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Les Vraies Voix avec Philippe Bilger, président de l'Institut de la parole ; Michaël Sadoun, chroniqueur politique et consultant ; Stéphanie Gay-Torrente, directrice du Salon des Maires et des Collectivités Locales.

Retrouvez Les Vraies Voix avec Cécile de Ménibus et Philippe David du lundi au vendredi de 17h à 20h sur #SudRadio.
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##LES_VRAIES_VOIX-2025-11-14##

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News
Transcription
00:00:00Les Vraies Voix Sud Radio, 18h-20h, Cécile Dominibus, Philippe David.
00:00:05Mon Dieu qu'elle est bête !
00:00:07Bienvenue, on est ravis de vous accueillir pour cette dernière journée de la semaine,
00:00:12ce vendredi avec un Philippe Bilger au top !
00:00:15Bonsoir mon cher Philippe Bilger.
00:00:16Ah oui, bonsoir ma chère Cécile.
00:00:18Mickaël Sadoune qui est avec nos chroniqueurs politiques et consultants.
00:00:21Bonsoir Mickaël.
00:00:22Bonsoir.
00:00:22Quelle élégance, mais quelle élégance.
00:00:24Oui, écoutez, j'ai fait un effort.
00:00:25Vous êtes habillé en moi aujourd'hui, ou moi je suis habillé en vous.
00:00:27Oui, oui, oui, oui.
00:00:28Ah non, vous c'est du bleu marine, mais c'est du noir.
00:00:32Ok.
00:00:33Merci Philippe David.
00:00:35Il y a des fois, je trouve que vous avez bien fait de réagir.
00:00:38C'est intéressant.
00:00:38D'autant plus qu'il s'est trompé, parce qu'en plus je suis aussi en bleu marine.
00:00:41Oui, mais c'est pas grave.
00:00:42En plus il est haltonien.
00:00:45Il nourrit le débat, il apporte des trucs, c'est dingue, c'est dingue.
00:00:49Allez, ça fait même du bien de rire avec vous.
00:00:52Ce numéro de téléphone, c'est Zach, qui est au bout, au 0826 300 300.
00:00:57Non, il n'est pas au bout du rouleau, il est au bout du fil.
00:01:01Bien sûr, allez, sérieusement, avec le grand débat du jour, on reviendra.
00:01:05Depuis 2023, 52 animateurs périscolaires ont été écartés par la ville de Paris
00:01:10après des signalements d'agressions sexuelles dans des écoles et des centres de loisirs.
00:01:14Et d'où la question du jour, scandale des agressions sexuelles dans les écoles de Paris.
00:01:18Nos enfants sont-ils en danger dans nos écoles ?
00:01:20Eh bien, vous dites oui, à 92%, vous voulez réagir le 0826 300 300.
00:01:25Alors moi, je le dis, évidemment, il faut être vigilant, mais ne cédons surtout pas à la psychose.
00:01:30L'immense majorité des personnels en contact avec les enfants sont parfaitement honnêtes et respectables.
00:01:36Et puis, la question du soir, on revient sur cet amendement au projet de loi de finances pour 2026
00:01:41qui vise à instaurer une taxe qui ciblera les franchisés de la restauration d'un rapide.
00:01:46Selon les députés verts, l'enjeu est autant économique que sanitaire.
00:01:49Et on vous pose cette question.
00:01:50Budget 2026, un amendement prévoit une nouvelle taxe sur les fast-foods.
00:01:53Bonne idée, mauvaise idée, sans opinion.
00:01:55Vous pensez à 55% que c'est une mauvaise idée, à 29% que c'est une bonne idée,
00:02:00et à 16% vous êtes sans opinion.
00:02:02Alors moi, j'en ai marre de toutes ces taxes.
00:02:04Chacun est responsable de ses choix nutritifs,
00:02:07et nul n'est obligé de manger et de la voyer, ce que je veux dire,
00:02:10comme disait un chroniqueur de télévision célèbre.
00:02:13Allez, tout de suite, on revient sur ces scandales des agressions sexuelles à l'école.
00:02:17Éric vit dans l'angoisse, celle que sa fille de 5 ans ait pu être victime de violences sexuelles à l'école.
00:02:22On vous dit, il y a peut-être un danger pour vos enfants, surveillez-les.
00:02:25On n'a pas d'informations sur les risques psychologiques,
00:02:28on n'a pas d'informations sur les mesures qui sont prises,
00:02:31et surtout qui auraient pu être reprises.
00:02:32C'est des charlots, à un moment.
00:02:34Pour le prochain animateur, le recrutement, est-ce qu'on va être rassurés ?
00:02:39On ne sait pas.
00:02:40Je n'ai plus confiance.
00:02:40Si les trois animateurs visés par l'enquête en cours ont été suspendus à titre conservatoire,
00:02:45aucun d'entre eux n'est mis en examen à ce stade.
00:02:47Philippe Bilger, ça fait froid dans le dos quand même, j'ai envie de dire.
00:02:54Absolument, Cécile.
00:02:55Mais j'ai connu dans ma vie amicale et des expériences où tout à coup,
00:03:03on apprenait qu'un jeune homme ou un homme s'était livré à des actes,
00:03:08et c'est un euphémisme indélicat sur des enfants.
00:03:12Et à chaque fois, quand on réfléchissait,
00:03:16il y avait eu de la part de ces gens qui étaient soupçonnés ou impliqués,
00:03:22une attitude un petit peu étrange à l'égard des enfants.
00:03:26Je ne veux pas dire qu'on ne choisit jamais par hasard
00:03:30ces professions d'éducation, de soutien,
00:03:34où on est naturellement en relation avec des enfants.
00:03:38Et sur le fond, je rejoins ce qu'a dit Philippe,
00:03:41qui est très sage et très pertinemment.
00:03:44Il ne s'agit pas de jeter la pierre sur tous ces éducateurs
00:03:50qui font un travail remarquable.
00:03:52Mais il faut être beaucoup plus vigilant qu'on ne l'est à l'heure actuelle,
00:03:56parce que ça n'est jamais neutre d'aller d'une certaine manière vers les enfants.
00:04:02Et quel ça donne ?
00:04:04Écoutez, moi j'ai été, en m'informant un petit peu sur le sujet,
00:04:07étonné par l'ampleur de la chose.
00:04:08Franchement, je ne m'attendais pas à tel chiffre.
00:04:12Et puis en plus, la difficulté de la chose, c'est évidemment que ça vise des enfants.
00:04:15Donc la notion de plainte, de reporting, d'identification même,
00:04:20du mal qui est fait, est compliquée à faire,
00:04:24puisque ça vise des personnes, vous savez,
00:04:26l'étymologie du mot enfant, c'est celui qui n'a pas la parole.
00:04:30Donc c'est plus compliqué.
00:04:31Je suis d'accord avec Philippe Bilger,
00:04:33pour moi la seule réponse, c'est de redoubler de vigilance
00:04:36vis-à-vis du personnel éducatif.
00:04:38Je ne sais pas quoi vous dire de plus.
00:04:40Il faut évidemment aussi que les parents s'enquérissent
00:04:42de la journée de leurs enfants, de ce qu'ils ont fait, de machin.
00:04:45Je pense que c'est la seule manière d'éviter ce genre de choses.
00:04:48De tous les signes qui apparaissent,
00:04:50et parfois qui sont informulés, naturellement.
00:04:54J'en profite pour dire que si toutefois vous étiez face à ce type de drame,
00:04:59vous pouvez appeler le 30-20, qui est un numéro destiné aux victimes
00:05:01de tous les types de harcèlement rencontrés en milieu scolaire.
00:05:05Philippe David.
00:05:05Alors moi, je trouve qu'on va peut-être un peu vite en besogne,
00:05:09surtout que la mairie de Paris, après une décision,
00:05:12c'est de durcir son protocole,
00:05:13et en cas de signalement, vous êtes directement viré,
00:05:17et vous ne pouvez plus être mis en contact avec des enfants.
00:05:19Mais un enfant peut affabuler, peut raconter n'importe quoi.
00:05:23Bien sûr.
00:05:24Désolé, mais la présomption d'innocence,
00:05:26c'est fait devant la justice,
00:05:28Philippe Bilger ne me dira pas le contraire,
00:05:30mais ça doit aussi,
00:05:32parce qu'un gamin peut raconter n'importe quoi, vous savez.
00:05:35Moi, je l'ai déjà raconté à ce micro,
00:05:36j'ai un ami qui a fait de la prison pendant plusieurs mois
00:05:39pour un viol dont la fille de sa concubine l'avait accusé,
00:05:43et qu'il n'avait absolument pas commis,
00:05:44il a été totalement innocenté.
00:05:46Mais je ne sais pas,
00:05:48alors je veux bien qu'il y ait maintenant
00:05:50le principe de précaution partout,
00:05:52à commencer par la Constitution,
00:05:53mais j'ai peur qu'on aille quand même très loin,
00:05:55d'autant qu'il y a quand même un léger problème,
00:05:57c'est qu'on manque beaucoup de personnel
00:05:58dans ce type de profession,
00:06:00alors si en plus on décourage les gens d'y aller
00:06:02ou qu'on les vire pour tout et n'importe quoi,
00:06:05on ne va pas après se plaindre en plus
00:06:06qu'il y ait encore plus de pénurie de personnel,
00:06:08ou alors on est chez les fous.
00:06:09Mais est-ce qu'on peut imaginer que,
00:06:11comme souvent dans l'éducation nationale,
00:06:14qu'il y ait quand même du pas de vagues,
00:06:16Philippe Bilger ?
00:06:17– Je pense que ça a dû être le cas,
00:06:20cher Cécile, j'ai l'impression,
00:06:23et si j'en réfère à beaucoup d'affaires,
00:06:26notamment dans le domaine du sport,
00:06:28que dorénavant on fait très attention,
00:06:31et que la moindre faiblesse sur ce plan,
00:06:35le moindre geste indélicat,
00:06:37est dénoncé et fait l'objet d'une procédure,
00:06:41et je m'en réjouis.
00:06:42en effet, on risque des dérives,
00:06:45mais mieux vaut des dérives,
00:06:47qui ont pris, au moins au départ,
00:06:49la juste mesure de la gravité,
00:06:52que l'inverse d'hier, vous êtes d'accord.
00:06:55– On est bien d'accord,
00:06:55mais il ne faut pas non plus que le principe de précaution
00:06:57devienne la nouvelle machine à broyer,
00:07:01parce que ça a quand même ses limites.
00:07:03– Je suis d'accord,
00:07:03je suis complètement d'accord.
00:07:05– Après, tout dépend de l'âge de l'enfant.
00:07:08– Absolument.
00:07:09– Un enfant en très bas âge,
00:07:10c'est difficile de ne pas lui donner.
00:07:11– On est bien d'accord.
00:07:12– Et tout dépend, j'ai envie de vous dire,
00:07:13même du signe d'affection.
00:07:15Parfois, vous savez,
00:07:16la frontière peut être un peu malaisante.
00:07:18Je ne sais pas si vous vous souvenez de Joe Biden
00:07:20qui touchait un petit peu des enfants comme ça.
00:07:23Alors, moi, je pense qu'il était simplement affectueux avec eux,
00:07:26mais en effet, il peut y avoir quelque chose d'un peu malaisant.
00:07:29Donc, la frontière est un peu difficile à définir.
00:07:33Il y a évidemment des choses qui ne sont pas sujets à caution
00:07:35et qui, de toute façon, doivent être condamnées.
00:07:37Ça, on est entièrement d'accord là-dessus.
00:07:39Il n'y a pas le moins de commencement de doute.
00:07:40– C'est assez particulier.
00:07:42C'est assez particulier.
00:07:43C'est assez particulier.
00:07:45Je pense, évidemment,
00:07:46et là, je suis peut-être traduit en disant ça,
00:07:48mais que c'est plus bizarre quand ça touche particulièrement,
00:07:52je trouve, les hommes.
00:07:53La proximité des femmes avec les enfants me choque moins.
00:07:59Évidemment, il peut y avoir une agression
00:08:00qui est commise par une femme.
00:08:02Je ne le conteste pas.
00:08:03Mais ça me choque moins
00:08:03que la trop grande proximité d'un homme avec des enfants.
00:08:06Voilà.
00:08:07– Merci.
00:08:08Vous restez avec nous.
00:08:09On continue.
00:08:10Et déjà, ça sonne beaucoup.
00:08:12Ça fait beaucoup réagir.
00:08:13Au 0826 300 300,
00:08:15on fait une petite pause
00:08:16et on est très heureux, en tout cas,
00:08:17de vous accompagner jusqu'à 19h30.
00:08:19– Sud Radio.
00:08:20– Parlons vrai.
00:08:20– Parlons vrai.
00:08:21– Sud Radio.
00:08:21– Parlons vrai.
00:08:22– Sud Radio.
00:08:23– Parlons vrai.
00:08:23– Les vraies voix Sud Radio, 18h-20h, Cécile Dominibus, Philippe David.
00:08:29– Et avec Philippe David qui vient d'entendre cette pub,
00:08:32la pomme de terre, c'est la vie.
00:08:34– Ah oui ?
00:08:34– Et tout coup tout de suite.
00:08:35– Mais je confirme.
00:08:36– Il a les oreilles qui s'ouvrent,
00:08:39le visage qui s'éclaire.
00:08:40– Ça m'a donné la frite.
00:08:41– J'observais d'ailleurs que Philippe David
00:08:43avait un petit air avec Jean-Pierre Coffre.
00:08:45– Que j'ai cité dans le ressort.
00:08:47– Oui, mais c'est ça, tu vois.
00:08:48– Vous aviez entre la frite et la patate,
00:08:50de toute façon, vous avez les deux.
00:08:51– Vous avez les deux, c'est ça qui est bien.
00:08:53– Les pommes sautées.
00:08:54– Oui, les pommes sautées.
00:08:55– C'est bon ça.
00:08:55– Oui, mais c'est bon.
00:08:57Tiens, en parlant de pommes sautées et de fondues,
00:09:00je vous remets un petit re-tech de gagner l'appareil à fondu.
00:09:04De 150 euros de la marque Fondue,
00:09:06six mots, on parle de pommes de terre,
00:09:07donc forcément, j'ai envie de dire fondue, c'est sûr, c'est sûr, c'est sûr.
00:09:10Une belle fondue à partager entre amis,
00:09:12avec du bouillon, du chocolat, du fromage,
00:09:15même tout mélangé si vous voulez.
00:09:17Vous envoyez un petit SMS, vous écrivez Sud dessus,
00:09:20SUD, vous l'envoyez au 7-20-18
00:09:23et on sera très heureux de vous accueillir à l'antenne.
