- il y a 17 heures
Au programme de cette édition, retour sur la béquille budgétaire du gouvernement. Mardi, le Palais Bourbon a adopté la loi spéciale préparée sur un coin de table du Conseil des ministres. Objectif : un peu de répit mais pas de perspectives positives pour les finances à venir.
Nous poursuivrons ensuite notre tour d’horizon du bilan de l’année 2025, avec la Roumanie, qui a défrayé la chronique durant des mois avec son élection présidentielle volée par le régime euro-mondialiste.
Et puis nous partirons aux Etats-Unis où Donald Trump est vivement critiqué pour la publication caviardée des dossiers Epstein. Pourtant, au vu des dernières révélations, ce sont surtout les réseaux mondialistes qui ont des choses à se reprocher.
Nous poursuivrons ensuite notre tour d’horizon du bilan de l’année 2025, avec la Roumanie, qui a défrayé la chronique durant des mois avec son élection présidentielle volée par le régime euro-mondialiste.
Et puis nous partirons aux Etats-Unis où Donald Trump est vivement critiqué pour la publication caviardée des dossiers Epstein. Pourtant, au vu des dernières révélations, ce sont surtout les réseaux mondialistes qui ont des choses à se reprocher.
Catégorie
🗞
NewsTranscription
00:00Madame, Monsieur, alors que beaucoup d'entre vous se rassemblent autour de la crèche ou au pied du sapin,
00:05prenons de notre côté un instant pour dire simplement merci.
00:09Merci aux millions de téléspectateurs qui font vivre notre chaîne.
00:13Et puisque nous sommes dans le temps de Noël, ayons une pensée toute particulière
00:16pour les plus fragiles et les plus seuls de notre communauté TVL,
00:20qui souffrent aussi, comme nous, de voir la France se déliter, s'effacer sous nos pas.
00:25Et cela nous rappelle l'absolue nécessité de soutenir TVLiberté par vos dons.
00:30Nous sommes à un point de bascule.
00:31Encore 7 jours, 7 petits jours, pour que l'avenir de notre chaîne ne soit pas compromis.
00:37Noël est là.
00:39A tous ceux qui célèbrent la naissance du Sauveur,
00:41que cette joie et cette espérance les accompagnent vers une humanité renouvelée.
00:45A tous ceux qui savent qu'après les périodes sombres, le soleil finit toujours par renaître.
00:50Nous souhaitons un Noël plein de bonheur.
00:53Joyeux, joyeux Noël.
00:55Madame, Monsieur, bonsoir.
01:17Je suis très heureuse de vous retrouver pour cette édition du Réveillon de Noël.
01:21Au programme, retour sur la béquille budgétaire du gouvernement.
01:24En mardi, le Palais Bourbon a adopté la loi spéciale préparée sur un coin de table du Conseil des ministres.
01:30Objectif, un peu de répit, mais pas de perspective positive pour les finances à venir.
01:35Nous poursuivrons ensuite notre tour d'horizon du bilan de l'année 2025 avec la Roumanie,
01:40qui a défrayé la chronique durant des mois avec son élection présidentielle volée par le régime euro-mondialiste.
01:46Et puis, nous partirons aux États-Unis où Donald Trump est vivement critiqué pour la publication caviardée des dossiers Epstein.
01:53Pourtant, au vu des dernières révélations, ce sont surtout les réseaux mondialistes qui ont des choses à se reprocher.
01:58Pas de budget, mais une rustine.
02:04Mardi soir, le Palais Bourbon a adopté à l'unanimité la loi spéciale pour assurer une continuité du budget.
02:11Jusqu'aux nouvelles discussions pour un projet de loi de finances en janvier.
02:14Le point tout de suite.
02:15Une béquille législative.
02:17Voilà comment résumer l'adoption de la loi spéciale à l'Assemblée nationale mardi soir.
02:21Donc, nous allons pouvoir mettre l'ensemble du texte aux voix.
02:25C'est un scrutin public.
02:28Le scrutin est ouvert.
02:33Le scrutin est clos.
02:41Votants 558 exprimés 496.
02:45Majorité 249 pour 496, contre zéro.
02:49L'Assemblée nationale a adopté le projet de loi spéciale.
02:53Un vote à l'unanimité des députés présents, visiblement motivés en partie par l'appel du réveillon à préparer.
03:00Véritable pisalé pour camoufler l'absence de budget en bonne et due forme,
03:03le texte vise à assurer le minimum syndical pour l'État,
03:07sans régler aucun débat soulevé par les dissensions budgétaires de l'Assemblée.
03:11Et pour cause, malgré les compromissions des uns et des autres,
03:14aucun compromis n'a été trouvé sur la copie présentée par le gouvernement
03:18et amendée par tout le monde pour arriver finalement à un véritable fourre-tout contradictoire.
03:24C'est ce qu'explique le refus de voter le texte initial du budget par le Rassemblement national,
03:29comme le déclare Thomas Ménager, député du Loiret.
03:32Ils tiendront la ligne de s'opposer aux mauvaises mesures.
