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  • il y a 12 heures
Retrouvez le débrief de l'actu du vendredi 3 octobre dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.

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Transcription
00:00BFM Business et RMC Live présentent la matinale de l'économie.
00:05Good morning business.
00:078h41 sur BFM Business et sur RMC Live, Sébastien Lecornu va s'exprimer d'ici 4 minutes.
00:13Absolument, on l'attend devant le perron de Matignon.
00:16On l'attend.
00:16On l'attend, il va s'exprimer juste avant de recevoir les oppositions.
00:20Pourquoi vous riez, Marc ?
00:22Non, je ne rie pas du tout.
00:23Bonjour Marc.
00:24C'est très important, bonjour.
00:25Nous sommes vendredi, Marc Fiorentino nous a rejoint.
00:27Non, vous allez être coupé par Sébastien Lecornu dans quelques instants.
00:30Mais c'est un honneur d'être coupé par Sébastien Lecornu.
00:32Est-ce que vous pensez qu'il va y arriver ?
00:33Je ne sais pas du tout.
00:34Je pense que surtout, il y a un problème, c'est qu'on n'a pas conscience,
00:37on l'a répété ici plusieurs fois,
00:39qu'on est dans une situation qui est dramatique
00:41et qu'il faudrait qu'il y ait un appel à la responsabilité.
00:44Je pense qu'aujourd'hui, on devrait sortir de ce qu'on appelle,
00:47ce que les Italiens appellent à juste titre la combinazione,
00:50c'est-à-dire ces petites magouilles entre parties,
00:52entre je te donne ici pour que tu récupères ton poste,
00:55et puis tu as un poste ici et puis on s'arrange et puis on pense aux législatives
00:59et puis pourquoi pas évidemment aux présidentielles.
01:02Je pense qu'il faudrait qu'il y ait un parti au moins parmi tous ces partis
01:05qui lance un appel à la responsabilité,
01:08qui prenne modèle sur ce qui se passe en Allemagne,
01:10c'est-à-dire ces grandes coalitions qui peuvent se mettre en place
01:14à un moment donné quand le pays est en danger.
01:16Or le pays est en danger, c'est-à-dire qu'on n'est pas du tout dans un petit calcul
01:20où le PS se dit, est-ce que je vais mieux y arriver si je suis seul ou avec LFI ?
01:24Les LR se disent, tiens, comment je vais...
01:27Mais ils ne font pas de politique en Allemagne, c'est quand même le principe de la politique, non ?
01:31Non, le principe de la politique, alors je ne suis pas d'accord,
01:33le principe de la politique, ce n'est pas de faire la politique politicienne,
01:36le principe de la politique, normalement,
01:37c'est ce que j'avais appris moi dans mes cours d'éducation civique à l'école,
01:41c'est le bien public, c'est-à-dire de se dire aujourd'hui,
01:44de se poser une question simple, est-ce qu'il y a danger ou pas danger ?
01:48Il y a danger, on est dans un déclassement total,
01:50tous les chiffres sont là, économiques, ils le prouvent,
01:53le PIB par habitant, on ne va pas revenir sur tous les chiffres, on les connaît,
01:57le déficit, quand on voit l'Allemagne, quand on voit l'Espagne,
02:00quand on voit l'Italie, on comprend bien qu'on est dans une situation dramatique.
02:04La question, c'est de se dire, est-ce que ces politiques sont là pour leur propre poste
02:08ou est-ce qu'ils sont là pour le bien public ?
02:10S'ils sont là pour le bien public, il faut faire ce qu'on fait en Allemagne,
02:14vous avez raison, ils font de la politique, mais d'abord,
02:16ils militent pour le bien public.
