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Quand le monde s'affole - Économie russe, un "atterrissage en douceur" - 05/12
BFM Business
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il y a 20 heures
Ce vendredi 5 décembre, Christopher Dembik présente Quand le monde s'affole dans l'émission Tout pour investir, la masterclass, sur BFM Business. Retrouvez l'émission tous les vendredis à 11h.
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00:00
Tout pour investir, la masterclass, quand le monde s'affole.
00:04
Alors je crois qu'il y a un sujet Russie aujourd'hui, économie russe,
00:08
qui est quand même compliqué à aborder parce qu'on n'a pas tous les indicateurs,
00:11
donc il y a pas mal de travail pour essayer de déceler le vrai du fait.
00:13
Oui, on va essayer de faire ensemble une photographie de l'économie russe
00:16
parce que, vous le savez mieux que personne, l'économie c'est aussi le nerf de la guerre.
00:21
C'est intéressant de regarder que par exemple, l'économie russe a très bien tenu
00:26
malgré les sanctions occidentales.
00:28
Contrairement aux attentes.
00:29
Oui, si vous regardez en 2023 et 2024, c'est une économie qui a tourné à 3 ou 4%.
00:37
Et en fait, il y a une des raisons que je trouve intéressante,
00:42
c'est que malgré des sanctions occidentales, une usine, c'est ce que ça nous apprend,
00:47
pourquoi l'industrie a aussi bien tenu, c'est qu'une usine ça ne s'arrête jamais net.
00:51
Ça décline assez lentement.
00:53
Et le cycle de vie d'une usine, il est souvent très long,
00:56
il est beaucoup plus long que les mesures politiques qu'on peut prendre.
00:59
Une centrale thermique, par exemple, s'est conçue pour durer de 30 à 50 ans.
01:04
Le cycle de vie d'une cimenterie, ça tourne de 20 à 30 ans.
01:08
Les hauts fourneaux, ça tient facilement 15 ans avant les premières rénovations.
01:12
Donc, c'est une érosion qui est lente.
01:13
Les effets se font sentir que sur le très long terme.
01:17
Rien qui puisse, à court terme, paralyser l'effort de guerre russe.
01:21
Et puis, c'est intéressant de voir aussi que face aux sanctions occidentales,
01:24
vous avez les Russes qui, sur le plan industriel, ont pivoté massivement vers la Chine.
01:32
Et qu'est-ce qu'on a pu constater entre début 2023 et l'été 2024 ?
01:36
Que la Russie a importé plus de 22 000 machines-outils à commande numérique.
01:42
C'est des CNC qui sont hyper importantes,
01:45
parce que c'est des machines de haute précision,
01:47
pour environ 18 milliards de dollars.
01:50
Et c'est des machines qui contribuent même à l'effort de guerre,
01:53
parce que ça permet, avec les hautes précisions,
01:56
d'aider à fabriquer, notamment, des obus,
01:59
et à faire tourner toute l'industrie pour cet effort de guerre.
02:03
Maintenant, attention, si ça a bien tenu en 2023 et 2024,
02:06
les prévisions pour l'économie russe pour 2025
02:09
parlent désormais de, ça aussi, de 0,5 à 1%.
02:13
Le Kremlin parle pudiquement de soft lending.
02:16
Oui, il y a aussi l'impact pour eux de la baisse du prix du pétrole.
02:19
On en parlait avec mon invité.
02:21
La tendance, en tout cas, est plutôt à la baisse.
02:22
C'est vrai que c'est un budget qui est très dépendant de cela.
02:25
En termes de finances publiques, malgré tout,
02:27
la Russie ne s'en sort pas trop mal, malgré tout.
02:30
Alors, elle s'en sort pas trop mal,
02:32
mais il y a vraiment un énorme suspense
02:34
sur la manière dont vont évoluer, comme vous le disiez,
02:36
les recettes pétrolières et gazières.
02:40
Ces recettes-là, c'est vraiment le pilier du budget russe,
02:44
notamment depuis 2022.
02:46
Elles ont rapporté 192 milliards de dollars en 2024
02:50
et 674 milliards de dollars en cumulé depuis le début de la guerre.
02:55
Donc, c'est vraiment le pétrole et le gaz qui fait tourner l'économie russe
02:59
et qui participent le plus à l'effort de guerre.
