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  • il y a 7 semaines
Avec Elisabeth Lévy et Eric Revel

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##LE_GRAND_DEBRIEF-2025-11-05##

Catégorie

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News
Transcription
00:00Le Grand Matin Sud Radio, 7h10h, Patrick Roger.
00:07Il est 9h moins le quart, évidemment le grand débrief de l'actualité avec vous, Elisabeth Lévy, Eric Crevel, et puis vous au 0826 300 300.
00:14Je ne sais pas ce qui peut vous faire réagir ce matin sur l'actualité.
00:17Il y a beaucoup de sujets, il y a toujours évidemment la polémique autour de Chine, avec ce premier magasin permanent qui va ouvrir au BHV dans le monde.
00:25Il n'y a eu que jusqu'à présent des boutiques éphémères.
00:28L'élection du maire de New York, soutenue par Elisabeth Lévy, et Elisabeth Lévy est allée sur place là-bas pour le soutenir.
00:36Ils ont fait une soirée hier soir, ils ont fait une grande soirée, les filles.
00:39Zora de Madani, 34 ans, et alors voilà, la prime de Noël aussi, qui est dans le débat, parce que...
00:46Mais ils vont bien, c'est une dame, Revelle !
00:48Non, non, mais c'est vrai, c'est un sujet, parce que cette prime de Noël qui était versée en fait...
00:562,3 millions de foyers la touche chaque année.
00:58Enfin, pour tous, non, pour des personnes modestes, mais...
01:01Oui, sous contrainte de revenus, bien sûr.
01:03Aujourd'hui, des familles qui n'ont pas d'enfants ne pourront plus toucher parce que...
01:08C'est le débat qu'a lancé le ministre du Travail, c'est pas franchi.
01:10Le ministre du Travail en disant, l'État-providence, c'est fini.
01:12Qu'est-ce que vous en pensez ? Est-ce qu'il a raison ou pas ? On verra ça dans un instant.
01:16D'un mot quand même sur Rachida Dati, que vous avez entendu à l'instant, s'expliquer sur Chine, sur le Louvre,
01:24et puis aussi sur sa candidature à la mairie de Paris, puisqu'il y a ce matin ce sondage avec le Figaro,
01:30qui montre qu'elle fait toujours la course en tête, malgré les polémiques, malgré notamment le fait qu'elle appartienne toujours au gouvernement.
01:39Éric Revelle, Elisabeth...
01:41Le sondage Sud Radio, le Figaro est très intéressant, évidemment.
01:46Il y a la modification quand même du scrutin, ça c'est un point très important qu'elle a soumis à la fin,
01:51parce qu'évidemment Lyon, Marseille et Paris, jusqu'à présent, n'élisaient pas directement les maires de ces grandes villes et de la capitale,
02:00Donc vous pouvez être minoritaire emploi et être élu.
02:02Exactement. Donc en fait, moi je pense que c'est un avantage supplémentaire, sans doute, pour la droite, à Paris et dans ces grandes villes,
02:09parce qu'en réalité, à chaque fois, vous avez un peu comme aux Etats-Unis, deux arrondissements, ou deux états, deux arrondissements à Paris et à Lyon,
02:16qui font basculer le scrutin. Et ce scrutin qui va être réformé, ça peut être une chance supplémentaire peut-être pour Rachida Dati.
02:24Bon, moi j'ai trouvé super punchy, super énergique, c'est même pas mal, quoi qu'il arrive, vous pouvez...
02:29Ah non, mais c'est absolument...
02:31Moi j'ai toujours aimé la personnalité, je ne parle pas de politique, mais la personnalité de Rachida Dati,
02:36qui est une sacrée, comment dire, bagarreuse, c'est un personnage assez romanesque,
02:43enfin, quand on voit son parcours, il y a quelque chose...
02:45Mais alors, moi, si vous voulez, j'étais déjà assez consterné la dernière fois quand Anne Hidalgo a été réélue,
02:50alors que, quand vous demandez autour de vous, y compris tous mes amis de gauche,
02:53ils en disaient pique-pendre, etc.
