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  • il y a 6 jours
Ce vendredi 17 octobre, Jérôme Tichit a reçu Frédéric Pacoud, président de l'Établissement français du sang, Charlotte de Pitray, directrice générale de SVR, et Rodolphe Frerejean Taittinger, PDG de French Bloom, dans l'émission La France a tout pour réussir sur BFM Business. Retrouvez l'émission le vendredi et le samedi et réécoutez la en podcast.

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Transcription
00:00BFM Business, la France a tout pour réussir.
00:07Jérôme Tichit.
00:09Bonjour, bonjour et bienvenue dans la France a tout pour réussir.
00:12Chaque semaine, vous le savez, un concentré d'économie positive sur BFM Business.
00:17Et au sommaire, cette semaine, l'EFS, l'établissement français du sang,
00:21qui a le monopole de la collecte du sang en France
00:23et qui, plus que jamais, a besoin de donateurs en sang et en plasma.
00:27On en parlera avec son président, Frédéric Pacou, qui est en plateau avec nous.
00:31Ce sera aussi l'occasion de parler du modèle économique de l'EFS et de ses effectifs.
00:35L'établissement emploie près de 10 000 personnes en France.
00:39Dans cette émission, également, deux très belles marques françaises
00:42qui misent sur les partenariats sportifs.
00:45Sportifs, d'abord SVR, un des leaders tricolores de la Dermo Cosmétiques
00:49qui s'est engagé dans la voile et dans le tennis,
00:52avec un partenariat récemment signé avec la numéro 1 française, Loïse Boisson.
00:56On en parlera avec Charlotte de Pitré, c'est la directrice générale de laboratoire SVR.
01:01On parlera également du partenariat signé pour 10 ans entre French Bloom et la Formule 1.
01:07French Bloom, c'est la success story des vins effervescents sans alcool.
01:11Son PDG, Rodolphe Frère-Jean Tétinger, sera mon troisième invité dans quelques instants.
01:17On commence donc par l'EFS, l'établissement français du sang, qui fête ses 25 ans.
01:21L'EFS qui est en charge du service public de la transfusion sanguine.
01:25L'établissement a aussi le monopole civil de la collecte du sang,
01:29puis de sa transformation en vue de la revente aux établissements de santé.
01:33Bonjour Frédéric Pacou.
01:34Vous êtes donc depuis la fin 2023 le président de l'EFS.
01:38Avec vous, on va parler bien sûr de santé et d'économie.
01:41Une précision juridique.
01:42D'abord, quel est le statut de l'EFS en préparant l'émission ?
01:46J'ai vu des sigles, EPA, EPIC.
01:47C'est quoi le statut juridique de l'établissement français du sang ?
01:50Nous sommes un établissement public administratif,
01:53parce que nous exerçons une mission en lien avec la santé.
01:56Mais nous fonctionnons comme un EPIC, un établissement public industriel et commercial,
02:00pour nos salariés, puisque nous sommes autorisés par le Code de la santé publique
02:04à employer des salariés de droit privé.
02:05Donc nous avons 97% de salariés de droit privé.
02:09Et près de 10 000 salariés, je le disais, dans les titres.
02:11On va parler de votre modèle économique, du plan de transformation que vous menez sur les années 2025-2028.
02:18Tout d'abord, quelques chiffres clés sur les dons en France,
02:20à la fois les dons en sang et les dons de plasma,
02:24le nombre de dons qui sont faits et les donateurs.
02:28En France, c'est 1,5 million de personnes qui donnent chaque année, globalement.
02:34C'est 100 000 de moins qu'il y a 4 à 5 ans.
02:38Donc on voit en France un petit tassement du nombre de donneurs.
02:41C'est pourquoi nous devons sans cesse travailler à la conquête de nouveaux donneurs,
02:48notamment dans les jeunes générations.
02:49Mais vous avez quand même, je crois, 17% de nouveaux donneurs sur 2024.
02:53Donc ça veut dire qu'il y a un renouvellement.
02:55Voilà, exactement.
02:55Pour le don de plasma, qui est un énorme enjeu de souveraineté sanitaire,
02:59puisque l'État nous a confié depuis le milieu de l'année dernière
03:01une mission de renforcement de la collecte de plasma
03:04destinée à la production de médicaments dérivés,
03:07par exemple la production d'immunoglobulines,
03:09qui sont des traitements indispensables pour des milliers de patients en France
03:13qui, sans ces immunoglobulines, ne peuvent pas accomplir les gestes de la vie de tous les jours,
03:17des enfants qui ne peuvent pas aller à l'école.
03:19Donc on a besoin de renforcer ces dons,
03:21parce que nous dépendons pour 70% des besoins de médicaments importés,
03:26essentiellement des États-Unis.
03:27Et c'est un vrai enjeu de réduire cette dépendance
03:30pour couvrir 50% des besoins à l'horizon de 2028.
03:33Donc on développe la collecte de plasma dans cet objectif.
