Passer au player
Passer au contenu principal
Rechercher
Se connecter
Regarder en plein écran
Like
Favori
Partager
Plus
Ajouter à la playlist
Signaler
Crise politique : Emmanuel Macron «est échec et mat politiquement», souligne Alexandre Malafaye
Europe 1
Suivre
il y a 3 mois
Catégorie
🗞
News
Transcription
Afficher la transcription complète de la vidéo
00:00
Edouard Philippe qui suit les traces, j'allais dire, de Gabriel Attal hier soir.
00:05
Gabriel Attal qui disait franchement je ne comprends pas les décisions d'Emmanuel Macron.
00:11
Aujourd'hui Edouard Philippe appelle à une présidentielle anticipée, écoutez-le, c'était ce matin.
00:16
Je ne suis pas du tout sur la ligne des insoumis qui expliquent qu'il faut une destitution du président de la République.
00:22
Je ne suis pas pour sa démission immédiate, brutale, elle aurait un impact terrible,
00:27
elle interdirait une élection présidentielle qui se passe dans de bonnes conditions.
00:30
Mais je crois qu'il doit prendre une initiative.
00:32
Et il me semble qu'il s'honorerait s'il proposait un nom de Premier ministre,
00:38
il nommait un Premier ministre pour fonction d'exécuter les affaires courantes et de construire un budget,
00:43
de faire adopter ce budget et qu'à l'issue, dès lors que ce budget est adopté,
00:47
dès lors que la France est dotée d'un budget et c'est indispensable,
00:50
il annonce qu'il organise une élection présidentielle anticipée,
00:54
c'est-à-dire qu'il part immédiatement après que le budget a été adopté.
00:59
Alexandre Malafaille, ça serait vous qui aurait dit ça ?
01:01
J'aurais dit, bon, ben voilà, c'est un patron de think tank qui dit ça.
01:05
Là, on a un candidat qui est candidat depuis quoi ? 4 ans ?
01:09
Oui.
01:09
Bon, est-ce que c'est crédible ?
01:12
En tout cas, ce qui est crédible, c'est qu'on n'aura jamais vu un président de la République
01:16
coûter aussi cher à notre pays sur le tel de son égo.
01:20
Ça, c'est la réalité à laquelle on est aujourd'hui confronté.
01:22
Et quand Édouard Philippe trace ce scénario, il dit la seule chose qui devrait être aujourd'hui
01:28
mise en œuvre par le président de la République.
01:31
Je peux envisager qu'il démissionne, mais il ne le fera jamais.
01:35
Tout le monde devrait le pousser à ça.
01:36
Il est échec et mal, politiquement.
01:38
Il devrait tirer le son de ses échecs successifs sur un plan électoral
01:42
et du fait qu'il est rejeté par les Français.
01:45
Il ne le fait pas.
01:46
Et il ne le fait pas en tordant les institutions, non pas l'esprit, mais en tordant les institutions
01:51
pour se préserver jusqu'à la fin.
01:53
Donc si, en effet, il décide de lancer, de faire une dissolution dans quelques semaines,
01:59
ça le met à l'abri de tout renversement avant les présidentielles.
02:01
Le jeu ne permettra plus de le faire.
02:04
Donc il s'achète un temps qui lui permettra de garantir qu'il restera jusqu'à la mai 2027.
02:10
Ce qui veut dire que ce pays, même si un gouvernement sort des urnes,
02:14
il n'y aura pas de majorité absolue, ce sera très difficile,
02:17
on va perdre, je le redis, on va perdre deux ans.
02:19
Pourquoi on va perdre deux ans ?
02:20
Parce que le budget 2026 sera un budget de petite marge de manœuvre,
02:25
de compromis qui ne fera pas grand-chose.
02:27
On ne va pas tailler dans le dur.
02:28
Non, surtout, il n'y a pas de vision, il n'y a pas de cap, il n'y a pas de stratégie.
02:32
C'est ça qui est le pire.
02:33
À la limite, un budget, on peut s'en accommoder,
02:35
mais aujourd'hui, tous les textes sont bloqués.