02:19Et le bien public aujourd'hui, c'est de sauver l'économie française
02:22et la société française, parce que ce n'est pas simplement l'économie qui est en danger,
02:26c'est la société dans son ensemble,
02:28et se dire que globalement, il va falloir faire des compromis
02:31et mettre de côté tous les sujets pour l'instant,
02:35qui sont des sujets qui fâchent,
02:36arrêter les absurdités comme la taxe Zuckman
02:41ou ce genre de bêtise totale,
02:45pour essayer de se dire quel est le programme de gouvernement commun
02:49pour un gouvernement qui soit un gouvernement technique,
02:52qui permette au moins jusqu'aux élections présidentielles,
02:55si elles ont lieu en 2027,
02:57de remonter le pays pendant cette transition.
02:59On ne peut pas rester à l'arrêt pendant un an et demi,
03:02c'est juste impossible.
03:04– Raphaël, la taxe Zuckman, on n'en parle plus,
03:06mais on a quand même obtenu quasiment 15 milliards
03:07sur les hausses d'impôts, potentiellement sur les riches et les entreprises.
03:11Donc on est quand même dans la tractation que disait Marc,
03:14je veux un milliard par-ci, un milliard par-là,
03:16pour savoir si je ne vais ou pas censurer.
03:19On en est toujours là.
03:20– Oui, d'abord, je salue le discours de cadrage de Marc Fiorentino,
03:23qui va effacer clairement celui de Sébastien Lecornu.
03:26Je pense qu'on a un bon cadre pour les discussions
03:28qui doivent se tenir aussi.
03:29Je salue sa fraîcheur aussi sur la vie politique,
03:31c'est-à-dire qu'avant d'exercer des politiques,
03:32il y a la conquête du pouvoir quand même,
03:34et évidemment, ça bataille dans tous les sens.
03:37Et c'est très compliqué pour Sébastien Lecornu,
03:39qui s'est vu quasiment claquer la porte dans le nez par LR hier soir,
03:43qui menace de sortir du gouvernement
03:45s'il n'y a pas un contrat de coalition,
03:48une lettre envoyée au LR.
03:49Donc il est dans une situation compliquée là, Sébastien Lecornu,
03:51on devrait l'entendre d'ici une petite minute.
03:53Ça ne va pas être simple.
03:54Maintenant, sur les discussions,
03:56effectivement, on a eu beaucoup, beaucoup,
03:58beaucoup de hausses d'impôts
04:00dans les négociations avec le Parti socialiste aujourd'hui.
04:03Ces discussions doivent prendre fin aujourd'hui.
04:05Je rappelle que le Premier ministre voit l'ERN,
04:07puis les socialistes, puis les écologistes,
04:09puis le Parti communiste pour terminer.
04:11C'est une journée décisive pour voir si...
04:14Pour décider de l'avenir,
04:16pour décider de l'avenir en tout cas,
04:18de Sébastien Lecornu
04:19et éventuellement du gouvernement
04:20qui sera nommé ce week-end.
04:22Voir si ça tiendra au-delà de la semaine prochaine,
04:24avec le discours de politique général.
04:25Marc, on a eu 15 milliards de hausses d'impôts
04:27quasiment annoncées sur les riches et les entreprises.
04:30On a des mesures de pouvoir d'achat aussi
04:32qui sont annoncées sur le travail.
04:33Là, on est sur des toutes petites choses
04:36les unes derrière les autres.
04:37Oui, on n'est pas sur un projet global
04:40qui consiste à dire,
04:41voilà, on est dans une situation compliquée.
04:43Qu'est-ce qu'on fait ?
04:43En plus, on connaît toutes les mesures
04:45qu'il faut prendre,
04:45donc elles ne sont pas difficiles.
04:47On les connaît.
04:47Chacun doit faire un compromis.
04:49Aujourd'hui, chacun doit faire un compromis.
04:50Elles ne sont pas difficiles.
04:51S'ils aient travaillé plus,
04:52vous savez très bien que c'est très difficile
04:53à vendre à la société française.
04:55Mais la question, ce n'est pas une question.
04:56On n'est pas là pour vendre.
04:57On est là pour diriger.
04:59On est là pour donner une direction.
05:00On est là...