03:36Parce que sur le plasma, vous êtes à près de 383 000 donneurs en 2024,
03:41867 000 litres, parce qu'on parle en litres,
03:44mais l'État vous a fixé, je crois, un objectif de 1,4 million à l'horizon de 2028.
03:48Voilà, 1,4 million de litres par an en 2028 à fournir au laboratoire français du fractionnement,
03:55qui ensuite en fait des médicaments dérivés qui permettent de soigner à peu près 500 000 patients en France chaque année.
04:03La collecte du sang, elle se fait comment ?
04:05Il y a les collectes fixes et les mobiles, c'est quoi la part de chacune ?
04:08Et faites-nous un petit peu un état des lieux de vos collectes.
04:11Alors nous avons 30 000 collectes mobiles par an, dont 10% sont d'ailleurs réalisées dans les entreprises,
04:183 000 par an, c'est très très important.
04:19Nous aussi, nous avons un fonctionnement avec beaucoup de partenariats,
04:24avec les entreprises bien sûr, mais aussi avec des fédérations sportives,
04:28puisque c'était cité également dans votre présentation.
04:31Nous avons plus d'une centaine de maisons du don,
04:34le don de plasma ne se réalisant que dans les maisons du don,
04:37et nous développons les maisons du don dans le cadre de l'ambition plasma.
04:41Nous allons ouvrir de nouvelles maisons du don dans les mois à venir,
04:45une nouvelle maison du don à Aubagne, des rénovations à Dijon,
04:48la reprise de la collecte de plasma à Albi, à Biarritz.
04:52Donc on est en ce moment, en raison de cette ambition plasma,
04:55en train de développer notre capacité d'accueil des donneurs de plasma en particulier.
04:59Vous parliez de la collecte au sein des entreprises,
05:02est-ce que le chiffre est stable ? Est-ce qu'il est en baisse ?
05:04Est-ce que vous êtes sur une chaîne où on parle aux entreprises et aux entrepreneurs,
05:07un message à adresser aux employeurs ?
05:09Le message, c'est n'hésitez pas à vous rapprocher de l'EFS
05:13pour organiser pour vos salariés des collectes dans vos entreprises,
05:17si vous avez la possibilité d'en accueillir,
05:19ou pour permettre à vos salariés de se rendre une ou deux fois par an
05:23dans des sites de prélèvement de l'EFS.
05:26C'est bon pour la santé, c'est bon pour la solidarité,
05:31puisque nous en avons besoin.
05:32Nous sommes un service public qui s'appuie sur la générosité des donneurs.
05:35Les salariés peuvent donner, mais évidemment,
05:38il faut qu'ils soient rendus disponibles sur leur temps de travail.
05:41Donc, on ne demande pas évidemment aux salariés de venir sur leur temps de travail
05:43dix fois par an.
05:45Simplement, si les entreprises peuvent inciter et faciliter les choses
05:49pour leurs salariés une ou deux fois par an,
05:50c'est une très bonne chose.
05:51Et c'est aussi très bon pour le moral et le collectif.
05:55Dans les entreprises, il y a aussi un aspect RSE
05:57que beaucoup de groupes ou d'entreprises ont appris à valoriser
06:01et en sont satisfaits.
06:03Donc, c'est un partenariat qui fonctionne très bien avec le monde économique.
06:06En France, on est autosuffisant en sang,
06:09mais donc, vous l'avez dit déjà,
06:11loin de là pour ce qui est des dons de plasma, c'est ça ?
06:13Voilà. La souveraineté est vraiment un enjeu majeur pour l'EFS
06:16et nous l'assurons depuis 25 ans.
06:19Pour le sang, notre mission, c'est d'assurer l'autosuffisance,
06:21donc de répondre aux besoins des patients avec le sang collecté de façon éthique,
06:27c'est-à-dire gratuitement, auprès de donneurs bénévoles.
06:30Et pour le plasma, nous avons cet enjeu de réduire notre dépendance
06:34à l'égard des médicaments importés des États-Unis,
06:37toujours en nous appuyant sur le modèle éthique,
06:39c'est-à-dire des donneurs qui viennent chez nous
06:41parce qu'ils ont ce sens de la solidarité, ce réflexe citoyen.
06:45Et donc, le don de plasma reste aussi un don totalement bénévole,
06:48gratuit, anonyme, répondant aux critères fixés par la loi.
06:52Alors, même s'il y a ces critères d'éthique, de bénévolat, de gratuité,
06:55vous êtes donc un EPIC, vous l'avez dit,
06:57donc il y a un modèle économique.
06:59Votre chiffre d'affaires pour 2024 était à 888,1 millions.
07:04Est-ce qu'il est... je crois qu'il est stable.
07:06Et surtout, d'où viennent les revenus de l'EFS ?
07:10Comment est constitué ce chiffre d'affaires ?
