Quand Alain Souchon dit que "les Français ne sont pas assez cons pour faire élire le Rassemblement National"

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##LES_PERLES_DU_JOUR-2025-11-17##

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00:00Sud Radio, la France dans tous ses états, les perles du jour.

00:06La polémique de ce week-end, c'est cette messe célébrée en la mémoire du maréchal Pétain à Verdun-Périco.

00:11Oui, une messe qui a été commémorée à la mémoire du maréchal Philippe Pétain,

00:15à l'initiative de l'association de défense de la mémoire du maréchal Pétain,

00:20dont le président, M. Serge Boncompain, a déclaré que Philippe Pétain avait été le premier résistant de France.

00:28A l'occasion de cette cérémonie, évidemment, le préfet de la Meuse a porté plainte pour contestation de crimes contre l'humanité

00:37et la polémique a été rouverte, une polémique très ancienne, très ancienne qui fait partie vraiment de notre histoire

00:44depuis la mort du maréchal Pétain en 1951 et sa condamnation à mort en 1945,

00:49changée en prison à vie par décision du général de Gaulle.

00:53Je voudrais juste repositionner, sans rentrer vraiment dans la polémique elle-même, repositionner les faits.

01:00Alors, je rappelle que le maréchal Pétain a été déchu de sa qualité de maréchal,

01:04et qu'aujourd'hui on devrait ne plus dire que général Pétain.

01:07Dans l'histoire, il est maréchal Pétain, il a été fait maréchal en novembre 1918.

01:11Je veux juste rappeler que le général Philippe Pétain a été nommé chef d'état-major des armées françaises en mai 1917,

01:18sur décision de Georges Clémenceau, président du Conseil des ministres, avec l'accord de Raymond Pancaré, président de la République.

01:24Il a été nommé chef des armées françaises en mai 1917, suite à l'offensive Nivelle.

01:29Le général Nivelle était le prédécesseur de Philippe Pétain à la tête des armées françaises.

01:34On dit bien que c'était les chefs des armées françaises.

01:36Offensive Nivelle, chemin des dames, 250 000 morts.

01:40Catastrophe pour gagner, je crois, 3 km de terrain.

01:44100 ans, évidemment, les mois dans l'armée française.

01:46Là, les troupes n'en pouvaient plus d'être envoyées à la boucherie.

01:49Clémenceau nomme Pétain, un homme pragmatique, très apprécié de la troupe,

01:53qui décide tout simplement qu'il est inutile de faire des offensives meurtrières,

01:58d'envoyer des jeunes gens, des jeunes hommes au massacre,

02:02puisqu'il considère que l'Allemagne est en position de force,

02:04et que tant que les armées américaines et soldes américains ne seront pas arrivés sur le front,

02:08la France n'a aucune chance de l'emporter.

02:09Donc inutile d'envoyer à la boucherie des jeunes qui peuvent très bien rester dans les tranchées

02:14au lieu de se faire massacrer par la mitraille.

02:17C'est qu'il vaudra cette image d'homme qui est soucieux des conditions de vie du poilu dans les tranchées.

02:24Rappelons que cette guerre de 1914, au-delà de la barbarie qu'il y a eu dans la guerre de 1939-1945,

02:29la guerre de 1914, les tranchées, c'est quelque chose d'absolument monstrueux.

02:33C'est une tragédie, c'est une ignominie.

02:341,258,000 morts des jeunes hommes entre 18 et 40 ans, c'est une boucherie,

02:42c'est une plaie dans l'histoire de France.

02:44Et évidemment qu'en 1940, quand on sent que la guerre va recommencer,

02:48l'engouement pour recommencer cette boucherie n'est pas au cœur,

02:52n'est pas au centre de l'esprit des Français, qu'on essaie d'éviter.

02:56Il y a une forme de pacifisme parce qu'on ne veut pas reproduire ça.

02:58Donc le général Philippe Pétain, chef des armées françaises,

03:01vit convainqueur avec Clémenceau et les autres généraux.

