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Les meilleurs moments de l'antenne de RMC commentés par Estelle Denis et toute sa bande.
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00:00RMC Estelle Midi, le zapping RMC.
00:04Et on commence avec un extrait des grandes gueules ce matin sur RMC.
00:07Seriez-vous prêts à voir vos enfants mourir pour la France ?
00:09C'est en tout cas ce que dit le chef d'état-major des armées françaises.
00:13Si notre pays flanche parce qu'il n'est pas prêt à accepter de perdre ses enfants,
00:17alors on est en risque des propos qui ont choqué l'éditeur de BD, Mourad Boudjelal.
00:22Je ne sais pas ce qu'il faut faire, je ne sais pas s'il faut descendre dans la rue,
00:26mais ça devient de plus en plus dur le macronisme.
00:28Chaque jour qui passe, on se dit c'est un jour de moins,
00:32mais en fait c'est un jour de pire.
00:35Pourquoi tu dis le macronisme alors que c'est le chef d'état-major des armées qui s'exprime ?
00:38C'est Jean-Panacloque, c'est Nabila, c'est Jean-Panacloque.
00:43C'est personne, le général Mondon, c'est le général Moncon.
00:48C'est pas une insulte, c'est une boutade.
00:52Mais les insultes, c'est ce que lui vient de dire.
00:56D'abord, il parle au nom d'un président qui n'a pas d'enfant.
00:58Donc il n'enverra pas les siens.
01:00Ça c'est la première chose.
01:01La deuxième chose, est-ce qu'il se rend compte aujourd'hui
01:03le mal que ça peut faire dans le pays, ce qu'il vient de dire ?
01:06Est-ce qu'il se rend compte que
01:07qui va avoir envie de faire des gosses pour les envoyer en chair à canon russe ?
01:11Qui ?
01:11Est-ce qu'il se rend compte le mal que ça fait à l'économie du pays ?
01:14Qui a envie de consommer en ce moment ?
01:16Qui ? Expliquez-moi.
01:17Qui a envie de vivre en France en ce moment ?
01:18Voilà des propos très forts de Mourad Boudjel.
01:23Mais je vous ai vu atterrer, Jérôme Lavrieux.
01:24C'est un non-sens absolu ce qu'il vient de dire.
01:27C'est le principe même, c'est le corollaire de la nationalité française.
01:31Quand tu es de nationalité française,
01:35à un moment, si les intérêts supérieurs de son pays nécessitent,
01:39qu'on appelle les jeunes gens et les moins jeunes,
01:43sous le drapeau, et c'est une obligation légale,
01:45tu es obligé de le faire.
01:47En Ukraine, que tu sois d'accord ou pas d'accord
01:50avec la guerre contre la Russie, tu es appelé, tu vas combattre.
01:54Ça a été le cas dans toutes les guerres que la France a eu à faire
01:58quand son territoire était attaqué.
01:59Personne n'a envie.
02:03Personne n'a envie.
02:04Ce n'est pas une envie.
02:05On n'a pas un fou à l'Élysée qui dit
02:06je vais faire tuer des générations et des générations.
02:09C'est le principe de base.
02:10Moi, je fais partie des derniers qui ont fait leur service militaire.
02:13C'était obligatoire, c'était juste pour les garçons.
02:15C'était pour devenir, non pas de la chair à canon,
02:18défendre mon pays.
02:20S'il a le droit de s'exprimer et de dire de telles conneries,
02:23tout ce qu'il dit, c'est un tissu de conneries.
02:24Macron, il va prendre cette décision parce qu'il n'a pas d'enfant.
02:27C'est franchement le degré zéro de l'argument.
02:30On peut être macroniste, pas macroniste.
02:32Je trouve ça hallucinant de faire ce genre de commentaires.
02:37Mais s'il peut s'exprimer là, c'est parce qu'il y a des gens
02:39qu'on n'a même pas obligé de prendre les armes pour le pays,
02:44mais qui les ont prises à leur propre initiative.