03:35Si après il y a un budget qui globalement va dans le bon sens,
03:37je vous le dis, on l'a fait l'année dernière.
03:38On n'est pas prêt à tout refuser.
03:40Le budget qu'avait proposé M. Bayrou était bien moins violent que celui de M. Barnier,
03:47avait supprimé un certain nombre des mesures,
03:48avait permis grâce notamment à la censure de M. Barnier de réindexer les retraites,
03:52de diminuer l'électricité, le tarif de l'électricité.
03:54Donc quand il y a des bonnes mesures, nous on n'est pas pour la situation et la politique du pire.
03:58Mais aujourd'hui, oui les Français aimeraient qu'on trouve un accord,
04:01mais ils ne sont pas prêts à ce qu'on trouve un accord sur leur dos,
04:03en demandant toujours aux Français qui bossent, qui ont travaillé toute leur vie,
04:06de payer pour d'autres qui, eux, ne travaillent pas, n'ont jamais travaillé.
04:11Et notamment, il y a des économies à faire sur le train de vie de l'État,
04:13sur l'immigration, sur le coût de l'Union Européenne.
04:15Ainsi, grâce à la loi spéciale, les impôts pourront continuer à être perçus
04:20et les administrations et prestations sociales pourront être payées par l'État.
04:24La France peut aussi poursuivre son endettement sur les marchés financiers,
04:28de quoi accroître donc la pression pour le budget qui devrait être discuté à la rentrée 2026.
04:35À ce moment, peu de chances de voir un consensus émerger subitement.
04:38Ainsi, la question de la censure devrait en toute logique se poser à nouveau.
04:42Il n'en reste pas moins que plus encore qu'en 2025-2026,
04:45devrait faire la part belle à la fable macroniste,
04:48commençant par le désormais célèbre « en responsabilité ».
04:51Ainsi, rien n'exclut que les socialistes « en responsabilité »
04:56et que les républicains « toujours en responsabilité »
04:59votent des hausses d'impôts pour les classes moyennes
05:01en épargnant les plus fortunés qui bénéficient de conseils avisés de fiscalistes.
05:06Dans tous les cas, les recettes prévues devraient être largement surestimées,
05:09tradition héritée du romancier Bruno Le Maire,
05:12et les dépenses seront quant à elles exagérément allégées,
05:14le tout pour satisfaire la fable bruxelloise de limitation des déficits
05:19qui, dans les faits, ne pourront être remplis que le jour
05:22où la croissance reprendra son envol
05:24et avec elle, la fin du matraquage fiscal de ceux qui travaillent.
05:32Pour le bilan du jour, cap sur l'un des laboratoires expérimentaux
05:35de l'euromondialisme, la Roumanie.
05:38Après le vol de l'élection présidentielle, rejoué et truqué,
05:42le nouveau pouvoir roumain, adoubé par Bruxelles,
05:45a comme prévu mis en place une politique d'austérité particulièrement brutale.
05:49Le point avec Nicolas Delamberterie.
05:522025 a peut-être connu les deux casses européennes du siècle,
05:57le Louvre à Paris et la démocratie en Roumanie.
06:00La saga de la présidentielle roumaine, qui s'est étalée sur plus de six mois,
06:05a commencé fin 2024, lors de la première élection présidentielle de 2024.
06:10Un candidat surprise et inattendu, Kalin Georgescu,
06:13connu pour son opposition aux mesures Covid et au soutien à l'Ukraine,
06:17arrivait en tête du premier tour et avait de bonnes chances de l'emporter au second.
06:21Et alors que le vote du second tour avait déjà commencé,
06:24la Cour constitutionnelle se livrait à un véritable putsch
06:27en annulant en dernière seconde les résultats du premier tour.
06:30Le prétexte à cette annulation était tout trouvé, c'est les Russes.
06:34On expliquait alors que le candidat Georgescu avait vu ses comptes de réseaux sociaux,
06:39notamment TikTok, gonflés par des publicités payées par Moscou.
06:43Cette accusation, reprise en boucle absolument partout, avait fini par exploser en vol.
06:48En réalité, c'est un parti roumain concurrent, en l'occurrence le PNL du président sortant,
06:54qui avait gonflé la candidature de Georgescu dans le but de diviser les voies de droite de la concurrence.
07:00Sauf que la manip avait trop bien marché et que Georgescu s'était retrouvé en tête du premier tour.
07:05L'élection présidentielle a donc été rejouée en mai 2025
07:08et Georgescu n'a pas été autorisé à concourir.
07:12Au final, le candidat nationaliste de remplacement Georges Siméon
07:16a été autorisé à se présenter
07:19et sans surprise, au vu du profil beaucoup moins rassembleur du personnage,
07:23il a été battu sur le fil par le candidat euro-mondialiste.
07:27Et maintenant, c'est Kalin Georgescu qui se retrouve poursuivie par la justice roumaine
07:32sur plusieurs chefs d'accusation,
07:33notamment celui d'avoir cherché à porter atteinte aux institutions roumaines,
07:38une forme de couronnement suprême du retournement accusatoire.