02:37
Vous prenez sur l'industrialisation du pays,
02:39
c'est un champ de... non pas de ruines, mais c'est un champ de friches.
02:43
Vous prenez les grands enjeux liés au numérique, au cyber, à la sécurité.
02:45
On est dans le même état.
02:47
Vous prenez les grands enjeux liés à la sécurité, on peut en parler.
02:49
La cybersécurité, le narcotrafic, les problématiques migratoires,
02:53
on ne les traite pas.
02:54
On ne les traitera pas jusqu'à septembre 2027,
02:58
qu'une nouvelle assemblée, en espérant qu'elle soit à peu près alignée avec le gouvernement,
03:02
puisse faire le job.
03:03
Donc c'est dramatique, la seule bonne solution, en effet, d'avoir fini par raison,
03:06
c'est rare que je sois avec lui,
03:07
c'est de dire, voilà, le président devrait tirer toutes les bonnes leçons
03:08
de ce qui se passe et démissionner maintenant.
03:11
Alors, il peut éventuellement le faire juste après la dissolution,
03:14
mais ça n'aura pas de sens, puisqu'il faudrait le faire avant
03:17
pour qu'il y ait un enchaînement logique, pour dire, je démissionne,
03:19
il y a un président, et derrière, il y a une assemblée qui essaye de s'aligner.
03:21
C'est vrai qu'il ne le fasse, point Claude.
03:22
C'est pas dans sa nature, semble-t-il.
03:24
C'est vrai qu'il nous a toujours désarçonnés, toujours surpris par des décisions
03:28
qui ont souvent été à contre-courant.
03:31
Il manquait peut-être, ou alors ça m'a échappé quelque chose
03:34
dans le discours d'Edouard Philippe ce matin,
03:38
c'est l'intérêt supérieur du pays.
03:42
Il ne s'agirait pas de faire pression sur le président pour dire,
03:45
partez, partez, comme le France Insoumise l'a fait,
03:47
et d'autres le font ou le feront.
03:49
Mais, est-ce que ça ne pourrait pas être de la part du président lui-même
03:54
le constat que son, notamment le deuxième quinquennat,
03:59
mais pas seulement, hélas, est une erreur tragique,
04:03
que le bilan de sa gestion est calamiteux,
04:06
que l'État est dans un état dramatique,
04:08
et que dans l'intérêt supérieur du pays,
04:11
il décide de fixer la présidentielle à une date antérieure à celle de 2027.
04:16
Je rêve sans doute.
04:17
Les débats vont reprendre dans quelques instants.
04:20
Je vous signale que Sonia Mavrouk vous attend bien sûr dans Europe 1 matin.
04:23
Pour la grande interview, chaque matin à 8h10,
04:26
demain, Philippe Devilliers, ancien ministre écrivain,
04:29
auteur de Populicide,
04:31
c'est le dernier livre à lire absolument aux éditions Fayard.
04:34
A tout de suite pour le rappel de titre de l'actuel.
04:36
Europe 1 soir.
04:37
19h, 21h, Pierre Devillenot.
04:40
Dernière partie d'Europe 1 soir avec Jean-Claude Dacier
04:42
et avec Alexandre Malafaille.
04:45
Et puis dans tout ça, parce qu'il y a toujours un psychodrame dans le psychodrame,
04:51
c'est l'affaire Bruno Le Maire.
04:53
Alors Bruno Le Maire, il a pris la parole chez nos confrères de Brut.
04:58
Et il y a eu d'abord le fameux
05:01
« Mais si je suis un problème, je me casse ».
05:02
On écoute.
05:03
Donc quand je vois que je suis le problème,
05:04
j'appelle le Premier ministre et je lui dis « Je me casse, pas de problème ».
05:08
Et j'appelle le Président de la République et je lui dis « Je me casse, pas de problème ».
05:13
Ce n'est pas moi le sujet. Moi, ce qui compte pour moi, c'est que ça marche.
05:15
C'est que le gouvernement soit en ordre de marche.
05:18
C'est que nos institutions fonctionnent.
05:20
Et si je suis un grain de poussière dans ces institutions,
05:23
le grain de poussière va se retirer.