02:46Les résistants, ils n'étaient pas de la chair à canon.
02:49Ceux qui ont fini devant le peloton d'exécution.
02:52Le Mont-Valérien, ce n'est pas juste pour rigoler
02:54qu'on va commémorer une fois par an.
02:57C'est parce que déjà, on choisit de le faire.
02:59Parce que mon père, il n'a pas eu le choix.
03:01Quand il y a eu la guerre d'Algérie, il a été envoyé là-bas.
03:04Certains de ses amis ne sont pas revenus.
03:06Lui est revenu.
03:08Parce que vous avez un petit truc dans votre poche.
03:11C'est un passeport ou une carte d'identité
03:12qui dit nationalité française.
03:15Donc le corollaire de tout ça,
03:16le pays est la porte protégée,
03:17mais tu dois pouvoir protéger le pays le moment venu.
03:19– Après, voilà, les phrases…
03:22– Et j'ai l'âge d'être encore incorporé.
03:23– Oui, mais la phrase de ce chef d'état-major
03:26des armées françaises,
03:28c'est peut-être un peu trop, tu vois,
03:30d'aller parler de ça si on n'est pas prêt
03:33à accepter de perdre ses enfants.
03:34– Il a raison de le dire,
03:35parce que visiblement, le message qu'on envoie
03:38à ceux qui voudraient envahir le pays,
03:40les Russes, par exemple, c'est dire
03:41« Non mais les mecs, vous ne cassez pas,
03:44ne fabriquez pas des missiles,
03:46venez en Lada,
03:47de toute façon, on ne va pas lutter. »
03:49– Oui, mais est-ce que tu es obligé
03:50de dire ça, en fait, aujourd'hui ?
03:52Moi, je ne suis pas sûre…
03:52– Parfois, il faut rappeler des évidences.
03:53– … d'aller faire peur comme ça,
03:54en disant que vous soyez prêts
03:56à sacrifier vos enfants,
03:57je ne suis pas sûre que ce soit
03:58une bonne chose à dire, voilà.
04:00– Personne ne va vouloir sacrifier,
04:01ne va pas faire un sacrifice de ses enfants.
04:03– Oui, mais…
04:04– On est tous des enfants du pays.
04:05– Oui, mais te dire,
04:06est-ce que tu es prêt à avoir tes enfants
04:07mourir pour la France ?
04:08– Non, non, pas du tout.
04:10Je pense qu'il faut tout faire pour l'éviter,
04:11mais il y a un moment, tu n'as pas le choix.
04:13– Et juste pour compléter,
04:14en Allemagne, ce sont les services secrets
04:15qui ont très officiellement alerté
04:17ces derniers jours sur la menace
04:18d'une guerre avec la Russie
04:19d'ici 2029.
04:20Donc, il n'y a pas qu'en France,
04:21ce n'est pas la France toute seule
04:22qui a ce discours aujourd'hui.
04:23– Frédérmel.
04:24– Moi, il y a beaucoup de noms
04:25de ma famille sur les monuments aux morts.
04:26Donc, je comprends parfaitement
04:27et je n'étais pas militaire de carrière.
04:29– Non.
04:30– Il est conscrit.
04:30– Eh bien, il s'est conscrit
04:31et puis il y en a qui sont parvenus.
04:32– Voilà.
04:34Moi, ce que je n'ai pas aimé
04:36dans la déclaration du chef d'État-major des armées,
04:38c'est qu'il parlait au congrès des maires,
04:41de la MF, l'Association des maires de France,
04:44comme s'ils étaient entre eux.
04:46Tu vois ce que je veux dire ?
04:47Je pense que la communication était mauvaise.
04:50C'est une chose qui était,
04:51pour des personnes préparées à entendre ce discours,
04:55puisque ce sont des responsables politiques,
04:57le problème, c'est qu'il a oublié
04:58que ce qu'il dit, c'est diffusé partout.
