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  • il y a 3 jours
Avec Rachida Dati, mnistre de la Culture, maire du 7ème arrondissement de Paris et candidate à l'élection municipale à Paris

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##L_INVITE_POLITIQUE-2025-11-05##

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News
Transcription
00:01Sud Radio, l'invité politique, Jean-François Akili.
00:08Et votre invité politique ce matin, Jean-François Akili, c'est Rachida Dati, la ministre de la Culture, maire du 7e arrondissement de Paris,
00:16et candidate à l'élection municipale à Paris, évidemment, l'année prochaine.
00:19Bonjour Rachida Dati, et bienvenue.
00:22Alors nous allons évoquer ce sondage, le nôtre, qui vous place en tête pour les municipales à Paris.
00:27Mais tout d'abord, Chine, la plateforme chinoise qui ouvre ses portes cet après-midi au BHV dans la capitale,
00:34malgré le scandale de vente en ligne de ces poupées épouvantables.
00:39Si vous aviez été la maire de Paris, est-ce que vous vous y seriez opposée ?
00:43D'abord, le sujet de Chine, qu'est-ce qu'il met en lumière ? Il met deux choses en lumière.
00:47D'abord, il met en lumière le problème de ces plateformes et de ces sites, qui ne sont ni contrôlés ni régulés,
00:54et on découvre ces ventes de ces poupées sexuelles à l'effigie d'enfants et de mineurs.
01:01Et donc, c'est de la pure pédopornographie.
01:05Et c'est le problème de ces sites qui ne sont pas contrôlés et évidemment pas régulés.
01:10Et tous ces commerces en ligne se développent de plus en plus, au dépend de quoi ?
01:14Au dépend du commerce physique.
01:16Et les seuls commerces qui sont contrôlés et qui connaissent des contraintes, ce sont les commerces physiques.
01:21Et à Paris en particulier, où on leur a compliqué la vie.
01:24On leur a compliqué la vie, ils sont de plus en plus contrôlés, ils sont de plus en plus taxés, verbalisés,
01:29problèmes de livraison, problèmes d'accès, y compris pour les piétons.
01:33Ce n'est pas une question que de voiture, parce que certains y voient un asmobinaire en disant
01:38« oui, on veut remettre de la voiture », ce n'est pas le sujet.
01:41C'est que c'est très compliqué de pouvoir accéder à ces commerces physiques,
01:46et pour eux, de pouvoir se livrer.
01:47Et donc, aujourd'hui, quand je vois les élus parisiens, l'équipe municipale,
01:53aller manifester devant le BHV, il faut aussi traiter les causes.
01:57Quelles sont les causes ?
01:58C'est d'abord d'aider le commerce physique à Paris, et notamment le commerce de proximité.
02:02Quand vous êtes maire de Paris, c'est effectivement de pouvoir aider ces commerces physiques.
02:06Et justement, aider ces commerces physiques, notamment pour que leur activité soit rentable.
02:12Mais à force de leur mettre des contraintes, y compris en termes de mobilité,
02:15évidemment, ces commerces meurent. Et ça profite à qui ?
02:18Ces sites en ligne et ces plateformes.
02:20Et donc, aujourd'hui, il s'agit de résoudre, d'alléger ces contraintes,
02:24d'être aux côtés de ces commerçants et ces commerces de proximité,
02:27pour pouvoir se développer, justement, au dépens de ces plateformes
02:30qui ne sont ni contrôlées ni régulées.
02:32Vous avez vu, il y a un communiqué d'Anne Hidalgo hier,
02:36qui dit « La capitale de la création, Paris, ne sera jamais la vitrine de l'ultra fast fashion ».
02:44Elle condamne la vente de poupées, évidemment.
02:47Elle dit « La direction du BHV a fait le choix désastreux de transformer le lieu emblématique
02:53en temple de la surconsommation ».
02:55Vous partagez son point de vue, celui d'Anne Hidalgo ?
02:59Rappelez-moi un truc, elle est maire de Paris.
03:02Donc, peut-être qu'elle devrait s'interroger pourquoi, aujourd'hui,
03:06il y a de la vente en ligne au dépens des commerces physiques,
03:08à force de mettre des contraintes, de ne pas gérer cet espace public qui est devenu un chaos,
03:12à force de ne pas être aux côtés de ces commerçants de proximité,
03:16et notamment ces commerçants qui sont rues de Rivoli,
03:18qui ferment les uns après les autres.
03:20C'est une réalité.
03:21Est-ce que vous l'avez déjà vu auprès d'un Parisien ou auprès d'un commerçant ?
03:25Moi, je les rencontre tous les jours.
03:26C'est la faute d'Anne Hidalgo ?
03:27Je dis qu'aujourd'hui, quand les commerces physiques ferment,
03:32c'est toujours au profit de ce type de plateformes et de types de sites
03:36qui sont à l'étranger, qui ne sont pas régulés et contrôlés.
