- il y a 4 jours
Avec Amaury Brelet (rédacteur en chef à Valeurs Actuelles) et Laurent Joffrin (directeur de la publication Le Journal, ex-directeur de Libération et du Nouvel Observateur)
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NewsTranscription
00:00Le Grand Matin Sud Radio, la vérité en face, Maxime Liedot.
00:05Il est 9h31 sur Sud Radio, vous êtes avec nous avec ce numéro toujours à composer pour dialoguer.
00:10Discuter avec nous notamment en compagnie de Laurent Joffrin, bonjour.
00:12Bonjour.
00:13Merci beaucoup d'être avec nous mon cher Laurent, directeur de la publication du quotidien en ligne lejournal.info,
00:18ex-directeur également du journal Libération et du Nouvel Observateur et en compagnie comme chaque vendredi.
00:23Damori Brelet, bonjour.
00:24Bonjour Maxime.
00:24Rédacteur en chef à Valeurs Actuelles avec cette, bien sûr, cette actualité qui est en train quand même de se dérouler sous nos yeux.
00:29La prise de parole du Premier ministre, il y a maintenant trois quarts d'heure, devant l'hôtel de Matignon.
00:34Une prise de parole avant de continuer à consulter les différents partis politiques.
00:39Le RN depuis une petite demi-heure, puis suivra les écologistes, le parti communiste,
00:43et en fin de journée à 15h notamment le parti socialiste pour essayer de trouver des compromis.
00:48Et c'est ce qu'il nous a dit, le Premier ministre actuellement, en disant
00:50« Mais ne croyez pas que j'ai rien fait, c'est une nouvelle méthode, j'ai écouté, j'ai entendu, j'ai consulté.
00:54Il y a des chemins possibles à l'Assemblée nationale.
00:57L'Assemblée nationale, dans laquelle je n'utiliserai pas le fameux 49-3.
01:02Initiative saluée au passage par la présidente de l'Assemblée nationale elle-même.
01:06Et puis, oui, bien sûr, nous devons améliorer notre régime des retraites.
01:10Donc, en réalité, cette question qu'on vous pose ce matin, auditeur de Sud Radio,
01:14doit-on sauver le soldat, le corps nu ?
01:17Et avec les différentes annonces, notamment économiques, est-ce que ça va sauver peut-être votre budget ?
01:21Parce qu'il faut un budget pour la France.
01:22Mais vous aussi, auditeur de Sud Radio, vous avez besoin d'un budget et d'une fin de mois
01:26qui ne soit peut-être pas dans le rouge au niveau de la banque ou aussi difficile que ce que vous pouvez connaître.
01:30Actuellement, vous avez la parole.
01:32Et ce sera la dernière fois que je le répète, c'est promis, le 0826 300 300.
01:36Mon cher Laurent Geoffrin, faut-il sauver le soldat, le corps nu ?
01:39Comment vous interprétez cette prise de parole surprise, quand même, du Premier ministre ?
01:43Je crois que cette tactique consiste à épuiser les protagonistes du débat.
01:49Parce qu'il espère ne pas être censuré tout de suite.
01:53Alors, apparemment, le Rassemblement National n'a pas l'intention de le censurer maintenant.
01:57Donc, il va s'ouvrir une discussion budgétaire.
01:59Dès lors qu'il n'y a pas de 49 francs, ça peut durer trois mois.
02:03Et donc, il va lancer toutes sortes de sujets au fur et à mesure des différents postes budgétaires.
02:07Il va laisser la discussion se poursuivre à l'Assemblée et au Sénat en disant
02:13« Trouvez des compromis. Moi, je vous propose de faire ça, mais est-ce que machin est d'accord ? »
02:18Ça va durer, durer, durer.
02:20Et comme il n'y aura pas de 49 francs, il n'y aura pas de...
02:23Il n'y aura pas de possibilité, on va dire, de se faire censurer ou d'arrêter.
02:26Donc, gagner du temps dans le débat.
02:28Gagner du temps, il joue la montre.
02:30Soit trouver des compromis point par point,
02:34soit ne rien trouver du tout.
02:36Et à la fin, il y a deux possibilités.
02:39On peut promulguer le budget par ordonnance, constatant que le Parlement n'en a pas fait.
02:44Deuxièmement, on peut reconduire le budget l'année dernière en disant
02:47« Écoutez, il n'y a pas de budget, donc on ne va pas arrêter de payer les fonctionnaires
02:51et les dépenses de l'État. »
02:54Et donc, on reprend le budget l'année dernière.
02:57Ce qui fait des économies automatiquement.
02:59Ça, c'est sûr.
02:59Amory Brulé, comment vous interprétez cette prise de parole du Premier ministre ?
03:02Et ce qui a été dit, quand même, sur les marches de l'hôtel de Matignon ce matin ?
03:05Amory, je suis tout à fait d'accord.
03:06C'est l'habituelle stratégie de la Macronie.
03:09Gagner du temps, jouer la montre, se maintenir au pouvoir coûte que coûte
03:13pour éviter la dissolution ou pire encore, la démission du Président.