07:12Le chiffre d'affaires est effectivement relativement stable,
07:14même si nous développons la collecte de plasma
07:17et nos ressources viennent pour environ 90%
07:21de tout ce qui correspond à la chaîne transfusionnelle,
07:24c'est-à-dire la cession de produits sanguins labiles
07:26aux établissements de santé,
07:28la cession du plasma au laboratoire que je citais tout à l'heure,
07:32quelques activités associées également.
07:34Nous accomplissons beaucoup d'actes d'immuno-hématologie,
07:37donc des analyses biologiques.
07:39On peut dire que l'EFS, c'est un peu le plus gros laboratoire
07:41d'analyse biologique de France.
07:43Et puis les 10% restants, une centaine de millions d'euros,
07:47c'est une dotation de l'assurance maladie
07:48qui est inscrite en loi de financement de la sécurité sociale
07:51depuis 2024.
07:53Donc les débats en cours ou dans quelques semaines
07:55sur le PLFSS vous intéressent beaucoup
07:57parce que cette pérennité, elle peut être remise en cause ?
08:01Alors la pérennité ne peut pas être remise en cause
08:02parce que l'existence même de la dotation
08:05et sa place dans les ressources de l'EFS
08:07est désormais inscrite dans la loi.
08:09C'est en revanche, bien sûr, le montant de cette dotation
08:12qui vous intéresse et rediscuté.
08:14Vous parliez de cession, notamment à des établissements de santé.
08:18À quel prix ? J'imagine que tout ça est très réglementé.
08:21Ce sont des tarifs réglementés, effectivement,
08:22fixés par arrêtés ministériels
08:24et qui ont pour objectif de couvrir le coût de revient
08:28de l'établissement, de même que la dotation, pour sa part,
08:31vise à couvrir l'ensemble de nos missions de service public
08:34puisque nous assurons le service public du sang
08:36partout sur le territoire.
08:38Bien sûr, nous apportons les produits sanguins
08:40dans les territoires des collectivités d'outre-mer,
08:44ce qui comporte un coût, d'autant plus qu'il faut répondre
08:46aussi aux objectifs de diversité des groupes sanguins
08:49pour assurer la transfusion de la façon la plus sûre possible.
08:52Et donc la dotation couvre tous les éléments relatifs
08:55à l'aspect service public.
08:58Par exemple, en ce moment aussi,
08:59les dépenses que nous sommes tenus d'engager
09:01pour tenir compte des arboviroses,
09:04toutes les maladies transportées par les moustiques,
09:06la dengue, le chikungunya, le West Nile virus,
09:09dont on a beaucoup entendu parler cet été,
09:11qui sont beaucoup plus présents qu'avant
09:12dans l'hexagone avec le réchauffement climatique,
09:14ça engendre pour nous des coûts supplémentaires
09:16d'analyse biologique.
09:17Il nous reste, Frédéric Pacou, moins d'une minute.
09:20Rapidement, sur les effectifs, je l'ai dit en titre,
09:23près de 10 000 personnes, 9 710.
09:26C'est quoi, en quelques mots, les principaux métiers ?
09:28Est-ce que vous avez des besoins de recrutement ?
09:30C'est en gros un tiers de techniciens de laboratoire,
09:333 000 environ, un peu plus de 1 500 infirmières,
09:37des médecins, des biologistes, des pharmaciens,
09:38mais aussi des chauffeurs.
09:40Nous avons une logistique très importante.
09:42Sans cesse, ce sont à l'EFS des poches de sang,
09:46des tubes qui se déplacent.
09:48Et donc, nous recrutons dans les métiers d'infirmiers,
09:51nous recrutons également dans les systèmes d'information,
09:54nous recrutons des juristes.
09:57Vraiment, il y a une multiplicité de métiers
09:58et de postes qui sont ouverts chaque année,
10:00puisque c'est plus de 700 recrutements
10:02que nous faisons chaque année.
10:03Donc, n'hésitez pas à vous intéresser,
10:06pour ceux qui nous écoutent et qui nous regardent,
10:08aux belles carrières que propose l'EFS.
10:10Voilà, les belles carrières,
10:11mais donc aussi les besoins en dons, en sang et en plasma.
10:14Le message, il est clair,
10:15et notamment aux employeurs pour les collectes mobiles.
10:18Merci beaucoup Frédéric Pacou d'avoir été l'invité,
10:20le premier invité de la France à tout pour réussir.
10:23Et à présent, on va parler de deux sujets complètement différents.
10:26On va poursuivre cette émission
10:28avec deux belles entreprises françaises,
10:29dont on va bien sûr rappeler les succès et la croissance,
10:32mais qui en plus sont en commun de se lancer
10:34dans des partenariats sportifs.
10:37Ces deux entreprises sont SVR et French Bloom.
10:39Leurs deux dirigeants sont en plateau avec nous.
10:41Bonjour Charlotte de Pitré et bonjour Rodolphe Frère-Jean Tétinger.
10:45Je commence avec vous Charlotte de Pitré,
10:47vous êtes la directrice générale de laboratoire SVR.
10:50Un petit peu d'histoire de cette marque
10:51que l'on connaît presque tous,
10:53que l'on voit souvent dans les pharmacies.