05:00Je pense qu'il a raison dans ce qu'il dit,
05:02mais il a oublié,
05:05il n'a pas mesuré l'impact que ça allait avoir
05:07en dehors de l'enceinte devant laquelle il s'exprimait.
05:10Voilà, c'est ça.
05:12Et en fait, quand il dit nos enfants,
05:14c'est aussi les soldats.
05:15C'est d'abord les soldats,
05:16et les soldats, nous sommes des armées de métier.
05:18C'est d'abord...
05:19– Pas la même chose.
05:19– Pas la même chose.
05:20– Le problème, c'est que je pense qu'il parlait
05:22des enfants qui sont engagés,
05:24c'est-à-dire des soldats professionnels,
05:26et que tout le monde a compris nos propres enfants.
05:28– Nos enfants, exactement.
05:29– C'est ça le problème.
05:30C'est plus un problème de communication que de fond.
05:31– Les Gégés, ce matin sur RMC,
05:34faut-il autoriser France Travail
05:35à fouiller dans les données personnelles des chômeurs ?
05:38C'est la dernière idée du Sénat
05:39pour lutter contre la fraude sociale
05:40en vérifiant la résidence réelle des allocataires.
05:43Cette mesure permettrait d'avoir accès
05:44aux relevés téléphoniques des chômeurs
05:46et aux fichiers des compagnies aériennes.
05:48Une véritable atteinte aux libertés individuelles
05:50pour la coach de vie des Gégés,
05:51Joël Dagoceri.
05:53– On n'est pas bien sous la Stasi, là ?
05:55On est bien, non ?
05:57Si, si, si.
05:57– Oui, on est bien, là.
05:59On se transforme tranquillement en inquisiteur.
06:02– Il faut se préparer d'un virus.
06:03– Je suis désolée, à quelle heure ?
06:06À quelle heure ?
06:06Parce que j'ai eu le malheur de perdre mon emploi,
06:11ce qui est déjà une déception, un drame en soi,
06:14un drame familial.
06:15On vient en plus aller fouiller dans ma facture de téléphone.
06:18– C'est sûr que si là, tu prends que j'ai vécu un drame familial,
06:21j'ai vécu un drame, je m'en trouve au chômage.
06:22– C'est un drame de se retrouver au chômage.
06:25– Karine Gallier, est-ce qu'il faut autoriser France Travail
06:27à fouiller dans les données personnelles des chômeurs ?
06:29– Plutôt oui, parce qu'en fait, l'exemple qu'elle donne,
06:32c'est une personne qui perd son travail
06:33et qui est évidemment dans une situation de précarité
06:36et qui fait tout pour retrouver un travail.
06:38Mais la réalité aussi, et moi j'en connais,
06:40j'ai des copains qui sont par exemple dans le secteur de la vente,
06:46ils sont vendeurs dans des boutiques,
06:47ils travaillent pendant une certaine durée
06:50et puis après, ils se mettent au chômage
06:52et ils enchaînent ça depuis des années.
06:54Alors évidemment, ils n'ont pas une vision à long terme
06:55parce que pour leur retraite, ça sera très compliqué,
06:57mais donc ils profitent du système.
06:59Ils travaillent juste ce qu'il faut
07:00pour après avoir leurs indemnités de chômage
07:02et ils enchaînent comme ça depuis des années.
07:05Et donc effectivement, ce ne sont pas des gens
07:06qui ont perdu leur travail, qui sont…
07:08– Mais après, ils ne sont pas hors la loi, c'est légal ce qu'ils font.
07:10– Non, non, ils ne sont pas hors la loi.
07:12Le problème, c'est que nous tous, nous payons pour ces gens-là
07:15qui finalement se servent d'un système.
07:17Et donc ces gens-là qui…
07:19– Décis le système ?
07:20– Oui, mais ces gens-là décident sciemment de ne pas travailler.
