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Punchline - Supprimer 2 jours fériés : bonne ou mauvaise ?
Europe 1
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il y a 4 mois
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00:00
Toujours à mes côtés, Najwa Laïté, Paul Amar, Vincent Roi, le contre-révolutionnaire,
00:05
Edouard Tétrault qui est avec nous, on va parler de l'intervention de M. Bérou.
00:11
Hier, l'une de ses mesures phares, vous le savez, mesures gadget ou pas,
00:15
c'est la suppression de deux jours fériés, ça a fait beaucoup jaser.
00:22
Non mais c'est curieux parce qu'il dit à propos du lundi de Pâques,
00:26
alors qu'il est lui-même un vrai catholique,
00:30
il dit que le lundi de Pâques n'a aucune signification religieuse.
00:34
Mais enfin pardon, c'est une journée liturgique après sept jours de douleur
00:39
et le jour de la résurrection, c'est le premier jour du temps nouveau
00:43
et c'est le premier jour à la fois de la paix et de la joie.
00:47
C'est le lundi de l'ange pour faire corps avec Edouard Tétrault
00:55
et qui est encore révolutionnaire, on a toujours célébré à Versailles l'office de l'ange
01:03
qui est l'office du lundi de Pâques.
01:07
C'est une journée éminemment religieuse et je suis très étonné qu'ils disent
01:11
que ça n'a aucune signification religieuse.
01:13
La preuve d'ailleurs, c'est que dans tous les grands pays européens catholiques,
01:16
je pense à l'Espagne, je pense à l'Italie,
01:19
on fête évidemment le lundi de Pâques et l'on célèbre l'office de l'ange.
01:23
Allez, boîte à archives, vous savez, Alexandra Boulin et Julien Duroux
01:26
qui travaillaient à mes côtés, m'ont suggéré, ils sont allés piocher,
01:31
parce que c'est terrible les archives, c'est pas à vous que je vais l'apprendre mon cher Paul Amard,
01:35
avec une petite sortie d'Emmanuel Macron.
01:37
Alors Paul, vous me disiez hors antenne de quand date cette archive ?
01:41
Très précisément, Alexandra Boulin et Julien Duroux me l'ont dit,
01:44
ça date du 25 avril 2019.
01:46
Écoutez ce que disait Emmanuel Macron à cette période-là.
01:49
Ah ouais, c'est terrible la boîte à archives, parfois.
01:51
Est-ce qu'il faut revenir sur des jours fériés ?
01:54
Moi, je ne suis pas favorable à cette méthode.
01:57
Je ne suis pas favorable parce qu'on a déjà essayé,
01:59
parce que ça n'a pas très bien marché, parce que ce n'est pas clair,
02:01
parce que c'est une complexité absolument abyssale pour tout le monde
02:04
et parce qu'à la fin, ça renvoie à des complexités,
02:09
les entreprises ne le font pas de la même manière, il faut que ce soit optionnel.
02:12
Nous adorons les débats, moi aussi,
02:14
mais si on pouvait s'économiser en plus le débat de savoir quels jours fériés on choisit,
02:18
ce serait formidable.
02:18
25 avril 2019,
02:22
et hier, nous étions le 15 juillet 2025.
02:25
Et tout à l'heure, nous avons écouté Emmanuel Macron
02:27
qui disait que le plan de M. Berroux était solide et clair.
02:32
Parfois, c'est terrible dans les archives.
02:33
Paul Amard.
02:34
Écoutez, je vais exaucer le vœu d'Emmanuel Macron.
02:37
Je vais faire l'économie de ce débat.
02:39
Je vais peut-être vous surprendre,
02:40
mais je n'ai pas du tout envie de faire l'exégèse,
02:42
comme on le fait, comme tous les médias le font,
02:44
du discours de François Bayrou hier,
02:46
qui a perdu son temps et qui nous fait perdre son temps.
02:50
Il suffit de voir les réactions des trois oppositions,
02:52
le RN, l'extrême-gauche et le PS,
02:55
qui voteront la censure à l'automne prochain.
02:58
Il nous a annoncé une année blanche fiscale.
03:00
C'est une année blanche politique,
03:02
une nouvelle année blanche,
03:05
depuis la décision incroyable,
03:08
si lourde de conséquences d'Emmanuel Macron,
03:11
de dissoudre l'Assemblée nationale.