03:05Le maréchal Fauche, lui, a été nommé chef de l'état-major interallié,

03:09c'est-à-dire qu'il commande des troupes françaises, anglaises, italiennes, belles, voilà.

03:14Mais le chef des armées françaises qui défilera le 14 juillet 1919 sur l'arc de triomphe

03:18en tant que représentant de l'armée française, c'est le général Pétain.

03:21Il sera ministre de la guerre, il sera président du conseil supérieur de la guerre.

03:25Il a été fait maréchal, comme je vous l'ai dit, en novembre 1918.

03:28Celui-là, peut-être, mériterait que, si on s'en tient à ces circonstances-là,

03:33a droit à un hommage, voilà, des victimes de 14,

03:35de tous ceux à qui il a sauvé des vies,

03:37en n'envoyant pas des régiments et des divisions entières à la boucherie.

03:40Et puis il y a le Philippe Pétain, défaite de 40.

03:43Il est appelé parce que, justement, il est le héros de Verdun,

03:46que la France est dans un état, j'allais dire, de désastre total.

03:49C'est l'effondrement absolu, la République s'est effondrée,

03:51la classe politique était au plus bas,

03:54et on va chercher le sauveur de la patrie

03:56pour prendre un nouveau gouvernement.

03:59Et le maréchal Pétain instaure ce qu'on appelle le régime de Vichy,

04:02évidemment, avec la collaboration, sans jeu de mots,

04:05d'autres hommes politiques qui sont avec lui.

04:06Et le 10 juillet 1940, il est investi comme chef de l'État français,

04:12rappelons-le, par la Chambre des députés du Front Populaire,

04:16celle qui avait été élue en 1936, avec une majorité de gauche,

04:19sauf les députés communistes qui avaient été interdits

04:21à cause du pacte de Gébarno-Soviétique.

04:23Le président Deladier avait fait un décret d'interdiction,

04:26mais c'était la Chambre du Front Populaire.

04:28Il est investi chef d'État avec des pouvoirs constitutionnels le 10 juillet 1940.

04:33Il supprime dès le 11 juillet, c'est déjà une entorse à son mandat,

04:37il supprime le poste de président de la République et prend tous les pouvoirs.

04:40Et puis acte fatal, le 3 octobre 1940,

04:43il signe le décret portant sur les Juifs,

04:47avec certaines mentions à noter de sa main.

04:49Alors ce Pétain-là, effectivement, on n'a pas à le célébrer.

04:53Il est jugé par la haute cour en 1945.

04:56Il dira, c'est moi que l'histoire jugera, et bien il est jugé par l'histoire.

04:59Il est condamné à mort, même si les jurys étaient composés quand même surtout de résistants.

05:05Il est condamné à mort et eu égard aux relations amicales qu'ils avaient eues,

05:08de discipline et de dévotion que le général de Gaulle avait,

05:11le colonel de Gaulle avait eues avec le maréchal Pétain qui était son maître.

05:16Son maître, et bien le général de Gaulle commut la peine de mort en prison à vie

05:20et le maréchal Pétain finira ses jours à l'île-dieu, il meurt en juillet 1951.

05:24Ensuite, on a voulu réhabiliter la mémoire du maréchal Pétain,

05:28une association de défense, son avocat maîtrise ornie.

05:31On a demandé souvent à ce que les centres du maréchal Pétain soient transférés de l'île-dieu

05:36jusqu'à l'essor de Douaumont à Verdun.

05:39Des présidents de la République ont fleuri la tombe du maréchal Pétain.

05:42Voilà, tout ça est tout à fait légitime.

05:44Mais une messe à la gloire du maréchal Pétain, celui de 40,

05:47en disant qu'il a été un héros de la résistance,

05:50ça c'est quelque chose qui n'était pas admissible.

05:52Donc le préfet de la Meuse a été dans son droit de porter plainte tout simplement.