05:24
Je ne veux pas être un problème pour les Français.
05:26
J'ai consacré toute ma vie à m'engager pour les Français.
05:30
Ce n'est pas pour devenir tout d'un coup un problème,
05:31
alors que je suis venu avec les meilleures intentions du monde
05:33
pour dire « Je vais servir et je vais remplir une mission ».
05:36
Bruno Le Maire qui a également raconté l'histoire d'un coup de fil raté avec Bruno Retailleau.
05:41
J'essaie de joindre Bruno Retailleau.
05:43
Je ne dis « Je n'ai aucun sujet ».
05:44
Moi, j'ai une excellente relation avec Bruno Retailleau depuis des années.
05:47
Il n'y a pas de difficulté.
05:48
Je l'appelle une fois. Il ne répond pas.
05:50
Je l'appelle une deuxième fois. Il ne répond toujours pas.
05:52
J'envoie un texto. Pas de réponse.
05:55
Je me dis « Bon, aux grands mots, les grands remèdes ».
05:57
Donc je prends mon téléphone, je regarde sur Google
05:59
et je trouve le numéro du ministère de l'Intérieur.
06:01
Donc j'appelle au ministère de l'Intérieur.
06:03
Et là, je tombe au standard sur un garçon très sympathique
06:06
qui devait être l'agent de permanence.
06:08
Il dit « Bonjour, c'est Bruno Le Maire au téléphone.
06:10
Je voudrais parler au ministre de l'Intérieur. »
06:12
Il dit « Écoutez, monsieur, je ne sais pas qui vous êtes.
06:14
On est dimanche 22h. Donc ce n'est pas l'heure des blagues. »
06:17
Et il a raccroché.
06:18
C'est énorme. C'est énorme.
06:20
Vous savez ce que ça me rappelle ?
06:22
Ça me rappelle une anecdote que racontait Régine.
06:28
Régine.
06:29
Quand Valéry Giscard d'Estaing appelle chez Régine
06:38
pour dire, je ne sais plus quoi,
06:41
je crois que c'était une histoire de vœux
06:42
où il voulait parler à Régine.
06:45
Et le standard répond.
06:49
Donc la standardise de Régine, la boîte de nuit à Paris.
06:51
Et elle dit « Bon voilà, écoutez, c'est très drôle.
06:57
Vous imitez très bien le président Giscard d'Estaing.
07:00
Bonne nuit, au revoir. »
07:01
Et puis en fait, il s'y est repris à trois fois.
07:04
Et finalement, la standardise passe le téléphone à Régine.
07:07
Et Régine dit « Ah mais c'est vous ! »
07:09
Et donc c'est elle qui le reconnaît.
07:11
Non mais c'est... Vous voyez, on en est là quoi !
07:13
Retailleau n'a pas été très sérieux, je trouve.
07:18
Non mais après, attends, c'est Bruno Le Maire qui le raconte.
07:22
Moi je ne mets ni en cause Bruno Le Maire,
07:24
ni Bruno Retailleau.
07:24
On les connaît tous les deux suffisamment très bien.
07:28
Quand je dis tous les deux, c'est nous tous dans ce studio,
07:30
nous les connaissons tous les deux
07:31
parce qu'ils viennent à Europe 1 quand même.
07:33
Bruno Le Maire quand il était ministre.
07:35
Bruno Retailleau était encore là ce matin avec Sonia.
07:39
Mais ce n'est pas le genre.
07:42
Mais là, on ne sait pas qui a raison.
07:46
Qu'est-ce que vous pensez quoi vous ?
07:48
On est en train de parler de conneries quand même.
07:50
Non mais on est sérieusement là.
07:52
C'est anecdotique mais en même temps...
07:53
Je ne me rends pas soin sur une émission sérieuse
07:55
mais non, on est complètement dans le canular.
07:57
C'est étonnant, c'est amusant de commenter un truc pareil
08:00
parce que le fait que des gens de ce niveau
08:02
qui ont exercé de telles fonctions se livrent à ça,
08:05
il y a quelque chose d'assez pitoyable.
08:06
Alors après, pourquoi ça s'est passé ?
