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Vote de confiance : «c'est un pari voué à l'échec», estime Georges Fenech
Europe 1
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il y a 11 heures
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00:00
J'espère, chers auditeurs d'Europe 1, que vous avez bien écouté ce que nous a dit Agnès Verdier-Molinier.
00:05
Non, il ne faut pas faire de l'embellissement, du packaging, comme je le dis en bon français,
00:11
mais la situation est grave au niveau économique.
00:14
Si vous voulez en savoir plus, lisez face au mur le dernier livre d'Agnès Verdier-Molinier qui en dit plus.
00:20
François Bayrou, qui recevra les chefs de parti lundi, qui posera devant l'Assemblée nationale son vote de confiance le 8 septembre,
00:32
est en train de parler à notre confrère Gilles Loulot de TF1.
00:37
Et sur ses chances de succès sur ce vote de confiance, voilà ce que dit le Premier ministre à l'instant.
00:42
Aujourd'hui, a priori, on ne peut pas obtenir la confiance, mais on sait bien qu'il n'y a pas de majorité depuis longtemps.
00:48
Depuis les élections.
00:51
La question, elle est simple.
00:54
Ma conviction, c'est qu'il est impossible de poursuivre ou de porter la politique de redressement du pays
01:01
s'il n'y a pas un minimum d'accord sur l'importance de ce choix.
01:08
Parce qu'on ne peut pas passer en force.
01:12
Et d'ailleurs, je ne veux pas passer en force.
01:14
Le gouvernement, dans ce moment, il n'est pas contre les Français ou pour contraindre les Français.
01:22
Le gouvernement, il est le défenseur des Français.
01:24
Georges Fenec, comment est-ce que vous appréciez cette première sortie de François Bayrou ce soir ?
01:29
Mais je crois qu'il revient aujourd'hui à une réalité politique.
01:33
Son pari d'un vote de confiance était voué à l'échec.
01:40
On se demande d'ailleurs comment on a pu élaborer avec le Président de la République une telle stratégie.
01:46
Bien sûr, et vous avez raison de dire avec le Président de la République.
01:49
C'est lui qui donne le blanc-seing pour ça.
01:51
Mais c'est lui qui convoque.
01:52
Bien sûr.
01:53
Donc, je ne comprends toujours pas, à l'heure où je vous parle, qu'est-ce qui a pu motiver ce quitte ou double ?
02:01
Il aurait très bien pu y avoir un débat à l'Assemblée Nationale sans vote.
02:06
Où on débat de l'État, de l'économie et des finances, surtout, françaises.
02:13
Il n'y a pas besoin de voter une confiance sur un constat factuel.
02:17
Ensuite, il y avait le débat budgétaire, éventuellement la prise de risque, la motion de censure, l'article 49.3.
02:25
Mais je ne comprends pas cet emballement, cette application de la Constitution qui n'est pas du tout dans les usages.
02:34
L'article 49.1 n'est pas utilisé comme ça d'habitude.
02:39
J'ai l'impression d'une démission déguisée, en quelque sorte.
02:42
Il y a quelque chose qui relève de la psychologie.
02:45
Est-ce que c'est Catherine Net, tout à l'heure, en première heure, disait qu'il s'est autoproclamé Premier ministre ?
02:49
C'est vrai qu'il a fait du forcing.
02:51
Il est arrivé de Potron-Minet à l'Élysée en disant qu'il n'est pas question de nommer quelqu'un d'autre que moi,
02:55
puisque sinon je retire des députés de ma majorité.
02:59
Il n'y aura plus de majorité dans la majorité qui n'est plus une majorité, si j'ose dire.
03:04
Là, de la même façon, il décide de sa date de sortie.
03:10
Y a-t-il un calcul ?
03:11
François Bayrou, Vincent Roy et Georges Fenech, on le connaît depuis longtemps, c'est un renard en politique.
03:17
Il a toujours flairé le bon coup, la façon de pouvoir se positionner, etc.
03:22
Ça paraît quand même assez benoît de sa part de se dire, tiens, je vais y aller sur un coup de poker.