10:56Un laboratoire de produits cosmétiques
10:58a été créé en 1962
11:00par un couple de pharmaciens,
11:02Simone et Robert Véret.
11:03Alors S, Hervé,
11:04mais quand on met dans un autre ordre,
11:06ça fait SVR.
11:07Ils étaient installés en baie de somme
11:09et leurs produits visaient à soulager
11:11les brûlures des vacanciers
11:13qui bronzaient trop au soleil.
11:15Vous vous revendiquez aujourd'hui,
11:17plus de 60 ans après,
11:19comme la troisième marque française
11:20de dermocosmétiques.
11:22Tout à fait.
11:23La marque a été rachetée en 2014
11:25par Didier Tabari
11:26et un fonds d'investissement à l'époque, HLD.
11:29Maintenant, le groupe Cresc détient la marque à 100%.
11:33Et depuis, la marque a multiplié son chiffre d'affaires par 10.
11:37Donc, c'est une belle success story française, effectivement.
11:41Et je pense que c'est lié, effectivement,
11:43quand on a racheté la marque en 2014,
11:46l'enjeu, c'était quand même de la remettre sur pied
11:49d'un point de vue financier.
11:51Et assez rapidement, de lui donner un nouveau souffle,
11:54donc avec un nouveau positionnement
11:55qui la distingue bien des autres marques d'hermocosmétiques
11:58de la pharmacie française.
11:59Les autres marques, on voit une infographie
12:00pour ceux qui nous suivent en télévision.
12:02Donc, vous êtes troisième, on l'a dit,
12:05derrière L'Oréal, La Roche-Posée et Vichy,
12:07ces deux grandes marques.
12:08Et puis, Pierre Fabre et sa marque Aven.
12:10Tout à fait.
12:11Et donc, voilà, ce repositionnement,
12:13c'est une des clés du succès dont on parle
12:16et donc de l'augmentation forte du chiffre d'affaires.
12:19Oui, donc ça a été un repositionnement.
12:21Effectivement, on a un parti pris un petit peu différent
12:24des autres marques d'hermocosmétiques.
12:27C'est-à-dire qu'on a vraiment gardé notre ADN médical,
12:29donc toute l'expertise dermatologique qu'avait la marque SVR,
12:33dont avait hérité cette marque.
12:35Et on y a ajouté effectivement, on va dire,
12:38un tone of voice, une façon de s'adresser aux consommateurs
12:40beaucoup plus proche via le digital,
12:43les réseaux sociaux énormément.
12:45Et aussi, on a construit une relation de confiance
12:47avec les consommateurs puisqu'on a réservé
12:49l'ensemble de nos formules
12:50pour avoir des formules super propres.
12:53Et on a vraiment une charte de formulation très stricte.
12:56On s'interdit par principe de précaution
12:58vraiment énormément de matières premières,
13:01ce qui fait qu'on a des formules assez minimalistes,
13:03vraiment très sécuritaires.
13:06Et je pense que ça, ça nous a permis vraiment
13:07de construire une relation de confiance
13:09avec nos consommateurs.
13:10Les produits stars, on a oublié de le rappeler,
13:13ce sont les produits solaires, mais pas que.
13:15Alors, les produits solaires, bien sûr,
13:16mais aussi les produits pour l'atopie.
13:18Donc, on a topialise avec toute l'hygiène,
13:20mais aussi tout ce qui est émolliant,
13:23en tout cas pour l'atopie,
13:24qui vraiment transforme la qualité de peau.
13:27Et enfin, on a bien sûr l'acné,
13:29sur lequel on est très performant,
13:31avec l'hygiène, mais aussi notre ampoule flash,
13:34qui permet effectivement
13:35d'atténuer les boutons dès 8 heures.
13:38Donc, on a des produits très efficaces, en fait.
13:40On est vraiment dans la performance
13:42pour transformer la qualité de peau assez rapidement.
13:44On parlait de chiffre d'affaires.
13:45Alors, vous avez une politique de prix
13:48qui reste abordable, on va dire.
13:51Le chiffre d'affaires, donc, 2024,
13:53environ 220 millions.
13:542025, on sera à quel niveau ?
13:572025, on sera pratiquement à 300 millions.
14:00Et on ambitionne dans les cinq prochaines années
14:02de doubler encore ce chiffre d'affaires.
14:04Et la part de l'international dans votre chiffre d'affaires ?
14:06Donc, l'international, c'est 50%.
14:08Aujourd'hui, donc, la France est encore très importante.
14:11Mais effectivement, on a un grand,
14:12enfin, notre principal enjeu,
14:14ça va être vraiment d'accélérer à l'international
14:16pour que le poids de la France se réduise progressivement.
14:19Est-ce que tous vos produits restent produits en France ?
14:22Tout à fait.
14:22Où ça ?
14:23Tous nos produits sont produits au Plessipaté.
14:25Donc, on a notre usine,
14:27on a notre recherche.