05:58Mais je tenais à rappeler les faits, il y a eu un général Pétain de la guerre de 14 à Verdun

06:03et puis il y a eu le maréchal Pétain du régime des Vichy.

06:05Ce n'est pas le même homme.

06:06Et donc si l'un mérite effectivement un hommage à sa mémoire,

06:10le deuxième ne le mérite pas.

06:11François Hollande, le retour.

06:16L'ancien président de la République refuse de se soumettre à une primaire de la gauche.

06:20Alors là, ça va nous fonger de la mémoire de 14 et du maréchal Pétain.

06:25On a la gauche qui était mal en point, très divisée,

06:29avec une prédominance de la France insoumise au sursaut mélenchonien.

06:34Et puis la dissolution de juillet 2024 les avait rassemblés.

06:38Ils avaient fait le Front populaire.

06:39Grâce au Front populaire qui était placé au Front républicain,

06:42c'est-à-dire qu'on avait demandé à des gens de droite de voter pour des élus de gauche

06:44et à des électeurs de gauche de voter pour des candidats de droite,

06:48eh bien le Front populaire est arrivé.

06:53Alors il a eu le plus grand nombre d'élus,

06:55même s'il n'a pas eu le plus grand nombre de voix par parti.

06:58Et c'est effectivement le parti qui, à l'Assemblée nationale,

07:01totalise près de 205 voix si on met ensemble

07:03les socialistes, les France insoumise, les communistes et les écologistes.

07:08Donc tout allait dans le meilleur des mondes.

07:10Ils ont proposé Julie Castex comme candidate de Premier ministre en juillet 2024.

07:14Ça ne s'est pas passé comme ça.

07:16Nous avons eu Michel Barnier, nous avons eu François Bayrou et aujourd'hui nous avons Sébastien Lecornu.

07:21Alors, prochaine étape politique pour que la gauche se rassemble,

07:24eh bien c'est l'élection présidentielle de 2027.

07:28Et alors là, tout part en, excusez-moi, tout part en...

07:32À volo, à volo.

07:33À volo, voilà, j'allais trouver un terme anatomique qui ne correspond pas.

07:37Et alors on a d'un côté une tendance de la gauche portée par Olivier Faure,

07:44donc Parti Socialiste, Marine Tondelier, François Ruffin, Clémentine Autain, Raquel Garrido et Alexis Corbière,

07:49et même, et même, Mme Castex, pour une primaire qui désignerait un candidat unique de la gauche à l'élection présidentielle de 2011.

07:58Mais évidemment, Jean-Luc Mélenchon qui ne veut pas de primaire parce qu'il n'est pas sûr d'être désigné n'en veut pas.

08:02Raphaël Glucksmann qui ne veut pas de primaire parce qu'il n'est pas sûr d'être désigné et il a envie d'être candidat non plus n'est pas dans cette volonté de faire une primaire.

08:09Et Fabien Roussel non plus n'en veut pas.

08:12Et même Bernard Cazœuf qui est acquis, s'est rapproché de Raphaël Glucksmann ne veut pas de primaire.

08:16Alors on a l'intervention d'Éric Coquerel, qui est le président de la commission des finances, très proche de Jean-Luc Mélenchon.

08:23Et là, ce matin, sur France Inter, François Hollande qui explique que la primaire de la gauche est une machine à perdre.

08:30Donc il n'y aura pas de primaire de la gauche, il n'y aura pas de candidat désigné par l'ensemble de la gauche.

08:36Pourquoi ? Mais tout simplement parce qu'ils ont tous envie d'être candidat.

08:39Ils ont envie d'être élus à l'élection présidentielle en 2027.

08:41Et qu'au lieu de jouer la carte de l'intérêt général de la gauche, donner une chance à la gauche qui est très divisée,

08:47qui est mal en point aujourd'hui justement avec les écarts, avec les changements d'attitude et de stratégie par rapport à la loi sur la retraite,

08:54avec la France insoumise qui est en guerre avec le Parti Socialiste et se traite de tous les noms,

08:58et bien au lieu d'essayer de refaire une réconciliation de cette gauche,

09:02et bien chacun joue perso pour essayer d'être candidat,

09:07comme si François Hollande pouvait encore imaginer ou Olivier Faure être un jour président de la République.