07:42Une question a été régulièrement soulevée,
07:44celle du rôle de Bruxelles dans cette affaire.
07:47Selon Modeste Schwartz, l'un des rares experts français à avoir vécu en Roumanie
07:51et à en maîtriser parfaitement la langue,
07:53au vu du caractère absolument grossier du scénario,
07:56il a vraisemblablement été bricolé en interne à Bucarest
08:00et n'a été qu'à postériori validé par Bruxelles.
08:04En clair, l'Union Européenne s'est rendue complice du crime,
08:07non seulement en n'interrogeant aucune des décisions de Bucarest,
08:11alors qu'elle passe son temps à chercher des poux à Viktor Orban à Budapest,
08:15mais en plus en appuyant le narratif mensonger ayant conduit au crime
08:19avec même des annonces d'enquête européenne contre TikTok.
08:22Et maintenant que l'élection roumaine a été volée en bonne et due forme,
08:27l'heure de la purge économique et de l'austérité sont arrivées pour les Roumains.
08:32Elle est mise en place par un gouvernement lui-même fait de briques et de brocs,
08:36de type coalition centrale en France,
08:38qui est d'ailleurs sur le point de tomber.
08:39Et je pense qu'en 2026, on peut s'attendre à des élections anticipées en Roumanie
08:45et au retour.
08:48On peut s'attendre à voir la Roumanie entrer à nouveau dans ce cycle d'instabilité,
08:54avant tout du fait d'un assez probable éclatement de la coalition du gouvernement actuelle.
09:01Le bricolage mis en place début 2025,
09:04unissant tous les partis un tant soit peu euro-compatibles
09:08pour colmater, empêcher l'avalanche dite souverainiste.
09:13Ce bricolage est en train de se fissurer de toutes parts.
09:16Et ce, avant tout du fait de la position qui est devenue largement intenable
09:20dans cette coalition du parti social-démocrate Roumain, le PCD.
09:25Et là, on assiste vraiment à un changement d'époque.
09:28C'est-à-dire que ce parti qui a été le parti autour duquel a tourné la vie politique roumaine
09:32des 35 dernières années,
09:34du fait de sa participation à cette coalition gouvernementale,
09:38est en train de virtuellement disparaître du paysage politique.
09:42Puisqu'effectivement, pour un parti qui se présente avant tout en Roumanie
09:45comme le parti des Petits Jean,
09:47être associé à l'acte gouvernemental sous Ilié Bolojane,
09:51qui, on va dire, applique à la Roumanie une sorte de plan social
09:55d'une rare férocité dictée par Bruxelles,
09:58participer à ça pour le PCD, c'est bien entendu très dommageable.
10:02Alors, la politique de rigueur d'Ilié Bolojane,
10:04s'est notamment traduite par des hausses de TVA
10:07qui ont beaucoup choqué la population
10:10et qui, évidemment, frappent directement au porte-monnaie,
10:13avant tout, les couches les moins fortunées de la société roumaine.
10:18Ou bien, par exemple, certains fonctionnaires
10:21ou employés d'entreprises en partie publiques,
10:25je pense au chemin de fer,
10:26à qui on a expliqué qu'on allait bientôt leur proposer
10:30de travailler 4 jours par semaine,
10:33mais évidemment en touchant 75% de leur salaire.
10:37Donc, on va dire que c'est les 35 heures, mais imposées.
10:39Et la question que l'on pourrait se poser,
10:41c'est comment réagit l'opinion publique roumaine
10:44à ce double vol successif,
10:46en début d'année celui de leur élection présidentielle
10:48et en fin d'année celui de leur portefeuille.
10:51De retour d'un voyage en Roumanie,
10:53Modeste Schwartz est catégorique.
10:55Même si les Roumains sont en général passifs
10:57et peu portés sur la manifestation et la contestation sociale,
11:01ils n'ont toujours pas digéré l'élection
11:03qui leur a été grossièrement volée.
11:05À partir du moment où la Roumanie
11:07entrera à nouveau dans un cycle d'instabilité,
11:11il faut s'attendre à voir ressortir
11:14les cadavres du placard.
11:17Dans la mesure où, moi en tout cas,
11:19c'est l'impression que m'a laissé
11:22un récent périple roumain
11:24en parlant aux gens, aux chauffeurs de taxi.
11:28Le putsch de fin 2024, du 6 décembre 2024,
11:33n'est absolument pas oublié.
11:35Je traversais la ville de Yash à bord d'un taxi.
11:40J'écoutais une émission,
11:44ce n'est pas moi qui l'avais choisie,
11:45c'est ce qu'écoutait le chauffeur de taxi.
11:47C'était une de ces émissions
11:48où les gens appellent la station
11:51pour donner leur avis.
11:53Un intervenant sur deux
11:55trouvait moyen de placer dans sa question,
11:58sa remarque, etc.,
11:59dans son intervention,
12:00une allusion
12:02au putsch constitutionnel
12:05de fin 2024,
12:07au fait que, de leur point de vue,
12:10le président légitime de la Roumanie
12:14s'appelle Colin Georgescu
12:15et non Nico Jordan.
