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Avec Déborah Guillotin, dirigeante de My English School.

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##OSEZ_ENTREPRENDRE-2025-11-16##

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News
Transcription
00:01Sud Radio, Oser entreprendre, Thomas Binet.
00:06Votre rendez-vous économique du dimanche comme chaque semaine.
00:08Bonjour mon cher Thomas Binet.
00:10Bonjour Maxime.
00:11On vous retrouve comme chaque dimanche matin et au programme d'Oser entreprendre.
00:14Je vais vous emmener Maxime en Bretagne à la découverte de la saga des vêtements Armor Lux.
00:19Et la vie n'est pas toujours un long fleuve tranquille.
00:22Elle démarre sa vie dans la rue et à 28 ans après, elle devient chef d'entreprise.
00:26Nous sommes avec Déborah Guillotin, dirigeante de My English School.
00:30Restez avec nous, vous allez découvrir un parcours hors du commun.
00:33Et nous sommes également avec Jean-François Faure, notre consultant entrepreneurial,
00:37qui va nous parler de ces entreprises qui traversent le temps en alliant tradition et innovation.
00:43Éco-Réseau Business, le magazine de référence pour entreprendre, présente...
00:49Sud Radio, Oser entreprendre, la saga des entreprises.
00:53Alors mon cher Thomas, pour bien commencer ce dimanche matin comme il se doit,
00:56vous allez nous parler d'une entreprise bretonne et à rayures, s'il vous plaît.
01:00Elle s'appelle Amor Lux.
01:02C'est une marque au look marin qui cache une très belle histoire industrielle.
01:06Oui Maxime, et tout commence en 1938 à Quimper.
01:09Un ingénieur suisse, Walter Hubacher, décide d'y fonder la bonnetterie d'Armor,
01:14spécialisée dans la lingerie et les vêtements de dessous.
01:17Mais c'est après la guerre que les choses s'accélèrent.
01:19En 1947, il lance la marque Amor Lux, Amor pour la mer, Lux pour la lumière,
01:25soit littéralement la lumière de la mer.
01:27Visionnaire, il s'attaque alors aux prêt-à-porter.
01:30Et c'est à ce moment-là, vraiment, que naît le style Amor Lux tel qu'on le connaît aujourd'hui ?
01:35Exactement, et c'est dans les années 80 que l'entreprise va s'imposer comme un pilier du textile breton.
01:41Elle habille toute la famille avec des matières naturelles
01:43et surtout, elle devient la référence du vestiaire marin, marinière, caban, vareuse,
01:48le chic breton dans toute sa splendeur.
01:50Et aujourd'hui, réellement, Amor Lux, c'est toujours Made in Bretagne, ça l'est resté ?
01:54Encore plus qu'avant même.
01:56Depuis les années 90-90, deux amis d'enfance,
01:59Jean-Guy Lefloc et Michel Guéguen, ont repris la barre avec une idée fixe.
02:03Produire le cal, préserver les emplois et faire rayonner le savoir-faire breton.
02:08Amor Lux est aujourd'hui 600 salariés pour un chiffre d'affaires estimé à 130 millions d'euros.
02:12Un engagement social et environnemental fort et une marinière qui s'exporte jusqu'au Japon.
02:18Une marque fidèle à ces valeurs qui prouve que l'industrie textile française
02:21peut encore avoir le vent en poupe, contrairement d'ailleurs à la marque emblématique Petit Bateau
02:26vendue en 2025 par le groupe Yves Rocher au fonds d'investissement américain Regent L.P.
02:33Sud Radio, oser entreprendre, l'invité.
02:38Et mon cher Thomas, nous sommes avec Déborah Guillotin, qui est votre invitée.
02:41C'est la présidente de My English School, qui est un organisme de formation à l'anglais,
02:45non seulement pour les particuliers, mais aussi pour les entreprises.
02:48Bonjour Déborah Guillotin.
02:50Bonjour, merci de me recevoir.
02:52Votre maman était SDF.
02:54Elle vivait de maison en maison, votre vie commence dans la précarité.
02:57Et l'angoisse du lendemain, jusqu'à l'âge de vos 5 ans et demi, ce sera votre quotidien.
03:02En effet.
03:03Comme ça commence votre vie.
03:04C'est exactement comme on commence ma vie, qui est une angoisse qui m'a suivie aussi
03:08pendant de longues années.
03:10Mais c'est surtout, en fait, le fait qu'elle soit dans une cabine téléphonique,
03:15c'était, je ne sais pas combien de temps on y est resté, mais c'est un fait.
03:19Nous avons vécu dans une cabine téléphonique, oui.
03:20Alors justement, vous dormirez d'ailleurs dans des cabines téléphoniques,
03:23parce que votre maman sera à l'extérieur, vous à l'intérieur, pour vous protéger.