03:13
Voilà où on en est aujourd'hui.
03:15
Donc, le pauvre Bayrou, c'est très bien qu'il est condamné.
03:17
D'ailleurs, il a une phrase extraordinaire
03:19
qui aurait intéressé Freud ou Lacan.
03:22
Dernière station avant la falaise.
03:24
Il dit en cinq mots sa propre angoisse.
03:27
Il dit notre angoisse, la falaise, pour lui, pour nous.
03:31
Alors, sauf pour le président,
03:32
qui lui restera en haut de cette falaise
03:33
et qui aura, de toute façon, un moment de vérité.
03:37
Si Macron veut être un homme d'État,
03:39
il devra prendre une décision.
03:40
À supposer que la censure soit votée,
03:42
il devra enfin affronter le peuple français
03:45
et, par référendum, par dissolution,
03:48
par nouvelles élections,
03:50
tirer les enseignements d'un nouveau scrutin.
03:54
On va dire ça comme ça, d'un nouveau scrutin.
03:55
Je pense au général de Gaulle.
03:57
69.
03:58
Proposition de répandre du Sénat.
04:00
Le peuple français lui dit non
04:01
et il a l'élégance de se retirer.
04:05
Alors, si on ne veut pas vivre
04:06
deux années blanches politiques,
04:07
vierges de tout, si lourdes,
04:09
et au bout de ce chemin-là,
04:10
la falaise possible,
04:12
eh bien, Emmanuel Macron devra enfin prendre
04:13
une mesure, une décision
04:15
à la hauteur de l'enjeu.
04:17
C'est faire feu, c'est faire fi...
04:19
500 rois.
04:19
Vous ne croyez pas, vous.
04:20
C'est faire fi de l'hubris d'Emmanuel Macron.
04:23
Vous ne croyez pas, vous connaissez bien.
04:24
Ah non, pas une seconde.
04:25
Non, vous ne croyez pas, deux secondes et demie.
04:26
Non, mais...
04:27
Je n'ai pas dit que j'y croyais.
04:28
Non, je pense que...
04:28
Je lui suggère, deux.
04:30
Je pense que...
04:30
La nuance est importante.
04:31
Bien sûr.
04:32
Je pense que Paul a raison,
04:33
au nom de l'élégance dont il parle,
04:36
mais là, c'est un...
04:37
Le cas Macron, sur ce point,
04:40
et son hubris, son égo,
04:42
vous appelez ça comme vous voulez,
04:43
lui interdiront cette élégance.
04:47
Édouard.
04:48
Édouard Tétrault.
04:49
Bon, alors, je suis désolé,
04:51
je risque de ne pas être totalement d'accord
04:52
avec les personnes...
04:54
C'est l'intérêt du débat.
04:55
Si tout le monde est d'accord
04:56
autour de ce...
04:57
Je ne me sens pas en train de ne pas exprimer.
04:59
Ça m'arrange si vous n'êtes pas d'accord aussi,
05:01
vous savez.
05:03
C'est un peu le but, oui.
05:04
On a un sujet,
05:05
j'ai travaillé longtemps sur les marchés,
05:07
je me suis fait un peu une spécialité
05:09
des crises financières,
05:10
la gestion des crises financières,
05:11
le krach Internet 2008-2009.
05:14
J'étais à New York
05:15
quand la Terre s'est un peu ouverte
05:17
sous nos pieds.
05:19
En fait, je trouve...
05:21
Vous ne vous dites pas de suite.
05:23
Je trouve que les propositions
05:25
de François Vareux
05:26
sont assez courageuses.
05:28
Elles sont en deçà
05:31
de ce que je souhaitais
05:32
dans mes contre-propositions.
05:33
Je pense notamment
05:35
que l'heure est tellement grave
05:36
qu'il faut implémenter
05:39
le non-remplacement
05:41
d'un fonctionnaire sur un
05:42
pendant un quinquennat
05:43
pour forcer
05:45
les organisations administratives
05:47
à réajuster,
05:48
à numériser, etc.
05:51
Parce qu'en fait,
05:51
on n'a plus l'argent.
