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##LES_PERLES_DU_JOUR-2025-11-10##
Catégorie
🗞
NewsTranscription
00:00Sud Radio, la France dans tous ses états, les perles du jour.
00:05Nous en parlions vendredi, des activistes ont semé la zizanie à la Philharmonie de Paris,
00:09jeudi soir, lors du concert de l'Orchestre Philharmonique d'Israël.
00:12Fumigène, slogan pro-Palestine, de quoi indigner la classe politique française,
00:16sauf, bien sûr, les irréductibles insoumis.
00:19Oui, on revient sur cet épisode absolument épouvantable,
00:25on voit un concert interrompu, on voit la violence des images,
00:28on a vu des gens qui se sont défendus.
00:31On se dit, mais, alors, c'est vrai que les protections dans les lieux publics,
00:36quand il y a un salon, quand il y a un concert, dans les cinémas,
00:40on ne peut pas toujours tout fouiller, mais on se dit que si les agresseurs de l'autre jour
00:44étaient venus, non pas seulement équipés de fumigènes, mais d'autres,
00:47je n'ai pas envie de dramatiser la chose.
00:48Enfin, on voit où je veux en venir, étaient venus équipés avec d'autres instruments qu'un fumigène,
00:54la situation aurait pu être autrement tragique.
00:57Je ne comprends pas comment on ne peut pas s'indigner systématiquement.
01:01C'est surtout cette confusion, je disais toujours,
01:04je dis toujours, ce genre d'agression est fasciste, c'est des fachos,
01:08alors c'est peut-être des gauchis, c'est peut-être des ultras,
01:11c'est fasciste, c'est-à-dire on tient à mélanger la société civile avec le politique.
01:18Un concert, une représentation artistique, c'est une activité civile.
01:23Ce n'est pas parce que les gens qui sont dedans appartiennent à une nationalité
01:26qu'ils sont forcément complices de ce qui se passe dans leur pays.
01:29Là, ça veut dire quoi quand on va agresser la phénoménique d'Israël ?
01:32Ça veut dire que les gens qui étaient dans le public et que les musiciens israéliens
01:35étaient tous solidaires et complices de Netanyahou.
01:37Ce n'est pas vrai.
01:39Il y a forcément des gens qui ne sont pas d'accord avec Netanyahou
01:41et qui ont dénoncé ce qui se passe à Gaza dans ce concert.
01:44Évidemment, c'est factuel et pourtant on met tout le monde dans le même sac
01:47et à ce titre-là, on se permet d'agresser alors que c'est dans ces situations,
01:52j'allais dire, d'un exercice libre, d'une activité culturelle.
01:55C'est un instant de paix, c'est un instant...
01:56Et on va agresser physiquement avec des propos insupportables
02:00des gens qui se réunissent.
02:02Et quand Rima Hassan fait un tweet en parlant de la gauche coloniale
02:05qui ne s'était pas indignée quand la Philharmonie d'Israël
02:07avait refusé de recevoir ou de jouer un morceau de musique russe,
02:13mais on est d'accord, c'était absurde.
02:15Après l'agression de l'Ukraine en 2022 par la Russie,
02:18on a vu des gens de dire, ah non c'est fini, il ne faut plus lire Tchékov,
02:22il ne faut plus lire Dostoyevsky, plus de Tchaïkovsky, plus de Mussorgsky.
02:26Enfin, c'est aberrant.
02:28On arrive à un point, je dis, de guerre civile,
02:30parce que ça c'est le début de la guerre civile,
02:32et quand on s'en prend comme faisaient les SA qui s'en prenaient
02:36à des juifs dans la rue,
02:38on s'en prend à des gens qui ne sont pas concernés,
02:40on accuse des gens qui sont innocents,
02:42qui ne sont pas impliqués dans le conflit politique ou dans le conflit militaire,
02:46et on les fait payer pour les autres.
02:47Bon, ben ça ce sont des méthodes de fachos, c'est inqualifiable.
02:50En tout cas, en démocratie, dans un état de droit, c'est impossible.
