- il y a 2 jours
Au programme de cette édition, nous reviendrons sur la paix en Ukraine qui devrait une nouvelle fois être retardée. Après l’intervention des Européens pour pousser des propositions inacceptables pour une Russie à l’avantage sur le front, les discussions sont repoussées à la semaine prochaine.
L’actualité, c’est aussi la campagne des élections municipales qui commence petit à petit à faire parler d’elle. L’occasion d’observer la stratégie d’une gauche divisée au milieu de laquelle le parti de Jean-Luc Mélenchon n’entend pas faire de la figuration.
Et puis nous évoquerons la condamnation de Nicolas Sarkozy dans l’affaire Bygmalion validée par la Cour de cassation. Une décision qui interroge à nouveau sur le caractère politique de la justice.
L’actualité, c’est aussi la campagne des élections municipales qui commence petit à petit à faire parler d’elle. L’occasion d’observer la stratégie d’une gauche divisée au milieu de laquelle le parti de Jean-Luc Mélenchon n’entend pas faire de la figuration.
Et puis nous évoquerons la condamnation de Nicolas Sarkozy dans l’affaire Bygmalion validée par la Cour de cassation. Une décision qui interroge à nouveau sur le caractère politique de la justice.
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00:00...
00:00Madame, Monsieur, bonsoir et bienvenue sur TV Liberté.
00:09TV Liberté, à sa création, Philippe Millau,
00:12qui en est le président de la chaîne, avait trouvé cette phrase-là
00:14qui nous définit tous ce qu'on a conservé.
00:17C'est TVL, c'est le défenseur de l'esprit français,
00:20de la civilisation européenne.
00:21C'est vraiment une voie de la liberté, on est bien, on se sent bien.
00:30Madame, Monsieur, bonsoir, je suis très heureuse de vous retrouver
00:33pour cette nouvelle édition.
00:34Ces batailles de l'influence, on les a gagnées.
00:37Le peuple doit retrouver sa place centrale des institutions démocratiques.
00:50Merci aussi à vous d'être derrière vos écrans.
01:00Madame, Monsieur, bonsoir.
01:24Je suis tout particulièrement ravie de vous retrouver ce soir
01:27puisque c'est notre premier journal télévisé
01:29avec un million de personnes abonnées à notre chaîne principale.
01:34Je peux vous assurer que toute l'équipe de TV Liberté
01:36est incroyablement reconnaissante pour votre soutien sans faille.
01:40Mais la route à parcourir ensemble est encore longue
01:43et elle sera sans aucun doute encore semée d'embûches.
01:46Alors, bien sûr, on compte sur vous.
01:49Au programme de cette édition, nous reviendrons sur la paix en Ukraine
01:52qui devrait une nouvelle fois être retardée
01:54après l'intervention des Européens pour pousser des propositions inacceptables
01:58pour une Russie à l'avantage sur le front.
02:00Les discussions sont repoussées à la semaine prochaine.
02:04L'actualité, c'est aussi la campagne des élections municipales
02:07qui commence petit à petit à faire parler d'elle en France.
02:09L'occasion d'observer la stratégie d'une gauche divisée
02:12au milieu de laquelle le parti de Jean-Luc Mélenchon
02:14n'entend pas faire de la figuration.
02:16Et puis nous évoquerons pour terminer la condamnation,
02:19la dernière condamnation de Nicolas Sarkozy
02:21dans l'affaire Big Malion, validée par la Cour de cassation.
02:24Une décision qui interroge à nouveau
02:26sur le caractère politique de la justice en France.
02:33Les Européens vont-ils encore parvenir à saboter la paix ?
02:36Alors que le président américain avait fixé une date butoir
02:39pour que Volodymyr Zelensky se mette d'accord
02:41avec une solution de sortie de crise jeudi,
02:44d'autres échéances plus tardives sont déjà programmées.
02:46Un nouveau report d'une solution qui devient difficile à espérer.
02:50Le point tout de suite.
02:51Trump, seul contre tous pour la paix en Ukraine.
02:54Ce devait être un cadeau de Thanksgiving pour les Ukrainiens jeudi,
02:58mais le plan censé mettre un terme à la guerre est loin d'être ficelé.
03:01Mardi après-midi, la coalition des volontaires,
03:04emmenée par Ursula von der Leyen,
03:05mais surtout Emmanuel Macron,
03:07Kirstarmer et Friedrich Merz,
03:10se réunissaient en visioconférence
03:11pour façonner leur alternative prétendue
03:14face au plan de Donald Trump en 28 points.
03:17En réalité, les Européens ont effacé volontairement
03:20des garanties que la Russie juge incontournables.
03:23En premier lieu, l'idée d'une adhésion de l'Ukraine à l'OTAN
03:26qui n'est plus exclue,
03:27alors même que ce point constituait l'une des motivations
03:30de l'entrée des troupes russes dans le pays.
03:33Par ailleurs, le plan de paix prévu par Donald Trump
03:35prévoyait une limitation de l'armée ukrainienne,
03:38loin de la volonté des Russes
03:39qui voulaient tout simplement désarmer le pays.
03:42Les Européens, eux, ont à nouveau démontré
03:44qu'ils n'avaient pas saisi que l'Ukraine
03:46ne gagnait pas la guerre
03:47et que les compromis avec Moscou
03:49n'étaient pas une option,
03:50mais bien une obligation.
03:52Depuis Luanda, en Angola,
03:54Emmanuel Macron a réaffirmé
03:55une position déconnectée du réel.
03:58La première chose qui protégera l'Ukraine,
04:00c'est sa propre armée.
04:01Et donc, tout le débat qu'il y a eu
04:03à Genève ces derniers jours,
04:05c'était de ne pas limiter
04:06les forces armées ukrainiennes.