07:23Je ne parle pas des gens qui sont en difficulté,
07:24qui ne trouvent pas de travail.
07:25Je parle des gens qui cherchent…
07:26– Oui, mais en même temps, ils ne vont pas à Ibiza
07:27toutes les semaines en avion.
07:29– Je peux vous dire qu'il y en a, notamment,
07:30moi je viens du sud de la France,
07:32et quand ils ne travaillent pas,
07:33ils préfèrent retourner chez papa, maman, tranquillement,
07:36parce que ça fait nourrir, loger, blanchir
07:38et effectivement, rester à Paris dans un 20 mètres carrés,
07:41c'est beaucoup plus glauque qu'être dans le sud,
07:43dans un cadre qui est sympa.
07:44– Mais ce n'est pas une question de…
07:45– La loi te le permet ?
07:46– Sauf que là, c'est quelque chose,
07:48c'est un système que tu dois revoir.
07:50– Oui, mais en fait, ce n'est pas normal.
07:51– La personne, elle est censée essayer de retrouver du travail.
07:54– Et tu peux retrouver du travail depuis l'étranger ?
07:56– Bien sûr.
07:58– Excusez-moi, aujourd'hui, il y a un truc qui s'appelle Internet.
08:00– Oui.
08:01– Tu peux être à Berlin, en week-end, et chercher du travail.
08:04– Estelle, là, je vous parle de gens qui profitent des failles.
08:06Je ne vous parle pas des gens qui se retrouvent en situation de chômage
08:09et qui le vivent mal.
08:10Je vous parle des gens qui servent de ce système.
08:12Et il y en a, donc ces gens-là, effectivement,
08:15si tu vois qu'en fait, toute leur période de chômage…
08:16– S'ils touchent le chômage, c'est qu'ils ont cotisé,
08:18qu'ils ont travaillé.
08:18– Oui, toute cette période de chômage,
08:20s'ils la vivent chez papa et maman dans le sud de la France
08:22parce qu'ils ont la chance d'avoir leurs parents
08:23qui vivent dans un endroit qui est plus sympa,
08:25et alors c'est inadmissible, et c'est inacceptable, enfin.
08:28– C'est pas une rupture conventionnelle.
08:29– Oui, très vermelle.
08:30– Parce que si tu démissionnes, tu n'auras pas le droit au chômage.
08:35– Alors, attendez, Fred, il faut que tu prennes le micro.
08:37– On va vous changer de micro.
08:38– Moi, je veux revenir à ce dont on parlait,
08:41qui est l'amendement du Sénat, des sénateurs.
08:43C'est pas de ça dont ils parlent.
08:45Les sénateurs disent, c'est dans la droite ligne
08:48de ce qui s'est passé, quand on a obligé,
08:50pour les prestations sociales et pour le chômage,
08:53à avoir un compte en banque en Europe.
08:55Parce qu'il y avait des gens qui étaient au chômage,
08:58officiellement, mais qui habitaient, qui résidaient à l'étranger
09:02et qui touchaient leur argent sur un compte en banque à l'étranger.
09:05Je rappelle que pour être chômeur, il faut être éligible.
09:07Il faut avoir cotisé sur les amends de mois dans le passé
09:11pour avoir le truc.
09:12Et il faut être immédiatement disponible
09:14pour occuper un emploi sur le territoire national.
09:18Parce que si tu es résident en Allemagne,
09:19tu ne peux pas, français, tu ne peux pas avoir le chômage français.
09:22D'accord ?
09:23Si tu travailles en Allemagne, tu cotises au système allemand
09:25et tu as le chômage.
09:27– Tu peux partir en week-end en Allemagne et toucher le chômage.
09:30– Le chômage, ce n'est pas l'assignation résidence.
09:32Ce n'est pas du tout ce dont parle cet amendement.