03:39Ça, c'est une réalité.
03:40Et donc, moi, je dis que quand on est maire, on agit et on protège ces commerçants.
03:44C'est comme, vous savez, toutes les polémiques, on tape sur Airbnb.
03:48Pourquoi ?
03:49Mais à la fois, on entrave les propriétaires privés
03:51qui n'ont aucune sécurité pour pouvoir louer des appartements.
03:55Donc, c'est toujours facile de taper sur une conséquence sans évidemment régler la cause.
04:00Donc, vous soutenez Frédéric Merlin, le patron du BHV, avec son affiche avec Donald Tang ?
04:04Moi, je n'aime pas les aspects outranciers ou exagérés.
04:08Aujourd'hui, le sujet, c'est comment on maintient dans une ville comme Paris
04:12les commerces de proximité pour une ville où, effectivement, c'est une ville dense et toute petite.
04:16C'est 102 km² Paris.
04:20C'est tout petit.
04:21Et donc, moi, je trouve que la première mobilité à Paris, et pour les Parisiens,
04:26c'est d'être...
04:26Enfin, on est piéton, on marche.
04:28Et donc, c'est de favoriser ces commerces de proximité, ces commerces physiques,
04:32et c'est de les soutenir.
04:33C'est aussi un facteur d'attractivité économique,
04:35et c'est aussi une source d'emploi.
04:37Rachida Dati, on va parler du sondage.
04:38Une question très courte, réponse courte.
04:40Vous êtes maire de Paris, vous libérez, vous remettez l'avenue de Rivoli.
04:45Tous les Français connaissent cette avenue-là.
04:46La première chose qu'il faut faire, si je suis maire de Paris,
04:51c'est de faire adopter un plan de circulation.
04:53Nous sommes la seule ville de France où il n'y a pas de plan de circulation.
04:56Donc, c'est le chaos.
04:57Donc, le piéton n'est pas protégé, le vélo n'est pas protégé,
05:01la voiture n'est pas protégée,
05:02et regardez les couloirs de bus qui n'en sont pas,
05:05puisque les bus, quand on voit les délais de trajet,
05:08ils ont fortement augmenté.
05:09Ils ont déjà fortement augmenté.
05:11Donc, à la fois, on dit, prenez les transports en commun,
05:14mais eux-mêmes sont entravés.
05:15C'est donc que chacun trouve sa place de manière harmonieuse
05:19et dans le respect des uns des autres.
05:20Alors, bonne nouvelle pour nous.
05:22Notre sondage IFOP fiducial pour Sud Radio.
05:24Le Figaro vous donne en tête...
05:26Alors, il y a le premier et le deuxième tour.
05:27Au premier tour, vous êtes en tête des élections municipales à Paris
05:29si le scrutin avait lieu ce dimanche.
05:31Vous êtes à 26-28.
05:33Si Pierre-Yves Bournazel se présente,
05:35il était notre invité chez Maxime Liedot vendredi,
05:38sous l'étiquette Horizon et Renaissance,
05:40et à 35% s'il ne se présente pas
05:43et que vous avez tout le bloc central avec vous.
05:45Vous dites quoi ce matin ?
05:46Non, mais d'abord, la première information
05:48et la première bonne nouvelle,
05:50c'est que c'est la première fois qu'un sondage
05:52donne gagnante la droite et le centre
05:54dans toutes les configurations.
05:56Sauf le moment.
05:56Non, mais dans des hypothèses improbables.
06:00Il faut que la droite soit dispersée et divisée
06:03et que la gauche puisse se rallier à LFI.
06:05Donc, il y a des hypothèses improbables.
06:07C'est le seul scénario.
06:08Toutes les autres configurations, c'est une première,
06:11il faut le dire.
06:12Il faut le dire.
06:13Un, la droite et le centre,
06:15elle est gagnante dans toutes les configurations.
06:17Et évidemment, je suis en tête,
06:18premier et deuxième tour,
06:19dans toutes les configurations.
06:20Donc, c'est une bonne nouvelle.
06:22Ça veut dire quoi ?
06:22Ça veut dire que c'est la première fois
06:24que les Parisiens, de manière déterminée,
06:27souhaitent une alternance à Paris.
06:28Ils ne souhaitent plus ni d'Hidalgo,
06:30ni de ses héritiers.
06:31Et donc, nous, en responsabilité,
06:34il faut que ça nous conforte
06:35dans cette détermination
06:36à continuer à convaincre les Parisiens
06:38et à faire campagne,
06:39comme je le fais,
06:40avec beaucoup d'énergie
06:41et beaucoup de ténacité.
06:42C'est la première fois
06:43que les Parisiens ont compris
06:45qu'un maire s'occupe des Parisiens.
06:49Donc, moi, je réglerai leurs problèmes.
06:51Comme je le fais
06:52dans le septième arrondissement,
06:54un maire, il s'occupe des habitants.