12:17En attendant,
12:17la Roumanie n'a toujours pas de budget
12:20pour l'année 2026.
12:21Ce n'est certes pas le seul pays
12:23de l'Union européenne
12:24à être dans cette situation,
12:25puisque c'est aussi le cas
12:26de la France ou de la Bulgarie,
12:28tandis que d'autres États membres
12:30n'ont pas réussi à envoyer à temps
12:31leur budget 2026
12:33à la Commission européenne,
12:34comme l'Espagne.
12:35Bien évidemment,
12:36au vu du marasme économique européen
12:39et des dépenses de plus en plus élevées
12:41imposées par Bruxelles
12:42aux États membres,
12:43rien de surprenant
12:44à ce que les États membres
12:45aient de plus en plus de mal
12:46à boucler leur budget.
12:47À ce rythme,
12:48c'est peut-être bientôt
12:49la Commission
12:50qui fera directement
12:51les budgets des États membres
12:52à leur place
12:53ou qui choisira,
12:54au terme d'intrigue byzantine,
12:56qui a le droit
12:57de concourir ou non
12:58aux élections
12:59dans tel ou tel État membre.
13:01À défaut d'avoir réellement
13:02européanisé la Roumanie,
13:04on aura au moins réussi
13:05à roumaniser l'Europe.
13:10C'est une affaire
13:11qui n'en finit plus.
13:12Alors que l'administration Trump
13:14a divulgué de nouveaux documents
13:15sur l'affaire Epstein,
13:17des collectifs de victimes
13:18dénoncent l'absence de transparence,
13:21de nombreux fichiers
13:22ayant été caviardés.
13:23Mais ce manque de transparence
13:24pourrait s'expliquer
13:25par la lutte
13:26de l'administration Trump
13:27contre les réseaux mondialistes.
13:29Explication d'Edouard Chanot.
13:3011 000 nouveaux documents.
13:32Mardi,
13:33le département
13:33de la justice américain
13:35a révélé des vidéos,
13:36des messages audios,
13:37ainsi que des images
13:38de surveillance
13:39de la cellule
13:40du criminel sexuel
13:41Jeffrey Epstein,
13:42datant d'août 2019,
13:44aux alentours de sa mort.
13:45Il ressort déjà
13:46que Trump aurait été
13:47à huit reprises,
13:48passager du jet privé
13:49d'Epstein
13:50entre 1993 et 1996.
13:52Notre président
13:53partage également
13:54notre goût
13:54pour les jeunes filles nubiles,
13:56écrivait le coupable
13:57en 2020
13:58à un correspondant.
14:00Sur X,
14:00le département
14:01de la justice américain
14:02a prévenu.
14:03Certains de ses documents
14:04contiennent des allégations
14:05mensongères
14:06et sensationnalistes
14:07visant le président Trump.
14:09L'administration républicaine
14:10avait déjà publié
14:114000 documents
14:12vendredi dernier,
14:13mais sans parvenir
14:14à faire taire les critiques.
14:16En cause,
14:16des noms avaient été
14:17passés sous silence.
14:18Une quinzaine de victimes
14:19de Jeffrey Epstein
14:20se sont plaintes lundi
14:21dans un communiqué
14:22du fait que seule
14:23une partie des documents
14:24de l'enquête
14:25avaient été rendus publics
14:26par le département
14:27américain de la justice.
14:28Ces victimes dénoncent
14:30des cavardages
14:31anormaux et abusifs,
14:32notamment 119 pages
14:34de retranscription
14:34des délibérations du jury
14:36dont la publication
14:37avait pourtant été autorisée
14:38par un juge fédéral.
14:39Trump avait promis
14:40la publication des fichiers
14:41avant de temporiser,
14:43puis enfin de se raviser.
14:44Mais selon l'analyste
14:45Stanislas Berton,
14:46ces cavardages
14:47pourraient surtout
14:48masquer la volonté
14:49de la justice américaine
14:50de négocier
14:51avec des personnes impliquées
14:52pour faire avancer
14:53l'enquête.
14:54Il y a déjà une nécessité
14:55technique et pratique,
14:57c'est-à-dire que dans ces documents,
14:58il y a énormément de personnes
14:59qui sont concernées,
15:00notamment l'identité
15:01de victime et de mineure,
15:03donc il y a déjà
15:04une première raison
15:05qui est de s'assurer
15:06que ces victimes
15:08et ces mineurs
15:09aient leur identité
15:10qui soit protégée.
15:12Ensuite, il y a une autre raison,
15:13c'est que c'est un dossier
15:14absolument explosif,
15:15c'est-à-dire qu'il y a
15:16énormément de personnes
15:16très puissantes
15:17et très influentes
15:18qui sont concernées
15:19par cette affaire,
15:20et donc on peut imaginer
15:21que le gouvernement américain
15:23et l'administration américaine
15:24a à cœur
15:25d'éviter certaines répercussions,
15:27voire si on est
15:27un peu plus cynique,
15:28de négocier des choses
15:29en amont
15:30contre la divulgation
15:31ou non
15:32de certains éléments
15:32et ça,
15:33je renvoie à mon travail
15:35sur ce que j'appelle
15:35la guerre de l'ombre
15:36contre le mondialisme.