03:18Aujourd'hui, on le voit bien, on a affaire à des partis au Parlement
03:21qui sont totalement opposés sur quasiment tous les sujets.
03:24Sauf peut-être sur le fait d'imposer davantage les riches
03:28qui a même réussi à gagner les cœurs des Républicains,
03:32ce qui est totalement sidérant et consternant.
03:34Sur le reste, ils ne sont d'accord sur rien.
03:36Et ce ne sont pas les quelques mesurettes sur le pouvoir d'achat
03:39qui vont coûter en plus 1,5 milliard.
03:42C'est-à-dire qu'au lieu de réduire les dépenses,
03:44qui est évidemment la priorité, on continue à alourdir la note,
03:48qui arrangeront les choses.
03:49Donc, tout cela, malheureusement, relève du mécano.
03:53M. Lecornu n'est pas un Premier ministre, n'est pas un homme d'État.
03:55Il est d'ailleurs comme François Bérou, c'est M. Bricolage.
03:58On bricole, on bidouille, on traficote.
04:00Et pendant ce temps-là, les déficits, la dette flambent,
04:03les taux augmentent et la France continue à rouler sur le toboggan
04:07vers la faillite budgétaire.
04:09Du bricolage et vraiment des mesurettes,
04:11c'est comme ça aussi que vous regardez, Laurent Geoffrin,
04:13les différentes...
04:13Quand on parle des heures supplémentaires, à nouveau d'un retour de la prime Macron,
04:17peut-être du travail sur l'héritage, vous diriez mesurette aussi ?
04:20Pas forcément, parce que...
04:24Reprenons un peu de distance.
04:27Le paysage politique est divisé en trois.
04:30Sous la Ve République, normalement, il y a une majorité et une minorité.
04:34Aujourd'hui, il y a trois minorités.
04:36Donc, aucune d'entre elles ne peut gouverner toute seule.
04:39Ce n'est pas possible.
04:40Sauf à faire des compromis.
04:44Ce qui est un système politique nouveau en France,
04:47que la classe politique ne comprend pas.
04:50Elle n'a pas compris qu'il fallait faire des concessions.
04:52Des vraies concessions.
04:53C'est-à-dire des concessions qui vous font mal,
04:54puisque vous tenez beaucoup à votre programme.
04:56Vous êtes obligés de lâcher des choses importantes.
04:58Dans tous les autres pays européens, ça se passe comme ça.
05:01En France, non.
05:02Alors, on peut toujours rêver d'un retour à la Ve République
05:05avec une majorité et une minorité,
05:07simple, droite-gauche,
05:09ou pro-européen, anti-européen, peu importe.
05:12Mais ça ne se fera pas.
05:14Et donc, dès lors qu'il y a trois portions dans le gâteau...
05:19Évidemment, il faut tenter des mains.
05:20On ne peut pas en faire la moitié.
05:22Ce n'est pas possible.
05:23Donc, il faut discuter.
05:24Discuter, ça veut dire...
05:26Évidemment, les gens vont dire
05:26« Donc, on fait des concessions, c'est mon bricole. »
05:29Oui, sauf que les concessions sont le lot commun
05:33de tous les pays européens.
05:34Et il y a beaucoup de pays européens
05:35qui se débrouillent mieux que la France.
05:37Ça, c'est vrai.
05:37Sébastien Lecornu avait évoqué une rupture.
05:40S'il voulait véritablement opérer une rupture
05:42et la seule possible,
05:43c'est se tourner vers la droite.
05:44Et toute la droite.
05:45Jusqu'au Rassemblement National,
05:47qui est aujourd'hui le premier parti de France.
05:49Et on est là à discuter avec le Parti Socialiste,
05:52qui a fait 1,7% à la dernière présidentielle,
05:55dans l'idée de sortir la France du socialisme.
05:57Alors, c'est un concept.
05:58Moi, je trouve que c'est totalement sadomasochiste.
06:00Donc, la vraie solution,
06:01c'est de discuter avec la droite
06:02jusqu'au Rassemblement National.
06:03On va corriger quand même le...
06:04Le Rassemblement National, d'ailleurs,
06:06j'en conviens sur les questions économiques,
06:08est très socialisant,
06:09de plus socialisant.
06:10Et là aussi, c'est totalement concernant.
06:11On ne sait pas si c'est du socialisme
06:12ou un vrai manque de maîtrise, parfois,
06:13de la notion d'économie.
06:14C'est un mélange des deux, parfois.
06:15C'est un mélange de socialisme
06:16et d'incompétence sur les sujets économiques.
06:19Je crois que le mot sadomasochiste
06:20n'a pas beaucoup plu à Laurent Geoffrey.
06:21Non, non, mais c'est les 1%.
06:23Les 1%, c'est tout à fait exact.
06:25C'est le score de Anne Hidalgo.
06:26Mais tous les autres scrutins
06:28montrent que les socialistes,
06:29ils sont à 15%.
06:30Ils ne sont pas...