09:34Il dit juste que vous ne pouvez pas être un chômeur inscrit,
09:38toucher une indemnité et en avoir rien à foutre
09:40parce que vous avez pris un boulot en République dominicaine.
09:44– Oui, France Travail disait qu'en fait, on a du mal à lutter
09:46contre les chômeurs qui partent...
09:47C'est typiquement l'ami de Karine qui est au chômage
09:51et qui se dit, comme je ne vais pas rebosser avant trois mois,
09:53je vais passer trois mois en Thaïlande.
09:54– Excusez-moi, ça ne doit pas être une grande majorité quand même.
09:56– Mais non, mais c'est toujours des niches, mais il faut évidemment...
09:58– Et ils disent, autre exemple, je touche mon chômage en France,
10:01par exemple j'habite dans les Pyrénées et je vais bosser au Black en Espagne
10:04pendant trois mois, tout en touchant le chômage en France.
10:06Et là-dessus, les contrôleurs de France Travail disaient
10:07« On a du mal à lutter contre » et donc les sénateurs disent
10:09« On leur a donné les moyens en vérifiant. »
10:11Les relevés téléphoniques, ce n'est pas pour vérifier s'ils ont appelé
10:13leur maîtresse ou leur copain.
10:15C'est pour vérifier où ils sont localisés en fait,
10:17s'ils passent trois mois de l'année en Espagne,
10:19alors qu'ils touchent des allocations en France.
10:21– Il a fait raison Charles, quand j'étais en Espagne,
10:23je connaissais plein de gens
10:25qui étaient encore domicilés chez leurs parents
10:27pour toucher le chômage et qui travaillaient au Black en Espagne.
10:30Mais j'en ai connu des tonnes, des tonnes.
10:32Et il y a longtemps, il y a 30 ans déjà.
10:34Donc c'était...
10:35Et à partir du moment où il y avait Schengen,
10:37où il n'y avait pas de contrôle aux frontières, etc.,
10:39personne ne pouvait savoir que tu étais en Espagne
10:40ou en Allemagne ou en Belgique, etc.
10:43Donc tu bosses là-bas, tu touches le chômage en France
10:45à l'adresse de tes parents et tu bosses au Black.
10:49à l'étranger.
10:50Et en fait, tu n'as pas de problème
10:51parce que si jamais tu es malade,
10:52comme tu es à la sécurité sociale française,
10:55tu es encore déclaré en France,
10:56donc tu as zéro problème.
10:57Et c'est normal qu'il y ait un petit peu de contrôle.
10:59– Le Morning RMC,
11:01présenté par Pascal Delator du Pain et Mathieu Béliard.
11:03Le Beaujolais nouveau débarque aujourd'hui.
11:05Allez-vous y goûter ?
11:06On en a consommé 9 millions de bouteilles l'an dernier.
11:09Et il semblerait que ce nouveau cru
11:10soit un millésime exceptionnel.
11:12Bon, c'est ce qu'on dit chaque année.
11:13Explication Géraldine de Maury.
11:15– Les experts conseillent d'ailleurs
11:18le boire légèrement rafraîchi,
11:19autour de 12 degrés,
11:20pour bien révéler tous ses arômes.
11:22On trouve essentiellement du vin rouge,
11:23mais il y a quand même aussi 4% de vin rosé.
11:26– Bon, ça coûte combien ?
11:27– Ah, c'est la grande question.
11:28– Dans la grande distribution,
11:30on peut trouver des bouteilles à 5 euros.
11:33Il faut dire que le Beaujolais nouveau,
11:34il est quand même monté en gamme.
11:35Ça peut aller pratiquement jusqu'à 20 euros
11:37chez les cavistes.
11:38En dessous de 7 euros,
11:39vous avez quand même de grosses chances
11:40de tomber sur de la piquette.
11:42Autour de 10 euros, c'est pas mal.
11:43C'est une bonne moyenne
11:44pour avoir une bonne bouteille tout à fait correcte.