09:12Enfin, on verra bien ce qu'il en est, mais enfin bon, on sent que les probabilités sont...

09:16Alors nous ne sommes plus dans la machine à perdre, nous ne sommes plus dans la machine à perdre à gauche,

09:20nous sommes tout simplement dans la logique du suicide collectif.

09:24L'humoriste Pierre-Emmanuel Barré n'a pas fait rire tout le monde sur Radio Nova la semaine dernière,

09:29et on comprend pourquoi, écoutez.

09:31De mon côté, il y a de fortes suspicions que Laurent Nunez soit une grosse cuivre à pisse,

09:36mais, mais, mais, mais, présomption d'innocence, on attend l'enquête de l'IGPN, suspense !

09:47Non, bien sûr, ils ne vont pas se réveiller un matin et admettre que ces institutions sont structurellement brutales,

09:52racistes et déresponsabilisantes. Mon enquête ira plus vite.

09:55Des b****, des mutilations, des meurtres et des mecs qui se filment en train de faire tout ça en se marrant.

09:59En fait, la police et la gendarmerie, c'est Daesh avec la sécurité de l'emploi.

10:04Merci de m'avoir écouté.

10:07Donc, la police française, c'est Daesh avec la sécurité de l'emploi.

10:11Alors, diantre, et c'est un humoriste qui dit ça, de l'humour.

10:17Alors, pas sûr, même sur le ton de l'humour, que le fils et la famille de Jean-Baptiste Salvin,

10:23qui avait 42 ans, et de Jessica Schneider, qui avait 36 ans, quand ils ont été poignardés à mort pour l'un,

10:29égorgés pour l'autre devant son petit garçon, parce que policier, parce que policière.

10:33Pas sûr que le fils et la famille apprécieront cette touche d'humour.

10:40Je rappelle les faits, c'était le 13 juin 2016 à Magnanville.

10:42Ce jour-là, nous comprenions que Daesh, qui a revendiqué le double crime barbare,

10:48commis par un ressortissant français d'origine marocaine,

10:51la Rossi Abdallah, qui a été condamnée depuis, évidemment,

10:53s'en prenait, que Daesh s'en prenait à des policiers, désormais, dans leur vie familiale, dans leur vie privée,

10:57on allait les chercher chez eux, et on les égorgeait chez eux, devant les enfants.

11:01D'ailleurs, l'assassin proféra des menaces de mort, en les citant,

11:06contre Gilles Kepel, Léa Salamé, Bernard de la Villiardet, Rutel Kreef, Audrey Pulvar, Mohamed Sifaoui.

11:13Bon, mais écoutez, no comment sur cette allusion, Daesh, la police française et Daesh,

11:18avec la sécurité de l'emploi, tout ce que je souhaite à Pierre-Emmanuel Barré,

11:21c'est de ne jamais figurer sur une liste où des islamistes voudraient demander sa mort. Voilà.

11:26Perico, s'il vous plaît.

11:33Oui, je suis un peu, voilà, un peu perdu.

11:37Non, non, non, perturbé par ce que le sujet qu'on vient d'évoquer.

11:43On change totalement de registre, là.

11:44Oui, et pourtant, légèreté, on reste dans l'aberration quand même, ma chère Maud.

11:49Vous êtes allé assister à un concert vendredi, et quelque chose vous a marqué.

11:52Oui, figurez-vous, Perico, que le chanteur chantait. Il chantait.

11:56Et les mots qui sortaient de sa bouche n'étaient pas « les électeurs du Rassemblement national sont tous des cons »

12:00ou « front républicain contre le fascisme », non.

12:03Il y avait des mots simples, des mots qui sonnaient juste de très belles mélodies,

12:05une mise en scène extraordinaire, un public généreux, intergénérationnel,

12:09qui était juste heureux d'être là.