06:32C'est pas négligeable.
06:35C'est une force parmi d'autres.
06:36Ce n'est pas la force dominante,
06:38loin de là.
06:38Mais c'est une force parmi d'autres.
06:40On ne peut pas la balayer
06:40d'un revers de main méprisant.
06:43Les idées ne sont pas partagées largement.
06:45Je vous propose que pour faire avancer...
06:47Sur la question de la taxation des riches,
06:48ils sont ultra majoritaires.
06:49Ils sont d'abord pour diminuer la défense
06:51quand on regarde les sondages.
06:52Messieurs, je vous propose
06:53de faire avancer la conversation
06:55en allant au standard
06:55au 0826 300 300.
06:57Bonjour, Hugo.
06:59Oui, bonjour.
07:00Merci de m'accueillir.
07:01Bonjour à tous.
07:02Avec cette question,
07:02faut-il sauver le soldat Lecornu
07:05quand on voit en réalité
07:06comment se dessinent
07:07les prochaines semaines,
07:08les prochains mois ?
07:09Qu'est-ce que vous nous dites, vous, Hugo ?
07:11Moi, j'ai envie de dire
07:12qu'il n'y a plus rien à sauver.
07:13Parce qu'on a l'impression
07:15de toujours se retrouver au même stade.
07:17On est sur un système
07:18de chaise musicale.
07:20On met l'un, on met les autres.
07:21Et puis, finalement,
07:22on n'entend jamais la voix du peuple.
07:23Il faut prendre en considération,
07:25aujourd'hui, c'est bien beau
07:26de faire des tambouilles de partis
07:27entre les uns et les autres.
07:29Mais le taux d'abstention
07:30est en constante augmentation.
07:33Les bulletins blancs
07:34sont également en constante augmentation.
07:35Mais on n'écoute pas la voix du citoyen
07:37qui, lui, a son mot à dire.
07:39Donc, on n'a aujourd'hui
07:40aucun exemple qui vient
07:41des partis politiques.
07:43Il y a une perte de confiance totale.
07:45Donc, c'est bien beau
07:46de vouloir s'asseoir à un siège.
07:48Et puis, pour y rester
07:49combien de temps ?
07:50Trois mois ? Six mois ?
07:51Est-ce qu'on peut faire
07:51vencer la France comme ça ?
07:53Donc, il y a vraiment
07:53une problématique, aujourd'hui,
07:55de confiance.
07:56Et ce sont des gens, finalement,
07:57qui arrivent à des postes,
07:58qui les occupent pendant six mois
08:00et qui ne font pas plus.
08:01Donc, on se cale derrière
08:03une diktat.
08:04Je ne sais pas si elle vient
08:05de l'Europe ou d'ailleurs.
08:06Mais toujours pareil.
08:07Moi, je suis citoyen lambda.
08:09Et on n'est pas écouté
08:10qu'on mette sur la table
08:11des référendums,
08:12à savoir si on veut continuer
08:13ce type de politique.
08:14Ça a souvent été évoqué,
08:15en effet, mais jamais fait,
08:16mon cher Hugo.
08:16Mais une petite question.
08:17Est-ce que vous faites partie
08:18des Français, mon cher Hugo,
08:20qui regardaient un peu
08:20l'absence de gouvernement
08:21comme une réflexion ?
08:23Vous seriez capable
08:24de vous dire, en réalité,
08:25c'est vrai que quand il n'y a pas
08:26de gouvernement, malheureusement,
08:27on ne s'en aperçoit même pas
08:28et ça ne vous inquiète pas tellement.
08:30Vous êtes presque dans cette logique, vous ?
08:32Alors, non, je ne sais pas
08:33parce qu'il faudrait
08:34qu'on soit devant le fait
08:35accompli réellement
08:36au bout de quelques années
08:37pour se rendre compte
08:38de quel en serait le résultat.
08:39Donc, aujourd'hui,
08:40je ne peux pas me prononcer là-dessus.
08:41On n'a pas une boule de cristal
08:43pour savoir ce qui va réellement
08:44se passer ou pas.
08:45Mais très souvent, malheureusement,
08:46les promesses qui nous sont faites
08:47ne sont pas tenues.
08:49Et ça, c'est vous qui, en effet,
08:51on sent le ras-le-bol de ça.
08:530,826, 300, 300.
08:55Merci beaucoup, mon cher Hugo,
08:56d'avoir été avec nous ce matin
08:57et avant de vous redonner la parole
08:59à Maury Brulé et Laurent Joffrin,
09:01on est avec Frédéric.
09:01Bonjour, Frédéric.
09:03Oui, bonjour.
09:04Merci beaucoup d'être avec nous ce matin.
09:05Faut-il sauver le soldat Sébastien Lecornu
09:08après sa prise de parole
09:09sur les marches de l'hôtel de Matignon ce matin ?
09:12Vous, vous nous dites quoi ?
09:12Est-ce que ça vaut le coup de le sauver ?
09:14Il faut une grande rupture ?
09:15Frédéric.
