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Vendin-le-Vieil : un narcotrafiquant obtient une permission de sortie, pour un rendez-vous professionnel : «Il n'y a aucun moyen de comprendre cette décision» déplore le journaliste Thomas Bonnet
Europe 1
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il y a 7 minutes
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News
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00:00
Histoire complètement dingue. Alors là, accrochez-vous chers auditeurs parce que là on ne sait même plus où on marche sur la tête.
00:06
C'est gravissime ce qui est en train de se passer, gravissime.
00:10
C'est l'un des narco-trafiquants les plus dangereux de France.
00:12
Il fait partie de la liste des 100 narco-trafiquants, des 100 détenus les plus dangereux de France.
00:18
Il est actuellement incarcéré dans le quartier de lutte contre la criminalité organisée,
00:23
dans la prison la plus surveillée de France, à savoir la prison de Vendin-le-Vieil.
00:28
Et pourtant, une permission de sortie lui a été délivrée contre l'avis de la procureure,
00:37
contre l'avis de la prison de Vendin-le-Vieil, alors que même la direction s'était prononcée contre cette permission.
00:44
Une permission de sortie pour une sorte de baron de la drogue.
00:48
Écoutez le sujet de Wilfried de Villeur.
00:51
Oui, ce narco-trafiquant de 52 ans passera demain matin la porte de la prison de Vendin-le-Vieil pour sa permission de sortie.
00:57
Le motif, un entretien professionnel, alors même qu'il purge actuellement une peine jusqu'en 2029.
01:03
Une autorisation refusée d'abord par le directeur de la prison,
01:06
mais le détenu a fait appel et c'est finalement le juge d'application des peines
01:09
qui a donné un avis favorable à cette sortie.
01:12
Dans un communiqué, l'UFA punte sa justice dénonce une décision déconnectée et incohérente,
01:17
tout comme Maxime Albertier, secrétaire interrégional FO Justice.
01:20
On est en face d'une contradiction totale qui interroge sur la cohérence de cette décision judiciaire.
01:26
Il est légitime d'attendre des magistrats qui les expliquent.
01:30
Comment ils ont pu prendre cette décision ?
01:32
Comment on peut considérer que ce détenu est suffisamment dangereux pour être en QLCO,
01:36
mais en même temps suffisamment fiable pour sortir en permission ?
01:39
Cette permission de sortie sera donc valable demain toute la journée
01:42
et ne prévoit aucun dispositif de sécurité ni d'accompagnement d'un surveillant pénitentiaire.
01:47
Et pourtant, ce détenu est déjà connu pour une tentative d'évasion.
01:51
La semaine dernière à Rennes, un autre détenu s'est évaporé dans la nature
01:54
alors qu'il bénéficiait d'une permission, lui aussi.
01:57
On sera dans un instant en direct avec le secrétaire général FO Justice, Emmanuel Baudin.
02:04
Mais là, je me tourne vers vous, Thomas Bonnet et Éric Revelle,
02:07
et j'interpelle les auditeurs.
02:09
Est-ce que cette histoire que vous découvrez peut-être à midi 6 sur l'antenne d'Europe 1,
02:14
est-ce qu'elle vous choque ? C'est une histoire de fou.
02:16
C'est incroyable.
02:17
Thomas Bonnet.
02:17
J'ai l'impression que chaque semaine, on gravit un palier dans la surenchère
02:21
de la déconnexion de la justice, avec des décisions vraiment incompréhensibles.
02:26
On nous parle d'un homme considéré comme un baron de la drogue
02:28
parmi les 100 détenus les plus dangereux de France.
02:30
Au moment où la France dit vouloir déclarer la guerre au narcotrafic,
02:33
on va lui permettre de sortir une petite journée
02:35
avec un encadrement assez allégé, d'après ce que j'en comprends,
02:39
alors même qu'il a déjà essayé de s'évader il y a une dizaine d'années.
02:42
Honnêtement, il n'y a aucun moyen de comprendre cette décision,
02:45
si ce n'est un pied de nez d'une partie des magistrats
02:48
à l'égard de l'autorité judiciaire, à l'égard du politique,
02:52
à l'égard donc de Gérald Darmanin.
02:53
Moi, c'est comme ça que j'interprète cette décision.