03:29
François Bayrou, d'autant que c'est très curieux, vous êtes en train de dire là qu'il va recevoir les chefs de parti.
03:35
Oui, lundi.
03:36
Que n'a-t-il fait avant ?
03:38
Que n'a-t-il consulté, téléphoné, passé des appels au Parti Socialiste, à Marine Le Pen,
03:45
en leur disant, bon ben voilà ce que je compte faire, vous en pensez quoi, vous allez réagir comment ?
03:50
Ça permettait d'ajuster le tir.
03:52
Là, j'aurais tendance à me rallier à la thèse de Georges, qui consiste à dire que, effectivement, son égo fait qu'il veut sortir la tête haute,
04:06
qu'il dit, bon ben voilà, je vous laisse devant vos responsabilités.
04:09
Moi, voilà ce que je propose, ce que je dis.
04:13
Vous n'êtes pas d'accord avec le constat que je fais ?
04:15
Eh bien, débrouillez-vous, tout ça, parce que ça met quand même, il n'y est pas forcé,
04:22
et ça met le pays dans une instabilité, pour le coup, dans une instabilité politique encore plus grande.
04:27
Et puis j'ajoute, j'ajoute qu'il est quand même en train de pousser un peu le chef de l'État dans le vide.
04:34
Mais c'est ça que je...
04:36
Moi, j'essaie de comprendre.
04:38
Je voulais aborder ce sujet, c'est très important ce que vous dites, Vincent.
04:41
C'est-à-dire que, et on en parle souvent dans Repinsoir,
04:45
c'est le carriérisme.
04:47
Est-ce que, quand je dis ces gens-là, François Bayrou et d'autres,
04:52
ne pensent toujours à leur carrière d'abord,
04:56
ou en essayant quand même de faire croire aux Français
05:00
qu'ils pensent à la nation et qu'ils pensent à la France ?
05:03
Là, ils pensent à 2027.
05:04
Comment est-ce que tu veux penser à 2027,
05:08
en quittant de manière molle un gouvernement
05:11
où tu te fais sortir à coups de pieds aux fesses,
05:15
où tu n'obtiens aucune confiance ?
05:18
Soit c'est un mauvais calcul,
05:19
mais je n'arrive pas à croire, encore une fois,
05:21
de la part d'un vieux routier de la politique,
05:24
qu'est François Bayrou,
05:25
qu'il ait aussi mal calculé son coup.
05:27
Je n'arrive pas à y croire, Georges Fenwick.
05:28
Je ne sais pas.
05:29
On ne va pas faire trop de psychologie, mais...
05:32
Il y en a, vous le savez bien, Georges.
05:35
Oui, je le sais bien.
05:36
Vous avez été en politique longtemps,
05:37
il y a bien sûr de la psychologie, énormément.
05:40
En face de lui, il y a deux écueils qu'il attendait,
05:43
deux obstacles, peut-être même insurmontables.
05:46
Et je pense qu'il a voulu, sans doute,
05:49
choisir lui-même le moment de son départ
05:51
avec un certain panache.
05:53
Parce que le discours qu'il a fait,
05:54
il était remarquable.
05:55
Oui, mais là, il n'y en a pas de panache.
05:57
Oui, mais voilà.
05:58
Moi, je fais le constat, je suis capable de...
06:00
Je mets tout sur la table.
06:01
Vous me suivez ou vous ne suivez pas.
06:03
Il y a un côté, quand même, un peu chevaleresque.
06:05
Le côté banco debout au casino, c'est ça ?
06:08
Oui, et ça lui évite quoi ?
06:10
Ça lui évite une éventuelle et probable motion de censure.
06:14
Et donc là, une démission forcée,
06:16
alors que là, c'est lui qui choisit, effectivement.
06:18
Et puis, je le disais tout à l'heure,
06:20
en avant d'entrer dans le studio,
06:21
il y a un deuxième rendez-vous dont personne ne parle.
06:24
Personne.
06:25
C'est le rendez-vous judiciaire.
06:26
Ah ben bien sûr.
