- il y a 1 semaine
Avec Karl Olive, député Renaissance des Yvelines
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NewsTranscription
00:00Sud Radio, l'invité politique, Jean-François Aquili.
00:07Et oui, à 8h15, l'invité politique de Jean-François Aquili ce matin, c'est Carl Olive, député Renaissance des Yvelines.
00:13Bonjour Carl Olive et bienvenue. Ce sont les socialistes qui mènent désormais la politique du gouvernement ?
00:21Moi j'aimerais qu'il soit un tout petit peu moins suffisant, mais c'est pas péjoratif.
00:26C'est-à-dire que le fait de mettre des ultimatums, si on n'a pas de réponse lundi, ça c'était vendredi, M. Fort, alors on va censurer.
00:34Et puis là, hier, c'était M. Vallaud, si on n'a pas de réponse aujourd'hui, en fin de semaine, on va censurer.
00:39Après, chacun est dans sa posture, Jean-François Aquili, que ce soit les socialistes, que le Bloc Central, que le Rassemblement National.
00:46Mais qu'est-ce que c'est ? C'est retenez-moi ou je fais un malheur ?
00:49Bah, qu'ils fassent le malheur, la peur n'est pas le danger.
00:51On brandit souvent la menace de la dissolution.
00:54Personne n'est favorable à la dissolution, donc arrêtons de menacer de dissolution.
00:58Et si jamais on doit vraiment menacer de dissolution, alors allons à la dissolution et retournons aux urnes.
01:03Je reprends vos mots sur X, Carl-Olive. Je lis.
01:06Vous avez posé une question, vous dites, est-ce que le parti socialiste peut arrêter de faire le faux cul, première langue dans ce pays ?
01:15En gros, le PS mena sans cesse de censurer. Vous lui dites, censurer, on va aux élections, et vous ne la ramènerez plus définitivement.
01:22Chiche, vous y allez, hein ?
01:24Vous savez, moi, je viens encore une fois...
01:26Pourquoi, vous dites ?
01:27Je viens du sport. Et dans le sport, on est imbibé aux règles du jeu. On dit les choses, on respecte l'adversaire.
01:32Et puis si on peut gagner 6-0, on met 6-0 à l'adversaire. Mais on ne fait pas de chantage.
01:36Et encore une fois, moi, je respecte les socialistes. J'ai eu l'occasion d'échanger avec M. Hollande la semaine dernière, par exemple.
01:44Mais voilà, moi, je n'aime pas le chantage. On n'aime pas le chantage. Les Français n'aiment pas le chantage.
01:50Il faut avoir la mémoire, Jean-François Aquilly. Lors des dernières législatives, ça a été une débâcle.
01:55Oui, effectivement, pour le bloc central, mais pas seulement. Les socialistes aussi ont essuyé de gros échecs.
02:01Et typiquement, M. Vallaud doit sa réélection avec le fait que le collègue de Renaissance ne s'est pas maintenu au second tour.
02:10M. Vallaud, qui dit de vous, vous avez vu sur RTL, c'est le patron du Parti Socialiste à l'Assemblée nationale,
02:15qui dit, grosso modo, Carl Olive, c'est celui qui chante, qui se met au travail.
02:20Oui, moi, j'ai du respect pour le président Vallaud. Ce n'est pas un sujet.
02:25Voilà, encore une fois, il est dans son sillon. Je pense que personne n'est bien actuellement.
02:29Et comme le disait Talleyrand, tout ce qui est excessif est insignifiant.
02:32Mais qu'est-ce que ça dit du climat entre vous, les soutiens d'Emmanuel Macron, et ce Parti Socialiste
02:37qui veut pousser aujourd'hui les feux sur la taxe, vous savez, la taxe Zuckman-Light ?
02:42Ça ne dit rien par rapport au... Jean-François Aquilly, qu'on soit très clair.
02:46Ça ne dit rien par rapport au voisinage, la proximité avec le président Macron.