04:08Parce que l'obsession de la Russie,
04:09et c'était le cas dans les négociations
04:11qu'il y avait à Istanbul au printemps 2022,
04:13c'est de dire,
04:14vous devez avoir une armée
04:15qui ne passe pas 50, 60 000 hommes.
04:17Et donc, nous, qu'est-ce qu'on fait ?
04:18On pilote sa formation, son équipement,
04:21sa capacité à se déployer
04:22sur les mois et les années qui viennent.
04:23Un point de vue qui ne pourra être transcrit
04:25dans les accords de paix.
04:26Lors de la réunion de la coalition des volontaires,
04:28Volodymyr Zelensky a ostensiblement
04:31flatté les Européens
04:32pour tenter de faire fléchir
04:33Donald Trump sur ses négociations
04:35avec Vladimir Poutine.
04:36Et je suis prêt à discuter
04:40avec le président Trump.
04:41Il y a des points sensibles à discuter.
04:43Nous en avons encore.
04:44Et nous pensons que la présence
04:45de dirigeants européens
04:46pourrait être utile.
04:49Et nous discutons aujourd'hui
04:51de certaines questions clés
04:52dans un format fermé.
04:53Mais la présence des Européens
04:55a un impact limité.
04:56En réalité, les propositions formulées
04:58par la coalition des volontaires et consorts
05:00n'ont pas d'impact diplomatique positif.
05:03elles n'ont vocation qu'à bloquer
05:04le processus de paix.
05:06Conscient de cela,
05:07Volodymyr Zelensky continue de peser au mieux
05:09sur le plan de Donald Trump.
05:14Aujourd'hui, nous avons également travaillé
05:16avec l'équipe de négociations ukrainiennes
05:18sur le texte d'un document élaboré
05:20avec les Etats-Unis à Genève.
05:25Les principes de ce document
05:26peuvent être développés en accord plus profond
05:28et c'est notre intérêt commun
05:30rendre la sécurité réelle.
05:32Je compte sur une coopération active supplémentaire
05:35avec la partie américaine
05:36et avec le président Trump.
05:41Beaucoup débandent de l'Amérique
05:44parce que la Russie accorde
05:45la plus grande attention
05:46à la force américaine.
05:48Je remercie tous ceux
05:49qui sont aux côtés de l'Ukraine.
05:51Je remercie tous ceux qui aident.
05:54Et il est important maintenant
05:55de maintenir notre force intérieure
05:57tout comme nous voulons tous
05:58que notre force en diplomatie
06:00donne des résultats.
06:01Contrairement aux Européens,
06:04Volodymyr Zelensky ne cache plus
06:05que la paix se joue dans les discussions
06:07entre Moscou et Washington.
06:09Donald Trump annonce toujours une sortie de crise
06:11grâce à son initiative,
06:13lui qui a été élu sur un programme de paix.
06:16Je pense donc que nous sommes très proches
06:17d'un accord.
06:18Nous verrons bien.
06:19Je pensais que cela aurait été
06:20beaucoup plus rapide.
06:21Je pensais que cela aurait été facile.
06:23Mais je pense que nous faisons des progrès.
06:25Il n'en reste pas moins
06:27que la dente de la fête de Thanksgiving jeudi
06:29ne connaîtra pas la finalisation du plan.
06:32En effet, il est d'ores et déjà prévu
06:34que Steve Witkoff,
06:35chargé de trouver un chemin vers la paix en Ukraine,
06:38se rende en Russie la semaine prochaine.
06:40Dans tous les cas,
06:41il faut à nouveau rappeler
06:41que la Russie reste le maître des horloges.
06:44À l'avantage sur le front,
06:45le pays n'a pas d'intérêt en tant que tel
06:47à signer rapidement la paix,
06:49contrairement à l'Ukraine
06:49qui perd peu à peu du territoire
06:51et plus encore des hommes.
06:57La gauche divisée,
06:59mais les Insoumis, eux, sont en action.
07:01À l'approche des élections municipales,
07:03ils fourbissent leurs armes
07:04pour une grande répétition.
07:06Avant 2027,
07:07tour d'horizon aux côtés d'Olivier Frère Jacques.
07:08C'est la nuve finale
07:12contre nous et demain
07:16l'international
07:20Sortie des poubelles de l'histoire,
07:23l'international a retenti
07:25avec l'aide de la SONO
07:26pour un public pas franchement
07:27au point sur les paroles
07:28au doc d'Aubervilliers dimanche
07:30pour le lancement de la campagne
07:31des municipales des Insoumis.
07:33Époque macronienne oblige,
07:35le « en même temps » était de rigueur
07:36avec en sus de l'hymne communiste
07:38la Marseillaise aussi,
07:40guerre reprise.
07:41Mais l'idée était là
07:42et annonce que les filles jouera
07:43bien sur les deux tableaux.
07:45La Marseillaise est l'international
07:58pour se galvaniser
07:59devant environ 2000 militants.
08:01Jean-Luc Mélenchon et les figures du parti
08:03ont exposé une stratégie ambitieuse
08:05marquant un virage par rapport à 2020
08:08où le mouvement avait opté
08:09pour une présence discrète
08:10et des alliances de circonstances.
08:12En froid avec ses alliés à gauche,
08:14surtout avec les socialistes,
08:16LFI vise désormais
08:17à s'implanter durablement
08:18au niveau local
08:19en misant sur l'entrée massive
08:21dans les conseils municipaux
08:23plutôt que sur la conquête
08:24systématique de mairies.
08:26Manuel Bompard,
08:27coordinateur national,
08:28a annoncé une présence
08:29d'environ 500 communes
08:30couvrant 100% des villes
08:32de plus de 100 000 habitants
08:33et 75 à 85%
08:35de celles dépassant 30 000 habitants,
08:38soit en tête de liste,
08:39soit en soutien à des coalitions.
