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Condamnation de Nicolas Sarkozy : «Nous sommes sidérés par le volume de la peine», assure Jonas Haddad
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il y a 2 mois
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00:00
Europe 1 Soir Weekend, 19h21, Stéphanie Demureux.
00:05
Europe 1 Soir Weekend, merci de nous rejoindre.
00:07
J'accueille mes débatteurs de la première heure, Alexandre Malafaye, fondateur du think tank Sinopia.
00:12
Bonsoir Alexandre.
00:13
Bonsoir Stéphanie Demureux.
00:15
Gilles Boutin, journaliste en politique économique au Figaro.
00:18
Bonsoir Gilles Boutin.
00:19
Bonsoir Stéphanie Demureux.
00:21
On va parler tout de suite politique avec, vous l'avez certainement vu messieurs,
00:25
ces premières lignes du budget.
00:27
Alors ça reste flou, il n'a pas trop dévoilé la totalité, il garde le suspens Sébastien Lecornu.
00:34
Enfin bon quand même, on sait déjà qu'il n'y aura a priori pas de taxes Zucman.
00:37
J'imagine qu'il y en a 1800 dans le pays déjà qui sont soulagés.
00:41
Pas de retour à l'ISF.
00:42
Enfin il nous promet quand même quelques retours à certaines augmentations d'impôts.
00:47
Ça nous aurait étonné aussi qu'il n'y en ait pas, on ne sait pas lesquelles.
00:51
La gauche avec le PS a déjà exprimé ses doutes, le RN également.
00:56
On va poser la question aux porte-parole des Républicains à présent, vice-président de la région Normandie.
01:01
Bonsoir Jonas Haddad.
01:03
Bonsoir.
01:04
Alors vous avez le socle commun, en tout cas un déjeuner qui est prévu lundi avec Sébastien Lecornu,
01:10
tous les chefs de parti et de groupe du socle commun.
01:14
Vous, le parti républicain, qu'allez-vous lui dire après ces premières orientations dévoilées dans le Parisien hier ?
01:22
Bon d'abord que notamment le constat qui est réalisé que nous sommes aujourd'hui l'un des pays les plus fiscalisés du monde,
01:30
développés, est un constat qu'on partage.
01:33
Et donc bien évidemment on se réjouit du fait qu'il n'y ait pas de rétablissement de l'ISF et de la taxe des Zuckmann.
01:40
Non pas parce qu'on est là pour protéger quelques-uns, mais surtout parce qu'il y a un certain nombre de représentants,
01:47
notamment des petites entreprises, qui nous expliquent que c'est extrêmement grave si ce genre de taxe se passait.
01:53
Je pense notamment au secteur des start-up qui redoutent un million d'emplois qui seraient détruits.
01:58
Et donc en fait, si vous voulez, au moins cette interview a mis un terme à la bouffée délirante fiscale
02:06
qui s'était emparée de notre pays, il faut le dire quand même, assez alimentée je dois le dire,
02:11
par un certain nombre de médias du service public, qui ont beaucoup invité M. Zuckmann,
02:17
en majesté, qui est un militant d'extrême-gauche.
02:18
Oui, et puis d'ailleurs, plutôt en lui faisant le tapis rouge, comme vous l'avez dit,
02:24
en promouvant plutôt cette taxe, en effet.
02:27
Donc c'est vrai que Sébastien Lecornu, en tout cas, a résisté à cette pression
02:33
parce que ce débat sur les taxations avait été vraiment au cœur de toutes les discussions la semaine dernière.
02:41
Néanmoins, donc Sébastien Lecornu qui propose un budget dans lequel certains impôts augmenteront,
02:47
mais d'autres diminueront. Qu'est-ce que vous en pensez ?
02:49
Est-ce que déjà vous avez une idée de quel impôt pourrait augmenter ?
02:53
Non, je n'ai pas encore d'idée, mais en revanche, c'est sûr que la justice fiscale aujourd'hui,
02:58
c'est au cœur des débats.
02:59
Vous vous souvenez, il y a eu ce mouvement avant l'été,
03:02
C'est Nicolas qui paye, dans lequel les gens se disaient qu'aujourd'hui,
03:05
les actifs, par exemple, supportent un poids très important de la dette fiscale,
03:10
alors que les inactifs, dans le sens large du terme,
03:14
profitent quand même beaucoup de cette injustice fiscale.