02:49Ça dit, effectivement, de l'état d'esprit de cette Ve République et de ce qui se passe au sein même de l'Assemblée.
02:55Moi, je viens d'une droite qui est une droite sociale, qui est une droite populaire, qui est une droite humaniste,
03:00avec des valeurs de travail, de réciprocité entre les droits et les devoirs.
03:04Moi, ma première des choses, et le message que je fais passer, c'est la restructuration des dépenses publiques de l'État,
03:10avant même une taxation, quelle qu'elle soit.
03:12Là encore, on le voit bien, on a l'impression que c'est la liste au Père Noël,
03:16où c'est celui qui va inventer la plus grande taxe, mais on va aller droit dans le mur avec ça.
03:19Vous voulez, vous, réformer, on va dire, le système, pas forcément augmenter les impôts.
03:24Regardez le gouvernement qui accède à la demande de surtaxer les bénéfices des entreprises.
03:29J'ai voté contre.
03:30J'ai voté contre.
03:32J'ai voté contre, et une partie de mes collègues, ou même peut-être une majorité de mes collègues,
03:37ou s'est abstenue, ou a voté contre.
03:41Oui, j'ai voté contre.
03:42Encore une fois, vous voyez, ce n'est pas le budget de Sébastien Lecornu,
03:46c'est le budget des parlementaires, donc c'est le budget de la France.
03:49Vous soutenez votre Premier ministre quand même.
03:50Ah mais moi, je soutiens Sébastien Lecornu, et je vais vous dire quelque chose.
03:53Heureusement que nous avons un Sébastien Lecornu, aujourd'hui, à la tête du gouvernement.
03:56Et vous soutenez, vous votez contre.
03:57Mais voilà quelqu'un qui a été maire, qui a été président du conseil départemental,
04:00qui a été ministre sans discontinuer, et qui sait parler à l'ensemble des acteurs de ce pays.
04:06Mais on n'est pas des bénis.
04:07Oui, oui, Jean-François Killy, vous me voyez, moi qui défends, depuis que je suis quasiment gamin,
04:14encore une fois, cette réciprocité entre les droits et les devoirs,
04:16en essayant vraiment d'être en bon père de famille,
04:19tant à la tête de la ville de Poissy que modestement en tant que député,
04:23et je vais demain voter pour l'ouverture des vannes.
04:26On parlera peut-être des retraites.
04:27Je vais voter contre la suspension de la réforme des retraites.
04:30Là aussi.
04:30Mais, M. Killy, pendant un an...
04:32Parce qu'il faut trouver 1,4 milliard pour financer le report.
04:37Eh bien, je veux même vous dire, et au-delà de ça,
04:39vous imaginez que quasiment pendant deux ans,
04:42et ça faisait partie du programme présidentiel,
04:43d'ailleurs comme les LR l'avaient fait à juste titre,
04:46on a demandé un départ à la retraite à 65 ans dans ce pays.
04:49Il est à 64 ans, aujourd'hui, on va le dire, au forceps.
04:53Il est, dans l'Europe entière, entre 65 et 67 ans, sans exception, sans exception.
04:58Pendant un an, sur tous les marchés de la 12e circonscription des Yvelines,
05:01j'ai expliqué pourquoi cette réforme de retraite était indispensable.
05:04Et aujourd'hui, en une décision, un vendredi, un revers de main,
05:08on dit, on oublie la réforme des retraites, il faut qu'on fasse passer un budget.
05:12Non, je veux bien le compromis, je ne veux pas la compromission.
05:15Vous êtes d'accord qu'Emmanuel Macron, le président de la République que vous soutenez,
05:18est derrière cette décision de report de la réforme des retraites ?
05:24Sans lui, sans son aval, ça n'existe pas ?
05:28Alors, je vais vous dire, je soutiens Emmanuel Macron,
05:31j'ai de gros désaccords avec lui, mais moi je suis un fidèle et un loyal, vous voyez ?
05:35Ce n'est pas des cailloux dans la chaussure, ça s'appelle des valeurs.