08:41Jean-Luc Mélenchon
08:42a redit son attachement
08:43à ce qu'il nomme le peuple urbain
08:45et à une vision déracinée
08:47des territoires.
08:48La France vit désormais
08:51toute entière
08:53dans une même civilisation urbaine.
08:57C'est elle qu'il s'agit
08:58de transformer,
09:00de démocratiser,
09:02de démarchandiser
09:04au niveau local.
09:06Nous ne sommes pas élus
09:08pour des territoires.
09:11Notre première question
09:12sera toujours
09:13qui est là ?
09:15Nous serons avant tout
09:16les élus
09:17des populations
09:18dans leur diversité.
09:23Obsession diversitaire,
09:25mais également velléité
09:25de toucher aussi
09:26au-delà
09:27de ses bases habituelles.
09:29Comme l'explique
09:29Rodolphe Carr,
09:30auteur de l'ouvrage
09:31Mélenchon,
09:31le bruit et la fureur,
09:33la stratégie municipale
09:34de LFI
09:35consistera
09:36à dépasser
09:36sa niche électorale
09:37habituelle.
09:38La stratégie,
09:39elle est simple.
09:40C'est dur,
09:41en tout cas,
09:41amener à voter
09:42leur électorat de niche
09:43qui sont,
09:45on va dire,
09:45les bobos
09:46des centres-villes,
09:47mais aussi
09:48faire voter en masse
09:49les banlieues
09:50ou en tout cas
09:51l'électorat,
09:52on va dire,
09:52plus extra-européen
09:54de la périphérie
09:55des grands ensembles urbains.
09:56C'est l'enjeu
09:57qu'on aura aussi
09:58aux élections présidentielles
10:00de 2027
10:01parce qu'on sait
10:01que c'est un électorat
10:02qui vote beaucoup moins.
10:04Et enfin,
10:04le troisième enjeu,
10:05c'est de faire aussi
10:06voter une partie
10:08de l'électorat,
10:08on va dire,
10:09de la campagne.
10:10Et là,
10:10on l'a vu
10:10dans un meeting
10:12le week-end dernier,
10:14c'est un électorat
10:14auquel Mélenchon parle
10:16parce qu'il s'est rendu compte
10:17qu'une partie des urbains
10:19aujourd'hui
10:19vivent aussi à la campagne
10:21ou en tout cas
10:21avec ce phénomène
10:22d'exode non plus rural
10:23mais urbain.
10:25Mais par contre,
10:25ce qui est intéressant,
10:26c'est qu'il les drague
10:27ou en tout cas,
10:28il les séduit
10:29avec un discours
10:30antinomique de la droite.
10:31Par exemple,
10:32il parle de ces nouveaux ruraux
10:34qui ne chassent pas,
10:35qui ne sont pas dépaysans
10:36et qui ne fument pas
10:38des gittats de maïs.
10:39C'est vraiment
10:39des expressions
10:40qu'il a reprises
10:41dans son meeting
10:43ce week-end.
10:43Donc,
10:44c'est intéressant de voir
10:44que c'est vraiment là,
10:45ces trois électorats
10:46qui vont essayer
10:47de séduire
10:47une partie des néo-ruraux,
10:49une partie des bobos
10:50des centres-villes
10:51et puis une partie
10:52des électorats,
10:52on va dire,
10:53des banlieues.
10:54Un triptyque électoral
10:55pour progresser
10:56à un an
10:56de la présidentielle
10:57de 2027
10:58et un galop d'essai,
10:59comme l'a qualifié Mélenchon,
11:00pour tester
11:01la dynamique nationale
11:02et éduquer politiquement
11:04les électeurs
11:04selon son expression.
11:06Pour ce scrutin,
11:07LFI déploie
11:08des têtes d'affiches,
11:09souvent des députés,
11:10Sophia Chiquirou
11:11à Paris,
11:11Sébastien Delogu
11:12à Marseille,
11:13Anaïs Béloissa
11:14Chérifi à Lyon,
11:15François Piquemal
11:15à Toulouse,
11:17Nathalie Oziol
11:17à Montpellier
11:18ou Marie Messmer
11:19à Rennes.
11:21Une quinzaine
11:21de parlementaires
11:22sont investis,
11:23capitalisant
11:24sur leur notoriété.
11:26Actuellement,
11:27LFI ne dirige
11:27qu'une poignée
11:28de municipalités,
11:29la plus importante
11:30étant
11:30Fâche-Thuménile,
11:32une commune
11:32de 18 000 habitants
11:33près de Lille.
11:35Le parti vise
11:36des victoires symboliques
11:37dans des villes
11:38prenables
11:38comme Roubaix
11:39dans le nord,
11:40la Courneuve
11:40en Seine-Saint-Denis
11:41ou Évry dans l'Essonne
11:42où Farida Amrani
11:43pourrait conquérir
11:44une préfecture.
11:46A Montpellier,
11:46Lille,
11:47Toulouse
11:47ou encore Marseille
11:48où les scores passés
11:49nourrissent l'optimisme,
11:50les Insoumis
11:50peuvent espérer
11:51glaner des postes
11:52de conseillers municipaux.
11:54Partout,
11:54LFI peut gagner des places
11:55et cela dans une stratégie
11:57de progression
11:57et d'investissement
11:58du terrain.
11:59Ce qui fait à mon avis
12:00la supériorité de Mélenchon
12:01sur nombre d'autres
12:03personnalités politiques
12:04c'est que Mélenchon
12:04prend ce qu'il y a à prendre.
12:06Le meilleur exemple
12:07c'est quand il accepte
12:07d'être ministre sous Jospin
12:09alors qu'il s'était toujours
12:10revendiqué
12:11d'une certaine gauche
12:12de rupture.