05:53
Et les propositions qu'il fait,
05:56
et on voit la patte,
05:57
pardon de faire sa publicité,
05:58
mais on voit la patte
05:58
d'Amélie de Montchalin
05:59
notamment là-dessus,
06:00
sont équilibrées, précises.
06:02
Il n'y a pas de grand déséquilibre,
06:04
on ne met pas tout
06:05
sur un registre.
06:07
C'est soit on fait 40,
06:08
soit on arrive à faire
06:10
40 milliards d'économies
06:11
aujourd'hui,
06:11
soit, ce qui est vraisemblable
06:13
parce que la censure
06:14
sera votée,
06:15
le gouvernement risquerait
06:16
alors de sauter,
06:17
et bien,
06:18
ce n'est pas les Français
06:18
qu'Emmanuel Macron
06:20
va retrouver,
06:21
c'est les Français
06:21
qui vont se retrouver
06:22
en face de leurs créanciers.
06:23
Et moi,
06:24
je me souviens
06:25
de ce qui est arrivé
06:26
à la Grèce
06:27
en 2010,
06:29
c'est le principe
06:29
de la courbe en J.
06:30
Tout d'un coup,
06:30
vous avez des taux d'intérêt
06:31
tellement élevés
06:32
qu'en fait,
06:32
vos créanciers
06:33
ne vont plus vouloir
06:36
vous prêter d'argent
06:37
parce qu'ils savent
06:38
que vous ne pouvez plus
06:39
rembourser.
06:41
Et à ce moment-là,
06:42
ce n'est pas 40 milliards
06:43
d'économies
06:44
qu'il faudra faire,
06:44
mais la taille
06:45
de notre déficit,
06:46
c'est-à-dire 160 milliards.
06:48
160 milliards.
06:49
Et ça, vraiment,
06:50
je veux l'éviter
06:51
pour mon pays
06:51
et je trouve,
06:53
autant on anticipait
06:55
ce qu'allait dire
06:56
l'extrême-gauche,
06:57
etc.,
06:57
je trouve que
06:58
le Rassemblement National,
06:59
notamment,
06:59
fait une erreur
07:00
en s'alignant
07:01
sur l'extrême-gauche
07:02
et les socialistes
07:04
en voulant refuser
07:05
ce train de mesure.
07:07
Ce n'est pas 40 milliards
07:07
qu'il faudra économiser,
07:09
c'est 160 milliards
07:10
qu'il faudra économiser
07:11
dans l'urgence
07:11
cet automne
07:12
si on ne fait pas
07:13
les économies.
07:14
Ça ne va pas être facile.
07:15
Paul Amard
07:16
et Najwa Laïté.
07:17
Paul Amard
07:17
souhaite vous répondre.
07:18
Votre réaction
07:18
est tout à fait légitime
07:19
et même recevable.
07:20
sur le plan économique,
07:21
moi, je vous suis.
07:23
Je décrivais simplement
07:24
une réalité politique
07:25
à laquelle va se heurter
07:26
François Bayrou, pardon.
07:29
Mendès France,
07:31
Raymond Barr,
07:32
Jacques Delors.
07:33
Mendès France
07:33
n'a duré que sept mois.
07:35
À chaque fois
07:35
que des hommes
07:36
ont voulu,
07:37
par responsabilité,
07:38
par clairvoyance,
07:39
par lucidité,
07:40
dire les choses aux Français
07:41
et incarner
07:43
une certaine forme
07:44
de rigueur,
07:47
ils se sont heurtés
07:48
à ce mur politique,
07:49
à cet aveuglement politique
07:50
et c'est malheureusement,
07:52
je dis bien malheureusement,
07:53
ce qui risque de se passer
07:54
pour François Bayrou
07:55
dans quelques mois.
07:56
Allez, Najwa Laïté,
07:57
je ne vous ai pas donné la parole.
07:58
Oui, on est tous d'accord
08:00
pour dire qu'il y a urgence.
08:02
Je disais tout à l'heure,
08:04
François Bayrou,
08:05
on peut être d'accord
08:07
ou pas d'accord
08:07
avec le plan
08:08
qu'il nous présente,
08:10
mais les choses sont dites.
08:11
Les choses sont dites.