15:37Si vous coopérez
15:38avec l'administration américaine
15:40et à ce combat
15:42contre le mondialisme,
15:44eh bien éventuellement
15:44vos noms
15:46ne seront pas divulgués
15:47qu'une pratique
15:47qui est assez courante
15:48aux Etats-Unis
15:49qui s'appelle
15:49le plea deal,
15:50c'est-à-dire qu'en gros
15:51vous plaidez coupable
15:52mais parce que vous plaidez coupable
15:54et que vous coopérez
15:55avec la justice
15:55sans vous bénéficier
15:56d'une sorte de protection.
15:58Donc là,
15:58je ne sais pas si c'est le cas
15:59mais en tout cas
16:00c'est de l'ordre du possible.
16:01De son côté,
16:02le président américain
16:02s'est défendu
16:03dans la nuit de lundi à mardi
16:04balayant les suspicions
16:06le visant
16:06et rappelant
16:07s'être brouillé
16:07au début des années 2000
16:08avec Epstein.
16:10Il regrettait de voir
16:10des photos
16:11de Bill Clinton divulguées,
16:13l'ancien président démocrate
16:14apparaissant sur
16:14de nombreuses photos,
16:16y compris dans un jacuzzi
16:20de voir des photos
16:21de Bill Clinton publiées.
16:23C'est ça que des démocrates
16:24pour la plupart
16:25et quelques mauvais républicains
16:26veulent obtenir.
16:28Ils obtiennent
16:29des photos de moi aussi.
16:30Tout le monde
16:31était amical
16:32avec Jeffrey Epstein.
16:33Il traînait dans le coin.
16:35À Palm Beach,
16:35le dirigeant de Harvard
16:37était son ami,
16:38Larry Summers,
16:39Bill Clinton aussi.
16:40Mais tout le monde l'était.
16:42Je les virais de Mar-a-Lago.
16:44Je n'aime pas voir
16:44des photos de Clinton publiées
16:46ni celles d'autres personnes.
16:48Je pense que c'est
16:49une mauvaise chose.
16:51Bill Clinton est un grand garçon.
16:53Il peut s'en sortir.
16:55Mais vous avez
16:55des photos publiées
16:56de personnes
16:57qui ont innocemment
16:58rencontré Jeffrey Epstein
16:59il y a très longtemps.
17:02L'ancien président démocrate
17:04a affirmé
17:04dans un communiqué
17:05n'avoir rien à cacher.
17:07Or, selon Stanislas Berton,
17:08l'administration Trump,
17:10engagée dans un combat
17:10contre les réseaux mondialistes,
17:12est parvenue
17:12à piéger les démocrates.
17:14On a dit
17:15Donald Trump
17:16ne veut pas que ça sorte
17:17parce qu'il est concerné
17:18par l'affaire Epstein.
17:20Jusqu'à présent,
17:21il n'y a aucun élément
17:22qui vient soutenir cette thèse.
17:24On a les témoignages
17:25de victimes
17:25qui ont dit
17:26qu'elles n'ont jamais vu
17:27Donald Trump
17:28avec Jeffrey Epstein,
17:29en tout cas sur son île,
17:30qu'il n'avait jamais eu
17:31un comportement inapproprié
17:33avec lui.
17:34Et surtout,
17:35on a un témoignage
17:35qui est rarement mentionné
17:37en France.
17:38En 2008,
17:39il y a le procureur
17:40de Floride
17:40qui a dit
17:41que lorsqu'il avait mis
17:42en examen
17:43Jeffrey Epstein,
17:44sa première mise en examen
17:45c'était 2008,
17:46Donald Trump
17:47est le seul
17:48parmi les personnalités
17:50à l'avoir aidé
17:51et à avoir fourni
17:53des informations
17:54accablant
17:55Jeffrey Epstein.
17:56Donc,
17:56tous les éléments
17:57qu'on a,
17:57c'est plutôt
17:58que Donald Trump
17:59a accablé
18:00Jeffrey Epstein.
18:01Tous les gens
18:01qui pensent
18:02que Donald Trump
18:03cherche à cacher
18:04quelque chose
18:05avec l'affaire Epstein
18:06se trompent.
18:08Je pense qu'au contraire,
18:09l'administration Trump
18:10depuis 2017
18:11fait un travail
18:11incroyable
18:12de lutte
18:13contre tous les réseaux
18:15que représentait
18:16Jeffrey Epstein
18:17et tout ce qu'il y a
18:18derrière.
18:19Stanislas Berton
18:20prévoit aussi
18:21qu'une autre affaire
18:21Epstein,
18:22encore plus grave
18:23et glauque,
18:24pourrait sortir
18:25dans les semaines
18:25à venir.
18:29Et partons à présent
18:31en compagnie
18:32de Renaud de Bourloff
18:32pour l'actualité
18:33en bref en France.