00:09:26Et puis on revient sur cette information,
00:09:28c'est difficile de passer de l'un à l'autre,
00:09:30mais en tout cas, ce qu'a mis en place la ville de Paris,
00:09:34suspendu 52 animateurs à la suite d'un signalement
00:09:37et des faits d'agressions sexuelles
00:09:38dans des écoles et des centres de loisirs parisiens.
00:09:42Avec Laurence qui est avec nous au 0826 300 300,
00:09:45qui s'appelle de Saint-Martin de Londres.
00:09:47Bonsoir Laurence.
00:09:48Bonsoir Laurence.
00:09:49Bonsoir, bonsoir à tous.
00:09:50Bienvenue Laurence,
00:09:51et vous vouliez réagir sur ce sujet
00:09:53qui est très sensible, si je puis dire.
00:09:55Oui, je voudrais préciser aussi
00:09:57que je suis enseignante
00:09:58et que je suis très heurtée
00:10:00d'entendre parler
00:10:03d'agression à l'école
00:10:05alors qu'il s'agit d'animateurs du périscolaire.
00:10:08Ce n'est pas l'école, le périscolaire.
00:10:11On a dit que c'était des animateurs périscolaires.
00:10:15Oui, oui, mais vous dites
00:10:16problème à l'école, problème à l'école, non.
00:10:18Par contre...
00:10:20Enfin, c'est au sein de l'établissement scolaire, voilà.
00:10:23C'est dans les locaux.
00:10:24Oui, dans les locaux, c'est ça.
00:10:25Mais la garderie se fait dans les locaux,
00:10:27la cantine aussi.
00:10:28Oui, absolument.
00:10:28Donc, il ne faut pas tout mélanger.
00:10:31Voilà.
00:10:31Et on a parlé d'animateurs,
00:10:33on n'a pas parlé d'enseignants.
00:10:36Ensuite, je voudrais revenir
00:10:37à un fait avéré,
00:10:39c'est que là, effectivement,
00:10:40ça fait le buzz,
00:10:41c'est quelque chose de dramatique
00:10:43pour les enfants,
00:10:44mais c'est quelque chose
00:10:45pour lequel la mairie
00:10:47a mis des choses en place.
00:10:49Par contre,
00:10:50j'encourage tous les intervenants
00:10:51et les auditeurs
00:10:52à lire le rapport de la civise,
00:10:54qui est la commission indépendante
00:10:57sur l'inceste
00:10:58et les violences faites aux enfants.
00:11:00Ils auront des données chiffrées
00:11:02qui leur montreront
00:11:02que très largement,
00:11:03ces abus se pratiquent
00:11:04dans la famille.
00:11:06Et que chaque année,
00:11:07il y a 160 000 enfants
00:11:08qui sont victimes
00:11:09des violences sexuelles
00:11:10et que seulement 3%
00:11:11auront un procès
00:11:13à la suite de ça.
00:11:14Donc voilà,
00:11:15c'est des proportions
00:11:16qu'il faut garder en tête.
00:11:17Et si vous me dites
00:11:19est-ce que les enfants
00:11:19sont en danger
00:11:20dans ces lieux-là,
00:11:22moi, je ne recrute pas
00:11:22à la mairie de Paris,
00:11:23donc je ne suis pas à même
00:11:24d'évaluer le risque
00:11:25et la façon dont ils filtrent
00:11:27et profilent
00:11:28les gens qu'ils recrutent.
00:11:29Par contre,
00:11:30en tant qu'enseignante,
00:11:31je suis parfaitement à même
00:11:33de vous dire
00:11:33combien de fois
00:11:34j'ai été confrontée
00:11:35à ces problèmes-là
00:11:36dans ma carrière
00:11:37pour vous dire
00:11:38que j'ai tout connu.
00:11:39J'ai connu le collègue
00:11:40mis en cause à tort
00:11:41et qui a été détruit.
00:11:43J'ai connu l'enfant...
00:11:44C'est ce qu'on vient de dire.
00:11:45On vient d'en parler, justement.
00:11:46Voilà.
00:11:46J'ai connu aussi l'enfant
00:11:48pour lequel c'était avéré
00:11:50qui m'a livré son témoignage
00:11:51et qu'à qui l'on a imposé
00:11:53des visites médiatisées
00:11:55avec son père
00:11:55jusqu'à ce que les éducateurs
00:11:57aient peur de cet homme-là
00:11:58et estiment qu'on arrête
00:12:00les visites médiatisées.
00:12:02Donc, voilà.
00:12:03J'ai tout connu.
00:12:04J'ai connu aussi la femme
00:12:05qui dénonce son mari, etc.
00:12:06Par contre,
00:12:07ce qu'il y a de certain,
00:12:08c'est qu'il n'y a aucune volonté
00:12:09de protéger les enfants en France.
00:12:11Il n'y a aucune volonté
00:12:13puisque dans les propositions
00:12:14de la civile,
00:12:15il y avait le questionnement
00:12:16systématique des enfants,
00:12:18le fait que le carnet de santé
00:12:20soit scruté et qu'il y ait
00:12:21des visites médicales claires
00:12:23pour faire émerger
00:12:24certaines choses.
00:12:25Or, Emmanuel Macron
00:12:26a détruit la civile,
00:12:28a dissous la civile.
00:12:29Je vois d'où vous parlez.
00:12:32Oui.
00:12:33Et a dissous la civile.
00:12:36Et de toute façon,
00:12:38moi, je n'ai pas de médecin scolaire
00:12:40vers qui orienter l'enfant,
00:12:41pas de psy scolaire
00:12:42dans mon métier.
00:12:43Donc, voilà.
00:12:45La protection des enfants
00:12:47et des lieux
00:12:47pour recueillir leur parole
00:12:48n'existe pas.
00:12:49Merci en tout cas, Laurence,
00:12:50parce que nous avons pas mal
00:12:51d'auditeurs en ligne
00:12:52qui voudraient s'exprimer.
00:12:53Mariam est avec nous
00:12:54et qui nous appelle de Paris.
00:12:55Bonsoir, Mariam.
00:12:56Bonsoir, Mariam.
00:12:57Myriam, pardon.
00:12:58Voilà, Myriam.
00:13:00Oui.
00:13:01C'est la vieillerie des yeux, pardon.
00:13:02Pardon, Myriam.
00:13:04Je souhaite intervenir.
00:13:06Ce que la dame disait avant
00:13:07que ça n'existe pas
00:13:08au sein de l'école,
00:13:09c'est faux parce que moi,
00:13:10j'ai été victime, ça existe.
00:13:12Mais c'est qu'on ne peut pas parler,
00:13:13on ne parle pas.
00:13:15Je l'ai vécu
00:13:15quand j'étais en cours moyen 1.
00:13:17C'était un professeur
00:13:19aimé de tous
00:13:20qui faisait partie
00:13:21de la communauté catholique.
00:13:22C'était une école publique,
00:13:23un pas privé,
00:13:24mais il faisait la messe
00:13:25par moments aussi.
00:13:26Donc comment dénoncer
00:13:27quelqu'un qui appréciait de tous ?
00:13:29Vous, vous allez passer
00:13:30pour la menteuse.
00:13:31C'est vrai ?
00:13:31Oui.
00:13:32Je l'ai jamais dit
00:13:32avec des copines.
00:13:34Bon, j'ai gardé pour moi.
00:13:35Comment on dit ça ?
00:13:36Vous savez quand votre mémoire,
00:13:37vous l'effacez.
00:13:39Et des années après,
00:13:40vous recroisez la personne.
00:13:41La mémoire traumatique.
00:13:42Exactement.
00:13:43Quand j'ai recroisé ce monsieur-là,
00:13:45j'ai tout revécu.
00:13:47Aujourd'hui,
00:13:47j'ai 48 ans.
00:13:48Je n'ai pas de vie sexuelle.
00:13:50Pourquoi ?
00:13:51Je ne supporte pas
00:13:52qu'on me touche.
00:13:53Je ne me suis jamais fait suivre
00:13:54par un psychologue.
00:13:56J'ai essayé une fois,
00:13:56mais bon.
00:13:57Je me suis dit
00:13:58ça ne sert à rien.
00:13:59J'arrive à en vivre.
00:14:00Pourquoi ?
00:14:01Parce que cette personne
00:14:01est décédée actuellement.
00:14:03Il est décédé
00:14:03de façon tragique.
00:14:04Donc je me suis dit
00:14:05que la vie s'occupe de lui.
00:14:07Mais dans mon entourage,
00:14:09je vous dis
00:14:09que dans les écoles,
00:14:10ça existe et c'est étouffé
00:14:12et c'est caché.
00:14:13On ne peut pas le dire.
00:14:15Merci en tout cas,
00:14:16Myriam,
00:14:16de votre témoignage
00:14:17parce que je sais
00:14:18comme c'est difficile
00:14:20et effectivement lourd,
00:14:21bien entendu.
00:14:23Après,
00:14:24effectivement,
00:14:25Laurence a raison
00:14:26de dire
00:14:26qu'il ne faut pas
00:14:27jeter le propre
00:14:28sur tous les personnels,
00:14:30en tout cas enseignants
00:14:30aujourd'hui
00:14:31qui font un travail remarquable.
00:14:34Moi,
00:14:34j'ai eu la chance
00:14:35de n'avoir que des bons souvenirs.
00:14:37Donc voilà.
00:14:37de la même manière
00:14:39et il ne faut pas
00:14:40exagérer
00:14:41dans j'aucun sens.
00:14:42On ne peut pas dire
00:14:43que tout est étouffé,
00:14:45me semble-t-il.
00:14:45Non, mais tout n'est pas étouffé
00:14:48mais tout ne sort pas
00:14:49et c'est des problèmes
00:14:50quand même dramatiques
00:14:51quand on entend
00:14:52les conséquences
00:14:52que ça a sur un enfant.
00:14:54Jusqu'à l'âge adulte,
00:14:55c'est terrifiant.
00:14:55En tout cas,
00:14:56ça nous permet aussi
00:14:57de rendre hommage
00:14:58à tous les personnels
00:14:59qui travaillent
00:15:00dans l'éducation nationale,
00:15:01qui font très bien
00:15:02leur travail
00:15:02et avec les enfants
00:15:05et dont les enfants
00:15:05sont très heureux
00:15:06en tout cas
00:15:06d'être dans leur classe.
00:15:09Vous voulez réagir ?
00:15:100 826 300 300.
00:15:12Vous savez que
00:15:13vous pouvez nous parler
00:15:14jusqu'à 19h30.
00:15:15Après,
00:15:16Philippe va s'envouiller
00:15:17parce qu'il a une fondue.
00:15:18Donc,
00:15:19non.
00:15:19Ah, parce que vous êtes fondue.
00:15:21C'est ça.
00:15:21Vous êtes fondue.
00:15:22Mais on va faire gagner
00:15:23encore un service
00:15:24à fondu aujourd'hui.
00:15:25Bien entendu qu'on les fera.
00:15:26Allez, tout de suite,
00:15:27on n'y croit pas.
00:15:28Attention,
00:15:29certaines images
00:15:30de ce programme
00:15:31peuvent heurter
00:15:31la sensibilité
00:15:32des plus jeunes.
00:15:33Les Vraies Voix Sud Radio,
00:15:35on n'y croit pas.
00:15:36C'est pas possible.
00:15:38Alors,
00:15:38vous m'excuserez
00:15:38du thème soigneusement
00:15:39choisi par notre
00:15:40Vraie Voix,
00:15:41Philippe David,
00:15:42mais ce soir,
00:15:43direction un univers
00:15:44assez particulier.
00:15:45C'est beaucoup plus léger.
00:15:46C'est beaucoup plus léger.
00:15:47Parce que là,
00:15:48ça se passe contre adulte.
00:15:49C'est une transition
00:15:50assez particulière,
00:15:52mais je la fais quand même.
00:15:53Imaginez un salon
00:15:54où des hommes,
00:15:55gays,
00:15:56bi,
00:15:56ou même hétéro-curieux,
00:15:58tringuent tranquillement
00:15:59avant de se retrouver
00:16:00pour des séances
00:16:01de masturbation collective.
00:16:02Une enquête révèle
00:16:04la popularisation
00:16:05fulgurante de ces clubs,
00:16:07dopés par les amis Covid
00:16:08et aussi l'explosion
00:16:09des communautés en ligne.
00:16:11Une pratique ancienne,
00:16:12me direz-vous,
00:16:13qui revient en force,
00:16:14qui se structure
00:16:14et rassemble désormais
00:16:16chaque mois
00:16:16des dizaines,
00:16:17parfois même
00:16:18des centaines
00:16:18d'hommes
00:16:19dans des soirées
00:16:20très codifiées.
00:16:21Philippe Bilger,
00:16:22comment a réagi
00:16:23votre femme ?
00:16:23Comme vous l'avez dit,
00:16:25je suis hétéro-curieux.
00:16:27Mais ça m'intéresse,
00:16:28c'est-à-dire
00:16:29quelle est la différence
00:16:30de ces séances collectives
00:16:33avec des partouzes,
00:16:36des choses comme ça ?
00:16:37Parce que ce n'est que
00:16:39parce que vous qui en faites
00:16:40beaucoup.
00:16:42Je crois que j'ai bien fait
00:16:44de l'état carrément.
00:16:45Non, ce ne sont que
00:16:47de la masturbation en commun.
00:16:49Les gens,
00:16:50ils sont 10, 20, 30, 40, 50
00:16:51et le nombre de clubs
00:16:52explose.
00:16:54Et ils s'asseillent en cercle ?
00:16:56Oui, je ne sais pas,
00:16:57j'y suis pas allé.
00:16:58Où est-ce qu'ils se mettent
00:16:59de dos les uns ?
00:17:01Non, mais c'est complètement fou
00:17:02de voir que ce type de club
00:17:04explose de sa vente en Paris.
00:17:06On a quand même des gens
00:17:07qui sont complètement décomplexés.
00:17:10C'est-à-dire que...
00:17:11Moi, je pensais que c'était
00:17:12totalement personnel.
00:17:14Moi aussi.
00:17:14Dans notre coin,
00:17:15chacun fait ce qu'il veut.
00:17:17Là, non,
00:17:18on fout des cigales.
00:17:19Il y a tout un dossier
00:17:20dans le monde
00:17:20qui est impressionnant.
00:17:21C'est une enquête.
00:17:22C'est une enquête.
00:17:23Oui, une enquête parlée
00:17:24dans le monde.