05:01Aujourd'hui, on peut avoir,
05:02puisqu'il y a ces fameux fronts républicains
05:04qui se mènent à chaque fois qu'il y a des élections,
05:07on pourrait avoir un front républicain
05:08qui s'élargisse à des partis
05:10qui sont censés ne pas en faire partie
05:12pour essayer de mener une politique
05:15qui nous permette pendant un an et demi
05:17de nous dire,
05:18pendant un an et demi,
05:19arrêtons la politique.
05:20En fait, pendant un an et demi,
05:22pensons au bien du pays.
05:24« Ne pensez pas à vos postes,
05:26ne pensez pas à vos élections,
05:28ne pensez pas à vos chauffeurs,
05:30ne pensez pas à vos frais,
05:32pensez au pays. »
05:33Et aujourd'hui,
05:34si tous les partis étaient responsables,
05:37on connaît la liste des choses qu'il y a à faire.
05:39Je pense que, contrairement à ce qu'on dit,
05:40les Français ne sont pas idiots.
05:42Les Français savent très bien...
05:43D'ailleurs, les Français,
05:44ils votent avec leur argent.
05:45Ils mettent tellement d'argent de côté
05:46qu'ils sont en train de dire
05:47« La situation est très compliquée. »
05:49Et si on a un taux d'épargne
05:50qui est au niveau
05:51auquel on est actuel,
05:52un taux d'épargne
05:53qui est un taux d'épargne délirant,
05:55délirant par rapport à la situation...
05:56Mais vous êtes un peu utopiste quand même
05:57de penser qu'un politique va dire
05:58« Finalement, on arrête les tractations... »
06:00Non, pas du tout.
06:01Je ne suis pas du tout utopiste.
06:02Je pense qu'il faut revenir
06:03à l'esprit de la politique.
06:05L'esprit de la politique,
06:06c'est le bien public
06:07et le bien du pays.
06:08Aujourd'hui, le pays est en danger.
06:10Il faut lancer un appel
06:11pour le danger.
06:13Et voici Sébastien Lecornu.
06:14Absolument.
06:15Quand vous lancez,
06:15il arrive au pupitre Sébastien Lecornu.
06:17On revient juste à toi Sébastien.
06:18Bonjour à toutes et à tous.
06:21Je voulais m'adresser à vous
06:23et par l'intermédiaire évidemment
06:25de la presse,
06:26aux Françaises et aux Français
06:27qui nous écoutent,
06:29sachant que depuis trois semaines,
06:31j'ai volontairement peu parlé
06:32pour laisser sa chance au dialogue,
06:35aux compromis et aux discussions de fond.
06:38Sur ce même perron,
06:39il y a trois semaines,
06:41j'ai indiqué qu'il y avait
06:42un décalage important
06:43entre la situation internationale
06:44et la situation nationale,
06:45un décalage important parfois
06:46entre la vie politique française
06:48et la vie de nos compatriotes.
06:51Et donc pendant trois semaines,
06:52en recevant syndicats salariés,
06:54syndicats patronaux,
06:56formation politique du socle commun,
06:58ceux qui soutiennent l'action
06:59du gouvernement que je vais former,
07:01des oppositions,
07:02mais aussi des différentes
07:03filières professionnelles,
07:04acteurs engagés du pays,
07:06forces vives, élus locaux.
07:07J'ai commencé à tracer des chemins
07:09qui vont nous permettre
07:10de trouver des compromis
07:12à l'Assemblée nationale.
07:13Et notamment, j'y reviendrai
07:15lors de ma déclaration
07:16de politique générale.
07:18Ce qui me frappe beaucoup,
07:18et c'est au fond un peu mon problème,
07:20c'est que dans le secret du bureau,
07:23dans le secret des discussions
07:24que nous pouvons avoir
07:25avec les différentes formations,
07:27avec les différents syndicats,
07:29avec les différents acteurs,
07:30au fond,
07:31qui peuvent faire avancer notre pays,
07:33dans le secret du bureau,
07:35les compromis sont possibles,
07:36les discussions sont sérieuses,
07:38toujours techniques,
07:39toujours sincères.