02:57Donc, je demande à voir si le tropisme de gauche,
03:01non seulement de Paris, mais des grandes métropoles en réalité,
03:05peut, effectivement, bah oui, toutes les grandes métropoles...
03:09En fait, le Parti Socialiste a conquis, en une ou deux décennies,
03:14toutes les villes les plus riches de France.
03:15C'est devenu le parti des gens aisés.
03:18Alors, pas forcément que le PS, parce que ce sont les écologistes, Bordeaux...
03:23Non, mais il y a eu quand même, si vous voulez, c'est vrai, il y a eu Lyon...
03:27Non, Marseille, c'est une exception, parce que c'est la seule grande ville de France
03:31qui n'est pas en réalité une métropole bobo de riches.
03:35Mais dans toutes les autres, si vous voulez, vous avez...
03:37Les pauvres votent à droite, comme le disait le titre d'un livre américain.
03:42Donc, Paris, c'est quand même une ville de riches.
03:45Là où j'ai un petit doute, c'est qu'est-ce que le maire peut faire ?
03:48Si vous voulez, comment vous luttez face au marché ?
03:50Le marché de l'immobilier dans les capitales, c'est...
03:53Voilà. Mais enfin bon, en tous les cas, ça fait du bien d'entendre quelqu'un qui se bagarre.
03:56Oui, qui se bagarre.
03:58Alors, il y a eu cette élection, je le disais, cette nuit à New York.
04:03Justement, vous évoquiez les forces de gauche qui avaient emporté la bataille en France.
04:08Oui, justement, j'y pensais.
04:10C'est le gauchisme de Park Avenue.
04:11Là, vous avez vu, à New York, il s'est imposé, finalement, Zoran Madani,
04:18socialiste, qu'on dit plutôt socialiste, assez radical, bien sûr.
04:22Mais pas assez radical, il veut tout bloquer les loyers.
04:25Enfin, en même temps, la vie à New York, si vous voulez, je ne sais pas comment.
04:27Mais ce qui est intéressant, c'est qu'à New York, là, pour le coup, il n'y a pas de pauvres.
04:30Mais alors, pas du tout, à part dans les logements sociaux et dans la rue.
04:33Mais si vous voulez habiter à New York, il faut quand même afficher un revenu tout à fait conséquent.
04:39Et tous ces gens-là, donc, c'est exactement ce que l'écrivain Tom Wolfe appelait le gauchisme de Park Avenue.
04:46C'est-à-dire, les gens, si vous voulez, à gros revenus et grande conscience.
04:50Et je passe, comme Eric connaît bien l'Amérique, je lui passe le ballon.
04:53Non, non, non, mais je voulais dire que, je vais me sembler un peu contradictoire,
04:56mais je pense que l'élection de ce maire à New York, démocrate, mais très à gauche,
05:01c'est sans doute la meilleure nouvelle pour Donald Trump, en réalité.
05:04Pourquoi ?
05:05Ah bon ?
05:05Mais oui, parce que...
05:06Parce qu'il va ruiner New York ?
05:07Non, mais parce que le Parti démocrate est dans une situation complexe.
05:11Ils ont du mal à trouver un champion pour s'opposer aux Républicains,
05:14quels qu'ils soient, Donald Trump en l'occurrence aujourd'hui.
05:17Et le Parti démocrate se bat justement en interne
05:20pour que des figures très à gauche, comme celle du maire de Nouvellement élu de New York,
05:25ne soient pas l'effigie du Parti démocrate.
05:28Parce qu'à l'échelle du pays, si c'est ce genre de profil politique qui l'emporte,
05:32ils perdront toutes les élections, et notamment la plus importante,
05:36l'élection du président des Etats-Unis.
05:39Donc en fait, à l'intérieur même du Parti démocrate, vous avez une bagarre
05:42entre, allez, un Bernie Sanders, mais qui a toujours été minoritaire,
05:46qui est à la gauche du Parti démocrate,
05:48et les sociodémocrates, qui ont toujours,
05:51quand il y a un président démocrate élu,
05:53qui ont gagné, mais jamais, évidemment,
05:55un candidat d'extrême-gauche démocrate
05:58ne peut gagner la présidence des Etats-Unis.