02:55
Ce n'est pas la première fois qu'on voit des décisions
02:57
qui semblent être teintées d'une sorte d'idéologie politique
03:00
pour dire écoutez, vos discours de fermeté à Place Vendôme,
03:04
c'est bien gentil, la justice c'est notre affaire
03:06
et quand on doit prendre des décisions, voilà ces décisions qu'on rend.
03:09
Donc, c'est absolument incompréhensible.
03:12
Je suis pourtant de ceux qui pensent que les sorties doivent être autorisées
03:15
pour certains détenus, pour la réinsertion,
03:17
mais pas pour un baron de la drogue,
03:19
pas pour celui qui est considéré comme un des 100 détenus les plus dangereux de France.
03:21
Bruno Retailleau, l'ancien ministre de l'Intérieur, a réagi.
03:24
Il a dit, c'est une aberration.
03:26
La priorité absolue de la justice, explique-t-il,
03:29
pénale doit être la protection des Français,
03:31
pas le bien-être des narcotrafiquants.
03:34
Seule la France et l'Italie ont un juge d'application des peines,
03:37
puisque c'est le juge d'application des peines qui a accordé ça.
03:41
Ensuite, il y a eu un appel,
03:42
mais la Cour, on appelle finalement à valider la décision du juge d'application des peines.
03:47
Et il dit, Bruno Retailleau,
03:48
il faudra supprimer ce dispositif du juge d'application des peines
03:52
qui, trop souvent, désespère les victimes et révolte les Français.
03:56
Il parle d'aberration.
03:57
Mais là, je peux vous dire que le standard, il est en train de chauffer.
04:00
01, 80, 20, 39, 21.
04:02
Vous allez voir ce qu'ils vont dire, les Français.
04:05
Je suis très inquiet.
04:06
C'est pour ça qu'ils ne sont pas d'accord avec le juge d'application des peines.
04:08
Mais ils vont nous dire,
04:09
mais vous êtes un fou de nous mettre ça un dimanche,
04:11
vous voulez nous plomber le dimanche.
04:12
Bruno Retailleau a raison,
04:13
le vrai sujet, c'est le juge d'application des peines,
04:15
qui d'ailleurs, celui-ci, se réfugie derrière l'idée
04:17
que pour la réinsertion de ce baron,
04:19
il serait sur le point de trouver un job,
04:22
alors qu'il est libérable en 2029.
04:24
Bon, en fait, c'est une sorte de provocation.
04:27
Donc, j'espère que Gérald Darmanin va monter au créneau aussi,
04:31
parce que Retailleau n'est plus en charge.
04:32
Mais Gérald Darmanin, il a été capable de, sinon de virer,
04:36
en tout cas, de trouver un autre job au directeur de la prison de Rennes,
04:40
qui lui-même avait quand même failli en envoyant un de ses détenus au planétarium.
04:46
Peut-être là, il va y avoir une réaction.
04:47
Parce que pour tous les Français...
04:48
En priori, il n'y aura pas de réaction,
04:50
parce qu'il s'agit d'une décision de justice.
04:51
Oui, d'accord.
04:52
Mais alors attendez,
04:53
si vous voulez accroître la déconnexion
04:55
entre les citoyens français et leur justice,
04:58
faites ce genre de choses,
04:59
et là, vous êtes en plein dans le sujet.
05:00
Et je vais vous dire, je suis certain d'une chose,
05:02
c'est qu'avant, avant, ça arrivait régulièrement.
05:05
Mais qu'est-ce qui se passait ?
05:07
Personne n'en parlait.
05:08
Personne.
05:09
Ces informations n'étaient pas relayées.
05:11
Donc le ministère de la Justice,
05:13
le ministre, il ne peut pas,
05:15
puisque c'est une décision de justice,
05:17
il ne peut pas, aujourd'hui, réagir.
05:19
En revanche, qu'est-ce qu'il pourrait faire ?
05:21
C'est de dire, écoutez, on va proposer une loi
05:23
pour que ça n'arrive plus jamais, ces histoires-là.
05:26
Parce que là, les Français sont sous le choc.
05:28
Ils se disent, mais on se fout de nous.
05:30
On nous dit que c'est la guerre contre le narcotrafic,
05:32
et on a un narcotrafiquant présenté comme un des barons de la drogue,
05:35
qui est dans le classement des 100 plus dangereux,
05:38
qui purge une peine jusqu'en 2029,
05:41
et qui va avoir une permission de sortie pour un job.
05:43
Je rêverais de rencontrer, d'ailleurs, l'employeur.