08:08
Je ne sais pas si on le saura un jour.
08:09
On peut imaginer, c'est ce que j'entendais hier soir
08:11
dans la bouche d'un analyste politique
08:14
disant finalement on peut imaginer que Bruno Retailleau
08:18
qui a peut-être forcé le fait qu'il restait au gouvernement
08:22
avec sa petite équipe,
08:23
quand on a vu le casting et puis surtout le nom de Bruno Le Maire,
08:27
ça a été trop quoi.
08:28
Parce que ça fait vraiment le dernier carré présidentiel
08:30
sur les fonctions stratégiques régaliennes
08:32
qui sont essentielles pour le président pour ne nous toucher à rien.
08:35
les armées, Bercy, les affaires étrangères et Matignon.
08:39
Là, c'est le cœur du cœur des derniers, des derniers, des greniers.
08:42
C'est ça le fond de l'affaire.
08:42
Voilà, et donc en fait là c'était trop.
08:44
C'était trop parce que j'imagine qu'entre 20h42
08:46
où on a annoncé, ou 19h42, on a annoncé le gouvernement
08:49
et puis l'heure qui est suivie,
08:51
ça a dû exploser au niveau de la messagerie
08:53
et du téléphone de Bruno Retailleau pour dire
08:55
ça va quoi, on va tout perdre.
08:57
Vous êtes trop macronien, trop macroniste.
08:59
Vous ne pouvez plus continuer comme ça.
09:00
Je pense que l'explication politique elle est là.
09:02
Et il a rembéné.
09:03
Donc il n'a pas été très stratège sur ce coup-là.
09:04
Tu as raison, l'explication politique c'est que le gouvernement
09:07
et notamment Sébastien Lecornu en tête
09:09
était beaucoup trop, entre guillemets, vendu à Macron.
09:13
C'était le gouvernement de Macron.
09:15
Et c'était la politique de Macron qui allait se mettre en place.
09:17
La meilleure preuve, entre guillemets,
09:20
c'est que lorsqu'on parle du ministère des Armées,
09:23
Sébastien Lecornu refuse de dire à Retailleau
09:26
ben ça sera Messmer.
09:30
Bruno Le Maire, pardon.
09:32
Je confonds les ministres.
09:33
Ben je confonds les ministres des Armées.
09:34
Enfin bon quand même.
09:35
Oui mais c'est pas si vieux.
09:37
Enfin quand même si un peu.
09:39
Bruno Le Maire, bref.
09:41
Ce qui n'a pas bien peut-être...
09:43
Chabon Delmas, Messmer,
09:46
Antoine Pinet.
09:47
Ce qui n'a pas bien convenu à Bruno,
09:49
c'est qu'il ne s'est pas rendu compte
09:50
à quel point il avait incarné
09:53
le milliard ou le milliard et quelques
09:55
de déficit du gouvernement.
09:58
Quand on compte de loin.
10:00
Et que c'était plutôt le président
10:02
qui portait le chapeau d'un tel déficit
10:06
et il n'a pas vu que c'était devenu un personnage
10:10
que les français considéraient comme responsable
10:12
de ce déficit.
10:13
Bon, c'est juste ou c'est injuste,
10:15
mais c'est ainsi.
10:16
Cela dit, Retailleau a quand même eu tort
10:18
de se comporter comme il s'est comporté,
10:20
à mon avis.
10:20
Vous savez, ça me fatigue.
10:22
Donc on va arrêter de parler de ça.
10:24
Donc je pense que ça fatigue les français aussi.
10:27
On va attendre quelle est la suite.
10:29
Résumé juste des épisodes précédents.
10:31
Le président a reçu les deux présidents de chambre.
10:34
Bon.
10:35
Là, les préfets ont,
10:37
Info Europe 1,
10:38
ordre de se préparer pour 16 et 23 novembre,
10:40
à toute éventualité.
10:42
Bon.
10:42
Moi, j'ai une information qui me vient à l'instant
10:45
de mes propres sources,
10:47
qui me dit qu'il y a visiblement peut-être
10:49
une prise de parole demain
10:50
du président de la République.