06:00Donc finalement, au-delà du revers politique...
06:02Vous êtes sûr de ça ?
06:03Ah bah bien sûr.
06:04Jamais, non.
06:05Ah bah donnez-moi un exemple.
06:08Alors, très récent,
06:11ou même dans les 20 dernières années,
06:13d'un candidat démocrate...
06:14Jimmy Carter, un mec d'extrême-gauche ?
06:15Non, non.
06:16Joe Biden, extrême-gauche ?
06:17Non, non, non.
06:18Barack Obama, non.
06:19Dans le passé, non, mais bon.
06:20Non, moi je pense que c'est là que se situe la vraie bagarre.
06:25Et puis attendez, regardez dans le détail
06:26le programme économique du nouvel élu à New York,
06:29vous allez voir que c'est absolument n'importe quoi.
06:31C'est-à-dire qu'il rase gratis...
06:32Gratuité, crèche, gratuité, transport,
06:35gratuité des transports.
06:36Mais quand vous disiez, la ville est riche,
06:37donc elle peut peut-être se faire.
06:39Non, non, la ville est...
06:39Non, non, non.
06:39Non, mais pas la ville, les habitants.
06:41Et donc, il peut les taxer, en quelque sorte.
06:43C'est hyper endetté, les habitants sont riches,
06:46mais à mon avis, je ne connais pas la fiscalité,
06:48je vous l'avoue, mais à mon avis,
06:49ils en payent déjà quand même.
06:51Et par ailleurs, il y a beaucoup de gens,
06:53je n'en sais rien, je laisse Eric,
06:55mais beaucoup de gens pensent qu'ils risquent
06:56de ruiner New York.
06:57Je ne sais pas si vous imaginez ce qu'est
06:58la gravité des transports publics.
07:00Mais vous voyez, le président-maire de New York,
07:02il s'appelait Eric Adams,
07:03qui était démocrate également.
07:05C'est un vieux bastion démocrate.
07:05Personne connaissait, d'ailleurs.
07:06Eric Adams, qui était un afro-américain,
07:09en fait, il s'est fait mettre en marge du parti
07:12parce qu'il n'était plus politiquement correct.
07:15Il disait, attendez, New York est submergé
07:16par un flux migratoire qu'on n'arrive plus à contrôler.
07:19Il y a des gens dans les rues,
07:20je n'arrive plus à les loger.
07:21Comment fait-on ?
07:22Et on lui a dit, mais attendez, monsieur,
07:23vous êtes au parti.
07:23Oui, oui, oui, Eric Adams, vous êtes de gauche.
07:26Vous devez, au contraire, supporter tout cela.
07:29Donc, il s'est fait marginaliser.
07:30Après, il est tombé aussi dans des affaires
07:31de corruption.
07:33Oui, oui, bien sûr.
07:34Mais en fait, il a été dégagé comme ça,
07:35Eric Adams.
07:36Parce que n'oubliez pas que New York,
07:37ce n'est pas une surprise.
07:39Je crois que Kamala Harris a fait 55% à New York.
07:41Vous voyez, c'est l'un des seuls endroits
07:43où elle a fait un peu de doigts.
07:45C'est pour ça que Paris,
07:46ce serait quand même un basculement,
07:47effectivement, même dans la grande tendance
07:51qui a vu les métropoles du monde entier
07:53passer à gauche, en réalité.
07:56Ce serait quand même...
07:57Paris, ce serait un basculement vraiment important.
08:02Pour Donald Trump aussi,
08:03c'est une forme de pied de nez.
08:04parce que c'est lui qui combat l'immigration, etc.
08:08Là, c'est quelqu'un de confession musulmane.
08:11Même si, évidemment,
08:12il a une histoire liée à l'Amérique.
08:13Mais Eric l'a un peu dit,
08:14ça lui donne un repoussoir.
08:16Il va montrer, regardez,
08:18cette ville de cheveux bleus,
08:19de LGBT,
08:21de vous imaginer tout taper Trump.
08:22Il va te broder la tue,
08:23de woke,
08:24le désordre dans les rues.