09:16Il faut une grande rupture.
09:17Moi, je rejoins tout à fait
09:19l'éditeur président.
09:20Et la grande rupture,
09:21parce que là, on parle toujours
09:22autour du pauvre,
09:23c'est du copinage,
09:24de politique,
09:25sur qui on va prendre un petit peu de sous.
09:28Le projet, le dernier,
09:29le premier ministre,
09:30il paraît de 40 ou 50 milliards d'économies.
09:33Moi, je pense qu'il faut d'abord
09:35des gens qui commencent à débattre,
09:37à se soulever contre Mme Tandalaïen,
09:40à débattre notamment
09:41de ce qu'on appelle la décarbonisation.
09:43Parce qu'aujourd'hui, je pense
09:44que beaucoup de gens se rendent compte
09:45que c'est plus ou moins bidon.
09:47On ne peut plus associer aujourd'hui le carbone.
09:50Et ce que ça nous coûte,
09:51c'est-à-dire quand je vois
09:52les transitions énergétiques,
09:54que ce soit à l'éolienne,
09:55à grande échelle,
09:56que ce soit...
09:57Mon cher Frédéric,
09:58essayez de bouger légèrement
09:59avec votre téléphone
10:00et on vous retrend pas,
10:01mais il y a un son très très compliqué.
10:02Et comme ça ne vous a pas échappé
10:03qu'on fait de la radio
10:03quand il y a un mauvais son,
10:04c'est toujours un peu délicat.
10:05On essaye de retravailler le son,
10:07mon cher Frédéric.
10:08Je vous voyais être attentif
10:09et même réagir physiquement,
10:11mon cher Laurent Geoffrin,
10:11à ce que vous venez d'entendre
10:12de la part de l'ami Hugo et Frédéric.
10:14Oui, parce que je considère
10:16que c'est totalement incohérent.
10:17qui élit les députés ?
10:21On dit qu'il n'écoute pas le citoyen.
10:22Mais qui élit les députés ?
10:24Libi.
10:25Ce n'est pas Ursula von der Leyen
10:26qui nomme les députés français,
10:28contrairement à ce que j'ai entendu là.
10:30Il n'y a pas une dictature européenne,
10:33c'est du bidon ça.
10:35Les gens sont libres de voter
10:36pour qui ils veulent.
10:37Ils sont libres de ne pas voter,
10:38mais le problème c'est
10:38quand on ne vote pas,
10:39les abstent ont tort.
10:41Or, en plus on dit
10:42l'abstention augmente,
10:43c'est vrai,
10:43mais au dernier législatif,
10:44il y a eu 66% de participation.
10:46Ce n'est pas formidable,
10:47mais ce n'est pas non plus nul.
10:49Et donc,
10:50si le Parlement a cette configuration,
10:54c'est de la faute des électeurs.
10:55Ils n'ont qu'à voter,
10:55ils n'ont qu'à désigner.
10:56On a les politiques qu'on mérite,
10:57comme on dit si bien.
10:58Bien sûr,
10:58ils n'ont qu'à désigner une majorité.
11:00Il dit qu'il faut une rupture.
11:01Mais d'accord,
11:01votez pour les partis
11:02qui veulent une rupture.
11:03À ce moment-là,
11:03ils sont majoritaires.
11:04Vous vous estimez un peu
11:05comme nos auditeurs
11:05et en accord peut-être
11:06avec l'analyse de Joran Geoffrin
11:07qui dit qu'en réalité,
11:08on a les politiques qu'on mérite.
11:09Donc,
11:09c'est comme ça.
11:10Absolument.
11:11Je crois malheureusement que...
11:12Un point d'accord,
11:13mesdames, messieurs.
11:14C'est vendredi,
11:14tout est permis.
11:15Je crois malheureusement
11:16que les Français,
11:16ça fait 30 ans
11:17qu'ils ont voté à la fois
11:18à droite et à gauche
11:19pour une politique socialiste.
11:20Donc,
11:20il ne faut pas s'étonner
11:21qu'on en soit là aujourd'hui.
11:22La droite n'a cessé
11:23depuis 30 ans
11:25de promettre...
11:26L'accord n'a pas duré longtemps.
11:27Mais ils ont voté librement.
11:30Ils n'ont jamais vu le jour.
11:31Donc,
11:31aujourd'hui,
11:32oui,
11:32les Français sont largement responsables
11:33de la situation
11:34dans laquelle ils sont.
11:36Précisons tout de même
11:36que nous faisons face aussi
11:38démocratiquement
11:40à des structures,
11:42à des cours suprêmes
11:43en France
11:43qui malheureusement
11:44nous contraignent,
11:45nous empêchent parfois
11:46de réformer la loi,
11:49qu'il s'agisse
11:49des questions migratoires,
11:50des questions sécuritaires,
11:51le Conseil constitutionnel,
11:52notamment,
11:52les décisions du Conseil d'État
11:54et puis aussi
11:55les décisions,
11:57la jurisprudence européenne,
11:58les traités internationaux
11:59qui s'imposent à nous
12:00ce droit supranational
12:01qui aujourd'hui
12:02est en train de piétiner,
12:03mais déjà depuis des années,
12:04la souveraineté française.