00:17:24La proche actualité,
00:17:25c'est bien cette enquête
00:17:25qui est sortie.
00:17:26Oui, que des hommes.
00:17:28Que des hommes.
00:17:29Il y en a un notamment
00:17:31qui interview,
00:17:32il dit, moi j'ai 42 ans,
00:17:33c'est mon jardin secret,
00:17:34ma femme n'est pas au courant,
00:17:35je suis hétéro, curieux.
00:17:37Il n'est pas très secret.
00:17:38Non, non, mais il a répondu
00:17:39au monde.
00:17:41Mais il y avait dans le monde
00:17:42Philippe D.
00:17:44Non, c'était Philippe B.
00:17:46Il y avait les deux.
00:17:47Il y avait les deux.
00:17:49On se dit, on n'y croit pas.
00:17:50Moi, je ne pensais pas
00:17:51que ce type de club,
00:17:52ça pouvait exister.
00:17:53Quand Philippe David
00:17:54nous a envoyé l'information
00:17:55par mail,
00:17:56je me suis dit,
00:17:56c'est quoi encore cette blague ?
00:17:58Voilà, chacun a ses petits.
00:18:00Non, mais non,
00:18:00pèse ma chère Cécile
00:18:01que si on s'affaire rire,
00:18:04mais c'est très révélateur.
00:18:05C'est une évolution des mœurs.
00:18:08Bien sûr.
00:18:08Je ne sais pas.
00:18:10Ah si.
00:18:11Déjà, ça révèle la volonté
00:18:14pour les hommes
00:18:16d'être à part.
00:18:18Ensuite, de mélanger.
00:18:21C'est des exibs.
00:18:22C'est des exibs,
00:18:23mais solitaires, en fait.
00:18:24Alors, le problème...
00:18:25Tu vois ce que je veux dire ?
00:18:26Le problème, c'est que
00:18:27si on y va,
00:18:28enfin, vous,
00:18:28parce que moi,
00:18:29visiblement,
00:18:30je ne serais pas invité,
00:18:31et que vous rencontrez
00:18:33votre patron,
00:18:35ben là,
00:18:35ça fout mal quand même, non ?
00:18:37Ah non, non,
00:18:37je n'imagine pas Patrick Roger.
00:18:38Non, non.
00:18:40Mais surtout,
00:18:42François,
00:18:42c'est bien des hétéros,
00:18:44des homos,
00:18:45tout le monde.
00:18:45Non, non, il y a des hétéros,
00:18:47c'est ça qui a d'intéressant.
00:18:48Il y a tout, il y a tout.
00:18:50Hétéros curieux,
00:18:51hétéros, gays, bi,
00:18:52et tout.
00:18:52Ah ouais,
00:18:53des totalement hétéros,
00:18:54je ne sais pas.
00:18:54Voilà, je suis bien d'accord avec eux.
00:18:56Excusez-moi, excusez-moi.
00:18:58Mickaël Sadoun et Philippe Bilgeat,
00:19:00n'essayez pas d'intectualiser ce truc.
00:19:02C'est totalement binaire.
00:19:03Je ne sais pas,
00:19:04mais c'est étonnant
00:19:05qu'il y ait des hétéros total,
00:19:07je dirais,
00:19:07qui vont dans des endroits
00:19:08juste pour regarder des hommes.
00:19:10Il a raison de prendre le débat en main,
00:19:11c'est peut-être pour se renseigner
00:19:16de savoir
00:19:17est-ce qu'eux ont la bonne pratique
00:19:18et qu'ils veulent voir
00:19:20comment font les autres
00:19:20et puis c'est tout.
00:19:22L'important,
00:19:23c'est que les gens soient contents.
00:19:24Absolument.
00:19:25C'est étonnant.
00:19:27Pas de jugement,
00:19:27mais c'est une vraie enquête.
00:19:28Je pense qu'on lui a fait son week-end,
00:19:29Philippe Bilgeat.
00:19:30Il rêve que les vrais voix
00:19:36aient faire une émission pratique.
00:19:37Mais vous n'auriez le seul
00:19:41qui prend ça en sérieux.
00:19:43C'est moi.
00:19:44Ben oui,
00:19:45il n'y a que vous
00:19:45qui prenez ça en sérieux.
00:19:47Et vous êtes à deux doigts
00:19:48de nous demander l'adresse.
00:19:51C'est ça qu'il faut.
00:19:52Psychologiquement,
00:19:52c'est passionnant.
00:19:53Oui, on va parler en antenne.
00:19:55Allez, on y va.
00:19:55Dans un instant,
00:19:56le tour de table
00:19:57de l'actu des vrais voix.
00:19:58J'ai peur qu'on n'arrête jamais
00:19:59ce sujet.
00:20:00Merci pour ce sujet,
00:20:01Philippe David.
00:20:01J'ai eu une bonne idée.
00:20:03Sud Radio.
00:20:04Sud Radio.
00:20:04Parlons vrai.
00:20:05Parlons vrai.
00:20:05Sud Radio.
00:20:06Les vrais voix Sud Radio.
00:20:0818h20.
00:20:09Cécile Dominibus.
00:20:10Philippe David.
00:20:12Pour ceux qui viennent
00:20:13de nous rejoindre
00:20:13à l'instant
00:20:14et qui m'ont manqué
00:20:15cette séquence inédite,
00:20:19je vous incite
00:20:21à réécouter
00:20:22en replay,
00:20:22bien entendu,
00:20:23la totalité
00:20:24de cette émission.
00:20:25Et vous verrez
00:20:25qu'à un moment donné,
00:20:27il y a un Philippe Bilger.
00:20:29C'est sérieux,
00:20:30ma chère Téphile.
00:20:31Non, je laisse
00:20:31les trois petits points,
00:20:32Philippe,
00:20:32si vous permettez.
00:20:34Est-ce que les gens
00:20:34peuvent voir en replay
00:20:35les pauses ?
00:20:36Non, pas les pauses, non ?
00:20:38Non, pas les pauses.
00:20:39Non, pas les pauses.
00:20:41Ils auraient appris
00:20:41quand même beaucoup de choses
00:20:42sur la sexualité.
00:20:43Sinon, il y a bien longtemps
00:20:44que vous ne seriez plus
00:20:45à l'antenne.
00:20:46Tout de suite,
00:20:47le tour de table.
00:20:48Mais on est chez les fous, là.
00:20:49Oui, je vous le donne en mille.
00:20:50Le meilleur fion,
00:20:51c'est celui de Lucette.
00:20:52Ah ben là, c'est sérieux.
00:20:53Précisons que le fion,
00:20:54ça se mange.
00:20:55Vous déformez ma sensualité.
00:20:57Arrêtez-vous, quoi.
00:20:58Vous avez vu,
00:20:59vous êtes moches
00:20:59comme des culs, quoi.
00:21:00D'habitude,
00:21:01quand on parle de fion
00:21:02sur Sud Radio,
00:21:02c'est entre 14h et 16h
00:21:04avec Brigitte Lett.
00:21:04Et il reste 4 secondes
00:21:05pour avaler.
00:21:06Le tour de table.
00:21:07De l'actualité.
00:21:09Non, mais Maxime,
00:21:10Maxime,
00:21:11je m'adresse à un autre réalisateur.
00:21:12Oui, bonsoir.
00:21:13Ma mère écoute, en fait.
00:21:14On salue.
00:21:15Après, tout a été dit
00:21:16sur l'antenne.
00:21:17Je ne peux plus rien pour vous, là.
00:21:19J'aurais presque envie
00:21:20de me lever.
00:21:21T'as lancé indécent.
00:21:25Après la séquence
00:21:26qu'on vient de vivre,
00:21:27je préfère que vous restiez assis,
00:21:28Philippe.
00:21:30Philippe David.
00:21:31Allez, on va commencer.
00:21:31Je vais faire bref
00:21:32par une bonne nouvelle.
00:21:33La France s'est qualifiée
00:21:34hier soir
00:21:34pour sa huitième
00:21:35Coupe du Monde consécutive
00:21:37en battant l'Ukraine 4 à 0
00:21:39alors qu'il y avait 0 à 0
00:21:40à la mi-temps.
00:21:41Mais ce qui est intéressant,
00:21:42je pense,
00:21:42c'est ce qu'a dit
00:21:43Kylian Mbappé
00:21:43à la fin du match.
00:21:45Non, de la fierté.
00:21:46Comme le coach l'a dit
00:21:47dans le vestiaire,
00:21:48il ne faut jamais banaliser
00:21:49parce qu'aujourd'hui,
00:21:50ça devient à peu près normal.
00:21:52Mais je ne crois pas
00:21:52que dans l'histoire
00:21:53de l'équipe de France,
00:21:53ça a toujours été normal.
00:21:55Donc, on est très fiers
00:21:56d'être au rendez-vous
00:21:58aux Etats-Unis.
00:21:59Après, on a essayé
00:22:00d'être le plus sobre possible
00:22:01parce que ce n'était pas
00:22:02la chose la plus importante
00:22:03de la soirée.
00:22:04Donc, on ne va pas cacher
00:22:06notre plaisir dans les vestiaires.
00:22:07Mais ici, avec les gens,
00:22:08il fallait avoir
00:22:09un maximum de bon sens
00:22:11et essayer de toujours
00:22:12avoir idée
00:22:14que le plus important
00:22:14aujourd'hui,
00:22:15c'était la commémoration.
00:22:16Maintenant, sur le terrain,
00:22:17on a essayé de faire le job.
00:22:18En première mi-temps,
00:22:19c'était un peu plus laborieux.
00:22:21Alors, vous avez entendu
00:22:22Kylian Mbappé.
00:22:23Évidemment, hier soir,
00:22:23il y avait énormément d'émotions.
00:22:25La Marseillaise a capé.
00:22:26J'ai adoré cette déclaration.
00:22:27Oui, très belle déclaration
00:22:28de Kylian Mbappé.
00:22:29Alors, maintenant, c'est vrai,
00:22:30on est habitué.
00:22:31Ça fait huit coupes du monde
00:22:32consécutives que la France
00:22:33se qualifie.
00:22:35Bon, maintenant,
00:22:35on se qualifie plus facilement.
00:22:36À l'époque, il y avait 16 équipes.
00:22:37Là, maintenant,
00:22:37il y en aura 32.
00:22:39Mais voilà, bravo les Bleus.
00:22:40On espère que ça se passera bien.
00:22:42Et Kylian Mbappé,
00:22:43qui est maintenant à 48 équipes.
00:22:44Pardon, on est passé à 32
00:22:45et maintenant à 48 équipes,
00:22:46c'est ça ?
00:22:47Et maintenant, Kylian Mbappé,
00:22:48après son doublé d'hier soir,
00:22:49est à deux buts d'Olivier Giroud
00:22:51pour devenir le plus grand
00:22:52buteur français de l'histoire.
00:22:54Alors, il n'y a plus qu'un mot
00:22:55à l'élé Bleus.
00:22:55En attendant, le tirage au sort
00:22:56des poules le 5 décembre prochain.
00:22:58Tout de même,
00:22:59pas une grande équipe de France.
00:23:01Oui, mais 4-0.
00:23:01Pas agréable à regarder.
00:23:03Oui, mais avec des chances,
00:23:04seul le résultat compte.
00:23:05Il a beaucoup joué en Italie.
00:23:07Vous êtes un homme réaliste.
00:23:08Ah, mais il a joué en Italie.
00:23:09La beauté n'a pas de sens.
00:23:11Vous n'êtes pas dur, non ?
00:23:12Ok, d'accord.
00:23:14Mickaël Sadoune, Alain Souchon.
00:23:16Je ne crois pas que les Français
00:23:17soient assez cons.
00:23:18C'est la citation d'Alain Souchon.
00:23:21Oui, oui.
00:23:22Les artistes sont parfois
00:23:22d'une originalité incroyable
00:23:24dans leur oeuvre
00:23:24et pourtant d'une banalité confondante
00:23:26et un peu idiote
00:23:27dans leurs opinions.
00:23:28C'est l'impression que m'a donnée
00:23:29Alain Souchon ce matin
00:23:30en déclarant sur RTL
00:23:31que les Français ne sont pas assez cons
00:23:33pour élire l'ERN.
00:23:34Qu'on s'entende bien,
00:23:35Alain Souchon a parfaitement le droit
00:23:36de ne pas voter pour l'ERN.
00:23:37Il a même le droit
00:23:38de détester ce parti.
00:23:39Mais est-ce vraiment sérieux
00:23:41d'expliquer simplement son succès
00:23:42par la connerie des Français ?
00:23:44Pas de problème d'immigration,
00:23:45pas de problème de pouvoir d'achat,
00:23:47pas de problème de souveraineté,
00:23:48d'insécurité ?
00:23:49En plus d'être très basique,
00:23:50cette sortie est méprisante
00:23:51pour les électeurs du RN
00:23:52qui sont automatiquement
00:23:53assimilés à des cons.
00:23:55Pour Alain Souchon
00:23:55qui cultive depuis longtemps
00:23:57une image de chanteur populaire,
00:23:58pas génial d'insulter les ouvriers,
00:24:00les employés,
00:24:01les chômeurs qui votent pour le RN.
00:24:03Et puis en taquinant un peu,
00:24:04les électeurs d'Emmanuel Macron
00:24:05ont-ils été des génies visionnaires
00:24:07en élisant le président
00:24:08avec un tel bilan ?
00:24:10Alors, M. Alain Souchon,
00:24:12vous qui traitez les électeurs
00:24:13du RN de cons,
00:24:14je vous citerai
00:24:15un grand artiste français
00:24:16qui a chanté
00:24:17« On nous prend pour des cons
00:24:18dès qu'on est né
00:24:19alors qu'on est des foules sentimentales
00:24:21avec soif d'idéal. »
00:24:23Retrouvez cette intelligence,
00:24:24M. Souchon.
00:24:25– Bravo,
00:24:26je ne savais pas
00:24:28qu'il avait sorti
00:24:29cette vieille-ci
00:24:30et il n'est pas le seul.
00:24:32J'ai failli parler
00:24:34de Jacques Weber
00:24:35qui,
00:24:36parlant de Jordan Bardella,
00:24:37c'est un peu le même genre,
00:24:39disait
00:24:39« Ce sont des cons,
00:24:40je suis d'accord. »
00:24:41– Ce qui est génial,
00:24:42c'est que le même
00:24:42Alain Souchon
00:24:43qui habite Paris 6e
00:24:44pétitionnait
00:24:45contre un Carrefour
00:24:46marqué à côté de chez lui
00:24:47au mois de juillet
00:24:48en disant que ça allait
00:24:49amener une mauvaise population.
