- il y a 23 heures
Avec Amaury Brelet (rédacteur en chef à Valeurs Actuelles) et Laurent Joffrin (directeur de la publication "LeJournal", ex-directeur de Libération et du Nouvel Observateur)
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NewsTranscription
00:00Le Grand Matin Sud Radio, la vérité en face, Maxime Liedot.
00:06Il est 9h31, un seul numéro, 0826 300 300 pour participer à la conversation,
00:12venir tout simplement donner votre avis.
00:14Et comme tous les vendredis, nous venons d'être rejoints par Amaury Brelet.
00:17Bonjour.
00:18Bonjour Maxime.
00:19Rédacteur en chef à Valeurs Actuelles et Laurent Joffrin.
00:21Bonjour.
00:21Bonjour.
00:22Merci d'être avec nous ce matin également.
00:23Directeur de la publication du quotidien en ligne, lejournal.info,
00:27ex-directeur de Libération et du Nouvel Observateur.
00:29Mais vous signez également un livre, Le Crime de Le Floc, aux éditions Bussier-Chastel.
00:35Et vous allez venir nous en parler à l'occasion, au week-end, dans cet espace.
00:38Avec plaisir. Un roman historique.
00:39Un roman historique.
00:40Justement, on a peut-être besoin d'histoire pour comprendre tout ce qui se passe actuellement.
00:43Voilà, c'est l'administrera.
00:44Oui, exactement.
00:46Alors, voilà, je répète, Le Crime de Le Floc.
00:48Est-ce que c'est la première chose qu'on va lire pour se détendre, mon cher Laurent Joffrin ?
00:51Je ne sais pas, mais en tout cas pour apprendre plein de choses et pour passer un beau moment.
00:54C'est certain.
00:55Et plutôt qu'un livre, c'est une étude qui fait beaucoup parler.
00:57C'est l'étude IFOP fiduciale Le Figaro pour LCI Le Figaro.
01:00On aperçoit un chiffre, en réalité, que 46% des électeurs désormais souhaitent une union des droites.
01:06C'est un chiffre qui monte jusqu'à 41% auprès, notamment, des électeurs des Républicains.
01:11Alors, la question qu'on vous pose ce matin, auditeurs de Sud Radio, est-ce jusqu'à 10h ?
01:14Est-ce que l'union des droites est inéluctable ?
01:17Ben oui, est-ce que l'union des droites est totalement inéluctable ?
01:21On voit à quel point c'est un discours qu'on entend de plus en plus.
01:25Sarah Knafo, qui est aussi à la tête du Parti Reconquête avec Éric Zemmour, plaide pour cela depuis longtemps.
01:31Marion Maréchal, encore cette semaine, a insisté pour plaider envers une union des droites.
01:36Laurent Joffrin, je vous vois déjà lever le sourcil, ce qui n'est pas très radiophonique,
01:39mais qui pour nous en studio est déjà un indisconséquent.
01:42Quel regard portez-vous sur cette potentielle union des droites ?
01:45En tout cas, sur ces mouvements, sur ces lignes de front qui bougent, dans les sondages en tout cas.
01:50Je pense que c'est la droite qui oublie qu'elle est droite, qu'il n'y a pas d'extrême droite.
01:54C'est ça le problème.
01:55Pour vous, c'est quoi ?
01:56Il y a une distinction entre la droite et l'extrême droite qui porte sur des points importants.
02:02Qui est pro-européen, qui est anti-européen, qui est pro-ukrainien, qui est pro-russe ?
02:06C'est une question, ça.
02:08Donc c'est quoi ?
02:09Qui est pour le droit du sol ? Qui est pour l'abolir ?
02:13Le droit du sol, c'est le fait d'être français quand on est né en France, qu'on est d'origine étrangère.
02:20Ça fait quand même des points de clivage entre la droite et l'extrême droite.
02:24Est-ce que ce sont encore les points de clivage aujourd'hui ?
02:26Il y a une partie de la droite qui estime que ces points de clivage n'en sont plus,
02:30et qu'on peut s'arranger avec le Rassemblement National, ce qui à mon avis est illusoire.
02:33Mais il y a quand même un obstacle objectif, c'est que Rotaillot, lui, il est contre.
02:39Parce qu'il joue sa carte d'abord, personnel, premièrement, deuxièmement, il essaye de sauver son parti.
02:45Évidemment, s'il y a une alliance avec le RN, le parti de droite devient une béquille, un supplétif,
02:51à côté d'un grand parti d'extrême droite qui prétendra gouverner.
02:56Il est contre, vous avez vu que la consigne de vote, notamment pour les législatives anticipées dans le Tarn,
03:01il n'a dit aucune voix pour la gauche, et quand on ne lui a posé jamais d'accord avec le RN,
03:05il a dit non, il n'a pas dit jamais exprès pour ne pas avoir à se prononcer ou à se dédire un jour ou l'autre.
03:10Il y a un glissement, vous avez raison, c'est évident.
03:16Inéluctable, je ne sais pas, mais c'est évident.
03:19Inéluctable pour vous, Amory Brulé ?
