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##LE_GRAND_DEBAT_DES_VRAIES_VOIX-2025-11-20##

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News
Transcription
00:00Je pense qu'il faut taper très fort.
00:02Et donc j'ai décidé quelque chose de tout à fait original,
00:05que personne n'a fait depuis plus de 50 ans dans notre pays.
00:07On va mettre les 100 plus gros narcotrafiquants, les mettre dans une prison.
00:10Écoutez, c'est intéressant.
00:11C'est vrai qu'on peut se dire que ça ressemble à une opération de communication.
00:14D'abord, il va falloir les choisir, je ne sais pas lesquels on va choisir.
00:17On sait très bien que la plupart des narcotrafiquants, ils sont sous nos yeux.
00:19Donc nous allons prendre d'abord une prison française,
00:22on va la vider des personnes qui y sont,
00:25et on y mettra, puisqu'on l'aura totalement isolée,
00:27totalement sécurisée, avec des agents militants, c'est-à-dire particulièrement formés.
00:29À partir du moment où vous les mettez dans une même prison,
00:31il y a plusieurs problèmes.
00:32Soit il y a un bain de 100 ans à la prison.
00:34La deuxième solution, ils profitent de cette promiscuité,
00:38du fait d'être tous ensemble, pour former peut-être le plus grand cartel de demain.
00:47J'en reviens avec vous, Éric Revelle, sur cette exécution du frère Damine Kessassi.
00:52Et ce qui avait étonné pas mal de gens, dont moi,
00:54de dire que le jour où l'information est arrivée,
00:57elle est presque passée inaperçue, comme une information banale.
01:02Et là, finalement, tout le monde décide de la prendre à bras-le-corps
01:08et de soulever, encore une fois et encore une fois, des sujets qui fâchent.
01:12Oui, ce qui a valu le déplacement de Laurent Nunez, le ministre de l'Intérieur,
01:16et de Gérald Darmanin, le ministre de la Justice, aujourd'hui à Marseille.
01:19Mais je pense qu'il faut mettre les points sur la famille Kessassi est lourdement meurtrie.
01:25Elle avait déjà vu disparaître le frère aîné, Brahim.
01:30Qui donnait dans le trafic de stupes.
01:33Là, c'est autour de Mehdi Kessassi.
01:37Je vais vous dire, quand on s'en prend aux membres d'une famille
01:41dont le principal visé, si j'ose dire, est un élu politique,
01:45alors sont des méthodes colombiennes ou mexicaines.
01:49Donc ça veut dire que, et je pense que les deux ministres ont raison de dire
01:52que c'est aussi inquiétant, cette submersion du narcotrafic que le terrorisme,
01:58parce qu'en réalité, on est en train de basculer dans d'une mexicanisation.
02:01C'est-à-dire que pour intimider des élus, on tue, ou oui, on tue,
02:06on assassine des membres de sa famille.
02:09On est exactement là-dedans.
02:10Alors j'entends les voix de la gauche nous expliquant
02:16que tout ça est largement surdimensionné, exagéré,
02:20mais en réalité, non, on est dedans.
02:22Je lisais dans le Figaro tout à l'heure le témoignage d'un journaliste italien
02:28qui avait donné le lac contre la mafia en Sicile et en Italie.
02:34Il est sous protection policière et il estime que ce qui nous arrive aujourd'hui,
02:37lui qui est un spécialiste de ce qui s'est passé en Italie avec les mêmes causes et les mêmes effets,
02:42qu'en fait, c'est 30 ans de déni politique en France.
02:45On n'a pas voulu, on n'a pas pris la mesure de ce qui nous arrivait.
02:49Maintenant, il faut le dire, il y a très peu de petits villages en France
02:52qui sont épargnés par le trafic de drogue.
02:54C'est ça la réalité, c'est 6 à 7 milliards d'argent liquide
02:57tous les ans qui sont blanchis.
02:59J'écoutais sur Sud Radio ces maires qui disent
03:01j'en ai marre des barbiers, des épiceries de nuit
03:04parce qu'on sait très bien que les fermetures administratives,
03:07oui, ils ont zéro chiffre d'affaires,
03:08mais ils redémarrent une fois que la fermeture administrative est finie
03:10parce qu'en fait, tout ça est financé par l'argent liquide au narcotrafic.
03:14Donc en fait, on est submergé par la vague
03:16et il est temps que ce pays en prenne conscience.
03:19Et ça, justement, on a un maire autour de cette table.
03:21On peut lutter contre ça ?
03:24Jean-Marc Dumoulin ?
03:25C'est très compliqué.
03:27En plus, quand on alerte, nous, nos services de gendarmerie,
03:30qui sont réactifs, généralement sur le terrain,
03:32ils attendent toujours le gros coup.