02:53Et que des partis politiques,
02:54que des partis politiques qui ont des élus à l'Assemblée nationale,
02:57qui ont des représentants de la nation,
02:59qui sont élus par le peuple français,
03:00puissent tenir de tels propos,
03:02c'est absolument inconcevable,
03:04c'est impossible indigne pour notre démocratie.
03:06Je crois, Perico, qu'un tweet avait attiré votre attention.
03:10C'est le tweet de Rima Hassan,
03:12qui parle de gauche coloniale,
03:14qui ne s'était pas indignée.
03:15Voilà, ben non, ce n'est pas un argument.
03:17Et Jean-Luc Mélenchon,
03:18on l'a vu l'autre jour au salon du Médine France,
03:20on lui pose la question,
03:21et il dit oui, mais pour les Russes,
03:23ils avaient aussi empêché,
03:24mais on est quoi ?
03:25C'est la loi du talion,
03:26on est dans l'accord de création,
03:27comme tu m'as fait,
03:28moi je vais te faire la même chose.
03:29Un homme qui prétend être président de la République,
03:31qui tient ce genre de propos en public,
03:33mais enfin bon, c'est consternant.
03:36Emmanuel Macron s'est dit plutôt positif
03:37à l'idée de signer l'accord entre l'Union Européenne et le Mercosur,
03:40on en parlait tout à l'heure,
03:41mais ce n'est pas l'avis de la ministre de l'Agriculture,
03:43Annie Gennevar,
03:43qui elle annonçait dans les colonnes du JDD hier,
03:46que la France ne signera pas un accord
03:48qui à terme condamnerait les agriculteurs, Perico.
03:50Oui, et le président de la République,
03:52alors quel est le rôle du président de la République
03:55dans les négociations,
03:57un traité international sur des enjeux agricoles ?
04:00Aujourd'hui on a un gouvernement
04:02qui est dirigé par Sébastien Lecornu,
04:04qui applique l'article 20 de la Constitution,
04:06qui dit que c'est le gouvernement
04:08qui détermine et conduit la politique de la nation
04:10et les enjeux agricoles sont des enjeux nationaux.
04:12Et puis un président de la République
04:13qui au titre de sa représentation à l'étranger
04:16peut prendre des positions.
04:17L'autre jour c'était en Lettonie,
04:18il disait que la réforme des retraites
04:20c'était en Slovénie, pardon.
04:23La réforme des retraites c'était juste une pause.
04:25Sébastien Lecornu a dû le recadrer.
04:27Et là, samedi matin sur France Inter,
04:29on a un macroniste avéré,
04:30qui est Pascal Canfin,
04:32écologiste, député européen,
04:34qui s'affole
04:34parce qu'il a découvert que dans le traité
04:36du Mercosur tel qu'il va être signé à Abelhem,
04:40il va y avoir des causes de compensation.
04:41C'est-à-dire, effectivement,
04:42Madame Genova a raison.
04:43Elle a dit, on ne signera pas un traité
04:45qui menacerait l'agriculture française,
04:48qui porterait un préjudice trop fort
04:49à nos agriculteurs.
04:50Mais, il est prévu qu'il y aura
04:52des clauses de compensation
04:53pour les pays exportateurs.
04:55S'ils ont un petit contre-temps
04:58sur une importation de produits brésiliens
05:01ou argentins ou autres,
05:03eh bien, il faudra leur compenser financièrement
05:04ce qu'ils auraient perdu.
05:05Mais enfin, c'est n'importe quoi.
05:07C'est n'importe quoi.
05:08Et comment Pascal Canfin,
05:09qui a tout accepté depuis le début ?
05:11Alors, il a toujours été, évidemment,
05:13il a été la bonne pensée écologique
05:16de la majorité macronienne.
05:18Mais enfin, il a accepté la totalité
05:20des processus mis en place.
05:22Et là, aujourd'hui,
05:23on est au cœur du sujet
05:25avec le Mercosur.
