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L'édito de Mathieu Bock-Côté : «CNEWS : l'acharnement d'Éric Dupond-Moretti ?»
CNEWS
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il y a 9 heures
Dans son édito du 29/09/2025, Mathieu Bock-Côté revient sur [thématique de l'édito]
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00:00
Et Mathieu, c'est important ce qui va se passer, parce que c'est important de voir que depuis l'offensive de Delphine Ernaut contre Cegnauz,
00:07
ils sont nombreux à monter à la charge contre notre chaîne Cegnauz.
00:12
Je rappelle que Cegnauz est devenue la première chaîne de la TNT au mois de septembre, une grande première.
00:18
Et le dernier en date à critiquer Cegnauz après Delphine Ernaut, c'est Éric Dupond-Muretti,
00:23
qui dans son récent ouvrage s'en prend à Cegnauz. Faut-il y voir une entreprise isolée ou bien autre chose ?
00:29
Moi, je vois dans cet ouvrage et dans le traitement médiatique de l'ouvrage de Dupond-Muretti,
00:34
qui est paru il y a quelques jours en « Jurer craché », c'est le titre d'un livre d'entretien avec Marc-Olivier Fogel.
00:39
« Jurer comment ? »
00:40
« Jurer craché ».
00:41
Et moi, ce qui m'a frappé là-dedans, c'est que ce ouvrage, je le précise en tout respect, assez médiocre intellectuellement.
00:47
Je croyais, parce que je me fiais à sa réputation, que M. Dupond-Muretti était un puissant esprit.
00:53
C'est peut-être vrai à l'oral, mais quand il est temps de le voir à l'écrit,
00:56
la qualité intellectuelle de l'ouvrage est assez décevante.
00:59
C'est des analyses un peu bâclées, une série d'indignations à coup de point d'exclamation à peu près.
01:04
Donc, j'essaie de comprendre pourquoi on admire autant la puissance intellectuelle de ce monsieur
01:07
dès lors qu'il quitte le tribunal.
01:09
Mais quoi qu'il en soit, il a lancé une charge.
01:11
Qu'est-ce qu'on voit dans cet ouvrage ?
01:14
Il y a ce chapitre qu'on a retenu, qui est une charge contre Seigneuse,
01:19
une charge contre Cyril Hanouna aussi, une charge comme...
01:22
Je ne suis pas encore contre rien par le président.
01:23
Non, non, non, pas du tout.
01:24
Alors, une charge, en fait, contre Seigneuse, qui est vue comme une instance de radicalisation
01:31
de la vie politique française, de la vie intellectuelle, de normalisation des discours haineux.
01:35
On connaît tout ça par cœur.
01:37
Là où c'est intéressant, c'est la séquence médiatique qui s'est engagée.
01:40
Le premier élément, donc, les médias qui parlent de ce livre font beaucoup parler
01:45
Dupond-Moretti de ce chapitre.
01:47
En disant, bon, qu'est-ce que vous en pensez ?
01:50
Pour vous, c'est une chaîne d'extrême droite, vous le dites.
01:52
Et on lui cite souvent les propos de Delphine Ernotte.
01:55
Delphine Ernotte dit que c'est une chaîne d'extrême droite.
01:57
Êtes-vous d'accord avec le fait que c'est une chaîne d'extrême droite ?
02:00
Alors, il en profite pour en rajouter.
02:02
Il en profite pour en rajouter.
02:03
Il dit notamment, de plusieurs des chroniqueurs de Pascal Praud,
02:05
notamment que c'est une bande de fachos.
02:07
Et il vous cite aussi, avec Dupond-Moretti, dans son livre.
02:09
Très gentiment, en disant que je suis le seul immigré que les gens de CNews acceptent.
02:13
Mais c'est mal de comprendre ce que sont les Québécois, cher ami.
02:16
Alors, quoi qu'il en soit...
02:17
Il nous dit, donc, dans cet ouvrage,
02:23
donc, extrême droite,
02:24
on lui pose la question.
02:25
Delphine Ernotte dit que c'est l'extrême droite.
02:27
Il dit absolument. Il dit, par ailleurs, il y a des fachos.
02:30
Et là, la question qui lui est posée ensuite,
02:31
on a pu voir ça sur une autre chaîne d'info,
02:33
mais si c'est une chaîne d'extrême droite,
02:35
si c'est une chaîne d'opinion dangereuse,
02:37
« Alors, alors, alors, que doit-on faire ?
02:40
Est-ce qu'on doit en parler à l'ARCOM ?
02:41
Est-ce qu'on doit saisir l'ARCOM ? »
02:43
Et là, vous voyez l'évolution du débat
02:45
qui s'opère très rapidement.