05:47
L'employeur, il faut l'avoir en direct.
05:48
Et puis, 7h21 pour un entretien d'embauche,
05:51
c'est un long entretien d'embauche.
05:52
Vous avez raison.
05:53
Vous pensez que cette loi sur une possible interdiction
05:55
des permissions de sortie,
05:56
les gens qui étaient à Marseille hier,
05:58
les Olivier Faure, Marine Tondelier,
05:59
ils voteraient cette loi, à votre avis ?
06:00
Il faut leur poser la question.
06:02
On est en direct, donc, je le disais,
06:04
avec Emmanuel Baudin.
06:05
Merci d'être avec nous.
06:06
Vous êtes secrétaire général FO Justice.
06:08
La justice, c'est avec un petit J,
06:11
ce dimanche midi, quand on voit cette information.
06:15
Oui, mais je crois que vos intervenants ont tout dit.
06:17
Je pense que c'est un pied de nez.
06:19
Je pense qu'on a des syndicats de magistrats corporatistes,
06:22
qui d'ailleurs étaient contre la création de ces quartiers,
06:25
qui, effectivement, ont démontré à Darmanin
06:28
que ceux qui commandaient, c'étaient eux.
06:31
Et qui, sur des tas de choses,
06:33
aujourd'hui, les magistrats gèrent les flux
06:35
dans les prisons, les entrées, les sorties.
06:37
Aujourd'hui, on a 22 500 détenus de trop.
06:41
On a 6 000 matelas au sol,
06:42
11 000 bracelets qui ne sont pas utilisés.
06:45
Et aujourd'hui, le coup de poignard,
06:46
c'est la mise à mal de ces quartiers de haute sécurité
06:48
qui sont là pour protéger nos concitoyens,
06:51
les personnels qui y travaillent,
06:52
et les magistrats.
06:53
C'est dommage.
06:55
Est-ce qu'il va falloir attendre que,
06:56
comme en Italie, on ait un magistrat
06:57
qui se fasse abattre ou assassiner
06:59
pour qu'il prenne la mesure de la situation ?
07:01
Tous les jours, moi, en Réunion,
07:03
je me bats contre ces syndicats de magistrats corporatistes
07:05
qui mettent à mal tout notre système.
07:08
Donc, il faut un changement de paradigme.
07:09
Nous, on demande à ce que, comme en Espagne,
07:11
que ce soit l'administration pénitentiaire
07:12
qui ait la main sur les aménagements de peines,
07:14
sur les décisions d'aménager des peines,
07:18
où on demande la création de nouveaux régimes de détention.
07:21
Il faut qu'on change de ce système
07:23
où les magistrats ont tout pouvoir.
07:25
Alors là, vraiment, il faut être dans le concret,
07:27
Emmanuel Baudin, pour les auditeurs.
07:29
Et nous, on n'est pas au cœur du réacteur comme vous.
07:32
Donc, on a besoin de comprendre.
07:34
Déjà, c'est combien de magistrats
07:35
pour une telle décision ?
07:37
La permission de sortie ?
07:38
Comment ça se passe concrètement ?
07:40
Expliquez-nous le cheminement, s'il vous plaît.
07:43
Alors, il y a eu le détenu qui a fait,
07:45
via son avocat, une demande.
07:46
Donc, une commission s'est réunie au sein de la prison
07:49
pour émettre un avis.
07:50
Donc, dedans, vous avez les surveillants
07:52
qui accompagnent ce détenu,
07:53
les conseillers d'insertion et de probation,
07:55
les psys, le chef d'établissement, officier.
07:57
Donc, plusieurs personnels de l'administration pénitentiaire
08:00
qui connaissent bien le dossier de ce détenu,
08:01
qui, donc, émettent un avis.
08:03
Et en l'occurrence, cet avis était négatif.
08:05
Et là, le juge d'application des peines,
08:10
malgré aussi le parquet qui était contre cette sortie,
08:14
est passé outre.
08:16
Donc, le proc a fait appel de la décision du JAP,
08:20
qui a été rejetée.
08:21
Mais c'est un juge, le JAP ?
08:23
Le juge d'application des peines, c'est une personne ?
08:26
Voilà, c'est une personne qui a pris cette décision.
08:28
Une personne qui dit,
08:28
vous me donnez un avis ?
08:30
Vous êtes en train de me donner un avis ?
08:31
Moi, votre avis, j'en ai que faire.