03:20Inéluctable, je ne sais pas, souhaitable, très certainement.
03:23D'ailleurs, on a bien vu que Giorgia Méloni, en Italie, l'a fait, l'a fait de cette coalition depuis des années.
03:28Elle fonctionne, elle obtient des résultats.
03:30En France, le problème, c'est que les premiers concernés s'y refusent depuis des années.
03:35D'abord, les Républicains qui sont totalement soumis au terrorisme intellectuel de la gauche,
03:40au petit théâtre antifasciste, dont on a vu un petit extrait à nouveau là, depuis des années.
03:46Et puis, vous avez le Rassemblement National qui pense pouvoir gagner tout seul.
03:50Alors, à la présidentielle, peut-être d'ailleurs, on le voit bien dans les sondages.
03:54Plus de 36% en cas de la législative, il y aura, à mon avis, le parti aura du mal à pouvoir trouver une majorité absolue,
04:02ça c'est très clair, mais même relative au Parlement.
04:05Donc on a affaire malheureusement...
04:06Vous ne croyez pas, même quand on voit les derniers sondages, c'est ce que nous dit l'IFOP, en tout cas la poursuite de Radio-LC et le Figaro,
04:11quand on voit près de 36%, pour vous, ça ne peut pas atteindre, même en cas de législative de dissolution,
04:18donc de législative anticipée, ça ne peut pas passer ce plafond de verre pour vous ?
04:21Il y aura forcément des alliances à trouver ?
04:23Je pense des alliances à trouver.
04:25Je pense que le RN devra faire à nouveau face à un front républicain,
04:29alors qu'il sera probablement fragilisé par rapport à la dernière fois, mais c'est une évidence.
04:34Donc vous avez affaire aujourd'hui à des partis qui fonctionnent un peu comme des boutiques,
04:39qui mettent en avant, qui privilégient leurs intérêts personnels, partisans,
04:43au lieu de faire l'union des droites, dont je rappelle qu'Éric Zemmour,
04:47qui fait de la métapolitique avant l'entrée en politique depuis près de 30 ans,
04:50l'évoquait déjà il y a des décennies, cette union des droites,
04:53et qui est aujourd'hui soutenue par lui, par Sarah Knaffo, par Marion Maréchal,
04:57mais on voit bien qu'aujourd'hui, la droite, la droite républicain et le RN, ne font pas le jeu des Français.
05:02Les trois proposités, ils font 5% au maximum, ce n'est pas une force.
05:06Mais on voit bien dans les sondages, vous parliez de ce sondage qui confirme
05:09que vous avez une proportion de plus en plus importante parmi les républicains
05:12et même une majorité d'ailleurs parmi les sympathisants du RN, à vouloir cette union des droites.
05:17Donc peut-être que c'est inélu table à la fin, Laurent Geoffrin.
05:19Et est-ce que vous êtes d'accord avec ce que vient de dire Amaury-Bollet,
05:22avec un brin de provocation, je n'en doute pas, sur le fameux théâtre antifasciste ?
05:26Est-ce qu'il n'y a que ça en réalité aujourd'hui pour résister à l'alliance des droites
05:29ou il y a quelque chose de plus profond, c'est-à-dire un vrai désir des électeurs ?
05:33Je conteste les deux mots, parce que théâtre c'est désagréable,
05:36c'est quand même une chose sérieuse, c'est l'avenir du pays qui est en jeu,
05:39ce n'est pas un théâtre.
05:40Et deuxièmement, antifasciste, je ne crois pas que le RN soit fasciste.
05:44Donc le mot antifasciste ne convient pas.
05:46C'est une extrême droite nationaliste, anti-européenne,
05:50limite pro-russe et intolérante, avec des tendances xénophobes.
05:55C'est déjà beaucoup, ce n'est pas la peine de rajouter le fascisme
05:59avec les chemises noires, avec le bras pendu, ce n'est pas ça.
06:02LFI considère aujourd'hui que le RN est un parti fasciste.
06:04Mais je ne suis pas de LFI, moi.
06:05Oui, mais aujourd'hui c'est la gauche, LFI c'est la gauche aujourd'hui,
06:07ce n'est plus le parti socialiste malheureusement.
06:09Mais non, ce n'est pas vrai ce que vous dites.
06:10Électoralement, regardez le poids de la France.
06:12Oui, je regarde justement.
06:13Le PS ne pèse quasiment plus rien.
06:15Ça dépend des scrutins.
06:17Et surtout, elle a réussi à sauver sa peau
06:20grâce à une alliance avec la France insoumise.
06:22Il y a eu un ensemble et chacun son tour.
06:23Laurent Joffran, il y a eu un score désastreux d'Anne Hidalgo.
06:27Sur ce point-là, vous avez raison.
06:28Mais en revanche, aux élections européennes,
06:31le PS est devant.
06:32Dans tous les sondages,
06:33là il y a encore une batterie de sondages qui sont sortis,
06:36on s'aperçoit que LFI est à 8-10%.
06:39Oui, mais grâce à...
06:39Et attendez, le PS, lui, est au-dessus.