05:37Mais je peux ne pas être d'accord avec le président Macron.
05:39Je ferme la parenthèse.
05:41Mais le président Macron, il n'est pas derrière chacun des parlementaires
05:44pour leur dire ce qu'ils ont à faire.
05:46Chacun des parlementaires, on est 577, M. Aquilie,
05:49chacun prend ses responsabilités.
05:50Je vais prendre les miennes, je vais prendre les miennes
05:52comme un certain nombre de collègues.
05:54Et je rejoins, sur ce sujet, je rejoins la position des Républicains.
05:59J'ai entendu M. Wauquiez d'ailleurs, sur la défiscalisation, par exemple, des pourboires,
06:04la totale défiscalisation des heures supplémentaires.
06:07Mais évidemment que ça va dans ce sens-là, il faut qu'on valorise la valeur travail dans ce pays.
06:10Sinon, on n'aura plus d'intérêt à aller travailler et on restera chez soi.
06:14Je vous fais une parenthèse, Karl-Olive.
06:16Qu'est-ce que vous pensez de la victoire aux élections de mi-mandat de M. Ravier Milley ?
06:21En Argentine, vous savez, il était à plus de 40%.
06:23On avait prédit un destin funeste à ce monsieur et sa tronçonneuse.
06:28Quel regard vous portez ?
06:29Le principe, chez lui, par-delà la diatribe anti-Milley,
06:34c'est quand même un président qui a décidé de réformer en profondeur un système
06:40qui ne fonctionne plus depuis des décennies.
06:42Ça rappelle quelque chose.
06:43Alors, on a entendu la même chose, d'ailleurs, sur Mme Melina, en Italie, il y a quelques temps.
06:48Et on voit bien ce qui se passe en Italie, où on a un taux de croissance 4 fois supérieur à celui de notre beau pays.
06:53Je ne me précipite pas sur la lecture que vous faites sur l'Argentine,
06:59parce que je n'en suis pas un spécialiste.
07:02Il a les dollars de Trump derrière lui.
07:03Oui.
07:04En revanche, Jean-François Kili, qu'est-ce qu'on n'a pas entendu 24 heures qui précédaient cette élection
07:11en disant, vous allez voir ce que vous allez voir, c'est le destin funeste.
07:14Il va être KO comtédis.
07:16L'Argentine de ce monsieur, ce n'est pas les Poumas au rugby ou les Diables de Maradona.
07:21Et bien, voilà, je pense qu'il faut être très humble par rapport à cela.
07:24Mais vous qui êtes parlementaire, vous êtes depuis des semaines, des mois même désormais,
07:27dans, on va dire, des discussions budgétaires millimétriques,
07:31qui ne parlent que de coups de rabot d'un côté, de hausses d'impôts de l'autre.
07:36Ça ne vous inspire pas ? Vous n'avez pas envie de dire ici, on renversait le logiciel ?
07:40C'était l'ADN de cette Macronique que vous avez épousée en 2017 ?
07:45Moi, je pense que notre principal adage serait d'être pragmatique, d'être pragmatique et faire simple
07:51plutôt que de vouloir faire compliqué, d'arrêter d'emmerder les Français.
07:55On veut faire des économies, par exemple, sur la santé.
07:56Je vais vous donner un tout petit exemple.
07:58Mettez du sport dans le cadre du temps de travail à vos agents dans les collectivités,
08:02c'est ce que j'ai fait à Poissy, un million d'euros d'économies.
08:05Quand vous investissez un euro dans le sport, vous faites 13 euros d'économies sur toutes les connexes directes et indirectes.
08:16C'est juste un petit exemple.
08:18Écoutez les Français qui sont en prise directe avec la réalité du terrain.
08:22Allons voir les maires.
08:23Vous voyez, là, on pourra aller voir les maires pour du court, du moyen ou du long terme.
08:26Qu'est-ce qu'on fait pour faire des économies dans ce pays ?
08:28Qu'est-ce qu'on fait pour se mettre d'accord autour d'une table ?