03:18
Donc c'est vrai qu'il faut remettre sur la table l'équité fiscale
03:22
et que ce ne soit pas en permanence les mêmes qui payent des impôts,
03:25
quitte à augmenter pour d'autres personnes des impôts.
03:28
Donc je trouve que c'est pas mal de retrouver un équilibre de cet ordre-là.
03:31
Et enfin, il y a un point aussi qui est intéressant, c'est sur la fraude.
03:34
D'ailleurs, je m'étonne que les socialistes ne se soient pas félicités, ça.
03:40
Lutter contre la fraude fiscale, mais lutter aussi contre la fraude sociale,
03:45
c'est quelque chose qui devrait retrouver un assentiment de la majorité nationale.
03:49
Voilà, donc je pense que ça va plutôt dans le bon sens.
03:51
C'est vrai qu'on nous le promet depuis des années,
03:53
la lutte contre la fraude, et elle est toujours là en nombre.
03:58
Vous avez dit, montez les impôts de certains,
04:01
soyez plus précis, Jonas Haddad, à qui vous pensez précisément,
04:04
est-ce que, on le sait, par exemple, la moitié des Français ne payent pas l'impôt sur le revenu ?
04:09
Est-ce que vous souhaiteriez que tout le monde, justement, paie l'impôt aujourd'hui ?
04:14
Ça peut être une piste, et puis il y a aussi la piste des niches fiscales.
04:18
Il y a énormément de niches fiscales dans notre pays.
04:20
Qu'est-ce qui s'est passé ?
04:21
En fait, depuis des années, comme la France avait créé trop d'impôts,
04:26
on avait été obligés de créer des niches fiscales pour compenser.
04:29
En fait, ce qu'il faut faire, c'est baisser l'impôt,
04:32
et puis enlever les niches fiscales pour qu'il n'y ait pas des personnes
04:35
qui échappent à l'impôt lorsqu'ils le doivent.
04:37
On a créé un système qui est complètement fou, qui alimente la bureaucratie.
04:40
Donc, remettons tout ça à plat, on baisse les impôts pour certains,
04:43
et vous enlèvez les niches fiscales.
04:44
Vous pensez à des niches fiscales particulières, Jonas Haddad ?
04:48
Non, mais il y en a aujourd'hui qui ne sont plus justifiées.
04:52
Notre pays évolue.
04:53
Ça va être compliqué de rentrer dans la technique ce soir, parce que je ne veux pas...
05:00
Non, mais on sait qu'il y avait une menace, notamment sur les services aux personnes.
05:05
Alors ça, est-ce que vous êtes plutôt pour ou contre cette niche ?
05:09
Non, non. Par exemple, là, moi, je ne suis pas partisan de ça,
05:12
parce que ça crée des emplois en France.
05:15
En revanche, il y a un certain nombre de niches fiscales qui existent aujourd'hui
05:18
qui font que, bizarrement, on ne favorise pas le fait que ce soit produit en France.
05:24
Je pense qu'il faut qu'on retourne notre fiscalité pour faire en sorte
05:26
qu'on puisse continuer à produire en France,
05:29
et non pas uniquement être sur des dispositifs qui vont permettre d'échapper à l'impôt,
05:33
parce qu'à côté, il y a une pression fiscale qui est trop importante.
05:35
Voilà, il faut sortir de cette bureaucratie globale qui a alimenté une machine dingue,
05:41
où en fait, la question qui se posait toujours, c'est de savoir
05:43
est-ce qu'on va créer des impôts,
05:45
et est-ce qu'on ne va pas créer des niches fiscales en contrepartie ?
05:48
Oui, je disais, c'est vrai, Gilles Boutin,
05:50
le débat avait été vraiment confisqué autour des taxes.
05:53
C'était assez ahurissant.
05:54
Pendant une semaine, on a parlé, enfin, plus d'une semaine d'ailleurs,
05:57
deux semaines, au moins, on ne parlait que de ça, Gilles Boutin.
05:59
C'était la réussite de l'opération Zucman, effectivement,
06:01
tous ces plans de communication autour de cet économiste.
06:04
Toujours sur les taxes, M. Haddad,
06:08
Sébastien Lecornu a décrété une sorte de règle d'or fiscale.