02:47
On part sur la discussion,
02:49
sur une chaîne dont on apprécie ou non l'orientation éditoriale,
02:51
les étiquettes qu'on lui colle,
02:53
et on cherche à transformer l'existence même
02:55
de CNews comme un problème administratif,
02:57
un problème politique.
02:58
Pourquoi ?
02:59
Pour replacer au cœur du débat public
03:02
l'idée même d'une censure de CNews.
03:05
Ce qui est arrivé à C8,
03:06
est-ce que ça ne devrait pas arriver à CNews demain ?
03:08
Est-ce qu'on ne devrait pas, en quelque sorte,
03:10
reconduire la censure contre une chaîne
03:12
parce que la première est tombée ?
03:14
Donc, c'est une espèce de mécanique,
03:16
une rhétorique qui est mise en place.
03:17
On pose la question,
03:18
et là, ensuite, chaque fois,
03:19
il y a une espèce d'effet de rebond.
03:20
Chaque fois, on lui repose la question,
03:22
« Vous allez vraiment aussi loin ? »
03:23
Chaque fois, on demande,
03:24
« Est-ce que l'ARCOM doit faire le travail ? »
03:25
Chaque fois, il y a une forme d'appel à la censure.
03:27
Et à travers cela, les accusations sont classiques,
03:29
désinformation, cultiver la haine, et ainsi de suite.
03:32
Sans jamais aucune définition, faut-il le dire.
03:34
Et on nous explique en dernière instance
03:35
que c'est l'état de droit qui est en danger, bien évidemment.
03:38
Et c'est l'état de droit qui doit se défendre
03:39
contre les désinformateurs à grande échelle
03:41
que nous serions, selon M. Dupont-Moretti.
03:44
Alors, Mathieu, cette offensive que vous décrivez
03:46
manque quand même de subtilité, si je puis me permettre.
03:49
Comment expliquer qu'elle soit menée aussi ouvertement
03:52
contre CNews, première chaîne de la TNT ?
03:54
Alors, moi, ce qui me frappe,
03:55
vous avez tout à fait raison de dire l'absence de subtilité.
03:57
Alors, ce qu'on voit, c'est qu'on a eu un problème de base.
03:59
C'était, parce qu'il faut juste y revenir,
04:01
l'affaire Cohen-Legrand.
04:02
Un problème majeur qui dévoile la complicité apparente,
04:06
à tout le moins,
04:07
entre des journalistes du service public
04:08
et le Parti socialiste.
04:09
Donc, c'est un engagement qui ne surprenait personne.
04:12
Delphine Ernotte, qui a joué son rôle là-dedans,
04:14
parce que c'est un duo, Ernotte et Dupont-Moretti là-dedans.
04:17
Delphine Ernotte a décidé un jour
04:18
de cesser de s'excuser.
04:19
Elle n'a pas reconnu ses fautes, finalement.
04:21
Elle a dit, la meilleure défense, c'est l'attaque.
04:24
D'ailleurs, vous noterez, la gauche ne s'excuse jamais.
04:26
La gauche ne s'excuse jamais.
04:27
Donc, elle dit, finalement, c'est CNews,
04:28
danger extrême droite, danger extrême droite.
04:30
Donc, à partir du moment où ses propos sont lancés,
04:33
ça permet d'évacuer le problème de base
04:35
qui est dans l'actualité,
04:37
c'est-à-dire le biais institutionnalisé
04:39
du service public.
04:40
Alors là, ils sont sur la contre-attaque,
04:42
sans gêne, vous l'avez dit,
04:43
sans subtilité, pourquoi ?
04:45
Mais parce qu'ils ne sont jamais contredits.
04:47
C'est un système qui se parle entre lui.
04:49
Mme Ernotte, M. Dupont-Moretti,
04:51
le monsieur qui, sur une autre chaîne Info,
04:53
interview Dupont-Moretti en disant
04:54
« Est-ce qu'on doit appeler l'ARCOM ? »
04:56
Les gens qui commentent ensuite,
04:57
c'est le même système qui ne va jamais rencontrer
04:59
le véritable contradicteur,
05:01
notamment ceux qu'il voudrait fermer.
05:03
Dupont-Moretti s'enorgueillit
05:04
de ne pas venir sur CNews en disant
05:06
« Je les méprise, je méprise leur valeur. »
05:08
Il a dit sans gêne « Je méprise leur valeur.
05:10
Pourquoi accepterais-je d'y aller ? »
05:12
Donc, qu'est-ce qu'on voit à travers cela ?
05:14
C'est un régime qui s'auto-radicalise,
05:17
en quelque sorte.
05:18
Ce sont des gens qui se parlent entre eux
05:20
comme jamais.