07:40Et au fond,
07:41ça nous amène
07:42à un premier schéma,
07:43une première possibilité
07:44dans les temps à venir,
07:46c'est de se dire
07:46qu'une coalition plus large
07:47aurait été possible
07:48avec un accord de non-sensure,
07:50c'est-à-dire une capacité
07:51pour les formations républicaines
07:52à l'Assemblée nationale
07:53et au Sénat
07:54de se faire confiance
07:55avec, au fond,
07:57pas pour faire une coalition
07:59à l'allemande,
07:59mais au moins un texte
08:00qui permet de donner
08:01de la clarification,
08:01de donner de la stabilité au pays,
08:03et surtout, je l'avais dit,
08:04pas d'immobilisme,
08:05mais donc de faire avancer
08:06et donner des réponses
08:07pour les préoccupations
08:09de nos concitoyens
08:09et de nos concitoyens.
08:11Les premières consultations
08:12que j'ai eues il y a trois semaines,
08:13il s'avère que,
08:14pour plein de raisons
08:14qui sont d'ailleurs
08:15très compréhensibles
08:16et que je peux partager,
08:18cette possibilité
08:19n'a pas pu prospérer.
08:21Et donc, au fond,
08:22le sujet maintenant,
08:24c'est comment chacun fait
08:25un pas, un geste,
08:28mais plus qu'un geste,
08:29sans se renier
08:29dans ses propres convictions
08:30pour faire avancer le pays.
08:34Et donc, au fond,
08:34sur les thèmes que nous connaissons,
08:36cela ne peut pas être aussi binaire
08:38que pour la réforme des retraites
08:41dite la réforme borne
08:43ou contre la réforme des retraites,
08:44mais comment on l'améliore ?
08:46Et c'est ce que je proposerais
08:46d'ailleurs aujourd'hui,
08:47c'est une amélioration
08:48de notre régime de retraite,
08:50notamment sur les questions
08:52de pénibilité pour les femmes.
08:54Ce n'est pas uniquement
08:56l'attaque Zuckman ou rien,
08:58c'est évidemment la capacité
09:00à se dire pourquoi,
09:01comment fonctionne la fiscalité
09:02pour les 0,1%
09:04de nos compatriotes
09:05les plus riches ?
09:06Et donc, ça pose la question,
09:07au fond,
09:08de ce qu'on dit
09:08de la justice fiscale,
09:09c'est-à-dire comment l'effort,
09:11évidemment, est réparti.
09:12Ce n'est pas la question
09:13est-ce qu'on est pour ou contre
09:14le pouvoir d'achat.
09:15On ne peut pas être contre
09:16donner plus de pouvoir d'achat,
09:17évidemment,
09:18à celles et ceux qui travaillent.
09:20C'est au fond,
09:20quel est le meilleur vecteur
09:21pour le faire.
09:23Ce n'est pas est-ce qu'on est
09:23pour ou contre une mesure
09:25sur l'immigration.
09:26C'est au fond,
09:27pour ce grand défi
09:28que nous allons connaître encore
09:30dans les décennies qui vont venir,
09:31liés au réchauffement climatique,
09:33liés au terrorisme au Sahel,
09:35au Proche et au Moyen-Orient,
09:36quelles sont les réponses
09:37les plus efficaces
09:38qu'il faut trouver ?
09:39Et au fond,
09:39ce caractère binaire
09:40est au fond
09:41ce qui peut nous empêcher
09:42d'avancer.
09:43Et c'est pour cela
09:44qu'après en avoir discuté
09:46avec un certain nombre
09:48d'acteurs
09:49de la vie politique
09:50et parlementaire,
09:51je pense qu'il nous faut,
09:52comme je l'ai dit aussi
09:53sur ce perron,
09:54engager quelques ruptures.
09:56La Ve République,
09:57elle est présidentielle,
09:58semi-présidentielle,
09:59si on est précis,
10:00mais elle peut être
10:01aussi parlementaire.