12:12Non, non,
12:12Mélenchon a fait avantage
12:15sur les autres politiciens
12:16c'est d'aller prendre
12:16les places où il faut,
12:17de placer ses hommes.
12:18Là aussi c'est vraiment
12:19un sens tacticien
12:20qu'il a développé lui
12:21quand il était
12:22un baron local
12:24dans l'Essonne.
12:25Donc oui,
12:25s'il peut placer
12:26des personnalités
12:27ne serait-ce que
12:28dans des conseils municipaux
12:29derrière c'est possiblement
12:30des associations
12:30qui vont pouvoir aider aussi.
12:32Donc là on est vraiment
12:33dans une logique
12:34pas d'entriste
12:35mais en tout cas
12:35de progression
12:37tentaculaire
12:38d'influence
12:38parce qu'on sait
12:39que la France insoumise
12:40marche aussi beaucoup
12:41avec ses satellites
12:43qui sont ses relais
12:44dans l'université
12:45dans les médias
12:46un peu partout
12:47dans le monde
12:48de la société civile.
12:49Une progression
12:49qui pourrait permettre aussi
12:50de faire entrer
12:51des insoumis au Sénat
12:52en septembre 2026
12:53alors qu'en 2023
12:54le reste des gauches
12:56avaient joué
12:56un vilain tour
12:57aux troupes mélenchonistes
12:58ne leur permettant pas
12:59d'intégrer la chambre haute
13:00et tenante LFI
13:02à l'écart
13:03de leurs accords électoraux.
13:04Au-delà de ces calculs
13:05LFI entend aussi
13:07imprimer ses idées
13:08et les faire entendre
13:09notamment en matière
13:10de trafic de drogue
13:11comme a pu l'expliquer
13:12Mathilde Panot
13:12présidente du groupe
13:14à l'Assemblée.
13:14En fait la politique
13:15de prohibition
13:16qui est faite
13:17depuis 20 ans
13:18est un échec
13:19absolument complet.
13:20La question c'est
13:21à quel moment
13:22à partir de quel moment
13:23on met des politiques
13:24de santé publique
13:25en place
13:26ça c'est la première des choses
13:27et que l'on change
13:28radicalement de politique.
13:29S'attaquer au petit dealer
13:31ne résoudra pas la question.
13:32Donc il faut
13:33changer de logique
13:34il faut désarmer les réseaux
13:36ça c'est la première des choses
13:37et donc mettre
13:38des enquêteurs dédiés
13:38il faut faire
13:39de la prévention
13:40et de la santé publique
13:41et nous nous disons
13:42il faut légaliser le cannabis
13:43pour couper l'herbe
13:45sous le pied des trafiquants.
13:46Des changements radicaux
13:47et une rupture
13:47pour un parti
13:48qui se rêve en portée
13:49standard de la gauche
13:49en 2027
13:50au risque de faire perdre
13:52ses anciens alliés
13:53du nouveau front populaire
13:54dans plusieurs villes
13:55alors que le PS
13:56rejette des alliances
13:57ou des accords
13:58avec les troupes
13:59mélanchonistes.
14:00Des villes test
14:00comme Montreuil
14:01détenue par les communistes
14:02ou Saint-Denis
14:03sous pavillon socialiste
14:04seront des test match
14:06au sein de la gauche.
14:07Là encore
14:07le but affiché
14:08être la première force politique
14:10de ce côté
14:11de l'échiquier politique.
14:12Avec Mélenchon
14:13on le voit en tout cas
14:14se profiler pour 2027
14:15il y a une vraie rupture
14:17avec toute une partie
14:18de la gauche
14:18incarnée par Raphaël Glucksmann
14:19et l'objectif
14:21en tout cas
14:22à moyen et long terme
14:24de Mélenchon
14:24c'est que l'autre partie
14:26de masse en France
14:26qui est aujourd'hui
14:27le Rassemblement National
14:28ce soit la France Insoumise
14:29et qu'on arrive
14:30à une opposition
14:31droite-gauche
14:32qu'il rêve
14:32sur l'immiettement
14:33du bloc central.
14:35Donc s'il peut faire
14:35encore perdre
14:36quelques mairies
14:37on va dire
14:38aux réformistes
14:38ou vraiment
14:39à cette gauche
14:41sociale-démocrate
14:42incarnée par Glucksmann
14:44le PS
14:45ou même le PC
14:46quelque part
14:47lui il n'hésitera pas
14:48à le faire à mon avis.
14:49Son but c'est vraiment
14:50de devenir la force hégémonique
14:51et la force centrifuge
14:53à gauche.
14:58Nouveau rebondissement
14:59dans le marathon judiciaire
15:00de Nicolas Sarkozy.
15:02Ce mercredi
15:02la Cour de Cassation
15:03a validé
15:04la condamnation
15:04de l'ancien président
15:05à six mois
15:06de bracelet électronique.
15:08Maître Régis
15:09de Castelnau
15:10revient sur les dessous
15:10de cette décision
15:11avec Renaud de Bourleuf.
15:13Nicolas Sarkozy
15:14n'a pas fini
15:14de payer.
15:15Ce mercredi
15:16la Cour de Cassation
15:17a rejeté le pourvoi
15:18formé par l'ancien
15:19président de la République
15:19dans l'affaire
15:20Big Malion.
15:21Il est donc bien condamné
15:22à un an de prison
15:23dont six mois fermes
15:25sous bracelet électronique.
15:26Une condamnation
15:27symbolique.
15:28En effet
15:28étant âgé
15:29de 70 ans
15:30Nicolas Sarkozy
15:31n'a pas besoin
15:32d'attendre
15:32la moitié de sa peine
15:33pour demander
15:34de libération conditionnelle.
15:35Il pourrait donc
15:36ne porter son bracelet
15:37que quelques jours.
