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Richard Orlinski se raconte dans une autobiographie : "Dès qu'on fait quelque chose, ça dérange"
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il y a 1 semaine
Tous les jours, une personnalité s'invite dans le monde d'Élodie Suigo. Jeudi 27 novembre 2025, le sculpteur et artiste Richard Orlinski. Il publie "Rétrospective", aux éditions Gründ.
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00:00
Bonjour Richard Lansky. Bonjour.
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En 2015, ArtPrize vous a désigné comme étant l'artiste contemporain français le plus vendu dans le monde
00:06
avec des acheteurs collectionneurs qui s'appellent Paul McCartner, Esson Ford, Sharon Stone ou encore Farry Williams,
00:12
des petits nouveaux sur les réseaux sociaux. Vous êtes suivi d'ailleurs par plus de 9 millions et demi d'abonnés.
00:18
Vous êtes ce sculpteur imprégné de pop culture à la tête d'un bestiaire emblématique, facetté et coloré,
00:23
constitué de gorilles hurlants, de crocodiles, de requins, de panthères et autres animaux sauvages,
00:28
dits indomptables qui se déclinent dans toutes les tailles, donc en marge des circuits balisés de l'art contemporain.
00:33
D'ailleurs vos créations tournent autour d'une question, qui de la bête ou de l'humain est le plus sauvage ?
00:38
C'est après un burn-out à l'âge de 38 ans que vous avez décidé de tout vendre,
00:43
de repartir de zéro et de revenir à ce qui vous était le plus essentiel pour vous et depuis votre plus jeune âge,
00:51
c'est-à-dire l'art. C'est avec votre série Burn Wild que vous avez été repérée.
00:55
C'est d'ailleurs cette série qui vous a apporté presque instantanément une renommée mondiale.
01:00
Aujourd'hui vous publiez Rétrospective.
01:02
C'est un récit, enfin je dis c'est un récit autobiographique,
01:05
c'est un moyen en tout cas de plonger dans votre total univers,
01:08
avec à l'intérieur quelques clés pour mieux comprendre l'importance et la présence de l'art dans votre vie.
01:13
Vous commencez en racontant votre petite enfance.
01:15
Vous dites qu'à 4 ans vous aviez déjà commencé à jouer avec la pâte à modeler,
01:19
à façonner à la fois des animaux, donc notamment des hippopotames,
01:23
mais aussi des pianos parce que vous êtes aussi DJ et musicien.
01:27
C'est quoi le point de départ et le déclic, en tout cas ce qui vous a fait tomber amoureux de l'art finalement ?
01:34
Quand je suis tout petit on revient à la jeunesse ou alors après ?
01:36
Tout, tout début.
01:37
Quand je suis tout petit, oui, tout petit c'était pas de la pâte à modeler,
01:40
c'était plutôt de la terre glaise en fait,
01:42
comme on faisait quand on est gamin à l'école maternelle.
01:47
Et on avait des ateliers de poterie à l'époque et donc effectivement on faisait de la clay,
01:51
de la terre glaise qu'on faisait ensuite cuire.
01:54
Donc ça avait un côté quand même...
01:55
Moi j'ai toujours aimé le côté pérenne des choses.
01:58
Et en fait je pense que c'était plutôt parce que j'étais faillot quand j'étais petit
02:01
et que j'offrais en fait des éléphants, des hippopotames,
02:04
effectivement des pianos aux maîtresses, aux directrices, etc.
02:07
Donc il y avait une envie de créer, une envie de donner, une envie de partager,
02:10
une envie d'être vu, peut-être remarqué, je pense, avec le recul.
02:15
Je dis ça parce qu'à l'époque j'en sais rien, parce que je ne me rappelle pas quand j'avais 4 ans.
02:18
Mais c'est vrai qu'il y avait quelque chose en tout cas, et puis la nature,
02:21
un amour de la nature et de ces animaux.