05:20
Ce sont des gens qui sont dans une forme
05:22
de complicité institutionnelle.
05:24
Qui ne donnent pas de contradictions
05:25
et qui accusent les autres
05:26
de ne pas donner de contradictions.
05:27
Mais exactement.
05:28
Vous avez raison,
05:29
c'est là l'enjeu.
05:31
CNews, il n'y a pas de contradictions,
05:33
mais eux refusent d'aller
05:34
là où ils rencontreraient
05:35
une véritable contradiction.
05:37
Donc, c'est assez intéressant.
05:39
Ensuite, ce qu'on doit voir
05:40
à travers ça,
05:41
et je vais me permettre
05:42
de faire le lien
05:43
avec la séquence Sarko
05:44
parce que c'est intéressant.
05:45
Rappelez-vous ce qu'on dit
05:46
depuis 4 ou 5 jours
05:47
à propos du jugement
05:48
sur Nicolas Sarkozy.
05:50
On dit,
05:50
on ne peut pas critiquer
05:51
une décision de justice.
05:52
On ne peut pas critiquer
05:53
une décision de justice.
05:54
C'est fascinant.
05:55
La justice,
05:55
qui est devenue non plus
05:56
contre-pouvoir,
05:57
mais pouvoir,
05:58
réclame d'être un pouvoir
05:59
sans contre-pouvoir,
06:00
un pouvoir qu'on ne peut pas critiquer,
06:02
un pouvoir qu'on ne peut pas
06:03
remettre en question,
06:04
un pouvoir au-delà
06:05
de toute critique.
06:06
Autrement dit,
06:07
on passe du gouvernement
06:08
des juges et de la dictature
06:08
des juges.
06:09
Mais tout ça vient ensemble.
06:10
D'un côté,
06:11
un espace public
06:12
auto-référentiel,
06:13
mais ce qui porte surtout
06:14
par le service public,
06:15
mais pas seulement
06:16
par des chaînes aussi
06:17
qui tournent autour de ça.
06:18
Ces gens-là se parlent entre eux.
06:19
Ils n'ont jamais
06:20
de contradicteurs.
06:21
De la même manière,
06:22
le droit réclame
06:23
de ne pas être contredit.
06:24
Nous sommes devant
06:25
un pouvoir
06:25
qui s'installe de plus en plus
06:27
et qui tolère mal
06:28
la possibilité même
06:29
d'être remise en question.
06:30
Et voilà pourquoi
06:31
ils ont un tel malaise
06:32
avec ces news
06:33
dans les circonstances.
06:34
Parce que c'est une chaîne
06:35
qui dit un instant
06:36
le récit médiatique
06:37
que vous proposez.
06:38
Peut-on le remettre
06:39
en question ?
06:40
Notamment au nom du pluralisme.
06:41
Est-ce qu'il est possible
06:42
de remettre cela en question ?
06:43
Mais une simple voix discordante
06:45
est vue comme le début
06:46
du désordre public.
06:48
On commence
06:48
à comprendre leur méthode.
06:50
Ce matin,
06:51
Mathieu Bocoté
06:51
sur France Info,
06:52
Éric Zemmour
06:53
était invité.
06:54
On peut le souligner.
06:55
Oui, bien sûr.
06:56
Il disait
06:56
être non pas un délinquant
06:58
mais un dissident.
07:00
En quoi cette affirmation
07:00
s'inscrit-elle
07:01
dans le présent contexte ?
07:02
Ah mais c'est la même chose.
07:04
Zemmour est invité.
07:05
Alors là,
07:05
on l'accueille
07:06
à la manière
07:06
d'un malpropre.
07:08
On lui dit
07:08
vous êtes un délinquant
07:09
parce que vous avez été
07:10
condamné par les tribunaux.
07:11
Il a dit non,
07:12
je ne suis pas un délinquant,
07:12
je suis un dissident.
07:13
Un dissident idéologique.
07:15
Donc, j'ai été condamné
07:15
non pas pour des affaires d'argent,
07:17
non pas pour quoi que ce soit
07:18
qui touche à cela,
07:18
non pas pour des...
07:19
J'ai été condamné
07:20
pour des propos.
07:21
J'ai été condamné
07:22
pour des propos.
07:22
Donc, j'ai été condamné
07:23
devant les tribunaux
07:24
pour des idées.
07:26
Mais c'est la même logique
07:27
dont on parle ici.
07:28
Certaines idées,
07:29
on ne veut plus
07:29
les combattre intellectuellement.
07:31
On ne veut plus
07:31
aller à la rencontre
07:32
de ces idées.