12:060826,
12:07c'est juste après la pub,
12:07mon cher Laurent Geoffrin,
12:08comme ça,
12:08ça fait un art du teasing
12:09absolument exceptionnel.
12:110826 300 300.
12:13Est-ce qu'il faut sauver
12:14le soldat Sébastien Lecornu ?
12:16On en discute,
12:16donc vous les avez entendus
12:18à l'instant débattre
12:18et avoir un très très court accord.
12:20Amoribro,
12:21les rédacteurs en chef
12:21à Valeurs Actuelles
12:23et Laurent Geoffrin,
12:24directeur de la publication
12:25du quotidien en ligne,
12:27le journal.info
12:280826 300 300.
12:30On poursuit la discussion
12:31et si vous nous appelez,
12:32peut-être également
12:33que vous êtes capable
12:33de composer un petit SMS,
12:35un seul mot,
12:36le mot Sud
12:36au 7-20-18.
12:38Un seul mot,
12:39le mot Sud
12:39au 7-20-18.
12:41Pourquoi me direz-vous ?
12:41Peut-être pour être loin
12:42de l'actualité politique,
12:43tiens,
12:44c'est-à-dire prendre
12:44quelques vacances,
12:46que ce soit à la campagne,
12:47à la mer,
12:47à la montagne,
12:48peu importe,
12:48c'est un séjour,
12:49la grande vacance
12:50dans des établissements
12:513 à 4 étoiles.
12:52Vous choisissez,
12:53vous gagnez
12:54et on vous passe
12:54un petit goût de fil.
12:55Avant 10 heures,
12:56ce n'est pas encore joué,
12:57donc n'hésitez pas,
12:58un seul SMS,
12:59le mot Sud
13:007-20-18.
13:01La vérité en face,
13:02en direct jusqu'à 10 heures.
13:04On se retrouve
13:04dans un instant.
13:05A tout de suite.
13:06Le grand matin Sud Radio,
13:08la vérité en face,
13:10Maxime Liedot.
13:11En direct jusqu'à 10 heures,
13:13auditeur de Sud Radio,
13:14un seul numéro,
13:140826-300-300
13:16pour dialoguer avec nous
13:18au standard sur cette question.
13:19Est-ce qu'il faut sauver
13:19le soldat Sébastien Lecornu,
13:21Premier ministre,
13:22qui s'est exprimé
13:23il y a maintenant
13:23une petite heure
13:24pour en effet
13:25faire une sorte,
13:26un petit état des lieux,
13:28on va dire,
13:28de certaines discussions
13:29avec les formations politiques.
13:31Nous en discutons toujours
13:32avec Amaury Bourlet,
13:32rédacteur en chef
13:33à Valeurs Actuelles
13:34et Valeurs en kiosque
13:36qu'on peut acheter
13:36cette semaine,
13:37mais sur le site également.
13:38Justice,
13:39les fausses soyeurs du droit
13:40face aux politiques,
13:40la dérive mortifère
13:41d'une justice d'exception,
13:43c'est en tout cas
13:43ce qu'on peut lire.
13:44Et Laurent Geoffrin,
13:45directeur de la publication
13:46du quotidien en ligne,
13:47le journal,
13:48.info 0826-300-300.
13:51C'est vrai que,
13:52mon cher Laurent Geoffrin,
13:53on était en train
13:54de dialoguer en effet
13:55sur les 50 nuances
13:56de socialisme
13:57qui existaient en France
13:58selon le mot
14:00d'Amorey Bourlet
14:01et vous vouliez absolument répondre.
14:04Et vous aviez oublié,
14:05c'est ça.
14:05Oui, oui,
14:06parce que c'est une formulation
14:08exagérée et polémique
14:09qui est en France
14:11des institutions socialisantes,
14:13c'est vrai,
14:13il y a un État de Providence
14:14qui a été créé à la Libération,
14:16qui a été développé depuis,
14:17il y a des règles sociales,
14:18etc.,
14:18qui sont à mon avis
14:19nécessaires
14:20pour protéger les salariés
14:21et c'est une culture
14:23qui n'est pas propre
14:25à la France
14:26mais qui est plus prononcée
14:27en France
14:27que dans d'autres pays.
14:28Ça, c'est vrai.
14:29Et qu'on peut contester,
14:31évidemment.
14:31Je remarque quand même
14:32que depuis 30 ans,
14:3540 ans,
14:35la droite,
14:37m'a-t-il semblé,
14:38était au pouvoir.
14:39Il y a eu
14:40des gouvernements
14:41Chirac,
14:42Balladur,
14:43il y a eu
14:44une présidence Chirac,
14:45il y a eu
14:45une présidence Sarkozy.
14:47Tout ça,
14:48ce n'est pas des socialistes
14:49quand même.
14:50Et par ailleurs.
14:51Il y a une alternative
14:53qu'il y a eu
14:53du socialisme.