06:42Pas beaucoup, mais il est au-dessus quand même.
06:43Mais en plus, s'il s'allie avec le reste de la gauche,
06:46il se retrouve à 17, je crois,
06:48et LFI est loin derrière.
06:49Non, non, non.
06:50C'est une tactique.
06:51Ça veut dire que LFI, c'est la gauche.
06:53C'est plus commode.
06:54Parce que comme ça, vous attaquez des gens
06:56qui sont faciles à attaquer,
06:57parce qu'ils disent beaucoup de bêtises.
06:58Donc, rhétoriquement, c'est très aisé.
07:00Mais il faut parler du programme de la vraie gauche,
07:04celle qui a toujours gouverné.
07:06Celle qui a vocation à exercer le gouvernement de la France.
07:11Pas LFI.
07:12Et LFI, c'est l'extrême gauche.
07:13C'est l'ancienne extrême gauche
07:14qui s'est requinquée avec un discours populiste.
07:20Mais ça a toujours existé en France, l'extrême gauche.
07:22La gauche, c'est pas ça.
07:250826, 300, 300.
07:26Allons faire un tour du côté du Standard
07:27pour savoir ce qu'en pensent les auditeurs avec cette question.
07:29En effet, est-ce que la coalition, l'union des droites,
07:32le rapprochement des droites, appelons ça comme on veut,
07:34est inéluctable quand on voit en effet les chiffres,
07:36en tout cas dans les enquêtes d'opinion,
07:37qui montent auprès des électeurs du RN, de LR
07:39et même des électeurs en général.
07:41Bonjour Simon.
07:43Oui, bonjour.
07:44Merci beaucoup d'être avec nous ce matin.
07:47Est-ce que vous vous pensez, est-ce que vous faites partie des électeurs,
07:49sans doute de droite ou pas de droite,
07:50mais des électeurs qui souhaitent une union des droites ?
07:53Si oui ou non, pourquoi ?
07:55Alors, avant toute chose, par contre,
07:57si je peux me permettre, je voudrais répondre à M. Laurent Joffrin,
08:01qui reste un paradigme des années 80.
08:06Pour lui, l'union de la gauche est tout à fait logique
08:08en disant que le PS est différent de la LR,
08:10donc elle est quand même acceptable
08:12et l'union de la droite n'est pas acceptable.
08:15Bon, c'est son point de vue, comme toujours.
08:18Je n'ai pas dit ça.
08:19Si, si, monsieur, les gens de gauche...
08:21Il a précisé, Simon, il a dit en réalité,
08:24quand on dit aujourd'hui la gauche, c'est la fille,
08:26il a apporté une nuance en disant
08:27aujourd'hui la gauche, c'est la fille, c'est fort,
08:29mais aujourd'hui, celle qui est amenée à gouverner,
08:31c'est plutôt le Parti Socialiste.
08:33Je ne confonds pas, c'est bien ce que je dis.
08:35C'est-à-dire que quand il suffit d'arriver aux élections,
08:38il y a toujours des coalitions,
08:39et ensuite on se sépare pour essayer de retrouver une certaine,
08:43je veux dire, acceptabilité du grand public.
08:46Bon, ça, de toute façon, c'est un jeu pervers de la gauche,
08:50et je lui rappellerai un peu les résultats de la gauche,
08:52parce que si on en est là aujourd'hui, c'est grâce à la gauche.
08:55Non, mais c'est ce qu'on a fait un instant, mon cher Simon,
08:57mais sur l'union des droites, alors ?
08:58Alors, l'union des droites, je suis tout à fait d'accord.
09:00Bien sûr, le petit ne veut pas se faire manger par le grand,
09:04et c'est ça qu'il essaie de préserver
09:07pour garder encore une existence.
09:10Je veux dire, on préfère être numéro 1 dans un petit chez-soi
09:13que numéro 50 dans un grand qui n'est pas chez-soi.
09:18Voilà, donc le problème, il est là,
09:21mais ils n'ont pas compris les uns et les autres.
09:23S'ils ne se parlent jamais, qu'ils ne se réunissent jamais,
09:25qu'ils ne se mettent pas d'accord,
09:27on ne leur demande pas une dilution sur une seule bannière,
09:31on leur demande simplement, comme pour LFI,
09:34de faire des coalitions électorales,
09:37et chacun y trouvera son compte.
09:39Mais pour ça, il faut être intelligent, pragmatique et ouvert.
09:42Ça fait beaucoup, là.
09:44Voilà, ça fait beaucoup pour un seul homme,
09:46pour ne pas dire un groupe d'hommes.
09:48Donc, pour ça, il faut savoir se parler,
09:52faire les premiers pas, s'arranger,
09:54savoir ce qu'il faut, c'est le plus important,
09:57et puis comme ça, on va arriver...
09:59Surtout, faire des accords électoraux.
10:01Merci beaucoup, mon cher Simon, d'avoir été avec nous.
10:03Mais est-ce que vous pensez, comme Simon, au 0826-300-300,
10:06est-ce qu'au bout d'un moment, il faut faire des accords électoraux ?