15:39Rappelons que Big Malion
15:40est l'agence de communication
15:41chargée d'organiser
15:41les meetings
15:42de Nicolas Sarkozy
15:43lors de sa campagne
15:44présidentielle perdue
15:45en 2012.
15:46Avec le parti UMP
15:47l'agence avait eu recours
15:48à un système
15:48de double facturation
15:49pour masquer
15:50le dépassement massif
15:52du plafond légal
15:53des dépenses électorales.
15:54Le 30 septembre 2021
15:56Nicolas Sarkozy
15:57reconnut coupable
15:58de financement
15:58illégal de campagne
15:59est condamné
16:00à un an
16:01de prison ferme
16:02aménageable
16:02sous bracelet électronique
16:03par le tribunal
16:04de grande instance
16:05de Paris.
16:06Le 14 février 2024
16:07l'ancien président
16:08était condamné
16:09en appel
16:09à un an de prison
16:10dont six mois
16:11ferme aménageable.
16:13Nicolas Sarkozy
16:14ayant été reconnu
16:15coupable par la cour
16:15d'appel
16:16la cour de cassation
16:17ne juge pas les faits
16:18mais la bonne application
16:20du droit
16:20par les juges d'appel.
16:21En l'occurrence
16:22la peine prononcée
16:23était bien considérée
16:24comme juste
16:25et proportionnée.
16:26L'avocat
16:26Régis de Castelnau
16:27revient sur la décision
16:28rendue par la cour
16:29de cassation.
16:30Le problème
16:31c'est que
16:32pour faire cette procédure
16:34et pour pouvoir
16:36incriminer
16:37Nicolas Sarkozy
16:39dans la deuxième partie
16:40la partie
16:41Big Malion
16:42UMP
16:42on a violé la loi
16:44ça c'est mon analyse
16:45on a violé la loi
16:46c'est à dire
16:47qu'on a intégré
16:49Nicolas Sarkozy
16:51dans cette procédure
16:53au point que
16:54les deux juges
16:55d'instruction
16:56qui avaient été désignés
16:57à l'époque
16:58Renaud Van Rümbeck
16:59et Serge Tournaire
17:01Serge Tournaire
17:01c'est le juge
17:03d'instruction
17:04qui a été chargé
17:05de s'acharner
17:06contre Nicolas Sarkozy
17:09l'affaire de Liby
17:09c'est lui
17:10puis d'autres
17:10aussi
17:11mais
17:12Renaud Van Rümbeck
17:15a refusé
17:17cette manipulation
17:18judiciaire
17:20et il a refusé
17:21de signer
17:22l'ordonnance
17:23de renvoi
17:24devant
17:24le tribunal
17:26d'abord
17:26et la cour
17:27après
17:28donc
17:28c'est
17:29pour ce qui me
17:31concerne
17:31une procédure
17:33de raccrot
17:33que la cour
17:35de cassation
17:35vient aujourd'hui
17:36de valider
17:36alors je rentre pas
17:38dans des détails
17:39juridiques techniques
17:40qui sont un petit peu
17:41complexes
17:41mais
17:42Nicolas Sarkozy
17:43n'aurait pas dû
17:44être poursuivi
17:45dans cette affaire
17:46il l'a été
17:47à partir de l'idée
17:49qu'avaient les magistrats
17:51qu'il était difficile
17:52pour lui
17:53de ne pas savoir
17:54que ses comptes
17:55de campagne
17:55étaient à ce point
17:57pour plusieurs millions
17:58d'euros
17:59étaient à ce point
18:01irréguliers
18:01et avaient dépassé
18:03le plafond
18:04il a été condamné
18:05à une peine assez lourde
18:06en première instance
18:07et une peine
18:08plus légère
18:09par rapport à celle
18:10qu'il subit aujourd'hui
18:11dans d'autres affaires
18:12une peine plus légère
18:14devant la cour d'appel
18:15donc un an de prison ferme
18:17dont six mois
18:18sous bracelet
18:19mais avec quand même
18:20des possibilités
18:21d'aménagement
18:22donc il a fait
18:24ce qui est fort normal
18:24un pourvoi
18:25et ce pourvoi
18:27a été rejeté
18:28si on m'avait demandé
18:29un pari
18:30j'aurais dit
18:30bien évidemment
18:31il y a des moyens
18:32de cassation
18:33à mon avis
18:34à l'avis du juriste
18:36que je suis
18:36mais il ne fallait pas
18:38compter sur la cour
18:38de cassation
18:39pour s'arrêter
18:41en si bon chemin
18:42et poursuivre
18:43cet acharnement
18:45contre Nicolas Sarkozy
18:46vous m'avez posé la question
18:47est-ce qu'il y a acharnement
18:48je réponds
18:49oui
18:49il y a acharnement
18:50et je le fais
18:51d'autant plus à l'aise
18:52que je considère
18:54que Sarkozy
18:55a été un mauvais président
18:56de la République
18:57je n'aurais jamais voté
18:58pour lui
18:58je ne l'ai jamais défendu
19:00c'est un véritable marathon
19:01des affaires judiciaires
19:02pour l'ancien président
19:03rappelons que la cour de cassation
19:04avait déjà rejeté
19:05un autre pourvoi
19:06de Nicolas Sarkozy
19:07dans l'affaire des écoutes
19:08il a été condamné
19:09en 2021
19:09à trois ans de prison
19:10dont un an ferme
19:11sous bracelet électronique
19:12qui le rapportait
19:13pendant trois mois
19:14d'autre part
19:15un autre procès
19:15va intervenir
19:16dans les prochains mois
19:17à la cour d'appel de Paris
19:18en effet
19:18Nicolas Sarkozy
19:19a été condamné
19:19le 25 septembre
19:20pour association
19:21de malfaiteurs
19:22à cinq ans de prison ferme