08:30On commence à le faire.
08:31C'est pour ça que je suis raisonnablement optimiste.
08:33On commence à le faire.
08:34Mais si on se dit les choses, Jean-François Quilly, à l'heure où l'on se parle,
08:37il reste encore 2800 amendements à examiner.
08:40La deadline, c'est vendredi.
08:41Vous pensez que ce sera bouclé ?
08:44À 20 à l'heure, il n'y a que dans les périphériques qu'on voit cela.
08:46Qu'est-ce que ça veut dire ?
08:47C'est 20 amendements à l'heure qui sont examinés aujourd'hui.
08:51Donc on a l'impression quand même que c'est un petit peu l'emblème de la carpe,
08:56enfin plutôt de la tortue et du frein à main.
09:00Je ne suis pas sûr qu'on arrive au bout.
09:02Ou si on n'arrive pas au bout, soit on a un délai supplémentaire,
09:05ce qui n'est pas impossible,
09:06soit la copie repart à l'initial au Sénat.
09:11C'est-à-dire tout ça pour ça ?
09:13C'est-à-dire que là, en ce moment, oui,
09:14on voit bien que c'est quand même la porte ouverte au concours Lépine
09:16de celui qui va avoir la plus belle idée
09:18pour taxer un peu plus les Français,
09:20notamment les classes moyennes.
09:22Je ne veux pas repartir de cela.
09:22Vous n'avez pas marre de tout ce bazar, Carl Olive ?
09:25Vous appartenez au socle commun.
09:26Quand vous voyez, par exemple, Édouard Philippe,
09:28ancien Premier ministre,
09:28qui demande la démission du chef de l'État,
09:30qu'est-ce que vous dites ?
09:31Ce n'est pas mon vœu.
09:33Encore une fois, ce n'est pas une proximité avec le chef de l'État.
09:36C'est que dans les institutions de la Ve République,
09:39il faut que nous ayons une stabilité institutionnelle.
09:41Peut-être ne reste-t-il que cela.
09:44Donc il faut que nous soyons vigilants.
09:46Pour autant, Édouard Philippe,
09:49je partage sa position sur des réformes de retraite
09:53qui sont pour moi, encore une fois, indispensables.
09:56Vous me demandez si j'en ai marre ?
09:57Non, je n'en ai pas marre.
09:57Moi, j'aime mon pays et je veux tout faire
09:59pour que ce pays puisse s'en sortir
10:01parce que la France est belle.
10:03Je ne veux pas donner raison à toutes celles et ceux
10:06qui veulent le chaos, suivez mon regard,
10:09qui veulent le chaos et qui n'attendent qu'une chose,
10:11c'est de pouvoir nous foutre un beau bordel dans ce pays
10:13qui ne mérite pas ça malgré tout.
10:14La même chose que vous, dégoûtant, à la France insoumise.
10:17La France insoumise ?
10:18Oui, on le voit bien.
10:19On voit bien la France insoumise.
10:21Dès qu'elle peut nous pondre une idée
10:23ou faire quelque chose qui sort totalement des sentiers.
10:27Voyez ces deux députés de la France insoumise.
10:29Qui sont allés hier à la présence de la santé
10:31pour tenter de visiter le détenu Nicolas Sarkozy.
10:34Ah oui, ce n'est pas pour prendre de ses nouvelles.
10:36Vous qui étiez à la réunion de soutien,
10:38il y a tout juste une semaine.
10:39Tiens, c'était ce matin ?
10:40Oui, je me suis déplacé.
10:41Oui, je me suis déplacé.
10:42Qu'est-ce que vous pensez de cette députée ?
10:44D'abord, je me suis déplacé pour soutenir le président Sarkozy
10:49parce qu'encore une fois, j'ai la mémoire
10:50et que j'ai été éduqué comme cela.
10:52Moi, je fais partie des députés de gauche comme de droite
10:54qui ont fait le pied de groupe
10:56pour rencontrer à un moment donné de notre vie professionnelle
10:58le président Sarkozy.