06:27
Dans le courant du premier semestre 2026,
06:29
vous allez avoir un procès en appel
06:32
où comparaîtra François Bayrou,
06:35
et j'attache tout ce qu'il faut à la présomption d'innocence, bien sûr,
06:39
qui est, dont le procureur avait requis 30 mois de prison
06:41
et 3 ans d'inigibilité, rappelez-vous, en 2024.
06:45
Et donc, il y a cette épée de Damoclès
06:47
qu'il ne pourra pas éviter.
06:49
Ce qui sera relaxé à nouveau en appel, je n'en sais rien.
06:52
En tout cas, la procureur a dit qu'il y avait suffisamment d'éléments pour condamner.
06:54
C'est pour ça qu'elle faisait appel.
06:56
Donc, vous voyez, je pense qu'il a voulu peut-être prendre du recul
06:59
en se disant, je franchirais mieux ces obstacles libres de tout,
07:04
quitte à revenir ensuite, quand je serai relaxé peut-être,
07:08
en 2027.
07:09
Vous voyez, c'est un homme qui est coincé,
07:11
il est au pied du mur, ça ne passe pas,
07:13
je préfère dire au revoir maintenant pour revenir un peu plus tard.
07:17
Oui, il y a aussi, je parle de psychologie, c'est très possible ce que vous dites, très juste.
07:24
Mais il y a aussi autre chose, je parlais d'égo tout à l'heure,
07:27
on peut aussi partir de manière chevaleresque en disant,
07:31
vous voyez, tous les problèmes qui s'annoncent,
07:34
la responsabilité, moi je l'ai chevillée au corps la responsabilité.
07:38
C'était l'objet de ce joli discours que vous avez entendu avant-hier.
07:42
On pouvait s'accorder là-dessus.
07:43
La responsabilité, vous voyez, si vous ne m'accordez pas la confiance,
07:49
c'est moi ou le chaos.
07:51
Il a plusieurs fois utilisé ce terme.
07:53
Eh bien, si c'est le chaos,
07:56
et dans la perspective de 2027,
07:59
il pourra sortir sa tête en disant,
08:01
ne vous avais-je pas prévenu, c'était moi ou le chaos.
08:05
Vous ne m'avez pas accordé votre confiance,
08:07
voyez dans quel état est le pays,
08:09
maintenant, votez pour moi,
08:11
je vais tout rétablir,
08:13
et je vais, moi, être l'homme de la situation,
08:16
l'homme capable de vous sortir de la situation.
08:18
Peut-être.
08:18
C'est ainsi que parfois, chez certains individus,
08:20
l'ego fonctionne.
08:21
Peut-être.
08:22
En attendant, ego ou pas ego,
08:24
il dit qu'il ne veut pas accepter la fatalité
08:26
dans cet entretien à TF1 qui a lieu en ce moment.
08:29
Il dit qu'il faut un accord,
08:31
qu'on ne peut pas passer en force,
08:32
mais qu'il est prêt à discuter mesure par mesure.
08:35
Voilà ce qu'il veut faire lundi, peut-être,
08:38
avec ses chefs de parti.
08:39
D'ailleurs, on ne sait pas si tous les chefs de parti viendront,
08:43
mais il est prêt à discuter mesure par mesure.
08:45
La discussion sera-t-elle, j'allais dire, conséquente ?
08:49
Je n'en sais rien.
08:50
Pour l'instant, tout ce que je vois,
08:52
c'est qu'on a un RN qui demande la dissolution
08:56
et la démission du président de la République,
09:00
et on a pratiquement toute la gauche,
09:03
de LFI jusqu'aux écologistes et aux socialistes,
09:07
qui ne voteront pas le vote de conférence.
09:09
Oui, donc ça veut dire...
09:10
De quoi on va discuter ?
09:11
De quoi on va discuter ?
09:12
De quoi on va discuter ?
09:13
C'est ça le truc.
09:14
Oui.
09:15
C'est assez étonnant.
09:18
Tandis que chez les LR, rien n'est moins sûr.
09:21
Certains disent, et on va écouter Christophe Pierrot,
09:24
on va écouter Florence Portelli,
09:26
qui est bien sûr vice-présidente du parti Les Républicains,
09:31
parce que chez Les Républicains, c'est pareil.