03:26Et aussi faute de place, probablement.
03:28Vous en avez vraiment le souvenir de ça ?
03:31Pas forcément.
03:32J'ai des bribes.
03:33Oui, j'ai des bribes de souvenirs, mais après, je ne sais pas combien de temps ça a duré,
03:38mais c'est quelque chose qui m'a forgé.
03:41Donc oui, je m'en souviens très bien.
03:42À cet âge-là, vous allez commencer à découvrir votre première maison,
03:45le début d'une nouvelle vie qui commence pour vous ?
03:47Ah bah oui, quand on a un certain âge et qu'on a pour la première fois de sa vie un lit,
03:51ça change une vie, oui.
03:52Et ça, ça vous a marqué aussi ?
03:53Ah bah bien sûr.
03:54Mon premier lit, mes premiers jeux m'ont marqué, oui.
03:56Pour autant, le vent mauvais va s'acharner contre vous, car l'âge de 9 ans, votre maman va décéder.
04:02Vous serez placée alors chez votre tante pendant un an, mais cela ne se passe pas très bien d'ailleurs.
04:06Et votre sœur Sabrina, tout juste majeure, va obtenir votre garde.
04:10Et c'est le début, pardon, là, d'une nouvelle vie, effectivement.
04:12Bah c'est le début de la stabilité pour la première fois de ma vie,
04:15parce que du haut de ses 18 ans, elle s'est assurée que j'ai pu avoir tout ce qu'elle n'a pas pu avoir.
04:19Et elle s'est occupée vraiment de vous, comme une deuxième maman.
04:22Exactement.
04:23Vous allez aller au collège, ensuite au lycée, et pour autant, évidemment, un autre drame va vous frapper de près.
04:29Votre frère va se suicider alors que vous avez 16 ans.
04:33C'est quelque chose qui a été extrêmement dur pour nous, parce qu'on était une fratrie très soudée.
04:38Oui.
04:38Mais ça a aussi permis, justement, de me faire grandir, beaucoup plus vite que prévu.
04:45En 2010, un trop-plein, vous avez besoin de laisser passer un derrière vous, qui était si présent d'ailleurs,
04:50et vous décidez de partir aux Etats-Unis dans une famille d'accueil, votre famille de cœur d'ailleurs, comme vous l'appelez.
04:56Et là, vous allez découvrir la réalité d'une famille.
04:58Exactement.
04:58La réalité d'un père, d'une mère qui aime leur enfant et qui m'ont acceptée de plein gré.
05:04Et qui, contrairement à ce qu'on parle, j'étais partie en tant que jeune fille au père.
05:08Et les jeunes filles au père, souvent, veulent passer du temps en dehors de la famille aussi.
05:12Moi, je voulais tout le temps être avec eux.
05:13Donc, j'étais avec eux les week-ends, pendant les vacances.
05:16Je ne les lâchais jamais.
05:17Et aujourd'hui, on se voit encore trois fois par an.
05:18Donc, oui.
05:19Et au bout de deux ans, vous décidez de rentrer en France.
05:21Et vous commencez à suivre des études de langue.
05:23Donc là, vous commencez à amorcer votre avenir professionnel.
05:27Oui, les langues ont changé ma vie, ont changé la vision que j'ai eue des relations humaines.
05:32Et j'ai voulu, en effet, entreprendre des études en langue pour ça.
05:36Et très vite, derrière, le monde professionnel va commencer à vous happer.
05:39Vous allez travailler dans le digital pendant deux ans.
05:41Et vous allez être débauchée pour devenir la plus jeune directrice de My English School en France.
05:46Qui est un centre de formation, donc à l'anglais, à l'âge de 28 ans.
05:50Et nous sommes le 23 juillet 2018 pour resituer les choses dans leur contexte.
05:54Parce qu'à l'époque, le centre de Lyon était le premier centre international.
05:58Mais My English School existait déjà en Italie.
06:00Donc, en effet, la plus jeune directrice du réseau.
06:02Et peut-être l'une des plus optimistes.
06:05Et avec l'envie de réussir, j'ai envie de dire.
06:08On l'entend.
06:08On l'entend.
06:10On continue votre parcours parce qu'il ne s'arrête pas là.
06:12En janvier 2020, à quelques semaines de l'arrivée de la Covid,
06:15vous allez démissionner et partir au Vietnam.
06:17Durant le confinement, vous allez appeler votre ancien dirigeant, votre ancien patron.
06:22Et lui proposer de racheter sa société My English School.
06:25Donc, la filiale française qui est en difficulté, évidemment, en raison de la situation sanitaire.
06:30S'ouvre alors une négociation.