03:33Vous voyez ce que je veux dire ?
03:34Je remonte la filière.
03:36Et c'est vrai que l'activité du quotidien,
03:37elle n'est jamais, jamais, jamais, effectivement sanctionnée.
03:40Elle n'est jamais suivie et poursuivie.
03:42Bon, donc on peut le comprendre.
03:44Faire tomber une tête de réseau, c'est plus intéressant
03:46que de faire tomber le petit dealer
03:47ou le chouf qui est en bas.
03:49Mais globalement, c'est très, très, très compliqué.
03:52Après, c'est clair qu'on n'a pas de possibilité, non plus,
03:55de s'opposer, nous, à l'ouverture des épiceries de nuit,
03:57comme vous le disiez, M. Revelle.
03:57C'est...
03:59Si, acheter le fonds.
04:02Oui, mais on peut dire ailleurs.
04:03Il faut avoir des sous.
04:04Les communes ont plus de locaux vides que de commerces,
04:07malheureusement, vivants.
04:09Oui, alors, pardon pour le terme volontairement un peu provocateur,
04:13la mode du moment politique, j'entends,
04:16d'agiter pour nos ministres, aux ex-ministres,
04:18aux futurs ex-ministres,
04:19le narcotrafic, comme si tout à coup, c'était une découverte,
04:22m'amuse un petit peu, m'amuse tristement.
04:25Non, parce que d'abord, ça n'a rien de nouveau,
04:28mais rien.
04:30Ça fait 10, 20, 30, 40 ans, peut-être, qu'on a un certain problème,
04:33et il ne se limite, malheureusement, absolument pas au narcotrafic.
04:36Le narcotrafic n'est qu'une des multiples activités cachées,
04:42illégales, dommageables pour la société,
04:45celle, pour l'instant, qu'on met le plus en relief,
04:46parce qu'elle est souvent accompagnée de violences physiques,
04:48donc visible, mais il y a tout le reste.
04:50Vient derrière les escroqueries,
04:52les escroqueries aux virements,
04:53les escroqueries aux banques,
04:54qui viennent en numéro 2,
04:55derrière, en termes de rentabilité,
04:57qui sont faits depuis des pays où on n'extrate pas,
05:00et qui, chaque année, coûtent aux contribuables
05:02et aux assurances derrière.
05:03Mais les assurances ne sont pas les oeuvres de charité,
05:05elles se retournent nécessairement vers le contribuable,
05:07plusieurs milliards chaque année.
05:09Là aussi,
05:10et pour en avoir malheureusement fait l'expérience,
05:12quand on va essayer de déposer plainte,
05:13c'est pareil.
05:13On a les services de police qui sont sous-équipés,
05:16en hommes,
05:16en moyens,
05:17en culture,
05:18en matériel,
05:19en capacité d'intervention,
05:21et 9 fois sur 10,
05:21on dirait,
05:22monsieur,
05:23l'assurance remboursera,
05:24nous, on ne peut pas enquêter.
05:25Et ça se termine comme ça.
05:26Donc,
05:26ça n'est qu'un épiphénomène,
05:28entre guillemets,
05:28d'un phénomène beaucoup plus général,
05:30qui est une montée
05:31de la délinquance
05:32qui n'est pas maîtrisée en France.
05:33Allez, on en parle dans un instant.
05:34On fait une petite pause,
05:350800 26 300 300,
05:36si vous voulez participer à ce débat,
05:40vous êtes les bienvenus,
05:41et on est ensemble,
05:41bien entendu,
05:42avec nos vraies voix jusqu'à 20h.
05:50Bienvenue dans les vraies voix,
05:51on est ensemble avec Philippe David jusqu'à 20h.
05:54Je vais faire l'appel.
05:55Jean-Marc Dumoulin ?
05:56Présent.
05:56Présent, très bien.
05:57Déric Revelle ?
05:58Eh bien, il est là.
05:59C'est bien.
06:00Loïc Guérin ?
06:01Je suis là.
06:02Bon, c'est bien.
06:02On est présent.
06:04Il est là, il est là.
06:06Alain Deloin.
06:08C'est ça.
06:08Avec ce sujet,
06:11aujourd'hui,
06:12sur effectivement l'enquête
06:13sur l'exécution du frère Damine Kessassi
06:16et le journal du Parisien
06:19a annoncé que les enquêteurs
06:21qui privilégiaient désormais
06:22la piste d'un contrat ordonné
06:25depuis l'intérieur d'une prison,
06:27présenté par un vrai chef,
06:29en tout cas le vrai chef
06:30de la DZ Mafia,
06:31et moi j'ai envie de me tourner
06:32vers Philippe David en me disant
06:33que fait ce chef de la DZ Mafia
06:36dans une maison d'arrêt ?