05:26On va donc ouvrir nos frontières
05:27à des pays qui vont exporter vers nous
05:30des produits qui sont interdits,
05:31dont l'élaboration dans la fabrication
05:33est interdite en Europe,
05:34interdite en France.
05:35On va quand même les laisser
05:36avec des garde-fous.
05:37Lesquels ?
05:37Comment ?
05:38Comment c'est vérifiable ?
05:38On sait très bien que tout ça,
05:39c'est du pipeau, c'est du flanc,
05:40c'est pour rassurer.
05:41On va céder au marché.
05:42Pourquoi ?
05:43Parce que les Allemands,
05:44les Allemands ont besoin
05:45d'exporter vers ces pays
05:47des produits de l'industrie allemande
05:49et qu'on se couche devant ces pays
05:51parce que l'Allemagne, elle a besoin
05:52de privilégier son commerce extérieur.
05:55Dès lors qu'un pays importe
05:56un produit allemand,
05:58eh bien, il faut le laisser exporter vers nous
06:00des produits industriels
06:01ou des produits agricoles.
06:02Voilà, on en est aujourd'hui.
06:03Je trouve ça absolument lamentable
06:05et que M. Pascal Canfin,
06:06on se réjouit qu'il s'indigne,
06:08on se réjouit qu'il s'indigne
06:09des impacts du Mercosur.
06:11Mais peut-être qu'on peut considérer
06:12qu'il le fait un petit peu tard
06:13et que ça aurait été très souhaitable
06:14qu'il tire la sonnette d'alarme bien avant.
06:21Alors, mot d'une nouvelle polémique
06:34liée à un film,
06:37un dessin animé,
06:38il est jugé réac.
06:39Oui, souvenez-vous.
06:40C'est quoi aujourd'hui ?
06:41Souvenez-vous des innombrables polémiques
06:43chez Disney, Blanche-Neige,
06:44Les Aristochats, Dumbo.
06:46Tous ces dessins animés
06:47sont passés au crible de la bien-pensance
06:49à tel point que Disney a dû s'excuser
06:51et alerter le public
06:52avant chaque visionnage
06:53en stipulant que le programme
06:54était présenté tel qu'il a été créé à l'origine
06:56et qu'il pouvait donc contenir
06:58des stéréotypes
06:58ou des représentations négatives.
07:00Alors, on pourrait également citer
07:01Lédip Tineg,
07:02le roman policier d'Agatha Christie,
07:04renommé dans sa version française
07:05Ils étaient dix.
07:06Et bien, pour aller encore plus loin
07:07dans l'absurde aujourd'hui,
07:09on apprend que le fabuleux destin
07:10d'Amélie Poulain
07:11est une oeuvre raciste.
07:17Alors, c'est pas moi qui le dit,
07:19Péricault,
07:19ce ne sont même pas
07:20les téléspectateurs,
07:21les cinéphiles.
07:22En fait, cette réflexion
07:23vient du compositeur
07:24de ce que vous entendez,
07:25de la musique mythique
07:26du fabuleux destin
07:27d'Amélie Poulain.
07:28Donc, c'est Yann Thierssen.
07:29Absolument.
07:30C'est Yann Thierssen lui-même
07:31qui s'inquiète
07:32de, j'allais dire,
07:34du fait que ce film...
07:35Soiréac.
07:36Pour reprendre ses termes.
07:38Alors, rappelons quand même
07:38qu'en 2001,
07:39l'artiste connaît
07:40un succès dingue.
07:41L'album de la bande originale
07:42se vend à plus d'un million
07:43530 000 exemplaires
07:45dans 10 pays.
07:46Mais le temps passe.
07:47Et dans un entretien livré
07:48au journal Libération
07:49le 28 octobre dernier,
07:50Yann Thierssen
07:51regrette non pas son succès,
07:52il ne faut pas déconner,
07:53mais d'avoir composé
07:54la musique d'un film,
07:56réac.
07:56Voilà ce qu'il dit.
07:57Ce que j'aime dans cette ville,
07:58Paris,
07:59c'est sa mixité,
07:59son cosmopolitisme.
