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  • il y a 2 jours
À l'occasion de la Rencontre des industriels en mouvement, Sibylle Aoudjhane reçoit Antoine da Costa, président de Lab'Science.

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Transcription
00:00Pourquoi est-ce que vous avez décidé de venir aujourd'hui à la journée des industries en mouvement ?
00:12Pour deux raisons. La première, c'est que j'ai été invité à la fois par BPI et l'Union des Forgerons, qui est un de mes clients.
00:19Nous avons réalisé les installations d'électricité sur son nouveau bâtiment il y a 7 ans.
00:24Et nous réalisons régulièrement des prestations liées au courant fort et au courant faible.
00:28La deuxième raison, c'est qu'effectivement, ce genre de manifestation permet de côtoyer d'autres dirigeants, d'échanger sur des nouveautés, des nouvelles idées et puis de réseauter tout simplement.
00:40Et là, ça a été le cas. Vous êtes contente cette matinée ?
00:42Oui. Alors, je n'ai pas fini parce qu'il y a encore de la discussion, effectivement.
00:46Donc, je dois encore rencontrer le nouveau directeur général d'Union Forgerons que je ne connais pas.
00:52Je connais son prédécesseur. Et effectivement, c'est l'occasion de connaître d'autres potentiels clients et d'échanger sur nos différents projets et nos forces et nos faiblesses pour nous améliorer.
01:06Et justement, en termes de nouveaux projets, etc., c'est la journée des industriels en mouvement.
01:11Quelles sont les transformations fortes que vous réalisez au sein de votre entreprise pour vous adapter aux nouveaux défis contemporains ?
01:18Alors, en fait, ce n'est pas aujourd'hui, c'est depuis environ une dizaine d'années, 2016, donc un peu moins de dix ans.
01:27On a mis un pied dans l'industrie en rachetant l'un de nos sous-traitants qui était en difficulté, qui était la société Équipe Labo à l'époque.
01:33Et en fait, on est devenu industriel à cette occasion.
01:36Et nous qui venions du métier du service, nous faisions des installations, nous faisions des projets où nous achetions et nous mettions en œuvre des choses que nous achetions parfois à l'étranger.
01:45En fait, depuis 2016, on a commencé à acheter français et à acheter des sociétés en France et à réindustrialiser à notre échelle en faisant vivre des fournisseurs français.
01:57Donc, en fait, on a commencé nous-mêmes à essayer d'être moins dépendants de l'export, enfin de l'import plutôt, d'être moins dépendants de fournisseurs étrangers et essayer de vivre avec une supply chain franco-française.
02:10Donc, on a aujourd'hui une dizaine de sites industriels qui fabriquent des cloisons de laboratoire, du mobilier de laboratoire, des armoires électriques pour nos laboratoires, etc.
02:19Puisque j'ai oublié de préciser, la science, en fait, on est un concepteur et un installateur de laboratoires et de salles propres.
02:24Et donc, vous êtes aussi un acteur de la réindustrialisation ?
02:28On essaie en tout cas d'être moins, effectivement, dépendants de l'étranger, dépendants de fournisseurs que nous ne maîtrisons pas.
02:35On a vécu, après le Covid et après la crise énergétique, des hausses très importantes au niveau des matières premières ou des produits semi-transformés que nous achetions à l'étranger.
02:45Et nous avons décidé, par exemple, à ce moment-là, de réindustrialiser et de refabriquer en France des choses que nous achetions en Europe de l'Est ou en Asie.
02:52Merci d'avoir regardé cette vidéo !
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