14:28Donc, toute la R&D,
14:29tous les produits sont formulés et fabriqués en France.
14:32SVA, c'est combien de salariés à l'instant T ?
14:35700.
14:36700 salariés.
14:37Mais bon, c'est vrai que, là, je vous dis 700,
14:39mais on recrute quand même énormément,
14:41que ce soit dans les filiales
14:42et que ce soit encore à la France.
14:43Donc, le chiffre change assez rapidement.
14:46Et une présence, je crois, dans 7000 pharmacies en France.
14:49Tout à fait.
14:49On en vient donc à votre stratégie de partenariat sportif.
14:52Et partenariat sportif avec un S,
14:54puisqu'il y en a plusieurs.
14:55Le plus récent,
14:56eh bien, ça concerne la révélation du dernier Roland-Garros.
14:59C'est Loïs Boisson qui, donc, s'était hissé,
15:02on s'en souvient, en demi-finale
15:04face à celle qui allait emporter le tournoi Coco Gauffe.
15:08Racontez-nous la jeunesse de ce partenariat,
15:09donc avec cette jeune tennis-woman,
15:11elle n'a que 22 ans,
15:12qui, depuis, est devenue numéro 1 française.
15:14Et à l'heure où on se parle,
15:15je crois qu'elle est 38e mondiale.
15:17Tout à fait.
15:18Alors, peut-être le sponsoring au global,
15:21ça a démarré par la voile, en fait.
15:25Et effectivement, on a vécu ce sponsoring de la voile
15:27comme une richesse extraordinaire et en interne,
15:30et aussi auprès de nos consommateurs,
15:32puisque ça nous a permis quand même
15:33d'aller à la rencontre de nos consommateurs
15:35sur les départs de course, etc.
15:37Donc, nous, c'est quelque chose qui nous nourrit beaucoup,
15:39en tout cas, d'échanger au quotidien avec nos consommateurs.
15:41Et donc, la FFT nous a approchés l'année dernière
15:44en nous proposant un partenariat aussi de proximité,
15:47parce que c'était un partenariat où on pouvait agir
15:49dans les clubs de tennis partout en France
15:52et sur les compétitions de beach tennis,
15:54donc des événements, encore une fois,
15:56où on peut vraiment rencontrer nos consommateurs.
15:58Avec l'enjeu de la protection de la peau
16:00vis-à-vis du soleil.
16:02Voilà, donc nous, ça nous permettait quand même
16:04d'avoir une fenêtre de sensibilisation
16:06à la prévention solaire.
16:08Et assez naturellement, on n'envisageait pas au départ
16:11d'avoir des géris particulières,
16:13puisque nous, notre truc, c'est plutôt le terrain.
16:15Et puis, assez rapidement, en fait,
16:16il y a eu cette opportunité avec Loïs.
16:17On a suivi à Roland-Garros.
16:18On a trouvé qu'elle était extraordinaire
16:20et qu'elle avait une humilité à toute épreuve.
16:23Et on a trouvé que ça fitait vraiment bien
16:25avec les valeurs de SVR.
16:26Donc, voilà, on a décidé qu'elle porterait,
16:30en tout cas, qu'elle serait l'ambassadrice,
16:32en tout cas, de ce sponsoring de tennis.
16:34C'est un partenariat sur combien de temps
16:36et c'est quoi les principales étapes pour elle
16:38et pour vous en termes de com' ?
16:40Je crois qu'il y a une grande campagne de 4 mois
16:41qui est planifiée en 2026.
16:43Tout à fait.
16:43Donc, c'est un partenariat qui va avoir lieu
16:46sur 2 ans, pour le moment, mais à renouveler.
16:49Et on a tout un dispositif l'année prochaine
16:51où on aura effectivement 4 mois.
16:53Loïs sera à l'honneur dans toutes les pharmacies françaises,
16:55mais aussi dans les clubs avec lesquels
16:58on aura fait des partenariats.
17:00Voilà, il y aura énormément de choses en digital aussi.
17:03Il y aura certainement une campagne de co.
17:05Donc, il va y avoir un gros dispositif
17:06qui va être mis autour du tennis.
17:08Alors, vous parliez donc de la voile.
17:10C'est plus historique depuis 2021.
17:13On n'a pas cité le nom du trimarron.
17:14Donc, il porte votre nom,
17:15mais aussi Lazartig, c'est les produits capillaires.
17:19Ça fait aussi partie du groupe Cresque
17:21puisque maintenant, vous êtes tous dans le pôle cosmétique
17:24de cette entreprise de Didier Tabary.
17:27Cette année 2025, elle est plutôt faste
17:28puisqu'il y a eu deux victoires en course.
17:31La Rolex Fastnet Race à Cherbourg,
17:33c'était je crois en juillet.
17:35Et puis, il y a quelques semaines,
17:36fin septembre, les 24 heures ultimes à Lorient,
17:39victoire de Tom Laperche et de Franck Cammas.