06:56Moi, j'aime les gens.
06:57Et je règle leurs problèmes.
06:58Est-ce que vous ne faites pas
06:58Anne Hidalgo, à vos yeux ?
06:59Écoutez, vous demandez aux Parisiens
07:00s'ils la voient.
07:01Est-ce que vous voyez des images d'elle
07:03avec des Parisiens,
07:05avec des locataires,
07:06des commerçants,
07:08des parents d'élèves,
07:09des familles
07:09qui sont en difficulté à Paris ?
07:11Paris est devenue un enfer
07:12pour les familles
07:13puisque 125 000 habitants
07:15ont quitté Paris
07:16depuis l'arrivée d'Anne Hidalgo.
07:1830 000 enfants
07:19ont quitté les écoles parisiennes.
07:2130 000 enfants
07:22ont quitté les écoles parisiennes.
07:24Il y a, par exemple,
07:25dans le dixième arrondissement,
07:26des écoles entières qui ferment.
07:27Des écoles entières
07:28qui ferment dans les arrondissements.
07:29Et ça, c'est évidemment
07:31les conséquences de la politique
07:32que mènent Anne Hidalgo
07:33et M. Grégoire
07:34depuis qu'ils sont au pouvoir.
07:35Donc, Rachida Dati,
07:36il va falloir que vous soyez très gentille
07:37avec Pierre-Yves Bournazel.
07:40Sinon, c'est la machine à faire.
07:41Vous connaissez l'histoire de Paris.
07:43Mais M. Achilly,
07:46vous me connaissez quand même un peu.
07:47Je disais,
07:48avant qu'on prenne l'antenne,
07:49on se connaît depuis 2002.
07:50Donc, vous connaissez mon parcours.
07:52Vous connaissez ma détermination.
07:54Vous connaissez aussi mon énergie.
07:56Et vous connaissez aussi
07:57combien j'aime les gens.
08:00Moi, je vais partout.
08:02Je ne méprise personne.
08:03Je parle avec tout le monde.
08:05Et je règle, évidemment,
08:06les problèmes quand il y en a.
08:08Pour une fois,
08:09les Parisiens ont compris
08:11qu'un maire doit régler
08:13les problèmes des Parisiens
08:15et répondre à leurs préoccupations.
08:17Ils veulent quoi ?
08:18Une ville plus propre.
08:19Une ville plus sûre.
08:21Une ville avec un cadre de vie
08:22plus agréable.
08:23qu'ils puissent aussi circuler
08:25plus librement.
08:26Quand il vous a été demandé
08:27Gabriel Attal soutient M. Brondette,
08:29vous avez dit
08:30« Je m'en fous ».
08:31Non mais,
08:31vous me parlez de petites choses.
08:33Non mais c'est la mécanique de la...
08:34Non, je parle moi de la mécanique de l'espérance.
08:37Ce sondage,
08:38enfin, il dit
08:39Paris est gagnable pour nous.
08:41Donc, ça me conforte dans ma détermination.
08:42Je vais partout.
08:44Voilà, je vais partout.
08:45Il y a encore 24 heures,
08:47j'étais dans un établissement...
08:47Je fais les quartiers populaires,
08:51je fais les quartiers moins populaires,
08:52je fais les établissements hospitaliers,
08:54je fais effectivement
08:55les gens qui dorment dehors,
08:57des gens qui travaillent,
08:58qui dorment dehors.
08:59Je parlais tout à l'heure
09:00de Airbnb
09:01qui suscite des polémiques.
09:03Mais on entrave
09:04les propriétaires privés
09:05de louer
09:05parce qu'ils n'ont pas de garantie
09:06sur les loyers.
09:07Une retraitée de 72 ans
09:09que je vois tout à l'heure,
09:10qui dort à la rue,
09:11qui a 2000 euros nets par mois,
09:13elle ne trouve pas
09:14de lieu pour se loger.
09:16Pourquoi ?
09:16Parce qu'elle n'a pas de caution.
09:17Parce qu'elle n'est pas soutenue.
09:19Un maire, ça sert à ça.
09:20Que tout le monde vive
09:21de manière harmonieuse.
09:23Moi, je veux de la diversité
09:24dans cette ville.
09:25Je veux de la vie.
09:26Je veux de l'ancrage.
09:27Je ne veux pas que Paris
09:28devienne,
09:29ce qu'elle est devenue,
09:30une ville de passage
09:31ou une ville du chacun pour soi.
09:32C'est pas ça Paris.
09:33Quand vous voyez
09:34l'élection à New York
09:35de M. Zoran Mamdani,
09:37soutenue par la France insoumise
09:39à distance depuis Paris
09:40qui trouve ça formidable,
09:41il y a une poussée
09:42de quelque chose
09:43de contestataire,
09:44de gauche de l'extrême.
09:46Ça peut arriver à Paris, ça.