11:46Au-dessus de 13 euros,
11:47franchement, il vaut mieux vous diriger
11:49vers un vin qui sera un petit peu plus vieux.
11:51Parce que c'est vrai que c'est un vin
11:52qui peut vieillir en cave pendant quelques années,
11:54mais c'est pas vraiment recommandé
11:55puisque le principe du Beaujolais nouveau,
11:57ça va être quand même d'être assez rapidement consommé.
11:59Vous pouvez le faire durer jusqu'au printemps à peu près.
12:02Comme ça, vous pourrez boire les dernières bouteilles
12:03avec les premiers barbecues.
12:05Et évidemment, c'est à consommer avec modération.
12:07Qui fait une soirée Beaujolais nouveau ce soir ?
12:11Moi.
12:11Ah bon ?
12:12Oui, avec un ami.
12:13Mon Dieu.
12:14Il passe à Paris et puis je vais dans un resto
12:16d'un ch'ti, justement, que je veux connaître.
12:18Et puis justement, il fait une soirée Beaujolais.
12:19C'est Cochonaille, Fruits de Mer et Beaujolais.
12:21Ah oui, c'est...
12:22Sans blague !
12:23Je n'ai jamais eu le droit à tester.
12:25Mais en fait, c'est un super coup marketing,
12:27le Beaujolais nouveau.
12:28Ça marche dans le monde entier.
12:30Ça, c'est une certaine visibilité pour nos vignerons.
12:33Moi, je trouve ça très bien.
12:33C'est pas le meilleur.
12:34Mais c'est pas le meilleur, mais c'est pas grave.
12:35Il y en a du bon.
12:37Il y en a du bon.
12:39Vous aussi, vous allez faire une soirée
12:40avec modération, monsieur Jérôme.
12:42Soirée Beaujolais nouveau ?
12:43Je vais en rentrant de chez vous.
12:46Je vais m'arrêter chez mon petit cavi.
12:48Je vais prendre une bonne bouteille de Beaujolais.
12:50De Beaujolais village, c'est mieux.
12:51Ouais.
12:52Et puis, je vais aller au commerce d'à côté.
12:54Je vais prendre un plateau de charcuterie.
12:56Et en amoureux, je pense qu'on va se faire
12:58une petite soirée, prendre un verre.
12:59Ah oui, d'accord.
13:00Et ensuite, les draps.
13:03Et ensuite, les draps.
13:04Avec modération.
13:05Et après, sans modération.
13:07Mon Dieu.
13:08Karine Galli, c'est pas votre truc, vous ?
13:09Pas du tout.
13:10Mais c'est un repère dans l'année, quand même.
13:12Oui, mais très bien.
13:13On a d'autres repères.
13:14Moi, c'est le Black Friday, oui.
13:16Et tu vas pas manger de Galette des Rois en janvier ?
13:18Bah, pas sûr.
13:20C'est un bon, tu préfères ça.
13:21Le Beaujolais ou le Black Friday ?
13:23Aucun des deux.
13:24Il y a deux Frances qui s'affrontent sur le sujet.
13:27Pas du tout.
13:28De toute façon, je suis à l'antenne ce soir, 20h-22h sur RMC.
13:30Donc, je ne bois pas en travaillant.
13:32Et en plus, moi, la piquette, c'est pas mon truc.
13:34D'accord.
13:35Bon, bah écoutez, super.
13:35Ah, Nadou, nous disons que ce sera soirée Beaujolais.
13:38Ah ouais, mais c'est jamais fait ça, moi.
13:40Soirée Beaujolais sur le WhatsApp.
13:41Et Christophe nous dit, tiens, j'attends l'arrivée de Moscato sur le plateau
13:43pour savoir si le Beaujolais a un bon goût cette année.
13:46Ça, ce sera demain.
13:47On saura demain pour Vincent.
13:48Il est là.
13:49Ça, on verra.
Recommandations
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