06:12
En somme, si on fait des hausses d'impôts, par certains côtés,
06:15
donc sur les plus riches, on doit les baisser par ailleurs
06:17
pour ne pas excéder à un niveau,
06:18
puisqu'on est déjà parmi les plus généreux, entre guillemets, à ce niveau-là.
06:23
Je crois qu'on fait jeu égal à peu près avec la Finlande
06:26
d'une année sur l'autre en termes de prélèvement obligatoire.
06:29
Pensez-vous que cela permette à Sébastien Lecornu
06:32
d'être réellement optimiste sur sa survie ?
06:34
On sait l'importance que la question des impôts a pour le Parti Socialiste.
06:39
Alors, ne parlons pas de LFI.
06:41
Partant du fait qu'il ne promet pas de véritables grands soirs fiscales,
06:47
pourra-t-il rester à Matignon encore de longs mois, selon vous ?
06:52
Je ne sais pas.
06:54
Il faut peut-être mettre les socialistes face à leur responsabilité à un moment.
06:58
Je pense que tout le monde a vu que c'était leur obsession.
07:01
Non, il y avait deux obsessions.
07:02
Il y avait ça et les retraites.
07:04
J'ai l'impression que sur les retraites,
07:06
il n'y a pas du tout de majorité qui se dégage pour revenir sur cette réforme des retraites.
07:08
Non, il renonce à revenir aux retraites.
07:11
Là aussi, quand même.
07:12
La réforme des retraites ne semble pas à l'ordre du jour.
07:15
Il ne réglerait aucun problème,
07:17
que sont d'ailleurs la pénibilité dont parle tant le RN.
07:22
Donc, sur ce point, il n'y touche pas.
07:25
Voilà.
07:26
Et concernant les impôts,
07:28
alors peut-être qu'il va y avoir d'autres impôts
07:31
qui vont, si vous voulez, qu'on va payer le prix aux socialistes, entre guillemets.
07:36
Mais je pense vraiment que ces gens ne mesurent pas le ralpole fiscal qui existe dans notre pays.
07:42
Mais en termes de stratégie politique, est-ce jouable ?
07:45
Ou est-ce que Sébastien Lecornu doit consentir à d'autres gestes ?
07:48
Parce que, comme l'a rappelé Stéphanie,
07:51
effectivement, il remet au pot sur les retraites.
07:53
D'ailleurs, on ne sait pas bien,
07:54
il a annoncé qu'il y aurait 5 ou 6 milliards de plus pour les retraites à contre-cours.
07:58
Donc, où trouver les économies ?
08:00
Et comment faire ?
08:01
En fait, moi, je pense qu'une idée...
08:03
La difficulté pour trouver la clé de voûte,
08:07
c'est qu'il y a une déconnexion profonde
08:08
entre les élus socialistes et les électeurs socialistes.
08:11
Quand on regarde dans les sondages, par exemple,
08:13
de plus en plus d'électeurs socialistes
08:15
disent qu'il y a trop d'impôts en France,
08:17
que l'État fait trop de choses.
08:18
Quand on regarde ce que disent les électeurs socialistes,
08:20
ils disent, par exemple, qu'il y a trop d'immigration en France
08:22
et que ça pèse sur notre budget.
08:24
Mais les élus socialistes sont de plus en plus déconnectés de leur base.
08:27
Donc, je pense que le fait de s'adresser également de façon générale à l'opinion
08:32
et à dire, bon, écoutez, à un moment, il faut qu'on sorte de ce sujet-là,
08:36
je trouve que c'est pas mal pour desserrer cet étau idéologique
08:40
qu'a essayé de placer le Parti socialiste depuis quelques jours sur le gouvernement.
08:44
En tout cas, Jonas Sadat, vous resterez, a priori, dans ces conditions,
08:50
avec ces premières orientations de budget.
08:52
J'imagine que vous avez discuté les uns et les autres.
08:54
Vous êtes plutôt en passe de rester dans ce gouvernement.
08:59
Alors, moi, je ne suis pas parlementaire.
09:01
Non, je sais, mais je parle des LR.
09:03
Vous êtes pour parole.
09:05
Non, bien sûr.
09:06
À la fin de la journée, comme l'a justement dit le Premier ministre,
09:10
on va être de plus en plus sur un système parlementaire.
09:13
Et donc, c'est que chaque parlementaire, en âme et conscience,
09:16
va devoir prendre des décisions.
09:17
Donc, vous l'avez bien vu la dernière fois,
09:19
il y a eu aussi, au sein des Républicains,
09:22
des gens qui pensaient des choses différentes.