09:47Non, mais...
09:48Qu'est-ce que vous pensez
09:49de cette élection ?
09:49Je n'en pense rien
09:51parce que c'est le choix
09:52des Américains.
09:53C'est facile de soutenir.
09:54Si vous êtes maire de Paris,
09:55vous aurez à dialoguer
09:56avec le maire de New York.
09:56Mais bien sûr.
09:57Ça n'a rien à voir.
09:58Je vous parle de l'élection.
09:59Aujourd'hui, c'est le choix
10:00des Parisiens.
10:00Je ne vous parle pas
10:01des choix des New Yorkais.
10:02Ils ont fait un choix
10:03en fonction d'une politique locale.
10:06Et donc, les Parisiens
10:07feront un choix
10:08en fonction du programme
10:09de chacun.
10:10Moi, je réglerai
10:11les problèmes des Parisiens.
10:12Ils veulent une ville
10:12plus propre, elle le saura.
10:14Ils veulent une ville plus sûre,
10:15elle le saura.
10:16Ils veulent une vie
10:17où ce sera plus agréable
10:18de vivre pour des familles,
10:20pour des personnes âgées.
10:21Ça sera le cas.
10:22Ils veulent de la mobilité
10:23qu'il soit harmonieuse,
10:25apaisée.
10:26Ça sera le cas.
10:27Donc, je m'engage là-dessus.
10:28J'ai toujours tenu
10:29mes engagements
10:30et vous connaissez
10:31ma détermination.
10:32Je ne lâcherai rien.
10:34Je suis déterminée
10:35à changer la vie des Parisiens
10:36et donc changer Paris.
10:38Vos détracteurs disent
10:38qu'elle est ministre de la Culture
10:40mais elle fait campagne
10:41à Paris.
10:42Vous êtes qui ?
10:42Vous êtes ministre de la Culture ?
10:43Vous êtes candidate ?
10:44Je fais tout.
10:45Toute ma vie,
10:45j'ai toujours tout fait.
10:46Voilà, c'est comme ça.
10:47C'est compatible.
10:48Tout est compatible.
10:49Ma vie est un engagement politique.
10:51Je suis le produit
10:52d'un engagement politique,
10:53d'un engagement militant.
10:55Je crois à la politique
10:56qui change la vie des gens.
10:57Ça sera le cas.
10:59Paris ne peut pas décliner.
11:00C'est la plus belle ville d'Europe.
11:02Il faut que tout le monde
11:02vive bien à Paris.
11:03C'est plus de 600 millions d'euros
11:05presque puisqu'ils veulent
11:07augmenter jusqu'à 1 milliard
11:09pour la fin de ce mandat,
11:10pour la propreté.
11:11Vous trouvez que la ville
11:12est propre ?
11:13Est-ce que vous trouvez
11:13que les 600 millions
11:14jusqu'à 1 milliard d'euros
11:16consacraient à la propreté,
11:18vous trouvez que la ville
11:18est propre ?
11:19Non.
11:20La sécurité,
11:20vous trouvez que la ville
11:21est sûre ?
11:22Non.
11:23Est-ce que vous trouvez
11:23que vous circulez super bien ?
11:25Non.
11:26Quand vous dites,
11:27je vous lis,
11:27est-ce qu'on se résout
11:28à avoir une ville
11:29de célibataires à vélo
11:30travaillant à 10 minutes
11:32de chez eux ?
11:32Ce n'est pas ça Paris.
11:33Parce que c'est une ville
11:34où on a contribué.
11:36Il y a pas mal d'électeurs
11:37en disant ça.
11:37Les gens,
11:38ils aiment bien circuler à vélo.
11:38Moi, je n'aime pas opposer
11:39les gens les uns aux autres.
11:41C'est pour ça que je parle
11:41avec tout le monde.
11:42Je vis avec tout le monde.
11:43Je résous les problèmes
11:45de tout le monde.
11:46Je n'oppose pas
11:46les uns aux autres.
11:48Évidemment,
11:49la manière dont font campagne
11:51les autres,
11:51y compris monsieur...
11:53Comment va se départir
11:54monsieur Grégoire
11:55du bilan de madame Hidalgo ?
11:5625 ans.
11:57Il y a des gens à Paris
11:58qui n'ont connu
11:59que madame Hidalgo
12:00et monsieur Grégoire.
12:01Ils sont fâchés.
12:01Oui, mais attendez.
12:02Est-ce que la ville va bien ?
12:03Non.
12:04Et donc,
12:04moi, je ne me résous pas
12:05à ce que cette ville
12:06soit une ville de passage,
12:08une ville d'isolement,
12:09une ville des uns
12:10contre les autres
12:11ou des uns
12:11sans connaître
12:13son voisin de palier.
12:14Eh bien non.
12:14Voilà.
12:14Moi, je trouve
12:15cette ville
12:16qui fait rêver
12:17les Français,
12:18c'est la ville de la liberté.
