- il y a 1 jour
Avec Louis Aliot, maire de Perpignan et vice-président du RN
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NewsTranscription
00:01Jean-François Aquili, votre invité politique ce matin, c'est Louis Alliot, le maire de Perpignan et vice-président du Rassemblement National.
00:11Bonjour Louis Alliot. Il ne s'agit pas d'un crime d'avertissement mais d'un crime politique.
00:16Déclaration d'Amin Kessassi au 20h de France 2 après le meurtre de son frère Mehdi jeudi dernier à Marseille.
00:22Qu'attendez-vous de la visite sur place une semaine après le drame de Gérald Damernin et Laurent Nunez ?
00:28Écoutez, à peu près autant que toutes les visites qu'ils ont pu faire maintenant depuis plus d'un mandat, avec des déplacements de communication et jamais de prise de décision importante pour réguler la situation, ou en tout cas pour régler la situation.
00:45Donc je n'en attends rien.
00:47Rien, vous dites ?
00:47Rien.
00:48Il n'y a pas de réponse de l'État dans la lutte contre le narcotrafic ?
00:52Il y a une réponse mais qui n'est pas à la hauteur de la guerre qu'il faudrait mener.
00:56Et quand on fait la guerre, il faut aussi avoir le courage de s'en donner les moyens.
01:02Or, on voit bien que nous n'avons ni les moyens matériels, ni les moyens humains.
01:08Et que si j'écoute le Président de la République qui veut une stratégie comme celle qui a prévalu dans la guerre contre le terrorisme,
01:16eh bien il va falloir mettre des moyens que je pense aujourd'hui nous n'avons pas.
01:19D'abord celle du renseignement, je ne suis pas assez calé sur le sujet pour vous dire si en matière de renseignement nous avons les éléments sur les trafics,
01:28mais aussi en matière de relations internationales pour aller voir les pays qui nous fournissent un certain nombre de trafiquants de drogue,
01:36et de voir avec eux jusqu'à quand ça va durer.
01:38La nouvelle loi, le parquet, le PNACO qui arrive le 1er janvier, ça ne suffit pas à vos yeux ?
01:45Alors ça pour le coup c'est déjà une idée qui peut-être, si elle a les moyens, donnera en tout cas sur le terrain une présence accrue d'une stratégie qui commence à s'esquisser.
02:03Mais moi je peux vous dire, pour être maire de Perpignan, que la situation est gravissime.
02:07Et moi je le dis depuis déjà longtemps, mais jamais entendu.
02:12Je me souviens en 2014, je vais vous faire une anecdote, j'étais en campagne électorale et j'avais fait un tract en disant
02:16il faut éradiquer le trafic de drogue dans un quartier qui s'appelle Chez-nous Saint-Jacques,
02:20et un officier de police était venu me voir en ma permanence et m'avait dit,
02:23M. Adio, mais si vous faites ça, c'est la guerre civile.
02:26Parce que la drogue c'est du trafic, mais c'est aussi un amortisseur social aujourd'hui.
02:30Et si vous voulez vous attaquer au trafic de drogue et à tout ce qui se passe dans les quartiers,
02:35vous avez intérêt à mettre des moyens de prévention, des moyens de répression,
02:40et ensuite derrière, il va falloir faire le service après-vente et on n'y est pas prêt.
02:44– Le maire de Perpignan ne fait rien ou ne peut rien faire face au narcotrafic sur place.
02:49– Si, je mets des policiers dans la rue, j'ai une section spéciale,
02:55mais qui va jusqu'à l'extrême limite de ce que le droit lui permet,
02:58c'est-à-dire d'arrêter les dealers de démanteler des points de deal avec la police nationale
03:03et de les remettre à la justice.
03:05Mais écoutez, vous arrêtez des dealers dix fois par semaine,
03:09dix fois ils sont dehors, donc il y a quand même un problème, y compris avec la justice.
03:12– Ce sont parfois les bourgeois des centres-villes qui financent les narcotrafiquants,
03:16en déclaration d'Emmanuel Macron en Conseil des ministres, le chef de l'État a raison ?
03:21– Il ne devrait pas prendre les bourgeois pour cible,
03:24parce que je pense que tout le monde est concerné.
03:26– Qui sont les bourgeois ?
03:26– Le fils d'ouvrier comme le fils de bourgeois.
03:29– Mais qui sont les bourgeois ?
03:30– Les gens qui ont de l'argent, les gens qui ont les moyens.