11:00Je m'en souviens.
11:00Je n'ai pas eu une amnésie, vous voyez,
11:03qui soit une amnésie sélective.
11:04Mais c'est n'importe quoi.
11:06C'est n'importe quoi.
11:06On peut se rendre dans une maison de santé,
11:09dans une maison de centrale, dans une prison.
11:10Oui, je l'ai fait.
11:11Sauf que, excusez-moi, M. Aquili,
11:13j'ose dire que je suis bien éduqué.
11:15J'appelle le directeur ou la directrice de la prison
11:17une journée, deux journées avant pour dire
11:19je vais me déplacer, on m'en donne le droit,
11:21mais moi, je ne mets pas devant le fait accompli.
11:23Et encore une fois, pourquoi ces personnes ont-elles fait ça ?
11:26Simplement pour créer soi-disant le buzz,
11:30pour faire parler d'elles,
11:31et encore une fois, pas dans la colonne de la une,
11:33dans les faits divers.
11:34Vous avez vu ce que disent les LFI.
11:36Nous sommes à 20 ans après les émeutes de 2005.
11:39Ça vous intéresse, parce que vous êtes candidat
11:41de nouveau à Poissy.
11:42Vous n'étiez pas maire à l'époque,
11:43mais vous êtes de nouveau candidat.
11:45Vous avez vu ce qu'écrivent Erciliasoudé,
11:47député LFI, sur X.
11:49La police continue de tuer.
11:50Manon Aubry, députée européenne.
11:52Le racisme et la violence continuent de ronger la police.
11:54C'est insupportable.
11:54Et de causer des morts.
11:55C'est insupportable d'entendre ça.
11:57C'est insupportable.
11:58Parce qu'encore une fois,
11:59la sécurité, c'est notre première des libertés.
12:01On devrait tous les jours les prendre en exemple,
12:03comme ça s'est passé d'ailleurs,
12:05au moment des attentats.
12:06Moi, je n'ai pas les mémoires courtes.
12:07Je vois des policiers municipaux,
12:09je vois de ce qu'on appelle des ASVP,
12:10des agences de surveillance de la voie publique,
12:12je vois la prévention spécialisée,
12:14je vois la police nationale,
12:15je vois la gendarmerie.
12:16Ces gens-là, on devrait les mettre sur un piédestal
12:19tous les jours.
12:20Oui, il peut y avoir des conneries qui soient faites.
12:23Oui, il peut y avoir des exceptions
12:24qui confirment la règle.
12:25Mais la règle, c'est qu'à 95%, 97%,
12:28ces gens-là, heureusement,
12:30heureusement que nous les avons.
12:31Parce qu'ils tiennent le pays.
12:32Ce sont des pourfendeurs
12:33et vraiment des catalyseurs
12:34de la paix sociale,
12:35et je le dis dans ce pays.
12:37Karl-Olive, vous allez vous présenter à Poissy.
12:39Vous en avez marre de l'Assemblée nationale ?
12:41Absolument pas.
12:42Absolument pas.
12:42Aujourd'hui, il y a Zuckman Light.
12:45Zuckman Light, ce n'est pas le titre d'un film.
12:47Ce n'est pas la sortie du mercredi.
12:49Mais moi, Light ou pas Light,
12:51ou Relight, ou Zuckman Zéro,
12:53ou Zuckman Sans Sucre,
12:54il n'y a pas de Zuckman, vous voyez ?
12:55Il n'y a pas de Zuckman.
12:56Et ça nous fera du bien.
12:57Ce n'est pas le régime que nous attendons
12:59pour notre pays.
13:01Vous n'avez pas le titre d'un film.
13:03Ce n'est pas le titre d'un film,
13:03Zuckman Light.
13:04Encore un mot.
13:04Ça pourrait.
13:05Oui, ça pourrait.
13:06Encore un mot, Karl-Olive.
13:06Et donc, je ne m'embête pas
13:07à l'Assemblée nationale,
13:08mais j'ai du sang de la ville de Poissy
13:09qui coule dans mes veines.