12:20C'est la ville
12:20où on réalise son destin,
12:21on réalise ses rêves.
12:23Aujourd'hui,
12:24c'est une ville de passage,
12:25une ville de désagrément
12:27et de contrainte.
12:28Vous avez vu ce qu'il dit
12:28de vous,
12:29Emmanuel Grégoire ?
12:30Je le cite encore.
12:31Pardon,
12:31mais je suis allé chercher
12:32un peu toutes les citations
12:33qui sont intéressantes quand même.
12:34À notre micro ici,
12:36c'était le 23 septembre
12:37à propos des notes de frais
12:38d'Anne Hidalgo.
12:39Vous vous y êtes opposé
12:40à ça, vous.
12:41Il dit
12:41c'est une grossière manœuvre
12:42de votre part
12:43de diversion organisée
12:44par la droite
12:44pour faire oublier
12:46les turpitudes
12:47de Mme Dati
12:48renvoyées en correctionnelle
12:50pour corruption.
12:51Moi, je suis très tranquille.
12:52D'abord,
12:53ce sondage nous montre
12:53que les Français,
12:54les Parisiens ont compris
12:55que j'ai une à faire Renault
12:58parce qu'ils aiment bien.
12:59Mais vous savez,
12:59il y a quelque chose
13:01qu'à un moment donné,
13:02certains doivent s'expliquer
13:03parce qu'on prend prétexte
13:04de quelque chose
13:05pour finalement
13:06me reprocher ce que je suis.
13:09Je n'en dirai pas plus.
13:11Renault est une affaire privée.
13:12Il n'y a pas d'argent public
13:13là-dedans.
13:14Comme M. Grégoire,
13:15Mme Hidalgo,
13:16M. Lejoigne,
13:17son directeur de campagne,
13:18maire du 18e arrondissement,
13:20c'est en dizaines
13:21de milliers d'euros.
13:22Plusieurs dizaines
13:23de milliers d'euros.
13:24C'est l'argent des Parisiens.
13:25Que font-ils avec cet argent
13:26des Parisiens ?
13:27Ils payent leurs coiffeurs,
13:29leurs restaurants,
13:29leurs vêtements,
13:30leurs déplacements,
13:31leurs voyages à l'étranger.
13:32Mme Hidalgo est au Brésil,
13:34payée par les Parisiens.
13:35Elle est en Afrique,
13:35payée par les Parisiens.
13:37Ses vêtements,
13:37payés par les Parisiens.
13:38Son restaurant,
13:39payé par le Parisiens.
13:40Les coiffeurs,
13:41payés par les Parisiens.
13:41Est-ce que c'est soin esthétique,
13:43payé par les Parisiens ?
13:44Est-ce que c'est normal ?
13:45C'est l'argent des Parisiens.
13:46Il y a une enquête
13:47qui est ouverte là-dessus.
13:48Mais ils vont faire campagne
13:48sur les affaires,
13:49vous coursez.
13:49Non, mais moi,
13:50ils font ce qu'ils veulent.
13:51Renault, c'est une affaire privée
13:52parce que moi,
13:53contrairement à eux,
13:54j'ai un métier
13:55et j'ai travaillé à côté.
13:57Je ne vis pas de la politique.
13:58Eux, ils vivent
13:58de l'argent des Parisiens.
14:00Mme Hidalgo a dit
14:00c'est très dur
14:01de vivre avec 4 900 euros
14:03et donc nous faisons payer
14:05notre train de vie
14:06par les Parisiens.
14:07Ce n'est pas ma conception
14:08de la politique.
14:08Rachida Dati,
14:09on va continuer dans un instant.
14:10Une courte pause, évidemment.
14:12Vous avez dit
14:12on vise qui je suis.
14:14Qui vous êtes ?
14:15Vous allez nous le définir.
14:16Tiens, vous allez répondre
14:17à ça dans un instant
14:18avec Jean-François Aquili
14:19sur Sud Radio.
14:20On continue l'interview
14:21politique pendant quelques minutes.
14:26Le Grand Matin Sud Radio
14:277h10h
14:29Patrick Roger
14:30Avec l'interview
14:31de Rachida Dati
14:32avec vous,
14:33Jean-François Aquili,
14:35la ministre de la Culture
14:36mais aussi candidate
14:37à la mairie de Paris.
14:39On l'a dit tout à l'heure.
14:40Rachida Dati,
14:40vous avez dit
14:41à Jean-François Aquili
14:42il y a quelques instants
14:42à propos justement
14:44des réflexions
14:44d'Emmanuel Grégoire
14:45votre principal opposant
14:47qui disait
14:47oui mais
14:48Rachida Dati
14:49elle a aussi
14:49évidemment
14:50son casier judiciaire
14:52Non, je n'en ai pas.