08:13
Sans doute,
08:14
il ne va pas assez loin,
08:16
mais comment peut-il aller
08:17
loin dans cette démarche
08:20
puisque politiquement,
08:21
nous sommes paralysés
08:22
au niveau du Parlement.
08:24
Donc, il ne s'agit pas
08:25
d'être naïf.
08:28
Donc, là,
08:29
le Premier ministre,
08:30
j'ai envie de vous dire,
08:30
il fait du mieux qu'il peut
08:31
et avec les armes
08:33
qu'on lui donne.
08:35
Ensuite,
08:36
je reviendrai
08:36
sur les jours fériés.
08:38
Les jours fériés,
08:39
donc, on parle de suppression,
08:41
mais le message derrière,
08:42
il est quoi ?
08:43
Le message, c'est
08:44
maintenant,
08:44
il faut qu'on travaille plus.
08:46
Il faut qu'on travaille plus.
08:48
Mais est-ce que c'est
08:49
la suppression des jours fériés
08:50
qui vont faire que
08:51
le Président de la République
08:52
lui-même, il disait
08:53
non, on a tenté,
08:55
ce n'est pas efficace.
08:56
Il le sait lui-même.
08:57
Il le sait lui-même.
08:59
Les solutions
09:00
pour faire travailler
09:00
plus,
09:02
déjà,
09:02
formons mieux nos jeunes.
09:04
Vous voyez,
09:05
les seniors,
09:06
on parle de l'emploi
09:06
des seniors.
09:07
On pousse les seniors
09:09
à travailler
09:11
plus longtemps.
09:12
Donc,
09:12
on pourra aussi
09:12
parler des retraites.
09:14
Mais on pousse
09:15
nos seniors
09:15
à travailler
09:16
plus longtemps.
09:17
Sauf que le problème,
09:18
dès l'âge
09:19
de 45 ans,
09:20
vous êtes considéré
09:21
comme senior
09:22
dans une entreprise
09:23
et on ne veut pas
09:24
vous employer
09:24
parce que vous coûtez
09:26
cher à l'entreprise.
09:27
mais c'est toutes
09:28
ces questions-là
09:29
qu'il va falloir
09:30
aussi régler.
09:32
Les charges sociales
09:33
aussi des entreprises,
09:34
moi-même,
09:35
étant à la tête
09:35
de mon propre
09:36
cabinet d'avocat,
09:38
les charges sociales
09:38
sont énormes.
09:39
Donc,
09:39
ça ne pousse pas
09:40
à employer.
09:41
Il faut travailler plus.
09:43
Vincent Roi.
09:44
C'est le message
09:45
qu'on veut nous faire passer.
09:46
Mais vous avez raison
09:47
et j'entends
09:48
tout à fait,
09:49
c'est parfaitement recevable.
09:50
Le problème,
09:51
c'est que vous savez
09:51
par exemple
09:52
qu'il y a
09:53
une surreprésentation
09:55
des émigrés
09:57
dans le chômage
09:59
ou dans des gens
10:00
qui n'ont pas d'emploi
10:00
et on en fait rentrer
10:01
500 000 de plus par an.
10:04
On fait comment ?
10:04
Il faut travailler plus
10:05
mais en réalité,
10:06
on fait rentrer
10:07
de plus en plus
10:08
de monde dans ce pays
10:09
et pas un mot
10:10
sur le coût
10:12
de notre politique migratoire
10:13
dont les spécialistes
10:15
s'accordent,
10:16
je parle sous votre magistère,
10:17
30 à 40 milliards
10:19
d'euros par an.
10:20
Les rapports existent.
10:21
L'Assemblée nationale
10:23
a pour des comptes.
10:23
On va chercher
10:24
des économies
10:25
ici ou là
10:25
et alors quant
10:26
aux fonctionnaires,
10:27
pardonnez-moi
10:28
mais 3 000
10:28
sur la masse
10:29
des fonctionnaires
10:30
et on n'en remplacera pas
10:32
un sur trois
10:33
lorsqu'ils partent,
10:35
c'est très très peu.
10:36
Ce sont des mesures
10:36
à la marche.
10:37
Effectivement,
10:38
il ne peut pas aller
10:38
plus loin,
10:38
je comprends
10:39
qu'il ne peut pas
10:40
aller plus loin
10:40
puisque de toute façon,
10:41
il n'a pas de majorité
10:42
que la Ve République,
10:43
elle ne fonctionne
10:44
qu'avec une majorité.