10:09C'est comme ça, se serrer la main au bout d'un moment,
10:11pour arriver en tête à une élection,
10:13ne pas parler de se diluer l'un dans l'autre partie,
10:16mais tout simplement faire des accords
10:17pour essayer de gravir les échelons,
10:19et peut-être de faire une union des droites.
10:21Laurent Joffrin, d'un mot, parce qu'on va partir en pub.
10:23En un mot, il y a deux manières de faire des alliances.
10:26Soit on fait une alliance électorale,
10:28on se désiste les uns pour les autres,
10:30on se répartit les circonscriptions,
10:33en disant qu'il y aura un seul candidat du bloc
10:35à tel, tel, tel endroit.
10:37Ça, c'est un premier stade.
10:38Et puis ensuite, il y a une union programmatique.
10:41Avec LFI, par exemple, il est hors de question
10:43maintenant de faire une alliance programmatique.
10:46C'est impossible.
10:47Et avec l'ERN, il y a le même problème.
10:49On va en parler, justement, bien sûr.
10:51Vous faites une union programmatique entre la droite et l'ERN,
10:54mais on supprime ou on conserve
10:57la contribution de la France à l'Europe ?
11:01On mène une politique pro-européenne ou anti-européenne ?
11:04On posera la question.
11:05Les arguments sont sur la table.
11:060826 300 300.
11:08Est-ce que pour vous, l'alliance des droites,
11:09l'union des droites, comme on dit, est inéluctable ?
11:11On en parle avec Amaury Brulé,
11:12rédacteur en chef à Valeurs Actuelles,
11:14puisqu'on parle du livre de Laurent Joffrin.
11:15Je rappelle la une de Valeurs Actuelles,
11:16Le rêve brisé des propriétaires.
11:18Et vous venez de l'entendre, en effet,
11:19se révolter ou s'interroger sur l'union de la droite
11:21d'un point de vue programmatique.
11:22C'est Laurent Joffrin.
11:23Il est le directeur de la publication du journal en ligne,
11:26le journal du quotidien en ligne,
11:28lejournal.info.
11:29Et il publie aux éditions Boucher-Sastel
11:31Le crime de le floc.
11:32C'est signé Laurent Joffrin.
11:33Et c'est un roman historique à lire
11:35dans toutes les bonnes librairies,
11:36selon la bonne formule.
11:370826 300 300.
11:38On revient dans un instant.
11:39A tout de suite sur Sud Radio.
11:41Le grand matin Sud Radio.
11:43La vérité en face.
11:45Maxime Liedot.
11:470826 300 300.
11:49En direct jusqu'à 10h.
11:50Vous pouvez évidemment venir autour de la table,
11:52participer, réagir, analyser cette situation.
11:55Et notamment un chiffre qui sidère 46% des électeurs,
11:58selon notre enquête Sud Radio.
12:00IFOP fiduciel Figaro LCI
12:02sont en train de se mobiliser pour une union des droites.
12:06Ça monte jusqu'à près de 41% du côté des électeurs LR.
12:09Non seulement nous sommes en studio
12:10avec Amaury Brulé, rédacteur en chef à Valeurs Actuelles,
12:13avec cette fois-ci en kiosque cette semaine
12:15du côté de l'hebdomadaire.
12:17Valeurs Immobiliers, le rêve brisé des propriétaires
12:20à retrouver en kiosque et sur le site.
12:21Et Laurent Joffrin, directeur de la publication du quotidien en ligne,
12:24lejournal.info, ex-directeur de Libération et du Nouvel Obs.
12:27Et puis en librairie également chez Boucher-Chastel.
12:30Le crime de Le Floc, excellent roman historique,
12:33justement peut-être pour passer le week-end.
12:34Donc si vous nous écoutez sur la route,
12:36hop hop hop, petit détour par une très bonne librairie.
12:38Et en plus d'être avec vous messieurs,
12:40on est également au standard au 0826 300 300.
12:42Est-ce que l'Alliance des droites est inéluctable ?
12:45Bonjour Jean-Marc.
12:46Oui, bonjour.
12:48Comment allez-vous ce matin ?
12:50Écoutez, très bien, sur la route, mais ça va.
12:52Ah, vous vous êtes arrêté, ça me rassure.
12:55Est-ce que vous, l'union des droites,
12:57vous y êtes favorable, mon cher Jean-Marc ?
12:58Ou au contraire, vous êtes un électeur de droite, certes,
13:00mais hors de question de tendre la main
13:02à l'extrême droite de l'échec et politique ?
13:04Alors, je pense que de toute façon,
13:07dans l'état actuel des choses,
13:09pour que ça puisse basculer pour de bon à droite,
13:13il va falloir qu'elle y soit.
13:15Maintenant, je pense que ça ne pourra pas se faire
13:17parce que le LR serait complètement dilué.
13:21Alors, dilué, c'est un bien grand mot.
13:23Dans les faits, c'est qu'ils vont perdre
13:24tellement de responsabilités,
13:25tellement de sièges et autres,
13:27à part à certains endroits,
13:29qu'en fait, ils ne veulent pas le faire.