08:33
Moi, je décide qui va avoir sa petite permission de sortie.
08:37
C'est ça qui se passe ?
08:38
C'est ça.
08:39
C'est ça.
08:40
Moi, j'ai été défendre à l'Assemblée nationale,
08:42
notre projet, là, pour...
08:44
Et ensuite, vous avez dit...
08:45
Attendez, pardon, je vous ai coupé,
08:46
mais là, je veux vraiment qu'on refasse le cheminement.
08:48
Un, demande de l'avocat du détenu.
08:51
Deux, il y a une commission, donc, au sein de la prison,
08:55
et qui a rendu un avis défavorable.
08:58
Trois, le parquet est d'accord avec cet avis défavorable.
09:02
Quatre, finalement, c'est un juge d'application des peines qui dit,
09:05
bah si, si, il va sortir parce qu'il a besoin d'un job.
09:08
Cinq, il y a quoi ? Il y a un appel qui est fait, c'est ça ?
09:10
Il y a eu, donc, un appel du parquet qui a été rejeté.
09:16
Parce que l'appel aurait été suspensif, était suspensif,
09:19
mais très vite, il a été rejeté.
09:21
Donc, le détenu sortira lundi à 7h du matin jusqu'à 21h.
09:24
Thomas Bonnet a une question pour vous.
09:26
Il nous reste une minute avant la pause,
09:27
mais je peux vous dire, on va traiter ce sujet quasiment toute l'heure,
09:30
parce que c'est évidemment la question de la justice au cœur de ce débat.
09:33
J'ai une question parce que vous dites que l'administration pénitentiaire
09:35
a donné un avis défavorable,
09:37
mais est-ce que vous m'accordez le fait que ça arrive souvent
09:41
que l'administration pénitentiaire, les surveillants, pour être clair,
09:44
soient plutôt favorables à des sorties ?
09:46
Et moi-même, je disais que j'étais parfois favorable au fait
09:48
que les détenus puissent avoir des parcours de réinsertion.
09:50
Et donc là, s'il y a eu un avis défavorable,
09:52
c'est que manifestement, ce détenu ne remplit pas les critères
09:55
qu'on attend d'un détenu pour faire une sortie.
09:59
Oui, tout à fait.
10:00
Nous, on est aussi favorables à des permissions de sortie.
10:02
Et ça fait partie de la réinsertion et du travail de la pénitentiaire.
10:07
Mais là, il y avait un avis unanime de tous ceux qui l'entourent,
10:11
pas que des surveillants, des conseillers d'insertion de pénvaluation,
10:13
des psychologues, chefs d'établissement,
10:15
qui, au vu du profil,
10:17
et puis on est quand même dans un quartier...
10:18
Le but de ce quartier, c'est de mettre les détenus sous cloche
10:20
pour pas qu'ils puissent se communiquer avec l'extérieur.
10:22
Ils ont même des parloirs hijiophones.
10:24
Ils sont limités dans leur rencontre.
10:27
Et là, on va lui permettre de sortir toute une journée
10:28
pour aller voir un employeur.
10:30
Je ne suis pas sûr qu'avec les revenus qu'il a,
10:33
je ne suis pas convaincu qu'il ait besoin de trouver un travail.
10:36
Et enfin, on met tout le système.
10:37
Donc moi, j'ai demandé à l'administration pénitentiaire, au cabinet,
10:39
à ce que ce détenu ne puisse pas être réintégré
10:42
au quartier de haute sécurité.
10:43
Il n'a plus sa place dans ce quartier.
10:45
Soit l'administration s'est complètement plantée
10:47
sur les 100 détenus les plus dangereux,
10:50
ce dont je ne pense pas.
10:53
Et dans ce cas-là, ce détenu, malheureusement,
10:55
qui est une vraie menace,
10:56
et on sait ce qui s'est passé à Marseille,
10:58
d'ailleurs, celui qui a commandité, visiblement,
11:00
le meurtre du jeune de Marseille,
11:02
lui, n'y était pas dans ces quartiers.
11:04
Là aussi, il faut se poser la question.
11:06
Pourquoi ce détenu n'y était pas ?
11:08
Il aurait peut-être eu toute sa place.
11:09
Et vous voyez, on a...
11:10
Et là aussi, pour mettre ces gens dans ces quartiers,
11:13
c'est aussi le magistrat qui accède tout le monde.
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