10:45
Donc,
10:45
il est obligé,
10:46
c'est assez habile d'ailleurs,
10:47
à la fin,
10:48
il dit,
10:48
vous allez discuter de tout ça,
10:50
je vous donne les grandes lignes,
10:51
vous en discuterez
10:52
et il met aussi
10:53
les députés
10:53
devant leur responsabilité
10:55
d'une certaine façon.
10:56
Mais enfin,
10:57
quand même,
10:57
il y avait des choses à dire,
10:59
les Français attendent
11:00
qu'on leur parle
11:00
de cette politique migratoire,
11:02
du coup de cette politique migratoire
11:04
parce que,
11:05
il n'y a pas un mot,
11:06
silence radio.
11:06
C'est le silence total.
11:08
Donc,
11:08
il y a quand même
11:08
quelques reproches
11:11
à lui faire
11:11
même si l'on sait
11:13
qu'effectivement,
11:14
il est bloqué de toutes parts
11:16
et qu'il va l'être
11:16
sans doute
11:17
de manière définitive
11:18
à la rentrée.
11:19
Allez,
11:19
juste avant de terminer
11:20
cette émission,
11:21
je voulais vous faire écouter
11:21
Bruno Rotaillou
11:22
qui s'est exprimé
11:23
cet après-midi
11:23
justement sur ce plan
11:25
présenté par son premier ministre.
11:27
Il ne fait absolument aucun doute
11:29
que la France est menacée.
11:32
Quand on a plus de 3 000 milliards
11:33
d'euros d'endettement,
11:35
ça veut dire
11:35
qu'on perd son indépendance
11:37
et qu'il y a un appauvrissement
11:38
du pays
11:39
avec un retentissement
11:40
d'ailleurs
11:40
pour les Français.
11:42
Et si demain,
11:43
on continue comme cela,
11:45
alors il y aura
11:45
une crise financière.
11:46
Donc le péril,
11:47
il est là.
11:48
Voilà,
11:48
le péril,
11:49
il est là.
11:49
Le constat,
11:50
il est là.
11:50
Maintenant,
11:51
une fois qu'on a dit ça,
11:52
qu'est-ce qu'on fait ?
11:53
Heidegger,
11:54
là où croit le péril,
11:55
croit aussi ceux qui sauvent.
11:57
Paul,
11:57
qu'est-ce que le mot ?
11:58
Le mot de la fin.
11:59
Vous sentez comment la chose ?
12:01
Ça va être compliqué.
12:02
Désespéré.
12:03
Désespéré.
12:04
Moi,
12:04
je garde une...
12:05
Non,
12:05
mais il faut toujours garder
12:06
une note d'espoir.
12:08
Je veux dire,
12:09
même quand on touche le fond
12:11
à un moment ou à un autre,
12:11
on ne peut que remonter.
12:12
Vous ne pouvez que remonter.
12:14
Donc il faut garder espoir
12:15
et puis...
12:16
Ne dites pas ça à Emmanuel Macron
12:17
qui se prend pour un demi-dieu.
12:19
C'est une légende grecque
12:20
que vous décrivez.
12:21
Le mot de la fin,
12:22
notre contre-révolutionnaire
12:24
Édouard Tétrault.
12:25
Après les guerres montagnes
12:28
qui craint de souffrir,
12:29
souffre déjà ce qu'il craint.
12:31
Et vous avez vu
12:32
le niveau de cette émission ?
12:33
Ah bah oui,
12:33
mais c'est...
12:34
Ah non,
12:34
mais là,
12:34
quand même,
12:35
on est là quand même.
12:37
Ah bah là,
12:38
on se demande
12:38
si on n'est pas sur France Culture.
12:40
Hop, hop, hop, hop, hop, hop, hop, hop.
12:41
On se pose des questions.
12:42
Hop, hop, hop, hop, hop, hop.
12:43
Les amis,
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c'était un plaisir
12:45
de vous avoir à vous côté
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pour commenter cette actualité.
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essaie bien parfois
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de prendre un peu de hauteur.
12:51
On en a bien besoin.
12:52
On a bien besoin.
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