez, Christopher Lach avait écrit un bouquin qui s'appelait
04:49La révolte des élites.
04:50Tout à fait, chef d'œuvre.
04:52C'est un petit peu ça, c'est vrai que c'est un peu la manifestation
04:56des vestes en voleurs côtelées et des mocassins,
04:59qui correspondent à la sociologie de la droite et l'air.
05:03Après, il ne faut pas non plus quand même tout à fait mépriser cela
05:07parce qu'il y a quand même un soupçon qui est porté sur la justice
05:10qui est qu'en gros, si je résume à gros traits,
05:13elle laisserait en pleine nature les délinquants de droit commun
05:17qui commettent des violences, des vols,
05:19et par contre, elle s'affirnerait sur ses intersaires politiques.
05:22Et c'est vrai qu'il y a quelques décisions,
05:26notamment par exemple celle de l'exécution provisoire.
05:29Je ne parle pas du jugement contre Nicolas Sarpel.
05:31Comme le principe de l'exécution provisoire qui suspend l'appel.
05:34C'est extraordinaire.
05:35L'appel qui est un droit fondamental est suspendu
05:37par l'exécution provisoire.
05:40On avait déjà vu ça avec Marine Le Pen
05:41qui a été condamnée à une peine d'inégibilité.
05:44Donc là, c'est vrai que le caractère subjectif du jugement
05:48et la justification parfois un petit peu hasardeuse
05:52de cette exécution provisoire
05:54nourrissent le soupçon d'une justice à deux vitesses.
05:57Et ça, pour le coup, ça dépasse les frontières du 16e arrondissement.
06:00La faute à qui, Adrien Matou ?
06:02La faute à qui à l'affaire Cahuzac ?
06:04La gauche avait tellement mauvaise conscience
06:06d'avoir un ministre qui avait dit les yeux dans les yeux
06:09qu'il n'avait pas de compte secret
06:10et qui finalement l'avait, qui a dû avouer en public
06:12qu'il avait menti au Parlement, au gouvernement,
06:15au président de la République.
06:16Alors du coup, on a pondu une loi dans la vitesse en disant
06:18maintenant on n'entendra pas que l'appel vienne ou ne vienne pas.
06:21On mettra le coupable en tôle tout de suite.
06:24C'est venu de là, une précipitation politique
06:26parce qu'on avait mauvaise conscience.
06:27C'est bien ça ?
06:29Oui, en fait, c'est une séquence de long terme.
06:30C'est-à-dire qu'on rentre dans une nouvelle ère.
06:32Dans les années 80 et 90, c'était l'inverse.
06:35On avait l'impression que pas un politique
06:36ne pouvait être mis en cause et aller en prison
06:38pour ce qu'il avait fait.
06:40On avait l'impression que, en gros, la corruption,
06:42quand elle concernait les politiques,
06:43n'avait aucune conséquence.
06:45On est rentrés dans une nouvelle ère
06:47parce qu'il y avait une vraie colère
06:48justifiée des Français face à ce sentiment d'impunité.
06:51et maintenant, j'ai l'impression
06:53qu'on veut laver plus blanc que blanc,
06:56on veut être sévère,
06:57on veut qu'il n'échappe pas à la prison.
06:59Peut-être que, dans certains cas,
07:00ça va un petit peu trop loin.
07:01Je ne sais pas si la société française
07:03a vraiment besoin que Nicolas Sarkozy
07:04passe quelques semaines à la santé.
07:07Mais voilà, c'est des débats complexes.
07:09J'ai l'impression qu'on est passé peut-être
07:10d'un excès à l'autre.
07:12Ça reste un cas, un cas politique, un exemple.
07:14Adrien Matou, vous êtes jeune
07:16et pourtant, vous êtes un observateur affiné
07:19de la politique française.
07:20C'est une de votre passion.
07:22Vous avez fait du journalisme,
07:23je pense, un peu aussi pour ce décryptage.
07:26Vous imaginez Nicolas Sarkozy,
07:289 mètres carrés.
07:29Bon, il n'est pas...
07:31Je veux dire, il va être traité
07:32comme les VIP, comme on dit.