00:24:51Manifestement,
00:24:52pour lui,
00:24:53il y a une mauvaise population
00:24:54mais ce n'est pas grave
00:24:55dès lors qu'elle est
00:24:56chez les autres.
00:24:56– Non mais c'est surtout
00:24:57le conformisme,
00:25:00le pétit.
00:25:01– C'est dingue.
00:25:02Tu te demandes
00:25:02comment un artiste
00:25:03qui a une telle sensibilité,
00:25:05une telle finesse
00:25:05dans certains de ses textes
00:25:06peut devenir aussi basique
00:25:08et aussi insultant
00:25:09et méprisant
00:25:10quand il passe
00:25:10dans le domaine
00:25:11de la politique.
00:25:11– Mais c'est assumé.
00:25:12– C'est pour ça
00:25:13que j'aime de plus en plus.
00:25:15J'ai amplifié
00:25:16mon admiration
00:25:17pour Jean-Jacques Goldman
00:25:18à la suite
00:25:19de son message manuscrit
00:25:21au 14 novembre.
00:25:23Enfin,
00:25:24un artiste génial
00:25:25qui n'éprouve pas
00:25:26le besoin
00:25:27de dire des stupides.
00:25:29– Oui,
00:25:29je suis d'accord.
00:25:30– On a changé
00:25:32radicalement le sujet.
00:25:33– Oui,
00:25:34absolument,
00:25:34on est devenu
00:25:35beaucoup plus sérieux.
00:25:36– Quoi que c'est
00:25:36l'esprit de corps aussi ?
00:25:37– Philippe Bilger,
00:25:38vous avez 1 minute 30
00:25:38pour nous convaincre
00:25:39sur les municipales 2026.
00:25:41– Alors,
00:25:41ce qu'il y a de formidable,
00:25:43c'est que malgré
00:25:44les contraintes administratives
00:25:46et financières
00:25:47et malgré
00:25:48ce qu'on appelle
00:25:49les incivilités
00:25:50au sens large,
00:25:51on a 6 maires sur 10,
00:25:54ce qui est un très bon pourcentage,
00:25:56qui sont prêts
00:25:57à rempiler
00:25:57pour les élections municipales
00:26:00de 2026.
00:26:01On n'espérait pas
00:26:02un tel score,
00:26:03ça montre que
00:26:04plus on s'approche
00:26:05d'une échéance,
00:26:07plus nos personnalités
00:26:09ont le sens
00:26:10des responsabilités
00:26:11et c'est formidable.
00:26:14– Entièrement d'accord,
00:26:15rien à ajouter,
00:26:15c'est bien.
00:26:16– Oui, pourtant,
00:26:16j'ai envie de dire
00:26:17que la profession de maire
00:26:18n'est vraiment pas chose facile,
00:26:20que c'est très peu payé,
00:26:22que c'est à portée de bave,
00:26:23c'est que des galères.
00:26:24Franchement,
00:26:25bravo à ceux qui rempilent,
00:26:26qu'ils soient de gauche
00:26:27ou de droite,
00:26:27parce que c'est un engagement.
00:26:29Moi, franchement,
00:26:29je ne sais pas
00:26:30si je le prendrais.
00:26:30– Eh bien, écoutez,
00:26:31tout ça tombe bien
00:26:32puisque dans un instant,
00:26:34Stéphanie Gatoran
00:26:35sera avec nous
00:26:36qui est la directrice
00:26:37du Salon des maires
00:26:38et des collectivités locales.
00:26:39On reviendra justement
00:26:40sur tous ces maires
00:26:42et les enjeux
00:26:43de ces élections
00:26:45bientôt.
00:26:46Et nous serons d'ailleurs
00:26:47au Salon des maires,
00:26:48Philippe.
00:26:49– Mercredi prochain,
00:26:50le 19,
00:26:51on passera d'un très bon moment
00:26:52de 18h à 20h
00:26:53avec Philippe Bilger
00:26:54sur le stand
00:26:55des Buralistes,
00:26:57Porte de Versailles.
00:26:58– Avec notre ami…
00:26:59– Non,
00:26:59c'est plus Philippe Coyne maintenant,
00:27:01c'est Servard Cahial,
00:27:01président des Buralistes.
00:27:02– Mais si vous voulez,
00:27:03on en parlera en rentagne,
00:27:04ça n'intéresse que nous.
00:27:06Allez,
00:27:06sauf si vous avez des choses
00:27:07à vous dire
00:27:08qui sont totalement publiques.
00:27:09– Non, non,
00:27:10ce serait fumeux.
00:27:10– D'accord.
00:27:12– Allez,
00:27:13tout de suite.
00:27:14– Sud Radio,
00:27:15c'est vous qui donnez le ton.
00:27:17– Tout le monde ne peut appeler,
00:27:17donner son avis
00:27:18qui plaise ou qui ne plaise pas.
00:27:19L'important,
00:27:20c'est d'essayer
00:27:20de rester constructif
00:27:22et j'aime bien
00:27:22l'esprit qu'il y a chez vous.
00:27:24– Sud Radio,
00:27:25parlons vrai.
00:27:25– Les Vraies Voix Sud Radio,
00:27:2718h-20h,
00:27:29Cécile Dominibus,
00:27:30Philippe David.
00:27:32– Et c'est une joie
00:27:33de vous avoir
00:27:33tous les jours
00:27:34avec nous
00:27:35de 18h
00:27:36à 19h30
00:27:37et d'ailleurs,
00:27:37c'est l'occasion
00:27:38pour vous remercier
00:27:39sincèrement
00:27:39de votre fidélité.
00:27:41Ce numéro de téléphone
00:27:42avec Zach
00:27:43au 0826 300 300,
00:27:45vous savez que cette émission
00:27:46est faite pour vous
00:27:47et avec vous
00:27:48et ce qui est important
00:27:49pour nous,
00:27:50bien sûr,
00:27:50avec Philippe David,
00:27:51avec Philippe Bilger
00:27:52autour de cette table
00:27:53et avec Michael Sadoun.
00:27:55Je donne tout de suite
00:27:55l'info en plus.
00:27:58– Les Vraies Voix Sud Radio.
00:28:00– Et on le disait
00:28:01hors antenne
00:28:02avec Philippe David,
00:28:03l'ouverture prochaine
00:28:04du Salon des Mères
00:28:05et les grands enjeux
00:28:06de cette édition 2025.
00:28:08C'est un salon pour nous
00:28:09qui est une façon
00:28:10parce que vous savez
00:28:11comme on aime
00:28:12les mères
00:28:12et surtout les territoires
00:28:13et nous avons le plaisir
00:28:15d'accueillir
00:28:16la directrice
00:28:16du Salon des Mères
00:28:17et des collectivités locales,
00:28:19Stéphanie Guettorante.
00:28:19Merci d'être là
00:28:21avec nous ce soir.
00:28:23vous savez
00:28:25qu'on est quand même
00:28:26là tous les ans
00:28:27avec vous.
00:28:27On aime beaucoup les mères.
00:28:28Beaucoup de mères
00:28:30viennent autour
00:28:31de cette table
00:28:32assez régulièrement
00:28:32et on va commencer
00:28:33par la thématique
00:28:34puisqu'il y a toujours
00:28:35une thématique
00:28:36dans un salon cette année.
00:28:37C'est le meilleur
00:28:37en commun.
00:28:39– Quel bon choix,
00:28:40n'est-ce pas ?
00:28:41– Quel bon choix
00:28:41mais surtout,
00:28:42ça veut dire plein de choses
00:28:43en fait.
00:28:43– Oui,
00:28:44alors pour nous
00:28:45c'est important.
00:28:47On choisit ce thème
00:28:47un an avant.
00:28:48Je pense que c'est important
00:28:49de le dire
00:28:49parce que parfois
00:28:51on peut se demander
00:28:52effectivement
00:28:52ce qui peut orienter
00:28:53cette décision
00:28:54et en fait
00:28:54on a une conviction forte
00:28:55c'est que ce salon
00:28:56il doit être utile.
00:28:58Vous le faites
00:28:59vous chaque année
00:29:00en fait l'enthousiasme,
00:29:01l'énergie qu'il y a
00:29:02dans ces allées,
00:29:03la joie que les élus
00:29:05ont à se retrouver
00:29:07quel que soit
00:29:08leur bord politique,
00:29:10ils échangent concrètement
00:29:11sur les sujets
00:29:12au bénéfice des habitants
00:29:13et en fait
00:29:14ils partagent.
00:29:14– Ils prennent des tuyaux
00:29:15les uns avec des autres.
00:29:16– Exactement,
00:29:16ils partagent aussi
00:29:19parfois leurs inquiétudes
00:29:20mais tout ça
00:29:20toujours avec un objectif
00:29:22qui est de trouver
00:29:23des solutions
00:29:23et pour nous
00:29:24c'était important
00:29:25de rappeler
00:29:25qu'en fait
00:29:26ce moment
00:29:26c'est le moment
00:29:27d'un rassemblement
00:29:29du meilleur
00:29:30des énergies,
00:29:31des solutions
00:29:32pour le bien commun
00:29:34et pour l'intérêt général
00:29:35et rappeler aussi
00:29:36à quoi ça sert
00:29:36ça nous semblait
00:29:37assez fondamental
00:29:38et que tout ça
00:29:39tous ces débats
00:29:40tous ces échanges
00:29:41au final
00:29:42ça doit atterrir
00:29:43sur les pieds
00:29:44des habitants
00:29:45sur nos pieds
00:29:46et améliorer
00:29:47notre qualité de vie
00:29:47et bien sûr
00:29:48aussi répondre
00:29:49à tous les enjeux
00:29:50aujourd'hui
00:29:50auxquels nous sommes confrontés
00:29:52auxquels les collectivités
00:29:53sont confrontées
00:29:54le climat
00:29:54les enjeux
00:29:55du vivre ensemble
00:29:56et la sécurité
00:29:57– Alors quand on fait
00:29:58un petit bilan
00:29:59si on doit tirer
00:30:00un petit bilan
00:30:00de ce mandat
00:30:01en tout cas
00:30:01des maires
00:30:03on se dit toujours
00:30:04quels sont les sujets
00:30:05qui vont monter
00:30:06le plus
00:30:07on parle de tous ces maires
00:30:09qui désertent un peu
00:30:10leur municipalité
00:30:13parce que ça devient
00:30:13trop dur pour eux
00:30:14il y a les autres
00:30:15qui arrivent
00:30:16tout ça se percute
00:30:17mais si on devait faire
00:30:18un bilan
00:30:18de ces 6 ans
00:30:20de mandat
00:30:21qu'est-ce qu'on dirait
00:30:22aujourd'hui ?
00:30:23– Alors c'est un mandat
00:30:23qui a été un peu
00:30:24qui a commencé
00:30:25en plein Covid
00:30:26vous vous rappelez
00:30:27en 2020
00:30:27en fait c'est un mandat
00:30:29qui a été confronté
00:30:31à des crises
00:30:31successives
00:30:33crise sanitaire
00:30:34crise climatique
00:30:35qui s'accélère
00:30:36crise sociétale
00:30:38là on est dans
00:30:38une crise budgétaire forte
00:30:40et en fait
00:30:40ça a beaucoup construit
00:30:42une
00:30:42alors j'aime pas trop
00:30:43le mot de résilience
00:30:44mais en tout cas
00:30:45ça a orienté
00:30:46des projets
00:30:48et une envie
00:30:49d'anticiper
00:30:50de ne plus subir
00:30:51d'être dans l'action
00:30:53et de renforcer
00:30:54l'action publique
00:30:55locale
00:30:56pour justement
00:30:57être en capacité
00:30:58d'aborder
00:30:59ces crises
00:31:00de manière
00:31:01beaucoup plus pragmatique
00:31:02et avec des choses
00:31:03efficaces
00:31:04et ça nous engage
00:31:05vers un mandat
00:31:06à venir
00:31:07vous disiez
00:31:08effectivement
00:31:08qu'il y avait peut-être
00:31:09moins de maires
00:31:10et à chaque
00:31:11fin de mandat
00:31:12on a un peu
00:31:13ce sujet sur la table
00:31:14mais en fait
00:31:14cette année
00:31:15le constat est
00:31:16qu'au contraire
00:31:17les maires
00:31:18qui veulent revenir
00:31:19pour le prochain mandat
00:31:21sont plus nombreux
00:31:22que pour le précédent
00:31:23et je pense aussi
00:31:24que le contexte
00:31:25est plus motivé
00:31:26plus motivé
00:31:27je pense que le contexte
00:31:27aujourd'hui
00:31:28met en responsabilité
00:31:29tout le monde
00:31:29on le voit
00:31:30les collectivités
00:31:32les associations
00:31:33les entreprises
00:31:33voilà
00:31:35ont envie de porter
00:31:36les sujets
00:31:37prennent en main
00:31:37les choses
00:31:38et je pense que
00:31:38cette mise en responsabilité
00:31:39va aussi en faveur
00:31:40d'élections municipales
00:31:41je pense très riches
00:31:42en débats
00:31:42et avec
00:31:43voilà
00:31:44en tout cas
00:31:45des sujets
00:31:45je pense
00:31:46qui vont
00:31:46qui vont passionner
00:31:47les français
00:31:48mais ce salon
00:31:49il est incontournable
00:31:49pour les maires
00:31:50parce que déjà
00:31:50il se rend compte
00:31:51il y a des tables rondes
00:31:52et puis
00:31:52ils peuvent faire
00:31:53leurs emplettes
00:31:53on va dire ça comme ça
00:31:55pour les équipements
00:31:55communaux
00:31:56alors ils peuvent
00:31:57identifier les innovations
00:31:59mais alors
00:32:00ils travaillent beaucoup
00:32:01en collaboration
00:32:01avec les entreprises
00:32:02et le monde associatif
00:32:03pour aussi construire
00:32:05le projet
00:32:05donc c'est pas
00:32:06juste trouver
00:32:06une solution
00:32:07une anecdote
00:32:08c'est sur
00:32:08des projets
00:32:10d'adaptation
00:32:10des règlements climatiques
00:32:12des sujets
00:32:13de renouvellement
00:32:14urbain
00:32:15des sujets sociétaux
00:32:16sur le vivre ensemble
00:32:17sur l'école
00:32:17sur la longévité
00:32:19les parcours de vie
00:32:19c'est un sujet
00:32:20qu'on met particulièrement
00:32:21à l'honneur cette année
00:32:22c'est de poser leurs problématiques
00:32:24donc ils viennent poser
00:32:25leurs problématiques
00:32:25et les partager
00:32:27avec les différents
00:32:28partenaires du salon
00:32:29et identifier
00:32:30des solutions
00:32:31des innovations
00:32:32et souvent les construire
00:32:33ensemble
00:32:33parce que les collectivités
00:32:34elles co-construisent
00:32:35beaucoup
00:32:35avec les collectivités
00:32:36donc elles achètent pas
00:32:37des choses toutes faites
00:32:38elles sont très en amont
00:32:39en fait des cahiers des charges
00:32:40et elles inspirent beaucoup
00:32:41les solutions
00:32:42que les entreprises
00:32:42vont ensuite pouvoir proposer
00:32:44donc ce sujet
00:32:45de la co-construction
00:32:45est assez fondamental
00:32:46à un certain moment
00:32:47j'avais l'impression
00:32:48que les problèmes
00:32:49de sécurité
00:32:50avaient pris
00:32:51une importance considérable
00:32:53que les maires
00:32:54étaient très angoissés
00:32:55à l'idée d'être
00:32:57comme on le dit
00:32:58de manière vulgaire
00:32:59à portée de gifles
00:33:01de la part
00:33:01de leurs administrés
00:33:03j'ai l'impression
00:33:04qu'aujourd'hui
00:33:05maintenant
00:33:05ça passe un petit peu moins
00:33:07au premier plan
00:33:09non ?