03:02
Sauf que les dernières sanctions américaines entrées en vigueur
03:05
vont commencer à porter leurs fruits.
03:08
Et tout le monde s'attendait à une chute vertigineuse
03:13
des exportations, le plus souvent illégales,
03:17
de pétrole et de gaz russes.
03:19
Mais il y a un léger suspense.
03:21
Pour comprendre, on va essayer de rembobiner.
03:22
Vous avez la Chine qui, à l'origine, a bradé son pétrole brut aux Indiens
03:29
qui sont devenus le premier client des Russes à l'export.
03:32
New Delhi aurait même économisé 10 à 13 milliards de dollars
03:36
juste en achetant du brut russe.
03:39
Sauf que là, vous avez deux obstacles qui sont sur le point d'arriver.
03:41
Le premier, c'est le 18e paquet des sanctions de l'Union européenne
03:46
qui prévoit l'interdiction de produits qui ont utilisé du brut russe.
03:49
Ça, ça rentre en vigueur à partir du 21 janvier.
03:53
Et le deuxième obstacle, c'est le décret de Donald Trump
03:55
qui menace l'Inde d'augmenter de 25% les droits de douane
03:59
sur une large partie de produits venant d'Inde
04:01
si elle continue à raffiner ce brut russe.
04:04
Et donc, jusqu'à maintenant, on était persuadés
04:06
que l'Inde allait céder aux pressions de Donald Trump.
04:12
Et donc, derrière, vu que c'est son premier acheteur,
04:15
que les recettes allaient s'effondrer.
04:16
Sauf que, juste avant que je rentre dans le studio,
04:18
il y a quelques minutes, il y avait ce qu'on appelle un urgent
04:21
sur nos agences AFP Reuters.
04:24
Et qui nous dit, c'est Vladimir Poutine,
04:27
qui vient de déclarer qu'il avait les garanties
04:30
pour continuer à livrer du pétrole,
04:33
dit-il, sans interruption à New Delhi.
04:35
Donc, ce ne sera peut-être pas si évident que ça.
04:37
Ça me permet d'éclairer ce point,
04:38
parce qu'on a eu, il y a deux, trois jours,
04:39
une étude de Goldman,
04:41
qui vous montrait que les entreprises pétrolières russes
04:44
sanctionnées, donc typiquement,
04:46
Rosneff, Lukoy, ont une baisse des exportations de pétrole
04:50
d'à peu près 1,1 million de barils par jour.
04:53
Mais les entreprises pétrolières russes non sanctionnées,
04:56
en parallèle, ont une hausse des exportations équivalentes.
04:58
Donc, finalement, il y a des jeux de vases communicants
05:00
qui aussi s'expliquent,
05:02
qui permettent de maintenir finalement ces exportations russes.
05:04
Et vous avez eu aussi, ces dernières semaines,
05:06
des raffineurs publics indiens
05:09
qui ont voulu prendre les devants
05:11
et qui se sont mis à baisser
05:14
les achats de brutes russes
05:17
avant que les sanctions
05:18
ne voient le jour.
05:20
C'est pour ça qu'on avait,
05:22
avec ce signal-là,
05:23
on se disait, bon, bah, tout le monde va arrêter.
05:25
Vous aviez aussi un autre,
05:27
un des premiers raffineurs privés indiens
05:29
qui s'appelle Nira
05:30
et qui a Rosneft à son capital,
05:34
qui a Rosneft à 49% de son capital
05:37
et qui, pareil, s'est mis à lever le pied.
05:39
Voilà.
05:39
Donc, c'était des signaux.
05:40
Mais, mais, mais,
05:41
Vladimir Poutine vient de déclarer
05:43
qu'il avait la garantie de Narendra Modi
05:46
de continuer à lui exporter du pétrole.
05:49
Et dans ce contexte-là,
05:51
vous avez aussi, bien évidemment,
05:52
quand même, Vladimir Poutine
05:54
qui se tourne vers la Chine.
05:56
On en avait un peu parlé précédemment,
05:58
mais vous avez, je crois, lundi prochain,
06:00
les émissions de dette russe en Yuan.
06:02
On a eu une émission,
06:03
on évoquait le sujet,
06:04
mais là, on a le timing.