07:34Je ne pense pas qu'il va passer
07:35ces quelques semaines d'incarcération
07:38à se tourner les pouces,
07:39à jouer réussite
07:41ou à faire des mots croisés.
07:43Je pense qu'il va réfléchir à sa sortie
07:45et tel qu'on le connaît,
07:47c'est quelqu'un qui est un petit peu...
07:49C'est quelqu'un qui a du tempérament,
07:51éventuellement peut-être un petit peu rancunier.
07:54On sait que ses amis l'ont dit
07:55qu'ils ne pardonnent pas la trahison,
07:56ils ne pardonnent pas à ceux qui l'ont lâché.
07:59Est-ce que vous pensez que là,
08:00il pourrait ourdire,
08:01j'allais dire, une redéfinition,
08:04redessiner le paysage politique
08:05tel qu'il se présente
08:07dans cette situation cacophonique ?
08:09Est-ce qu'il va essayer
08:09de maligancer quelque chose
08:11ou de susciter
08:12ou d'engendrer,
08:14j'allais dire,
08:14un phénomène politique
08:15qui pourrait redistribuer la carte
08:16du paysage politique français ?
08:19Moi, je pense qu'il peut avoir un vrai rôle
08:21et qu'il ne vienne pas faire
08:22que lire le conte de Montecristo
08:23qu'il a emporté en prison.
08:26Il y a tout un débat aujourd'hui,
08:28d'ailleurs,
08:29Marianne va y consacrer son prochain numéro,
08:30autour de l'union des droites.
08:32C'est-à-dire qu'en gros,
08:33vous avez toute une partie
08:34du paysage intellectuel de droite
08:36qui dit qu'il faut maintenant
08:37que l'ERN, LR et Reconquête
08:40se mettent sous la même bannière
08:42pour proposer une même offre politique
08:43qui serait libérale, identitaire et conservatrice.
08:47Et vous avez ceux de l'autre côté
08:48dont ALR comme ORN
08:51qui défendent plutôt l'idée
08:52qu'il faut conserver les frontières
08:54entre ces barrières politiques.
08:56Et il me semble que Nicolas Sarkozy,
08:58sans jouer un rôle de premier rang,
09:00peut symboliquement faciliter
09:03c'est une onde des droites.
09:05Et je m'explique,
09:07il a quand même bien noté
09:08que Marine Le Pen l'avait soutenue
09:10après son jugement.
09:11Tout à fait.
09:11Sans doute parce que Marine Le Pen
09:13voyait qu'il y avait des similitudes
09:14entre l'exécution provisoire des deux
09:16et le sentiment d'un acharnement judiciaire.
09:19Mais il ne faut pas oublier
09:21que juste avant ce jugement,
09:23début septembre,
09:23Nicolas Sarkozy avait donné
09:24une interview au Figaro
09:25dans laquelle il disait
09:27que l'ERN faisait partie
09:28de l'arc républicain
09:29et qu'il fallait arrêter,
09:30si on lisait un petit peu
09:31entre les lignes,
09:32le cordon sanitaire
09:33contre l'ERN.
09:34Donc voilà,
09:35il y a toute une préparation mentale,
09:38notamment dans le cas potentiel
09:39d'un second tour
09:40entre la gauche
09:40et Marine Le Pen
09:41ou Jordan Mardella en 2027,
09:43qui ferait que peut-être
09:44que les LR se dirigeraient
09:46plutôt vers l'ERN,
09:47soit avec une alliance,
09:48soit avec une consigne de vote,
09:50soit avec une participation
09:51à un futur gouvernement.
09:52En tout cas,
09:52tout ça est dans l'air
09:53et je pense que Nicolas Sarkozy
09:55pourrait jouer un rôle là-dedans.
09:57Il est vrai,
09:58il est vrai Adrien Matou,
09:59que l'épisode
10:00de Bruno Retailleau,
10:02la rivalité
10:03avec Laurent Wauquiez
10:05et du coup,
10:05alors que Bruno Retailleau
10:07avait réussi peut-être
10:08à reconstituer une image
10:09du parti républicain,
10:12tout ça est en train
10:12de partir à volo
10:13par cette rivalité
10:14assez courante
10:15dans le parti de la droite
10:16entre deux chefs,
10:17que donc les perspectives
10:18présidentielles
10:20du parti républicain
10:22se sont bien amenuisées
10:24avec le récent épisode
10:26de la sortie du gouvernement.