13:31Tout simplement, pour des questions électoralistes
13:33et le siège des députés.
13:35Donc, pour vous, on va dire,
13:36ça ne se fera pas pour de simples raisons politiciennes ?
13:39Oui, oui, oui.
13:41Alors, peut-être que je me trompe,
13:44peut-être que ça évoluera.
13:45Mais en tout cas, je ne crois pas
13:46que ce soit l'ordre du jour.
13:47La seule personne qui a commencé à le faire,
13:49c'est Éric Ciotti,
13:50et on a vu ce que ça a donné chez LR.
13:52Donc, vous...
13:53Ils l'ont exclu.
13:54Oui, ils l'ont exclu,
13:55et c'est surtout lui qui a décidé
13:56quand même de s'auto-exclure
13:57en vendant son parti.
13:59C'est surtout ça.
13:59D'accord aussi, il est d'un jeu politique,
14:01mais clairement,
14:03on voit très bien qu'ils ne veulent pas le faire.
14:05Mais vous, en tant qu'électeur,
14:06mon cher Jean-Marc,
14:07ce n'est pas quelque chose qui vous choquerait ?
14:09Oh, pas du tout.
14:12A mori-mollé.
14:12C'est le RN qui est plus fort maintenant.
14:15C'est LR qui est totalement minoritaire.
14:17A mori-mollé.
14:17Je ne sais pas d'avoir intérêt à eux
14:19de...
14:20Ça ne choque plus personne.
14:21Ça ne choque plus personne,
14:23cette idée du nom des droites,
14:24sauf peut-être Mediapart,
14:25le monde des libérations.
14:26Aujourd'hui, on le voit bien,
14:27les Français de droite
14:28sont pour l'union des droites.
14:30Et j'ose espérer
14:32que le peuple français,
14:34que le peuple de droite,
14:35finira par imposer
14:36cette union des droites
14:37à ses politiques.
14:38Alors oui,
14:38les Républicains n'en veulent pas
14:40pour des raisons d'appareil.
14:41De toute façon,
14:42ils sont déjà aujourd'hui
14:42un parti de Godéot,
14:44ils sont déjà la béquille
14:45de la Macronie.
14:46Donc,
14:46quitte à être une béquille,
14:47autant être la béquille
14:48du Rassemblement National
14:49qui est le seul aujourd'hui
14:50à proposer des réformes,
14:52sauf peut-être sur l'économie,
14:54on peut en reparler,
14:55avec cette dérive socialisante
14:56assez consternante.
14:57Mais sur le reste,
14:58ils sont en totale cohérence
15:00avec 70% à 80% des Français
15:03sur les grandes questions
15:04sécuritaires,
15:05migratoires,
15:06y compris d'ailleurs
15:07sur les questions sociétales,
15:08sur la question du pouvoir d'achat.
15:09Aujourd'hui,
15:10les Français partagent
15:11le constat
15:12et même en grande partie
15:14les propositions,
15:15les solutions
15:15proposées par Marine Le Pen.
15:18Aujourd'hui, c'est tout.
15:190,826, 300, 300.
15:21Vous êtes d'accord avec ça,
15:21Jean-Marc ?
15:22Est-ce que vous considérez
15:23peut-être déjà
15:24qu'une partie de la droite
15:25est, comme vient de le dire
15:26Amoribrelé,
15:27peut-être déjà une béquille
15:29du pouvoir finissant ?
15:31Il n'y a qu'à voir
15:31dans les faits,
15:32c'est le cas.
15:34Après, c'est une béquille
15:35qui a eu Matignon deux fois,
15:36quand même.
15:37Oui, mais à un moment donné,
15:38il faut arrêter.
15:39Les gens ne veulent plus
15:40voir Macron.
15:41Deux fois,
15:42parce que c'est quoi ?
15:42Michel Barnier,
15:43c'est passé à l'Occord.
15:43Barnier, il était de droite.
15:45Il l'est encore, je crois.
15:46À un moment donné,
15:46il faut arrêter.
15:47L'LR.
15:47Il faut arrêter.
15:48Merci beaucoup.
15:49C'est un ancien de LR.
15:50Oui, bon, totalement,
15:51Macron est quand même depuis.
15:52Oui, bien sûr.
15:530,820,
15:54parce que sinon,
15:54il y a énormément de socialistes
15:55aussi.
15:55Non, mais il y a d'autres problèmes
15:56que vous ne citez pas.
15:58Je peux parler là ?
15:58Je vous en prie.
15:59Je vous en prie.
15:59Je vous remercie à l'instant,
16:00Jean-Marc,
16:00de vous avoir appelé
16:010,826,
16:02300, 300.
16:02Mais je vous en prie,
16:03mon cher Laurent.
16:05Non, mais c'est une politique
16:06européenne ou anti-européenne ?
16:10Il faudra quand même répondre à ça.
16:12Est-ce que fondamentalement,
16:13quand vous voyez, par exemple,
16:14le RN veut réduire
16:16ou pouvoir supprimer
16:17la contribution française
16:18à l'Europe ?