06:05
On verra, bien sûr,
06:05
comment ça va se passer ce lundi.
06:07
Concrètement, c'est extrêmement fort.
06:09
Des deux côtés, d'ailleurs.
06:11
Ça, c'est un symbole géopolitique
06:13
qui est fondamental.
06:15
Et ça même,
06:16
il y a même un lien avec le sujet
06:17
dont on parlait juste avant
06:18
avec l'exportation de bruts russes vers l'Inde.
06:22
Pourquoi ?
06:22
Parce que l'autre grand débouché de la Russie
06:25
depuis février 2022
06:27
et son invasion en Ukraine,
06:29
c'est le marché chinois.
06:30
Donc, c'est vraiment l'Inde et la Chine
06:31
qui permettent à l'économie russe de respirer.
06:36
Et en fait, ce que vous avez,
06:37
c'est tous les géants énergéticiens russes
06:42
qui se sont mis à vendre à gogo du brut à la Chine.
06:46
Ils se sont fait payer en yuans.
06:48
Et aujourd'hui, vous avez des montagnes de yuans
06:51
qui dorment dans des banques russes.
06:54
Et ce que va faire Vladimir Poutine
06:56
à partir de lundi,
06:57
c'est pour la première fois
06:58
émettre de la dette russe en yuans.
07:02
Et en fait, vous avez notamment,
07:04
parmi les institutionnels et les privés
07:07
qui pourront acheter de la dette russe,
07:09
vous allez avoir tous ces géants énergéticiens russes
07:13
qui vont recycler leur yuans
07:14
pour acheter de la dette russe en yuans.
07:17
Et en fait, vous allez fonctionner en circuit fermé.
07:20
Je te vends du pétrole, tu me payes en yuans,
07:22
je rachète avec de la dette russe.
07:24
Et vous avez un circuit fermé
07:25
qui s'affranchit totalement du dollar.
07:28
Donc ça, c'est un symbole géopolitique
07:30
qui est hyper puissant.
07:32
Et puis, le deuxième symbole intéressant,
07:34
et c'est vrai qu'on en a parlé
07:35
ces dernières semaines ensemble,
07:36
c'est qu'on sent une volonté
07:40
de plus en plus forte de Pékin
07:42
d'internationaliser sa monnaie.
07:45
Et ça, c'est un symbole de plus,
07:48
même si le yuans...
07:50
Et pas librement converti.
07:51
Voilà, qu'il y a un contrôle de la monnaie,
07:54
que c'est un petit grain de sable
07:56
par rapport aux réserves mondiales de change.
07:58
Mais ils ont réussi un succès
07:59
qui est la stabilité de la devise.
08:01
Pour internationaliser, vous devez être stable.
08:03
Ils l'ont réussi, oui.
08:03
Exactement, mais ça reste encore assez minus
08:07
par rapport à l'euro et au dollar.
08:09
Je crois que c'est 2% des réserves mondiales
08:11
de change, à peu près.
08:13
Mais c'est vrai que là,
08:14
on a quand même des signaux
08:15
qui se multiplient.
08:16
Quand on voit en Afrique,
08:18
le Kenya qui décide pour la première fois
08:21
de changer sa modalité de remboursement
08:24
d'un méga prêt de 5 milliards de dollars,
08:27
où il décide de le rembourser
08:28
non plus en dollars, mais en yuans,
08:29
parce que c'est plus intéressant,
08:30
les taux d'intérêt sont plus bas,
08:32
ça, c'est un signal fort.
08:33
Quand on voit que la Russie va lever
08:35
de la dette en yuans,
08:36
ça, c'est un message fort.
08:38
Et derrière, en fait, c'est un message
08:40
qui est envoyé à tous les dirigeants
08:43
qui étaient autour de Xi Jinping
08:45
sur la fameuse photo de Tianjin
08:47
au mois de septembre.
08:47
On en est parlé dans une...
08:49
Au sommet de la coopération de Shanghai.
08:50
A eux tous, c'est la moitié de la population mondiale,
08:53
c'est quasiment un tiers du PIB mondial.