02:24
Alors à l'époque c'était plus des animaux qui étaient dans ma tête sympathiques,
02:28
parce que l'éléphant c'est quand même, même si c'est pas si sympathique que c'est dans la réalité,
02:31
c'est quand même, pour l'enfant en tout cas, quand on est des enfants du jeu de la jungle,
02:36
c'est des personnages qui sont, des caractères qui sont sympathiques.
02:39
Après je me suis plus intéressé au côté plus sauvage du monde animal,
02:43
avec des bêtes beaucoup plus féroces, en essayant d'exacerber la violence.
02:48
Et ce que je voulais à l'époque c'était montrer que, quelque part, nous les humains,
02:52
avec toujours nos conseils et toujours notre côté dominateur,
02:56
on avait beaucoup de choses à apprendre des animaux,
02:57
parce qu'eux ils tuent pour se nourrir, donc ils obéissent à un cercle vertueux de la vie,
03:01
et nous on obéit plutôt à un cercle vicieux, puisque nous on tue pour n'importe quoi,
03:05
il y a des guerres et tout.
03:05
Donc je me disais qu'il y avait une réflexion, en tout cas,
03:07
et Bonnoël c'est ça la réflexion en réalité,
03:09
c'est de se dire que peut-être qu'on n'est pas si intelligent que ça,
03:12
il y en a peut-être des choses à apprendre de la nature et des animaux.
03:14
C'est Andy Garcia qui va lancer votre carrière, mine de rien,
03:17
Richard Orlinsky, c'est lui qui va, le premier entre guillemets,
03:20
craquer sur l'une de vos œuvres,
03:21
et qui va en parler, c'est lors du festival de Deauville,
03:25
le festival de cinéma américain.
03:27
Absolument.
03:27
Il va voir l'une de vos œuvres, et là il va dire,
03:29
mais il en achète une, il en parle à tout le monde,
03:31
et alors là, ça va être une explosion totale pour vous.
03:34
C'est vrai, ils sont deux, il y a eu Sharon Stone aussi.
03:36
Parce qu'il y a eu deux fesses, c'est drôle.
03:38
C'est le côté Basic Instinct, ça.
03:39
Voilà, il y a Sharon Stone, au même moment,
03:41
puisqu'en réalité le festival de Cannes, c'est au mois de mai-juin,
03:44
et le festival de Deauville, je crois que c'est la rentrée, septembre d'octobre,
03:46
et c'était deux momentum très importants,
03:50
et il y a eu Sharon Stone qui, sur la table,
03:52
avait choisi par un de mes galéristes
03:54
de mettre des sculptures pour une levée de fond pour un de ses films,
03:57
et qui a craqué complètement, etc.
03:59
Et ensuite, il y a eu Andy Garcia, effectivement,
04:01
donc c'était au même moment les deux personnes qui ont contribué,
04:05
et Andy Garcia, très marrant, c'était très drôle cette scène,
04:07
parce que quand j'étais en plein vernissage,
04:10
il y a le patron de l'hôtel qui me fait venir,
04:12
qui me dit, il faut venir à Andy Garcia.
04:13
C'est au Normandie, oui.
04:14
Au Normandie, oui.
04:15
Oui, alors moi, lui était royal, moi j'étais en Normandie, à Deauville,
04:17
et donc il fallait venir le voir tout de suite,
04:20
et pour tous les gens à l'époque, Andy Garcia,
04:22
bon, peut-être un peu moins maintenant,
04:23
mais c'était quand même une légende, c'était quelqu'un de très important.
04:25
Alors tout le monde était au garde-à-vous, les gardes du corps, le personnel,
04:30
on était comme ça à traverser,
04:31
parce qu'il y a 500 mètres, je pense, entre les deux hôtels,
04:34
on était peut-être une vingtaine de personnes à traverser
04:36
pour aller se diriger vers la chambre d'Andy Garcia,
04:38
et quand j'arrive pour voir Andy Garcia,
04:41
on nous dit, désolé, il s'est endormi, donc il faut revenir.
04:44
Et moi, je ne me suis pas démonté, je me suis dit,
04:45
ben non, je ne reviendrai pas, parce que j'ai un vernissage, etc.