16:18C'est un coût de l'argent.
16:19C'est un coût de l'argent,
16:20mais ça a des avantages.
16:22Alors, on la supprime,
16:23ou on ne la supprime pas ?
16:24C'est un problème, ça.
16:25Est-ce que vous vous pensez vraiment...
16:26Marine Le Pen n'arrête pas
16:27de dire du mal de l'Europe.
16:28Elle dit,
16:28je suis venu rester dans l'Europe,
16:29mais elle ne peut pas ouvrir la bouche
16:31sans en dire du mal.
16:32Et ce n'est pas le cas de LR.
16:34Est-ce que vous pensez,
16:35par exemple,
16:35que ce sont aujourd'hui
16:36les fractures du parti ?
16:37Le parti LR,
16:38il est héritier de Sarkozy,
16:40Chirac,
16:41le général de Gaulle,
16:42éventuellement,
16:43enfin, si on fait l'histoire.
16:44Tous ces gens-là
16:45ont fait l'Europe.
16:47Et est-ce que vous pensez vraiment
16:48que ce sera ça,
16:48aujourd'hui, la fracture ?
16:50L'Europe ?
16:50Oui, mais c'est une fracture importante.
16:50Quand vous voyez,
16:51par exemple,
16:51aujourd'hui,
16:51les eurodéputés
16:52qui ont censuré
16:53ou qui ont voulu censurer
16:54aujourd'hui Vendor Léa,
16:55c'est lointain,
16:56mais pour la France,
16:56c'est très important.
16:57D'ailleurs,
16:58quand on en discute avec eux,
16:59vous avez au moins
17:00la moitié des élus,
17:02des représentants,
17:03des Républicains
17:03qui sont d'accord
17:04avec les positions
17:04du Rassemblement National.
17:05Tout ça,
17:06c'est un théâtre médiatique.
17:09Je répète qu'aujourd'hui,
17:10la droite,
17:11les Républicains
17:12sont encore largement soumis
17:13à ce terrorisme intellectuel
17:15de la gauche
17:15qui fait passer
17:16le Rassemblement National
17:17pour un parti de fasciste,
17:18de néo-nazis.
17:19On a le droit
17:20à cette sérénade
17:21à nouveau
17:22entre les deux tours
17:22des dernières législatives.
17:24On y aura le droit
17:24la prochaine fois.
17:26Donc,
17:26il faudrait peut-être
17:26qu'aujourd'hui,
17:27la droite s'assume enfin
17:28et arrête de courir
17:30derrière la gauche.
17:31C'est ce qu'il dit de plus en plus.
17:31Apparemment,
17:31pour vous,
17:32ce n'est pas le cas.
17:32Mais je prends par exemple
17:33les propos du porte-pente.
17:34Je reprends le mot terroriste
17:34agassant,
17:35ce truc-là.
17:36Arrêtons de dire ça.
17:38Si on veut dire par là
17:39que les arguments de la gauche
17:40sont meilleurs
17:40que ceux de la droite,
17:41d'accord.
17:42Mais ce n'est pas ce qu'on veut dire.
17:43Ça veut dire qu'on exercerait
17:44une sorte de terreur.
17:45Mais quel terreur de quoi ?
17:46De terrorisme intellectuel.
17:47Oui, tout en fait.
17:47Mais de qui on fait peur ?
17:48En accusant le Rassemblement National
17:49d'être un parti
17:51aux racines néo-nazis
17:52d'extrême droite
17:52qui menacerait la France.
17:54Enfin,
17:55aujourd'hui,
17:55c'est quand même
17:56l'hypocrisie la plus totale.
17:57Que le Rassemblement National
17:58ait des racines néo-nazis,
17:59c'est vrai.
17:59C'est pas le terrorisme
18:01de le dire simple.
18:01L'idée, c'est évidemment
18:02de le disqualifier.
18:03Aujourd'hui,
18:03sur la question de l'antisémitisme,
18:05vous avez un peu disqualifiant.
18:06Vous avez un parti,
18:07l'ancien parti de Jean-Marie Le Pen,
18:09FN devenu le RN,
18:10qui est aujourd'hui,
18:11qui se présente
18:11comme le bouclier
18:12des juifs en France,
18:13qui défend la cause des juifs,
18:16qui défend Israël
18:17face au terrorisme islamiste.
18:18Et en face,
18:19vous avez le Parti Socialiste,
18:20le Parti Communiste
18:21et les écolos
18:22qui se sont alliés
18:23avec la France Insoumise
18:24dans le cadre du NFP,
18:25la France Insoumise
18:26qui se vôtre
18:27depuis des années,
18:28plus encore depuis le 7 octobre,
18:29dans l'antisémitisme.
18:30Il y a un schisme total là-dessus.
18:31Mais bien avant.
18:32La France Insoumise
18:33est arrivée dans l'islamisme,
18:34dans l'islamo-gauchisme
18:35et dans l'antisémitisme
18:36bien avant cela.
18:36Mais non,
18:36l'islamisme et l'gauchisme,
18:37c'est des formules ridicules.