09:33
Ils sont une soixantaine.
09:35
Ils disent qu'ils sont unis,
09:37
mais quand on les interroge,
09:38
il y en a une dizaine qui ne sont pas tout à fait sûres
09:41
de suivre le vote de confiance.
09:43
Alors, qu'en pense Florence Portelli,
09:45
vice-présidente du parti ?
09:46
Elle s'interroge en tout cas ce matin
09:48
sur la stratégie de François Bayreau.
09:50
Il se fait arrachiller de manière assez spectaculaire.
09:54
Ce qu'il propose maintenant,
09:55
c'est ce qu'il aurait dû proposer
09:56
avant d'annoncer les mesures qu'il a mises sur la table.
09:59
Donc, il a braqué les parlementaires avant.
10:02
Je suis très sévère sur cette décision
10:04
que je trouve complètement absurde.
10:05
Et sur le calendrier de François Bayreau,
10:07
de manière globale,
10:09
je pense que sa stratégie estivale a été catastrophique.
10:11
Vous vous retrouvez à devoir finalement
10:14
donner un plan sain à quelqu'un
10:16
qui a déjà mis des mesures sur la table
10:17
qui ne sont pas forcément acceptables pour nous.
10:20
Le choix de cet article 49-1 est absolument catastrophique
10:22
et nous met dans une situation difficile.
10:24
Dans une situation difficile
10:26
où on est obligé de suivre François Bayreau,
10:28
alors qu'on n'est pas d'accord
10:29
sur une partie de ces sujets.
10:33
C'est ça ce qu'elle dit, Florence Portelli.
10:34
Elle a raison, Florence Portelli.
10:36
Mais n'oubliez pas que Florence Portelli,
10:37
elle n'est pas députée.
10:38
Non, mais elle est vice-présidente du R.
10:40
Oui, mais elle a du poids.
10:42
Mais pourquoi je dis ça ?
10:43
Parce que moi,
10:44
qui ai un peu d'expérience de ce point de vue-là,
10:46
je peux vous dire à quel point
10:47
un député a peur de l'élection.
10:50
Il aimerait bien aller au bout de son mandat.
10:52
La campagne, c'est difficile.
10:54
Il s'est engagé vis-à-vis des électeurs.
10:56
Il a pris des engagements.
10:57
Et là, tout d'un coup,
10:58
on va lui dire,
10:59
on retourne devant les électeurs
11:00
avec le risque de ne pas être réélu.
11:02
Donc, avant de voter,
11:04
on pense aussi à...
11:05
Je veux dire,
11:06
toujours à la psychologie,
11:07
il faut regarder.
11:08
On peut penser à la France aussi, non ?
11:09
Parce que, oui,
11:10
mais quand on est député
11:12
et qu'on doit rendre des comptes
11:13
devant ses électeurs,
11:14
quand il faudra aller sur les marchés
11:16
pour leur dire,
11:16
ah ben oui,
11:17
j'ai voté la confiance.
11:18
Alors, si tu as voté la confiance,
11:20
ça se passe comme ça en réalité.
11:22
Donc, parce que c'est un scrutin public,
11:23
on le sait,
11:24
qui a voté pour ou qu'on ne s'est pas
11:25
à main levée
11:26
ou dans un isoloi,
11:27
on sait qui vote la confiance.
11:29
Après, il faut s'expliquer devant les électeurs.
11:31
C'est pour ça que les LR
11:32
qui ont pris cette position,
11:34
bon, elle est honorable,
11:35
je comprends parfaitement
11:36
ce que fait M. Retailleau,
11:37
il appartient d'ailleurs
11:37
à ce gouvernement,
11:39
mais est-ce que tous les LR
11:41
vont voter la confiance ?
11:42
Ça, je serais quand même
11:43
assez étonné.
11:45
Rien n'est moins sûr.
11:45
9h moins le quart,
11:46
on marque une pause,
11:47
on se retrouve avec Georges Fenech
11:48
et Vincent Roy
11:48
après le rappel de l'actualité
11:49
à tout de suite sur Europe.
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