13:10J'aime cette ville.
13:11Vous y retrouvez.
13:11Et je veux reprendre le flambeau de cette ville.
13:14Et vous soutenez Rachida Dati à Paris,
13:17Karl-Olive.
13:17Vos amis du socle commun,
13:20eux, veulent miser sur le candidat
13:22Horizon Pierre-Yves Bournazel.
13:24Et qui est un bon candidat.
13:25Oui.
13:25Mais j'ai le droit d'avoir,
13:27effectivement, ma préférence.
13:29Comme dit Julien Clerc,
13:29ma préférence, c'est elle.
13:31C'est Rachida.
13:31Vous allez chanter, je crois, non ?
13:33Non.
13:33Non, là, il y a des moments
13:34où je veux bien chanter.
13:36Mais là, en ce moment,
13:37vu l'état de ce qui se passe
13:38dans l'Assemblée nationale,
13:39je m'abstiens.
13:40Mais promis, je reviendrai avec grand plaisir.
13:42Karl-Olive, est-ce que vous pensez
13:43que, très sincèrement,
13:44nous allons tenir ce budget ?
13:46Est-ce que cela va vers une censure ?
13:47Est-ce que, je sais bien
13:48que personne ne dispose
13:49de boules de cristal,
13:50mais c'est ma dernière question.
13:52Comment est-ce que vous sentez
13:52un peu les choses
13:53dans les jours qui viennent ?
13:54On va s'en sortir.
13:55On va s'en sortir.
13:57On va s'en sortir parce qu'au-delà de tout,
13:58je pense que nous avons...
14:00Je vais y revenir.
14:02Je pense que nous avons des élus
14:04et des parlementaires
14:05qui sont responsables
14:06dès lors où, vraiment,
14:07l'avenir du pays
14:08est entre nos mains.
14:09L'avenir du pays
14:10est entre nos mains.
14:11À quel prix ?
14:12C'est bien celui
14:12qu'il faudra absolument
14:14mettre en commun
14:16pour ne pas faire en sorte
14:17que ce pays devienne
14:19encore plus le plus imposé
14:20d'Europe
14:22et qu'on reste dans la justesse
14:25et dans la justice sociale.
14:26Je vais vous dire,
14:27dans la justice
14:28et dans la justesse sociale,
14:29alors, il faut qu'on ait
14:31un intérêt à aller travailler
14:33plutôt que de rester chez soi.
14:35Vous avez 4 heures.
14:36Merci, Karl-Olive.
14:37Merci beaucoup, Karl-Olive.
14:39Je le rappelle, député
14:40Renaissance des Yvelines.
14:43Merci à vous.
14:43Merci, Jean-François Ackilly.
14:45Alors, on n'a pas 4 heures,
14:46mais on a une demi-heure
14:46pour débattre dans un instant
14:47avec Elisabeth Lévy
14:49et Éric Revelle.
14:50On va parler notamment,
14:51pourquoi pas,
14:51ça vous fait réagir,
14:520826 300 300
14:53sur ces deux députés LFI
14:55qui ont tenté
14:56de rendre visite,
14:56tout simplement,
14:57à Nicolas Sarkozy
14:58à la prison de la santé.
14:59Puis, on pourra revenir aussi
15:00sur ce rapport.
15:01Il est intéressant,
15:01ce rapport du CESE.
15:03Vous savez,
15:03c'est le Conseil économique,
15:04social et environnemental.
15:05Il nous dit qu'après la santé
15:07et le pouvoir d'achat,
15:08la troisième préoccupation
15:09des Français,
15:10c'est l'instabilité politique,
15:12la situation politique
15:14devant l'immigration,
15:15d'ailleurs devant le chômage.
15:17Ça vous fait réagir là aussi,
15:180826 300 300.
15:20Vous nous appelez,
15:21on est ensemble
15:21avec Elisabeth Lévy
15:22et Éric Revelle
15:22jusqu'à 9h.
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