14:54Non, non, non, mais
14:54Monsieur Roger
14:55son casier judiciaire
14:56avec ce qui va se passer.
14:58Vous avez dit
14:59c'est moi qu'on vise
15:00on vise qui je suis.
15:02C'est-à-dire
15:02qu'est-ce que vous vouliez dire derrière ?
15:04Moi je vois par exemple
15:05au Conseil de Paris
15:06il y a quelques conseillers
15:07de Paris de gauche
15:07qui ont eu parfois
15:08des remarques
15:09totalement racistes
15:10pas sexistes
15:11mais racistes.
15:11racistes.
15:12Voilà.
15:13Je suis leur mauvaise conscience.
15:15Voilà.
15:16Je suis ce que la gauche
15:17n'a pas réussi en fait.
15:18Ils ont pendant très longtemps
15:19moi je viens d'un quartier populaire
15:20j'ai connu
15:21j'ai connu
15:22la gauche
15:23qui instrumentalisait
15:24les gens
15:24qui habitaient dans
15:25le quartier populaire
15:26et d'ailleurs
15:26le sujet de LFI
15:27qui leur pose problème
15:28c'est qu'ils ont été
15:29débordés
15:30par justement
15:31un certain électorat
15:32qui a considéré
15:33à un moment donné
15:34avoir été instrumentalisés
15:36et victimisés
15:37par ces socialistes
15:39et donc c'est pour ça
15:40qu'en fait
15:41ils ont créé eux-mêmes
15:42le problème
15:43et leur propre turpitude
15:44donc aujourd'hui
15:45voilà
15:46il y en a certains
15:46c'est beaucoup plus
15:47ce que je suis
15:48que ce que je fais.
15:49C'est une affaire privée
15:53c'est un contrat d'avocat
15:54ça n'a rien à voir
15:55il n'y a pas d'argent public
15:56je ne vis pas sur l'argent public
15:58et évidemment
15:59et je le revendique
15:59et le fait de travailler à côté
16:01ça m'a permis
16:02de ne pas dépendre de la politique
16:03contrairement à eux
16:04qui sont des apparatchiks
16:05et qui vivent de l'argent public
16:07les parisiens payent
16:08leur train de vie
16:09c'est une réalité.
16:10Oui
16:11l'audiovisuel public aussi
16:12parmi les questions
16:12Rachid Adati
16:13vous dites
16:13je peux tout faire
16:14est-ce que vous allez réussir
16:15à mener à bien
16:16cette réforme
16:17de l'audiovisuel public
16:18il était question
16:19de la holding
16:20au 1er janvier 2026
16:22et la réforme
16:23n'est pas inscrite
16:24à l'ordre du jour
16:24de l'Assemblée nationale.
16:25Je l'ai faite
16:26beaucoup avancer
16:27puisqu'il reste
16:27une seule lecture
16:28à l'Assemblée nationale
16:29donc j'ai fait
16:30les deux lectures
16:31Assemblée et Sénat
16:33il reste une seule lecture
16:35à l'Assemblée nationale
16:35et là on est
16:36sur le calendrier budgétaire
16:37et donc il va y avoir
16:38une semaine gouvernementale
16:40et donc dès que
16:41ce qu'on appelle
16:42le gouvernement
16:43peut mettre
16:44ses textes
16:45à l'ordre du jour
16:46et ce sera le cas
16:47évidemment
16:47dès que la semaine
16:48gouvernementale
16:49interviendra.
16:51Vous pensez
16:51que vous mènerez
16:52bien cette réforme
16:53avant de partir
16:53sur Paris
16:54sur la campagne
16:55c'est dans 5 mois
16:55à l'élection ?
16:56Oui
16:56donc là
16:58dès qu'il y aura
16:58une semaine
16:58gouvernementale
16:59et que le texte
17:00sera inscrit
17:01à l'ordre du jour.
17:01Emmanuel Grégoire
17:02dit nouvelle victoire
17:03pour les travailleuses
17:04et les travailleurs
17:05du service public
17:06il est obsédé par moi
17:08voilà
17:08tout ce que je fais
17:09n'est pas bien
17:10et tout ce que
17:11évidemment
17:11il est obsédé par ça
17:13donc il vaut mieux
17:13qu'il soit obsédé
17:14par les parisiens
17:15ça fait que 25 ans
17:16qu'il est au pouvoir
17:16et on voit le résultat
17:18à Paris
17:18la délinquance
17:19qui n'est jamais autant
17:20augmentée
17:21et ils peuvent dire
17:22que c'est la prérogative
17:23du préfet de police
17:24non
17:24la tranquillité publique
17:25c'est la prérogative
17:26du maire
17:27et comme on parlait
17:29tout à l'heure
17:29les commerçants
17:30qui mettent la clé
17:32sous la porte
17:32c'est une responsabilité
17:33du maire
17:34comme le chaos
17:35dans l'espace public
17:35c'est la responsabilité
17:36du maire
17:37comme évidemment
17:38la propreté
17:39c'est la responsabilité
17:40du maire
17:41donc depuis 25 ans
17:42ils auraient dû faire
17:43le boulot
17:45vous avez vu la polémique
17:46que Von Pappen
17:47on va l'appeler comme ça
17:47le rassemblement national
17:49qui saisit l'ARCOM
17:50après des propos
17:51tenus lors d'une émission
17:52sur France 5
17:53vous suivez ça de près ?