18:39Le Parti Socialiste...
18:40Non, manifester au cri d'Allah-Akbar
18:42dans les rues de Paris,
18:42c'est pas ridicule.
18:43Le Parti Socialiste
18:44a toujours été pro-israélien,
18:45en fait,
18:46toujours défendu Israël.
18:47Il n'a jamais été
18:55On le voit bien,
18:56mais ça a explosé.
18:57Ça a explosé, oui.
18:57Mais vous avez quoi ?
18:59Les juges de paix, messieurs.
19:010826-300-300,
19:02un dernier tour
19:03avant qu'on donne la parole
19:04à la prochaine émission.
19:05Et j'aperçois Christine
19:06qui est déjà arrivée
19:07dans ce studio
19:08et qui nous regarde
19:09avec un air excessivement sévère.
19:110826-300-300.
19:12Bonjour Frédéric.
19:14Bonjour.
19:15Vous suivez ce...
19:15Merci de me prendre à l'antenne.
19:16Mais non.
19:17Oui, oui, oui.
19:18Comment vous regardez cette question ?
19:19Est-ce que pour vous,
19:20l'alliance des droites
19:21est inéluctable
19:21après cet échange intense
19:23auquel on vient d'assister,
19:24mon cher Frédéric ?
19:25Non, je suis un peu de l'avis
19:27d'un ancien auditeur.
19:28Non, d'ailleurs,
19:29je ne vois pas,
19:30si vous voulez,
19:31bon,
19:31le monde politique
19:33des droites,
19:34enfin,
19:34on ne sait plus
19:35quel parti n'est rien,
19:36bon,
19:36quand même très,
19:37très frileux,
19:38je dirais.
19:39Ce n'est pas des combattants.
19:42Quand on a vu,
19:42bon,
19:43excusez-moi,
19:44mais la mise en scène
19:45de Retailleau
19:45avec tout ça,
19:46cette solo-sécurité,
19:47enfin,
19:47il n'y a rien à le faire.
19:48Il y avait de quoi...
19:49Bon,
19:49tout ça,
19:50tout ça,
19:50je n'y crois pas.
19:51Vous rejoignez,
19:53pardon Frédéric de vous couper,
19:54mais vous rejoignez un peu
19:55l'analyse d'Amory
19:55qui dit qu'en réalité,
19:56aujourd'hui,
19:57la droite,
19:58c'est un espèce
19:59de petit truc
20:00de béquille du macronisme
20:01avec très peu
20:02de gens courageux.
20:02C'est un peu ça,
20:03votre idée, vous ?
20:04C'est un peu,
20:05je vais être un peu dur,
20:07mais c'est un peu
20:07un monde opportuniste
20:08qui est prêt,
20:09bon,
20:09vous savez,
20:10ils vont les rejoindre Macron,
20:12qu'est-ce que vous voulez
20:12qu'il se passe ?
20:13Sans ça,
20:14bon,
20:15et l'ERN,
20:16là-dedans aussi,
20:17l'ERN,
20:19c'est le programme économique
20:21d'un programme dit de droite.
20:23D'ailleurs,
20:24si vous voulez,
20:25ça m'embête cette histoire
20:26toujours de dire
20:27que l'ERN est de droite
20:28ou d'extrême droite,
20:29ça ne veut pas dire grand-chose,
20:30je pourrais définir ça.
20:32Alors que le programme
20:33du ERN
20:34est tout ce qu'il y a
20:35de plus social,
20:36entre guillemets.
20:37Donc,
20:38aucun point commun
20:39avec la droite
20:40dite actuelle.
20:42Et la droite la plus dure,
20:44on vous a bien entendu,
20:45Frédéric.
20:45Merci beaucoup
20:45de nous avoir appelés
20:46au 0826 300 300.
20:48Le mot de la fin,
20:49Amaury et Laurent,
20:50en effet,
20:50vous entendez aussi Frédéric
20:51qui dit,
20:52bon,
20:52un électeur de droite,
20:53on le sent.
20:53Aujourd'hui,
20:53on ne peut plus qualifier
20:54le ERN d'extrême droite.
20:55Laurent Joffrat,
20:56Amaury Brûlé,
20:56pour conclure.
20:58Il est à la droite de la droite,
20:59donc extrême droite.
21:00C'est très compliqué.
21:02Le rassemblement de l'Ainselot,
21:03eux,
21:03est aujourd'hui
21:04à partie de droite
21:05et moi,
21:05j'invite les républicains
21:06qui ressemblent
21:07aux musiciens
21:08sur le Titanic
21:09en attendant de se fracasser
21:10contre l'iceberg macroniste,
21:12de descendre du bateau
21:13rapidement
21:14avant de prendre
21:15une baffe définitive
21:16et d'être enterré
21:17définitivement politiquement.