06:31Mais le 23 juillet 2020, soit deux ans après, jour pour jour.
06:35C'est le fait du hasard.
06:36Vous signez le rachat de la filiale française.
06:38Alors, le fait du hasard ou peut-être le fait du fondateur Luigi Sguri,
06:42qui est un homme exceptionnel et qui tenait à avoir une date réellement marquante.
06:47Symbolique.
06:47Symbolique.
06:48Et surtout, nous permettre de passer le premier confinement
06:51et voir où est-ce qu'on allait parce qu'il ne voulait pas que je prenne de risque démesuré non plus.
06:54Alors, votre vie ne va pas changer du tout au tout,
06:56mais vous allez commencer à vivre un rêve éveillé.
06:59Juin 2022, ouverture à Dijon.
07:01Avril 2023, ouverture de la première franchise à Mérignac.
07:05À ce jour, votre entreprise, la filiale française, est présente dans sept villes.
07:11C'est déjà une belle réussite.
07:12Sept villes de France et dix villes d'ici la fin de l'année, là.
07:15Dix villes d'ici la fin de l'année.
07:17Et une petite reconnaissance pas moins significative, Déborah,
07:21celle d'être figurée dans le classement, j'ai vu ça,
07:23Forms 2023, des 40 femmes les plus influentes de France.
07:27Qu'est-ce que ça vous fait d'être une des femmes les plus influentes de France aujourd'hui,
07:31après votre parcours ?
07:33Ça me permet de dire que, comme je le dis toujours,
07:37une vie ne se fait jamais toute seule.
07:39Donc, je suis nommée l'une des femmes les plus influentes,
07:41mais derrière, il y a des tonnes de personnes qui m'ont aidée à arriver où j'en suis aujourd'hui.
07:45Alors, ce qui est intéressant aussi, c'est que cette entreprise que vous avez rachetée,
07:48vous avez ouvert le capital à vos collaborateurs historiques.
07:52Parce que vous avez une certaine vision, si j'ai bien saisi ce que j'ai pu trouver sur vous,
07:56vous avez une certaine vision de l'entrepreneuriat.
07:59Rien seul, tout en équipe, toujours, systématiquement, au point même d'ouvrir votre capital.
08:04Au point même de leur donner des parts, parce qu'au moment où j'ai eu besoin d'eux, ils étaient là.
08:07Au moment où j'ai eu besoin d'eux et que je ne pouvais pas payer de prime, ils étaient là.
08:10C'était après la Covid, quand vous rachetez, c'est ça ?
08:12C'était au début de votre aventure ?
08:13Quand on a racheté, oui.
08:14Donc, ils ont vraiment mis tout de côté pour aider la société à s'en sortir.
08:19Donc, aujourd'hui, comment est-ce que je pourrais vivre quand la société va bien,
08:24en les regardant droit dans les yeux, sans leur donner un bout de ce qu'ils ont aidé à construire ?
08:29Si j'osais, je vous dirais que si la résilience avait un visage, vous pourriez de ce visage.
08:32Est-ce que vous êtes d'accord ?
08:34Très peut-être, mais vous allez me faire pleurer si vous dites ça.
08:37Non, écoutez, sincèrement, on est en échange.
08:41Votre parcours est incroyable, je l'ai dit, hors normes, hors du commun.
08:45Ce n'est pas des parcours comme on en reçoit souvent, en radio et dans Oser Entreprendre en particulier,
08:51cette capacité à surmonter toutes les épreuves personnelles et professionnelles.
08:56Parce que racheter une entreprise en plein Covid, enfin à l'issue de la Covid,
09:00c'est quand même quelque chose aussi, il faut oser.
09:03Il faut oser ou il faut avoir conscience qu'on est accompagné avec les bonnes personnes.
09:06Enfin, rien ne se fait tout seul.
09:09Je ne sais pas si j'avais été seule, si j'aurais pris ces décisions-là.
09:12J'aurais été accompagnée.
09:13Déborah Guillotin, vous auriez pu décider de devenir salariée,
09:16ne serait-ce que pour vous protéger, c'est l'idée quand même que beaucoup en ont,
09:19eu égard à votre passé.
09:21Oui, donc dans ce cas-là, peut-être que c'est de la folie.
09:23Plutôt que de la résilience, je dirais.
09:25C'était peut-être de la folie.
09:26Une folie douce, on va dire.
09:27Une folie douce, mais quand j'ai quelque chose en tête, je n'abandonne jamais, disons.
09:32Donc oui, c'est de la résilience.
09:33Alors votre vision des centres, peut-être que vous les estimez,
09:37c'est qu'à l'horizon 2035, vous devez avoir, vous souhaitez avoir 60 centres en France.
09:42Donc c'est une grosse expansion, au regard à ce que vous représente aujourd'hui.