08:01Fantasmé,
08:02un Paris blanc,
08:02même au début des années 2000
08:03où le seul employé,
08:04Jamel Debbouze,
08:05c'est raciste,
08:06ça m'a toujours gênée.
08:07Alors on serait tenté
08:08de lui dire
08:08qu'au nom des mœurs
08:09c'est du cosmopolitisme,
08:10il pourrait reverser
08:10tout l'argent gagné
08:11grâce à ce film
08:13à SOS Racisme,
08:13par exemple,
08:14histoire d'être en phase
08:15avec lui-même.
08:16Enfin tout ça
08:16ne va pas très haut
08:17et d'ailleurs,
08:18imagine-t-on,
08:19Perico,
08:19Vladimir Kosma
08:20s'excuser d'avoir composé
08:21la musique du film
08:22Rabi Jacob.
08:23Je ne crois pas.
08:24Oui, non seulement ça.
08:25Ça arrivera peut-être un jour
08:26mais je ne crois pas.
08:27Bientôt,
08:27on va s'apprendre
08:27à la soupe au chaud,
08:28vous allez voir,
08:28ça sera un film pétiniste
08:30et morassien.
08:31Surtout que dans
08:32Le Fabuleux Destin
08:34d'Amélie Poulin,
08:35le rôle de Jamel Debbouze
08:36est essentiel.
08:37Oui,
08:38il est chez un épicier blanc
08:39qui est présenté
08:39comme quelqu'un de méchant,
08:41comme quelqu'un de raciste
08:42qui le traite mal.
08:43Jamel Debbouze,
08:44au contraire,
08:44c'est le petit employé.
08:46Il est là,
08:46il a son cœur,
08:47il a des relations
08:47avec les clients,
08:49avec les voisins.
08:50C'est un ange
08:50et ça prouve bien
08:51que dans cette société,
08:53Le Fabuleux Destin
08:54d'Amélie Poulin,
08:55c'est une caricature
08:55très réaliste
08:56de la société française.
08:57Personne n'a jamais fait
08:59ce procès à ce film.
09:00Surtout les autres acteurs.
09:02Mais là,
09:02j'ai honte d'avoir fait
09:03cette musique.
09:05Après avoir gagné des millions,
09:06c'est un truc facile à dire.
09:06Oui,
09:07bon,
09:07passons là-dessus.
09:08Mais de la part de Yann Tirsen,
09:09je m'attendais à une autre réaction.
09:11Enfin bon,
09:11ce sont les mœurs d'aujourd'hui,
09:13cette évolution.
09:14Vous voyez,
09:14il y a une chape de plomb
09:15qui est en train de se poser
09:16sur ce pays.
09:17Alors bon,
09:17que Bambi,
09:19que Bambi
09:20et Blanche-Neige et les Sept-Nains
09:21soient xénophobes,
09:22racistes,
09:23fascistes,
09:24bon,
09:24pourquoi pas pendant qu'on y est ?
09:26Et Disney a fait un rétro-pédalage.
09:27Maintenant,
09:28il n'y a plus ce message
09:29d'avertissement
09:29depuis que Trump
09:30est revenu au pouvoir.
09:31Comme quoi,
09:32c'est purement politique.
09:33Il est vrai que Walt Disney lui-même
09:34faisait partie
09:35d'un mouvement de droite
09:36très conservateur.
09:37Mais de là,
09:37quand j'étais gamin,
09:39je disais pifle-chien
09:40et les prêtres
09:42chez qui j'étais éduqué
09:43disaient oui,
09:43c'est un document marxiste
09:45parce que c'était édité
09:46par le même groupe
09:46que Presse de l'Humanité.
09:48Je pensais que ces temps
09:48étaient révolus.
09:49Vous étiez déjà marxiste.
09:50Mais j'étais déjà marxiste
09:51à l'époque,
09:52vous voyez.
09:52Et aujourd'hui,
09:53on se fasciste
09:54quand on regarde
09:55le film Amélie Poulain.
09:57Bon, désespérant.
09:58Néanmoins,
09:58cette musique est très jolie
09:59et on l'écoutera quand même.