18:34Noël derrière
18:37les barricades
18:38pour les agriculteurs.
18:39La contestation
18:40ne faiblit pas
18:40chez les manifestants
18:41alors que les éleveurs
18:42sont inquiets
18:43face à l'abattage
18:43des cheptels
18:44officiellement touchés
18:45par la dermatose
18:46ondulaire contagieuse
18:46pendant que le gouvernement
18:48fait la sourde oreille.
18:49Mardi à l'Assemblée nationale,
18:50le ministre de l'Agriculture
18:51Annie Gennevard
18:51a fait un épisode
18:52d'autosatisfaction.
18:54Lorsque la dermatose
18:56est arrivée,
18:58vous,
18:58personne ne pouvez la prévoir,
19:00elle n'existait pas.
19:02Elle n'existait pas.
19:03Qu'avons-nous fait immédiatement ?
19:05Nous avons débloqué
19:06des budgets
19:07pour commander des vaccins
19:08qui sont arrivés
19:09dans un temps record
19:10que chacun saluait
19:11contrairement à
19:13M. Trébuchet
19:13qui sait mieux que tout le monde
19:15comment fonctionne
19:15la dermatose.
19:17Faux !
19:17La dermatose
19:18modulaire contagieuse
19:18est présente en Europe
19:19depuis 2014
19:20et les vaccins utilisés
19:21aujourd'hui existent
19:22depuis l'épidémie
19:23dans les Balkans de 2016.
19:24Face à la stratégie
19:25hors sol du gouvernement,
19:26les agriculteurs
19:27ont l'intention
19:27de poursuivre les blocages
19:29dans le sud-ouest,
19:30l'A63 près de Bordeaux
19:31et l'A64 près de Toulouse.
19:33sont bloqués
19:34depuis environ 10 jours.
19:35Le fait de se retrouver là,
19:36d'échanger,
19:36de partager les problèmes,
19:38on se retrouve
19:39avec les mêmes problèmes
19:39les uns aux autres
19:40donc on se remonte
19:41des fois dans tous
19:41un coup de mou.
19:42L'autre te dit
19:43mais moi aussi c'est pareil
19:43donc ça fait du bien
19:44d'être là quoi.
19:45Après c'est dur,
19:46on est là depuis jeudi dernier,
19:49on est dans les élevages,
19:50on vient ici
19:51dès qu'on peut,
19:52on rentre,
19:53ce soir je vais rentrer
19:53dans mon élevage,
19:54aller de Tréa,
19:55faire le boulot
19:55et ce soir,
19:56cette heure de nuit
19:57que j'ai fini,
19:57il faut se motiver
19:58d'y aller,
19:58il faut aller retrouver
19:59les autres parce qu'ils y sont,
19:59ils voyaient passer la nuit
20:00et on va passer un moment avec eux.
20:01Au début je n'osais pas trop venir
20:02parce que je ne suis pas
20:03du monde agricole
20:03donc on ne sait pas trop,
20:05on se dit sur qui,
20:06enfin je ne connais personne,
20:07je pense que je ne connais personne,
20:09après je suis quelqu'un
20:09d'assez sociable
20:10mais donc voilà
20:10je me suis jetée,
20:12je suis venue
20:12puis en fait on est
20:12super bien accueillis,
20:13les gens,
20:14bon je suis venue
20:14avec une boîte de chocolat
20:15mais les gens
20:16emmènent plein de trucs
20:16et on est très bien accueillis
20:19donc ils ont vraiment
20:20besoin de soutien
20:21c'est sûr.
20:22Sur la 4 des sapins
20:24et une crèche
20:24ont été installés
20:25sur le barrage
20:26situé à Hurte
20:27dans les Pyrénées Atlantiques
20:28un prêtre viendra
20:29de Biarritz
20:29pour dire la messe de minuit.
20:31Les gauchistes
20:32font des bêtises.
20:33Lundi,
20:33le conseil municipal
20:34de Villeneuve-Saint-Georges
20:35dans le Val-de-Marne
20:36a dû être interrompu.
20:37En cause,
20:38une altercation
20:38entre Mamadou Traoré
20:40et Ludivère Gauche
20:40et le bien connu
20:42ancien dealer
20:43insoumis
20:44Louis Boyard.
20:45Ce dernier
20:45aurait en effet estimé
20:46que son collègue
20:47incarnait
20:47la fausse opposition.
20:48Il n'en fallait pas plus
20:49pour que l'intéressé
20:50se lève dans l'intention
20:51de faire taire
20:52physiquement l'élu
20:52mélenchoniste.
20:54Il a été retenu
20:54par ses collègues du groupe.
20:56Le maire républicain
20:57de la ville
20:57Christelle Niasme
20:58s'est levé
20:59et a stoppé la séance.
21:01Lors de la reprise,
21:01l'élu d'Hiver-gauche
21:02a présenté ses excuses
21:03en ajoutant
21:04qu'il était important
21:05que la commune
21:05ait une belle image.
21:07Raté.