19:23dans le cadre du procès
19:24sur les soupçons
19:25de financement
19:25de sa campagne présidentielle
19:26de 2007
19:27par la Libye
19:28il a fait appel
19:30mais le jugement
19:31était assorti
19:31d'une exécution provisoire
19:33Nicolas Sarkozy
19:34a donc passé
19:3420 jours en prison
19:36avant de sortir
19:37sous contrôle judiciaire
19:38mais derrière
19:38cette course
19:39aux affaires judiciaires
19:40c'est toute la question
19:40d'une justice politique
19:41qui se pose
19:42en effet
19:43les macronistes
19:44sont moins inquiétés
19:45qu'il s'agisse
19:46de Richard Ferrand
19:46aujourd'hui la tête
19:47du conseil constitutionnel
19:48alors qu'une affaire
19:49de prise illégale d'intérêt
19:50n'a pas été jugée
19:51sous prétexte de prescription
19:52ou d'Alexis Colleur
19:54qui n'a pas dénié
19:55se rendre
19:55à une convocation
19:56au parlement
19:57c'est pas par hasard
19:59c'est pas par hasard
20:00pour des raisons sociologiques
20:03historiques
20:04professionnelles
20:07ce corps s'est autonomisé
20:09et il est devenu
20:10une force politique
20:11il est devenu
20:11une force politique
20:12et il est
20:14dans une relation
20:15de connivence
20:16avec
20:17le macronisme
20:18pas oublier
20:19que le macronisme
20:20c'est le parti socialiste
20:21il est secrétaire général
20:24adjoint
20:24de l'Elysée
20:25sous Hollande
20:26il est ministre
20:27de l'économie
20:28du président Hollande
20:30c'est pas rien
20:31quand même
20:31c'est un président socialiste
20:33à l'époque
20:34le PS avait
20:35l'Assemblée Nationale
20:36le Sénat
20:38donc ils avaient
20:39tous les pouvoirs
20:40et un des éléments
20:42forts de ce pouvoir
20:42c'était
20:43Emmanuel Macron
20:45et lorsqu'Emmanuel Macron
20:47se lance dans la campagne
20:48il est soutenu
20:48bec et ongle
20:49par tout l'appareil
20:50du parti
20:50tous les éléphants
20:51sont là
20:52ils ont
20:54ils ont eu
20:55un candidat
20:55que tout le monde
20:56a oublié
20:57complètement bidon
20:59le candidat
21:00officiel
21:00je vais dire
21:03officieux
21:03du parti socialiste
21:06en 2017
21:06c'est Emmanuel Macron
21:07et c'est là
21:08où intervient
21:09la phase finale
21:12de l'opération
21:12visant à
21:13amener
21:14Emmanuel Macron
21:15au pouvoir
21:15organisé par Attali
21:17par Jean-Pierre Jouillet
21:18qui sont des hauts
21:19fonctionnaires socialistes
21:20il faut pas l'oublier
21:20c'est l'opération judiciaire
21:24pour disqualifier
21:26François Fillon
21:26qui était le favori
21:27et par conséquent
21:28le candidat
21:30de la magistrature
21:31c'est bien
21:33Emmanuel Macron
21:34alors au départ
21:36moi j'ai affirmé ça
21:37et puis je l'ai d'autant plus
21:38affirmé que
21:39toute cette procédure
21:40ultra rapide
21:42médiatisée
21:44avec des violations
21:45émanant
21:46émanant des milieux
21:47de l'enquête
21:48de l'instruction
21:48à l'évidence
21:53toutes ces violations
21:56qui aboutissaient
21:57dans la presse
21:57tout ça
21:58a été organisé
21:59de cette façon
22:01Emmanuel Macron
22:02n'a peut-être
22:02que 11%
22:03d'opinion favorable
22:04au sein de la population
22:04il en a probablement plus
22:06au sein
22:07de l'appareil judiciaire
22:08Et on poursuit aux côtés
22:13de Renaud de Bourloff
22:14pour l'actualité
22:14en bref en France
22:15La suspension
22:19de la réforme
22:19des retraites
22:20rejetée par le Sénat
22:21mardi avec 190 voix
22:22contre 108
22:23la suspension
22:24de la réforme
22:24des retraites
22:25jusqu'en janvier 2028
22:26a été écartée
22:27par la chambre haute
22:28dominée par LR
22:29La suspension
22:30de cette réforme
22:31pourtant l'âge légal
22:32de départ à 64 ans
22:33était une condition
22:34clé des socialistes
22:34pour éviter
22:35une censure
22:36du gouvernement
22:36malgré cela
22:37l'Assemblée nationale
22:38pourrait rétablir
22:39la mesure
22:39lors de l'examen
22:40du budget
22:40de la sécurité sociale
22:41Les sénateurs
22:42ont aussi rétabli
22:43le gel des prestations
22:44sociales et des pensions
22:45en 2026
22:46excepté pour celles
22:47inférieures à 1400 euros
22:48indexés sur l'inflation
22:49Ces divergences profondes
22:50entre les deux chambres
22:51pourraient entraîner
22:52l'échec de la commission
22:53de mix paritaire
22:53prévue ce mercredi
22:55et mener à une nouvelle
22:56lecture à l'Assemblée
22:57Pendant ce temps
22:58Bruxelles a validé
22:58la trajectoire budgétaire
22:59présentée par le gouvernement
23:00Le Cornu
23:01au début de l'automne
23:02Une trajectoire
23:03qui dépend néanmoins
23:03des négociations en cours
23:04dans les assemblées
23:05La saga budgétaire
23:07continue
23:07Nouvelle arrestation
23:09dans le feuilleton du Louvre
23:10Mardi
23:10un individu