00:33:10alors je pense que
00:33:11les habitants
00:33:12ont aussi conscience
00:33:13que le maire
00:33:14aujourd'hui
00:33:14il est là
00:33:15il est sur le terrain
00:33:16il y a une continuité
00:33:17des maires
00:33:18c'est-à-dire que
00:33:19même si là
00:33:20on parle d'une fin de mandat
00:33:21beaucoup vont continuer
00:33:22donc le maire
00:33:23il est là
00:33:23il est sur le terrain
00:33:24et je pense que c'est aussi
00:33:25quelque chose de très très rassurant
00:33:26donc on est un peu moins
00:33:28sans doute
00:33:28alors il y a eu
00:33:29des agressions
00:33:29pendant ce mandat
00:33:30et il y a eu des moments
00:33:31très forts
00:33:32très difficiles
00:33:34effectivement
00:33:34qui pouvaient effectivement
00:33:36à mon avis
00:33:36bousculer
00:33:37des convictions fortes
00:33:38des engagements
00:33:39de personnes
00:33:40je pense qu'aujourd'hui
00:33:40la solidarité autour du maire
00:33:42elle s'est prouvée
00:33:43elle se prouve au quotidien
00:33:45et on verra sur le salon aussi
00:33:47que c'est vraiment
00:33:49cette ambiance-là
00:33:50qui est plus
00:33:50après l'enjeu de sécurité
00:33:51au sens large
00:33:52est une des thématiques du salon
00:33:53la sécurité
00:33:54et la gestion des risques
00:33:56puisque c'était une préoccupation
00:33:57très très forte
00:33:57des citoyens
00:33:59et bien sûr
00:34:00des collectivités
00:34:01donc pour cela
00:34:02nous avons aussi nous
00:34:02tout un écosystème
00:34:03de solutions proposées
00:34:04nous avons cette année
00:34:05une cellule de crise
00:34:06pour justement
00:34:07mettre en avant
00:34:08des solutions
00:34:09de réponse
00:34:10à des contextes
00:34:10de crise climatique
00:34:12de crise sécuritaire
00:34:13de crise sanitaire
00:34:14c'est intéressant ça
00:34:15voilà tout à fait
00:34:16si on parle
00:34:18des collectivités
00:34:19comment peuvent-elles
00:34:19aujourd'hui
00:34:20accéder
00:34:20ou mobiliser
00:34:21pour des fonds européens
00:34:22est-ce que c'est un sujet
00:34:23aussi chez vous ?
00:34:24oui tout à fait
00:34:25nous travaillons
00:34:25avec la commission européenne
00:34:26qui propose un espace
00:34:28qui s'appelle
00:34:28la place de l'Europe
00:34:29sur le salon
00:34:30qui ne sera pas très très loin
00:34:31de là où vous émettrez
00:34:32mercredi prochain
00:34:33sur la place de l'Europe
00:34:34la commission européenne
00:34:35vient avec un certain
00:34:36nombre de dispositifs
00:34:37pour justement
00:34:37accompagner les collectivités
00:34:39leur présenter
00:34:40et faciliter l'accès
00:34:42à ces dispositifs
00:34:43parce que toutes ces solutions
00:34:44d'accès au financement
00:34:45elles nécessitent aussi
00:34:46d'avoir des personnes
00:34:46qui peuvent remplir
00:34:47les dossiers
00:34:48qui vont avoir le temps
00:34:49et les compétences
00:34:50pour mobiliser
00:34:51ces fonds
00:34:53et donc sur le salon
00:34:54on a ce type d'outil
00:34:55pour justement
00:34:55faciliter les choses
00:34:56en tout cas
00:34:57je rappelle quand même
00:34:58que Jean-François
00:34:58Achilly sera
00:34:59au salon des maires
00:35:01avec nous
00:35:01le même jour
00:35:02mercredi à 9h15
00:35:03pour l'interview politique
00:35:04nous on y sera
00:35:05à partir de 18h
00:35:07et puis
00:35:07Sud Radio
00:35:08et la radio officielle
00:35:09du salon cette année
00:35:10ben oui c'est important
00:35:11de le dire absolument
00:35:12et on est très heureux
00:35:13de ça
00:35:13et très fiers de ça
00:35:140826 300 300
00:35:16tout de suite
00:35:16et si j'étais maire
00:35:17les vraies voix
00:35:19Sud Radio
00:35:20cher Jean-Pierre
00:35:22si vous étiez
00:35:22si vous étiez
00:35:23maire
00:35:24c'est pas facile à dire
00:35:25quelle serait
00:35:27devant la présidente
00:35:29aujourd'hui
00:35:30du salon des maires
00:35:30et des collectivités locales
00:35:32quelle serait
00:35:32votre première proposition
00:35:34ou mise en place
00:35:35chère Cécile
00:35:36que je n'ai pas eu
00:35:37depuis longtemps
00:35:37au téléphone
00:35:38bonjour
00:35:38bonjour
00:35:39de mon côté
00:35:41comme depuis
00:35:42comme pour la première fois
00:35:44depuis 30 ans
00:35:44il n'y aura plus aucun dispositif
00:35:46fiscal
00:35:48permettant d'inciter
00:35:49à la construction
00:35:49de logements neufs
00:35:51j'inciterai
00:35:53les maires
00:35:54et je prendrai
00:35:54comme décision
00:35:55de participer
00:35:56activement
00:35:57à la rénovation
00:35:58particulièrement
00:36:00des fonds de reville
00:36:00pour permettre
00:36:02aux premiers
00:36:03accédants
00:36:04plutôt jeunes
00:36:05méritants
00:36:06diplômés
00:36:07travaillants
00:36:08qui ont parfois
00:36:09des difficultés
00:36:09parce qu'ils enchaînent
00:36:10les CDD
00:36:11à accéder à la propriété
00:36:12je ferai ça
00:36:14massivement
00:36:15on va faire réagir
00:36:16notre invité
00:36:17Stéphanie Guéthorance
00:36:18sur
00:36:19effectivement
00:36:21sur l'habitat
00:36:21qui est quand même
00:36:22primordial aussi
00:36:23pour les communes
00:36:23mais très beau sujet
00:36:25alors je rappelle
00:36:26que sur les sujets
00:36:26du logement
00:36:27on est aussi
00:36:28sur une thématique
00:36:28très régalienne
00:36:29donc très aussi
00:36:30en responsabilité
00:36:31de l'État
00:36:32donc sur le sujet
00:36:34de la rénovation
00:36:35je pense que
00:36:35c'est quelque chose
00:36:36sur lesquelles
00:36:36les collectivités
00:36:37sont très sensibles
00:36:38parce que ça permet
00:36:39à la fois
00:36:39de gérer le patrimoine
00:36:41et d'offrir
00:36:42des opportunités
00:36:43effectivement
00:36:44alors pour du logement
00:36:45mais pas seulement
00:36:45parce que la rénovation
00:36:46elle permet aussi
00:36:48d'accueillir
00:36:48des acteurs économiques
00:36:49du commerce
00:36:50on peut transformer
00:36:51certains espaces
00:36:52en tiers-lieu
00:36:53pour animer aussi
00:36:54l'activité économique
00:36:55locale
00:36:55créer du lien social
00:36:56donc il y a
00:36:57énormément de projets
00:36:58en termes de rénovation
00:36:59des coeurs de ville
00:37:01qui sont engagés
00:37:03par l'ensemble
00:37:03des collectivités
00:37:04mais tout ça
00:37:05effectivement
00:37:05nécessite d'être financé
00:37:07d'où aussi
00:37:07la nécessité
00:37:08de travailler
00:37:09avec un écosystème
00:37:10d'acteurs privés
00:37:12ou associatif
00:37:12et une contribution
00:37:14multipartite
00:37:15pour avancer
00:37:16sur ces sujets-là
00:37:17et pour la thématique
00:37:18typiquement du logement
00:37:19vous avez raison
00:37:20aujourd'hui
00:37:20l'investissement
00:37:22dans le logement
00:37:22c'est peut-être
00:37:23c'est un sujet
00:37:25qui est en recul
00:37:26très très fort
00:37:27et depuis la loi Pinel
00:37:28on n'a plus d'incitation
00:37:29forte notamment
00:37:30sur le neuf
00:37:30donc c'est un sujet
00:37:31qui doit remonter
00:37:33évidemment fortement
00:37:34dans les débats
00:37:35parce que c'est
00:37:36un attendu
00:37:37mais je dirais
00:37:37que c'est un sujet
00:37:38qui doit combiner
00:37:39en tout cas
00:37:41l'engagement
00:37:41du gouvernement
00:37:43avec les possibilités
00:37:45des collectivités
00:37:46merci beaucoup
00:37:47Stéphanie
00:37:47je rappelle quand même
00:37:48que le salon des maires
00:37:49et des collectivités
00:37:50lesquelles
00:37:51c'est entre le 18
00:37:52et le 20 novembre
00:37:53nous y serons bien entendu
00:37:54à partir de mercredi
00:37:55et c'est à Paris Expo
00:37:57Porte de Versailles
00:37:58merci beaucoup
00:37:58d'avoir accepté
00:37:59notre invitation
00:38:00dans un instant
00:38:02le coup de gueule
00:38:02de Philippe David
00:38:03quand on n'a plus aucun argument
00:38:05il en reste toujours un
00:38:06le sexisme
00:38:06et tout de suite
00:38:08Thomas Binet
00:38:08les incontournables
00:38:09de la copropriété
00:38:10et on revient juste après
00:38:11à tout de suite
00:38:12bien dans mon immeuble
00:38:14avec Loiselet
00:38:15et Dégremont
00:38:15présente
00:38:16Sud Radio
00:38:17les incontournables
00:38:19de la copropriété
00:38:20Thomas Binet
00:38:22nous sommes avec
00:38:22notre consultant
00:38:23Philippe Loiselet
00:38:24patron de Loiselet
00:38:25Dégremont
00:38:25pour parler plus précisément
00:38:27aujourd'hui
00:38:27de la dématérialisation
00:38:29en copropriété
00:38:29bonsoir Philippe
00:38:31bonsoir Thomas
00:38:31Philippe
00:38:32la digitalisation
00:38:34de la société
00:38:34se poursuit
00:38:35et donc aussi
00:38:36désormais
00:38:36dans les copropriétés
00:38:37alors est-ce que vous pouvez
00:38:38nous expliquer
00:38:39pour commencer
00:38:40notre échange
00:38:40de ce soir
00:38:41ce que l'on entend
00:38:42par dématérialisation
00:38:43en copropriété
00:38:44c'est un vaste sujet
00:38:45ici comme ailleurs
00:38:46oui
00:38:47qui est beaucoup plus important
00:38:48qu'il n'y paraît
00:38:49en 2018
00:38:50le législateur
00:38:51a posé les bases juridiques
00:38:52de la dématérialisation
00:38:53en copropriété
00:38:54elle consistait
00:38:55à remplacer
00:38:56les documents papiers
00:38:57et les processus manuels
00:38:58par des solutions numériques
00:38:59cela implique
00:39:01la numérisation
00:39:02des documents existants
00:39:03la création de documents
00:39:04nativement numériques
00:39:05et l'utilisation
00:39:05d'outils en ligne
00:39:06pour la gestion quotidienne
00:39:07de la copropriété
00:39:08et est-ce que cette transformation
00:39:10concerne tous les aspects
00:39:12de la vie en copropriété ?
00:39:13Absolument
00:39:13De la convocation
00:39:15aux assemblées générales
00:39:16à la gestion des comptes
00:39:17en passant par l'archivage
00:39:18des documents importants
00:39:19la profession travaille
00:39:20d'ailleurs actuellement
00:39:22à un vaste service
00:39:23d'archives dématérialisés
00:39:25le Centre national
00:39:25des archives
00:39:26de la copropriété
00:39:27qui permettra
00:39:28de conserver
00:39:28de manière dématérialisée
00:39:30tous les documents
00:39:31importants
00:39:32des copropriétés
00:39:33et que ces archives
00:39:34soient conservées
00:39:35et accessibles
00:39:36quel que soit le syndic
00:39:37en charge
00:39:37de la gestion
00:39:38des copropriétés
00:39:39Mais alors Philippe
00:39:40concrètement
00:39:40quelles sont les incidences
00:39:42sur le fonctionnement
00:39:43des copropriétés ?
00:39:45Depuis une dizaine d'années
00:39:45tous les syndic
00:39:46professionnels
00:39:47ont l'obligation
00:39:47d'avoir un extra-nac
00:39:48pour chaque copropriété
00:39:50Cet outil permet
00:39:51à chaque copropriétaire
00:39:52de retrouver en ligne
00:39:53les documents de gestion
00:39:54de sa copropriété
00:39:55Nous n'avons
00:39:56pour ce dernier point
00:39:57pas attendu l'obligation
00:39:58puisque l'Oise-Lay des Grands Moins
00:39:59avait déjà mis cet outil
00:40:00en place
00:40:00plus de dix ans
00:40:01avant l'obligation
00:40:01Alors Philippe
00:40:02si on parle aujourd'hui
00:40:03de la dématérialisation
00:40:04c'est qu'il y a eu
00:40:05un changement majeur
00:40:07dernièrement
00:40:07n'est-ce pas ?