04:47
Et du coup, tout le monde s'est choqué,
04:49
et du coup, ils ont appelé en haut,
04:50
et finalement, ils ont dit, c'est bon, vous pouvez monter.
04:51
Et voilà, donc comment s'est faite l'histoire ?
04:54
Et il était en peignoir, en robe de chambre,
04:57
il m'a accueilli, je suis resté peut-être deux, trois heures avec lui,
04:59
comme si j'en connaissais depuis tout le temps.
05:01
Donc c'était un moment assez fort.
05:05
Et puis il a de l'émotion, de toute façon, c'est des gens normaux.
05:08
Il y a toujours un message qui est envoyé par l'une de vos œuvres,
05:11
soit la non-violence, la défense de la cause animale,
05:12
le bien-être de la planète aussi,
05:14
ce sont vraiment des choses qui vous tiennent à cœur.
05:17
C'est votre Gorée Kong qui va vraiment faire le tour du monde.
05:20
D'ailleurs, il est aujourd'hui plus connu que vous, Richard Orlindski,
05:23
ce qui est quand même assez drôle.
05:25
C'est un peu le cas pour d'autres œuvres.
05:26
Je pense à Philippe Gullu qui est à son fameux chat.
05:28
Bien sûr.
05:29
C'est une fierté, ça, d'avoir une création.
05:32
L'un de vos enfants artistiques, j'ai envie de dire,
05:34
qui dépassent le papa.
05:39
Oui, oui, complètement.
05:40
Une fierté, oui.
05:41
Quand je l'ai créé après, le crocodile,
05:43
mais c'est vrai que je voulais quelque chose qui ressemble toujours à nous.
05:47
Le Silverback, le Gorillado Argenté,
05:49
qui est d'ailleurs une espèce en voie de disparition,
05:52
il est très proche de nous.
05:54
On a un ADN qui est plus de 99% proche du nôtre.
05:57
On mange pareil.
05:59
C'est quand même incroyable de voir cette similitude qui est entre nous.
06:02
Et puis, il y avait toute l'iconographie de King Kong.
06:04
Moi, j'étais un fan de King Kong
06:06
parce que c'est que des messages de bienveillance,
06:08
de la culture pop avec Donkey Kong.
06:09
Donc, ça réunissait quand même beaucoup, beaucoup de choses à l'intérieur.
06:11
Et la fierté, oui, c'est sûr que c'est une fierté.
06:14
Après, très copiée quand même,
06:15
parce que c'est fou, là.
06:17
J'ai mon fils qui est à Bali,
06:18
il me dit qu'il y a une rue en l'inscrit
06:19
qu'avec des copies, il y en a partout dans le monde entier.
06:21
Donc, ça, c'est le petit bémol sur cette...
06:24
Le petit couac.
06:25
Mais sinon, c'est vrai que, oui, c'est une vraie fierté.
06:27
Je suis content parce qu'en plus, je peux lui faire parler,
06:29
lui faire dire ce que j'ai envie.
06:30
Aujourd'hui, dans le sport,
06:31
il peut participer à la vie de...
06:34
On le voit dans le livre pour revenir à l'ouvrage.
06:36
Il est décliné quasiment partout.
06:38
Il existe même en penseur.
06:40
On pense à Rodin, évidemment.
06:42
Exactement.
06:42
En 360 et puis en super-héros.
06:45
Donc, l'avantage, c'est qu'il s'y prête.
06:47
Vu qu'il est très proche de nous,
06:48
c'est comme un homme.
06:49
Donc, c'est un côté assez similaire.
06:51
Vous avez connu et vous continuez de connaître
06:53
effectivement des moments assez difficiles
06:54
avec des critiques assassines
06:57
qui ne se calment pas,
06:58
qui perdurent même encore actuellement.
07:01
Vous n'existez pas ou peu pour les critiques d'art,
07:04
les galéristes
07:04
ou même les commissaires d'exposition.
07:08
Vous avez été aussi traduit en justice
07:10
par un artiste
07:10
qui se disait copié.
07:12
Il a été débouté au tribunal.
07:14
C'est surtout par une galerie, lui.
07:15
Je ne pense pas que c'est vraiment responsable.