21:08Des cadeaux de Noël perturbés,
21:09mardi,
21:10une enquête a été ouverte
21:10après l'attaque informatique
21:12contre le groupe La Poste
21:13visant notamment
21:13Colissimo,
21:14La Banque Postale
21:15et Digipost.
21:16Il s'agirait d'une attaque
21:17de type déni de service.
21:18Il s'agit de surcharger
21:19des sites internet
21:20et des applications
21:21afin qu'ils ne soient
21:21plus accessibles.
21:23Selon le groupe La Poste,
21:24aucune donnée confidentielle
21:25n'a été piratée.
21:26Première piste de l'enquête,
21:27c'est les Russes.
21:28Le lendemain de l'attaque,
21:29il y aurait eu
21:30revendication
21:30d'un groupe de hackers
21:31pro-Russes.
21:32Mais plusieurs experts
21:33en informatique
21:34appellent à la prudence
21:35quant aux revendications
21:36opportunistes,
21:37a fortiori lorsqu'elles sont tardives
21:38et qu'elles arrangent
21:39le pouvoir politique.
21:40Nouvelles révélations
21:41sur le casse du Louvre.
21:43De nouvelles précisions
21:43sur le montant du butin
21:44dérobé dans la galerie Apollon
21:46ont été révélées.
21:478 482 diamants,
21:4835 émeraudes,
21:4934 saphirs
21:50et 212 perles
21:51qui ornaient
21:52les 8 bijoux volés.
21:53Un trésor
21:53qui reste toujours introuvable
21:55dont la valeur est estimée
21:56à 88 millions d'euros
21:57alors que le casse
21:58se serait joué
21:58en 30 secondes.
22:00De nombreuses caméras
22:01de vidéosurveillance
22:01étaient installées
22:02mais la fenêtre
22:03de la galerie Apollon
22:04par laquelle les cambrioleurs
22:04sont entrés y échappait.
22:06Mardi,
22:06une grille de protection
22:07a été installée
22:07sur la porte-fenêtre
22:08de cette galerie.
22:13Et nous poursuivons
22:14avec l'actualité internationale.
22:18Thierry Breton,
22:19persona non grata
22:20aux Etats-Unis.
22:21Le faux soyeur d'Atos
22:22et censeur des réseaux sociaux
22:23a fait les frais
22:24d'un train de sanctions
22:25américaines prononcée mardi.
22:26Il sera donc interdit
22:27de séjour
22:27chez l'oncle Sam
22:28en raison de ses actions
22:29pour contrôler
22:30et censurer
22:30le secteur de la tech.
22:32Le département d'État américain
22:33a déclaré
22:34que ces agissements
22:35s'apparentaient
22:35à de la censure.
22:37Marco Rubio a ajouté
22:38que l'administration de Trump
22:39ne comptait plus
22:39tolérer ses actes.
22:40Sans surprise,
22:41le ministre des Affaires
22:42étrangères français,
22:43Jean-Noël Barraud,
22:43a dénoncé
22:44ces restrictions
22:44avec la plus grande fermeté
22:46des déclarations
22:47qui interviennent
22:47seulement quelques jours
22:48après qu'il a annoncé
22:49les sanctions
22:49visant Jacques Baud
22:50et Xavier Moreau
22:51pour leurs analyses
22:51du conflit ukrainien
22:52en contradiction
22:53avec la doctrine
22:53belissiste
22:54d'un quai d'Orsay
22:54surpeuplé par les
22:55young leaders.
22:56Et justement,
22:57Jacques Baud
22:57n'a pas décidé
22:58de se laisser faire.
22:59L'ancien colonel
22:59des renseignements
23:00de l'armée suisse,
23:01accusé par l'Union Européenne
23:02de propager
23:02la propagande russe,
23:03a reçu le soutien
23:04de deux conseillers nationaux
23:05de l'UDC.
23:06Ces derniers ont ainsi
23:07déposé une interpellation
23:08avec 11 questions
23:08adressées au Conseil fédéral suisse.
23:10Il souhaite en effet
23:11interroger le gouvernement
23:12sur ses intentions
23:12face aux accusations
23:13officiellement formulées
23:15par Bruxelles
23:15et aux sanctions prises
23:16sans aucune procédure
23:17de justice
23:18sans bonnet du forme.
23:19Concrètement,
23:20Jacques Baud,
23:20actuellement domicilié
23:21à Bruxelles,
23:22a vu ses comptes bancaires
23:23dans le pays bloqués.
23:24Citoyen suisse,
23:25il ne peut plus rentrer
23:25dans son pays
23:26ni franchir une frontière
23:27là où il pourrait bénéficier
23:29de son compte bancaire
23:30dans son pays natal.
23:31A croire que l'Union Européenne
23:32est une institution soviétique
23:33racontée par Kefka.
23:35Donald Trump
23:36va-t-il s'offrir
23:36le Groenland ?
23:37Lundi,
23:37le président américain
23:38a nommé un émissaire spécial
23:39pour ce territoire.
23:40Le gouverneur de Louisiane,
23:41Jeff Landry,
23:42qui a déclaré explicitement
23:43avoir pour mission
23:43d'intégrer le Groenland
23:45aux Etats-Unis.