03:32Et il est évident qu'en s'occupant des consommateurs,
03:35on arriverait évidemment à s'occuper du trafic de drogue.
03:38Mais il le dit, je ne sais pas, peut-être qu'il en connaît un rayon autour de lui, j'en sais rien.
03:41– Vous pensez, quand vous dites ça,
03:43vous pensez qu'il y a des politiques parmi ces bourgeois, Louis Alliot ?
03:46– Moi je suis persuadé que dans le monde politique, c'est un fléau répandu.
03:50Voilà, c'est un fléau répandu.
03:52– Répandu, chez les politiques ?
03:54– Oui, pourquoi on ne s'en occupe pas ?
03:56– Pourquoi vous dites ça ? Vous avez d'expérience ? Vous savez ?
04:00– Je tairais, mais vous vous souvenez de Mme Voinet ?
04:04Elle avait dit qu'il fallait libéraliser d'ailleurs le trafic de drogue
04:06et qu'elle en consommait elle-même.
04:08Quand vous avez un ministre en exercice à l'époque de Jospin,
04:11je crois que c'était, qui vous dit qu'elle se drogue elle-même,
04:13ou en tout cas qu'elle participe à ça.
04:16Il ne faut pas s'étonner que derrière, il y ait toute une jeunesse
04:18qui se sente finalement le droit et le loisir d'aller avec.
04:22Mais la gravité, c'est pas la consommation, c'est grave la consommation d'elle-même,
04:27c'est les effets psychiatriques sur les jeunes esprits qui les prennent.
04:30– Mais quand vous dites, chez les politiques,
04:32vous pensez que dans tous les partis, y compris au Rassemblement National,
04:35il peut y avoir de la consommation de drogue ?
04:37– Vous savez, nous sommes tous des êtres humains et tous avec des forces et des faiblesses.
04:42Il est évident que le fléau de la drogue touche tout le monde
04:45et très certainement, sans en avoir pu vérifier moi-même la réalité,
04:50des gens qui peut-être ne sont pas très loin de moi, oui ?
04:53– Partout, dans tous les partis.
04:54– Quand je vous dis que c'est un fléau et c'est massif,
04:58je pèse mes mots parce que je le vois partout dans ma ville.
05:02– Vous n'en direz pas plus, j'imagine.
05:04– Je vous dis, je vois malheureusement des enfants très bien élevés,
05:08de bonnes familles, qui sombrent là-dedans et qui malheureusement,
05:11quelquefois, terminent mal.
05:12– Piste de réflexion encore là-dessus, Louis Sarkozy,
05:14candidat à l'air à la mairie de Menton,
05:15qui propose de dépénaliser toutes les drogues, dit-il,
05:18pour détruire le marché du deal.
05:21C'est une piste ou pas ?
05:22– C'est du n'importe quoi, voilà.
05:23Je pense qu'il a perdu l'élection, déjà,
05:25c'était pas brillant contre notre ami Alexandre Amasson
05:28et qu'avec cette phrase-là, c'est même plus la peine qu'il se présente.
05:31– Louis Alliot, le RN demain au pouvoir,
05:33il y a un plan anti-drogue dans les cartons,
05:36vous parliez des pays étrangers,
05:37vous pensez même aller frapper à la porte des pays amis,
05:39je pense au Maroc ?
05:41– Mais tout, le Maghreb en général,
05:42moi je pense pas au Maroc en particulier,
05:44mais comme vous savez, je suis une ville frontalière de l'Espagne
05:47et j'écoute les spécialistes de la question,
05:51cette drogue-là, elle remonte
05:52par l'Espagne et elle vient précisément
05:54des pays du Maghreb.
05:56Et aujourd'hui, on est envahi par la cocaïne,
05:58par exemple, celle-là ne vient pas du Maghreb
06:00et Barcelone devient une plaque tournante
06:02de la distribution de drogue.
06:04Donc il va falloir comment on explique
06:05que des bateaux entiers arrivent
06:07de Colombie ou je ne sais où
06:08jusqu'au port de Barcelone
06:10pour distribuer leur venin
06:12à l'ensemble de l'Europe.
06:13Moi j'aimerais savoir comment ça se fait et pourquoi.
06:15– Autre déclaration, il faut accepter de perdre nos enfants.
06:19Que dites-vous ?
06:20Je ne sais pas si vous étiez dans la salle
06:21de cette déclaration choc du général Fabien Mondon,
06:25le chef d'état-major des armées.
06:27– Alors il y a deux choses.