17:54non
17:54très franchement
17:56je n'ai pas vu
17:56vous ne suivez pas ça de près ?
17:59non mais je n'ai pas vu
17:59de vous me parlez
18:01de quelque chose
18:01j'ai vu vaguement
18:03concernant
18:05Jordan Barnella
18:06voilà
18:06une remarque
18:08d'une journaliste
18:09concernant
18:09Jordan Barnella
18:11mais je vous avoue
18:12que je n'ai pas regardé
18:13dans le détail
18:13Rachida Dati
18:15sur le Louvre
18:17vous avez vu le profil
18:19de l'un des deux
18:19mis en examen
18:21doudou
18:22cross bitume
18:23un as
18:23vous savez
18:24des
18:25on va dire
18:25des rodeos urbains
18:27un moto
18:27c'est à dire que
18:28le profil désormais
18:29des personnes
18:30qui peuvent s'attaquer
18:31à nos biens publics
18:32à nos musées
18:32le Louvre en l'occurrence
18:33mais il y a aussi
18:33les musées nationaux
18:35dans toute la France
18:36les églises également
18:37ce n'est plus le grand banditisme
18:38organisé
18:40c'est désormais
18:40de la délinquance
18:41c'est de la criminalité organisée
18:42ce qui s'est passé au Louvre
18:44c'est un acte de criminalité organisée
18:46c'était très bien organisé
18:47et ça a été
18:49très rapide
18:50et
18:51il savait
18:52ce qu'il voulait faire
18:53ce qu'il voulait faire
18:54et ce qu'il voulait prendre
18:55donc c'est de la criminalité
18:56organisée
18:56ce sont
18:57les nouvelles menaces
18:58et les nouveaux
18:59défis
19:00que nous devons relever
19:01c'est évidemment
19:02la sécurisation
19:03et la lutte
19:04contre l'intrusion
19:05et le vol
19:05vous avez raison
19:06c'est pour ça que
19:07suite à ce vol spectaculaire
19:08qui a choqué
19:09toute la France
19:10et de manière légitime
19:12j'ai demandé
19:13une enquête administrative
19:14le rapport provisoire
19:15m'a été remis
19:16les premières conclusions
19:16sont très alarmantes
19:18puisque
19:18les constats
19:19sont tout aussi alarmants
19:20défaillance sécuritaire
19:21à l'extérieur
19:22évidemment
19:23sur
19:24les caméras périmétriques
19:26les dispositifs
19:27anti-intrusion
19:28qui sont aussi défaillants
19:29et puis une gouvernance
19:32une organisation
19:32qui ne va pas
19:33qui a sous-estimé
19:34les risques
19:35d'intrusion
19:35et de vol
19:36des dispositifs
19:37de lutte
19:39contre l'intrusion
19:39et le vol
19:40qui ne sont évidemment
19:41pas adaptés
19:42à ces nouvelles menaces
19:44et évidemment
19:45tout cela
19:46j'ai demandé
19:47à la présidente
19:49de tenir en urgence
19:51un conseil d'administration
19:52qui se tiendra
19:53vendredi prochain
19:54pour mettre en oeuvre
19:56toutes les mesures
19:57que j'ai indiquées
19:57c'est-à-dire une nouvelle organisation
19:58et une nouvelle gouvernance
19:59notamment liée à la sécurité
20:01un comité de sûreté
20:02qui va associer
20:03la préfecture de police
20:04qui pourra comme ça ainsi
20:06pouvoir travailler
20:07main dans la main
20:08avec le musée
20:08sur tous les dispositifs
20:10à mettre en oeuvre
20:10pour lutter contre
20:11les intrusions
20:12et le vol
20:12mais aussi pour parler
20:13des nouvelles menaces
20:15les nouvelles
20:16justement
20:17d'être une cible
20:18pour la criminalité organisée
20:20c'est une nouvelle menace
20:21de mettre en place
20:22des dispositifs
20:23anti-intrusion
20:23sur l'espace public
20:25aux abords du Louvre
20:26ça c'est important
20:27et ça évidemment
20:28c'est en lien
20:28avec la préfecture de police
20:29mais aussi avec la ville de Paris
20:31et d'équiper
20:32en caméra extérieure
20:34sur le bâtiment
20:35très rapidement
20:36le musée du Louvre
20:37et donc
20:38d'avoir une formation
20:39plus adaptée
20:40des agents
20:41en charge de la sécurité
20:42sur tout
20:43ce qui est
20:44intrusion
20:44et vol
20:45et les protocoles
20:47justement
20:47de lutte
20:48contre l'intrusion
20:49et le vol
20:49qu'ils soient
20:50modernisés
20:51actualisés