06:38Une maison d'arrêt ?
06:39Alors dans l'un,
06:39à Bourg-en-Bresse,
06:40un superbe bourgade,
06:42mais alors les maisons d'arrêt,
06:44c'est le truc.
06:44Où il y a le plus ?
06:46On trouve tout dedans.
06:47Loïc Guérin,
06:48qui est avocat pénaliste,
06:49confirmera.
06:50De l'héroïne pour la fumée,
06:51du pétard pour le fumer.
06:53On trouve tout.
06:55Y compris des téléphones, etc.
06:57Mais comment se fait-il
06:58alors qu'on a ouvert Vendin-le-Vieille
06:59il y a quelques semaines ?
07:01Elle a été transférée il y a quelques jours.
07:02A condé sur ça.
07:03Mais ça pose une question.
07:04On a envoyé théoriquement
07:06les 100 personnes
07:07les plus dangereuses
07:09des prisons françaises.
07:10Il n'est qu'en 101ème position.
07:13Ça fait très peur
07:13en pensant aux 100 qui le précèdent.
07:15On écoute ce qu'a dit
07:16le garde des Sceaux.
07:18La trentaine de personnes
07:20qui dirigent la DZ Mafia
07:21sont, pour la quasi-intégralité d'entre eux,
07:2527 en l'occurrence,
07:27dans les prisons françaises.
07:2821 sont à la prison de sécurité
07:29de Vendin-le-Vieille
07:30et quelques autres vont connaître
07:32des quartiers de haute sécurité.
07:34Ça n'existait pas précédemment.
07:37Ça pose question, les guerres.
07:39Oui, alors moi je serais
07:40un tout petit peu plus modéré
07:41parce qu'il m'arrive quand même,
07:42ou il m'est arrivé,
07:43en tout cas en étant un peu plus jeune,
07:44d'avoir des gens qui étaient détenus.
07:45Donc je relativise un petit peu les propos.
07:48Ce n'est pas du tout
07:48un plaisir que tu es retrouvé.
07:50C'est même parfois
07:51au-delà du déplaisir
07:52puisque on a les sanctions régulières
07:54de la CEDH
07:54ou les organisations
07:55qui jettent un oeil.
07:56En particulier à Marseille
07:57où c'était absolument scandaleux.
07:59ça étant rappelé,
08:01effectivement, oui, ça passe.
08:02C'est poreux.
08:03Enfin, c'est pas là aussi.
08:04Non mais de quelqu'un de si dangereux...
08:06Qui soit en maison d'arrêt.
08:08Franchement.
08:09Mais enfin...
08:10Si on considère
08:11que c'est le chef
08:12de la DZ mafia...
08:14On part de là
08:14les postures politiques
08:15depuis 20 ou 30 ans.
08:17Et une fois encore,
08:17je ne suis pas un fou de la détention.
08:19Je défends suffisamment les gens
08:20pour qu'ils n'y aillent pas.
08:22Pour ne pas aller
08:22dans le sens contraire.
08:24Mais pour ceux
08:25qui ont été condamnés à y aller,
08:27déjà les conditions
08:27devraient être meilleures
08:28quand on y est.
08:29Ça c'est un aparté.
08:30Mais surtout,
08:30il ne faut pas se faire d'illusions.
08:32On est en déshérence totale.
08:34On est en surpopulation carcérale chronique.
08:37On a trois ou quatre individus
08:38dans des prisons,
08:39enfin dans des cellules de deux.
08:40Et ça, c'est pas aujourd'hui.
08:42C'est pas hier.
08:42C'est pas avant-hier.
08:43Ça doit faire 20 ou 30 ans
08:45que c'est le cas.
08:46Chaque classe politique
08:47qui se succède au pouvoir
08:48vous fait les mêmes promesses.
08:49Une fois encore,
08:50elle n'engage que ceux qui y croient.
08:51Oui, mais c'est pas parce
08:52qu'on est deux par cellules
08:53qu'on a le droit
08:55d'avoir du tête des téléphones.
08:56On n'a pas le droit d'eux.
08:57Mais vous faites comment on contrôle ?
08:58En tout cas, on peut les avoir.
08:59Comment est-ce que vous contrôlez
08:59des cellules
09:00où vous êtes en surpopulation carcérale ?
09:02Ne m'engueuillez pas.
09:02Comment est-ce que vous maîtrisez ?
09:03Non, mais comment vous maîtrisez
09:04aussi une population
09:05qui est dans, objectivement,
09:07des conditions humaines
09:08assez difficiles,
09:09pour ne pas dire très difficiles.
09:10Quand vous êtes quatre
09:11dans une cellule
09:11de quelques mètres carrés,
09:13pardon l'expression,
09:15mais vous pétez un plan.