08:26Enfin, je veux dire,
08:27il va tout nous faire sur New York.
08:28Donc, ça va devenir la ville des dégénérés,
08:31si vous voulez.
08:33Deux mots,
08:33parce qu'on en parlera beaucoup plus
08:34avec Jean-François Kili,
08:36dans la vérité en face,
08:37dans un instant,
08:37et puis les auditeurs qui appellent
08:38au 0826-300-300.
08:40Est-ce que vous êtes choqués par ça,
08:41par le fait qu'il y ait une boutique permanente de Chine ?
08:43Effectivement, ce géant chinois
08:45en plein cœur de Paris,
08:47la capitale un peu de la mode,
08:48comme le disent, évidemment, certains.
08:50Non, mais si vous voulez,
08:51c'est la question d'être choqués.
08:53C'est justement ça que je déplore,
08:55c'est qu'on ne fasse que dans l'émotion.
08:56Tous les gens qui, depuis des années,
08:58nous vendent la mondialisation,
09:00nous traitent de nazis,
09:01dès qu'on parle de protectionnisme,
09:03dès qu'on parle de frontières,
09:04quand on dit que ce n'est pas possible,
09:05laisser faire, laisser passer comme ça,
09:07ça va tuer notre industrie.
09:09Tous ces gens, tout d'un coup,
09:10parce qu'ils ont trouvé leur diable chinois,
09:13si vous voulez,
09:13c'est devenu une espèce de diable
09:14que tout le monde déteste,
09:16mais c'est le produit de leur politique.
09:18Oui, bien sûr.
09:20Mais surtout, la réplique,
09:22la réponse gouvernementale
09:23est en dessous de la main,
09:24ce qui veut dire notre insigne faiblesse aujourd'hui.
09:27La déclaration de Roland Lescure,
09:28ministre des Finances,
09:29c'est de dire,
09:30attention,
09:31la prochaine fois,
09:32on pourrait interdire
09:34la plateforme Chine en France.
09:36J'avais envie d'ajouter,
09:37la République ne reculera pas.
09:38Mais en fait,
09:39on n'est pas de taille
09:41pour entamer un bras de fer commercial
09:42avec la Chine.
09:44On n'est pas de taille.
09:45D'ailleurs,
09:46on est l'effet collatéral
09:48de la mise en place
09:49des taxes
09:50de Donald Trump
09:51sur la Chine,
09:52c'est le déversement
09:53des produits chinois
09:54en Europe
09:55et notamment en France.
09:57Nous,
09:57on n'a pas pu s'y opposer.
09:59On n'est pas de taille,
10:00c'est l'effet collatéral.
10:01Le marché américain
10:02l'aurait fermé
10:03parce qu'il y a des taxes,
10:04parce que sur les colis,
10:05vous payez 100 dollars.
10:07Eh bien,
10:07ce n'est pas grave.
10:08Les Chinois,
10:08ils déversent chez nous.
10:09Et nous,
10:10on dit,
10:10la République ne reculera pas.
10:12Mon oeil.
10:12Est-ce que c'est l'un des fiascos
10:14de la décennie Macron ?
10:16C'est votre livre,
10:17je le signale,
10:19qui sort aujourd'hui.
10:20Éric Revelle,
10:21on en reparlera plus longuement.
10:23C'est Mozart qu'on assassine.
10:26Il a relancé la souveraineté,
10:28Emmanuel Macron,
10:28mais au milieu de son...
10:30Il a surtout parlé beaucoup
10:32de Covid.
10:33Il a surtout parlé
10:34beaucoup de souveraineté européenne,
10:35si vous voulez.
10:35C'est à la fois un européiste
10:37et un mondialiste,
10:38Emmanuel Macron.
10:39Donc, c'est...
10:39Oui,
10:40si vous voulez,
10:41c'est Mozart qu'on assassine,
10:42c'est une double entrée.
10:43C'est évidemment,
10:44ça renvoie au fait
10:45qu'on l'avait taxé
10:46de Mozart de la finance.
10:47Je rappelle que
10:47Mme Macron...
10:48Il s'était taxé
10:49de Mozart de la finance.
10:50Non, non, non.