23:11soupçonné d'avoir participé
23:12au cas du 19 octobre
23:13a été interpellé
23:14en Mayenne
23:15Il a été placé
23:16en garde à vue
23:16notamment pour
23:17vol en bande organisée
23:18et association de malfaiteurs
23:20Ainsi
23:21après les dénommés
23:22Hayed
23:22Abdoulaye
23:23et Slimane
23:24le quatrième et dernier acteur
23:25du commando
23:26ayant volé les bijoux
23:27serait sous les verrous
23:27Notons que trois de ses proches
23:29son frère
23:30sa soeur
23:30et une amie
23:31ont été placés
23:32en garde à vue
23:32Par ailleurs
23:33de nouvelles informations
23:34ont été dévoilées
23:35sur les failles
23:36de la sécurité
23:36du musée du Louvre
23:37Selon le journal Le Monde
23:39un audit de sûreté
23:39a été mené en 2018
23:40par le joyer
23:41Van Cleef & Erpel
23:42alors que l'inquiétude montait
23:44quant à la hausse
23:44des braquages à Paris
23:45en particulier
23:46dans le quartier du Louvre
23:47Dans ce rapport
23:48le fameux balcon
23:49donnant sur la galerie Apollon
23:50utilisé par les cambrioleurs
23:52avait attiré
23:53l'attention des experts
23:54Les auteurs du rapport
23:55auraient insisté
23:56ce balcon
23:57est un des plus grands points
23:58de vulnérabilité
23:59de l'établissement
23:59Il soulignait par ailleurs
24:01que les caméras de surveillance
24:02ne couvraient pas ce balcon
24:03Lundi
24:05la présidente du musée
24:06Laurence Descartes
24:07qui n'était pas encore
24:07en fonction au moment
24:08de ce rapport
24:09affirme n'en avoir eu connaissance
24:10qu'après le casse
24:12du 19 octobre
24:13Jordan Bardella
24:14voulait voir Vesoul
24:15et il a vu Vesoul
24:16Mardi
24:17le président du RN
24:18a été enfariné
24:19lors d'une foire agricole
24:20à Vesoul
24:20en Haute-Saône
24:21le procureur de la République
24:22a annoncé
24:22qu'une enquête
24:23est ouverte
24:24pour violences sur personnes
24:25chargées d'une mission
24:26de service public
24:27L'auteur présumé
24:28un lycéen de 17 ans
24:29a été placé en garde à vue
24:30rayant le manque d'éducation
24:32de l'intéressé
24:33Jordan Bardella
24:34évoquait un non-événement
24:35Rappelons qu'un récent sondage
24:37l'annonce vainqueur
24:37de la prochaine élection présidentielle
24:39Coup de filet retentissant
24:41quelques jours après
24:42la permission de sortie
24:43d'un trafiquant de drogue dangereux
24:44de la prison de Vendin-le-Vieille
24:46la police a interpellé
24:47sa mère et ses neveux
24:48pour
24:49trafic de stupéfiants
24:50La sortie exceptionnelle
24:52du détenu
24:52pour un entretien d'embauche
24:53à Lyon
24:53avait suscité un tollé
24:55L'opération policière
24:56menée mardi
24:56à la Courneuve
24:57en Seine-Saint-Denis
24:58a révélé
24:59un véritable réseau familial
25:00Dans l'appartement
25:01les enquêteurs
25:02ont saisi
25:02près de 10 000 euros en liquide
25:03dont 4 000 cachés
25:05sur la matriarche
25:05de 78 ans
25:06Celle-ci
25:07et deux neveux
25:08de 21 et 23 ans
25:09ont été placés
25:10en garde à vue
25:10Une affaire
25:11qui ravive le débat
25:12sur la réinsertion
25:13des truands endurcis
25:14Et continuons à présent
25:19à l'international
25:20La guerre continue
25:23en Palestine
25:24L'armée israélienne
25:25a lancé
25:25dans la nuit
25:26de mardi
25:26à mercredi
25:26ce qu'elle nomme
25:27une vaste opération
25:28antiterroriste
25:29contre des groupes
25:30armés palestiniens
25:31dans le nord
25:31de la Cisjordanie
25:32occupée
25:33en Samarie
25:34selon le terme israélien
25:35Cette action distincte
25:36d'une opération
25:37lancée en janvier 2025
25:38ciblant les camps
25:39de réfugiés
25:40vise à neutraliser
25:41d'hypothétiques menaces
25:42Elle intervient
25:43dans un contexte
25:44de trêve fragile
25:45à Gaza
25:46où Benjamin Netanyahou
25:47accuse le djihad islamique
25:49de violations
25:49en ne restituant
25:51pas un corps d'otage
25:52Plus d'un millier
25:53de palestiniens
25:53ont été tués
25:54en Cisjordanie
25:55depuis un an
25:55par des forces
25:56ou des colons israéliens
25:58contre 43 israéliens
26:00dans des attaques
26:01L'ONU note par ailleurs
26:02un pic d'attaque
26:03de colons
26:03causant des victimes
26:04et des dommages
26:05Même le secrétaire
26:07d'état américain
26:07Marco Rubio
26:08a mis en garde
26:09contre des annexions
26:10jugées contre-productives
26:12pour la paix
26:13à Gaza
26:13La Chine non plus
26:15n'aime pas
26:15les ingérences
26:16Pékin a averti
26:17mercredi
26:17qu'elle écraserait
26:18toute ingérence étrangère
26:19concernant Taïwan
26:20en réponse au déploiement
26:21japonais d'avions
26:22vers Yonaguni
26:23l'île nippone
26:24la plus proche
26:25de l'archipel
26:25Peng Kingen
26:26porte-parole
26:27du bureau des affaires
26:28taïwanaises
26:29a souligné