14:54Le but,
14:54c'est de dire
14:54qu'il y a une alternative
14:55qu'on n'a jamais utilisée,
14:56c'est le Rassemblement National.
14:58Mais moi,
14:58j'ai lu le programme
14:59du Rassemblement National.
15:00C'est très socialisant.
15:01Il est tout aussi socialisant
15:02que ce que vous dites.
15:04La même chose,
15:05à mon avis.
15:06Il est beaucoup moins
15:07qu'ils nous disent,
15:07d'ailleurs.
15:08Vous les pensez quoi ?
15:09Plus libéraux dans le fond,
15:10c'est ça ?
15:11Ils sont en train de revenir,
15:12oui,
15:12parce qu'ils sentent
15:13qu'il faut avoir
15:14le soutien du patronat
15:15et donc,
15:15manifestement,
15:17Bardella a eu des contacts
15:18et ils ont commencé
15:19à dire
15:20oui,
15:20il y a trop d'impôts,
15:21etc.
15:23Mais c'est une culture française
15:24qui est largement justifiée,
15:29aussi.
15:30Parce que personne
15:30ne veut vivre à l'américaine
15:32en France.
15:33À juste raison.
15:36Personne n'a envie
15:37qu'on soit viré
15:37du jour au lendemain,
15:38que la retraite
15:39soit entièrement privée,
15:40que l'hôpital coûte une fortune,
15:42qu'il faut s'assurer
15:43soi-même.
15:44Parce que pourquoi
15:44il y a beaucoup de prélèvements ?
15:46C'est parce qu'il y a
15:47beaucoup de services
15:49qui sont rendus
15:49par la puissance publique.
15:50Mais des services,
15:50reconnaissez-le mon cher
15:51Laurent Joffrin,
15:52de moins en moins bonne qualité,
15:53que ce soit l'hôpital,
15:54que ce soit l'école,
15:55qu'il faut les améliorer.
15:56Mais ce n'est pas en réduisant
15:57les crédits
15:57qu'on veut les améliorer.
15:59Déjà, avec le taux de crédit
16:00très élevé,
16:00on voit dans quel état c'est
16:01que ce n'est pas forcément formidable.
16:02Vous dites que ça marche mal,
16:03donc il faut leur donner
16:04moins d'argent.
16:05Je dis que ça marche mal,
16:06donc il faut peut-être
16:07repenser en effet
16:08l'argent qu'on leur donne
16:08à Moribolet.
16:09Ça fait 30 ans
16:10que la droite fait campagne
16:11sur des idées libérales
16:12et ça fait 30 ans
16:13qu'une fois au pouvoir,
16:15elle mène une politique socialiste.
16:16La dette a explosé
16:17sous Nicolas Sarkozy.
16:19Quand vous regardez
16:19la courbe de la dette
16:20depuis 30 ans,
16:21depuis 1900,
16:22je crois que c'était 1984,
16:24la première année
16:25où le gouvernement
16:26n'a pas présenté
16:27un budget en équilibre,
16:30vous voyez la courbe,
16:31elle augmente,
16:31elle flambe
16:32sous Nicolas Sarkozy
16:33Il a eu la crise des subprimes,
16:35je ne suis pas très Sarkozy,
16:36mais je ne reconnais pas ça.
16:37Mais même la droite
16:38contelle le pouvoir
16:38mène une politique socialiste
16:39parce que malheureusement
16:40les Français
16:41sont très attachés à l'État,
16:43ils sont drogués
16:43à la dépense publique
16:44et à l'État-providence.
16:45Dès qu'il y a un problème,
16:46on appelle l'État aux sous,
16:47il faut dépenser toujours plus,
16:49alors qu'il faudrait évidemment
16:50baisser les impôts.
16:51On a un niveau
16:52de prélèvement obligatoire
16:53parmi les plus élevés au monde,
16:54on a un niveau
16:55de dépense publique
16:56parmi les plus élevés au monde,
16:57on a une politique
16:58de redistribution
16:59totalement délirante
17:00et qu'aujourd'hui
17:01est en train d'enfoncer
17:02la France
17:02avec des déficits
17:04qui flambent,
17:05170 milliards
17:06l'an passé
17:07et on nous parle
17:08d'une taxe Zuckman
17:09qui rapportera
17:10au mieux 5 milliards,
17:11c'est-à-dire 3%.
17:12Donc tout ça
17:12n'est pas très sérieux,
17:14il faut engager
17:14des mesures systémiques,
17:16on le sait,
17:16structurelles,
17:17sur la question
17:18évidemment de l'État-providence,
17:19du périmètre
17:20de l'État-providence,
17:21la question des régimes sociaux,
17:23notamment
17:23notre système de retraite
17:25qui est une pyramide
17:26de Ponzi
17:26qui est en faillite,
17:28tout le monde le sait,
17:28il faut introduire
17:29un système par capitalisation
17:31comme d'ailleurs
17:31l'ont fait quasiment
17:32toutes les grandes démocraties
17:34du monde.