10:02Alors,
10:04pouvez-vous me montrer
10:05votre carte de policier ?
10:07Si on est un jour
10:08éteint,
10:08on est un RTPL
10:09par des gendarmes
10:09ou par des policiers
10:10dans la rue
10:10parce qu'on a fait
10:11un excès de vitesse
10:12ou qu'il y a un contrôle,
10:13on va se demander
10:14est-ce que ce sont bien
10:15des vrais policiers
10:15ou des faux policiers
10:16qu'est-ce que je risque
10:16ou s'il vient de frapper
10:17chez vous ?
10:18Vous avez vu les images
10:19mot du bonjet,
10:20le tentatif de rap
10:21avec cet homme
10:22qui est extrait
10:23de la camionnette
10:23par trois individus
10:24qui sont habillés
10:25en policiers.
10:25Un peu plus loin,
10:26ils sont avec une voiture
10:27en gyrophare.
10:28Les gens regardent
10:28altérés.
10:29On comprend vite
10:30que ce n'est pas des policiers
10:31parce qu'ils se comportent
10:32d'une façon totalement
10:33d'une violence inouïe
10:35et on assiste,
10:36j'allais dire,
10:37pas impassibles
10:37mais médusés.
10:38Heureusement,
10:39qu'à un moment donné,
10:39la vraie police arrive,
10:43interpelle,
10:43fait fuir les agresseurs
10:45et libère la pauvre victime.
10:48Mais si on en est là,
10:50ça veut dire
10:50qu'on ne pourra plus
10:51ne serait-ce que
10:52faire confiance
10:52dans l'offense de l'ordre
10:53puisque les autres
10:54peuvent s'habiller.
10:55Alors j'ai vu
10:55qu'il y avait
10:55des logos de police
10:56en vente
10:57sur Internet
10:58et des gyrophars.
11:01Ça veut dire
11:01qu'on peut s'habiller
11:02comme on veut
11:02en policier.
11:03On va quelque part,
11:04on fait un faux contrôle
11:05de police
11:05et on braque quelqu'un
11:07ou un acte de violence.
11:09Enfin bon,
11:09là on s'attend vraiment
11:10de la part des pouvoirs publics
11:11qu'on régule ce marché.
11:13La vente en ligne,
11:14la vente libre,
11:14c'est très bien.
11:15Mais si on peut se déguiser
11:16en flics et en gendarmes
11:17pour aller agresser
11:18les autres concitoyens,
11:19ça va à un moment donné
11:20poser un énorme problème
11:21de sécurité,
11:22de confiance
11:22dans le personnel de l'État,
11:24dans l'autorité État
11:25et dans la représentation
11:26de la République.
11:27On en est là en 2025.
11:28Je pensais au général de Gaulle.
11:30Je ne sais pas
11:30ce que dirait le général de Gaulle
11:31s'il avait vu la scène
11:32du rapte aux bourgets.
11:33Mais il me redit,
11:34c'est curieux.
11:35Moi je suis en France,
11:36ces choses-là n'existent pas.
11:37Mais si mon général,
11:37cette scène que vous n'avez pas vue
11:39mais qui, on l'a vu nous,
11:40elle est bien produite en France.
11:41Et j'ajoute, Péricault,
11:42que vous savez,
11:43il y a une crise
11:43sur l'habillement
11:44des forces de l'ordre,
11:44des gendarmes en particulier
11:45qui reçoivent des pactages
11:47à moitié vides.
11:48Enfin voilà,
11:48il y a un problème
11:49à ce sujet.
11:50Et un marché parallèle
11:51a été créé,
11:52notamment sur Facebook,
11:53avec des groupes
11:54qui permettent
11:55de vendre des habits,
11:57mais des vrais habits
11:58de la gendarmerie nationale.
11:59Donc c'est un peu facile.
12:00Ne venez pas habiller
12:01un CRS demain
12:01parce que je sens
12:02que vous allez me donner
12:03un coup de matraque
12:04si ça continue.
12:04D'accord, très bien.
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