26:29la ferme détermination
26:30de Pékin
26:31à défendre
26:31sa souveraineté
26:32et à critiquer
26:33le projet japonais
26:33d'installer
26:34des missiles
26:34sol air
26:35à moyenne portée
26:36sur cette île
26:37qualifiant cela
26:38de dangereux
26:39et provocateur
26:40le président
26:40taïwanais
26:41Lai Ching-Té
26:42a annoncé
26:4340 milliards
26:43de dollars
26:44de dépenses
26:44militaires
26:45supplémentaires
26:45pour renforcer
26:47la dissuasion
26:47contre une invasion
26:48potentielle
26:49choc au Brésil
26:51Jair Bolsonaro
26:52condamné à 27 ans
26:53de prison
26:54pour tentative
26:55de coup d'état
26:55l'ancien président
26:56figure emblématique
26:57de la droite brésilienne
26:58a vu son appel
26:59rejeté
27:00par la cour suprême
27:01qui a donc
27:01confirmé une peine
27:02de 27 ans
27:03de prison
27:03pour avoir ourdi
27:04un complot criminel
27:05visant à renverser
27:06l'élection
27:07de Luis Ignacio
27:08Lula da Silva
27:09en 2022
27:10âgé de 70 ans
27:11Bolsonaro
27:11au pouvoir
27:12de 2019
27:13à 2022
27:13est accusé
27:14d'avoir dirigé
27:15une organisation
27:15terroriste
27:16pour s'accrocher
27:17au pouvoir
27:17et inspirer
27:18les assauts
27:20du 8 janvier 2023
27:21contre les institutions
27:22du pays
27:22assigné à résidence
27:24depuis août
27:24il a été jeté
27:25en cellule provisoire
27:26ce samedi
27:27après avoir tenté
27:28de retirer son bracelet
27:29électronique
27:30offert à souder
27:31cette condamnation
27:32la plus lourde
27:33jamais prononcée
27:33contre un ex-président
27:34sud-américain
27:35pourrait avoir
27:35pour but
27:36de radicaliser
27:37la base
27:37bolsonariste
27:38déjà chauffée
27:39à blanc
27:40la Bundeswehr
27:41fait exploser
27:42les salaires
27:42de ses jeunes
27:43volontaires
27:432600 euros
27:45brut par mois
27:45dès l'entrée
27:46soit environ
27:472000 euros net
27:47à titre de comparaison
27:48en France
27:49le service militaire
27:50volontaire
27:50reste bloqué
27:51sous la barre
27:51des 745 euros
27:53avec une revalorisation
27:54timide à 900
27:55voire 1000 euros
27:56en vue
27:57objectif affiché
27:58par Berlin
27:59faire de la Bundeswehr
28:00la première armée
28:01conventionnelle
28:02d'Europe
28:02d'ici 2035
28:03avec 460 000 soldats
28:05se demander
28:06si à ce rythme
28:06Berlin ne va pas
28:08susciter des vocations
28:09de volontaires français
28:10dans ses rangs
28:11l'armée allemande
28:12demeure confrontée
28:13pour l'heure
28:13à des difficultés
28:14de recrutement
28:14n'atteignant que
28:15poussivement
28:16183 000 hommes
28:17en 2024
28:18et espérant en atteindre
28:19205 000 en 2025
28:21reste que les entreprises
28:23allemandes
28:23s'alarment
28:24d'une possible
28:24saignée
28:25de la main d'oeuvre
28:26vers les casernes
28:27dans ce cas
28:28on imagine bien
28:29le pays
28:29avoir recours
28:30à l'immigration
28:31et voilà
28:36nous arrivons
28:36à la fin
28:36de cette édition
28:37ce soir
28:38dès 21h
28:39retrouvé
28:39Bistro Liberté
28:40Eric Morillot
28:41reçoit
28:41Andrea Cotarac
28:43pour évoquer
28:43son grand saut
28:44entre la France
28:45Insoumise
28:46et le Rassemblement
28:47National
28:47le chaos
28:48est déjà là
28:49en fait
28:52si vous voulez
28:52si je peux me permettre
28:54moi je côtoie
28:55des gens
28:55qui galèrent
28:57qui touchent même
28:57pas 1200 balles
28:58de retraite
28:59qui ont travaillé
28:59toute leur vie
29:00le chaos
29:01il est déjà là
29:01dans la 7ème puissance
29:03je sais bien
29:03ma mère aussi
29:04elle tient une supérette
29:05on est en train de la vendre
29:06pour qu'elle puisse aller
29:06à la retraite au 1er avril
29:07c'est une catastrophe
29:08donc je connais tout ça
29:10on t'a vu
29:10nanti
29:11non mais ce que je veux vous dire
29:14c'est que
29:15le chaos
29:16il est déjà là
29:16on a un type
29:17ça suffit
29:18on a un type
29:19qui est là
29:20qui est assis à l'Elysée
29:21qui a foutu
29:22depuis 2017
29:221400 milliards
29:24de dettes en plus
29:24on a un déficit abyssal
29:26il est prêt à nous envoyer
29:27dans une guerre
29:28demain dès jeudi
29:30vous pouvez découvrir
29:31un nouveau zoom
29:31avec Pierre-Henri Rambaud
29:33pour découvrir son ouvrage
29:34sur les 100 films
29:35policiers français
29:36à voir absolument
29:37c'est à présent
29:38la fin de cette édition
29:39merci à tous
29:40pour votre fidélité
29:41rendez-vous demain
29:42en côté d'Olivier Frère Jacques
29:43en attendant portez-vous bien
29:44bonsoir
29:45merci à tous
29:46merci à tous
29:47pour voir
29:47la fin de cette édition
29:48on va voir
29:49la fin de cette édition
29:49et la fin de cette édition
29:49on va voir
29:50la fin de cette édition
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