00:40:08Oui, il y a peu de temps Thomas
00:40:09Le 9 avril 2024
00:40:11le législateur
00:40:12a souhaité faciliter
00:40:13les communications
00:40:14en redéfinissant
00:40:15la manière
00:40:16dont les notifications
00:40:17électroniques
00:40:18sont désormais diffusées
00:40:19Avant ce texte
00:40:20l'accord préalable
00:40:21des destinataires
00:40:22était nécessaire
00:40:23C'est ce qu'on appelait
00:40:24l'opt-in
00:40:24Après la nouvelle loi
00:40:26le consentement préalable
00:40:27n'est plus requis
00:40:28et les notifications
00:40:29électroniques
00:40:30deviennent la norme
00:40:31par défaut
00:40:31C'est ce qu'on appelle
00:40:32l'opt-out
00:40:33La règle est donc désormais
00:40:34que la notification
00:40:35passe du papier
00:40:36à l'électronique
00:40:37sauf si le copropriétaire
00:40:39demande à continuer
00:40:40à recevoir le courrier
00:40:40par la poste
00:40:41Alors du coup
00:40:42quand on parle
00:40:42de notifications électroniques
00:40:44quels sont les documents
00:40:45qui sont concernés
00:40:46justement par cette notification ?
00:40:49Cela concerne
00:40:49les envois
00:40:50des convocations
00:40:51et des procès
00:40:51herbeaux d'Assemblée Générale
00:40:53ainsi que les mises en demeure
00:40:54Cela représente
00:40:55un volume considérable
00:40:56La copropriété
00:40:57représente des dizaines
00:40:58de millions de lettres
00:40:59recommandées chaque année
00:41:00et un des premiers facteurs
00:41:02de l'utilisation
00:41:03de ces lettres recommandées
00:41:03en France
00:41:04D'accord
00:41:04Alors cela ne pose-t-il pas
00:41:06pour autant des problèmes
00:41:07notamment
00:41:08de la preuve de l'envoi ?
00:41:10Oui mais la loi
00:41:10apporte la réponse
00:41:11Les notifications électroniques
00:41:13doivent être faites
00:41:13via un tiers de confiance
00:41:15qualifié par l'ANSI
00:41:16qui est l'Agence Nationale
00:41:17de la Sécurité
00:41:18des Systèmes d'Information
00:41:19A ce titre
00:41:20Le tiers de confiance
00:41:21après l'envoi
00:41:22détient la preuve
00:41:23du dépôt de l'envoi
00:41:25de la réception
00:41:25une fois que le copropriétaire
00:41:27a réceptionné son avis
00:41:29Alors quels sont les avantages
00:41:30Philippe
00:41:30pour les copropriétaires
00:41:31et pour les copropriétés ?
00:41:33Bien sûr
00:41:33Tout d'abord
00:41:34la rapidité de transmission
00:41:35puisque l'envoi
00:41:36est quasi instantané
00:41:37mais également le fait
00:41:38que le copropriétaire
00:41:39n'a plus à se déplacer
00:41:40au bureau de poste
00:41:41qui n'est quand même pas rien
00:41:42et enfin
00:41:43ce n'est pas un faible avantage
00:41:45une économie très importante
00:41:46pour la copropriété
00:41:47et donc pour les copropriétaires
00:41:48puisque les coûts d'acheminement
00:41:50sont diminués
00:41:50de près de 80%
00:41:51Chacun comprendra également
00:41:53qu'en matière de protection
00:41:54de l'environnement
00:41:55l'impact est considérable
00:41:56puisque cela supprime
00:41:58beaucoup, beaucoup,
00:41:59beaucoup de papiers
00:42:00Il n'est pas rare
00:42:01qu'une convocation
00:42:01de l'Assemblée Générale
00:42:02comporte plusieurs dizaines
00:42:03voire plus de 100 pages
00:42:04Et si vous aviez
00:42:06un conseil à nous donner
00:42:07ce soir sur ce sujet-là ?
00:42:10Eh bien donnez votre adresse mail
00:42:11à votre syndic
00:42:12Rassurez-vous
00:42:13ce n'est pas pour vous envoyer
00:42:14de la publicité
00:42:15c'est pour faciliter les échanges
00:42:17Cela permet également
00:42:18de vous joindre plus facilement
00:42:19et plus rapidement
00:42:20notamment en cas de problème
00:42:21dans la copropriété
00:42:22ou dans votre appartement
00:42:23Merci Philippe
00:42:24et on vous retrouve
00:42:25vendredi prochain
00:42:26vers 18h50
00:42:27pour un autre numéro
00:42:28d'Osez investir
00:42:28les incontournables
00:42:29de la copropriété
00:42:30et pour ce qui me concerne
00:42:31je vous donne rendez-vous
00:42:32dimanche matin
00:42:33dès 9h25
00:42:33dans la matinale week-end
00:42:35Sud Radio
00:42:36Les incontournables
00:42:38de la copropriété
00:42:39Thomas Binet
00:42:40avec Loiselet et Dégremont
00:42:42bien dans mon immeuble
00:42:44Sud Radio
00:42:45Sud Radio
00:42:46Parlons vrai
00:42:47Parlons vrai
00:42:47Sud Radio
00:42:48Parlons
00:42:48Les vrais voix Sud Radio
00:42:5018h-20h
00:42:51Cécile Dominibus
00:42:53Philippe David
00:42:53Et pour cette dernière
00:42:55ligne droite
00:42:56des vrais voix
00:42:57jusqu'à 19h30
00:42:58avec nos vrais voix du jour
00:43:00Philippe David
00:43:00bien entendu
00:43:01mon compagnon
00:43:02de toujours
00:43:03mon deuxième
00:43:04compagnon
00:43:05avec Philippe Bilger
00:43:07mon troisième compagnon
00:43:09avec Michael Sadoun
00:43:10Dites donc
00:43:13c'est de la polygamie
00:43:13tout ça ?
00:43:15Troisième dans l'ordre
00:43:16alphabétique
00:43:16le premier dans l'ordre
00:43:17d'importance
00:43:18me semble-t-il
00:43:18Vous pourriez dire
00:43:22que Michel Déon
00:43:23qui avait plusieurs amis
00:43:24IUS
00:43:25il y en a une
00:43:26et quelques autres
00:43:27j'accepterais
00:43:28que vous disiez
00:43:29un et quelques autres
00:43:31c'est joli
00:43:32il y en a une
00:43:32et quelques autres
00:43:33c'est joli
00:43:34allez tout de suite
00:43:35ça va le détendre
00:43:36le coup de gueule
00:43:37de Philippe David
00:43:37Les vrais voix Sud Radio
00:43:39Pas content !
00:43:40Pas content !
00:43:41Le coup de gueule
00:43:42de Philippe David
00:43:43Pas content !
00:43:44Comme d'habitude
00:43:45je vais remettre le clocher
00:43:46au milieu du village
00:43:46un village qui se situe
00:43:47dans le 7ème arrondissement
00:43:49de Paris
00:43:49pourquoi le 7ème arrondissement ?
00:43:51parce que c'est là
00:43:51que se trouve
00:43:52l'Assemblée Nationale
00:43:53et qu'une scène
00:43:54qui s'y est passée
00:43:55avant-hier
00:43:55pourrait relever
00:43:56d'un sketch
00:43:57on écoute ceci
00:43:58Parce que si vous financez
00:44:00la retraite
00:44:01si vous financez
00:44:02le décalage de la retraite
00:44:03par ces réformes-là
00:44:05vous faites payer
00:44:06par tous les plus vulnérables
00:44:08de la société
00:44:09par tous les plus fragiles
00:44:11de la société
00:44:12un simple décalage
00:44:14de 3 mois
00:44:15alors même
00:44:16que vous nous demandez
00:44:17pour la première fois
00:44:19et à l'occasion
00:44:20de ce décalage
00:44:21d'inscrire
00:44:22dans les votes
00:44:23de l'Assemblée
00:44:24que nous aurions voté
00:44:26pour les 43 annuités
00:44:27et les 64 ans
00:44:29Madame Rousseau
00:44:29est-ce que vous pourriez
00:44:30éviter d'hurler
00:44:31quand vous prenez la parole
00:44:32vous nous cassez les oreilles
00:44:34ou à défaut
00:44:35est-ce que vous pourriez
00:44:36baisser le micro ?
00:44:36Ce n'est pas acceptable
00:44:37je vous rappelle à l'ordre
00:44:38immédiatement
00:44:39et votre appel au règlement
00:44:41est terminé
00:44:42vous avez un rappel à l'ordre
00:44:43Je vous indique d'ailleurs
00:44:45que sur deux précédentes interventions
00:44:47à nouveau
00:44:48qui visaient Mme Rousseau
00:44:49j'ai prononcé
00:44:50pas plus tard
00:44:51qu'il y a quelques minutes
00:44:51deux rappels à l'ordre
00:44:53également
00:44:53je ne tolérerai
00:44:54aucune attaque sexiste
00:44:55dans cet hémicycle
00:44:56c'est fini
00:44:57c'est fini
00:44:59Vous avez entendu
00:45:00la députée écologiste
00:45:01Sandrine Rousseau
00:45:02le député UDR
00:45:03Géraud Vernier
00:45:03et la présidente
00:45:04de l'Assemblée Nationale
00:45:05Yael Broun-Pivet
00:45:06une présidente
00:45:07de l'Assemblée Nationale
00:45:08qui sanctionne
00:45:08le député UDR
00:45:09pour propos sexistes
00:45:11alors qu'il a juste demandé
00:45:12à Sandrine Rousseau
00:45:13de baisser le son
00:45:15de quelques décibels
00:45:16mais où est le sexisme
00:45:17là-dedans ?
00:45:18Est-il interdit
00:45:19de faire la moindre remarque
00:45:20à une parlementaire
00:45:21du sexe opposé
00:45:22quand on est un homme ?
00:45:23D'ailleurs au nom
00:45:24de l'égalité homme-femme
00:45:25cela doit marcher
00:45:26dans les deux sens
00:45:26mais manifestement non
00:45:28on écoute ceci
00:45:29On retourne à l'Assemblée
00:45:30parce que vous êtes
00:45:31deux députés
00:45:31Non mais vous avez entendu là ?
00:45:34Elle a dit
00:45:36à la niche
00:45:36Alors moi j'aurais dit
00:45:38à la niche
00:45:38une femme
00:45:39en plus elle est fille
00:45:40mais alors là
00:45:41sur les réseaux sociaux
00:45:42mais je m'en prends
00:45:43toute la journée
00:45:44Vous me dites
00:45:46à la niche
00:45:47et ça doit passer les crèmes
00:45:48Voilà le vrai visage
00:45:50de la France
00:45:50et restons respectueux
00:45:51Vous venez d'entendre
00:45:52la députée LFI
00:45:53Daniel Obono
00:45:54s'adressant au député
00:45:55RN Philippe Ballard
00:45:56par ses mots
00:45:57à la niche
00:45:58arrêter d'aboyer
00:45:59propos tenus
00:46:00sur un plateau
00:46:00de BFM TV
00:46:01Alors ce n'était pas
00:46:02dans l'hémicycle
00:46:03mais ces propos
00:46:04sont-ils sexistes ?
00:46:05On peut poser la question
00:46:06Il me semble en tout cas
00:46:08infiniment plus grave
00:46:09car ils assimilent
00:46:10un adversaire politique
00:46:11à un animal
00:46:11ce qui ne devrait
00:46:12jamais arriver
00:46:13dans le débat démocratique
00:46:15Pourtant aucune réaction
00:46:16de la présidente
00:46:17de l'Assemblée nationale
00:46:18nonobstant le fait
00:46:19que cela
00:46:20se soit passé
00:46:20entre deux membres
00:46:22de son assemblée
00:46:22Mais le plus drôle
00:46:24dans cette affaire
00:46:24est qu'un tweet
00:46:25de Yael Broun-Pivet
00:46:26est ressorti
00:46:26un tweet en réponse
00:46:28à un visuel
00:46:28montrant Sandrine Rousseau
00:46:30présentant le programme
00:46:31du nouveau Front Populaire
00:46:32au langage des signes
00:46:33tweet dont le texte était
00:46:34je cite
00:46:35si jamais vous revenez
00:46:36dans l'hémicycle
00:46:37et que vous pouvez chuchoter
00:46:38comme ça
00:46:39au lieu de hurler
00:46:40comme avant
00:46:40ce serait top
00:46:41Conclusion
00:46:42Sandrine Rousseau
00:46:43hurle bien dans l'hémicycle
00:46:45mais on peut l'écrire
00:46:46si on est une femme
00:46:47mais pas le dire
00:46:47si on est un homme
00:46:48à moins que la présidente
00:46:49de l'Assemblée nationale
00:46:50soit d'une totale mauvaise foi
00:46:52ne dit-on pas
00:46:53qu'il n'y a pas pire sourd
00:46:54que celui qui ne veut pas entendre
00:46:55même si quelqu'un hurle
00:46:57à proximité
00:46:57Pour introduire un zeste
00:47:01de contradictions
00:47:03mais sans que je sois sûr
00:47:05de la validité
00:47:06de mon point de vue
00:47:07est-ce que vous n'avez pas
00:47:08l'impression un petit peu
00:47:10que ce député
00:47:12en intervenant de la sorte
00:47:15a renvoyé à une sorte
00:47:17d'image un peu banale
00:47:18qu'on peut avoir
00:47:20de l'hystérie féminine
00:47:22en disant au fond
00:47:24elle parle très fort
00:47:26un peu comme on reproche
00:47:28à certaines femmes
00:47:29d'être un peu hystériques
00:47:31et bien sûr pas vous
00:47:32ma chère Cécile
00:47:33est-ce qu'il n'y a pas
00:47:35un peu de ça ?