07:33
On décide tout simplement
07:34
de faire en sorte
07:35
qu'elles soient marquées
07:35
juridiquement
07:36
pour qu'il ne soit plus
07:37
possible de les exprimer
07:39
publiquement.
07:40
Alors là,
07:41
j'ai fait le lien
07:42
avec un propos
07:42
de M. Fogiel
07:43
qui était samedi soir
07:45
sur, je pense,
07:45
sur la 2
07:46
avec Elias Salamé.
07:47
Et il dit,
07:48
on lui pose la question,
07:49
c'est assez intéressant.
07:50
On lui dit
07:51
est-ce que les gens
07:51
que vous n'aimerez
07:51
interviewer sur votre divan,
07:53
bon,
07:53
la fameuse émission
07:54
qu'il fait.
07:55
Et il dit,
07:55
oui, Marine Le Pen.
07:56
Il faisait.
07:56
Et là, il faisait, oui.
07:57
Il dit,
07:58
je sais que ce serait
07:59
très critiqué
07:59
parce qu'on l'humaniserait.
08:01
Là, cette formule
08:02
m'a fasciné.
08:03
Donc, considérer
08:03
que Marine Le Pen
08:04
aujourd'hui est un humain
08:05
relève encore
08:06
du propos polémique
08:07
inquiétant et dangereux
08:08
sur les grandes émissions
08:10
qui font référence aujourd'hui.
08:12
Humaniser Marine Le Pen,
08:13
donc la traiter
08:14
comme une personne
08:14
qui a des qualités,
08:15
des défauts,
08:16
des grandeurs,
08:16
des faiblesses,
08:17
quelqu'un qui mérite
08:18
d'être considéré globalement
08:19
comme un être humain,
08:20
comme les autres,
08:24
dans ce système.
08:25
C'est assez fascinant.
08:27
Dans le même esprit,
08:27
Fogiel, dans le livre,
08:29
dans le livre,
08:30
dit, parce qu'il parle
08:31
de l'évolution
08:31
du débat public
08:32
à cause de CNews.
08:33
Et là, cette formule,
08:36
il dit,
08:37
est-ce que vous n'avez pas
08:37
l'impression qu'aujourd'hui,
08:38
il y a des choses
08:39
qu'on ne pouvait pas dire
08:39
auparavant
08:40
et qu'on peut dire aujourd'hui?
08:41
Ce qu'on peut se permettre
08:42
de dire ou non
08:43
aujourd'hui.
08:44
Mais la question,
08:45
c'est qui est ce on?
08:46
Qui est ce on
08:48
qui avait le droit
08:48
de dire des choses
08:49
et qui n'avait pas
08:50
le droit de dire des choses
08:51
et qui a le droit
08:51
de les dire aujourd'hui?
08:53
Et devant cela,
08:54
c'est fascinant.
08:54
Fogiel dit lui-même,
08:56
la parole s'est libérée,
08:57
on contenait la parole publique,
08:59
on ne parvient plus
09:00
à la contenir,
09:01
mais qui est ce on?
09:03
Point final de cette réflexion,
09:04
je suis fasciné,
09:05
bien honnêtement,
09:05
par la bêtise de la droite
09:06
dans toutes ses nuances,
09:08
que ce soit le centre droit,
09:09
la droite classique,
09:09
la droite nationale,
09:10
qui ne comprend pas
09:11
dans quel système
09:12
elle évolue.
09:13
Toute droite
09:13
qui ne remet pas en question
09:14
le dispositif
09:15
de criminalisation,
09:16
de pénalisation
09:17
du désaccord,
09:18
qui ne comprend pas
09:19
qu'aujourd'hui
09:19
le système est ainsi biaisé
09:21
que même si elle arrivait
09:22
au pouvoir demain
09:23
en gagnant les élections,
09:24
elle serait condamnée
09:26
à l'impuissance,
09:27
au point même
09:27
où certains réclament
09:28
aujourd'hui
09:28
de la rendre anticonstitutionnelle.
09:30
Un ancien premier ministre
09:30
a dit récemment
09:31
que les idées conservatrices
09:32
devaient être bloquées
09:33
au niveau de la Constitution,
09:34
comme ça,
09:35
ça serait réglé.
09:35
Mais aujourd'hui,
09:36
on est devant une dérive
09:37
antidémocratique
09:37
et la droite devant cela,
09:39
se contente d'espérer
09:40
d'être un peu respectée,
09:41
elle a renoncé depuis longtemps
09:42
à gagner,
09:43
quelles que soient ses nuances.
09:44
J'aimerais bien
09:44
vous entendre sur ce sujet.
09:46
Merci beaucoup,
09:47
mon cher Mathieu.
09:47
Merci.
09:51
Merci.
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