17:34Aujourd'hui,
17:34les seuls qui profitent
17:35véritablement d'un système
17:36par capitalisation
17:38en France,
17:39ce sont les fonctionnaires
17:40grâce à l'après-fonds.
17:41C'est totalement scandaleux.
17:420,826, 300, 300,
17:44sur tous ces sujets
17:44en effet qu'on est en train
17:45d'évoquer autour de la table,
17:47un numéro
17:48et cette question
17:48faut-il sauver
17:49le soldat Lecornu
17:50qui lui aussi,
17:51on le disait
17:52en préambule de cette émission,
17:53essaye surtout
17:54de gagner du temps
17:55avec les différentes
17:56formations politiques
17:57et je vous propose
17:58parce que vous demandez
17:59et vous assuriez
17:59mon cher Amaury,
18:00tout ça n'était pas très sérieux
18:01de savoir ce qu'en pense Michel.
18:03Bonjour.
18:04Oui, bonjour,
18:05merci à toute l'équipe
18:07de me prendre.
18:08Je vous en prie.
18:09Alors, mon cher Michel,
18:10comment on fait ?
18:10Est-ce qu'on sauve
18:11le soldat Lecornu ?
18:12Alors, je vais essayer
18:13d'être très rapide
18:14et je vais l'être.
18:15D'abord,
18:15je ne suis pas le soldat
18:17Lecornu qui veut sauver,
18:18c'est la gestion de la France.
18:19Ça, c'est la première chose.
18:20de nommer M. Lecornu,
18:23c'était voué à l'échec
18:24puisque tout le monde
18:25devient anti-macroniste
18:26et il faut reconnaître,
18:27même si c'est certainement
18:28un garçon brillant,
18:29qu'il est très proche
18:30de notre président
18:31et donc, forcément,
18:33c'était voué à l'échec.
18:35Ensuite, aujourd'hui,
18:36pour moi, la solution...
18:37Mauvais casting, vous dites.
18:39Ben, complètement.
18:40Complètement.
18:41C'était évident
18:42que ça ne pouvait pas marcher.
18:44Maintenant, la solution serait,
18:45en effet,
18:46ça fait peur à tout le monde
18:47de, à nouveau,
18:48dissoudre l'Assemblée nationale.
18:50Maintenant, ça fait peur.
18:51Pourquoi ?
18:51Parce qu'en effet,
18:51le Front National,
18:53compte tenu des éléments...
18:54Voilà, oui, pardon,
18:56le Rassemblement National...
18:57Non, oui.
18:59Quelle bêtise.
19:01Va certainement prendre la majorité.
19:03Alors, ça fait peur à tout le monde.
19:04Mais, au bout d'un moment,
19:05c'est vrai que tout le monde
19:06peut critiquer.
19:08Ça a quand même bien évolué.
19:10C'est, en effet,
19:10le Rassemblement National.
19:11C'est plus le Front National
19:12de Jean-Marie Le Pen.
19:13Ce garçon,
19:14Bardella,
19:15a l'air brillant.
19:16Tout le monde dit
19:16qu'il est mauvais.
19:17Et comme me dit
19:18certains humoristes,
19:19est-ce qu'il ne serait pas temps
19:20d'essayer un mauvais ?
19:22On a fait tous les bons.
19:23On pourrait peut-être
19:24essayer un mauvais.
19:25Ça ne serait pas...
19:25C'est une certaine conception,
19:26mon cher Michel.
19:26Mais si, en réalité,
19:27je vous comprends bien,
19:29il faut quoi ?
19:30Il faut appuyer
19:30sur le bouton de la dissolution.
19:32C'est un peu ça,
19:32l'idée que vous avez
19:33derrière la tête,
19:37il a fait quand même
19:38pas mal d'essais, quoi.
19:41N'importe qui,
19:42vous allez mettre,
19:43il n'y aura jamais...
19:44Ça va toujours bagarrer.
19:46Personne ne soutiendra.
19:47Puisque c'est trop divisé.
19:48Il faut qu'il y ait
19:49une majorité qui se détache.
19:50Et aujourd'hui,
19:51la majorité qui va se détacher,
19:53c'est le Rassemblement National.
19:55Et ça fait peur à tout le monde.
19:56Encore une fois,
19:57est-ce qu'il n'est pas temps
19:57d'essayer un mauvais ?
19:58Vous posez peut-être
19:59la question qui fâche.
20:00Merci beaucoup,
20:01mon cher Michel,
20:01d'avoir été avec nous.
20:020826 300 300.
20:04Il nous reste deux minutes,
20:04messieurs.
20:05En quelques secondes,
20:07Ribrelet,
20:07est-ce qu'il faut essayer,
20:08puisqu'on a soi-disant
20:09essayé tous les bons ?
20:10Est-ce qu'il faut essayer
20:11le mauvais ?
20:12S'il y a une dissolution,
20:14soit le RN gagne,
20:15comme le souhaitent
20:16vos auditeurs,
20:17ils sont tous militants
20:18du RN.