00:47:36Moi je ne vois pas
00:47:37je ne vois pas ça là-dedans
00:47:39par contre quand on dit
00:47:39à quelqu'un à la niche
00:47:40ça c'est la preuve
00:47:42d'un mépris total
00:47:43je ne comprends pas
00:47:44qu'il n'y ait pas une sanction
00:47:45d'ailleurs
00:47:45quand une députée
00:47:46s'adresse comme ça
00:47:47à un député
00:47:48Je trouve en plus
00:47:49je vais vous dire
00:47:49pour rentrer dans plus le détail
00:47:51il y a des sujets
00:47:52sur lesquels
00:47:53j'accepterais plus
00:47:54qu'on hurle
00:47:55si on parle de sujets graves
00:47:57si on parle de choses
00:47:58qui touchent au terrorisme
00:47:59je me souviens
00:48:00du discours de Manuel Valls
00:48:01à l'Assemblée Nationale
00:48:02où en effet
00:48:03il avait la voix
00:48:03qui décrochait un peu
00:48:04parce qu'il parlait
00:48:06de choses qui étaient
00:48:06vachement graves
00:48:08
00:48:08ce n'est pas tellement le cas
00:48:10donc
00:48:10si vous voulez
00:48:12il y a quand même
00:48:12un moment
00:48:13où on est capable
00:48:14de dire à Sandrine Rousseau
00:48:15qu'il faut arrêter
00:48:16de hurler sur tous les sujets
00:48:17ça ne doit pas être pris
00:48:18comme quelque chose de sexiste
00:48:19ça agace tout le monde
00:48:20bravo à Géraud Verny
00:48:22de lui avoir dit
00:48:22et honte à Yael Brown Pivet
00:48:24d'avoir profité de l'occasion
00:48:25pour se donner un genre
00:48:26comme si elle tournait
00:48:28une page de l'histoire
00:48:29du féminisme
00:48:29en disant
00:48:30c'est fini
00:48:31l'air de dire
00:48:32comme si elle
00:48:32vous comprenez
00:48:33elle a dû tellement souffrir
00:48:35de sa position de femme
00:48:36etc
00:48:36enfin je veux dire
00:48:37qu'est-ce que c'est
00:48:38que cette manière
00:48:39de faire les choses
00:48:40et en plus je vais vous dire
00:48:41ça se rapproche de la diffamation
00:48:42parce que ça sous-entend
00:48:43qu'il est macho
00:48:44juste parce que je suis une femme
00:48:48j'ai pris des cours de théâtre
00:48:49pour éviter de
00:48:50quand je parle fort
00:48:51de monter dans les aigus
00:48:53parce que je sais
00:48:53que c'est très perturbant
00:48:54la voix des femmes
00:48:57qui
00:48:57enfin en tout cas
00:48:58de nous
00:48:58et j'ai appris
00:48:59à garder
00:49:01une tessiture
00:49:02un peu plus basse
00:49:04pour éviter
00:49:05parce que c'est
00:49:05d'abord on ne comprend plus rien
00:49:06et en plus
00:49:08enfin moi je trouve ça gênant
00:49:10et voilà
00:49:11en tant qu'animatrice
00:49:12quand on parle
00:49:13quand il y a du public
00:49:14donc forcément
00:49:14on veut parler au-dessus du public
00:49:16et en fait c'est une erreur
00:49:17parce que du coup
00:49:18plus personne n'entend rien
00:49:19je ne suis pas sûre que
00:49:22enfin en tout cas
00:49:22moi je ne l'aurais pas ressenti
00:49:24comme
00:49:24comme un genre sexiste
00:49:26voilà
00:49:26autant on en a plein
00:49:28des propos sexistes
00:49:30autant là
00:49:31quelqu'un qui hurle
00:49:31homme ou femme
00:49:32c'est chiant
00:49:33vous êtes
00:49:34vous avez un discours
00:49:35de Macron
00:49:36de Macron
00:49:36oui
00:49:37et puis quand il hurlait
00:49:38c'est notre projet
00:49:39c'est notre projet
00:49:40ou désolé
00:49:40comme DSK
00:49:42disait
00:49:42qui va s'occuper
00:49:44des enfants
00:49:45en parlant de
00:49:46Ségolène Royal
00:49:46ça a fait beaucoup moins
00:49:47scandale alors que
00:49:48c'était autrement plus
00:49:49scandaleux
00:49:49ah bah évidemment
00:49:50oui
00:49:50mais
00:49:51non non mais
00:49:53l'exemple de Macron
00:49:54et Philippe vous savez
00:49:55qu'on est en plein direct
00:49:56il se lève
00:49:58pour aller chercher
00:49:59un bonbon
00:49:59il est tellement à l'aise
00:50:01avec vous
00:50:02chers auditeurs
00:50:02allez vous restez avec nous
00:50:05dans un instant
00:50:07la question du soir
00:50:08on va revenir sur le budget
00:50:09de 2026
00:50:10mais c'est bien
00:50:11quand il commence
00:50:12à se sortir à l'aise
00:50:13ça veut dire que
00:50:14c'est naturel
00:50:14je suis désolé
00:50:15non mais
00:50:16Philippe
00:50:16Philippe Bilger
00:50:17quand je parle de la maison
00:50:18Sud Radio
00:50:19et ben
00:50:20c'est ça qu'on aime en fait
00:50:21c'est la maison Sud Radio
00:50:22c'est à dire qu'on est à la maison
00:50:24on débat
00:50:25comme le dimanche
00:50:25comme le
00:50:26avec nos copains
00:50:28avec nos amis
00:50:28voilà c'est tout
00:50:29restez quand même assis
00:50:31sur votre chaise
00:50:31allez dans un instant
00:50:33on revient sur le budget
00:50:352026
00:50:35avec un amendement
00:50:37qui prévoit une nouvelle taxe
00:50:38sur les fast-food
00:50:39Philippe
00:50:39oui est-ce que c'est une bonne
00:50:40ou une mauvaise idée
00:50:41vous dites à 58%
00:50:42une mauvaise idée
00:50:43à 30% une bonne idée
00:50:44et à 12%
00:50:45vous êtes sans opinion
00:50:46moi j'en ai marre des taxes
00:50:47vous voulez aller
00:50:48dans les fast-food
00:50:49vous y allez
00:50:49vous ne voulez pas y aller
00:50:50vous n'y allez pas
00:50:51vous en avez marre de tout quoi
00:50:53et puis nous on a pas de la semaine
00:50:54à tout de suite
00:50:54bonjour
00:50:55c'est Daniel Herrero
00:50:56Sud Radio
00:50:58la radio du rugby
00:50:59le week-end dernier
00:51:01l'équipe de France de rugby
00:51:03face à l'énorme marée sud-africaine
00:51:06a subi une bien pénible offense
00:51:08c'est laissé
00:51:09oh là là
00:51:10la correction
00:51:10elle est là
00:51:11nos bleus ont rendez-vous
00:51:13avec les Fidji
00:51:13avec l'obligation
00:51:14de côtoyer l'excellence
00:51:16pour l'emporter
00:51:17avec François Trio
00:51:18je vous retrouve
00:51:19dès 20h
00:51:19pour chauffer le coeur
00:51:20de tous les amoureux
00:51:21du Caisse de France
00:51:22France-Fidji
00:51:23c'est un match à vivre
00:51:25en direct
00:51:26demain
00:51:26sur Sud Radio
00:51:27la radio du rugby
00:51:29évidemment
00:51:30tous derrière le 15 de France
00:51:33avec Sud Radio
00:51:34la radio du rugby
00:51:36les vrais voix Sud Radio
00:51:3718h-20h
00:51:39Cécile Dominibus
00:51:40Philippe David
00:51:41et pas que
00:51:43ah bah oui
00:51:44il y a du lourd
00:51:45je ne parle pas en termes de poids
00:51:47faisons attention à ce qu'on dit
00:51:51parce que vous savez
00:51:52on n'est pas à l'abri d'un procès
00:51:55avec Philippe Bilger
00:51:55heureusement que vous avez rectifié
00:51:59d'emblée le terme lourd
00:52:01j'aime beaucoup la chemise de Philippe David
00:52:06ce soir
00:52:06oui c'est pour régler
00:52:07la mire
00:52:08c'est impressionnant
00:52:09ah oui
00:52:10c'est bon ça
00:52:10vous aimez pas ?
00:52:12si si j'aime bien
00:52:13on est novembre
00:52:13c'est bientôt l'été
00:52:14ça ça sort le mec
00:52:19qui ne repasse pas ses chemises
00:52:20et les seules qui restent
00:52:21sont celles d'été
00:52:22c'est ça
00:52:24elle est superbe
00:52:25parce qu'il n'a pas d'étiquette
00:52:26en général
00:52:28c'est pour nous dire que
00:52:30mais je ne vous dis rien
00:52:31ah mon dieu
00:52:35elle est belle
00:52:35nous en ballons pas trop non plus
00:52:38non mais moi
00:52:40quand j'ai l'occasion
00:52:41de louer le vêtement
00:52:42je le dis
00:52:43il y a des phrases que je ne comprends plus
00:52:47à 19h est passée
00:52:48allez tout de suite
00:52:49la question du soir
00:52:50alors
00:52:51nous on l'a fait venir
00:52:52parce que
00:52:53c'est vrai que d'un point de vue
00:52:53chevalerie
00:52:54fait d'armes
00:52:55stratégie militaire
00:52:56tout ça
00:52:56c'est pas une flèche
00:52:58pas exactement non
00:52:59ah bon
00:53:00par contre pour tout ce qui touche à la bouffe
00:53:01on a envie de faire quelques dégustations
00:53:03mais c'est pour après l'émission
00:53:04ça c'est très très bon
00:53:05j'aime quand c'est cru
00:53:06quand c'est cuit
00:53:07ça c'est bon
00:53:07ça c'est du piment de toilette
00:53:09j'adore
00:53:09j'aime quand c'est brûlé
00:53:11quand c'est congelé
00:53:12que c'est périmé
00:53:13en fait j'ai tout au fond
00:53:13des producteurs
00:53:14des consommateurs
00:53:15des bouchers
00:53:17des boulangers
00:53:17il y a absolument de tout
00:53:18et c'est absolument
00:53:20délicieux
00:53:21non mais là je dois reconnaître
00:53:22un prince de la fourchette
00:53:23enfin sauf qu'il faut avec les doigts
00:53:25j'ai donc décidé de commencer
00:53:26par me sustenter ce soir
00:53:28en commençant par des charcuteries du Cajir
00:53:30continuer par une fondue pyrénéenne
00:53:32et conclure par un gâteau à la broche
00:53:34arrosé d'Iroulégui
00:53:35et même plus CFINITI
00:53:37c'est la cojama
00:53:37allez rendez-vous sur mangezbouger.fr
00:53:40si tout ça n'est pas taxé par le gouvernement
00:53:44je comprends rien
00:53:45c'est vrai que ça j'ai pas la médaille
00:53:48des agriculteurs français
00:53:49c'est à désespérer
00:53:51et ben justement
00:53:52on part de l'autre côté
00:53:53puisqu'un amendement
00:53:53au projet de loi de finances
00:53:552026
00:53:55vise à instaurer une taxe
00:53:57qui ciblera
00:53:57les franchisés
00:53:59de la restauration rapide
00:54:00selon les députés verts
00:54:01l'enjeu est autant économique
00:54:02et ils disent aussi
00:54:03mais sanitaire
00:54:04d'où cette question
00:54:05budget 2026
00:54:07un amendement prévoit
00:54:08une nouvelle taxe
00:54:08sur les fast-food
00:54:09vous dites à 58%
00:54:10que c'est une mauvaise idée
00:54:11à 30% une bonne
00:54:12et à 12%
00:54:13vous êtes sans opinion
00:54:13et tout de suite
00:54:15mon cher Philippe
00:54:18vous pouvez commenter
00:54:20mon cher Philippe
00:54:20J'avoue que
00:54:21je n'ai pas vraiment
00:54:23d'opinion
00:54:24sur ce sujet
00:54:25dans la mesure
00:54:26où moi-même
00:54:26j'aime beaucoup
00:54:27les fast-food
00:54:29j'aime beaucoup
00:54:30le McDo
00:54:31j'aime beaucoup
00:54:32quand je rentre tard
00:54:34le soir
00:54:35aller manger
00:54:36demander des potatoes
00:54:37et comme je
00:54:39votre accent anglais
00:54:40est magnifique
00:54:41j'adore
00:54:42et comme je le demande
00:54:43gentiment
00:54:44elles acceptent
00:54:45de me le faire
00:54:46directement
00:54:47au lieu de tapoter
00:54:48sur ces machines
00:54:49mais ça peut être mieux
00:54:51excusez-moi
00:54:52il y a quelqu'un
00:54:52qui est rentré
00:54:52dans le corps
00:54:53de Philippe Bilger
00:54:53mais c'est génial
00:54:55là on découvre
00:54:56une nouvelle dimension
00:54:57du personnage
00:54:58non mais allez me chercher
00:54:58le vrai Philippe Bilger
00:54:59et donc
00:55:00si c'est un moyen
00:55:02de réparer
00:55:04de rendre
00:55:05ces fast-food
00:55:07plus conformes
00:55:08paraît-il
00:55:09à la qualité
00:55:10de la nourriture
00:55:11pourquoi pas
00:55:12mais je ne vois pas
00:55:13le rapport
00:55:14mais non mais le truc
00:55:14c'est de mettre
00:55:15une nouvelle taxe
00:55:1650 000 euros
00:55:17quelle que soit
00:55:18l'ouverture du fast-food
00:55:18100 000 euros
00:55:19si c'est à moins
00:55:20de 300 mètres
00:55:21d'un établissement scolaire
00:55:22c'est juste pour faire
00:55:23les poches des gens
00:55:24mais alors ce qui est
00:55:25totalement délirant
00:55:26c'est que ça va taxer
00:55:27par exemple les franchisés
00:55:28des grandes enseignes
00:55:29de fast-food
00:55:30pas besoin de les citer
00:55:30mais que par exemple
00:55:32les kebabs
00:55:32ne seraient pas taxés
00:55:33alors qu'ils sont
00:55:34encore plus gras
00:55:34que les hamburgers
00:55:36en général
00:55:37donc c'est n'importe quoi
00:55:38le but c'est de faire
00:55:39les poches
00:55:40des boîtes de fast-food
00:55:41ils oublient juste
00:55:42que c'est des franchisés
00:55:42et que donc
00:55:43ils n'auront pas les moyens
00:55:44peut-être de mettre
00:55:4550 ou 100 000 euros
00:55:46de taxes pour commencer
00:55:47je suis d'accord
00:55:48je sais exactement
00:55:49ce que j'allais dire
00:55:50la pizzeria du coin
00:55:53le kebab
00:55:54en effet
00:55:54la sandwicherie
00:55:55tout ça ne va pas être taxé
00:55:57donc je ne vois pas tellement
00:55:58l'apport nutritif
00:55:59de la taxe
00:55:59je vous rappelle
00:55:59qu'il y a de la malbouffe aussi
00:56:01il y a des plats cuisinés
00:56:02pas très bons
00:56:03dans les super-marches
00:56:04il y a des gâteaux partout
00:56:07il y a des gâteaux
00:56:07et surtout
00:56:09ils parlent
00:56:09à moins de 300 mètres
00:56:10des écoles
00:56:11mais ça va juste
00:56:12développer la livraison
00:56:13je vous rappelle
00:56:14qu'aujourd'hui
00:56:14on peut quand même
00:56:15se faire livrer la bouffe
00:56:16donc ça ne change
00:56:16absolument rien
00:56:17moi je suis d'accord
00:56:18c'est juste pour faire
00:56:19les poches des restaurants
00:56:20et en plus
00:56:21ça va créer des problèmes
00:56:22de distorsion de concurrence
00:56:23parce qu'entre le fast-food
00:56:25et le kebab
00:56:26c'est le kebab
00:56:26qui va en profiter
00:56:27ou n'importe
00:56:28le non-franchisé
00:56:29qui va en profiter
00:56:29je trouve que c'est grave
00:56:32c'est une rupture
00:56:32d'égalité économique
00:56:33mais quel était
00:56:34le motif honorable
00:56:36affiché ?