10:02Et je pense que nous sommes
10:03dans le moment
10:03le plus parlementaire
10:04de la Ve République.
10:06Mais pour cela,
10:06il faut que chaque député
10:07puisse avoir du pouvoir,
10:10puisse avoir
10:11de la responsabilité,
10:13puisse prendre
10:13ses responsabilités.
10:15Et au fond,
10:15c'est ça qui nous empêche
10:16d'avancer,
10:17c'est la capacité
10:18à ce que le débat démarre.
10:20Et donc,
10:20j'ai décidé
10:21de renoncer
10:22à l'article 49
10:23à l'ENA 3
10:23de la Constitution
10:24puisque cet article,
10:27au fond,
10:27permet au gouvernement
10:28d'interrompre les débats,
10:30d'engager la responsabilité
10:31du gouvernement
10:32et au gouvernement
10:33d'écrire la copie.
10:34Et on le sait très bien,
10:36je défends la Ve République
10:37et sa Constitution,
10:38c'est un outil utile,
10:39mais c'est un outil
10:40qui a plutôt été imaginé
10:41par Michel Debray
10:41pour contraindre
10:43sa propre majorité.
10:44Or,
10:45dans un Parlement
10:45qui fonctionne,
10:46dans un Parlement en plus
10:47qui a été renouvelé
10:48il y a plus d'un an,
10:49qui ressemble aux Français
10:50avec ses divisions,
10:51on ne peut pas passer en force
10:53et on ne peut pas
10:54contraindre son opposition.
10:56Renoncer à l'article 49
10:57à l'ENA 3
10:58ne doit pas
10:59nous faire renoncer
11:00à ce que la France
11:01ait un budget
11:01au 31 décembre.
11:03Et donc,
11:04c'est sur la base
11:05de cette nouvelle méthode,
11:06de cette rupture
11:07où le gouvernement
11:08déporte encore
11:09davantage le pouvoir
11:11à l'Assemblée nationale
11:13et au Sénat
11:14que je vais pouvoir engager
11:15un certain nombre
11:16de discussions
11:16nouvelles ce matin,
11:18cet après-midi,
11:19dans les jours
11:19qui viendront aussi
11:20avec les partenaires sociaux
11:21en disant
11:22fort de ce constat,
11:23fort de cette rupture,
11:25comment l'Assemblée nationale,
11:26comment le Sénat
11:27vont s'emparer justement
11:29de ces différents enjeux.
11:30Alors évidemment,
11:31le gouvernement
11:31va devoir aussi lui
11:32changer de méthode,
11:34bâtir des compromis
11:36avant la séance,
11:38pendant la séance,
11:39parfois aussi après les séances
11:40dans ce qu'on appelle
11:41les commissions mixtes paritaires,
11:42c'est-à-dire
11:42ce moment où l'Assemblée nationale
11:44et le Sénat
11:45se retrouvent
11:46et donc c'est aussi
11:47sur cette base
11:48que je proposerai
11:49dans les prochains jours
11:50au Président de la République,
11:52une liste de membres
11:53du gouvernement
11:54qui devront accepter
11:55de rentrer aussi
11:56dans une nouvelle méthode
11:57de partage du pouvoir
11:58avec l'Assemblée nationale.
12:00Voilà,
12:00une nouvelle méthode
12:01que propose Sébastien Lecornu.
12:03On continue de l'écouter
12:04sur BFM Business,
12:05vous ne bougez pas,
12:06on revient sur RMC Live.
12:08On se retrouve lundi,
12:096h, 9h,
12:11Sébastien Lecornu
12:11qui est donc en train
12:12de s'exprimer
12:13avant bien sûr
12:14de recevoir
12:14les oppositions,
12:16une sorte de cadrage
12:17avant de discuter.
12:19Bonne journée,
12:19beau week-end
12:20sur RMC Live,
12:20à tout de suite
12:21sur BFM Business.
12:21Sous-titrage Société Radio-Canada

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