07:17
Mais en attendant,
07:18
les 2,5 millions d'euros
07:19
qu'il vous demandait en dommages et intérêts...
07:20
25 millions.
07:21
25 millions, pardon.
07:22
Les 25 millions qu'il vous demandait
07:24
en dommages et intérêts
07:25
n'ont pas été versés.
07:26
Vous écrivez dans ce livre
07:27
« Le microcosme parisien de l'art
07:29
est hostile à mes œuvres
07:30
ou peut-être à moi-même ».
07:32
Je dérange.
07:33
Déjà, je dérange pour plein de raisons.
07:35
Je dérange parce qu'on casse les codes.
07:37
Déjà, je dérange parce qu'un artiste sculpteur
07:41
qui a des émissions de télévision
07:43
ou qui a mis des œuvres sur les plateaux,
07:46
qui fait les grosses têtes,
07:47
qui est présent dans le sport,
07:49
qui a des partenaires dans le sport,
07:50
qui se met dans le domaine de la mode...
07:52
C'est très, très clivant.
07:54
Alors, c'est warholien, on va dire,
07:56
mais donc, on n'est pas prêt pour ça.
07:58
D'ailleurs, Warhol a été reconnu après,
07:59
au début, en tant que publiciste.
08:00
Enfin, voilà, il a été...
08:01
Même Koontz, aujourd'hui.
08:02
Moi, à l'époque, c'était marrant
08:04
parce qu'il y a une dizaine, quinzaine d'années,
08:05
on disait,
08:06
les œuvres dans certaines critiques,
08:08
les œuvres dans l'inski,
08:08
c'est aussi terrible ou incroyable
08:11
ou moche qu'on crée.
08:13
Et on me citait dans le même lot.
08:14
Mais moi, j'étais content, finalement,
08:15
d'être associé à Jeff Koontz,
08:16
même dans la critique.
08:17
Mais je dérange, oui,
08:19
parce que la présence,
08:20
la présence, vous parliez sur les réseaux sociaux,
08:24
en fait, dès qu'on fait quelque chose,
08:25
ça dérange.
08:25
En fait, il faut rester, je pense, dans son coin
08:27
ou alors être mort,
08:29
ou alors être, pas mort,
08:30
mais être connu de post-mortem, peut-être.
08:32
Là, c'est mieux, quoi.
08:34
Ce qui vous plaît, je vous cite,
08:35
c'est de sublimer la réalité
08:36
et créer des œuvres d'art vivante,
08:38
belles et intemporelles,
08:39
qui suscitent l'émotion dans le regard de l'autre.
08:41
Ça, c'est le nerf de la guerre, pour vous.
08:43
L'émotion, oui, le partage.
08:44
Le partage avec le plus grand nombre.
08:45
Quand j'ai créé, aujourd'hui, grâce à Disney,
08:48
ces petites figurines,
08:49
ces petites reproductions
08:50
qui sont accessibles à tout un chacun
08:53
et qui sont pour quelques dizaines d'euros,
08:55
c'était vraiment de pouvoir faire de l'art populaire,
08:57
de rentrer chez monsieur, même tout le monde,
08:58
et d'avoir cette fierté de pouvoir avoir
09:00
quelque chose qui...
09:01
Voilà, les photos aussi,
09:02
les expositions à celles ouvertes,
09:03
où gratuitement, j'amène le musée aux spectateurs
09:05
sans payer, sans avoir besoin de connaître quoi que ce soit.
09:08
Juste un impact émotionnel, un partage.
09:10
Et quand je vois les enfants,
09:11
la banane qu'ils ont,
09:12
ou quand ils nourrissent les animaux,
09:13
ou les millions de photos
09:15
qui sont faites à travers le monde,
09:16
je me dis, c'est un vrai succès.
09:17
Et d'écouter même.
09:18
Quand on écoute,
09:18
quand on est à côté des sculptures
09:19
et qu'on voit les gens se prendre en photo
09:20
et qu'ils allaient raconter,
09:21
écouter ce qu'ils racontent,
09:22
c'est très drôle.
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