20:52et adaptés
20:53à ces nouvelles menaces
20:54que vous entamez aujourd'hui
20:55Rachid Adati
20:56encore un mot
20:56vous avez réagir
20:57c'est sur X
20:58après ce message
21:02de la CGT
21:03qui appelle
21:03à contextualiser
21:04sur scène
21:05alors c'est un spectacle
21:06qui aura lieu
21:07à la Philharmonie
21:07demain
21:08il s'agit d'un concert
21:10de Lav
21:11Chagny
21:11c'est un jeune chef d'orchestre
21:13c'est aussi un pianiste
21:13israélien
21:14de renommée mondiale
21:15et la CGT
21:16vous a contextualisé
21:17ce concert
21:18qu'est-ce que ça vous fait réagir
21:20est-ce que c'est le rôle
21:21de la CGT spectacle
21:22d'appeler au boycott
21:23ou de vouloir censurer
21:24censurer des artistes
21:25non
21:26voilà
21:26et moi je vais vous dire
21:28bienvenue à cet orchestre
21:30à la Philharmonie
21:31ça sera un grand moment
21:32de communion
21:33et de partage
21:34autour de la musique
21:35et on dit que la musique
21:37a douci les mœurs
21:38et bien là
21:38c'est évidemment
21:39cette expression
21:40prend tout son sens
21:41donc je leur dis bienvenue
21:42et aucun prétexte
21:44aucun prétexte
21:45pour une censure
21:46et au boycott
21:47et certains
21:48se servent
21:49de certains événements
21:50pour exprimer
21:51leur antisémitisme
21:52qui je le rappelle
21:53est un délit
21:54Rachida Dati
21:55j'ai deux petites questions
21:56avant de terminer
21:57là on termine
21:58Pierre-Jean Chalence
21:59vous l'avez vu
22:00à propos du Louvre
22:01vous avez qualifié
22:02même s'il a enlevé la vidéo
22:03de reine du couscous
22:04vous disiez tout à l'heure
22:05que vous étiez visé
22:06justement parfois
22:07par certains propos
22:08qu'est-ce que vous lui répondez ?
22:09Est-ce que c'est la première fois
22:10qu'il y a des propos racistes
22:11dans l'espace public ?
22:12Non
22:12Est-ce que c'est la première fois
22:13qu'il y a des propos racistes
22:14tenus par des personnalités
22:16y compris des restos politiques ?
22:18Non
22:18donc voilà
22:19moi je ne perds pas
22:20mon temps
22:21mon énergie là-dedans
22:22voilà
22:22Et puis une dernière question
22:24on le voit
22:25et on revient
22:26en un instant
22:27sur ce sondage
22:28où vous faites la course en tête
22:29pour les municipales à Paris
22:30on a l'impression
22:31que c'est Brunazel
22:32le candidat
22:34qui sera un peu l'arbitre
22:35finalement
22:36entre vous
22:36et la gauche
22:37Emmanuel Grégoire
22:39est-ce qu'il est plus près
22:40de chez vous
22:41ou il est plus près
22:41de la gauche
22:43Vous oubliez un détail
22:44qui n'est pas tant que ça
22:46un détail
22:47pour la première fois
22:48les parisiens pourront choisir
22:49directement leur maire
22:50et donc l'arbitre
22:51ce seront les parisiens
22:52et les parisiennes
22:53et donc moi
22:54je fais campagne
22:55auprès d'eux
22:56et c'est eux
22:57qui ont
22:57la clé du vote
22:59la clé de ces élections
23:00ce sont les parisiennes
23:01et les parisiens
23:01ce sont eux qui choisiront
23:03et donc moi je leur dis
23:04je m'occuperai de vous
23:05je changerai votre vie
23:06je changerai Paris
23:07faites-moi confiance
23:08et donc je continue
23:09cette campagne
23:09Et vous parlerez
23:10monsieur Brunazel
23:10Je parle aux parisiennes
23:12et aux parisiens
23:12je parle à tout le monde
23:13moi je dis
23:14vous voulez que Paris change
23:15vous êtes les bienvenus
23:16voilà
23:17c'est tout ce qui m'intéresse
23:18Merci
23:19Rachida Dati
23:20la ministre de la Culture
23:21mais aussi
23:22maire du 7ème
23:23et candidate à la mairie de Paris
23:25était l'invité de Jean-François Kili
23:26on va débriefer dans un instant
23:28Éric Revelle
23:29Élisabeth Lévy
23:30sur évidemment cette interview
23:32sur la polémique chaîne
23:33et sur tous les sujets
23:35vous voulez nous alerter
23:350826 300 300
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