10:28Est-ce que vous pensez
10:29que ce serait l'occasion
10:30pour Nicolas Sarkozy
10:31de dire,
10:31allez, on efface tout,
10:32on recommence,
10:33on refait une grande famille
10:34des droites
10:34comme c'est existé
10:35dans le passé,
10:37le Rassemblement National,
10:39il est bien dédiabolisé,
10:41voilà,
10:41il est bien,
10:42c'est pas Thomas Ménager,
10:45M. Chenu
10:45ou M. Tanguy
10:46qui vont faire
10:47un putsch fasciste,
10:48voilà,
10:49d'ailleurs,
10:49les Français en général
10:51et surtout les Français
10:52de droite
10:52sont pour cet axe républicain
10:54et est-ce que vous pensez
10:55que le fait
10:56que Nicolas Sarkozy
10:58soit allé en prison
10:59va ouvrir
11:00une nouvelle perspective
11:01pour la droite
11:02et que ça pourrait parter
11:03Marine Le Pen
11:04ou Jordan Bardella
11:06à l'Élysée un jour
11:07parce qu'il est allé en tôle
11:08avec les motards
11:09qui l'accompagnent ?
11:11Alors,
11:12je ne sais pas
11:12si la causalité
11:13est aussi directe
11:14que vous suggérez,
11:15Pierre-Éco,
11:15mais en tout cas,
11:16ce qui est sûr,
11:17c'est que Nicolas Sarkozy
11:18c'est quelqu'un
11:19qui voit beaucoup de monde,
11:20c'est quelqu'un
11:20qui consulte,
11:21qui n'a jamais arrêté
11:22de faire de la politique
11:23même depuis qu'il ne participe
11:25plus aux Jeux
11:25à la compétition électorale
11:27et il va clairement
11:29faire passer le message
11:30alors,
11:31dans le cas le plus radical
11:32qu'il faut faire
11:33l'union des droites,
11:34moi je ne pense pas
11:35qu'il ira jusque-là
11:35mais en tout cas,
11:36il va faire passer le message
11:37que le RN
11:38n'est plus personnel
11:39l'un de grata,
11:40qu'il n'y a plus
11:40de cordons sanitaires
11:41qui tiennent,
11:42qu'il n'y a plus
11:42de fronts républicains
11:43qui tiennent
11:44et que la droite française,
11:46si elle veut avoir
11:47un avenir,
11:47parce qu'il faut quand même
11:48dire que LR
11:49est quand même
11:49dans une situation
11:50très précaire,
11:50LR participe au gouvernement
11:52depuis maintenant
11:53trois ans
11:54qu'on a l'impression
11:54qu'ils sont aux affaires
11:55mais ils ne le font
11:57que parce qu'ils ont
11:57une position de pivot
11:58entre le centre
12:00justement et le RN
12:01si le centre,
12:03donc les macronistes
12:04et Laure Philippe
12:05s'effondrent
12:05lors des prochaines élections
12:07il y aura quand même
12:08une très forte tentation
12:09pour LR
12:10de s'associer
12:11avec le RN
12:12sachant que les différences
12:14idéologiques avec le RN
12:15ne sont pas non plus colossales
12:16on les a déjà beaucoup
12:17moi je pense que
12:18Nicolas Sarkozy
12:19ne voudra pas quand même
12:21être le président
12:22l'ancien président
12:23qui pousse LR
12:24dans les bras du RN
12:25mais qui va fortement
12:26inciter LR
12:27à continuer de jouer un rôle
12:29peut-être en influençant
12:30le RN
12:30peut-être en le rendant
12:31plus libéral
12:32peut-être en le rendant
12:33moins souverainiste
12:33Merci Adrien Matou
12:36en tout cas
12:36on retient la leçon
12:37attention
12:38un ex peut en cacher
12:39un autre
12:39on n'est jamais à l'abri
12:40d'une surprise
12:41Adrien Matou
12:41à très bientôt
12:42je pense qu'on aura l'occasion
12:43de vous réinviter
12:43pour parler de ce sujet
12:45je pense que c'est
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