17:41Et là, le gros enjeu, c'est dans quelques jours,
17:44c'est le 26 octobre,
17:45c'est le départ de la Transat Café L'Or,
17:47qui est le tout nouveau nom de la Transat Jacques Vabre.
17:49Oui, tout à fait.
17:50On est super motivés et excités à l'idée de ce départ.
17:53Et puis, on espère une victoire.
17:56On ne dit jamais 203.
17:57Parce que souvent, vous avez fini deuxième,
18:00je crois, en 2021 et 2023.
18:02Exactement.
18:02Donc là, 25, c'est la bonne.
18:03Oui, exactement.
18:05On est tous mobilisés derrière.
18:07Là, c'est un incroyable événement
18:09qui nous permet effectivement de fédérer
18:10toutes les équipes en interne
18:12et qui nous donne beaucoup de visibilité aussi
18:14pour la marque.
18:16Et puis, avec un sport qui est quand même
18:19une grande aventure de traverser l'Atlantique.
18:21Et en 30 secondes, Charlotte de Pitré,
18:22on a vu la terre, on va dire le tennis,
18:25on a vu l'eau.
18:26Est-ce que la montagne est votre prochain terrain de jeu ?
18:28Tout à fait.
18:28On a déjà eu un stand à l'UTMB en août dernier
18:32et on ambitionne pour l'année prochaine aussi
18:34de sponsoriser, d'être partenaire en tout cas de l'UTMB.
18:38Ce qui nous permettrait aussi
18:39de faire de la prévention solaire
18:41auprès de ces athlètes, ces coureurs
18:43qui apparemment ont pas mal de lacunes
18:45en termes de protection solaire.
18:47Et en quelques mots, tous ces partenariats,
18:48c'est un sacré budget, ça coûte cher ?
18:50Est-ce que vous divulguez des chiffres
18:51et le ratio entre ce que ça coûte
18:53et ce que ça rapporte ?
18:54Par exemple, le tennis, au global,
18:56tout compris, ça nous fait comme
18:58une grosse campagne de co.
19:00Et nous, en fait, on pourrait mettre
19:02cet argent directement en média, c'est sûr.
19:04Mais nous, effectivement,
19:05on trouve que c'est beaucoup plus fort
19:07et beaucoup plus puissant
19:08de passer par des partenariats
19:09avec des athlètes, etc.
19:10Parce que notre business model
19:12est basé sur la recommandation.
19:14Donc, c'est les pharmaciens
19:15qui nous recommandent,
19:16c'est les médecins qui nous recommandent.
19:17Donc, on a envie que ça soit
19:18des sportifs qui recommandent nos produits
19:19parce que ça apporte
19:21beaucoup plus de crédibilité, finalement.
19:23De bons prescripteurs.
19:24Exactement.
19:24Merci, Charlotte de Pitré.
19:26Bonjour, Rodolphe Frère-Jean Tétinger.
19:28On poursuit donc avec vous,
19:29avec votre marque qui, elle aussi,
19:31vient de se lancer dans le partenariat sportif.
19:33Vous, c'est plus récent.
19:34C'est donc French Bloom
19:35et on parle de la Formule 1.
19:37Alors, vous êtes le PDG,
19:37on va rappeler quelques mots,
19:39de French Bloom,
19:40une marque française
19:41qui a été pensée dès 2019
19:43mais officiellement lancée en 2021
19:46par votre épouse Maggie
19:47et par le mannequin Constance Jablonski.
19:49Vous les avez rejoints
19:51donc dans cette aventure.
19:53French Bloom, vous nous rappelez,
19:54ce sont des vins effervescents sans alcool.
19:56On en a quelques bouteilles sur le plateau.
19:59Oui, bonjour Jérôme.
20:00Donc, aujourd'hui, c'est vrai
20:01que French Bloom est le leader mondial
20:02des vins effervescents sans alcool
20:04dans la catégorie premium et ultra premium.
20:08Donc, nouvelle catégorie qu'on a créée.
20:11Jeunes maisons, on fête nos 4 ans
20:13mais on est fiers.
20:14On est dans 60 pays aujourd'hui
20:15avec une croissance très rapide,
20:17plus de 300% de croissance chaque année.
20:18Un grand développement.
20:19Donc, sur la croissance,
20:22vous vendiez 100 000 bouteilles en 2021,
20:25500 000 en 2024.
20:27Le million, ce sera atteint à la fin 2025 ?
20:30On l'espère.
20:30On l'espère.
20:31C'est vrai qu'on se développe bien
20:32mais après, on reste quand même
20:33sur des canaux très haut de gamme
20:35donc vraiment dans une distribution
20:37très sélective.
20:38C'est totalement notre approche.
20:39Aujourd'hui, on est fiers
20:41d'être dans plus de 500 restaurants gastronomiques
20:44ou grands palaces
20:45comme des Ducasse,
20:47comme des très belles tables,
20:49des Ritz et autres
20:50et une distribution sélective
20:52par exemple dans 500 Nicolas
20:53et voilà.