08:58
Au moment où on voit et on entend
09:03
Donald Trump qui veut mettre un coup de pied
09:07
dans la fourmilière, dans l'architecture internationale
09:10
telle qu'elle a été pensée au lendemain
09:11
de la Seconde Guerre mondiale,
09:13
et qui est formalisée d'ailleurs dans un document
09:15
assez spectaculaire que la Maison de Blanche
09:17
vient de publier ce matin, qui est la revue
09:21
sur la sécurité nationale des États-Unis,
09:24
et où, en 30 pages, c'est un précipité
09:27
de la doctrine de Donald Trump,
09:28
dans laquelle il dit que maintenant, c'est fini,
09:31
il faut arrêter de penser le monde
09:32
tel qu'il a été pensé pendant les 30 ans
09:33
qui ont suivi la guerre froide.
09:35
Voilà, je fais cette parenthèse pour dire
09:37
que c'est dans ce cadre-là que Xi Jinping
09:40
prend la balle au bon, quelque part,
09:43
dit à Donald Trump, ok, très bien,
09:45
on revoit l'ordre tel qu'il a été pensé,
09:48
il y a un nouvel ordre qui émerge,
09:50
celui que j'emmène, avec mes amis des BRICS,
09:52
avec les nouveaux alliés de l'Asie centrale, etc.,
09:55
tous ceux qui sont sur la photo de Tianjin.
09:57
Si tous ceux de la photo de Tianjin
09:59
se mettent à penser et à commercer
10:02
un peu plus en yuan,
10:04
là, on est sur un symbole monétaire
10:05
et géopolitique super fort.
10:07
Je pense que, justement, pour conclure,
10:08
du point de vue purement macroéconomique
10:10
qui est plutôt mon cœur,
10:11
je crois que l'élément qui est fondamental
10:13
en termes de méga-tendance,
10:15
on parle beaucoup d'il y a tout ça,
10:16
mais l'élément qui est fondamental,
10:17
c'est le retour de l'Asie
10:18
et notamment de la Chine au premier plan.
10:21
Du point de vue contribution économique,
10:23
découplage économique,
10:24
ça passe aussi par la dédollarisation,
10:26
l'internationalisation du yuan,
10:27
c'est vraiment le phénomène qui est majeur.
10:29
Et l'Asie achète à l'Asie,
10:31
désormais, plus aux Européens, etc.
10:33
C'est vraiment l'élément qui est considéré.
10:34
Les signaux sont spectaculaires
10:37
et en fait, ça fait un peu fourre-tout,
10:39
mais tout se range dans la même case.
10:42
Quand vous voyez qu'un conteneur sur cinq dans le monde
10:45
quitte la Chine pour relier l'Europe,
10:49
quand vous voyez que la Chine investit massivement
10:52
le long de toutes les côtes arctiques russes,
10:55
là où la bantise se recule
10:56
et là où les conteneurs, justement,
10:58
qui passaient par Suez
10:59
vont maintenant passer par le nord
11:00
à la faveur de la fonte des glaces,
11:03
c'est the place to be là-bas.
11:05
C'est effectivement un changement complet aujourd'hui.
11:07
Exactement.
11:08
Et les Chinois sont partout.
11:09
Sachant qu'ils sont aussi en train de...
11:11
Enfin, ils sont en train de...
11:12
Non, ils ont même quasiment terminé
11:13
de créer un maillage international
11:17
où ils sécurisent toutes les chaînes d'approvisionnement
11:20
liées à la transition énergétique.
11:22
Parce qu'un objectif politique de Xi Jinping,
11:24
mais ça, on pourra y revenir,
11:26
c'est d'être le leader mondial
11:27
de la transition énergétique.
11:28
Et ils sont bien amorcés.
11:29
Et c'est bien amorcé.
11:30
Il est partout.
11:30
Il est en Indonésie.
11:31
Il est sur tous les continents.
11:33
Partout où on peut sécuriser une chaîne,
11:34
c'est eux qui raffinent les terres rares.
11:36
C'est eux qui raffinent les métiers.
11:38
Les métiers.
11:38
Je vous profite pour...
11:39
Si vous souhaitez revoir sur notre plateforme,
11:41
vous étiez aussi là,
11:42
notre émission spéciale sur les terres rares.
11:44
Merci beaucoup, Mathieu Jolivet.
11:45
Merci, Christopher.
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Merci, Christopher.
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