00:56:38c'est les écologistes
00:56:40qui l'ont fait
00:56:41c'est pour en fait
00:56:41quelque part
00:56:42lutter contre la malbouffe
00:56:43et que donc
00:56:45si vous mettez
00:56:46une grosse taxe
00:56:47évidemment
00:56:47si vous payez 100 000 euros
00:56:48parce que vous êtes
00:56:49à 200 mètres
00:56:50d'un lycée
00:56:50ou d'un collège
00:56:51vous allez augmenter
00:56:52le prix de vos hamburgers
00:56:54de vos frites
00:56:55ou de vos potatoes
00:56:56pour être en 5 jours
00:56:58avec vous
00:56:58quel accent ?
00:57:00ah bah non
00:57:00t'es j'ai fait du bilgère
00:57:01vos potatoes
00:57:02et donc on va dire
00:57:03que comme c'est plus cher
00:57:04les gens n'iront pas
00:57:05mais c'est complètement stupide
00:57:06c'est complètement stupide
00:57:07comment présenter
00:57:09un amendement pareil ?
00:57:10le seul but
00:57:11c'est de faire les poches
00:57:12et en plus
00:57:13c'est mesquin
00:57:14vous ouvrez
00:57:14vous avez 50 000 balles
00:57:16de taxes
00:57:16mais moi je pense
00:57:17que dans un pays libre
00:57:18on va manger
00:57:19où on veut
00:57:20si vous voulez manger
00:57:2110 hamburgers par jour
00:57:22vous avez le droit
00:57:23de manger 10 hamburgers par jour
00:57:24et si vous avez envie
00:57:26de manger des sushis
00:57:27vous mangez des sushis
00:57:28si vous voulez du quinoa
00:57:28du quinoa
00:57:29et laissez les gens vivre
00:57:30après il faut quand même
00:57:31contrôler que les grandes enseignes
00:57:33ne vendent pas de la mort au rat
00:57:34aux gens
00:57:35mais ça évidemment
00:57:36mais une fois qu'on a testé ça
00:57:38je veux dire
00:57:38après les gens font qu'il veut
00:57:39une fois que la nourriture est sèche
00:57:40ils mangent un truc qui fait grossir
00:57:41ils mangent un truc qui fait grossir
00:57:42non mais c'est ce que je trouve
00:57:43de dingue
00:57:44c'est que dans ce pays
00:57:45où l'état n'est même pas capable
00:57:47d'assurer la sécurité des français
00:57:50il veut absolument s'occuper
00:57:51de ce qu'ils mettent
00:57:52dans leur assiette
00:57:53mais laissez-nous vivre
00:57:54lâchez-nous la grappe
00:57:56j'allais dire
00:57:56et laissez-nous manger ce qu'on veut
00:57:58comme on veut
00:57:59quand on veut
00:57:59dès lors que ça ne déroge pas
00:58:01que ça ne met personne en danger
00:58:02que vous ne buvez pas
00:58:03des litres d'alcool
00:58:04et que vous prenez le volant
00:58:05laissez faire
00:58:06ce qu'ils veulent aux gens
00:58:07mais arrêtez
00:58:08de vouloir tout réjanter
00:58:09c'est intéressant
00:58:16parce que la fédération française
00:58:18de la franchise
00:58:18le syndicat national
00:58:19de l'alimentation
00:58:20de la restauration rapide
00:58:21et la fédération des entrepreneurs
00:58:23de la boulangerie
00:58:24ont écrit aux députés
00:58:24pour rappeler
00:58:25le rejet
00:58:26de ce projet
00:58:28et de dire
00:58:29on vous rappelle quand même
00:58:30que ce sont des entreprises
00:58:31locales
00:58:32parce que quand on est franchisé
00:58:33on est un commerce
00:58:35de proximité
00:58:35donc ça veut dire
00:58:36que ça va
00:58:37de nouveau
00:58:38créer du chaos
00:58:39et peut-être
00:58:40sortir tous ces gens-là
00:58:41des centres-villes
00:58:42et faire mourir
00:58:43les centres-villes
00:58:43Est-ce qu'il y en a beaucoup
00:58:44dans les centres-villes ?
00:58:46Je ne parle pas
00:58:47que de Paris
00:58:48Non mais même à Toulouse
00:58:50à Bordeaux
00:58:50à ce que vous voulez
00:58:51bien sûr
00:58:51Est-ce qu'il y a un centre-ville
00:58:52à Paris ?
00:58:53Pour donner un argument
00:58:55contraire
00:58:55il faut dire que celui
00:58:56moi j'en ai entendu parler
00:58:59ceux qui arrivent
00:59:00à ouvrir des franchises
00:59:01McDonald's
00:59:02Uber, Burger King
00:59:02etc.
00:59:04gagnent énormément
00:59:05d'argent avec ça
00:59:06donc une taille
00:59:06de 50 000
00:59:07ne serait pas
00:59:07énormissime
00:59:08par rapport à ce qu'il y a
00:59:09mais je l'ai dit
00:59:11il faut arrêter
00:59:11de se shooter à la taxe
00:59:12Allez on y va
00:59:13Allez tout de suite
00:59:14Sud Radio fait son transat
00:59:15sa transat
00:59:16Sud Radio fait sa transat
00:59:20C'est pour ça
00:59:21qu'il fait sa chronique
00:59:22allongée
00:59:22Et on continue à suivre
00:59:25Joël Paris
00:59:27skipper malvoyant
00:59:28et Goulven
00:59:29navigateur pro
00:59:30engagé dans la catégorie
00:59:31classe 40
00:59:32avec leur bateau
00:59:32rêve à perte de vue
00:59:33et la situation
00:59:34s'est grandement améliorée
00:59:35François Louis
00:59:36c'est une bonne nouvelle
00:59:36Une bonne nouvelle
00:59:37enfin je pense
00:59:38qu'il attendait
00:59:39autant que nous
00:59:39après plusieurs journées
00:59:41de galère
00:59:42donc Joël Paris
00:59:42et Goulven
00:59:43ont retrouvé du vent
00:59:44de la vitesse
00:59:45et surtout le moral
00:59:46parce qu'au final
00:59:46ça fait quand même
00:59:47beaucoup la différence
00:59:47d'avoir du vent
00:59:48quand on est en voilier
00:59:49on les avait laissés
00:59:50la dernière fois
00:59:51proches de Madère
00:59:52ils sont désormais
00:59:52à 800 kilomètres
00:59:54à l'ouest des Canaries
00:59:55donc ils ont un petit peu
00:59:56changé d'air
00:59:56et pour garder le moral à bord
00:59:58même dans les moments
00:59:59un peu rock'n'roll
01:00:00les moments les plus compliqués
01:00:01nos deux compères
01:00:02ont un petit rituel
01:00:03bien à eux
01:00:03Joël va nous raconter ça
01:00:05Avant notre départ
01:00:06notre famille a caché
01:00:07une boîte
01:00:09pour mettre sa surprise
01:00:10en fait
01:00:10dans laquelle il y a
01:00:11des bonbons
01:00:12et puis des petits bonbons
01:00:13des copains
01:00:14de la famille
01:00:14de ce qu'on aime
01:00:15et voilà
01:00:16donc tous les jours
01:00:17on a le droit
01:00:17d'un bonbon chacun
01:00:18et moi il y a des petits mots
01:00:20qu'il adore
01:00:20c'est chaud au coeur
01:00:22donc je pense
01:00:23qu'on a assez de bonbons
01:00:24pour jusqu'à la fin
01:00:25par contre des petits mots
01:00:27il nous en reste neuf
01:00:28donc petit présage
01:00:30pour neuf jours
01:00:30ça serait très optimiste
01:00:32on ne sait jamais
01:00:32mais voilà
01:00:33donc non
01:00:34blague à part
01:00:35on va aller plutôt
01:00:35vers le 22-23
01:00:36on serait très content
01:00:37voilà
01:00:37allez bis à tous
01:00:39voilà donc une arrivée
01:00:40espérée vers le 22
01:00:41ou 23 novembre
01:00:42on serait très content
01:00:43de les voir arriver
01:00:43bien sûr
01:00:44voilà
01:00:45et on les embrasse
01:00:46et on les embrasse
01:00:47absolument
01:00:48allez 0826 300 300
01:00:50c'est Florent
01:00:51qui nous appelle
01:00:51de Soset
01:00:52dans la Drôme
01:00:53bonsoir Florent
01:00:54bonsoir
01:00:55Florent
01:00:56il est tombé
01:00:58dans le fromage
01:01:00il a fondu
01:01:02c'est le cas de le dire
01:01:04Florent
01:01:05vous êtes avec nous
01:01:06je crois que
01:01:08Florent
01:01:09Avignon
01:01:10bonjour
01:01:11Soset
01:01:12bonjour
01:01:13vous êtes bien
01:01:13au SVP 1111
01:01:15ça ne nous rachènie pas
01:01:16SOS détresse amitié
01:01:16appuyez sur le bouton
01:01:18monsieur
01:01:18ou rappelez-nous
01:01:20d'une cabine
01:01:20qui fonctionne
01:01:21je crois qu'on est
01:01:22en train de le retrouver
01:01:23il y a un petit problème
01:01:24de ligne
01:01:24qu'est-ce qu'il y a
01:01:25il faut faire chauffer
01:01:26la machine
01:01:26et ben voilà
01:01:27tout ça
01:01:27alors Florent
01:01:28sachez qu'on vous offre
01:01:29ce très joli cadeau
01:01:31puisque vous avez
01:01:32remporté
01:01:32une très jolie
01:01:33machine à fondu
01:01:36voilà
01:01:37cherchez le mot
01:01:38vous avez été tiré au sort
01:01:39vous pouvez bien entendu
01:01:40faire avec cet appareil
01:01:42à fondu
01:01:42d'une valeur de 150 euros
01:01:44de la marque
01:01:45fondue Cimo
01:01:46vous allez faire
01:01:46de très très très très
01:01:47gourmands
01:01:49petits petits dîners
01:01:50on est ravis de vous l'offrir
01:01:51je ne sais pas si vous nous entendez
01:01:53en tout cas
01:01:53on vous embrasse très fort
01:01:54merci en tout cas
01:01:55d'avoir joué pour nous
01:01:56et direction
01:01:57le rugby
01:01:58c'est Alexandre Priam
01:02:01qui est avec nous
01:02:01salut Alexandre Priam
01:02:02le rugby étant très présent
01:02:03dans le sud-ouest
01:02:04c'est une émission
01:02:05qui garbure bien
01:02:06c'est beau
01:02:06c'est beau
01:02:07c'est beau
01:02:07c'est bien ça
01:02:08bravo
01:02:08bravo
01:02:09bravo
01:02:10bravo
01:02:11bonjour à tous
01:02:12il l'a fait à chaque fois
01:02:13donc ça n'a aucun intérêt
01:02:14c'était un SMS
01:02:16que m'a envoyé Alexandre
01:02:17tu dois mettre
01:02:19le mot garbure
01:02:20dans le lancement
01:02:21allez Alex
01:02:23ça garbure bien
01:02:24c'est très bien
01:02:24de la prodédo
01:02:26ce soir
01:02:26de la prodédo
01:02:28effectivement
01:02:28Colomien Nevers 3
01:02:29partout actuellement
01:02:30évidemment on va passer
01:02:31un très gros vendredi soir
01:02:33de rugby
01:02:33autour de la prodédo
01:02:34et puis on se projeterait
01:02:35évidemment sur France-Fidji
01:02:36demain
01:02:36est-ce que les bleus
01:02:37peuvent rebondir
01:02:38parce qu'on a été
01:02:38quand même très inquiet
01:02:39à l'issue du match
01:02:40face à l'Afrique du Sud
01:02:41une belle claque
01:02:42pour l'équipe de France
01:02:44de Fabien Galtier
01:02:44Fabien Galtier d'ailleurs
01:02:45qui sera sous pression
01:02:47dès demain
01:02:48oui parce qu'une nouvelle défaite
01:02:49ça ferait 5 d'affilée
01:02:51pour le 15 de France
01:02:52et ce serait inédit
01:02:53sous le mandat Galtier
01:02:55ce sera demain
01:02:55ça évidemment
01:02:56dès 20h sur Sion Radio
01:02:57puis dimanche
01:02:58soirée exceptionnelle
01:02:59autour de la prodédo
01:03:00une nouvelle fois
01:03:00Vannes face à Grenoble
01:03:01devant 30 000 personnes
01:03:02à Rennes
01:03:03Sud Radio sera présent
01:03:04tout au long du week-end
01:03:05pour vous parler rugby
01:03:06voilà et demain
01:03:06à 20h avec François Trio
01:03:08et Daniel Herrero
01:03:08bien entendu
01:03:09c'est à découvrir
01:03:10et à écouter
01:03:11sur Sud Radio
01:03:12on vous souhaite
01:03:13un excellent week-end
01:03:14merci Philippe Ilger
01:03:15merci Michael Sadoun
01:03:17merci Philippe David
01:03:18merci Cécile Levenibus
01:03:19merci François Louis
01:03:20merci François Louis
01:03:21merci Maxime
01:03:22merci Justine
01:03:24et Antoine
01:03:26on vous souhaite
01:03:26un très bon week-end
01:03:27prenez soin de vous
01:03:28et on sera ravis
01:03:29de vous retrouver
01:03:30à partir de lundi
01:03:31à 18h avec un immense bonheur
01:03:33et voilà c'est ça
01:03:33bon week-end à tous
01:03:34et merci de votre fidélité
01:03:36à lundi salut
01:03:36Sud Radio
01:03:44Sud Radio
01:03:44Parlons Vrai
01:03:45Parlons Vrai
01:03:46Sud Radio
01:03:46Parlons Vrai
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