09:24
Donc, ce ne sera pas homogène.
09:25
Mais cette fois-ci, j'ai l'impression qu'en fait, on s'intéresse,
09:28
et ça a été justement dit, on s'intéresse plus au quoi que au qui.
09:32
C'est-à-dire qu'on va déjà essayer de topper un contrat de gouvernement ensemble
09:35
et après, on verra si on entre dans le gouvernement.
09:38
Parce que les dernières fois, on s'y est pris à l'envers.
09:41
On est déjà rentré au gouvernement
09:42
et après, on s'est intéressé au...
09:44
Vous pensez qu'il faut avancer quand même quelques conditions.
09:46
Exactement.
09:48
Et je vous en ai donné une en plus tout à l'heure
09:50
que je n'ai pas vue dans l'interview de Sébastien Lecornu.
09:53
C'est la question de la contribution des étrangers à cet effort.
09:58
Globalement, on demande à tout le monde de faire des efforts en France.
10:00
Nous, ce qu'on dit, c'est, à partir du moment où vous êtes un étranger sur le sol français,
10:05
c'est normal que vous fassiez des efforts.
10:07
Et donc, faire des efforts, ça veut dire, sur certains avantages
10:09
ou certaines latitudes qu'on avait,
10:11
qu'on ne pourra plus reconduire les mêmes latitudes.
10:14
Il n'y a pas, effectivement...
10:14
Je crois qu'il évoque l'AME, mais c'est vrai que c'est tout.
10:17
Les contributions...
10:18
Enfin, il n'en parle pas vraiment, de ce sujet de l'immigration.
10:22
Jonas Haddad, je voulais aussi vous faire réagir,
10:24
parce que le temps passe, malheureusement,
10:26
à cette condamnation très lourde
10:28
à l'encontre de Nicolas Sarkozy.
10:31
Alors, c'est vrai que LR était assez discret.
10:34
Il y a eu davantage de marques d'amitié, de soutien,
10:38
mais pas vraiment d'avis sur la condamnation.
10:42
Quelle est votre position là-dessus ?
10:43
Comment avez-vous réagi quand vous avez entendu cette sentence très lourde,
10:47
exécution provisoire ?
10:48
Nicolas Sarkozy ira en prison.
10:51
Je dirais que j'ai un défaut à causer du fait d'être en politique,
10:54
c'est que je suis également avocat,
10:55
et que moi, j'ai regardé cette décision en tant que juriste.
10:58
Et comme beaucoup de juristes, on a été sidéré par le volume de la peine.
11:03
D'abord parce que ce volume, il est avec une exécution provisoire.
11:07
Donc on n'imagine pas que Nicolas Sarkozy tente de détourner des témoins,
11:11
d'y attaquer d'inémores,
11:13
et on n'imagine pas Nicolas Sarkozy s'enfuir dans un avion.
11:16
Bon, ça c'est un premier point.
11:17
Et puis un deuxième point,
11:18
parce qu'on a regardé les peines qui sont données pour ce genre de délit.
11:24
Je disais quand même sur une radio il y a deux jours,
11:27
Jawad, qui est le logeur des témoins du Bataclan,
11:32
pour l'association de malfaiteurs,
11:33
il ne prend que quatre ans.
11:34
Oui, absolument.
11:35
Et j'ai sorti ce truc-là volontairement,
11:38
parce que je veux que nos auditeurs comprennent
11:41
que parfois, on a un certain nombre de deux poids, deux mesures,
11:45
on se dit, mais franchement,
11:46
est-ce que Sarkozy méritait plus que Jawad Goudaoud ?
11:49
Merci Jonas Haddad,
11:52
porte-parole des Républicains,
11:53
vice-président de la région Normandie,
11:54
d'avoir été avec nous,
11:56
et on se retrouve dans quelques instants
11:57
avec nos débatteurs.
11:59
Alexandre Malafaye,
11:59
je ne vous ai pas donné la parole encore,
12:01
ça a filé.
12:02
Gilles Boutin,
12:03
on va continuer à parler justement
12:04
de la peine qu'a eu Nicolas Sarkozy,
12:08
qui fait beaucoup parler,
12:09
encore trois jours après.
12:11
Restez avec nous,
12:11
et merci Jonas Haddad.
12:12
Merci Jonas Haddad.
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