10:51On l'avait.
10:51On l'avait.
10:52Les mêmes, d'ailleurs,
10:53qu'il avait encensé,
10:54Minck et compagnie,
10:54sont aujourd'hui
10:56en train d'expliquer
10:56que c'est le pire.
10:57Ça ne fait pas sur Alain Minck,
10:57j'aime beaucoup alors.
10:58C'est le pire président
10:59de la Ve République.
11:00Mais surtout,
11:00on l'attendait justement
11:01sur ce sujet-là.
11:03Or,
11:04il a échoué.
11:05L'industrialisation,
11:07vous savez,
11:07les grands sommets
11:08de communication
11:08de Choose France,
11:09les investisseurs étrangers
11:10arrivent et de ça.
11:11Mon oeil !
11:12Le pourcentage
11:14de l'industrie française
11:16par rapport
11:16à la création
11:17de richesse en France,
11:18c'est moins que la Grèce
11:19aujourd'hui.
11:20Comme il le dit,
11:21c'est les chiffres
11:21de l'OCDE.
11:22Donc, en fait,
11:22sur la réindustrialisation,
11:24il ne s'est rien passé.
11:25Souvenez,
11:26son livre,
11:26c'était Révolution.
11:27Le Nouveau Monde
11:28était devant nous.
11:29Le père de la Startup Nation.
11:31Oh là là,
11:31ça a mal vieilli tout ça.
11:34J'allais dire,
11:34le temps est assassin.
11:35Le temps est assassin.
11:37Donc, en fait,
11:37ce livre,
11:38c'est évidemment
11:39le bilan
11:40qui est quand même
11:40incroyable d'Emmanuel Macron
11:42et il tombe
11:43d'autant plus haut
11:44qu'il avait lui-même
11:45placé la barre très haute.
11:47Mais c'est Mozart
11:47qu'on assassine aussi.
11:48C'est le titre
11:49d'un livre de Gilbert Seisbron
11:50repris par Antoine de Saint-Exupéry
11:52parce que la formule
11:53est passée
11:54dans le langage courant
11:55depuis longtemps.
11:55C'est Mozart qu'on assassine,
11:57ça veut dire que chaque enfant
11:58serait un petit Mozart
11:59en puissance,
12:00un petit Mozart
12:01qui sommeillerait,
12:02mais que les obstacles
12:03de la vie,
12:04mais que les obstacles
12:05politiques l'ont empêché.
12:09Et vous parlez
12:10de Calas
12:10à une ex-future Calas.
12:14Là, moi,
12:14j'aurais pu être...
12:15Oui, oui.
12:17La Calas.
12:17Et l'originalité,
12:18parce que c'est un pamphlet,
12:20donc j'ai essayé
12:21de bien l'écrire,
12:22c'est que chaque tête
12:23de chapitre,
12:24c'est une œuvre célèbre
12:25de Wolfgang Amadeus Mozart.
12:26Non, mais on l'arrête plus.
12:27On l'arrête plus.
12:28Lisez,
12:29lisez Éric Revelle.
12:31Voilà.
12:31Et écoutez,
12:32Sud Racial, bien sûr,
12:33dans un instant,
12:35c'est Jean-François
12:36qui lit la vérité en face.
12:37Vous pouvez réagir
12:38sur Chine,
12:39ce qu'on a évoqué
12:40dans un instant.
12:41Rachida Dati,
12:41si vous voulez le faire,
12:42aussi, bien sûr.
12:44Et puis,
12:44est-ce que c'est la fin
12:45de l'État-providence ?
12:48Et voilà,
12:49on coupe,
12:49effectivement,
12:50on commence à couper
12:51dans certaines dépenses
12:52avec cette prime de Noël
12:53qui ne pourra plus être...
12:54qui ne pourrait plus
12:56être versée
12:57aux familles sans enfants.
12:59C'est du moins
12:59le débat lancé
13:00par Jean-Pierre Farandou,
13:01le ministre du Travail.
13:02J'aimerais vous entendre
13:03et Jean-François Aquili
13:03dans un instant
13:04sur Sud Radio.
13:05Sous-titrage Société Radio-Canada
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