06:28Il y a un, oui, quand vous êtes français et patriote,
06:31il faut être prêt à mourir pour son pays.
06:33Ça, ça me paraît évident
06:34et il ne fait que répéter une évidence.
06:37En revanche, il faut que la guerre que vous menez
06:40soit juste et qu'elle soit comprise
06:41ou que la nécessité fasse
06:43que ce soit carrément la survie de la nation
06:46qui soit en jeu.
06:47À ce jour, au regard de ce qu'a dit
06:49cet officier supérieur de l'année française,
06:50le chef d'état-major,
06:52moi je ne pense pas qu'il y ait beaucoup de Français
06:53qui sont prêts à aller mourir pour l'Ukraine.
06:54Il faut quand même en avoir conscience
06:55même si la Russie donne des signaux inquiétants.
06:59Et j'ajoute que quand on a une cinquième colonne
07:02installée en France,
07:03Une cinquième colonne ?
07:04Oui, il faut peut-être s'occuper
07:05de la cinquième colonne installée chez nous,
07:07c'est-à-dire une partie de la population
07:09qui déteste la France,
07:11qui nuit à ses intérêts de l'intérieur.
07:13Et je ne vois pas moi comment vous les mobilisez.
07:15Vous pensez à qui ?
07:16Tous ceux que vous voyez aujourd'hui dans les quartiers
07:18qui contestent la France,
07:20son modèle,
07:21qui contestent la République elle-même,
07:23qui sont dans le communautarisme exacerbé,
07:26les intégrismes religieux, etc.
07:27Vous désignez qui ?
07:28Vous parlez d'autre chose,
07:29c'est l'islam radical.
07:30Mais je ne parle pas.
07:31Si vous mobilisez une population
07:32pour aller se battre,
07:33vous croyez qu'il y a des...
07:34Par exemple,
07:34les islamistes radicaux vont se mobiliser
07:36pour aller se battre pour la France,
07:38mais je crois que vous vous trompez.
07:39Est-ce qu'on va faire un jour
07:41la guerre contre les Russes,
07:42à vos yeux, Louis Alliot ?
07:43Oui, je n'en sais rien.
07:45Je ne crois pas.
07:46Je ne l'espère pas.
07:48Mais dans tous les cas de figure,
07:49il faut être prudent
07:50et se préparer à toutes les éventualités.
07:54Mais je pense qu'aujourd'hui,
07:55l'ennemi principal n'est pas à l'aise,
07:58c'est une opinion personnelle.
08:00Ce qui fait dire que le Rassemblement national
08:02est toujours très pro-russe.
08:03Non, il n'est pas pro-russe,
08:04il est prudent.
08:05Je vous rappelle que je suis allé chercher,
08:07moi, 300 civils ukrainiens,
08:11victimes des premiers bombardements russes.
08:14Donc moi, je n'ai pas de problème
08:14avec la Russie et l'Ukraine.
08:17Simplement, je serais plutôt rassuré
08:20si on se donnait les moyens en France
08:22d'assurer notre propre protection.
08:24On n'arrive pas à assurer la sécurité
08:26de nos quartiers.
08:28Il va falloir comment on m'explique,
08:29comment on va se projeter à l'extérieur
08:30pour assurer la sécurité des autres.
08:32Louis Alliot, je vous parlais de la taxe foncière,
08:34mais d'un mot tout de même.
08:35Pourquoi avez-vous critiqué sur X
08:37la réception par Emmanuel Macron
08:39à l'Elysée de Boalem-Sansal
08:40de retour en France après sa remise en liberté ?
08:43Pourquoi cette critique ?
08:43Parce que le comité de soutien à Boalem-Sansal
08:45qui est mené par M. Benedetti
08:48et par Mme Noël Lenoir,
08:51aujourd'hui, il n'a aucune nouvelle de personne
08:53et même pas du président de la République.
08:55C'est quand même un comité
08:56qui a des personnalités éminentes,
08:58d'anciens ministres.
09:00Il y a même, je crois,
09:00François Hollande qui a signé
09:01et Nicolas Sarkozy,
09:02deux anciens présidents.
09:04Eh bien, le président actuel
09:05tient Boalem-Sansal,
09:08je ne vais pas dire au secret,
09:09mais en tout cas,
09:10peut-être lui a intimé l'ordre
09:11de ne pas parler.
09:12Et moi, j'aimerais savoir pourquoi.
09:14J'espère que ce n'est pas
09:15une injonction de plus
09:18de l'Algérie par rapport à la France.
