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  • il y a 7 semaines

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Transcription
00:00Tegner sur Europe 1 veut réagir lui aussi.
00:02Oui, c'est encore pire que ce que disait Grégory.
00:04Donc Grégory, vous disiez que Nicolas Sarkozy était suspecté d'avoir potentiellement eu l'intention d'eux.
00:10Non, il y a potentiellement l'intention de la part de ses collaborateurs d'eux.
00:15Et dans ce cas précis, ils ne pouvaient pas ne pas être au courant.
00:19On est sur quelque chose d'absolument fou.
00:21Il n'y a absolument aucune preuve.
00:22C'est-à-dire, imaginez comment ça met quand même en danger les responsables politiques aujourd'hui.
00:26Ils peuvent avoir un de leurs collaborateurs qui un jour a une idée.
00:29On n'a aucune preuve qu'il a une idée.
00:31Et parce que c'est votre collaborateur, même si on n'a aucune preuve que vous étiez au courant qu'il avait potentiellement une idée,
00:36vous pouvez être condamné pour ça.
00:37Et je me fais l'avocat du diable rapidement.
00:40On peut condamner quelqu'un qui a l'intention de faire un attentat, par exemple.
00:44Alors c'est aussi dans cet esprit-là qu'on a cherché à le condamner.
00:47Qu'est-ce que vous en pensez ?
00:48Ce qui est vrai déjà, c'est que c'est quelque chose qui est utilisé uniquement en règle générale pour les attentats ou pour le narco-banditisme.
00:54Donc c'est intéressant de le voir là-dedans.
00:55Mais là, on ne parle pas de l'intention de Nicolas Sarkozy.
00:58On parle de l'intention potentielle de ses collaborateurs.
01:01Et on dit simplement qu'ils ne pouvaient pas ne pas être au courant.
01:03C'est ultra indirect.
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