20:55Et puis, des points de vente
20:56un peu plus prestigieux,
20:57des corners de grands magasins
20:59peut-être aussi,
20:59des choses comme ça,
21:00des épiceries de luxe.
21:01Oui, on a commencé par ça
21:03d'ailleurs à l'origine
21:03par la grande épicerie,
21:05les galeries Lafayette.
21:06On est fiers d'être vendus
21:08chez Arrods
21:08ou dans de très beaux endroits
21:10comme ça
21:10qui sont un peu les départements stores
21:12qui nous ont aidés à commencer.
21:14Donc, c'est à commencer
21:15via les palaces
21:16et via les départements stores.
21:18Alors, les produits SVR
21:19sont produits en France.
21:20Est-ce que les vins effervescents
21:21sans alcool de French Bloom
21:23le sont également ?
21:24Tout est produit en France.
21:25Très important pour nous.
21:26Avec un nouveau savoir-faire aussi
21:28qu'on développe.
21:29Moi, je viens avant tout,
21:31je suis vigneron,
21:32je fais du champagne,
21:32je fais du cognac,
21:33donc je viens de ne pas de...
21:35C'est vraiment mon activité
21:36à l'origine.
21:38Et on a essayé au maximum
21:39de transposer notre savoir-faire
21:41et de créer un nouveau savoir-faire
21:43très innovant
21:45avec aussi une approche terroir
21:47où on parle d'un vignoble
21:49dans le sud de la France.
21:50On est à Limoux, dans l'Aude, c'est ça ?
21:51Absolument.
21:52Un vignoble qu'on est très fiers,
21:54qui est parfaitement adapté aussi
21:56pour faire ce qu'on fait,
21:58c'est-à-dire de créer des bases de vin
22:00qu'on va parfois faire vieillir
22:01d'ailleurs dans des tonneaux,
22:02des bases de vin avec alcool,
22:04mais toujours bio, sans sulfite.
22:06Très important,
22:07le côté naturel aussi de French Bloom
22:09est essentiel pour nous.
22:11Très peu de calories,
22:12pas de sucre ajouté,
22:14toujours ce côté très naturel.
22:15Et vous visez les amateurs purs
22:17de sans alcool
22:18ou ce que l'on appelle
22:19de ce néologisme,
22:20les flexi-drinkers,
22:21ceux qui alternent entre l'alcool
22:23et le sans-alcool ?
22:24C'est amusant que vous disiez,
22:25parce que c'est vrai que quand on a commencé,
22:27au début,
22:27on pensait que notre marché
22:29allait être les marchés religieux,
22:31les sobres,
22:32les femmes enceintes.
22:33Et c'est vrai qu'aujourd'hui,
22:3580% de nos consommateurs
22:36sont des flexi-drinkers.
22:38Ils aiment le vin,
22:40mais de temps en temps,
22:41ils veulent réduire,
22:41modérer leur consommation.
22:43Et c'est vrai qu'aujourd'hui,
22:44il y a une vraie baisse de la consommation,
22:47principalement aussi sur les jeunes générations
22:50qui consomment beaucoup moins
22:51et donc aussi potentiellement
22:53des baisses de profitabilité
22:54pour nos clients restaurateurs et autres.
22:57Et c'est vrai que French Bloom
22:58a permis d'améliorer la profitabilité
22:59et aussi d'améliorer l'expérience client
23:02pour ceux qui ne veulent pas forcément
23:04consommer de l'alcool,
23:06mais qui veulent toujours avoir un bon.
23:07Et on est vraiment sur du zéro alcool,
23:09un zéro zéro ?
23:10Absolument.
23:11Zéro zéro,
23:12donc c'est la vision,
23:13c'est zéro zéro sans alcool.
23:15L'extra-brute, par exemple,
23:16qui est un blanc de blanc,
23:18on a zéro sucre aussi,
23:20un calorie par verre,
23:21bio, sans sulfite.
23:23Et on est sur des gammes des prix,
23:26donc vous le lisiez,
23:28assez élevés,
23:28puisque je crois que le tarif de bas
23:30c'est 29 euros,
23:31mais ça peut monter à 109 euros
23:32pour la cuvée vintage blanc de blanc,
23:34je crois.
23:35Oui, absolument.
23:36Alors on est dans une vision aujourd'hui
23:38de faire des vins complexes,
23:40des vins complexes
23:40qui ont une vraie expérience
23:42tridimensionnelle aussi,
23:43sans alcool.
23:44Chez French Bloom,
23:45nos maisons French Bloom,
23:46on fait avant tout du vin.
23:48Le fait qu'il n'y ait pas d'alcool,
23:49c'est un peu secondaire.
23:50Dans notre vision,
23:51nous on parle du principe
23:52que quand on boit un grand vin,
23:54on le boit avant tout
23:55pour l'expérience,
23:55pour le plaisir,
23:56pour l'émotion.
23:57Et c'est ce qu'on essaye de faire
23:58au maximum avec French Bloom.
24:00Allez, on en vient à ce partenariat
24:01de 10 ans,
24:02donc vous avez signé récemment
24:03avec la Formule 1.