09:16Donc c'est du bruit sans cesse.
09:17La télévision est allumée
09:18du matin à 7h
09:19jusqu'au soir minuit
09:20aux extinctions de feu.
09:22Ça fait un bruit phénoménal.
09:23Si vous n'êtes pas drogué
09:24ou totalement fou,
09:26vous le devenez.
09:27Donc, pour maîtriser
09:28toute cette population-là,
09:29vous êtes un peu obligé,
09:30parfois, de regarder à gauche
09:31quand vous lui regardez à droite
09:32parce que sinon,
09:33vous aurez des émeutes
09:34et puis les gens ne seront pas
09:35tout à fait illégitimes
09:36à dire qu'on en a ras-le-bol,
09:37on est maltraité,
09:37on est quatre à dormir par terre
09:39avec un matelas.
09:40Donc voilà,
09:40c'est la réalité du terrain.
09:42Oui, c'est vrai que pour ne parler
09:43que d'une prison
09:44qui a été sous les feux
09:46de l'actualité de la santé,
09:47je crois que le taux d'occupation
09:48est de 190%.
09:49Vous avez 82 ou 90 matelas
09:51par terre dans les cellules.
09:52Donc c'est vrai que c'est des conditions.
09:53Mais si vous voulez,
09:54je pourrais rajouter
09:55quelques pages à mon livre
09:56sur le fiasco des promesses
09:58d'Emmanuel Macron
09:59sur le nombre de prisons
10:00qu'il allait construire.
10:01Mais puisqu'on a un maire là,
10:03moi je vais l'interroger,
10:04je vais vous interroger
10:04monsieur le maire,
10:05c'est que tout le monde
10:06est pour qu'il y ait davantage
10:07de prison et de place
10:08et que les conditions
10:08des détenus, etc.
10:09soient meilleures.
10:11Mais quand on demande
10:12au maire de consulter
10:13sa population pour savoir
10:14si, tiens, là il y a un terrain
10:15à ce que ça vous dirait
10:16d'avoir une prison,
10:17combien de maires
10:18avec les populations
10:19disent oui ?
10:19En fait, tout le monde dit non
10:20en réalité.
10:21Vous êtes d'accord ou pas ?
10:22Vous m'enlevez le sujet
10:24de la bouche, cher ami.
10:25Je suis désolé.
10:25Je ne serai pas maire pourtant.
10:27Non mais c'est clair
10:29qu'aujourd'hui,
10:29on a une opposition systématique
10:31à plein de projets
10:32structurants et nécessaires
10:33pour le fonctionnement
10:34quand même de l'État aussi.
10:35Il faut le reconnaître.
10:37Et là, effectivement,
10:38il y a des fins de non recevoir.
10:40Bon, moi je n'ai jamais été sollicité
10:41pour avoir une prison chez moi.
10:42Mais enfin, globalement,
10:43je ne serai pas contre.
10:46Je ne serai pas forcément contre.
10:47Mais vos électeurs ?
10:49Mes électeurs, écoutez,
10:50ils feront le choix
10:51qu'ils voudront après.
10:53Il y a des échéances électorales
10:54comme ça.
10:54Ils n'ont qu'à se mouiller aussi
10:55un petit peu les gens,
10:56à s'impliquer.
10:57Au lieu d'aller baver
10:58sur des réseaux sociaux
10:59en permanence.
11:00Non, je crois qu'effectivement,
11:01c'est un vrai problème.
11:02Après, moi,
11:02ce qui m'inquiète beaucoup
11:03pour rebondir un petit peu
11:04sur le sujet,
11:05c'est que quand même,
11:06quand on annonce...
11:07Moi, je trouve que l'effet
11:08d'affichage est très préjudiciable.
11:10Très, très préjudiciable.
11:12Je crois que ça crée
11:13des psychoses quand même.
11:14Qu'on explique qu'il y a des mecs
11:15qui peuvent commanditer des crimes
11:16alors qu'ils sont à l'intérieur
11:17d'une prison.
11:18Et on donne ça,
11:19comme ça,
11:19en pâture au grand public.
11:22Comment peut-on aujourd'hui dire
11:25« Ah, ben, vous savez,
11:26on va équiper quand même
11:27nos jouliers,
11:28enfin, les gardiens de prison
11:28avec des masques
11:29pour qu'ils soient en sécurité ? »
11:31Enfin, je veux dire,
11:32ça veut dire que
11:33même l'État
11:34savoue des missionnaires
11:36sur des sujets comme ça.
11:37Oui.
11:37Merci beaucoup, messieurs,
11:39tout de suite.
11:39Merci.
11:41Merci.
11:42Merci.
11:42Ehine
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