12:11Et je vous rappelle quand même pour le symbole qu'on était le 14 novembre,

12:13au lendemain de l'hommage aux victimes du Bataclan.

12:15En fait, on m'a invité à découvrir un chanteur dont je ne suis pas vraiment fan,

12:19mais qui, objectivement, a un talent indiscutable sur scène,

12:22et une autodérision qui fait plaisir, c'est Julien Doré.

12:25Et ça vous surprend qu'il n'ait pas tenu des propos politiques sur scène ?

12:27Mais oui, parce que quand on entend Alain Souchon dire que les Français ne sont pas assez cons

12:31pour faire élire le Rassemblement national, et que s'il passait, il s'enfuirait en Suisse...

12:35La Suisse est pétée de tout.

12:37Oui, parce que si Alain Souchon se tire en Suisse,

12:39c'est pas pour ses chocolats et son fromage.

12:41Et je vous passe la litanie des artistes qui accablent cet électorat avant chaque élection.

12:45Admettez qu'avec tout ça, on peut s'attendre à tout.

12:47Et puis je trouve ça tellement dommage d'écrire de si belles chansons et de dire de telles bêtises.

12:51Souchon, je l'ai vu il y a quelques mois, le temps d'un concert,

12:54on l'avait rencontré en loge ensuite.

12:56C'est un garçon adorable, qui rit, qui vit, qui a commis les oeuvres qu'on connaît,

12:59qui a cette sensibilité qu'on adore,

13:01qui a vraiment l'air d'avoir 10 ans, sauf qu'à 10 ans, on ne fait pas de politique,

13:04et on ne signe pas non plus des pétitions pour empêcher l'ouverture d'un Carrefour City dans son quartier,

13:09parce que ça risquerait d'attirer une population différente de celle qu'on côtoie habituellement.

13:13C'est pas très gaucho-compatible.

13:15Et puis quitte à faire de la politique, parce que moi j'adore Sardou par exemple,

13:18il ne faut pas se prendre au sérieux, ou alors tu t'attaques aux idées,

13:21et pas aux personnes, pardon, un peu de subtilité, un peu de respect pour le public aussi.

13:26Bref, quoi qu'il en soit, je vous laisse écouter la meilleure reprise de Julien Doré,

13:29la chanson que tout le monde attend à la fin de chaque concert,

13:32histoire d'avoir nous vraiment 10 ans.

13:34C'est une comptine pour enfants, et je peux vous dire qu'au concert de Julien Doré,

13:37on bat les records de Cheny sur cette reprise,

13:39mesdames, mesdemoiselles, messieurs, les crocodiles.

13:45Vous connaissiez Péricault, les crocodiles ?

13:49Bien sûr.

13:50Je veux vous voir faire la chenille, là.

13:51Ah ben, si vous voulez, il faut qu'on appelle Patrick Roger et Jean-Marie Bordry.

13:56En tout cas, c'est un très beau moment, et ça fait vraiment du bien d'assister à ce genre de concert.

13:59Du point mot de la part d'Alain Souchon.

14:01Alors, c'est la preuve qu'on peut avoir beaucoup de talent,

14:03et du génie culturel et artistique,

14:04et ne pas avoir forcément des propos pertinents.

14:07Non, mais ce matin, sur France Inter,

14:10Patrick Cohen a trouvé qu'il y avait des cons

14:12qui avaient trouvé que Souchon était con.

14:15C'est pas comme ça qu'il l'a dit, mais...

14:18Voilà, mais enfin bon, de la part d'Alain Souchon, c'est un même...

14:20En plus, s'il s'agit d'une partie massive du peuple français,

14:23c'est pas une petite minorité.

14:25Voilà.

14:25Oui, c'est dommage.

14:26Les vignerons sont aussi en colère.

14:28On en parle dans un instant avec Jean-Pascal Pellaguiti,

14:30vigneron responsable de la FDSEA.

14:33À Béziers, à tout de suite sur Sud Radio.

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