24:04C'est vrai que quand on pense
24:05à la Formule 1,
24:06on pense à un secteur
24:07pas forcément très écologique,
24:08en plus un secteur
24:09plutôt masculin.
24:10ce n'est pas en phase à 100%
24:13avec les cibles
24:14et les valeurs
24:14que vous défendiez
24:15il y a un instant.
24:16Comment est-ce que vous avez fait
24:17cette mise en phase ?
24:19Alors déjà,
24:20on est partenaire,
24:20on travaille avec,
24:22aussi on a fait Roland Garros,
24:23on est servi maintenant
24:24sur Air France,
24:25on est très fiers de ça.
24:26Et là,
24:26c'est vrai que le partenariat
24:27avec la Formule 1
24:28est exceptionnel.
24:30On partage quand même
24:31pas mal de valeurs.
24:32L'innovation,
24:33qui est une valeur importante,
24:35French Bloom est très innovant,
24:36la performance aussi,
24:38le fait d'avoir,
24:39il n'y a pas d'alcool,
24:40il n'y a pas de sulfite,
24:41tout est bio,
24:42donc on partage beaucoup de valeurs.
24:44Et puis aussi,
24:45l'audience,
24:46qui évolue fortement
24:47sur la Formule 1.
24:48Qui est plus féminine qu'avant
24:49et plus jeune qu'avant peut-être.
24:50Oui, 75% des nouveaux fans
24:53de Formule 1 sont des femmes.
24:55French Bloom,
24:55nous 70% de nos consommateurs
24:57sont des femmes,
24:57on en est très fiers.
24:58et c'est vrai que la Formule 1,
25:01et je pense qu'aussi,
25:02ça vient du fait
25:03qu'il y a eu le film aussi
25:05sur la Formule 1.
25:06Drive to Survive
25:07sur Netflix.
25:10Et le film aussi,
25:11c'est vrai, oui.
25:12Donc aujourd'hui,
25:13on est fiers,
25:13on va être dans les services
25:14sur les 26 Grands Prix
25:16de Formule 1.
25:18Et c'est donc,
25:20comment vous êtes
25:20dans les paddocks,
25:21vous êtes dans les fêtes
25:22d'après-course,
25:23comment ça se passe ?
25:24Où se trouveront
25:25les bouteilles de French Bloom
25:26sur les Grands Prix ?
25:28Un peu partout,
25:29sur les paddocks,
25:30dans les événements autour.
25:32L'idée,
25:33c'est d'avoir
25:33une belle présence
25:34de la marque
25:35et de l'expérience
25:37autour de French Bloom.
25:38Un mot sur l'entrée
25:39dans votre capital,
25:40il nous reste 30 secondes,
25:41sur l'entrée de Mouetensi
25:42dans votre capital,
25:43c'était il y a un an,
25:44en octobre 2024.
25:46LVMH, on le sait,
25:47est partenaire plus globale
25:48de la Formule 1
25:50via ses marques
25:50Louis Vuitton,
25:51Tag Heuer
25:52et donc Mouetensi.
25:53Ça vous apporte quoi,
25:54cette entrée du capital
25:55de la branche vin
25:57et spiritueux de LVMH ?
25:58Déjà,
25:59c'est une formidable légitimité.
26:00On est fiers
26:01d'avoir le groupe LVMH
26:02à nos côtés.
26:03C'est un accélérateur très fort.
26:05C'est le premier
26:06du luxe mondial.
26:08Ça nous permet
26:09de travailler
26:09avec certaines
26:11de leurs très belles marques
26:12de luxe.
26:13Ils nous ont beaucoup aidés
26:14aussi sur le partenariat
26:15avec la Formule 1
26:16et ça nous permet aussi
26:18d'être servis
26:18dans le groupe Belmont,
26:20dans les Cheval Blancs
26:21où nous sommes
26:22très fiers d'être servis.
26:23Eh bien voilà,
26:24donc merci beaucoup
26:25Rodolphe,
26:26frère Jean Tétinger
26:26d'avoir été l'invité
26:27de la France
26:27à Tout pour réussir
26:28et là,
26:29on n'a même pas besoin
26:29de dire à consommer
26:30avec modération
26:32puisqu'il n'y a pas d'alcool.
26:33Merci à tous les deux,
26:35à tous les trois
26:35d'avoir été les invités
26:36de la France
26:36à Tout pour réussir
26:37émission diffusée en télé,
26:39en radio,
26:39sur le site
26:39et l'appli de BFM Business.
26:41La semaine prochaine,
26:42encore beaucoup de diversité
26:43avec les 60 ans de Yoplait,
26:45les vêtements outdoor
26:46inspiration
26:46mais aussi
26:47les couteaux au vernis
26:48à Lecoq français.
26:49Très bon week-end,
26:50très belle semaine
26:50et à très bientôt
26:51sur BFM Business.
26:54La France a tout
26:55pour réussir
26:56sur BFM Business.

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