09:20Et quand je vois que M. Macron
09:21va aller se croire ce week-end
09:22rencontrer M. Théboune
09:23ou M. Théboune venir en France
09:25discuter avec M. Macron,
09:26je suis assez inquiet
09:27de savoir les discussions
09:29qu'ils vont avoir tous les deux.
09:30Allez, Laval, c'est des impôts
09:32à présent.
09:33Êtes-vous d'accord
09:34avec l'annonce
09:34de la hausse de la taxe foncière
09:36pour 7 400 000 foyers,
09:39annonce faite
09:40dans la nuit précédente ?
09:42Évidemment que non.
09:43En plus que cette taxe foncière,
09:46du fait de l'augmentation
09:47des bases,
09:48c'est-à-dire de l'État,
09:50a déjà augmenté
09:51sur tout le mandat.
09:52Donc en rajouter une louche,
09:53si vous voulez,
09:54ça me paraît
09:54totalement incroyable.
09:56Et j'ajoute que
09:57les critères
09:59qui sont pris en compte
10:01pour augmenter
10:02cette taxe foncière
10:03encore plus,
10:04le fait d'avoir
10:04une douche chez soi
10:05est considéré comme...
10:07L'électricité.
10:07Ou l'électricité
10:08est considéré comme,
10:10j'allais dire,
10:10un équipement de confort,
10:12ça me paraît
10:12pour les coûts délirants.
10:13Même si ces 466 millions d'euros
10:15tomberont,
10:16ou tomberaient,
10:16apparemment il y a
10:17un rétropédalage,
10:18dans les caisses
10:18des communes,
10:19des départements,
10:20c'est-à-dire chez vous.
10:21Oui, d'accord,
10:21sauf que...
10:22C'est vous.
10:22Oui, mais d'abord...
10:23C'est de l'argent pour les communes.
10:24Oui, mais c'est de l'argent
10:25à moins pour le pouvoir d'achat.
10:27Et deux,
10:28je pense que le gouvernement
10:29s'apprête avec le budget
10:30qui est en cours
10:31à ponctionner
10:31les collectivités locales
10:33d'une manière
10:33encore plus importante
10:35et donc de mettre à mal
10:36les finances publiques.
10:37Et pendant ce temps,
10:38Louis Alliot,
10:38vos amis,
10:39un député du Rassemblement National,
10:40multiplient les votes de taxes...
10:42Non, ça c'est votre point de vue.
10:44Non, non, mais c'est pas vrai.
10:45Voilà, c'est pas vrai.
10:46Ce n'est pas vrai.
10:47Notre budget...
10:48La taxe multinationale,
10:49c'est pas vrai ?
10:50Oui, non, mais ça...
10:51Non, mais pourquoi
10:52les multinationales
10:53ne paieraient pas d'impôts
10:54en France
10:55alors que nos artisans
10:56les payent ?
10:56Vous êtes d'accord
10:57qu'il y a un brouillage
10:57quand même de messages ?
10:58Il n'y a pas un brouillage.
10:58Il y a les médias
10:59qui s'amusent à créer
11:00ce brouillage.
11:01Si vous allez voir
11:02les textes et les mesures
11:03que nous proposons,
11:04vous verrez que tout ça
11:05est très équilibré
11:06entre le moins de dépenses
11:08et effectivement
11:10un certain nombre
11:12d'autres petites taxes
11:14qui effacent évidemment
11:15des impôts
11:15qui existent déjà.
11:16Vous dites que c'est faux
11:17parce que vous avez peur
11:18de fâcher les chefs d'entreprise
11:19et vous soutenez
11:21avec Jordan Bardella,
11:21votre président,
11:23plutôt pro-business maintenant.
11:25C'est un peu nouveau.
11:26Vous pouvez être pro-business
11:28et défendre
11:28les classes populaires.
11:30Moi je sais que mon cœur de cible
11:31a toujours été
11:32le commerce,
11:34l'artisanat,
11:34les PME
11:35et sur cela précisément
11:37on n'en parle jamais.
11:38On parle des multinationales,
11:40on parle des grands groupes,
11:41on fantasme sur tout cela
11:43mais qui s'occupe
11:43du petit commerçant
11:44au coin de la rue ?
11:45Pas grand monde à part nous.
11:46Louis Alliot,
11:47deux petites questions
11:47pour boucler cet entretien.
11:49Vous vous représentez
11:50j'imagine à Perpignan
11:51sauf si...
11:52Non, il n'y a pas de sauf si,
11:53je me représente à Perpignan.