23:45Donald Trump dément
23:46tout intérêt
23:47pour les ressources naturelles,
23:48affirmant que son pays
23:48en a déjà suffisamment.
23:50Nous avons besoin
23:51du Groenland
23:52pour notre sécurité nationale.
23:56il y a des bateaux russes
23:58et chinois partout.
23:59Nous en avons besoin
24:00pour notre sécurité nationale.
24:02Nous devons l'avoir.
24:03Mais le Danemark a réagi.
24:05L'ambassadeur américain
24:05a été convoqué.
24:07A quoi s'attendre
24:08pour 2026 ?
24:09Mardi en Italie,
24:10la présidente du conseil
24:10Giorgia Meloni
24:11a présenté ses voeux
24:12de Noël à son équipe,
24:13les félicitant
24:14pour l'année passée.
24:15L'année passée
24:16a été dure pour nous tous.
24:18Mais l'année prochaine
24:19sera bien pire.
24:20Je vous conseille
24:21de vous reposer.
24:23Pas de précision
24:24quant aux difficultés en question.
24:25problémataires en Italie
24:26à l'échec de l'Union européenne
24:28ou du monde.
24:29Autant de réponses
24:30qui pourraient être reconnues
24:31dans les prochains mois.
24:35Et voilà,
24:36nous arrivons
24:36à la fin de cette édition.
24:37Ce soir,
24:38à partir de 21h,
24:39retrouvez
24:40un Bistro Liberté spécial Noël
24:42avec Stephen
24:43et Sabrina Gunel,
24:44les réalisateurs
24:45du film
24:46à succès
24:46Sacré-Cœur.
24:48Stephen,
24:48j'ai envie de vous poser
24:49à vous la première question.
24:50Comment est-ce qu'on passe
24:51de Baila,
24:53un groupe de boys band
24:54à Sacré-Cœur ?
24:56Par un long désert,
24:58de grandes épreuves
25:01et un chemin
25:07de reconstruction intérieure
25:09qui passe par la foi,
25:11qui passe par une relecture
25:13de sa vie
25:14et un repositionnement
25:16de son être dans la société,
25:17à savoir,
25:17en fait,
25:19si tu veux,
25:19jusqu'à mes 25 ans,
25:22même avec Aliyah,
25:22sans faire pleurer
25:26trop dans les chaumières,
25:27déjà vers 17-18 ans,
25:29je fais le bilan de ma vie
25:29et je constate
25:31que ma vie
25:32est une succession
25:32d'échecs.
25:34Échecs scolaires,
25:34échecs familiales,
25:35échecs affectifs,
25:36échecs professionnels,
25:37échecs, échecs, échecs.
25:38Jusqu'à rencontrer.
25:39Jusqu'à, voilà.
25:41Et en fait,
25:42si tu veux,
25:42j'ai 51 ans,
25:43bientôt.
25:44Enfin non,
25:45là,
25:45je viens de les avoir,
25:46du coup,
25:46le 17 décembre.
25:47Et en fait,
25:49j'ai passé
25:49les 25 premières années
25:50de ma vie
25:51sans la foi chrétienne,
25:53sans le Christ.
25:54Et je suis en train
25:55de poursuivre
25:55les 25 secondes suivantes.
25:58Et en effet,
25:58je vois un deux poids,
25:59deux mesures,
26:00une grande différence
26:01d'un avant et un après.
26:02Donc en effet,
26:03il aura fallu passer
26:03ce que je ne souhaite
26:04à personne.
26:05Bien évidemment,
26:05ce n'est pas obligé
26:06de passer au bord du suicide
26:08pour rencontrer le Christ,
26:09bien évidemment.
26:10Mais...
26:10Ah, ça avait été jusque-là,
26:11pas loin.
26:12Oui, oui,
26:12c'était compliqué, oui.
26:15Également au programme
26:16Passer Présent,
26:16Guillaume Fiquet reçoit
26:17le professeur François Cochet
26:19pour évoquer la figure
26:20du général Catrou,
26:22l'homme de l'ombre
26:22de la France libre.
26:24Demain, jeudi,
26:25pour Noël,
26:25pas de journal télévisé.
26:26Néanmoins,
26:27vous pourrez découvrir
26:28ou redécouvrir
26:28le splendide documentaire
26:30sur le cadre noir
26:31de Saumur,
26:32l'institution équestre
26:33reconnue partout
26:34dans le monde.
26:35C'est à présent la fin
26:36de cette édition.
26:37Merci à tous
26:38pour votre fidélité.
26:39L'heure est venue pour moi
26:40de vous souhaiter à tous
26:41un heureux réveillon
26:42et un joyeux Noël.
26:43Et bien sûr,
26:44j'ai une pensée particulière
26:45pour ceux d'entre nous
26:46qui sont seuls
26:47et pour les plus fragiles.
26:48Alors, à vous,
26:50joyeux Noël
26:50et à très vite.
26:52Bonne soirée.
Écris le tout premier commentaire