10:52
Bon.
10:53
Voilà.
10:53
Arrêtons-la pour aujourd'hui.
10:55
Il y aura la matinale demain sur Europe 1
10:56
pour vous informer.
10:57
Il y aura sans doute d'autres informations.
Écris le tout premier commentaire
Ajoute ton commentaire
Recommandations
1:23
|
À suivre
Crise politique : Macron fustige «les forces politiques qui ont joué la déstabilisation de Sébastien Lecornu»
Europe 1
il y a 2 mois
11:19
Crise politique : Emmanuel Macron «a détruit notre pays», estime un auditeur
Europe 1
il y a 3 mois
1:23
Crise politique : «Le chaos, c’est Macron», fustige Éric Coquerel
Europe 1
il y a 3 mois
10:35
Crise politique : Édouard Philippe demande à Emmanuel Macron une présidentielle anticipée
Europe 1
il y a 3 mois
12:59
Punchline - Crise politique : Emmanuel Macron lâché par ses plus proches soutiens
Europe 1
il y a 3 mois
1:16
Crise politique : Emmanuel Macron entend exercer son mandat «jusqu’à son terme» et laisse la porte ouverte à une nouvelle dissolution
Europe 1
il y a 4 mois
10:57
Crise politique : Emmanuel Macron «n'échappera pas à la dissolution», estime Gauthier Le Bret
Europe 1
il y a 3 mois
8:44
Crise politique : Emmanuel Macron n'a «pas compris qu'il fallait qu'il renonce à gouverner», affirme Jonas Haddad
Europe 1
il y a 3 mois
11:17
Crise politique : «Emmanuel Macron s'entête à appliquer sa politique», constate Céline Hervieu
Europe 1
il y a 3 mois
4:20
Crise politique en France : Macron convoque les chefs de partis
France 24
il y a 2 mois
2:51
Emmanuel Macron : «Tout est chaos»
Europe 1
il y a 3 mois
0:58
Emmanuel Macron réagit à la mise en examen d'Alexis Kohler: "Il a toute ma confiance"
BFM
il y a 3 ans
1:17
Crise politique : les Républicains se réunissent pour définir la ligne à suivre après leur entretien avec Emmanuel Macron
Europe 1
il y a 3 mois
20:24
Crise politique : «La démission» d'Emmanuel Macron «serait moins pire qu'une dissolution», estime Christian Estrosi
Europe 1
il y a 3 mois
0:47
Macron : "Je ne fais pas partie de cette caste politique"
SudOuest.fr
il y a 10 ans
9:07
Crise politique : Emmanuel Macron «nous emmène droit dans le mur», alerte un auditeur
Europe 1
il y a 3 mois
1:05
Crise politique : «Les députés ont la trouille» face à une possible dissolution, «notamment chez les Macronistes», dénonce Jacques Serais
Europe 1
il y a 3 mois
8:03
Crise politique : «Nous censurerons tout nouveau gouvernement nommé sous l'ère Macron», insiste Laurent Jacobelli
Europe 1
il y a 3 mois
4:06
«On appelle ça le Macronisme» : le zapping politique d'Édouard Philippe
Europe 1
il y a 11 mois
1:00
Emmanuel Macron “à cran” : la grosse colère du président après des critiques sur sa campagne
Aufeminin
il y a 4 ans
1:28
EN DIRECT - Crise politique : la motion de destitution d'Emmanuel Macron déclarée irrecevable
Europe 1
il y a 3 mois
5:01
«Le macronisme s'achèvera avec Emmanuel Macron» : Bruno Retailleau vise «l'impuissance» du parti présidentiel
Europe 1
il y a 5 mois
4:17
En images : le parcours politique d’Emmanuel Macron
Le Point
il y a 9 ans
1:01
Emmanuel Macron “paumé” : l’entourage du président gagné par le doute
Aufeminin
il y a 4 ans
3:04
Regardez la prise de parole d'Emmanuel Macron qui évoque la crise politique en France: Le président appelle à "œuvrer à la stabilité" - VIDEO
Jeanmarcmorandini.com
il y a 2 mois
Écris le tout premier commentaire