20:19On vous exagère un peu.
20:20Il y en a un qui a dit
20:21qu'il faut peut-être essayer.
20:22Tout à l'heure,
20:22on a même eu un militant socialiste,
20:24pour vous dire,
20:24Laurent Geoffrin.
20:25C'est pas vrai.
20:25Il y en a un.
20:27C'est toujours le même, non ?
20:29Soit c'est le RN qui gagne,
20:33ce qui est une mauvaise solution,
20:34à mon avis.
20:35Soit il n'y a pas de solution.
20:36On va retrouver
20:37la même configuration,
20:40avec une division en trois tiers,
20:41où il n'y aura pas de majorité.
20:43Donc c'est beaucoup plus sage
20:45pour le pays,
20:46on ne fera pas grand-chose,
20:48mais on d'attendre
20:48la présidentielle.
20:49C'est à la présidentielle
20:50que ça va se trancher.
20:50On fera de vrai choix
20:51la présidentielle.
20:52C'est dans un an et demi.
20:53La France est condamnée
20:55au statu quo politique
20:56et budgétaire,
20:56donc la meilleure solution
20:57dans l'immédiat,
20:58ça serait évidemment
20:59une dissolution,
21:00rendre la parole au peuple,
21:01en attendant la prochaine
21:02présidentielle dans deux ans.
21:03Merci beaucoup Amory Brulé,
21:05je le rappelle,
21:05rédacteur en chef
21:06à Valeurs Actuelles,
21:07le journal qu'on peut retrouver
21:09cette semaine en une,
21:10les faux soyeurs du droit,
21:11et mon cher Laurent Joffrin,
21:12directeur de la publication,
21:13avec nos auditeurs socialistes
21:14qui vont surruer
21:15sur justement
21:16votre quotidien en ligne,
21:18le journal.info.
21:18Merci d'avoir été avec nous ce matin
21:21et si vous avez été nombreux,
21:22je vous en remercie d'ailleurs
21:23à nous avoir appelés
21:23au 0826 300 300,
21:25vous êtes également nombreux
21:26à avoir participé au jeu
21:27avec un seul numéro,
21:29le 720 18 en envoyant Sud
21:31et c'est Ligne qui a gagné.
21:33Bonjour ma chère Ligne.
21:34Bonjour toute l'équipe.
21:35Mais merci beaucoup
21:36d'écouter Sud Radio
21:37et visiblement d'avoir,
21:38on va dire,
21:38le texto rapide
21:39parce que vous avez gagné
21:40un séjour,
21:41la grande vacance,
21:42dans un séjour,
21:433-4 étoiles,
21:43à la mer,
21:44à la campagne,
21:45peu importe,
21:46où vous voulez.
21:46Est-ce que vous êtes heureuse
21:48ma chère Ligne ?
21:48C'est bien ça ?
21:49C'est incroyable,
21:50merci beaucoup,
21:51je n'y crois toujours pas.
21:53Mais si,
21:53je vous assure,
21:54félicitations à vous,
21:55donc un séjour,
21:55la grande vacance,
21:56félicitations,
21:58établissement formidable,
21:59le lieu de votre choix,
22:00donc j'espère que vous allez
22:00en profiter pour vous reposer
22:02et vous continuerez à écouter
22:03Sud Radio bien sûr,
22:04discrètement,
22:05sous la couette bien sûr,
22:07en vacances.
22:08Merci beaucoup ma chère Ligne
22:09d'avoir été avec nous
22:10et dans un instant bien sûr,
22:12on vous retrouve,
22:12Jean-Marie Bordry,
22:13bonjour.
22:13Bonjour Maxime.
22:15Pour votre émission,
22:15donc jusqu'à midi.
22:17Oui,
22:17Sébastien Lecornu
22:18qui renonce à l'article 49.3,
22:20on va voir pourquoi
22:20ça ne changera absolument rien.
22:22On va aussi parler
22:23des Républicains.
22:24Seront-ils les cocus
22:25du gouvernement Lecornu ?
22:26En tout cas,
22:26ils font tout
22:26pour qu'ils ne les oublient pas.
22:28Et puis devine,
22:28tiens Maxime,
22:29de quel pays
22:30la France insoumise
22:30veut que la France
22:31expulse son ambassadeur,
22:33l'ambassadeur ?
22:34Faites-moi rêver.
22:34Israël, évidemment.
22:36On en parle
22:37de 10h à midi
22:38sur Sud Radio.
22:39Avec un numéro bien sûr,
22:400826 300 300,
22:42la vérité en face,
22:43de 10h jusqu'à midi.
22:45Pour ma part,
22:45j'aurai le plaisir
22:46de vous retrouver,
22:47bien sûr,
22:47mettez-vous d'accord,
22:48pardonnez-moi,
22:49et moi j'aurai le plaisir
22:49bien sûr de vous retrouver
22:50dès demain,
22:51de 7h jusqu'à 10h en direct.
22:53A tout de suite
22:53et très bonne matinée
22:54sur Sud Radio.
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