21:18Et vous avez vu
21:19à quel point
21:19ça fait encore réagir
21:20parce que l'ancienne
21:21porte-parole du gouvernement
21:22qui est une proche
21:22de Bruno Rotaillot,
21:23Sophie Prima,
21:24en début de semaine,
21:25a eu le malheur de dire
21:25écoutez,
21:26il faut peut-être d'un côté
21:26voir sur quoi on peut
21:27se mettre d'accord
21:28et accepter qu'on a
21:28aujourd'hui beaucoup plus
21:30de points communs
21:30peut-être avec le
21:31RN que le parti macroniste
21:34et vous avez vu
21:34les polémiques
21:35en effet que ça a provoqué.
21:36Merci de nous avoir appelés
21:37au 0826 300 300.
21:39Merci beaucoup
21:39à Amaury Brûlé
21:40d'avoir été avec nous ce matin
21:41rédacteur en chef
21:42à Valeurs Actuelles,
21:43le numéro de Valeurs Actuelles
21:44sur les propriétaires,
21:45les rêves brisés
21:45des propriétaires cette semaine
21:46et Laurent Joffrin,
21:47directeur de la publication
21:48du quotidien en ligne
21:50lejournal.info
21:50et je rappelle également
21:51votre livre
21:52si vous voulez vous poser
21:53ce week-end
21:54et lire un bon roman historique.
21:55C'est Le Crime de Le Floc
21:56signé Laurent Joffrin
21:57aux éditions Bûcher-Chastel.
21:59Merci tous les deux
22:00d'avoir été avec nous
22:01et si vous nous avez
22:01beaucoup appelés
22:02au 0826 300 300,
22:04vous avez été également
22:04nombreux à participer au jeu.
22:06Il fallait envoyer le mot
22:07Sud au 7 20 18.
22:09Bonjour Franck.
22:10Bonjour.
22:12Merci beaucoup
22:13d'être avec nous
22:14et surtout félicitations
22:15mon cher Franck,
22:15félicitations
22:16parce que vous remportez
22:18le séjour d'hôtel Bel-Ambra
22:19pour une valeur
22:20de 1200 euros.
22:21Vous allez pouvoir partir
22:24en famille,
22:24entre amis.
22:26Félicitations.
22:27Merci, merci beaucoup.
22:29Ça va faire du bien
22:29à la fin de la saison
22:30à Aquatic
22:32sur la base
22:33de Tommy's Park.
22:33Ça y est, c'est fini.
22:34On range le matériel
22:36mais ça va faire du bien.
22:37Une bonne semaine de vacances.
22:38Une bonne semaine de vacances.
22:40Félicitations mon cher Franck
22:41et visiblement,
22:42vous voyez,
22:42vous avez du goût
22:42de vous écouter Sud Radio
22:43et en plus,
22:44vous gagnez le jeu.
22:45Bravo mon cher Franck
22:45et bonjour ma chère
22:47Christine Bouillaud.
22:48Bonjour, bonjour à tous.
22:49On vous retrouve dans un instant
22:50puisque de 10h à midi,
22:51c'est l'émission
22:51Mettez-vous d'accord
22:52au programme ce matin.
22:53Oh ben, vous savez,
22:54c'est le cirque politique.
22:55On est tous un peu fatigués
22:56mais qui pour Matignon ?
22:59C'est la question
22:59à 100 000 euros
23:01qui sera tranchée.
23:02Je ne sais pas,
23:03on ne sait plus très bien
23:04quoi dire.
23:05Cette crise politique
23:06qui fatigue effectivement
23:07la démocratie française
23:08et les français,
23:09est-ce qu'on va en sortir ?
23:10Qui pour Matignon ?
23:11Des noms circulent évidemment.
23:12Qui pour cette urgence budgétaire
23:14également puisque le compte
23:16à rebours est lancé.
23:17On y reviendra
23:17avec nos débatteurs
23:19dans un instant.
23:19Il y a beaucoup de choses,
23:20les gagnants et les perdants
23:21aussi de cette séquence.
23:22Et puis tout à fait autre chose,
23:23on va parler du quotidien
23:25des français.
23:26Y a-t-il trop de fast-food
23:27dans les villes
23:28petites et grandes ?
23:30C'est la question qu'on pose
23:30puisqu'une sénatrice,
23:31les républicains,
23:32veut un texte de loi
23:33pour limiter leur nombre
23:35au nom de la lutte
23:36contre la malbouffe.
23:37Oui, mais parfois
23:38les fast-food,
23:39ce n'est pas cher.
23:40Et à l'heure où les budgets
23:41sont serrés,
23:42des fois,
23:42c'est une option
23:43pour pouvoir déjeuner,
23:44mon cher Maxime.
23:45Mais ma chère Christine,
23:46on vous retrouve jusqu'à midi.
23:47Mettez-vous d'accord
23:48un seul numéro,
23:480826 300 300.
23:50De mon côté,
23:50j'aurai le plaisir
23:51de vous retrouver
23:51dès demain,
23:526h en direct
23:53sur Sud Radio
23:53et cependant tout le week-end.
23:54Très bonne journée
23:55sur Sud Radio.
23:56Sous-titrage Société Radio
Recommandations
4:32
|
À suivre
40:19
4:37
46:57
45:33
15:19
22:22
43:09
40:37
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