11:54La cour d'appel
11:55vous déclarez délégée ?
11:57Non, parce que la cour d'appel
11:57se prononcera bien après l'élection.
11:59Bien après.
11:59Et éventuellement
12:00il y aura le recours en cassation.
12:02Donc vous représentez.
12:03Je serai candidat
12:04à l'élection municipale
12:05de mars 2026.
12:06Le Rassemblement national
12:07vise Marseille.
12:09C'est un objectif.
12:10Et pas que ?
12:11Et Toulon, Nice...
12:13Vous pensez à combien de gains
12:15de grandes villes ?
12:16Vous êtes la seule grande ville,
12:17vous, à Perpignan.
12:18On ne peut pas donner de gains
12:19mais il y a de fortes chances
12:20que je sois rejoint
12:23dans le top des grandes villes
12:25par, je pense,
12:26notamment Toulon.
12:27Voilà.
12:27C'est quoi ?
12:283, 4, 5, 10...
12:29Non mais pas de chiffres.
12:30Pas de chiffres.
12:31Pas de chiffres
12:31parce que vous savez
12:32une municipale
12:32c'est aussi l'histoire
12:34d'un candidat
12:35avec sa ville.
12:36D'accord.
12:36Vous êtes prudent Louis Alliou.
12:37Toute dernière question.
12:38Leroy Merlin
12:39qui renonce à ses pubs
12:40sur le site de Frontières
12:41après une campagne
12:43d'un collectif de militants
12:44de Sleeping Giants
12:45soutenu par la France Insoumise.
12:47Qu'est-ce que vous dites ?
12:47Qu'elle se soumet
12:48aux injonctions de l'extrême gauche
12:50et que les patriotes
12:51en allaient acheter
12:52de l'outillage
12:52ou du matériel
12:53regarderont de plus près
12:55aller à Leroy Merlin
12:56ou ailleurs.
12:56Leroy Merlin a tort.
12:57L'enseigne ?
12:58Bien sûr.
12:59Commencer à vous soumettre
13:00à ce genre de choses
13:01ça s'arrête où ?
13:02Qu'est-ce que ça veut dire
13:03selon vous ?
13:03Ça veut dire que ces gens
13:05sont trop prudents
13:06à mon avis
13:06et que finalement
13:08ils ont le double effet.
13:11C'est l'effet boomerang.
13:12Ils ont cru bien faire
13:13en enlevant cette pub
13:15et ils s'aperçoivent aujourd'hui
13:16que ça crée un scandale
13:17presque national
13:18et qu'ils vont être victimes
13:21de leur propre scénario.
13:24Merci à vous Louis Alliou.
13:25Merci.
13:25Merci.
13:26Merci Louis Alliou
13:28et Jean-François Aquilly.
13:29Sur ce qu'on vient d'évoquer
13:30vous pouvez réagir.
13:32J'attends vos appels.
13:33Que pensez-vous
13:33de cette polémique
13:34Leroy Merlin
13:35qui a cédé à la pression
13:37comme l'a dit Louis Alliou ?
13:39Est-ce que vous êtes d'accord ?
13:40Vous considérez
13:41que c'est normal
13:41effectivement
13:42qu'il ne devait pas mettre
13:44ses pubs
13:44sur le site Frontières ?
13:46J'aimerais vous entendre
13:470 826 300 300.
13:49On va revenir aussi
13:50sur le discours
13:51du chef d'état-major
13:53des armées
13:54Fabien Mandon.
13:55Est-ce que c'est
13:55trop anxiogène ?
13:57Trop alarmiste ?
13:58Délirant ?
13:59Ou alors est-ce que c'est lucide ?
14:00Au contraire,
14:01sa déclaration
14:01Elisabeth Lévy,
14:02Françoise Decois,
14:03elles n'ont pas
14:04la même vision des choses
14:05et j'aimerais vous entendre.
14:06Vous savez,
14:06vous avez une parole libre
14:070 826 300 300.
14:10Et puis,
14:10comment faire
14:11pour s'attaquer
14:11au narcotrafic ?
14:13Quelle guerre menée ?
14:14Est-ce qu'il faut
14:14s'attaquer
14:15aux consommateurs ?
14:16Les petits bourgeois
14:17comme a dit Emmanuel Macron
14:18des centres-villes.
14:20Je ne sais pas
14:21ce que vous pensez
14:21de cette petite phrase.
14:22On en parle ensemble évidemment.
14:24La parole est libre
14:24sur Sud Radio.
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