09:46Normalement, si tout se passe bien, fin d'année prochaine, on est déjà une quinzaine.
09:49Et Mayès, au-delà de l'anglais, pourquoi c'est de l'anglais ?
09:52C'est parce que c'est une langue qui permet de remettre toutes les barrières sociales à zéro.
09:56Alors si quelqu'un veut en savoir un peu plus sur vous, c'est quoi le site internet sur lequel on peut aller voir ce que vous proposez ?
10:03Alors vous pouvez venir sur le site de mayès, myqs.fr, et vous allez comprendre qu'est-ce que fait Mayès.
10:09Donc c'est principalement de l'anglais, on est d'accord ?
10:12Beaucoup de social aussi.
10:13On a des centres en présentiel physique qui permettent justement de recréer le lien.
10:18Merci à vous Déborah.
10:19C'est moi qui vous remercie.
10:20Merci beaucoup Déborah Guillotin d'être passée du côté d'Oser Entreprendre.
10:23Et je rappelle donc que vous êtes la présidente de cette belle entreprise dont on vient de parler, My English School.
10:28Merci.
10:29Sud Radio, Oser Entreprendre, les essentiels de l'entrepreneuriat.
10:35Pour clore ce premier rendez-vous économique, mon cher Thomas, on va s'intéresser à ces entreprises qui semblent immuables,
10:40enracinées dans la tradition, mais qui pourtant continuent d'innover et de réussir.
10:45Et il y a sans doute, si on réfléchit bien, un petit secret derrière cette alchimie.
10:50Et avec Jean-François Faure, entrepreneur, investisseur, vous allez nous en parler.
10:53Oui, absolument Maxime.
10:55Jean-François, soyons honnêtes, on va se poser quand même quelques questions avec vous ce dimanche matin.
11:00Mais personne ne veut que le goût de son champagne préféré change.
11:03Je vais prendre quelques exemples très concrets.
11:05Ni que le stylo bic que j'ai en main, par exemple, passe au numérique.
11:08On cherche probablement toujours la même sensation pour se rassurer, on est bien d'accord.
11:12Du coup, tradition et innovation, ça ne serait pas un peu antinomique, Jean-François ?
11:16Vous avez raison Thomas, mais certaines entreprises ont trouvé l'équilibre parfait entre passé et présent, entre tradition et innovation.
11:23Vous parlez de bic, justement. Le cas de couleur est clairement une icône émotionnelle.
11:27Mais en 50 ans, ils n'ont pas réinventé leur stylo.
11:29Ils ont réinventé la manière dont on se l'approprie pour écrire.
11:32Regardez aussi Michelin.
11:33Ils fabriquent toujours des pneus, mais ils ont fait de leur tradition une force d'innovation.
11:37Du guide Michelin aux pneus connectés, leur fil conducteur reste le même.
11:41Accompagner la mobilité avec les outils de chaque époque.
11:44Mais alors, comment on fait pour innover sans se trahir et sans trahir sa marque ?
11:48Alors, vous voyez, le vrai secret n'est pas dans le produit, mais dans ce qu'il symbolise.
11:52Ces entreprises ont compris que leur force, ce n'est pas ce qu'elles fabriquent, mais ce qu'elles incarnent.
11:56Elles ne vendent pas un objet, mais une expérience, une promesse, une continuité.
12:00Bon, d'accord, maire.
12:01Toutes ces entreprises parlent de leur valeur.
12:03C'est souvent leur communication, d'ailleurs, qui est mise en avant de cette manière, de leur héritage.
12:07Mais très peu réussissent à le faire vivre.
12:09C'est quoi la différence ?
12:10C'est qu'une question de communication, comme j'ai commencé à vous le dire, ou c'est plus profond que ça, Jean-François ?
12:15C'est parce que le produit n'est qu'un langage, une traduction de la raison d'être de ces marques.
12:21Être utile, transmettre, préserver ou simplement procurer du plaisir.
12:25Parce qu'elles savent qui elles sont, au fond.
12:26Elles peuvent faire évoluer leur comment sans trahir leur pourquoi.
12:30Elles innovent subtilement sur la forme, jamais sur l'âme.
12:32Elles ne changent pas pour suivre une mode, pour rester fidèles à ce qu'elles promettent.
12:37C'est ça le cœur de la tradition.
12:39Non pas un musée du passé, mais une boussole pour avancer.
12:42Merci Jean-François.
12:43Et comme quoi, comme on le disait tout à l'heure, la tradition, ce n'est pas toujours répéter le passé.
12:47Mais c'est souvent continuer, en réalité, à lui donner un avenir.
12:50Mon cher Thomas, on se retrouve dans un instant pour la suite.
12:53Osez investir.
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